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La présente invention concerne un flacon vaporisateur
à soupape de reprise d'air.
On sait que pour effectuer une pulvérisation d'un pro-
duit liquide, par exemple, en vue d'e~fectuer un traitement
localisé de la peau ou des cheveux, il est utile de disposer d'un
flacon vaporisateur que l'utilisateur actionne, par pression, en
déformant les parois souples du flacon pour su~citer la sortie du
produit qui y est conditionné. Ce type de vaporisateur est, le
plus souvent, muni d'une tête de pulvérisation, adaptée sur le
goulot, à laquelle se raccorde un tube plongeur. Ce tube plongeur
sert à diriger le produit liquide depuis le fond du récipient
jusqu'à un orifice de pulvérisation où il est distribué. Quoique
ce mode de conditionnement et de distribution soit particulière-
ment avantageux, notamment en raison de sa simplicit~ et de son
faible prix de revient, il n'en présente pas moins divers incon-
vénients inhérants à sa structure.
En effet, ce type de flacon n'est, en général, pas
susceptible de fonctionner quelle que ~oit la position que lui
fait occuper l'utilisateur : en particulier, lorsque le flacon
est placé tête en bas, le tube plongeur ne se trouve plus en
contact avec le produit liquide. Par ailleurs, on sait que la
manoeuvre de distribution s'effectue en comprimant alternativement
la paroi souple du corps du flacon, chaque déformation qu'imprime
l'utilisateur se traduisant par la vaporisation d'une certalne
quantité de produit à distribuer. Cependant, entre deux manoeuvres
de vaporisation, il est nécessaire, après que l'utilisateur à
relâché son action, de laisser le flacon reprendre sa forme ini-
tiale, c'est-à-dire de permettre le passage de l'air a l'intérieur
du récipient. Etant donné que cette rentrée d'air est réalisée au
travers d'un orifice d'éjection, de petite dimension, il s'ensuit
que l'utilisateur, surtout lorsqu'il s'aglt d'un récipient de
grande contenance, est obligé d'attendre pendant un laps de temps
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relativement long avant d'~tre en mesure d~opérer une nouvelle
vaporisation. En outre, la tête de pulvérisation, peut être éven-
tuellement souillée en cours d~usage, par exemple, quand cette
dernière est mise en contact avec des muqueuses, et la reprise
d'air, opérée par l'intermédiaire de l'orifice d'é~ection pollué,
peut provoquer une contamination du produit liquide restant dans
le flacon.
La présente invention se propose de réaliser un vapo-
risateur, du type ci-dessus mentionné, qui permettre de remédier
aux inconvénients précités. Le dispositif selon l'invention pré-
sente, par rapport aux modes de conditionnement de l'art antérieur,
le triple avantage d'être pratique, rapide ~ mettre en oeuvre par
l'utilisateur et propre. En effet, le vaporisateur proposé est
utilisable dans toutes les positions, la période d'attente entre
deux manoeuvres de distribution successives est réduite au minimum
gr~ce à l'ad~onction d'orifices de reprise d'air de grande dimen-
sion, susceptibles d'etre obturés par une soupape; et enfin, le
rlsque de pollution du liquide ~ distribuer est réduit étant
donné que la reprise d'air ne s'effectue pas par l'orifice
d'é~ection.
La présente invention a donc pour objet un vaporisateur
destiné à assurer la pulvérisation d'un produit liquide, par
exemple, cosmétique ou pharmaceutique, ledit vaporisateur compor- ;
tant un flacon sur le goulot duquel est adaptée une t~te de pulvé-
risation, les parois dudit flacon étant souples de façon que
l'utilisateur puisse, par pression, les déformer pour susciter la
sortie du produit liquide qui y est conditionné, un tube plongeur,
disposé a l'intérieur dudit flacon, et coopérant avec au moins
un orifice d'éjection ménagé dans la tête de pulvérisation,
caractérisé par le fait que le tube plongeur débouche ~ l'intérieur
d'une chambre de pulvérisation dans la paroi de laquelle est
pratiqué le ou les orifices d'éjection, au moins une canalisation
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débouchant dans la chambre de pulvérisation et mettant en commu-
nicat~on la zone de goulot du flacon avec ladite chambre, la t8te
de pulvérisation étant, en outre, percée d'au moins un orifice
de reprise d'air, qui coopère avec une soupape permettant le
passage de l'air extérieur dans le flacon quand on orée une
dépression à 1'intérieur du flacon à la suite d'une manoeuvre de
vaporisation opérée en comprimant les parois dudit flacon.
Dans un mode préféré de réalisation du vaporisateur
selon l'invention, le ou les orifices de reprise d'air a (ou ont)
au total une section de passage supérieure à celle de l'orifice
d'éjection ; les orifices de reprise d'air sont plus proches du
fond du flacon, que le ou les orifices d'éjection; la tête de
pulvérisation est une pièce de forme générale cylindrique,
comportant un ~ond al~.ulaire sur les bordures duquel se raccordent
d'une part, une jupe périphérique de fixation ajustée ~ l'inté-
rieur du goulot et d'autre part, une cheminée centrale qu'entoure
la ~upe précitée, ladite cheminée étant fermée à sa partie supé-
rieure par une paroi dans laquelle est ou sont ménagés le ou les ~
orifices d'éjection; la jupe de fixation est munie, sur sa bordure
opposée à celle où se raccorde le fond annulaire de la tête de
pulvérisation, d'un épaulement annulaire faisant saillie radiale-
ment par rapport à ladite jupe, ~paulement annulaire faisant
salllie radialement par rapport à ladite ~upe, épaulement qui
prend appui sur le rebord du goulot; une pluralité d'orifices de
reprise d'air sont percés dans le fond de la tête de pulvérisation,
les axes desdits orifices étant disposés, de préférence, à des
lnterval].es réguliers concentriquement par rapport à l'axe de la
tête de pulvérisation; le tube plongeur débouche dans la chambre
de pulvérisation sensiblement dans l'axe de l'orifice d'éjection;
le tube plongeur est éguipé d'un embout s'embo$tant à l'intérieur
I de la cheminée centrale et définissant avec celle-ci la chambre de
s pulvérisation, des cannelures étant ménagéeS sur la paroi latérale
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périphérique de l'embout pour constituer avec la paroi latérale
int~rieure de la cheminée, les canalisations qui relient la chambre
de pulvérisation à la zone de goulot du flacon; l'embout cannelé
e~t une piace indépendante du tube plongeur, de forme gén~rale
cylindrique, dans l'axe de laquelle est pratiqué un alésage, le
tube plongeur étant solidarisé de l'embout par engagement de l'une
de ses extrêmit~s à l'intérieur dudit alésage; l'embout cannelé
comporte, sur sa paroi latérale cylindrique et au voisinage de sa
face d'extrémité par où pénètre le tube plongeur, un collet faisant
saillie radialement par rapport audit embout, des entailles
pratiqu~es sur ledit collet venant dans le prolongement des
cannelures; l'embout présente deux cannelures diamétralement
opposées et pratiquées suivant l'une des génératrices de sa paroi
latérale cylindrique; les orifices de reprise:d'air, percés dans
le fond annulaire de la tete de pulvérisation, sont susceptibles
d'être obturés par une membrane souple, faisant office de soupape,
~;~i la surface d'appui de ladite membrane étant constituée par la face
: du ~ond annulaire se trouvant en regard du ~olume intérieur du
flacon; la membrane souple est une rondelle dont le diamètre ex- :
térleur correspond sensiblement à celui du fond annulaire de la
tête de pulvérisation, ladite rondelle étant, d'une part, centrée
autour de l'embout cannel~ et, d'autre part, insérée entre le
collet m~nagé sur l'embout et la zone de paroi correspondante du
fond annulaire; sur la paroi latérale externe du goulot est placé
un filetage destiné a coopérer avec un filetage ménagé sur la
parol latérale intérieure d'un bouchon, pour assurer la fermeture
du flacon vaporisateur.
Il convient de souligner que la plupart des pièces qui
constituent les organes de pulvérisation, c'est-à-dire le tube
plongeur, 1'embout cannelé et la tête de pulvérisation, peuvent
être fabriquées de façon simple, par exemple, par moulage de
matière plastique; leur prix de revient est donc très réduit.
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Un des avantages, que procure le flacon vaporisateur au
cours de sa mise en oeuvre, est qu'il peut fonctionner dans toutes
les positions que désire lui faire occuper l'usager. M~me dans le
cas où le flacon est placé tête en bas, l'utilisateur peut égale-
ment opérer une vaporisation du produit qui y est contenu : le tube
plongeur, qui ne peut plus être alimenté en produit liquide, sert
à amener l'air inclus dans le flacon à l'intérieur de la chambre
de pulvérisation, alors que les canalisations, que définissent les
cannelures de l'embout, avec la paroi de la cheminée, assurent le
passage du liquide du flacon jusque dans la chambre où le mélan~e
eau-air peut être ensuite vaporisé.
Pendant que l'utilisateur exerce un mouvement de compres-
sion des parois souples du flacon, il est à noter que la membrane,
jouant le rôle de soupape, est plaquée contre les orifices de
reprises d'air, empêchant ainsi le passage de l'air contenu dans
le flaco~ au travers de ces orifices. Dès que l'utilisateur
relâche son action, le flacon tend à reprendre très rapidement sa
forme d'origine, grâce au passage aisé de l'air dans le flacon par
les orifices de reprise d'air, qNi ont une grande dimension. Il
est donc possi~le d'effectuer, dans un temps très court, une
nouvelle vaporisation, ce qui n'est pas le cas des dispositifs de
l'art antérieur où la rentrée d'air s'effectue au travers de
l'orifice de pulvérisation qui, en raison de sa fonction, est for-
cément de petite dimension. En outre, cet agencement permet
d'éviter tout rlsque de pollution du liquide conditionné dans le
flacon, puisque la rentrée d'air n'est pas opérée par l'orifice
d'éjection de la tête de pulvérisation qui est susceptible de venir
au contact de surfaces souillées, par exemple, des muqueuses d'un
malade lorsque ce type de vaporisateur est utilisé pour distribuer
des produits liquides pharmaceutiques. En particulier, le vapo-
risateur selon l'invention peut être utilisé pour distribuer des
nébulisations nasales de produits pharmaceutiques liquides. Dans
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ce cas, la partie sup~rieure de la cheminée centrale est formée
de f~çon ~ pouvoir pénétrer dans les n~rines où doit s'effectuer
la nébulisation; dans un tel cas, la paroi qui ferme la partie
supérieure de la cheminée centrale de la t~te de pulvérisation
constitue un embout conique ou tronconique, à l'extr~mité la plus
étroite duquel est pratiqué un orifice d'éjection.
Pour mieux faire comprendre l'objet de l'invention, on
va en décrire ci-après, à titre d'exemple purement illustratif et
non limitatif~ un mode de réalisation représenté sur le dessin
annexé.
Sur ce dessin :
- la figure 1 représente une vue en élévation d'un flacon
vaporisateur selon l'invention;
- la figure 2 représente en coupe axiale et à une plus
grande échelle, le dispositif de pulvérisation adapté sur le
goulot du flacon représenté à la figure l;
- la figure 3 représente, en perspective éclatée, les
différents organes du dispo~itif de pulvérisation de la figure 2;
- la figure 4 représente, en perspective éclatée, les
différents organes d'un dispositif de pulvérisation adapté à la
distribution de nébulisations nasales;
- la figure 5 représente, en coupe axiale, le dispositif
de pulvérlsation de la figure 4.
En ~ !référant aux figures 1 à 3, on voit que l'on a
désigné par 1 dans son ensemble, un vaporisateur selon l'invention.
Le vaporisateur 1 est constitué d'un flacon 2 réalisé en matière
plastlque suffisamment souple pour que l'utilisateur puisse aisé-
~ ment déformer ses parois en vue d'opérer l'éjection du produit
s liquide qui y est conditionné. Le flacon 2 est muni d'un goulot
3, sensiblement cylindrique, dont la paroi latérale extérieure
porte un filetage. Ce filetage est destiné à coopérer avec un
filetage ménagé sur la paroi latérale intérieure d'un bouchon
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qui assure la fermeture du vaporisateur 1, au moment de son
transport ou de son stockage.
Le dispositi~ de pulvérisation, qui équipe le flacon 2,
est constitué par l'assemblage de quatre pièces indépendantes :
une tête de pulvérisation 5, une rondelle 6 faisant o~fice de
soupape, un embout cannelé 7 et un tube plongeur 8.
La tête de pul~érisation que 1'on a désignée par 5 dans
son ensemble, est une pièce de forme générale cylindrique qui
s'a,ju8te à l'intérieur du goulot 3 du flacon. La tête 5 comporte
un fond annulaire 9 percé de quatre orifices 10 de reprise d'air.
Ces orifices 10 sont circulaires et disposés, à des intervalles
réguliers~ concentriquement par rapport à l'axe de la tête 5.
Sur la bordure périphérique du fond 9 se raccorde en équerre une
~ùpe de fixation 11. A la bordure supérieure de la jupe 11, qui
est opposée à celle où se raccorde le fond 9, est aménagé un
épaulement annulaire 12 s'étendant radialement par rapport à la
~upe 11. Sur la bordure interne du fond annulaire 9 se raccorde
une cheminée centrale 13, en forme de cylindre, ouverte du côté
du fond 9 et formée à sa partie supérieure par une paroi dans
laquelle est percé, selon l'axe, un orifice d'éjection 14.
La fixation de la tête 5 de pulvérisation sur le flacon
2 s'effectue par engagement à force de la ~upe 11 dan3 le goulot
3 jusqu'à ce que l'épaulement annulaire 12 vienne en appui sur le
rebord dudit goulot. On observe que les orifices 10 de reprise
d'air sont situés, par rapport au corps du flacon, a un niveau
lnférieur à celui de l'orifice 14 d'é~ection. Il s'ensuit que
les orifices 10 sont protégés de tout contact extérieur au moment
de la mise en oeuvre du vaporisateur.
L'embout cannelé 7 sert à relier le tube plongeur 8 à
la tête 5 de pulvérisation qui vient d'être décrite. Cet embout
est constitué d'une piace moulée en matiare plastique, de forme
générale cylindrique, dans l'axe de laquelle est ménagé un alésage
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15. A l'intérieur de cet alésage, s'engage une extr~mité du tube
8. Au voisinage de la face d'extr~mité par où pénatre le tube 8,
1~embout cannelé 7 comporte un collet annulaire 16 s~étendant
~erpendiculairement ~ l'axe dudit emhout, ce collet représentant
un di~m~tre extérieur supérieur au diamètre interne de la chemi-
née 13. Sur la paroi latérale cylindrique de l'embout 7 et le
long de deux de ses génératrices, sont ménagées deux cannelures 17
diamétralement opposées. Les deux cannelures 17 se prolongent au
niveau du collet 16 par deux encoches pratiquées dans le collet.
L~embout cannelé 7 s~ajoute à l~intérieur de la cheminée 13 et
définit avec celle-ci, une chambre de pulvérisation désignée par
18.
La chambre de pulvérisation 18 communique à la fois,
avec l'air extérieur par l'orifice d'éjection 14, et avec le
volume interne du flacon, d'une part, par l'alésage 15 que prolonge
le tube plongeur 8, et d'autre part, par les deux cannelures 17.
Les cannelures 17 viennent en regard de la paroi cylindrique
interne de la cheminée 13 pour constituer deux canalisations, qui
relient le volume int~rieur du flacon à celui de la chambre 18.
La soupape susceptible d'obturer les orifices de reprise
d'air 10 percés dans le fond annulaire de la tête 5 de pulvérisa-
tion est constituée par une rondelle 6 réalisée en caoutchouc ou
en toute matière souple convenable. La rondelle 6 a pour fonction
de permettre le passage de l'air à l'intérieur du ~lacon, apr~s
une manoeuvre de distribution, c'est-a -dire dès qu'il règne ~
l'intérieur du flacon une certaine dépression et d'empêcher que
l'air contenu dans le flacon ne s'échappe par les orifices 10, au
moment de la manoeuvre de vaporisation. Cette rondelle 6 est d'une
part, centrée autour de l'embout cannelé 6 et d'autre part, insérée
entre le collet 16 et la zone de paroi correspondante du fond
annulaire 9 de la t~te de pulvérisation.
La figure 3 représente le mode d'assemblage du dispositif
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de pulvérisa~ion qui s t adapte sur le goulot 3 du flacon : on posi-
tionne le tube 8 dans l'alésage 15 de 1~embout cannelé ; la
rondelle 6 est enfilée sur 1'embout cannelé et elle est retenue
sur celui-ci grâce au collet 16 l'embout cannelé ainsi équipé,
est solidarisé de la t~te 5 par enfoncement ~ l'intérieur de la
cheminée 13. Dans cette position, la rondelle 6 vient sensible-
ment en appui contre le fond 9 de la tête 5. Le dispositif de
pulvérisation ainsi assemblé est adapté sur le goulot 3 du flacon
préalablement rempli de produit liquide à vaporiser.
Pour effectuer une manoeuvre de distribution, l'utilisa-
teur comprime les parois du flacon, ce qui provoque l'éjection
du produit liquide au travers de l'orifice 14 par l'intermédiaire
du tube plongeur 8 et de la chambre 18. Simultanément, l'air
inclus dans le flacon, qui ne peut pas s'échapper par les orifices
10 de reprise d'air, que la soupape 6 obture, passe dans la chambre
18 grace aux canalisations 17, pour être ensuite éjecté avec le
produit liquide. Dès que l'utilisateur rel~che son action, la
reprise d'air dans le flacon s'effectue par les orifices 10 qui
ne sont plus obturés par la soupape 6 en raison de la dépression
créée à l'intérieur du flacon. Etant donné que cette reprise d'air
s'effectue très rapidement grace aux orifices 10 de grande dimen-
sion, l'utilisateur est en mesure d'opérer après un temps très
court, une nouvelle manoeuvre de vaporisation.
Lorsque le flacon est tête en bas, la pulvérisation
s'effectue selon le processus inverse : les canalisations 17
servent ~ assurer le passage du produit liquide depuis le flacon
~usqu'à la chambre 18 alors que le tube plongeur, qui n'est plus
alimenté en produit liquide, assure le passage de l'air contenu
dans le flacon à l'intérieur de la chambre 18, le mélange liquide-
air de ladite chambre étant ensuite vaporisé par l'orifice 14.
Il convient de souligner que malgré les avantages queprocure le vaporisateur selon l'invention, sa réalisation est
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' particulièrement simple, et son prix de revient est sensiblement
le m~me que celui des dispositifs voisins connus jusqu~ présent.
En se référant maintenant aux figures 4 et 5, on voit
que l'on a représenté un dispositif selon l'invention tout à fait
analogue ~ celui qui correspond aux figures 1 ~ 3, ce dispositif
étant adapté à la distribution de nébulisations nasales. Etant
donné l'analogie de construction entre ce mode de réalisation et
le mode de réalisation précédemment décrit, la description ne
sera pas reprise en détail, et tous les éléments correspondant à
ceux de la réalisation des figures 1 à 3 ont été désignés par les
m~mes références chiffées suivies de l'indice a.
La cheminée centrale 13a de la tête de distribution est
en forme de surface tronconique 20, le tronc de cône 20 a une
section à trois lobes 21 séparés par des rainures 22. La plus
petite base du tronc de cône comporte un orifice de distribution
14a. Le bouchon 4a qui recouvre la tête de distribution 5a com-
porte, dans sa zone centrale, un logement tronconique 23, qui
:
vient s'adapter sur le tronc de cône 20 de la tête de distribution
5a . L'intérleur du logement 23 comporte, à l'extrémité du tronc
de cône, une protubérance 24, qui vient, lorsque le bouchon 4a est
vissé sur le goulot ~ du flacon 2a, s'insérer dans l'orifice
d'é~ection 14a Four ~ assurer la fer~ture ~tanche. De 1~ même
fa~on, le bouchon 4a porte une couronne annulaire à l~vres 25,
qui 8 ~ insère entre la cheminée lla et la cheminée centrale 13a
de la tête de distributlon 5a pour assurer l'étanchéité au cas où
la soupape constituée par la rondelle 6a laisserait passer un peu
du liquide contenu dans le flacon 2a. On constate que cette
variante du dispositif selon l'invention permet de réaliser un
nébullseur nasal transportable, et permet d'éviter toute entrée
de produits souillés dans le flacon lorsque l'embout conique 20
est en place dans une narine de l'utilisateur.
Il est bien entendu que les modes de réalisation ci-
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dessus décrits ne sont aucunement limit~tifs et pourront donner
lieu ~ toutes modifications désirables, sans Sortir pour cela du
cadre de l'invention.