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Patent 2429211 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2429211
(54) English Title: MACHINES MOTRICES RETRO MECANIQUES, POST MECANIQUES ET BI MECANIQUES
(54) French Title: RETRO MECHANICAL, POST MECHANICAL AND BI MECHANICAL DRIVE MACHINES
Status: Deemed Abandoned and Beyond the Period of Reinstatement - Pending Response to Notice of Disregarded Communication
Bibliographic Data
(51) International Patent Classification (IPC):
  • F02B 75/00 (2006.01)
  • F01B 29/00 (2006.01)
  • F01C 01/00 (2006.01)
  • F01C 01/067 (2006.01)
  • F01C 01/10 (2006.01)
  • F01C 01/22 (2006.01)
  • F02B 53/00 (2006.01)
  • F02B 55/00 (2006.01)
  • F02B 57/08 (2006.01)
  • F02B 75/06 (2006.01)
  • F02B 75/22 (2006.01)
  • F02B 75/24 (2006.01)
(72) Inventors :
  • BEAUDOIN, NORMAND (Canada)
(73) Owners :
  • NORMAND BEAUDOIN
(71) Applicants :
  • NORMAND BEAUDOIN (Canada)
(74) Agent:
(74) Associate agent:
(45) Issued:
(22) Filed Date: 2003-05-16
(41) Open to Public Inspection: 2004-11-16
Availability of licence: N/A
Dedicated to the Public: N/A
(25) Language of filing: French

Patent Cooperation Treaty (PCT): No

(30) Application Priority Data: None

Abstracts

French Abstract


La présente invention a pour objet de généraliser sous la forme d'une seule
machine motrice et par conséquent sous la forme d'une seule invention, toute
machine motrice à chambres de compressions fermées. L'on prouvera que, tant du
point de vue de leurs formes, que du point de vue de leurs méthodes de
soutient,
les machines motrices existantes antérieurement à nos travaux, de même que
celles
déjà présentées par nous-mêmes à travers ceux-ci peuvent toutes être comprises
de
façon unifiée, pour ensuite se matérialiser sous de multiples variantes dont
nous
édicterons ici les règles de formation et de combinaison. Parmi ces machines ,
l'on
notera par exemple les machines motrices rétrorotatives, à savoir les moteurs
triangulaires, les polyturbines, les semiturbines différentielles , les
machines à
cylindre rotor , standard , Slinky, à cylindres préiphériques et plu sieurs
autres. La
présente invention aura donc comme objet de montrer de façon unifiée les
principaux types de machines, types de mécaniques de soutient des parties
compressives, types de géométries des parties compressives. Finalement nous
définirons certaines particularités, telles l'utilisation d'engrenages
excentriques,
polycamés, et chevauchés, de même que quelques types spécifiques de techniques
d' équilibrage des soutients e et certains types de gérance de gaz réalisables
par ces
types de machines.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.


Revendications
Revendication 1
Une machine motrice, dont le mouvement des parties compressives est irrégulier
et
celui des parties motrices circulaire et régulier , cette définition excluant
les
machines connues de l'art telle les moteurs à pistons conventionnels, les
moteurs à
pistons orbitals mécanisés de façon standard avec bielle de liaison, les
moteurs
post rotatifs à pales de trois et quatre coté lorsque mécanisés de façon mono
inductive.
Revendication 2
Une machine telle que définie en un, dont le parties compressives sont des
pistons
insérés chacun de façon coulissante dans des cylindres, en ligne, ou
orbitalement
disposés et dont les moyens de ligaturation entre les pistons et cylindre sont
l'un
des suivants:
- la bielle libre
- la coulisse
- la bielle flexible
- le cylindre dynamique oscillant
- l'induction mécanique
Revendication 3
Une machine telle que définie en 1, dont les parties compressives participent
au
mouvement mécanique, les cylindres et pistons étant disposé dans un cylindre
rotor
,d'où l'appellation de machine à cylindre rotor et dont les pistons sont
reliés au
vilebrequin ou à l'excentrique par les moyens ligaturaux suivants:
- la bielle libre
- la coulisse
- la bielle flexible
- le cylindre dynamique oscillant
154

- l'induction
Revendication 4
Une machine motrice , telle que définie en 1 , dont les parties motrices sont
des
pales , ces pales étant disposées rotativement dans le cylindre de la machine
, et
étant reliées
- par droite alternative
- par rotation à l'excentrique ou maneton de la machine
ces deux actions étant contrôlées par induction mécanique.
Revendication 5
Une machine telle que définie en 1 et en 4 dont le nombre des cotés de pale
est
supérieur de un à celui des cylindre, ces machines étant appelées post
rotatives en
général.
Revendication 6
Une machine telle que définie en 1 et en 4 dont le nombre des cotés de pale
est
inférieur de un à celui des cylindre , ces machines étant appelées machine
rétrorotatives en général.
Revendication 7
Une machine telle que définie en 1 et en 4 dont le nombre des cotés de pale
est
réunis en structure palique et est du double de celui des cylindres, ces
machines
étant appelées poly turbines
Revendication 8
Une machine telle que définie en 1 et 4 , dont les cotés de cylindre sont
successivement inégaux et alternativement égaux, ces machines formant une
génération de machines appelées méta turbines
155
- engrenage cerceau postérieur
- engrenages internes juxtaposé
- engrenages internes superposés

- engrenage intermédiaire postérieur
- engrenage cerceau-intermédiaire
- engrenage talon
- engrenage central actif
- engrenage cerceau de pale
- structure engrenagique
- par engrenage excentriques
- par support centralo-périphériques
l'ensemble de ces méthodes formant ce que l'on a nomme le corpus mécanique ,
et
et la machine dont les parties compressives seront mues par l'une d'elles sera
dite
de premier degré
Revendication 13
Une machine telle que définie en 1 , dont les paries compressives sont
supportées
par mono induction post rotative , cette méthode se définissant par les
éléments
suivants , mis en composition :
- un vilebrequin rotativement monté dans la machine
- un engrenage de support, de type externe, monté de façon fixe
dans le flanc de la machine
- une partie compressive, telle une pale muni d'un engrenage de
type interne ,dit engrenage d'induction, montée dans le
cylindre et sur l'excentrique du vilebrequin de telle manière
que les engrenages d'induction et de support soient couplés
Revendication 14
Une machine telle que définie en 1, et 36 , dont les parties sont supportées
par
mono induction rétrorotatives , cette dernière étant une mono induction en
laquelle
l'engrenage de support est interne et l'engrenage d'induction de pale de type
externe.
Revendication 15
157

Une machine , telle que définie en 1 , dont la méthode de soutient des parties
compressives est dite par poly induction , ce type d'induction se définissant
par
deux induction planétaires auxquelles la partie compressive est couplée à
chacune
de ses parts.
Revendication 16
Une machine telle que définie en 1, dont la méthode de support est dite par
engrenage cerceau, cet engrenage étant un engrenage de type interne couplant
les
engrenage d'induction et de support
Revendication 17
Une machine telle que définie en 39 , dont l'engrenage cerceau est remplacé
par
une chaîne
Revendication 18
Une machine telle que définie en 1, dont les engrenages d'induction et de
support
sont couplés indirectement par le recours à un engrenage externe, appelé
engrenage intermédiaire
Revendication 19
Une machine telle que définie en 1, 39 40 , dont l'engrenage unissant les
engrenages d'induction et de support est une composition d'engrenages interne
et
externe, dit engrenage cerceau-intermédiaire
Revendication 20
Une machine telle que définie en 1, 39 40 , dont l'engrenage cerceau n,est par
lié
directement à l'engrenage d'induction mais à un engrenage de lien, lui-même
lié à
l'engrenage d'induction de pale, antérieurement ou postérieurement
Revendication 21
Une machine telle que définie en 1, dont l'engrenage de support est dynamisé
par
le vilebrequin, indirectement par le recours à une semi transmission, cette
méthode
de réalisation se nommant méthode de soutient par semi transmission
158

Revendication 22
Une machine telle que définie en 1 dont les engrenage de support et
d'induction
sont de type interne et sont reliée indirectement par le recours à un
engrenage de
lien , ces engrenages d'induction et de support étant disposé de façon
juxtaposées
ou superposée , d'où l,appellation de ces méthodes par engrenages internes
juxtaposés , par engrenages internes superposés.
Revendication 23
Une machine telle que définie en 1 dont les engrenages de support et
d'induction
de type externes, sont couplées par un seul ou un doublé d'engrenages disposé
dans le talon du vilebrequin , d'où l'appellation de cette méthode de soutient
par
engrenages talon.
Revendication 24
Une machine telle que définie en 1, dont l'engrenage d'induction de pale, de
type
externe , est couplée à un engrenage de support actif central , motivé de
façon
indirecte par le recours à une semi transmission accélérative par le
vilebrequin ,
cette méthode étant nomme par engrenage actif central
Revendication 25
Une machine telle que définie en un, en laquelle la pale est muni d,un
engrenage
d'induction , et supporté par le couplement direct de celui-ci à deux , ou
plus
engrenages , d'ont l'un minimalement motive son aspect orientationel., cette
méthode étant appelée par engrenage cerceau de pale.
Revendication 26
Une machine telle que divulguée en 1, dont la pale est soutenue par un
engrenage
cerceau de pale, monté sur un ensemble d'engrenages dont le centre de rotation
est
excentrique, ces engrenages étant montés sur des axes fixés rigidement dans la
machine, cette méthode étant appelé méthode par structure engrenagique .
159

Revendication 27
Une machine telle que définie en 1 , dont la pale est muni de tiges fixes ,
couplées à
des engrenage d'induction de façon excentrique , ces derniers étant eux-mêmes
couplés à un engrenage se support , cette méthode étant appelé méthode par
engrenages excentriques
Revendication 28
Une machine telle que définie en 1, dont la pale est contrôlée au niveau de
son
positionnement par un excentrique disposé rotativement en son centre, et au
niveau
de son orientation, par un second excentrique , ces excentrique étant motivés
coordonnés par l'une des méthodes ici exposées, cette méthode étant nommée ici
méthode par support centralo périphérioque
Revendication 29
Une machine telle que définie en 1 , dont l'engrenage d'induction de pale, de
type
externe , est couplée à un engrenage de support actif central , motivé de
façon
indirecte par le recours à une semi transmission accélérative par le
vilebrequin ,
cette méthode étant nomme par engrenage actif central
Revendication 30
Une machine telle que définie en un, en laquelle la pale est muni d,un
engrenage
d'induction , et supporté par le couplement direct de celui-ci à deux , ou
plus
engrenages , d'ont l'un minimalement motive son aspect orientationel., cette
méthode étant appelée par engrenage cerceau de pale.
Revendication 31
Une machine telle que divulguée en 1, dont la pale est soutenue par un
engrenage
cerceau de pale , monté sur un ensemble d'engrenages dont le centre de
rotation est
excentrique , ces engrenages étant montés sur des axes fixés rigidement dans
la
machine , cette méthode étant appelé méthode par structure engrenagique .
Revendication 32
160

Toute machine appartenant selon les lois des coté à l'une des génération de
machines ici répertoriée, à savoir rétro rotative, post rotative , bi rotative
Et dont le machines de géométrie Wankle et Boomrerang ne sont que des unités
spécifiques
Revendication 33
Une machine motrice telle que définie en 1,2,3, dont les parties compressives
seront
- des pistons de machine standard
- des machine à structure palique, nommées poly turbines
- des machines à cylindre rotor
- de machines à pistons périphériques
toutes ces machines se définissant comme des machines de type bi- mécanique et
par conséquent de second degré
Revendication 34
Une machine telle que définie en 1 et 8, dont la forme du cylindre et la
capacité de
couple ont été corrigées par l' une des méthodes suivantes :
- par coulisse
- par engrenage cerceau, intermédiaire, ou cerceau intermédiaire
- par dynamisation de l'engrenage de support
- par addition de bielle de géométrie
- par combinaison mécanique
- par engrenages excentrique et /ou polycamés
laquelle machine l'on dira dès lors être une machine de second degré
Revendication 35
Une machine telle que définie en 1 et 10, dont les corrections par combinaison
mécaniques sont faites
- en juxtaposition
- en étagement,
161

et en ce dernier cas, selon qu'elles sont faites avec engrenage de support
orientationnel étagé ou fixe dans le flanc de la machine, l'engrenage
d'induction
orientationnel ou l'engrenage de support orientationnel étant alors
irrégulier, d'où
le nom de polycamé .
Revendication 36
Une machine telle que définie en 1, utilisant seule ou en combinaison, toute
méthode comprise au corpus de méthodes, de telle manière de coupler deux de
ses
engrenages ou plus de façon à utiliser en combinaison des engrenages
excentriques
et/ou polycamés.
Revendication 37
Toute machine de type de deuxième niveau naturel, c'est-à-dire bi mécanique,
dont
la motivation des parties est motivée par l'une des inductions du corpus
mécanique,
de type de premier degré, et est corrigée par l'une des méthodes
de correction plus haut répertoriée , de telle manière de réaliser l,aspect bi
rotatif
de second degré de la machine .
Revendication 38, une machine telle que définie en 1 et 14 , dont parties
compressives sont les pistons , strucures-palique , et dont la méthode de
correction
la plus simple , à savoir l'addition de bielle ou d'excentrique de géométrie
est
produite sur l'une ou l'autre des méthode de soutient de premier niveau
formant le
corpus de telle manière de soutenir totalement l'aspect positionnel des piston
et
pales,
Revendication 39
Toute machine de troisième degré, dont les parties compressives sont soutenues
sur
des parties des second degré subissant une correction, ou sur des méthodes de
premier degrés subissant deux niveaux de corrections du corpus de règles
correction plus haut répertorie
Revendication 40
162

Une machine telle que définie en 1 , et en 14 , dont les mécaniques sont de
façon
naturelle de troisième degré, comme par exemple type Slinky , de type méta
turbine , machine à cylindre rotor post inductive , les machines à cylindre
Ballon.
Une machine telle que définie en 1 et en14 dont le troisième degré est
artificiel, tels
des machines de type poly turbine à cylindre bombée, de machine à bielle
rectiligne oblique, des machines mono inductives, ou bi induction vers à cours
obliques, que l'on aura recorrigée.
Revendication 41
Toute machine ici commentée, faisant intervenir en combinaison deux machine
ici
commentées, telles par exemples, les machines à cylindre rotor post rotatives
ou
rétrorotative, les machines à pistons successifs, les machines à combinaison
de
machines post et rétrorotatives imbriquées.
Revendication 42
Toute machine ici revendiquée, utilisant des engrenages dédoublés de façon
chevauchée.
Revendication 43 toute machine ici commentée, utilisée comme pompe,
compresseur , moteur machine de captation , machine hydraulique,
Revendication 44
Une machine telle que définie en un et soumise au corpus mécanique ici
commentée , dont les parties compressives agissent , en poussée, en traction ,
en
poussée différentielle.
Revendication 45
Toute machine appartenant selon les lois des coté à l'une des générations de
machines ici répertoriée, à savoir rétro rotative, post rotative, bi rotative
Et dont le machines de géométrie Wankle et Boomrerang ne sont que des unités
spécifiques
163

Revendication 46
Une machine dont les parties compressives sont motivées par les méthodes
soumises au corpus, avec ou non des méthodes de correction et dont les parties
compressives sont:
- à piston standard
- à pale
- à structure palique
ces élément étant disposés
- de façon standard
- centrée
- périphérique
les cylindres de ces parties pistonnées sont
- statiques
- dynamiques
- moteurs
l'action de ces parties compressives se faisant par
- poussée
- traction
- poussée ou traction différentielle
ces parties compressives se faisant
- seules
- en combinaisons avec d'autres
toutes et chacune de ces combinaisons étant motivées par les règles du corpus
mécanique et règles de correction plus haut répertoriées.
164

Revendication 47
Une machine, telle que définie en 2, et 8 , dont la forme du cylindre est post
ou
rétro rotative , et dont l,action motrice est produite différentiellement
entre les
pales, réalisant une machine dite machine différentielle poly inductive
Revendication 48
Une machine telle que définie en 1, 2, et 8, dont les points de rattachement
des
pales sont en périphérie et dont les points de motivation motrice, est réalisé
poly
inductivement au centre de la machine , cette machine étant dite machine
Antiturbine
Revendication 49
Une machine telle que définie en 1, 2, dont la forme mono inductive à été
corrigée
à deux reprise, ou encore dont la forme naturelle du cylindre et de la course
des
pièces , nécessite trois moyens de support , telle une métaturbine, l'une ou
l'autre
de ces machines étant décrite comme étant une machine de troisième degré
Revendication 50
Une machine telle que définie en 1, 2, et 14 , dont les moyens de compression
sont
des pistons , pales simples , ou structure pales
Revendication 51
Une machine telle que définie en 1 , 2, utilisant pour soutenir l'axe de ses
engrenages un manchon de vilebrequin terminé en fourchette
Revendication 52
Une machine telle que définie en 1 et 2 , dont les parties compressives et
mécaniques sont séparées par une mur d'étanchéité , par exemple, circulaire et
rotatif ,et pouvant servir à la fois de valve rotative.
Revendication 53
165

Une machines telles que définie en 1 et 2 , utilisant des engrenages dits
engrenages
chevauchés
Revendication 54
Une machine, dont les mécaniques sont étagées et dont l'engrenages de support
extérieur polycamé , si l'engrenage de pale est régulier et inversement .
Revendication 55
Une machine telle que définie en 1 , dont les paries compressives sont
supportées
par mono induction post rotative , cette méthode se définissant par les
éléments
suivants , mis en composition:
- un vilebrequin rotativement monté dans la machine
- un engrenage de support, de type externe, monté de façon fixe
dans le flanc de la machine
- une partie compressive, telle une pale muni d'un engrenage de
type interne ,dit engrenage d'induction, montée dans le
cylindre et sur l'excentrique du vulebrequin de telle manière
que les engrenages d'induction et de support soient couplés
Revendication 56
Une machine telle que définie en 1, et 36 , dont les parties sont supportées
par
mono induction rétrorotatives , cette dernière étant une mono induction en
laquelle
l'engrenage de support est interne et l'engrenage d'induction de pale de type
externe.
Revendication 57
Une machine , telle que définie en 1 , dont la méthode de soutient des parties
compressives est dite par poly induction , ce type d'induction se définissant
par
deux induction planétaires auxquelles la partie compressive est couplée à
chacune
de ses parts.
Revendication 58
166

Une machine telle que définie en 1, dont la méthode de support est dite par
engrenage cerceau, cet engrenage étant un engrenage de type interne couplant
les
engrenage d'induction et de support
Revendication 59
Une machine telle que définie en 39 , dont l'engrenage cerceau est remplacé
par
une chaîne
Revendication 60
Une machine telle que définie en 1 , dont les engrenages d'induction et de
support
sont couplés indirectement par le recours à un engrenage externe , appelé
engrenage intermédiaire
Revendication 61
Une machine telle que définie en 1 , 39 40 , dont l'engrenage unissant les
engrenages d'induction et de support est une composition d'engrenages interne
et
externe , dit engrenage cerceau-intermédiaire
Revendication 62
Une machine telle que définie en 1 , 39 40 , dont l'engrenage cerceau n,est
par lié
directement à l'engrenage d'induction mais à un engrenage de lien , lui-même
lié à
l'engrenage d'induction de pale, antérieurement ou postérieurement
Revendication 63
Une machine telle que définie en 1 , dont l'engrenage de support est dynamisé
par
le vilebrequin , indirectement par le recours à une sema transmission, cette
méthode
de réalisation se nommant méthode de soutient par semi transmission
Revendication 64
Une machine telle que définie en 1 dont les engrenage de support et
d'induction
sont de type interne et sont reliée indirectement par le recours à un
engrenage de
167

lien, ces engrenages d'induction et de support étant disposé de façon
juxtaposées
ou superposée, d'où l'appellation de ces méthodes par engrenages internes
juxtaposés, par engrenages internes superposés.
Revendication 65
Une machine telle que définie en 1 dont les engrenages de support et
d'induction
de type externes, sont couplées par un seul ou un doublé d'engrenages disposé
dans le talon du vilebrequin, d'où l'appellation de cette méthode de soutient
par
engrenages talon.
Revendication 66
Une machine telle que définie en 1, dont l'engrenage d'induction de pale, de
type
externe, est couplée à un engrenage de support actif central, motivé de façon
indirecte par le recours à une semi transmission accélérative par le
vilebrequin,
cette méthode étant nomme par engrenage actif central
Revendication 67
Une machine telle que définie en un, en laquelle la pale est muni d,un
engrenage
d'induction, et supporté par le couplement direct de celui-ci à deux, ou plus
engrenages, d'ont l'un minimalement motive son aspect orientationel., cette
méthode étant appelée par engrenage cerceau de pale.
Revendication 68
Une machine telle que divulguée en 1, dont la pale est soutenue par un
engrenage
cerceau de pale, monté sur un ensemble d'engrenages dont le centre de rotation
est
excentrique, ces engrenages étant montés sur des axes fixés rigidement dans la
machine, cette méthode étant appelé méthode par structure engrenagique.
Revendication 69
Une machine telle que définie en 1, dont la pale est muni de tiges fixes,
couplées à
des engrenage d'induction de façon excentrique, ces derniers étant eux-mêmes
couplés à un engrenage se support, cette méthode étant appelé méthode par
engrenages excentriques
Revendication 70
168

Une machine telle que définie en 1, dont la pale est contrôlée au niveau de
son
positionnement par un excentrique disposé rotativement en son centre, et au
niveau
de son orientation, par un second excentrique, ces excentrique étant motivés
coordonnés par l'une des méthodes ici exposées, cette méthode étant nommée ici
méthode par support centralo périphérioque
169

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.


CA 02429211 2003-05-16
DiVUI~~ tlOü
Dans la présente invention, nous entendons montrer que toute machine motrice à
chambre fermée, réalisée sous forme de moteur, compresseur, pompe, machine de
captation, peut être entendue sous une méme et unique définition, déf nition
qui
permet, de façon générale de préciser la fonction des parties compressives,
par
rapport à la fonction motrice.
Nous montrerons donc plus abondamment que toute parties motrices d'une
machine motrice peuvent être régie par un corpus mécanique unifïé, et que
toute
forme de géométrie de partie compressive, quelle qu'elle soit, pourra être
motivée
correctement par Iedit corpus mécanique .
f1 travers la présente divulgation, nous montrerons par conséquent les régler
de
variation de cette définition uniiïée, et nous montrerons par conséquent que
les
machines de l'art antérieur, telle les moteurs à pistons et rotatifs, ne sont
que des
cas particuliers de cette définition génërale.
Pour les fins de cette divulgation , nous ferons donc par conséquent, à titre
exemplaire intervenir de façon réguliére ces deux types de machines , de même
qu' un ensemble de brevets et demandes de brevets antérieures , du présent
inventeur, et dont une partie sera soumise en priorité. ~'o e on le verra ,
l'ensemble de possibilités de machine est de beaucoup plus large mais
demeurera
synthétique. L'ensemble de brevets et demandes de brevets du même inventeur
antérieur à Ia présente et nécessaire à Ia bonne compréhension de celle-ci est
donc
nécessaire à la bonne compréhension de la présente. .Nous soumettons cette
liste à
la fin de Ia présente divulgation, et séparant à celle-ci les demandes de
brevet qui
au surplus sur lesquels est demandé la priorité pour les présentes .
L' ensemble des demandes constituant les demandes de priorité de la présente
et
nécessaire à la bonne exposition de la présente sont les suivantes ;,
Brève récapitulation des machines motrices de base antérieures à nos propres
travaux
En observant l'art antérieur en atiére de machines motrices, et si l'on met à
l' écart les moteurs dits moteurs à réaction, l' on peut par Ia suite
düstinguer
3

CA 02429211 2003-05-16
principalement deux grandes catégories de machines motrices, que l'on peut
désigner de Ia façon suivante
a) les machines à parties compressives à mouvement rectiligne
b) les machines à parties compressives à mouvement autres que
rectilignes, circulaires. et non circulaires
Bien entendu, de façon générale, les machines dont les parties c~~~npressivcs
ont un
mouvement à action rectiligne alternatif sont machines dont les parties
compressives sont réalisées avec l'aide de pistons cylindriques, alors que les
machines dont le mouvement des parties compressives est non rectilignes sont
des
machines soit à pales, ou soit encore à combinaison de pales, ce que l'on a
déjà
nommé antérieurement structure palique. En dernière analyse, l' on notera que
nos
machines de type différentielles, dans Ieur forme la plus simple, sont
réalisées avec
l'aide de pales, ces dernières ayant cependant un mouvement parfvaitement
circulaire, mais corrigé en vitesse , ce qui produit f action motrice.
Ces deux grands types de machines sont donc déjà connus pour leurs variantes
de
bases qui sont, pour les machines motrices à pistons :
a) les machines à pistons standard (Fig. l a )
b) Ies machines à disposition dc piste>ns de type orbital
(Fig. 1 b)
et pour les machines à pales
a) les machines à pale post rotative (F ig. 1 c ,d ) dit généralement
sous leur forme moteurs , les moteurs anl~l~;
et finalement les machines à structure palique
a) les machines à structure palique (Fig. 1 e ) dont les premières
parties compressives ont été inventées par VVilson ( 197 )
gb1521~69a
4

CA 02429211 2003-05-16
Récapitulation de nos travaux antérieurs
Nos travaux antérieurs ont montré que l'on pouvait concevoir différemment les
parties compressives d'un moteur à piston, en insérant les pistons dans ce que
nous
avons nommé un cylindre rotor (Fig.2a)
Dans cette conception originale, respectant la définition générale présente
plus
haut, d'on a montré que l'on pouvait obtenir les différenciation des parties
compressives par la différence de deux parties compressives agissant en
combinaison , par opposition aux moteurs conventionnel standard ou orbital, en
lesquels les cylindre sont fixes.
D'unc autre manière, dans nos premiers Travaux relatifs à des machines
motrices,
cette fois-ci à pale, nous avons montré que l' on pouvait produire des
machines dont
les parties pistonnées étaient des pistons culbuteurs à ~~nouvement
alternatifs,
montés sur un noyau rotatif de la machine.( Fig. 2 b) , ou encore des pale
montées
de façon rotativo- coulissante dans le noyau et le cylindre de la machine (
Fig.2 c)
Finalement, dans des travaux plus récents, nous avons montré que l' on pouvait
concevoir une nouvelle génération de machines que nous avons nommées machines
rétrorotatives , dont l' image la plus élémentaire était le moteur
triangulaire
~oomrerang ( fig. 3 a ) l' on trouvera le détail des premières rëalisation de
ces
machines dans notre brevet titré ll~Icachine énergétique ~ p~ly induction "
Toujours préalablement aux présentes, nous avons aussi mis en évidence que les
machines de type poly turbines, dont le premier à avoir présenté le type de
pales
ainsi organisées en structure palique ëtait Wilson ,( 197 ) étaient des
machines de
type bi-rotative, ce qui a permis de montrer diverses méthodes pertinentes de
mécanisation des parties compressives , qui s' étaient avérées jusqu' alors
méconnues du domaine de la motorologie. ( fig. 3 b ) L'on trouvera le détail
de
ces premières structures de soutient adéquates dans notre demande de brevet
titrée
l'oly turbine énergétique et antirefoulement
Toujours préalablement aux présentes, nous avons montré que les méthodes poly
inductives permettaient de varier des parties compressives castre elles, cette
fois-ci
dans leur vitesse et non dans la forme de leur course, de telle manière de
réaliser
des compressions et dilatations nécessaires à la combustion et à l'expansion
(Fig. 3
c)

CA 02429211 2003-05-16
Finalement, nous avons aussi montré que les machines de base, tout autant post
rotatives, rétro rotative et birotatives, n'étaient que les figures les plus
élémentaires
de générations de figures pour chacune des catégories , pour lesquelles nous
avons
donné les règles de formation des rapports du nombre de cotés des pales par
rapport
à celui des cotés de cylindres (Fig. 4
Dernièrement , notons que nous avons énoncé, aussi préalablement aux
présentes,
plusieurs méthodes de soutient mécaniques des parties compressives de ces
machines , méthodes que nous avons séparées, comme nous le montrerons ici plus
précisément en méthodes par observation extérieure et méthodes par observation
intérieures.
L'on peut répertorier les méthodes déjà exposées dans nos brevets et demandes
de
brevets antérieures de la façon suivante
A ) Les méthodes exposées par nous-même antérieurement aux
présentes et qui sont les suivantes :
- mono induction post rotative
- mono induction rétrorotative
- poly induction post rotative
- poly induction rétrorotative
- semi transmission
- par engrenage cerceau
b) Les méthodes déjà exposées par nous-mèmes dans les demandes de
brevets participant aux demandes en priorité aux présentes de la façon
suivante,
ainsi que les méthodes exposées aux présentes et qui sont Ies suivantes
engren~.ge cerceau antérieur
- engrenà.ge cerceau postérieur
- engrenages internes juxtaposé
- engrenages internes superposés
- engrenage intermédiaire
- engrenage intermédiaire postérieur
- engrenage cerceau-intermédiaire
- engrenage talon
- engrenage central actif
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engrenage cerceau de pale
structure engrenagique
par engrenage excentriques
Les objectifs de la présente invention sont, d'une part, de montrer qu'en
additionnant de nouvelles solutions techniques permettant de soutenir les
parties
compressives de machines post, rétro et birotatives a celles déjà élaborées
par
nous-mêmes, antérieurement aux présentes, l' on obtient un corpus mécanique
complet, qui non seulement permettra de réaliser de dïverses façon la
mécanique
d'une même machine , mais qui de plus, pe~°mettra par la suite de
soutenir tout
genre de partie compressive de toute machine à parties compressives fermées ,
qu'elle soit à piston ou ia pale .
L' unification du corpus mécanique permettra donc non seulement de saisir en
totalité les possibilitës de mécanisation d'un même machine, mais aussi de
montrer,
de façon unifiée, que toutes les variantes possibles de parties compressives
de
machines motrices peuvent être motivées par ce même corpus, et ce fait être
considérées comme des varïantes d'une seule et même machine motrice.
Les spécificités et généralisations divulguées à la présente demande
montreront
même, que du point de vue mécanique, il n'y a pas de différence fondamentale
entre les machines à pistons et à pale et qu'elles relèvent toutes d'un même
corpus
mécanique et sont pour cela unifiées sous l' idée générale de machine motrice.
Un
autre des objectifs de la présente invention est de spécifier que cette idée
générale
de machine se subdivise ensuite en catégories, qui elles-mêmes se subdivisent
en
variantes et ainsi de suite, formant un vaste ensemble de sous macrhines
relevant
toutes d'une même machine. Une dernière idée de la présente invention est de
montrer que diverses réalisations de type de parties compressives peuvent être
produites et mécanisées toujours à travers le même corpus mécanique et peuvent
pour ces raisons faire partie de la présente généralisation et unification.
En effet, l'objectif de la présente invention est de montrer que les parties
compressives de toutes les machines, qu' elles soient à cylindre rotor, à
pales
coulissantes, les machines de type poly rectiligne dites Slikke, les machines
Rectilignes périphériques, simples ou polycamés, les machines de type Semi
turbines polycamée, les machines de type Antiturbines, les machines à
Explosion
centrale, les Machines hybrides pures, les machines de type Poly rotatif ,
peuvent
toutes, puisqu'elle peuvent être supportées par des structures mécaniques
identiques, être considérëes comme des machines poly inductives ( Fig. 5 )
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De même es sera.-t-il des machines , issues de composition ou de combinaisons
de
ces machines , comme par exemple , Ics serai turbine et poly turbines à
traction, les
machines de type métaturbines, les machines à cylindre rotor poly inductives ,
les
machines Auto pompées, les machines rotatives périphériques. (Fig. 6) .
Ayant montré l'ensemble des méthodes de soutient des machines., l'ensembles
des
machines, le dernier objet de la présente invention sera évidemment de montrer
que
toutes ces méthodes de soutient s'appliquent à toutes ces machines, ce qui
garantit
L'homogénéité de la présente non seulement de la présente invention, mais
aussi de
l'ensemble de notre travail sur et objet.
Différences fondamentales entre les machines motrices à parties compressives
rectili nes ; et les machines à parties compressives non rectilignes.
L' on notera cn tout premier lieu que ce qui caractérise et distingue les
machines à
pistons des machines à pale est en fait une différence d'abord géométrique ,
les
premières se caractérisant par un mouvement de partie compressive alternatif
et
rectiligne et les secondes par un mouvement non rectiligne. Fort de cette
distinction, iI apparaît par la suite évident de mentionner Les deux points
importants
suivants
a) la rectiligne-alternative doit être entendue comme la f gare limite
des figures rétro rotatives, ou encore birotatives, et de ce fait, la
réalisation mécanique d'un rectiligne peut, comme nous le
montrerons abondamment aux présentes, correctement être
produite par toutes les méthodes formant le corpus mécanique ici
démontré et permettant de supporter correctement toute partie
compressive dc toute machine à combustion interne. Cet argument
permet d'édicter que les machines à pistons et à pales relèvent d'une
même machine générale.
b) La réalisation Ia plus standard des machines motrices à action
compressive rectiligne est celles produite, pour des raisons de
facilité de segmentation, par pistons, alors que les machines
motrices à parties compressives non rectilignes sont produites à
pale. (Fig. 8 )
8

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Les machines à parties compressives à pistons
Les machines motrices à parties compressives à pistons se caractérisent
généralement par une partie interstice entre le piston et le maneton ou l'
excentrique
du vilebrequin. La fonction principale de cette partie interstice, o~.a partie
ligaturale,
est non seulement d'unir mécaniquement ces deux parties, mais aussi
d'effectuer la
correction géométrique entre le mouvement dynamique rectiligno-alternatif du
piston, et le mouvement circulaire du vilebrequin .Cette partie, que l'on dira
interstice ou ligaturale est généralement réalisée, dans le moteur est
compresseur de
ce type, sous la forme d'une bielle libre. (Fig. ~ j
IJne deuxième caractéristique de ces types de machines consiste en ce que l'
on
pourrait appeler l'orientationalité de la partie compressive est aussi laissée
libre,
mécaniquement. En effet, l'orientation du piston est ~htenue par ;>on
insertion, de
façon coulissant dans le cylindre. Quant à son aspect positionnel, il est
partiellement assuré par le coulissement du piston dans le cylindre. En effet,
sans ce
coulissement, l'orientation et le positionnement du piston seraient tout à
fait
aléatoires par rapport à l'action circulaire du vilebrequin. L'action
coulgssantc du
piston dans le cylindre réalise donc, sans friction indue,une participation
essentielle
au mouvement mécanique, et permet ainsi un appréciable économie de pièces ,
lorsque construite avec un seul piston. En effet, la possibilité, dans ce type
de
machine, de réparéir également le pressïon de chaque coté de la partie
compressive,
le piston, a certes contribué à permettre un mécanisation simplement réelle
simplement partielle de celle-ci, ce qui a permis de minimiser le nombre de
piéces
de fabrication, par rapporé aux machines en lesquelles l'on doit assurer la
totalité du
mouvement positionne) et orientationnel.
Les machines à parties compressives non rectilignes sont généralement
caractérisées par les deux assertions suivantes
aj ces machines, au contraire des premiéres, ne comportent pas de
parties ligaturales entre les excentriques ou manetons de celles-
ci et les parties compressives, et par conséquent une partie de la
différence du mouvement circulaire du vilebrequin et non
circulaire de la pale est déportée sur l'aspect orientationnel des
extrémités de la pale, ce qui a pour conséquence la réalisation de
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ces machines avcc un cylindre non régulier, comme on l'a déjà
montré dc diverses formes.
b} Pour ces raisons, ces machines sont généralement réalisées avec
l'aide de pale, ou de structure palique, puisque les cylindrc en
sont irrégulières.
En effet , les parties compressives dcs machines à parties compressives non
rectilignes , soit les pales, sont en général rattachées rotativement
directement à
l'excentrique du vilebrequin . Ce couplage direct a pour principal effet de
déporter
les différences de mouvements des parties mécaniques et compressives sur
l'aspect
orientationnel de celles-ci, cc qui par conséquent force la réalisation de ces
machines avec un cylindre de forme irrégulïère , cette forme absorbant
justement
cette différence.
Contrairement donc à ce qui se passe dans lcs machines à parties compressives
à
action rectilignes, les actions des extrémités des pales sont irrégulières ct
inégales
l' une par rapport à l' autre.
Pour réaliser adéquatement ces achincs iI faut donc, règle générale, réaliser
non
seulement un contrôle positionne) de la partie compressive, mais aussi un
contrôle
orientationnel. Ceci peut être réalisé à la limite, en se servant du cylindre
comme
excentrique interne. Par souci cependant de réaliser la machine sans
frottement
dans les parties gazéifiées, plusicurs mécaniques peuvent âtre, comme nous l'
avons
montré et le montrerons une fois de plus, utilisées avec d' excellents
résultats. .
Définition de base
Les dcux ensembles généraux de machines motrïces que mous venons brièvement
de préciser nous permettent d'énoncer ici une définition de base qui demeurera
invariable nous seulement pour ces deux ensembles, mais pour toute machine
motrice à chambres d' expansion fermées.
En effet, l'on peut définir une m~ccine motrice c~mme étant un machine ayant
la propriété de trcans~'ormer un mouvemcnt non circulaire, ou encore
cireulc~ire

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mais non régulier des parties compressives, en un mouvement circulaire
régulier
des parties »zotrices.
Bien que les exemples les plus simples de cette définition soient certes
a) le moteur à pistons conventionnel
b) les moteurs à pales de base, soit le moteur rotatifs conventionnel, et le
moteur triangulaire Boomerang
L' on peut déterminer deux grandes classes de machines motrices, selon qu'
elles
sont à action rectiligne des parties compressives, donc à piston, ou à action
semi
rotative, donc à pale ou à structure palique. Il est important en effet de
souligner
que 1a précédente définition n' est pas limitée à ces seules unités de l' art
antérieur ,
mais est plutôt un définition générale qui permettra d'entendre , sous une
même
désignation , correctement toute machine motrice aux parties cylindres
fermées.
Compréhension de la définition
Une telle définition sous entend que l' on a nécessairement construit une
méthode
mécanique de modification du mouvement non régulier en forme ou en vitesse, du
mouvement régulier de rotation des parties motrices.
La règle de base de toute machine demeure donc la méme. Ainsi donc, dans les
machines à pistons, standard et de type orbïtal, standard , le mouvement
rectiligne
alternatif du piston est transformé en mouvement circulaire . D'une autre
manière ,
dans le cas des machines dites à cylindre rotor , en lesquelles les pistons
sont
verticaux , horizontaux , ou horizontale- périphériques , le mouvement
alternatif
rectiligne du piston est aussi en partie circulaire et se différentie aussi ,
d'une autre
manière du mouvement parfaitement régulier et circulaire du vilebrequin , (
Fig. 7 d
e ) Dans le cas des machines post et rétro rotatives , le mouvement des
parties
compressives est irrégulier dynamiquement et géométriquement se différentie du
mouvement circulaire du vilebrequin.
Comme nous venons de le constater, la particularité des machines à pistons est
de
produire un contrôle mécanique du piston dont une importante partie est
produite
par les parties cylindrées. En effet, dans ces machines , le cylindre
participe à la
fois aux aspects de contrôle positionne) et de contrôle orientationnel des
pistons ,
et cela tout en réalisant un niveau de friction minimal, ce qui ne peut être
le cas
11
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dans le machines à pale. Mais, cela n' empêche nullement la défirlltion de
base que
nous venons de donner, mais, permet simplement de comprendre le cas
particulier
de ces machines, offrant la possibilité de les réaliser en se passant de
méthodes
mécanique de soutient des parties exactes et autonomes, sans conséquences
désastreuses. Comme nous le verrons plus loin , si l'on devrait supporter
mécaniquement totalement le piston , et cela sans aucune aide du cylindre , l'
on
verrait que les machines à piston, d' apparence si simple , sont en fait , des
machines nécessitant d'importantes technologies.
Méthodes mécaniques de base des machines à pistons
En ce qui a trait aux machines à parties compressives par pistons,
énonçons dès à présent que l'on peut répertorier six méthode mécanique de
couplage des parties irrégulières de compression aux parties régulières de
motorisation, et que l'on peut nommer de la façon suivante
a) par bielle libre de lien
b) par coulisse
c) par flexion
d) par cylindre oscillant
e) par induction mécanique rétrorotative
par induction bi rotative
La plus connu de ces méthodes est certes celle que l'on a nommée par bielle de
lien. Dans les moteurs à pistons conventionnels, en effet, une bielle unit les
mouvements purement rectilignes alternatifs des pistons aux mouvements
circulaires des manetons du vilebrequin. ( Fig. 9 a)
Une deuxième manière de réaliser le couplage des mouvements différentiels des
pistons et du vilebrequin est réalisé par ce que l'on nommera la correction
coulissante ( Fig. 9 b ) I'on retrouve abondamment ce précédé , par exemple
dans
les scies sauteuses .
Une troisième manière de réaliser les corrections des deux formes de f gares
réalisées par les parties compressives et celle du vilebrequin sera dite par
flexion.
Fig. 9 c ) En ce cas, les différences de figure des mouvements seront
absorbées par
l'a flexion de la pièce les unissant. Une telle méthode, plus difficilement
applicable
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dans des machines motrices demandant un effort plus considérable, mais pourra
être appliquée avec suces dans des machines motrices ~ plus faible rendement.
Une quatrième maniére de réaliser le couplage adéquat des parties compressives
aux parties mécaniques (Fig. 9 d ) sera dite la méthode par mono induction
mécanique , dont pour le moment nous ne mentionnons que la méthode dite par
mono induction rétro-rotative. Nous avons montré cette méthode dans notre
brevet
intitulé Machines é~e~°gétiques ~ p~ly inducti~~a
Dans cette manière de procéder, l' on monte sur le maneton d' un vilebrequin
un
excentrique muni d' un engrenage que l' on dira engrenage d' induction, cet
engrenage étant couplé â un engrenage de support, de type interne, et de deux
fois
sa grosseur, ce dernier étant monté rigidement dans le coté de la machine: Cet
arrangement permettra de réaliser un mouvement parfaitement rectiligne et
alternatif de l'excentrique d'induction, auquel sera relié le ou les :pistons.
Une autre maniére sera dite la méthode par bi rotativité. Cette méthode,
quoique
permettant, comme précédemment de contrc~ler l'aspect positionrfel du piston
ne
permet par de contrôler l'aspect orientationnel, qui nécessite encore le
coulissement
ce de celui-ci à travers le cylindre.
(Fig. 9 e)
Une dernière manière de corriger les différences de mouvement entre le
l'action du
piston et l'action du vilebrequin sera de permettre l'oscillation alternative
du
cylindre dans lequel travaille le piston.
(Fig. 9 f)
Jusqu'à présent, nous avons montré
a) comment diverses maniéres de combiner les mouvement irréguliers,
rectilignes alternatifs, des parties compressives aie type pistons aux
mouvement circulaires des manetons ou excentriques de vilebreq~üin. Nous
avons donc pu, â partir d'une définition générale , donner les principaux
critéres de distinctions des machines ~ pistons et des machines â pales.
b) I~' on â ensuite montré, plus précisément pour les machines à pistons, qu'
il
existant divers moyens ligaturaux permettant Ie transfert des mouvements
alternativo rectiligne des pistons au mouvement circulaire d.u vilebrequin.
L' on montrera plus abondamment plus loin que toutes ces maniéres
s'appliquent â tous le types de moteurs à pistons, qu'il soient de type
orbital,
à cylindre rotor , vertical ou horizontal et ainsi de suite .(Fig.10)
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c) Dernièrement nous avons montré que diffërentes géométries de machines à
pistons étaient possibles, géométries qui entraînaient des différences entre
la
formation des mouvements alternatifs des pistons dans différentes machines à
pistons.
Ces unifications et différentïations nous permettent, déjà à ce stade
d'énoncer que
plusieurs variantes, spécifiques selon qu'elles sont à pistons ou à pales,
selon les
moyens ligaturaux utilisés, et selon la géométrie plus spécif que de leur
parties
compressives, répondent de la définition générale que nous avons mise de
l'avant
au débit de cette exposition.
Nous sommes donc en mesure de dresser un premier tableau. Il est à noter que
nous
avons placé un x sur les unités faisant à notre connaissance partie de la
propriëtë
publique. Ces unités ne sont présentées que de telle manière de confirmer à la
présente à une homogénéité, mais selon bien entendus soustraites, à nos
revendications, de toute prétention à quelque propriété intellectuelle en ces
matières.
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<IMGS>

~..
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Méthodes de soutient de base des machines à pales simples
Les prochains propos auront pour objet de bien clarifier les rapports que les
machines de type à pales établissent entre les éléments et par conséquent ce
qui les
distingue, géométriquement des machînes à pistons .L' argument suivant doit
être
retenu comme étant la base de notre conception. Dans les machines à pales de
base,
les moyens ligaturaux tels la bielle correctrice, sont soustraits et par
conséquent, la
partie compressive, réalisée sous forme de pale, est montée avec une
coordination
très déterminée rotativement et directement sur le maneton du vilebrequin .
Par
voie de conséquence, une parue des différences entre le mouvement du
vilebrequin
et celui de la pale est réalisée sous forme de combinaison de rotation de la
pale,.à la
fois positionnelle, et orientationelle,.
Par conséquent, puisque le cylindre absorbe, par sa forme spécifique, en
partie Ies
différences entre le mouvement de la pale et celui du vilebrequin
Les deux principales méthodes de combinaison entrc ces éléments dont
a) la coulisse (Fig. 11 )
b) l' induction mécanique, dont la méthode de base est par mono
induction (Fig.l2)
La coulisse
Comme précédemment, la coulisse peut être utilisée comme moyen de ligature des
deux mouvements des parties compressives et motrices de Ia machine.
Il ressort donc que les méthodes ligaturales présentées dans les premiéres
pages de
cet exposé, comme par exemple Ia coulisse, sont ainsi. applicables aux
machines à
pales, ce qui confirme l'homogénéité de toutes machines. Cependant, même si
les
machines à pales peuvent accepter des moyens Iigauraux, telles des parties
coulissantes, lorsqu'elles sont produites pour des utilisations qui ne
requièrent que
peut d'effort, iI demeure que lors de machines réalisées en vue d'un effort
appréciable, l'on doit viser à produire des mécaniques qui assurent un
contrôle total
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de la pale, tout autant positionnel que orientationnel . La raison est, comme
nous
l'avons déjà mentionné, que les parties contraire des surfaces des parties
compressives sont soumises à des actions différentes qui ne peuvent résulter
d'une
poussé égale, comme c' est le cas dans Ies machines à pistons.
L' induction mécanique
)3ous montrerons abondamment dans le présent exposé que plusieurs méthodes de
soutient adéquates des pales de machines à pales sont possibles, et forme un
corpus
mécanique complet, non seulement applicable à ces machines, mais à toute
machine motrice.
Pour le moment, dans cette partie de notre exposé, nous nous contenterons de
mentionner que ïes pales des machines motrices peuvent être totalement
contrôlées
et motivées, autant positionnellement , qu'orientationellemcnt, tel qu'il en
apparaît
dans l' art antérieur des moteurs Wankle , ou encore dans nos moteurs
trïangulaires ,
les uns étant gouvernés par mono induction post rotative, et les second par
mon~
induction rétrorotative. Ces exemples nous emmènent directement à l'objet de
notre
prochain propos, qui portera sur les grandes classes de machines à pales.
Les grandes classes géométriques de machines à pales
Machines à pales simples
de forme a ~post9
b) rétro rotatives
Définitions de termes
Comme nous l'avons déjà mentionné, les machines motrices à pales sont
spécifiques par le rattachement direct des parties compressives aux parties
motrices, ce qui entraîne un déportement des différentiations des mouvemcnts
entre
parties compressives et parties mécaniques vers l'extérieur du système, et par
conséquent l'obligation de réaliser les machines avec des cylindres
irrégulier,
rappelant, quoique arrondies, des formes géométriques de bases .
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Les prochaines explications auront pour objet de montrer que Ies machines à
parties compressives à mouvement non rectiligne, donc à pales , peuvent étre
différentiées puis classifiées comme machines rétro-rotatives , machines post
rotative ou machines bi rotatives selon certains critères à la fois mécaniques
et
géométriques..
Pour faciliter Ia compréhension, nous amorcerons I' exposition par les
différences
que l' on retrouve tout d' abord au niveau mécanique lors de Leur réalisations
dans
leur forme la plus élémentaire, c°est-mà-dire par le biais d'une
mécanique dite par
mono induction.
LTne premiére version des machines motrices de type post inductive, dont les
parties
compressives sont soutenues par mono induction post rotative nous est donnée
dans le bien connu Moteur Rotatif , dit Moteur Wankle , du nom de son
inventeur. .
Dans ce type de machine, une pale triangulaire, munie d'un engrenage interne,
est
montée sur I' excentrique d' un vilebrequin de telle manière que I' engrenage
de la
pale, que l'on nommera engrenage d'induction soit couplé à un engrenage de
type
externe, disposé rigidement dans le flanc de la machine et que l'on no era
engrenage de support.
Par ailleurs, dans nos travaux relatifs aux moteurs triangulaires, dits
moteurs
Boomerang , nous avons aussi émis la possibilité que ceux-ci pouvaient étre
réalisés par un méthode de mono induction , comprenant comme précédemment
,engrenage d,induction et engrenage de support. Cependant, l'on notera un
différence fondamentale entre ces deux types de mono induction par Ies types
d'engrenages employés. En effet, alors que dans le moteur V~lankle ,
l'engrenage
d' induction est de type interne et l' engrenage de support est de type
externe , dans
le moteur Boomerang, l'engrenage d'induction et de type interne et l'engrenage
de
support est de type interne. (Pig.I2) L'on verra plus loin les importantes
incidences
mécaniques et géométriques de ces différences.
Notons que dans l'ensemble de nos travaux, nous utilisons couramment Ies
expressions engrenages d'induction et engrenages de support, ces nomenclatures
les rapprochant Ie plus possible de leurs fonctions immédiates, soit pour le
premier
d'induire le mouvement de la partie compressive, et pour le second, de servir
d' appui à l' action du second.
Dans nos travaux sur les structures mécaniques permettant de soutenir eff
cacement
les pales de machines motrices, nous utilisant fréquemment des engrenages
montés
de façon planétaire par rapport à un second type d'engrenages qui leur servent
de
point d'appui. Dans l'ensemble de nos travaux, pour un meilleure
compréhension,


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nous nommons les engrenages fxës directement le pale et qui l'entra~nent en
mouvement, les engrenages d'induction. Ces engrenages d'induction sont appuyés
dans leur mouvement sur des engranges fixes que l' on nommera engrenage de
support. L'on pourra référer, de plus au lexique que nous produisons à la ~'m
de
cette divulgation.
Différences dynamico mëcaniques des machines post rotatives et rëtro rotatives
Machines post rotatives
Comme nous l'avons dit prëcédemment, les différence de type d'engrenages
utilisëe pour la rëalisation de machine auront pour conséquence la création de
classes de machines totalement diffërentes et spëcifiques les unes des autres.
L' on
appellera une machine, machine post rotative lorsque l'action de la pile, ou
partie
pistonnée de celle-ci, observée par ua~ observateur sit~,cé ~t l 'extérieur,
c~gia~a dans
ua~ seras dit post rotcetif, c'est-~-dire dans le ~êr6ae sens que celui de lcz
rotatioa~ de
l'excentrique (Fig. 13).
Du point de vue de la mécanique de base, c'est-à-dire, de la mëca.nique mono
inductive, cette action, réduite, mais en même sens, est obtenue, comme nous
l'avons vu, en utilisant un engrenage de support de type externe, et en le
couplant à
l' engrenage d' induction de pale de type interne.
Machïnes rétro rotatives
Le moteur triangulaire, aussi appelë moteur boomerang, pour l'irr~agerie qu'il
réalise lors du tournage de sa pale, est certes le plus reprësentatif des
moteurs
rétrorotatif. La forme géométrique de cette machine est plut~t entendue comme
étant rëalisée par une pale de type binaire, tournant dans un cylindre de
forme quasi
triangulaire. Pour obtenir ce mouvement de ceste machine motriccr, lorsque
réalisëe
elle aussi de maniëre mono inductive, l'on monte rotativement une pale munie
du
engrenage d'induction sur l'excentrique d'un vilebrequin, de telle maniére que
son
cet engrenage d' induction soit couplë à un engrenage de support disposë
rigidement
dans le coté du moteur. L'on muni la pale , cette f~is-ci pale de forme
binaire, d'un
engrenage, cette fois-ci de type externe,
Dans ce type de machine, lorsque montée mono inductivement, h; type, engrenage
utiliser est contraire à celui des machines post rotative. En effet, dans ce
type de
19

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machine l' engrenage de support est de type interne alors que l' engrenage
d'induction est de type externe. Ce couplage des engrenages produit une forte
rétro
rotation de la pale. La résultat produit, qui défanit les machine
rétrorotatives en
général est que, lorsque observée par un examinateur extérieur, la pale de ce
type
de machine réalise une r~tation eh sens contraire de celle du vilebrequin.
C'est
pourquoi l' on appelle ce type machine, machine rétrorotative,
Nous montrerons plus loin dans le présent exposé comme transformer des formes
de bases de machines, et au surplus , par quelles méthodes l'on parvient à
supporter
des machines de type post rotatives par des structures mécaniques devant
normalement supporter des machines rétro rotatives.
Machines bi rotatives
Une machine dite bi rotative se définit comme étant une machine dont les pales
ou
les structures paliques sont soutenues par des mécaniques post et
rétrorotatives en
combinaison.
L'exemple le plus pertinent de ce type de machine nous est donné par les poly
turbines. Il est donc important de mentionner que les poly turbines doivent
être
considérées comme des machines bi-r~tatives puisque , touj~urs dans le sens
d'une observation par un observateur extérieur , la pale est conduite en
partie dans
le mëme sens que la partie m~trice , et en partie en serfs c~ntraire â celle-
ci
Fig.13 c) L'on suppose donc, mécaniquement, tout d'abord: montées sur les
fourchettes d'un vilebrequin deux axes sur lesquels sont régiment reliés deux
engrenages d'induction montés sur des engrenages de support.
L'on couple le premier à un engrenage de support de type externe, de telle
manière
d'en réaliser un post rotation, et le second sur un engrenage de support de
type
interne de manière à en réaliser un rétro rotation, Deux manetons directement
ou
indirectement relié aux engrenages d'induction reçoivent deux bielles qui à
leur
tour sont à leur extrémité, reliées l'une à l'autre. La résultante, lors de la
rotation de
l'ensemble, de la course réalisée par le point de rattachement sera une course
bi
rotative. Si les engrenages d'induction et de support sont réalisës à raison
de un sur
deux, la forme réalisé sera elliptique, et par consëquent , l'on pourra relier
à ce
~ : ..., ,.__, e.:,.,, .."~. .~_.~.-., .... . ~, . .. ~..._ . ..

CA 02429211 2003-05-16
point de rattachement , s'il est produit de façon dédoublé , les deux points
opposés
de la structure palique.
Comme nous le montrerons plus abondamment plus loin dans le présent exposé,
plusieurs autres méthodes de soutient sont possible, et cette première méthode
n'est
pas la plus simplifiée mécaniquement, Nous avons cependant préféré la
présenter
en premier, puisque par cette double mono induction juxtaposée et contraire,
l'on
met plus facilement mettre en évidence l'aspect bïrotatif, non seulement de la
forme du cylindre, mais aussi l'aspect birotatif de la mécanique. Du point de
vue
d'un observateur extérieur en effet, l'un des deux manetons de vilebrequins
secondaires agit dans le sens de la pale, et le second agit en sens contraire.
L' inventeur des premiers types de parties pïstonnées, ~Vilson ( 19~~) que
nous
avons nommées poly turbines, n'avait pas conscience des différences entre les
structures mécaniques post, rétro et bi rotatives, et c' est pourquoi, celui-
ci s' est
obstiné à réaliser les premières versions mécaniques de soutient de ces
machines,
qui sont par natures des machine bimécaniques , comme leur nature en avait été
simplement post mécanique. Le résultat en a été une incapacité à réaliser les
formes
de cylindres anticipées, un grand nombre de pièces, et des couples tout à fait
négatifs ou dérisoires, avec au surplus un grand nombre de pièces. en
frottement..
Il serait trop fastidieux ici de commenter totalement les difficultés de
réalisation
que 1°inventeur n'a pas su surmonter.
Nous simplifions simplement le propos en énonçant que ce type de machïne est ,
de
façon naturelle m une machine bi rotative , c'est à dire, en laquelle la forme
obtenir
est réalisée à partir du concours des deux types de rotation . Ceci est aussi
le cas, de
façon plus limite encore, des moteurs à pistons, lorsque l' on ne se;
préoccupe que de
l'aspect positionne) du piston. Ces moteurs, qui deviennent alors des moteurs
à
bielle rectiligne, constitues la figure limite entre les f gares birotatives
et
rétrorotatives.
L' on pourrait donc résumer , d' un point de vue mécanique , les différences
fondamentales entre les machines motrices dites post rotatives, rétro
rotative, et bi
rotatives, en ce que les premières se définissent comme des machines dont la
pale a
une course orientationnel en même sens que sa course positionne), ou encore en
même sens que celle de son excentrique , alors qu' inversement , les machines
rétrorotatives se définissent comme des machines dont la pale a sa course
orientationelle en sens contraire de sa course positionne), ou encore de celle
de son
maneton ou excentrique de support. Quant aux machines birotative, comme elles
21

CA 02429211 2003-05-16
utilisent en combinaison les deux types de mécanique, la pale ou la structure
palique de celle-ci est à la fois en même sens et à la fois en sens opposée de
sa
mécanique de soutient.
D~érence géométrique entre ces types de machines
L'on se fera plus intuitivement une idée des propos qui font suivre en
imaginant les
pales des machines post rotative et rétrorotative comme des objet planétaires
d'une
mécanique de soutient, Ies premiers tournant dans le sens de cette mécanique,
les
second dans le sens inverse. L'on saisira dès lors intuitivement que la forme
de ces
pales n' étant pas ronde, mais binaire, triangulaire ou autre, la forme
résultant sera
totalement différentes selon Ie sens ou le contre sens de tournage de celle-
ci.
Ceci nous améne a définir une seconde différence ne seconde fondamentale entre
ces trois types de machines, qui est cette fois-ci plutôt géométrique. Nous
avons
déterminé de façon précise ces différences par ce que nous avons nommé la
règle
de déterminatàon des rapports de nombre de coté des pales par rapport à celui
des
machines (fig.l4) .
En effet , l' on note , dans les machines post rotatives , un nombre de coté
de pale
toujours supérieur de un à celui du cylindre . ( Fig.15 a) Par exemple dans le
moteur Wanlcle , la pale triangulaire , donc de trois coté , est montée dans
un
cylindre en double arc, donc de deux cotés . Inversement, dans les machines
rétro
rotative, la règle des cotés édicte que le nombre de cotés des pales de ces
machines
est toujours inférieur de un à celui du cylindre. (Fig.1.5 b) La machine
motrice de
type Moteur triangulaire Boomrerang , la pale est de type binaire , donc de
deux
cotés , et évolue dynamiquement daals un cylindre à trois cotés , d'où son
appellation de moteur triangulaire Boomerang. Quant aux machines de type poly
turbine, c'est à dire à structure palique, elles se caractérisent par le fait
qu'elles
ont toujours un nombre de coté de pales du double du nombre de coté du
cylindre
(Fig.lS c) La poly turbine nous fourni une donne image de cette régie.
huant aux serai turbines différentielle, le nombre de leurs pales est
variable. (Fig.
15 d)
22

CA 02429211 2003-05-16
Généralisation des considérations géométriques
Nous avons donc rappelé, jusqu°aux présentes, les trois types
principaux de
machine poly inductives et comment les différentier le plus facilement,
Les p~°ochains propos auront poua~ but de mont~e~° que les
machines déj~ exposés
ne sont pas des machines isolées , mais plutôt des machines faisant
pa~°tie de séries
de machines que d 'o~ pourrait tommes les séries post ~°otative ,
rétt~o ~°otative et bi
~°otatives .
Dns nos demandes de brevets antérieurs, nous avons rr~ontré que les séries
post
rotatives se définissent, outre leurs aspect relatif au sens de rotation de
pale et de
vilebrequin comme étant des figures géométriques obéissant ~z la régla selon
laquelle le nombre de cotés de leur pale est toujours supé~°ieu~ de un
~ celui de leur
cylindre (fig.l5 j Ainsi donc, une pale de deux cotés, dans ce type de
machine, se
réalisera dans un environnement cylindrique de un coté, ou encore un arc,
replié sur
lui-même. ~.Tne pale de trois cotés, réaliser sa rotation dans un
environnement
cylindrique dans un cylindre de deux arcs. L' on retrouve dans cette figure
plus
particulière la géométrie deux moteur Wanl~le. ~.Jne pale de duatre cotés,
tournera
dan un cylindre de trois coté, cette deuxiéme figure ayant aussi été montrée
par
Wankle. gJne pale de cinq coté dans un environnement cylindrique de duatre
cotés,
et une pale de six dans un cylindre de cinq coté et ainsi de suite.
L'on voit donc que les moteurs à pales triangulaires ne sont pas des machines
isolées, mais plutôt des éléments d'une classe plus gënérale de machines.
La régie de détermination des cotés, montre cette fois-ci du point de vue
géométrique, la grande différence, non seulement des moteurs triangulaires,
mais
des machines rétrorotatives, en général , face aux machines post rotatives et
bi
rotatives. En effet, comme précédemment, l'on peut étendre cette régla à et
produire d' autre unités de ces machines. Pour toutes ces machines la régie, à
(effet
que le nombre de coté de pale est toujours de un inférieur à celui du
cylindre,
demeure invariable. Par exemple pour une pale hypothétique de Zu1 coté, le
cylindre
à deux cotés, entendus comme deux arcs repliés en quasi cercle. Pour une pale
de
deux cotés, l'on a un environnement de trois coté, l' on retrouve alors la
géométrie
du moteur Boomrang triangulaire, Comme pour la série précédente, l'on peut
poursuivre en disant qu'une pale de trois copté peut déambuler dans un
cylindre de
quatre coté, ce qui, on le remarquera est fort différent de
1°environnement
cylindrique d'un post rotatif. L'on peut réaliser avec une machine
rétrorotative de
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CA 02429211 2003-05-16
pale triangulaire deux fois plus d'explosion par tour que pour une machine de
pale
triangulaire post rotative. ( Fig.lS)
Une pale de quatre cotés tournera dans un univers cylindrique de cinq cotés et
ainsi
de suite.
Finalement , nous avons aussi montrer les généralisations de ratios
gëométriques
des machines à structures paliques , c' est à dire les machines rotative de
type poly
turbine. En ces machines, le nombre de coté de pale est toujours de deux fois
plus
élevé que le nombre de cotés de son cylindre,
La f Bure limite est le moteur rectiligne, en lequel le nombre de coté est de
un et de
deux. La poly turbine de structure palique de quatre coté est, nous le
reconnaissons
plus probante. Elle se réalise dans un univers cylindre de deux coté, de forme
quasi
elliptique. La structure palique de six cotés se réalise dans une univers
cylindre
quasi triangulaire et ainsi de suite. Lors de la détermination de machines,
l'on tient
donc Ià un facteur de détermination supplémentaire. En effet , partant de ces
règle ,
l' on comprendra mieux qu' une machine , par exemple à pale triangulaire ,
pourra
être totalement différente , et éme contraire , selon le type de mécanique
utilisé m
et selon le type de géométrie de cylindre utilisé.
( Fig.lS)
Ainsi donc, outre les différences mécaniques relatives au sens de;s tournages
des
pales et des vilebrequins, les ratio de cotés des pales et cylindres sont
d'une grande
importance pour montrer la nature d'un type donné de machine,
L'on doit au surplus noter un dernier type de différence, issu des ces
derniers, qui
sera celui du couple. En effet, l' on peut constater, dans ces machines,
puisque le
vilebrequin agit en sens contraire de la pale
les machines rétro rotatives, alors que ces parties agissent dans 1e méme ses
pour
les machines post rotatives, lc temps mort haut sera de beaucoup plus
restreint dans
les machines rétrorotatives que dans les machines à pistons et les machines
post
rotatives. (Fig.l4)
24

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Les deux grands types de méthodes de soutient des parties compressives dites
par
l' extérieur
Comme nous l'avons précédemment mentionné, en ce: qui a trait aux machines à
pale, deux grandes méthodes de base de soutient de la pale, selon qu'elles
sont par
coulisse ou par support purement mécanique. La carence évidente des méthodes
de
soutient incluant des coulisses est certes celle de la friction, non seulement
sur les
parties de la coulisse et coulissantes , mais aussi , dans le cas des machines
à pales ,
sur la surface du cylindre , celle-ci servant ~, la fois de partie cylindrée ,
mais aussi
de partie excentrique supportant l'action alternativement rectiligne de la
pale.
C'est pourquoi nous avons développé plusieurs méthodes de soutient des parties
compressives, purement mécaniques, c'est-à-dire permettant un action de pale
complétement indépendante mécaniquement de la surface du cylindre.
Examinateur extérieur et examinateur intérieur
Comme nous l'avons précédemment montré, l'on peut plus facilement déterminer
le genre d' une machine rotative en constatant, à partir, d'un examinateur
extérieur
les rapports de sens de rotation des pales et des parties mécaniques les
supportant et
les dirigeant. Älors que dans les machines post rotatives, Ies pales vont.,
quoique à
vitesse réduite, dans le même sens que dans les parties mécaniques, dans les
machines de type rétro rotatives, Ies pales vont, comme nous l'avons montré,
en
sens inverse des parties mécaniques les soutenant ; dans le machine de type bi
rotative, les mécaniques de soutient des structures paliques sont réparties
entre ces
deux types de soutient, d'oû leur appellation de bi mécanique..
L'on peut répertorier au nombre de deux, les mécaniques de soutient permettant
de
réaliser mécaniquement les constatations résultant de cette observation par
l' extérieur.
Méthp~de mono inductive
'Tout d' abord la mécanique mono inductive, que nous avons commentée
prémment, couramment utilisée dans le moteurs 'v~Ianlkle. D'autre part, comme

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nous l' avons précédemment montré , en changeant le type d' engrenage d'
induction
et de support , l' on peut réaliser des machines totalement différentes avec
cette
méthode , rétro activement utilisée. L'on trouvera dans notre demande de
brevets
précitées les réalisations rétrorotatives en lesquelles elle résulte, dont le
moteurs
Boomerang. (Fig.l6)
Méthode ~oly inductive
Dans notre brevet, titré Moteur â paly induetïon , nous avons aussi montré que
l' on
pouvait obtenir de bien meilleures performances, autant relativement au couple
qu'à la résistance matérielle du moteur en utilisant une méthode par laquelle
la pale
était soutenue en double soutient .
L' idée de base de cette méthode consistait à montrer et à déterminer que la
course
des points se situant entre les coins de la pale et le cemtre de celle-ci
réalisait une
forme en double arc, dans le sens du cylindre, alors que la course des points
situés
entre le milieu de chaque coté de la pale et le centre parcouraient un course,
elle
aussi en double arc, mais cette fois-ci, cette forme se réalisant
verticalement.
(fig.l7 ) Il nous a fallu ensuïte montrer qu'une droite unissant deux points
en
déplacement sur cette ligne avait une longueur constante. Cette droite pouvait
ensuite représenter la distance entre les deux points de rattachement des
mécaniques réalisant ces formes à la pale. L'on a réalisé Bette mécanique avec
l'aide de deux engrenages planétaires munis de manetons , en prenant soin de
positionner les manetons de ceux-cg de telle maniére que leur course soient
contraire , et par conséquent de pouvoir réunir les moyens de support , au
nombre
de deux , aux point déjà prêcisés de la pale. (Fig. 18 a ~
L' on aura soin de consulter nos brevets et demandes antérieures de brevets à
cet
effet. Pour les besoins de la présente, il s' agit simplement de récapituler,
et de
poursuive la compréhension selon laquelle, cette méthode est elle aussi, une
méthode issue de l'observation d'un observateur située â l'extérieur de la
machïne.
En effet, même en cette méthode, l'on voit trés bien que lorsque appliquée à
une
machine post inductive, cette méthode permet de réaliser, dans machines dites
post
inductives, un mouvement post rotative des engrenages et cames d'induction,
alors
que dans le machines rétro rotative, les engrenages et excentriques d'
induction sent
entraînés rétroactivement du sens de la pale. (Fig. 18 b)
26

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Méthodes issues de l'observation d'un observateur intérieur.
Comme on le montrera plus abondamment plus loin, le lieu d'observation des
éléments permet de modifier totalement l' idée que nous nous en faisons des
rapports entre les éléments , et nous permet , en déduction directe , de
réaliser des
mécaniques de soutient différentes et pour plusieurs , encore plus pertinentes
et
généralisables . Plus précisément, il s'agit des méthodes de mécanisation
issues de
l'observation d'un examinateur inté~°ieu~, positionné sur le
vilebrequin de la
machine, méthode que l'on dira ~néth~des de mécanisation relatives, par
rapports
aux premiéres, que l'on dit méthodes de raiécanisation abs~luc.
Dans nos travaux antérieurs et de méme que dans la présente divulgation, nous
avons montré et nous montrerons un ensemble de méthodes de s~~utient des
pièces
des machines post, rétro et bi rotatives, que l'on pourrait répertorier de la
façon
suivant dont la première partie est issue de nos travaux antérieurs, et la
seconde,
issue des présents travaux
Premiére partie, de nos travaux antérieurs
a) méthode par serai transmission Méthode par
engrenage cerceau
b) Méthode par cerceau antérieur
c) Méthode par cerceau postérieur
d) Méthode par engrenages internes ,juxtaposés
e) Méthode par engrenages internes superposés
Deuxième partie, en priorité â la présente
f) Méthode par engrenage intermédiaire
g) Par engrenage cerceau intermédiaire
h) Méthode par engrenage cerceau de pale
i) Méthode par engrenage talon
j) Méthode par engrenages central post actif
k) Méthode par structure engrenagique
1} Méthode par structure engrenagique
m) Par engrenages excentriques
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n) Par soutient centralo-périphérique , post ou rétro
actif
o) par engrenage cerceau et engrenage interne
antérieur
p) par engrenage cerceau. et engrenage interne
postérieur
Bien entendu, nous n'avons pas créé toutes ces méthodes de façon suivie. Mais,
après en avoir mis plusieurs de l'avant, nous avons finalement compris la
différence essentielle de ces méthodes, dans leur ensemble, par rapport aux
deux
méthodes précédemment exposées. Cette différence peut âtre formulée en ce que,
contrairement à celle déjà exposées, ces méthodes semblent av~ir en cammun de
t~utes découle~° de l'observczti~n de lce couse des éléments,
cette,;~'ois-ci, ~°~alisée
pas un ~bse~°vc~teu~ inté~°ieua°, plus précisément situés
su~° la pale nu le vilebrequin.
En effet , que ce soit dans une machine p~st rotative, ~u dans une machine
a~étr°~
rotative, lorsque l'on observe le mouvement de la pale à partir d'un point
situé sur
le vilebrequin, l'on constate que dans tous les cas , la pale réalise un
mouvement
contraire à celui du vilebrequin , et que ce qui caractér ise, de ce point de
vue , les
machines rétrorotatives des machines post rotatives est, dès lors une
différence de
degré, c'est à dire simplement une différence de vitesse entre la rétro
rotation de la
pale par rapport au vilebrequin dans un machine rétro rotative , et la
rotation de la
pale par rapport au vilebrequin dans une machine post rotative. (Fig. l9 )
Ce qui ressort directement de cette constatation est des plus important et
peut être
résumé en les deux idées qui vont suivre. Premiérement, dans les méthodes
précédentes, issue de l'observation extérieure, il s'y passait comme si chacun
des
éléments, vilebrequin et pale se synchronisait avec le coté de la machine, et
comme
si cette double synchronisation résultait au mouvement désiré de pale. En
effet, l'on
note en ces deux méthodes que le vilebrequin n'a pas d'incidence
orientationelle
directe avec la pale. Dans les méthode issues de l'observation intérieur,
puisque
l'on y constate toujours la rétro rotation de la pale par rapport à celle du
vilebrequin, l'on tentera d'organier ces deux m~uvements l'un par rapport à
l'autre,
même si l'on doit continuer de la faire indirectement . En effet, l'on pourra
organiser la gouverne non pas, comme dans les premiéres mécaniques en
coordonnant les deux mouvements de pale et de vilebrequin à partir d'un même
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point de la machine, mais plut~t, en coordonnant ensemble, l 'un par rapport
~x
l'autre, par l'intermédiaire d'un point de la machine, les aspects non
seulement
positionnels , mais aussi orientationnels du vilebrequin et la pole.
Une deuxiéme constatation ressort aussi de ces démonstrations, et est d
l'effet que
les méthodes mécaniques de support qui seront issues de l'observation dites
par
l 'intérieur , seront applicables tout autant aux machines rétrorotatives que
post
rotatives , la différence de celles-ci demeurant géométrique , et devant
simplement
être calibré au niveau mécanique.
Descràption plus détaillée de chacune des méthodes
Comme nous l'avons déj~, mentionné, certaines de ces méthodes ont déj~ été
commentées dans nos travaux antérieurs, et les autres sont originales ~ aux
demandes en priorité de la présente divulgation de même qu'y la présente
divulgation,
Cependant, comme dans la présente divulgation, nous montrerons aussi que l'on
peut combiner entre elles ces méthodes pour obtenir des nouveaux types de
cylindres pour une même machine ou encore de nouveaux types de machines, il
nous est apparu important de les récapituler toutes, indépendamment de fait
qu'elles aient été ou non divulguées antérieurement. t'es pourquoi nous
produisons ici un résumé exhaustif de celles-ci , en prenant soin cependant de
noter , pour les méthodes antérieures ~. la présente, les demandes et brevets
desquels elles originent.
La méthode par semi transmission
L'exemple le plus évident de cette coordination nous est donné dans la méthode
par
serai transmission , que nous avons plus amplement commenté dans nos
précédentes demandes .
Dans cette méthode de soutient, ( Fig. 20) la pale est actionnée par,
simultanément
le mouvement de l'excentrique, et le rétro mouvement: de son engrenage
d' induction, obtenu par le rétro mouvement de 1' engrenage de support. .
L'observation par un observateur intérieur nous a permis de constater , comme
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nous l'avons déjà dit, que la pale, que ce soit dans une machine post
rotative, ou
rétro rotative, doit de déplacer en sen contraire de son vilebrequin. L'on
produit une
petite semi transmission permettant d' inverser le travail u vilebrequin de
celui de
l' engrenage de support, et par la suite de l' engrenage d' induction
rigidement fixé à
la pale. Cet engrenage de support n'a plus, dans cette nouvelle version une
position
absolu et figée, mais plutôt une position déterminée par conséquence de la
position
du vilebrequin, Le vilebrequin a donc non seulement une incidence
positionnelle
sur la pale, mais aussi orientationnelle .
Il est donc important de tirer un premiére conclusion de la précédente
assertion , de
même que de cette première méthode d'application , et qui pourra étre formulée
en
ce que , dés lors les mêmes mëthodes , comprenant , contrairement aux
premiéres,
les mêmes types d'engrenages de support et d'induction, pourront être
appliquées
aux machines rétro et post rotative , puisque il s'agira simplement de
calibrer les
engrenages de telle sorte de diminuer ou d'augmenter à ce point h vitesse
rétro
rotation de la pale par rapport à celle du vilebrequin, de telle sorte que
pour un
observateur extérieur, l'on conserve les prémisses des premiéres méthodes, à
savoir
les mouvements contraires, ou en même sens des pale et vilebrequin qui
opposent
ces types de machine.
Cette constatation est aussi des plais importante puisque elle permettra, en
réalisant
des supports de machines motrices avec de méthodes à proéminence
rétrorotatives,
de réaliser, dans les machines post rotatives des qualités de machines
rétrorotative
et inversement de réaliser les qualités des machines post rotatives., ce que
nous
avons plus précisément montré dans nos travaux relatifs aux moyens de soutiens
dits par engrenage cerceau.
La méthode dite par engrenage cerceau
La méthode par engrenage cerceau a aussi été divulguée dans nos travaux
antérieurs, et la présente à principalement pour objet de spécifier que son
application s'étend à l'ensemble des machines post, rétro et birotatives.
Dans ce type de mécanique de soutient, (Fig. 21 ) un engrenages de support est
monté rigidement dans la machine. I3n vilebrequin, est muni d'un maneton, et
au
surplus d'un moyen, tel un bassin ou un axe, permettant de recevoir
rotativement
l' engrenage que l' on dira engrenage cerceau. La pale est munie d' un
engrenage
d' induction de type externe, et est montée sur le maneton du vilebrequin.

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L'engrenage cerceau est m~nté rotativement sur le manchon du vilebrequin de
telle
maniére de coupler indirectement les engrenages d' induction et de support. Le
mouvement du vilebrequin entraîne la rétro rotation de l' engrenage cerceau,
rétro
rotation qui est transmise, par sa face extérieure, à l' engrenage d'
induction et à la
pale. Bette méthode assure une extrême fluidité à la pale , et aura
principalement
pour comme qualité de permettra une attaque de la pale , munie d' un engrenage
d,induction de type externe , par l'extérieur , par le haut. Ceci limitera
considérablement les effets arrières, neutralisant la puissance du moteur,
lorsque
monté de façon conventionnelle. .
Par engrenage cerceau à couplage antérieur
La méthode par engrenage cerceau à couplage antérieur est une méthode
similaire à
la méthode dite par engrenage cerceau, mais dont la particularité est que
l' engrenage cerceau ne commande pas directement l' engrenages de pale. Dans
cette
méthode en effet, ( Fig. 22) la pale est plut~t munie d'un engrenage
d'induction de
type interne, par opposition à l'engrenage de type externe dans la méthode
originale. Dans la présente méthode, un deuxième axe est donc disposé sur le
manchon du vilebrequin et est muni d' un seul ou d' un doublé d' engrenages,
que
l'on dit engrenages de liens. L'action de l'engrenage cerceau est transmise à
l'un
des ces engrenages de lien qui à son tour, directement ou par l' engrenage en
doublé, commande l' action orientationelle rétrorotative de la pale.
Dans Ie cas présent , la disposition de l' axe de suppor9: des engrenages de
lien sera
dans la partie situe entre le centre de pale et le centre du vilebrequin , et
par
conséquent la pale sera attaquée par son coté antérieur , d' od l' appellation
de à
couplage antérieur.
Par en~rena~e cerceau à coupl~postérieur
La méthode par engrenage cerceau à couplage postérieur est une méthode
similaire
à la méthode précédente, sauf en ceci que I' axe de support des engrenages de
lien
est à dans la partie prolongée extérieure du vilebrequin. (Fig. 22 ~b
Méthode par en~rena~es internes °uxtaposés
La méthode par engrenages internes juxtaposés, dont on trouvera le commentaire
plus exhaustif dans nos demande soumises en annexe consiste à disposer
31

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rïgidement, dans le coté de la machine une engrenage de type interne. ~Fïg.
23)
L'on montera ensuite dans la machine un vïlebrequin, de préférence muni d'un
excentrïque, plutôt que d'un maneton.
L'o disposera ensuite sur cet excentrique un engrenage, ou en ensemble
d'engrenage de liens, l'axe de support de cet engrenage étant soit relié
rigidement à
l'excentrique, soit à l'engrenage. Cet engrenage de lien sera d'uns part
couplé à
l'engrenage de support et d'autre part à l'engrenage d' induction de la pale.
La pale,
munie cette fois-ci d'un engrenage de type interne, sera rotatïvement montée
sur cet
excentrique de telle manïére que son engrenage soit o~ouplé à I'un des
engrenages
de lien.
Méthode par en~rena~es internes superposés
Dans la méthode par engrenages internes superposés, (Fig. 24) dcont on
trouvera la
description plus exhaustive dans nos demandes précitées , l'on pourra
constater
que l'on peut profiter d'un plus grand déplacement du centre de lEa pale. Dans
cette
méthode, comme dans la précédente, un engrenage de support de type interne est
disposé de façon rigide dans le coté de la machïne. Un vilebrequin, muni d'un
maneton est monté rotativement dans la machine. Un engrenage ou ensemble
d'engrenage de lien est monté rotativement sur le manchon du vilebrequin, à un
point situé entre le centre du vilebrequin et le manchon, de telle manière de
relier
les engrenages d'induction et de support de type interne.
La pale est montée rotatïvement sur le maneton du vilebrequin, et est munie
d'un
engrenage interne, relié par sa partie la plus rapprochée du centre de la
machine à
1°engrenage de lien.
La méthode par engxena~e interrnédiaïre
Dans cette méthode de montage, l'on met en évidence que Ia double post
rotation
des éléments résulte en une rétro rotation de la partie compressive , rétro
rotation
qui comme nous l'avons déjà montré est , par rapport au vilebrequin toujours
présente dans les machines post , rétro et bi rotatives.
Dans cette méthode, (Fïg.25) un engrenage de support, de type externe est
disposé rigidement dans le flanc de la machine. Un vilebrequin est, par la
suite
disposé rotatïvement, et ce vilebrequin a la particularité de recevoir,
rotatïvement,
32

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sur son manchon, un engrenage de type externe, cet engrenage étant couplé à
l'engrenage de support. Cet engrenages peut tout aussi bien étre muni d'un axe
monté rotativement au manchon du vilebrequin , ou encore , être mont
rotativement sur un axe, lui-méme disposé rigidement sur le manchon du
vilebrequin. Sur Ie maneton du vilebrequin sera disposé rotativement la pale,
cette
pale étant munie d' un engrenage d' induction de type externe, et cet
engrenage étant
couplé à l'engrenage intermédiaire.
L'on voit trés bien qu Ia post rotation du vilebrequin entrainera, Ia post
rotation de
1°engrenage intermédiaire, qui à son tour entraînera la rétro rotation
orientationnelle
de la pale. Comme on l'a déjà souligné, puisque cette méthode place en
relation Ia
pale et le vilebrequin, et est issue d'une observation intérieure, elle
s'applique tout
aussi bien aux machines post rotatives, rétrorotatives, ou bi rotatives, selon
1°accentuation de la rétro vitesse que l'on aura produit sur la pale
par le calibrage
des engrenages.
La méthode par en~rena~e cerceau intermédiaire
La méthode dite par engrenage cerceau intermédiaire (Fig.26~ est une méthode
en
laquelle l' on utilise en un seul engrenage un engrenage à la fois interne ,
et à la fois
externe , que l'on nomme pour cette raison cerceau- rote édaire, Cet engrenage
dit engrenage cerceau intermédiaire, couple comme les engrenages cerceau , les
engrenages de support soit aux engrenages d'induction , soit aux engrenages de
lien
, mais cette fois-ci en attaquant l' un d' eux extergeurement , et l' autre
intérieurement. Ce type d'engrenage produit donc une action post rotative sur
les
engrenages d' induction ou de lien, selon le cas
La méthode par en~enage talon
. dans cette méthode, comme dans Ia méthode précédente, l' on dispose d' abord
dans la machine un engrenage de support de façon rigide et un vilebrequïn, de
façon rotative. Cette fois-ci cependant, l'on produit une prolongation du
vilebrequin, par sa partie antérieure au manchon principal et au maneton (Fig.
27)
L' on monte ensuite rotativement la pale, munie de son engrenage d' induction
de
type externe.
L'on dispos ensuite un axe , de façon rotative, dans la prolongation déjà
décrite , et
I' on monte cet axe , de deux engrenages , que I' on dira engrenages de lien ,
le
premier de ces engrenages étant couplé à l' engrenage de support et le second
, à
l' engrenage d' induction.
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La rotation du vilebrequin entraînera la rotation post rotation des engrenages
de
liens qui entraînera à sont tour, Ia rétrorotation orientationelle de la pale.
Méthode par en~ges central post actif
Dans la méthode par engrenage actif central, un engrenage de support central
est
disposé post rotativement dans le corps de la machine, et un vilebrequin est
aussi
disposé rotativement dans celle-ci (Fig.28) Ces deux éléments sont agencés
avec
(aide d'un moyen de telle manière que l'engrenage de support actif ait une
vitesse
supérieure à celle du vilebrequin. Cette relation pourra être obtenue par une
petite
semi transmission, comportant un engrenage de vilebrequin, en un engrenage
d' axe d' engrenage de support , et un engrenage d' accélération , monté
rotativement
dans le flanc de la machine de telle manière de coupler les deux précédents
engrenages.
La pale, munie d' un engrenage d' induction de type externe, sera ensuite
montée sur
le maneton du vilebrequin de telle manière que son engrenage soit couplé à
l' engrenage support post actif. L' action orientationnelle rétrorotative de
la pale sera
donc produite en cours de rotation.
Méthode par en epost actif avec double en~ena e de lien.
Dans cette méthode, (Fig. 29 ) l' on po a aussi activer l' engrenage de
support actif
central par un jeu de deux engrenages de lien montés sur le talon du
vilebrequin,
cet ensemble d'engrenages de type externe étant couplé d'une par à
1°engrenage de
support actif central et d'autre part à un engrenage de support de type
interne
disposé de façon fixe dans le centre de la machine.
La méthode par en~rena~e cerceau de hale.
La méthode par engrenage cerceau de pale consiste à supporter la pale
seulement
par des engrenages, au nombre de deux minimalement ( Fig. 30 )
Dans cette méthode, un engrenage de pale de type interne est inclus de façon
rigide
dans la pale. Quoique réalisable avec un seul engrenage libre, il est
préférable de
réaliser la machine avec deux d'entre eux, ou plus, Deux engrenages libres
sont
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montés sur un axe disposé sur Ie vilebrequin. Un second engrenage, à la fois
de
support, sert aussi d'engrenage directionnel, et pour cela est monté
rotativement sur
le maneton du vilebrequin et est à la fois couplé à l'engrenage cerceau. La
pale est
donc à la fois supportée par ces trois engrenages, mais dirigée
orientationnellement
par l' un d' eux que l' on dira engrenage d' induction, cet engrenage d'
induction étant
comme à l' habitude , couplé à u engrenage de support. .
La méthode par structure en~rena~i ue
Dans Ia méthode par structure engrenagique, f on suppose, de préférence,
quatre
engrenages de support dynamiques montés rotativement sur ou par des axes
fixement disposés dans la machine. Le centre de rotation de ces engrenages
sera
décentré, c°est pourquoi l'on dira ces engrenages excentriques.
(Fig.31)
l..Tne pale, munie d'un engrenage de type interne sera ensuite disposée par
cet
engrenage, sur l' ensemble des engrenages de support post actifs.
L' action résultante de la pale sera le mouvement recherché. Cette réalisation
est
intéressante parce qu'elle permet la réalisation de la machine avec centre
creux.
Cependant, plusieurs moyens de motorisations seront alors possibles, par
exemple
en munissant la pale d'une extrusion par laquelle elle est montée sur
l'excentrique
d'un vilebrequin, où encore en munissant chaque engrenage excentrique d'un
engrenage non excentrique, ces engrenages étant reliés à un engrenage central
actionnant l' axe central.
Par en, r~ ena~e excentrique
Dans la présente disposition, l' on munira chaque piston d' axes fixes,
préférablement trois, ces trois axes étant préférablement montés sur les
lignes
symétriques , comme par exemple celles traversant la pale de chaque pointe au
centre , ou encore celles traversant chaque milieu de coté vers les centres. (
Fig. 32)
Des engrenages spécifiques , dits engrenages excentriques seront montés sur
ces
axes, de telle manière d'être au surplus couplés et appuyés sur un engrenages
dit
de support disposé rigidement dans le flanc de la machine.
Dés lors,1e mouvement de Ia pale sera assuré. Pour empécher la séparation, ou
le
découplage des engrenages d'induction à l'engrenage de support., l'on pourra
ajouter une plaque de lien, reliant, les centres, les points de rattachement,
ou

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n'importe quel point, du moment que ceux-ci sont symétriques. L'on pourra
encore relier les engrenages par un engrenage interne cerceau pivotant
excentriquement en cours de leur rotation.
Dès lors, les trois motorisations suivantes seront possibles soit premièrement
par
un excentrique placé dans Ie centre de la pale, cet excentrique aura une
friction
fortement diminuée. Une seconde manière sera de se servir des centres des
engrenages, qui transmettront Leur action centrée à un axe central.
Derniérement,
l'on pourra se servir des supports décentrés ou l'engrenage cerceau, ces
dernières
piéces étant muni d'un engrenage interne activant un axe de sortie
Pour compléter adéquatement la machine, l' on utilisera un moyen pour lier
entre
eux les engrenages excentriques .Il s pourront être retenus entre eux par une
plaque
de lien. Si cette plaque de lien leur est raccordée de façon centrale, elle
pourra aussi
servir de moyen de motorisation.
Par soutient centralo-périphérique , post ou réiro actif
Dans cette méthode, (Fig. 33) il s' agit principalement de montrer que l' on
peut
soutenir toute pale par deux points, dont le premier sera central, et le
second sera
déterminé en périphérie, les mécaniques des ces deux points de rattachement de
la
pale étant inter reliés par engrenages ou autres moyens. Un premier exemple de
cette nouvelle méthode de soutient consistera à construire la machine à partir
d'excentrique conventionnel, muni d'un engrenage, ainsi que d'un seul ensemble
poly inductif, comprenant engrenage de support, d' induction et came d'
induction.
L' excentrique d' induction, qui gouvernera l' orientationalité de la pale,
sera activé
de façon conventionnelle. C~uant à l' excentrique maître, central, gui
gouvernera
l'aspect positionne) de la pale, il sera activé, par un moyen, par exemple par
l' entremise d' un engrenage cerceau-intermédiaire , par l' engrenage d'
induction,
D'une autre manière, il sera activé par le recours à un engrenage cerceau ou
intermédiaire, à un second engrenage d' induction, lui-même couplé à l'
engrenage
de support. Demiérement, l' utilisation des ces connaissance permettra de
produire
des poly turbines ou autres machines à pales, l'on notera que les méthodes de
souvient poly inductives proposées permettent non seulement de soutenir les
pointes des pales, mais aussi les cotés opposées.
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Ii~Iéthode par en~rena~e à attaque déportée
Ilne autre méthode de soutient a pour objet de déporter le point d'attaque sur
la
pale du coté extérieur au centre, de telle manière que, tout autant pour les
machines
rétro que pour les machines post rotatives, l'on puisse profiter de l'effet
rétrorotatif
sur la pale de même que de son effet de levier. Cette méthode est une méthode
hybride, tirée des méthodes d'engrenages internes superposés et d'engrenages
internes juxtaposés. ~Fig. 33)
Pour ce faire, l'on disposera utilisera donc une mécanique de support formée
d'un
ensemble d' engrenages, l' engrenage de support f xe et l' engrenage de
support de
vilebrequin. LTne première variante des cette manière de faire consistera à
utiliser
un engrenage de support fixe de type interne disposé dans le flancs de la
machine et
l' engrenage de support secondaire de l' excentrique central, sera un
engrenage de
type externe, monté rotativement à son à son extrémilté, de telle manière de
coupler
l' engrenage de support f xe et l' engrenage d' induction de pale. I,''
engrenage
d'induction de pale sera un engrenage d'induction de type interne. monté
rigidement
sur celle-ci. Dans la deuxiéme variante, les engrenages du support fixe et
d'induction seront plut~t externe. Cette solution de guidage rappelle les
solutions
par cerceau, et par engrenages intermédiaires. Cependant, par cette solution,
l'on
réussi à déporter le point d'attaque des engrenages de d'induction de telle
maniére
d'augmenter l'effet levier. Cette solution comprend donc quelques engrenages
supplémentaires, mais dans les cas oû la puissance est nécessaire et que l'on
peut se
permettre cette augmentation cette méthode pourra être fort valide et
pertinente.
LJn tel agencement d'engrenage permettra de déporter le point d'attaque
organisationnelle sur la pale du coté opposé à sa rétro rotation , ce qui
permettra
d' augmenter signif cativement , soit de la longueur de l' excentrique central
, la
portée de coule et de levier de celui-ci
Cette méthode rend d'utiles services tout autant de cote; des machines post
rotatives
que rétro rotatives.
Déductions principales de l'ensemble des méthodes d~ soutient
I,' on doit déduire des derniéres méthodes la constatation suivante, des plus
importante, qui consiste à noter que, lo~°sque les machines sont
soutenues pa~° des
mécavtic~ues issues de l'observt~tion exté~°ieu~e, soit donc les
mée~~tiques dites pas
mana inductio~a et pc~~ poly i~cductio~c, les machines post et ~ét~o
rotczti~es sont tout
~ fait cont~c~i~°e l 'uhe â l 'autre.
~7

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Par ailleurs, lorsque les machines sont mues par des rncécaniques issues de
l 'observation par un observateur intérieur, situé , dune soit sur le
vilebrequin , ou
soit encore sur la pale, ces anachines se caractérisent plut~t par de
différences.
Cette constatation est des plus importantes puisqu' elle permet de constater
que
toutes les mécaniques issues de ce type d' observation s' appliquent tout
aussi bien
aux machines rétro rotatives qu'aux machines post rotatives , ce qui permet
d' envisager une certaine généralisation des machines. ~,' on a donc ici une
quinzaine de méthodes de support des piéces à ajouter à celles déjà
commentées.
Fous pouvons donc à ce stade produire un nouveau tableau plus complet des
variantes de toutes machines motrices, incluant les dernières parties de la
présente
divulgation. l~Tous ajouterons principalement les différentiations réalisées
dans la
présente section, soit,
premiérement, que les machines à pales se subdivisent en
machines post, rétro et birotatives.
deuxiémement, que les méthodes de soutient se subdivisent en
deux grandes classes, selon qu'elles sont issues de
l' observation extérieure ou de l' a6servation intérieure
troisièmement , qu' un ensemble de méthodes de soutient apte
à soutenir adéquatement les pales peut être répertorié
38

<IMGS>

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~ . _ . , ~- ,,. . , , _ ..
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Les machines à pistons comme machine à induction mécaniaue .
Comme nous l'avons déjà fait remarquer, l'usage extrémement albondant et
généralisé des moteurs à pistons, utilisant à titre de moyen ligatura), une
combinaison de bielles, pistons coulissant et cylindre, porte automatiquement
à
faire penser que ces formes de réalisatïon de moteurs sont génériques, ce qui
est à
notre avis faux. De notre avis , la pression égales sur les parties
compressives
permet est le facteurs déterminant qui permet de négliger la réalisation de la
machine par un contr~le totalement mécanique des aspects positïonnel et
orientationel des parties compressive. L'égalité d naturelle de la poussée sur
les
parties compressives a donc permis d'utiliser, au niveau pratique des chemins
de
raccourcis, ce qui ne peut cependant altérer Ia nature conceptuelle de ces
machines.
Comme nous l'avons déjà fait remarquer, si l'on essaï de produire ces machine
s
avec une parfaite coordination mécanique des parties compressives, cette fois-
ci,
comme dans les machines à pale, totalement indépendantes des cylindres, l' on
se
rendra compte de la réelle complexité de ces machines, qui ont, aprés analyse
un
aspect alternatif orientationcl très difficile à réaliser.
La prochaine section entend montrer que l'on peut contrôler mécaniquement ,
sans
aucun moyen ligatura), l' aspect strictement positionne) du piston par l' une
ou
l'autre des méthodes de soutient de l'ensemble mécanique déjà proposé , ce qui
prouvera hors de tout doute , que les machines à pistons, en dépit de la
généralisation de leur contr~le positïonnel sous un forme coulissante, sont
bel et
bien , conceptuellement , des machines motrïces du même ordre que les machines
motrices à pales , et relévent de la même définition générale initialement
donnée.
Bans cette réalisation nous appliquons la méthode dite par mono .induction
rétro
rotative à la machine à parties compressives pistonnées.
Pour réaliser ce type de machine, l'on installera dans la machine un
vilebrequin de
type conventionnel. Sur le maneton de ce vilebrequin l' on installera
rotativement
un excentrique, de rayon égal à celui du vilebrequin, et on le munira d'un
engrena
de type externe, que l'on nommera engrenage d'induction. L'on dlisposera
ensuite
dans le flanc de la machine un engrenage de type interne, que l'on nommera
engrenage de support , cet engrenage étant de double grosseur de l'engrenage
d' induction. Les deux engrenages préalablement décrits seront couplés l' un à
l'autre. L'on pourra entendre l'excentrique comme une bielle dont l'aspect
directionnel est gouverné, ou encore comme un vilebrequin secondaire étagé,
comme bon semblera. Le piston, directement ou par le recours à des bielles
fixes,
selon le cas, sera raccordé à cet excentrique. Le mouvement post actif du

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vilebrequin du vilebrequin entrainera la rétrorotation de l' excentrique, et
l' on
s'apercevra, en observant l'ensemble pour un tour, que Lcs mouvements
verticaux
des parties rotatives s' additionneront, alors que les parties latérales de
ces
mouvements s' annuleront. Par conséquent, le mouvement de l' excentrique sera
alternatif et parfaitement rectiligne. ~Fig. 35)
'fel que nous l'avons plus précisément déjà commenté , une deuxième manière de
construire le mouvement d'action alternatif rectiligne sera cette f~is-ci bi
rotative.
Si l'on couple en effet, par quelque moyens, deux vilebrequins de telle
manière
qu' ils tournent l'un à contrario de l' autre, et que I' on rattache chacun de
ces
vilebrequin à une bielle, liées entre elles à leur autre extrémité, l'on
réalisera que
lors des rotations, l'extrémités par laquelle les bielles sont liées produit
un parfaite
rectiligne alternative, à laquelle peut être rattaché Le piston. (Fig. 35~
Dans les deux manières précédentes, l'aspect orientations) du piston sera
contrôlé
de façon conventionnelle, c' est-à-dire par le coulissement du piston dans le
cylindre, mais son aspect orientations) sera totalement contrôlé pale
induction
mécanique.
En effet, si l'on pousse plus loin l'analyse, l'on se rendra compte que l'on
peut
considérer la machine à action purement rectiligne, donc à simple piston ,
comme si
elle était une machine limite entre les machines post , rétro et bi rotative.
Les conséquences de cette dernière réalisation sont à L'effet que la mécanique
rectiligne, permettant un soutient direct des pistons, ou encore par bielle
fixe,
permettra de réaliser un action strictement rectiligne de celle-ci . Cet
apport
permettra, dès lors d' isoler la partie inférieure du cylindre du carter, et
par
conséquent de produire La machine avec une gérance des gaz de type deux temps,
sans nécessité d'addition d'aucune huile de brûlage, la partie basse du
cylindre
servant de pompe d'aspiration des gaz neufs à injecter dans Le cylindre.
La machine à pistons Comme machine mécanlCO ~nductlve : ~énéraLisation des
méthodes
Nous avons donc dans notre dernière démonstration déterminé que Les machines à
pistons, du point de vu positionne) du déplacement de celui-ci , étaient bel
et bien
des machines décrivant les figures limites des machines rétro rotative, et bi-
rotative.
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Les prochains propos auront pour objet de généralïser, pour les machines à
pistons,
l'utilisation de toutes les méthodes de soutient préalablement exposées, ce
qui
prouvera hors de tout doute , l'aspect écanico-inductif de ces machines. Nous
montrerons en effet que l'on peut utiliser convenablement toutes les méthodes
appliquées aux machines rotatives, pour activer l' axe central des pistons des
machines à pistons , et ce comme dans les machines à induction mécanique, sans
recours à une aucune bielle.
Un premier exemple de généralisation de l'utilisation de ces méthodes nous
sera
donné par la méthode par engrenage cerceau.
En effet, dans cette réalisation, l' on pourra monter dans la machine un
vilebrequin
sur le maneton duquel, comme précédemment l'on installera un excentrique, ou
une
bielle, muni d'un engrenage d'induction de Type externe. L'on disposera
ensuite
dans le centre de la machine un engrenage de support. Puis l'on liera ces deux
engrenages par un engrenage cerceau, monté rotativernent sur le manchon du
vilebrequin. L' on constatera alors, que si les engrenages, de même que la
longueur
de l' excentrique sont correctement calibrés, l' engrenage cerceau, comme dans
les
versions antérieures, réalisera une rétrorotation pendant la rotation du
vilebrequin,
qui , se transmettant à l' engrenages d' induction et à son excentriq ue,
annulera
l'aspect latéral de celui-ci et en additionnera l'aspect vertïcal à celui du
vilebrequin
. (Fig. 37)
Une troisiéme exemple, sera celui de l'utilisation de la méthode par engrenage
intermédiaire. L' on montera comme précédemment le vilebrequin dans la machine
et l'on montera sur son maneton un excentrique, ou une bielle, comme
précédemment muni d' un engrenage d' induction. L' on montera ensuite de façon
fixe dans le flanc de la machine ou sur un axe à cet effet un engrenage dit
engrenage de support. L'on couplera ensuite les engrenages de support et
d' induction par le recours à un tiers engrenage de type externe, dit
engrenage
intermédiaire, cet engrenage étant monté rotativement sur lc mawvhon du
vilebrequin (Fig. 37~
L' on pourra donc reprendre toutes les méthodes précédemment exposées et
réaliser,
avec celles-ci le support mécanico-inductif de l'aspect positionnf:l des
pistons des
machines à pistons. L'on obtiendra en effet automatiquement plusieurs nouveaux
moteurs à action rectiligne, s'ajoutant à celui, déjà sous brevet, par mono
induction
rétro rotative.
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L'on produira donc au surplus des moteurs à bielle rectiligne, par exemple,
par
engrenage cerceau antérieur, postérieur, par semi transmission, par engrenages
internes juxtaposés, par engrenages internes superposés. , par engrenage
intermédiaire, par engrenage talon, par engrenage interne juxtaposé et ainsi
de suite
(Fig. 3~ )
Dans tous les cas, il s'agira, systématiquement de remplacer la pale relïée
aux
engrenages d'induction par un excentrique ou une bielle munie d'un axe, et de
relier l'une de ces parties aux pistons .de ces machines.
Dans toutes ces réalisations, les manetons ou les excentriques de ces machines
produiront trés exactement les rectilignes recherchées, et pourront par
conséquent
actionner les pistons sans aucun effort de gouverne positionnel des cylindres.
L' on vient donc de déterminer automatiquement plus de seize manières de
réaliser
des machines à pistons dont les pistons seront activés directement: par les
mécaniques, ou encore, par le recours à des bielles dont l'action sera ici
purement
rectiligne.
Ceci est une haute importance puisque toutes et chacune de ces méthodes, comme
la premiére méthode en mono induction rétrorotative, pourront dès lors
permettre
de refermer les chambres, au bas du piston et de les isoler du carter. L'on
pourra
par conséquent de produire, avec toutes ces maniéres sans exception, des
moteurs à
gérance des gaz de type deux temps, mais cette fois-ci sans aucune nécessité
d'ajouter des huiles combustibles aux gaz de combustion.
Chacun de ces moteurs pourra donc non seulement efficacement remplacer les
moteurs deux temps actuels, mais aussi, puisque les gaz à brûler y seront
purs, les
moteurs quatre temps.
Généralisation à l'ensemble des formes de moteurs à t~istons
Comme nous venons de le montrer, parmi les formes de ligatures déjà énoncées
par
nous-même en début d'analyse, celle dite d'induction mécanique peut dès lors
être
étendue sous toutes les diverses formes que nous venons de commenter.
Par ailleurs, nous avons aussi montré, à la f gare dix, que les machines à
pistons
pouvaient être réalisée sous la forme de plusieurs géométries de machines ,
comme
par exemple standard , orbital , par cylindre rotor etc.
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Il est donc important ici de mentionner que les extensions mécaniques que nous
venons de produire, en prenant comme exemple la forme standard de réalisation
de
machines â pistons, s'appliquent automatiquement à toutes les autres formes de
machines motrices â piston. En d'autre termes, l'on pourra différentier
plusieurs
types de machines à pistons orbüal non seulement selon leur type de ligature
utilisée , par bielle libre, par coulisse, par bielle flexible , et ainsi du
suite , mais
aller plus loin dans les précisions , lorsque celles-ci seront réalisées par
induction
mécanique en précisant le type d'induction mécanique utilisée. En effet, il
faut
nécessairement déduire que l' on vient d' établir que l' on pouvait réaliser
les
moteurs orbital en leur retranchant les bielle de seize nouvelles façon mécan~-
inductives déjà répertorie. L'on pourra par exemple réaliser les moteurs
orbitaux
par ligature mécanico inductive, dite par mono induction rétromécanique, ou
encore par ligature mécanico-inductive par engrenage cerceau, par induction
mécanico-inductive par engrenage intermédiaire et ainsi de suite.
Ces possibilïtés demeureront de plus réalisables, pour les machines, que les
pistons
en soient verticalement, obliquement ou horizontalement disposés.
De la même maniére l'on pourra réaliser les moteurs ~ cylindres r°otor
avec pour
chaque piston une action de ces genres.
L'ensemble de ces méthodes pourra aussi étre étendu aux machines
différentielles,
dans la mesure où l'on réalise l'action rectiligne horizontale de commandement
des
pales. C'est pourquoi l'on ajoute cette possibilité au présent tableau,
tableau qui
donnera un éventail de variables de plus de trois cent possibilité de machines
motrices.
L'ensemble de ces dernières précisions nous permet donc d'élargir le tableau
de
l'ensemble des machines motrices, de telle manière de tenir compte de ces
nouvelles variantes. Le nouveau tableau sera donc le suivant. Comme
précédemment, nous ajoutons un X aux machines qui sont déjâ d'usage public.
44

<IMG>

<IMG>

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Les machines à pales ~ vers des cormes idéales de cylindres de machines
Comme nous l'avons déjà mentionné à plusieurs reprises, les machines post
rotative, rétrorotatives et rotatives sont des machines de base , que l' on
peut
obtenir , par mono induction ou par , poly induction , avec des engrenages
simples ,
non modifiés , ou avec les précédentes méthodes .
Les caractéristiques plus générales de ces figures sont à l' effet que
généralement,
les figures post rotatives sont plus bombées, alors que les figures
rétrorotatives sont
plus algues. Les figures bi rotatives se situant en milieu de celles-ci L'on
obtiendra
une bonne image de ces figures en observant la course des points située sur
des
engrenages planétaires montés post rotativement et rélarorotativement dans une
machine. (Fig. 39j
Lors de leurs réalisations sous forme de machine motrïces de toute sortes,
compresseurs, machines de captation, moteurs, I' on peut donc constater que
les
formes plus obtuses des machines post rotatives permettent plus facilement,
dans
leurs cylindres, de construire la compression. Les formes varient de très
obtuses à
peu obtuses selon que l'on place 1e point de course dE; façon plus rapprochée
ou
plus éloignée du centre ou de la circonférence de f engrenage, planétaire, dit
d' induction.
Quant aux machines rétrorotatives, l' on est forcé de remarquer que le rapport
de
compression qu'elles construisent, en conséquence directe de l'aspect aigu de
leur
cylindre, est minimal.
Pour ce qui a trait aux machins de type bi rotatif, telle les poly turbines,
la
compression est acceptable.
A l' opposé, comme nous l' avons déj à montré, les rapports de couple sont de
beaucoup plus intéressants dans le machines rétro rotative, puisque le système
formé par le vilebrequin et sa pale se déconstruit beaucoup plus rapidement.
Cette
déconstruction accrue est obtenue par le fait que la pale de déplace en sens
inverse
de celui du vilebrequin. Au contraire dans les machines de type post inductif,
le
couple est assez faible, le système constitué du vilebrequin et de Ia pale se
déconstruit plus difficilement, Ie vilebrequin se déplaçant dans Ie sens de la
pale.
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Quant aux machines de type birotatif, comme pour le cas de la compression , le
couple étant à demi réalisé de maniére post et rétro rotative , l'on est au
niveau de
celui-ci entre les deux capacité des premiéres machines. Cependant, comme nous
l'avons déjà montré, la forme spécifique de la structure palique, permettant
de la
soutenir en seulement deux points opposés, rend possible la réaliser de la
machine
sans temps mort. Mais les causes de ce fait sont géométriques, et nous ne nous
y
étendrons pas plus longtemps, préférant pour le moment cerner l'aspect
mécanique.
Suite à ces constatations, les prochains propos auront donc pour objet de
montrer
que l'on peut, pour ces trois premiers types de machines proposer la
réalisation de
celles-ci avec, pour chacune d'elles, des formes de cylindre redessinées,
corrigées
pour ainsi dire, de telle manière de réaliser Ie taux de compression le plus
optimal,
ce qui permettra, comme on le verra, de corriger simultanément les défauts
relatifs
au couple et par conséquent de présenter des machine; en lesquelles couple et
compression seront parfaitement calibrés.
Principalement pour ces types de machines, les objectifs à réaliser seront,
pour les
machines post rotatives, de diminuer l'ampleur des arcs e cylindre formant
leur
phase compressive et offensive, alors qu°au contraire, pour les
machines de type
rétro et bi rotative, il s' agira de d' augmenter Ie bombage des arc=.> de
leurs
cylindres respectifs En plus simple, il s'agira de rendre les cylindres de
machines
post rotatives, plus rétrorotatif, et rendre les cylindres des machines rétro
rotatives
et rotatives, plus post rotatifs. C'est pourquoi nous parlerons de machines
post
rotative hybrides, machines rétrorotatives hybride et machine bi rotative
hybride,
Dans les pages qui vont suivre, l' on montrera, pour toutes ces machines,
comment
les réaliser, cette fois-ci avec des courbures et formes de cylindre idéales,
qui
rendent leur compression et leur couple optimales.
Pour ce faire nous montrerons quatre procédés de modification mécaniques
appropriés, dont l'application aura pour résultat la correcte la réalisation
de formes
de cylindres idéales. Relativement à ces formes idéales, l'on trouvera le
détail de
ces considérations dans les demandes précitées . Quant aux précédées des
modification de formes , l'on en retrouvera aussi dan <ie notre demande de
brevet
titrée Considérations géométa~iques de m~ntages poly inductifs de macd~ins
p~st et
rétr~ ~°~tatives .
L'on peut répertorier les principaux procédées de modification de: forme de
cylindre de la façon suivante . II s'agit des précédés
47

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a} Par coulisse ( fig. 40}
b) Par bielle libre ( fig. 40 )
c) par centre actif, (Fig. 41 )
d) par engrenage cerceau (Fig. 42)
e) par addition géomêtrique, (Fig. 43)
f) par étagement et juxtaposition ( centre , ou mouvement
irrégulier) (Fig.44}
g} par engrenages polycamés ( fig.45),
Nous montrerons par la suite, que l'on peut même employer ces ~>rocêdés en
composition, permettant ainsi d'opérer en un même temps plusieurs niveaux de
modifications et permettant ainsi de réaliser des machines plus complexes,
avec des ,
cylindres plus irréguliers tels des cylindres quasi rectangulaires, c:es
machines étant
nommées par nous Métaturbines
Problème~énéral
Pour mieux comprendre les objectifs de la présente section, nous donnerons
tout
d'abord quelques éclaircissements relatifs au problème général posé. Comme
nous
l'avons déjà mentionné, les trois grandes classes de base de machines
souffrent
toutes de défauts de géométrie de forme de cylindre, rêalisant pour certaines
des
surplus de compression, et pour d'autres, des manques de compression.
Les trois exemples de bases sont clairs ~ ce sujet. Premiérement, :pour les
moteurs â
géométrie post rotative, dont le premier exemple est le moteur i~ankle, même
supportés par une structure rétro mêcanique ou bimécanique, le cylindre est
trop
bombé et trop large pour sa hauteur, ce qui entraîne un excês de compression
que
l'on doit diminuer en retranchant de la matiêre sur la pale, ( Fig. 39 a) )
Dans le cas des moteurs rétrorotatifs, dont l'exemple principal est le moteur
triangulaires Boomerang, les solutions standards résultent en un fort couple,
mais
en revanche en un manque de compression. En ces cas, les partie; compressives
construiraient une meilleure compression si ceux-ci étaient plus bombés. (
Fig. 39
b) )
Quant aux poly turbines, contrairement aux moteurs de gêométrie Wankle, et
similairement â celle des géométries triangulaires, ces cylindres devraient
être
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bombée et élargis, tels que l'avons d'aïlleurs mentionné à nos premières
demandes à
ce sujet.
Méthodes de correction
ll~léth~de pcz~° coulisse
Comme pour les machines de premier degré, la premi~°re méthode de
correction est
la coulisse.
L'on pourra en effet utiliser la coulisse pour corriger v,~ne induction de
premier
degré, pour l'amener à un second degré, et ainsi corriger la courbure du
cylindre.
L'exemple Ie plus illustratif de cette procédure appliquée aux machines mécano-
inductives, est celle du moteur triangulaire.
Dans ce type de moteur, pour opérer une correction de type à coulisse, ïl
faudra
monter de façon mon inductive et rétrorotative le rotor qui servira d support
de
pale. Ce rotor sera dès lors lui-même planétaire et produira la méme action
que la
pale, dans ce type de moteur. (Fig.40 c) ) L' on «produira ce rotor avec une
coulisse
en laquelle l' on disposera la pale, de façon coulissante, les deux extrémités
de la
pale étant soumises, au contact du cylindre, à l' action excentrique interne
de celui-
ci qui complétera les actïons mécaniques motivant l'orientation et le
positionnement de la pale. L'action coulissante de la pale dans le rotor, par
rapport
à son action absolue dans Ies versions de bas, permettra e bomber le cylindre
dans
ses cotés, et d' en diminuer les encoignures, ce qui augmentera le taux de
compression.
Méthode pa~° bielle libre
Le rotor de la machine, par exemple post inductive, pourra, au lieu de
soutenir
directement la pale, la soutenir par le recours à des bielles libres. Les
bielles
devront être raccordëes entre elle par des engrenages conservant leurs
rapports
angulaires intacts. Cette méthode ne nous semblant pas facilement utilisable,
nous
ne la commenterons pars plus abondamment ( Fig. 4Q d) ) .
49

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Pas centr°e cactif
LTne quatriéme méthode de correction avantageuse des formes de machines sera
dite par engrenage de support actif. Pour une meilleure compréhension de cette
méthode , nous utiliserons la machine post rotative de géométrie Wankle ,
montée
cependant à partir de notre méthode de poly induction. à deux soutient, et
courses
contraires., ainsi que la machine de base de type rétrorotative , le moteur
Eoomerang triangulaire.
Comme nous l'avons déjà mentionné, les courses contraires des points situés
sur les
lignes des centres aux pointes et sur les liges ces des centres de cotés au
centres,
réalise, l'une à l'horizontale, et l'autre à la verticale, des courses en
double arc,
réalisables par des manetons ou excentriques montés rigidement à des
engrenages
dits d'induction couplés à des engrenages de support. Le rapport de nombre
d'arcs
à réaliser, force littéralement un certain rapport de grosseur des engrenages.
Dans le
cas présent, un rapport de un sur deux est obligatoire,. alors que dans les
moteurs
triangulaires m un rapport de un sur trois et un engrenages de support de type
internes sont obligatoires. Comme on I' a déjà montré antérieurement, l' on
peut
modifier l'amplitude des arcs formés selon que l'on dispose le maneton de
façon
plus ou moins rapproché de la circonférence de l'engrenage d'induction ou de
son
centre de rotation, tel que montré à la figure 41 b) . Nlais I' amplitude de
ces
corrections entraîne des difficultés, tels principalement Ies aspects top
aigus des
moments de changement directionnel se réalisant entre la f n d' un arc et le
début
d'un autre. Il apparaît donc que l'on doive pouvoir modifier la largeur des
cylindres
sans nécessairement en modifier la hauteur, et sans par conséquent faire
apparaître
ce genre de situation fâcheuse.
Pour ce faire, iI faut comprendre que Ies rapports des engrenages jouent
directement sur les rapports de hauteur et de largeur des formes réalisés.
Par conséquent, pour modifier ces engrenages sans en. modifier les rapports,
il faut
aboli~° leur' position abs~lue dans la n2~xchi~ce. En effet, si l'on
suit un point situé
directement sur Ia circonférence de l'engrenage d'înduction lors de sa
rotation, la
hauteur de la forme réalisée sera de la moitié de celle de sa largeur. L' on
peut
cèpendant modifier à volonté ce rapport, à partir du moment ou l'on soustrait
l' aspect absolu et statique de I' engrenage de support et que l'on réalise la
machine
avec l'aide, cette fois-ci , d'un engrenage de support actif Dans le cas de la
machine de géométrie Wanlcle par exemple, si 1°on utilise un engrenage
de support
de deux fois plus gros de sa grosseur initiale, il est certain que l'on
modifiera les

CA 02429211 2003-05-16
rapport largeur et hauteur de la forme réalisé en diminuant la largeur de la
machine
par rapport à sa hauteur. ll~Iais, comme cet engrenage est trop gros. Il
faudra lui
imprimer une action post rotative pour annuler cet effet. Cela pourra être
produit
par une petite servi transmission post rotative, telle que commentée
antérieurement.
Dans le cas des machines rétro rotatives et bi rotative, il faudra réaliser
l'effet
contraire, à savoir grossir le cylindre en bombage. Dans le cas des moteurs
triangulaires par exemple, il faudra au contraire choisir de l' engrenage d'
induction
plus gros. De telle manière que Ies rapports d'arc ne soient par modifiés, iI
faudra
par conséquent cette fois-ci imprimer à l'engrenage de support une action
rétro
rotative, aussi par petite servi transmission,
Il est à noter que l'on pourra modifier les mêmes figures par des rapports
contraires
des engrenages, par exemple au contraire en augmentant les grosseurs des
engrenages d'induction dans les géométries ~ankle (Fig. 41 d) En ce as , il
faudra rétroactiver l'engrenage de support . Au contraire, si l'on rapetisse
les
engrenages d'inductions d ans les machines de type rétrorotatifs (Fig. 41 c),
i1
faudra post activer les engrenages de support. L'on notera que l'on peu aussi
agir
de la façon contraire et obtenir d'autres formes de cylindre , possédant
d'autres
défauts et qualités.
C'est pourquoi nous préciserons ces Types de machines comme étant par exemple
post inductive à engrenage de support post actif, ou rétroactif.
De petites servi transmission pourront assez facilement exécuter l.e travail
de post
activation ou rétro activation des engrenages de support. Il faudra mettre en
rapport
ces engrenages avec le vilebrequin de telle manière d' en obtenir le résulta
escompté. Il s' agira en effet de garnir l' axe du vilebrequin et l' axe de l'
engrenage
de support d'engrenage de servi transmission, réunis entre eux par un tiers
engrenage, monté rotativement dams Ia machine, et qui sert soit d'engrenage
accëlérateur, soit inverseur.
Méthode par engrenage cerceau, intermédiaire et engrenage cerceau
intermédiaire
Lors de l'exposition de ces méthodes, n~us avons supposé que les longueurs des
engrenages cerceau, intermédiaire, ou cerceau intermédiaires étaient standard.
La présente section à simplement pour effet de commenter l' idée que les
grosseurs
de ces engrenages sont très variables, et quelles qu'elles soient , elles
auront
51

CA 02429211 2003-05-16
toujours les mêmes rapports d'incidences des engrenages de engrenages de
support
versus les engrenages d' induction. En d' autres termes , une même rotation
donnée
du vilebrequin pour un même engrenage de support , aura toujours un effet de
recul
du même nombre de dents de l' engrenage cerceau , ou intermédiaire , ou
cerceau
intermédiaire , quelque soit sa grosseur , et , secondement , ce dernier
engrenage
aura toujours le même effet rétrorotatif sur l'engrenage d'induction , quelle
que soit
sa grosseur. (Fig. 42 )
Il ressort de cette affirmation que l'on peut varier la grosseur de
l'engrenage
cerceau, ou intermédiaire, ou cerceau intermédiaire, sans varier les rapports
de
rotation de l'engrenage planétaire d'induction et par conséquent de la pale
qui lui
est rattachée. En d'autres termes l'on peut modifier les rapports de distance
entre
les engrenages sans changer les rapports de révolution de ces engrenages.
L'on pourra donc modifier la géométrie des figures. Par exemple., l'on pourra
réduire la forme latérale des machines post rotatives, ou encore augmenter
celle-ci,
dans les machines post rotatives.
Pcz~ addition géométa°ique
La méthode par addition géométrique sera certes fort usitée. En fait , d'un
point de
vue géométrique l'on peut montrer qu'une addition d'un droite d'un longueur
donnée à une piéce tournant de façon rétro planétaire produit exactement la
même
course que celle réalise par des mécaniques bi inductives. En fait l'on voit
qu'en
additionnant une droite à un système rétrorotatif, la forme réalisée, d' abord
rétrorotativement passe progressivement à sa forme limite, puis, en y ajoutant
une
droite, devient bi rotative. (Fig. 43)
Le cas le plus illustré est celui réalisé par ur~ planétaire monté de façon
rétrorotative
dans un engrenage, donc de type interne, dc deux fois sa grosseur. La forme
créée,
lorsque le maneton est situé entre le centre de cet engrenage et sa
circonférence est
de type rétrorotative. Lorsque le maneton est situé, à sa limite, sur la
circonférence,
l'on réalise, tel que déjà montré, une droite alternative. Maintenant, si l'on
ajoute à
ce système, une droite, représentée par une bielle de géométrie, l'on passe
dans le
champ des formes birotatives, dont l'ellipse est l'une des figures
principales.
La forme obtenue est donc équivalente à celle que l'on aurait obtenu par une
bi
structure mécanique et est donc par conséquent bimécanique.
52

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L'addition géométrique a donc permis la correction nécessaire à faire changer
la
machine de catégorie et de niveau de machine.
L' on notera que la bielle de géométrie pourra par la suite, comme on le
montrera
plus en détail plus loïn, pourra être appliquée à toutes les méthodles du
corpus
mécanique exposé aux présente, et réaliser les même résultats que ceux qu nous
venons de montrer, ce qui permettra de réalïser plusieurs moyens adéquats de
soutient de poly turbines.
Méth~de pa~° combinais~n de méth~de.s en j~.xtapositic~n et en
étagement
LTne autre façon de modifier adéquatement la course des pales sera celle dite
par la
méthode de combïnaison des méthodes.
Les meilleures façons de se faïre une idée exacte de celte méthode seront de
bien
comprendre que l'on peut corriger la couse de Ia pale en produisant une
correctïon
qui altérera la premiére forme obtenue, dite forme de premïer degré. (Fïg. 44
a )
L'on peut, d'une autre manïére penser les choses différemment. Bn effet,
jusqu'à
présent, dans toutes les machines étudiées, nous avons supposé une course de
centre de pale, c'est-à-dire une course positïonnelle circulaire.
Dans la présente méthode, nous traitons de façon différentiée les aspeci
posïtionne ;
et orientationnel de la pale. l~Tous supposons cependant qu' ~>ïI existe une
certaine
corrélation entre ceux-ci. En effet, nous supposons que des changements
apportés à
la course positïonnelle de la pale auront une incïdence sur Ia course de ses
extrémités, et par conséquent sur la forme de cylindre réalisée par celle-ci,
lors de
sa double rotatïon, posïtionnelle et orientatïonnellc.
L'on induira donc au centre de la pale un mouvement non circulaire, tout en
continuant de mécanise son orientation de telle manière que lors de sa
nouvelle
course positionnelle, sa course orïentationnelle ne soïi: pas changée.
L'on produira donc la machïne avec toujours, des inductïons mécaniques
spécifiques des aspects posïtïonnels et orïentationnels. Les deux machines les
plus
communes, soït les moteurs trïangulaires Boomerang, et Ie moteL~r à géométrie
dVankle nous serviront d'exemples..
53

CA 02429211 2003-05-16
Dans le premier, l'on visera à remplacer la course circulaire du centre de la
pale par
une course en trèfle, chacune des pétales de ce trèfle s'approchant des cotés.
L'on
produira donc une mécanique mono inductive rétrorotative, gouvernant
l'excentrique sur lequel sera disposé la pale. Par ailleurs, comme l'on entend
garder
à la pale tune rétroroiation similaire à celle de la machine originale, on
l'activera,
aussi par une mono induction, cette fois-cï étagée, qui en assurera la
gouverne
orientationnelle. La figure rotative réalisée par la pale sera. donc une
combinaison
de ces deux figure, et par conséquent, à travers sa rétro rotation, elle ira
profondément dans chaque coté, réalisant ainsi de fort; taux de compression.
(Fig.
45 l
L'exemple e la machine de type à géométrie Wankle sera semblable, par sa
mécanique et tout à fait différent, pour ses résultats. Comme nous l'avons
déjà
montré, ce type de machine souffre à la fois de surcompression, occasionné par
ses
trop excessifs bombages des parties latérales du cylindre et de son manque de
compression.
Une modification par combinaison étagée de méthode corrigera à la fois ces
deux
problèmes,
Comme précédemment, l' on abandonnera l' idée de réaliser une course
positionnel
de pale circulaire. Dans le cas présent, l'on réalisera une course de centre
de pale
qui aura pour objet de réduire les parties latérales du mouvement de celle-ci.
L'on
produira donc une course de centre de pale qui moins large que haute, donc
elliptique et verticale. Pour ce faire l'on utilisera une structure snmilaires
à celle
déjà montrée pour la le soutient par addition de bielle de géométrie de poly
turbine.
L'on utilisera donc une structure mono inductive rétrorotative avec addition
de
bielle de géométrie, ici sous la forme d'un excentrique. Cet excentrique
réalisera
donc une course elliptique, et recevra la pale. Une seconde structure mono
inductive, cette fois-ci étagée, couplera la pale, par son engrenage d'
induction, à
l' engrenage de support, disposé à la hauteur du maneton au vilebrequin, ce
qui
permettra de réaliser un mouvement de la pale similaire au mouvement original
orientationnellement, en dépit des modifications apportées à sa course
positionnelle.
En observant la mécanique, l'on réalisera. qu'en plus d'avoir annulé la
surcompression de la machïne, l'on en a fortement augmenté le couple
descendant,
puisque le double vilebrequin reversé qui soutient la pale a non seulement une
longueur totale appréciable, mais aussi agit en levier
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Pa~ticula~isations et généralisations de la méthode pa~°
combinai;son
Il est tout d'abord important de mentionner que les contrôles des parties
positionnelles des excentriques et orientationnelles des pales peuvent être
faits tout
autant à partir de mécaniques rétro rotatives que post rotatives, dépendamment
de
Ia figure et de la correction choisie
Il est aussi important de souligner que les pales, pourront tout aussi bien
être muni
d' engrenage d' induction de type externe que de type interne.
En ce dernier cas, si elles pourront activées par un engrenage de =.>upport de
type
externe disposé rigidement sur Ie vilebrequin à la hauteur de sont manetons,
ou
encore par un engrenage, dit engrenage de lien, (Fig. 47 ) qui lui~même sera
montée rotativement sur le manchon du vilebrequin .
L'on notera , ce qui est des plus important , que l,on doit au surplus énoncer
ici une
régie générale de combinaison non seulement des morio inductions entre elle ,
de
façon juxtaposés ou étagées, mais de toutes les inductions formant le corpus
de
méthode inductives données jusqu«' aux présentes. En effet , l 'on doit
considérer
comme un ~égle importante que toute méthode peut être combinée avec une autre
,
de façon juxtaposé ou étagée , pour effectue~° le cont~°ôle
positionne) et
orientationnel des pales et de même couplé par° un quelconque
induction, pa~°
exemple par morio induction, pa~° eng~°enage ce~°ceau, au
coté de la machine.
Fig.48) ) l'on pourra par exemple combiner une induction de contrôle
positionne)
par engrenage cerceau à une induction de contrôle orïentationnel par morio
induction. ( Fig.48 a ) l'on pourra encore combiner une méthode ~de contrôle
positionne) par morio induction et a une méthode de contrôle orientationnel de
type
poly inductif (Fig. 48 b ) Bien qu'il soït impossible , dans Ie cadre des
présentes de
commenter exhaustivement toutes les combinaisonss possible, l'on pourra
référer à
des figures supplémentaires que mous déposons en annexe pour Plusieurs
exemples
supplémentaires.
LTn dernier cas de figure en ces matières est celui du cas en lequel) la pale
sera muni
d'un engrenage d'induction de type externe et sera reliée directement à un
engrenage de support dans le coté du moteur.
E ce dernier cas, il faudra réaliser soit un engrenage d' induction de pale,
soit un
engrenage e support de la machine qui sera irrégulier, de telle manière que
les
engrenages de support et d'induction demeurent couplés l'un à l'autre en tout
point

CA 02429211 2003-05-16
de la rotation, en dépit de l' irrégularité du déplacement de cet engrenage
d'induction issu de sa course excentrique.
L'on appellera ces engrenage irrégulier, engrenages excentriques et engrenage
polycamés. (Fig. 49 )
Le dernier type de correction sera dit par engrenages polycamés (Fig.50)
En ce dernier type de correction, la course centrale de la pale demeure
circulaire,
mais les vitesses orientationnelles de rétrorotation de celle-ci sont
affectées
alternativement accélérativement et décélérativement par l'utilisation de
couplage
spécifiques d'engrenage excentriques et /ou polycamés , pour lesquels nous dés
â
présent donnerons de plus amples explications.
Engrenages exce~t~-iques et p~ly cramés.
L'on trouvera dans nos demandes de brevet précitées le détail de la présente
section, qui ne présente que les principales caractéristiques des engrenages
excentriques et polycamés appliquées aux machines motrices.
Comme on vient de le montrer, l' on peut coupler un engrenage d:e forme
irrégulière â un engrenage de forme régulière si le déplacement de l'un des
deux
engrenages est lui-même irrégulier. (Fig. 49,51 a))
L'on peut aussi monter sur rotativement sur des axes axes en les couplant deux
engrenages de forme irrégulière simple, ou encore de centre de rotation
excentrique, de telle manière qu'il demeurent toujours couplés, Pour ce faire,
l'on
couple ces dits engrenages excentriques de telle maniére que les positions
debout et
couchées de l'un soient alternativement complémentaire des position couchées
et
debout de l'autre. (Fig. 51 a )
L' on peut, par la suite modifier le rapport de tournage de ces engrenages en
en
conservant un qui demeurera dit excentrique, et en erg produisant un second,
dont
le centre de rotation sera bien centré , mais dont la forme sera irrégulière ,
elle aussi
de telle maniére de posséder plus d'une partie debout et couchée , ces parties
debout et couchées étant alternativement couplées aux parties complémentaires
couchées et debout de ces engrenages excentriques . ( S I b ) L'on dira ces
engrenages ayant plusieurs parties couchées et parties debout polycamés.
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L'on peut, par la suite, rendre les rapports de ces engrenages encore plus
complexes
en combinant deux engrenages dits polycamés. Finalement l'on peut, de même
réaliser ces derniers engrenages sous d'autres types, tels des engrenages
internes , â
crémaillère .
De méme que l' on peut les assembler sous d' autres formules que sur des axes
f xes
dont par exemple ici sous formes de planétaires, ou encore sous. forme
d' engrenages d' induction et d' engrenage se support . ( Fig 51 a,b,c,d)
R~gles el'applicatioh en moto~°~logie des e~egrene~ges
excent~°iques etR~lycamés
Les trois règles suivantes peuvent être mises de I' avant, relativerr~ent ~
l'utilisation de tels types d'engrenages dans les machines motrices
Règle de l'équidistance des centres de rotation du
centre de la machine
Règle d'équidistance et de parrallélismes des centres des
engrenages excentriques
Règle de généralisation : exemple les polycamés serai
transmissitf , par cerceau, par poly induction
La première règle peut âtre interprétée dc la façon suivante ; lorsqu'un
engrenage
polycamé est couplé de façon planétaire ~ un second engrenage polycamé , Ie
centre de rotation de l'engrenage polycamé planétaire â un course parfaitement
circulaire en dépit de l' irrégularité des engrenages. La vitesse de rotation
de
l'engrenage planétaire est cependant affectée, en ce qu'elle subit
alternativement
des accélération et décélération. C'est pourquoi l'on donnera aussi à ces
engrenages
le nom d'engrenages accélératifs. (Fig.52)
Cette règle permettra de réaliser des machine rétro rotatives et post
rotatives , dont
les figures de cylindre seront modifiées par l'accélération ét la décélération
des
pales auxquelles sont rattachés les engrenages , qui deviendront dès Ions des
engrenages de support et d'induction poly camés.
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Dans les machines rétrorotatives comme dans les machines post inductives, l'
on
obtiendra d'excellent résultat ors d'application dc tels engrenages, ces
résultats
étant similaires à ceux des autres modifications déjà énoncées. Au surplus
l'on
amoindrira le temps mort des machines post inductives et augmentera leur
couple.
(fg.53) Bien entendu, toutes les fEgures à n cotés de machines post, rétro ou
bi
mécaniques pourront être affectées de la même maniére.
Cette premiére régie trouvera aussi des applicatïons dans les serai: turbines
différentielles.(Fig.54) Dans celles-~ci, lorsque montés avec des engrenages
conventionnels, iI faut en effet effectuer une correction ligaturale, par
coulisse ou
autre moyen de la pale à l'excentrique du vilebrequin. Avec l'utilisation
d'engrenage excentriques et polycamés , cette régie permet de constater que la
distance du point de rotation de les engrenages excentrïques est toujours
égale du
centre. L' on pourra donc relier les pales à cc point qui bien que tournant
parfaitement circulairement, produira les décélérations et accélération
nécessaires aux éloignements et rapprochement et éloignement des pales formant
les compression et dépressions des gaz.
La seconde règle quï édicte l'équidistance des centres des engrenages
excentriques
planétaires aux surfaces de engrenages de support montre que la forme réalisée
par Ia course des centres des engrenages planétaires est une forme paralléle
de celle
des engrenages de support. (Fig.S a)
La troisiéme règle sous entend de plus qu'un même point situé sur des
engrenages
planétaire est toujours équidistant d'un même point sur un engrenage sur un
autre
engrenage planétaire (Fig.55 b) .
Une troisième régie découle directement des deux premiéres, qui est celle que
l'usage d'engrenages polycamé peut être réalisé dans toute méthode du corpus
déjà
commentée , en remplacement des engrenages standard s'y trouvant , et a pour
effet
de modifier la vitesses des parties 1a formes des cylindres , et /ou niveau
des
machine.
Cette règle permet donc de supporter des pales de machines complexes de
deuxième et de troisième degré, telles les poly turbines ou encore les
métaturbines
de produire une action polycamé de pales de machines de premier degrés
soutenues
par méthode poly inductive.( Fig.56 ) L'on pourra donc, en effet réaliser de
façon
polycamée non seulement, comme nous venons de le voir, les machines mono
inductives, ou encore les machines par poly induction , mais aussi Ies
machines
soutenues par serai transmission, par engrenage cerceau , par engrenages
5~

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intermédiaire , par engrenage talon et ainsi de suite. L'on parlera alors par
exemple
de machines post rotative par serai transmission polycamée, de machine
rétrorotatives, par engrenage cerceau polycamé et ainsi de suite.
Régie de généralisation
L'on doit en dernier lieu mentïonner que les engrenages polycamés peuvent être
employés en remplacement de tout engrenage participant du corpus mécanique
plus
haut mentionné pour y produire des modïfication de forme des parties
compressives, ou de dynamiques des parties motrices.
L'on pourra par exemple produire les mécaniques â serai transmission avec des
engrenages d' induction et de support excentrique et ou polycamé s. L' on
pourra agir
de la méme façon par exemple avec les méthodes à engrenage cep°ceau, ou
encore â
engrenage intermédiaires.
(Flg. 57 a,b,C,~
Compréhension géométrique des méthodes de modli~cation de course et de
dynamiques des parties compressives et de formes de cylindre obtenues
I3ansa les pages précédentes nous avons montré comment modifier les machines
de
telle manière d'en améliorer et d'en équilibrer les qualités
De fait, nous en avons amélioré les qualités en m~d~~ant les formes des ces
machines de telle manière de donner aux machines post rotatives une tonalité
rétrorotative et inversement, de telle manière à donner aux machines
rétrorotatives,
une tonalité post rotative.
L'on peut en déduire que si I'on place sur une même ligne les machines
rétrorotatives et post rotatives, Ies machines idéales, dont 1a compression
est le
couple seront optimaux, se situeront entre le machines bi rotatives et post
rotatives.
59

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Conclusion et récapitulation des méthodes de correction et de production de
cylindres idéals.
Les derniers commentaires peuvent être synthétisés de la façon suivante. Toute
figure de machine peut être corrigée ou réalisée en produisant un contr~le
différent
de la course du positionnement central de la pale et de son orientation.
Les techniques peuvent tout d'abord viser â conserver un mouvement central
régulier, mais à produire des variations accélératives -décélératives du
mouvement
orientationel de la pale. C'est ce qui se passe avec l'application
d'engrenages
excentriques et polycamés, que ces machines soient produites en mono
induction,
en poly induction, en serai transmission, ou encore par tout autre méthode
appartenant au corpus de méthodes déjâ commenté. D'une autre maniére l'on
pourra modifier la course positionnelle de la pale, ce qui entraînera , par
divers
mécanisme ligaturaux combinés, un mouvement de global de pale corrigé selon
les
paramètres de calibrage exigés.
Les techniques de contrôle peuvent être réalisées de diverses manières selon
que les
engrenages de support et de pale sont internes ou externes et selon que les
engrenages de support de pale seront fixes ou eux-mêmes actifs, étant alors
des
engrenages de lien..
L'on doit aussi différencier les maniéres selon que l'engrenages de pale est
couplé
à un engrenage de support situé sur le vilebrequin, â un engrenage de support
situé
sur le coté de la machine.
En ce second cas, il devra être utilisé, comme nous l' avons montré un nouveau
genre d'engrenage que nous avons nommé engrange excentrique ou polycamé, cet
engrenage devant être utrllsé ici soit sur la pale , comrr~e engrenage
d'induction
d'orientation , soit sur le flanc de la machine , comme engrenage de support
poly
camé (Fig.48)
Il faut noter, en dernier Lieu que l'on pourra réaliser à partir du couplage
des deux
engrenages irréguliers , l'excentrique ou polycamé , ur~ type de correction
permettant de réaliser des objectifs similaires aux précédents.
Il faut dernièrement mentionner que, puisque les corrections des cylindres ne
peuvent être réalisées que par des corrections mécaniques , et que , comme on
l'a
vu , les corrections des cylindres entraînent dans chaque machine , des ajouts
de

CA 02429211 2003-05-16
qualités des machines complémentaires , ces ajouts sont aussi notable au
niveau
mécanique.
L'on peut à ce sujet donner les deux exemples suivanta. Tout d,al)or , la
réalisation
polycamée des moteurs de type VVanl~le, non seulement réduit-elle l'ampleur du
cylindre, mais augmente-t-elle la puissance du couple de la machine , en
accélérant
la pale au moment opportun. (Fig. 49)
LTn deuxiéme exemple, toujours appliqué à la machine de géométrie post
rotative
~Iankle consiste à montrer que lorsque la forme du cy-lindrc est corrigée en
en
réduisant la largeur, par course ovale de l'aspect positionne) de h, course de
la pale,
l' on augmente, par l' addition des vilebrequin, un dirigé vers l' extérieur
et l' autre,
soustractif géométriquement vers l'intérieur, le couple de la machine.
(Fig.45)
L'on peut à présent construire un tableau encore plus complet de l'éventail
des
variations de la machine motrice mére. Pour ce faire, l' on aj outera aux
précédents
tableaux les modes de correction réalisés sur les machines et si ce mode est
par
juxtaposition et combinaison de méthodes, l'on précisera les méthodes
participant
à cette combinaison en étagement ou en juxtaposition.
Généralisation des méthodes de soutient des pop turbines
Nous avons déjà montré, à 1a figure 3~ de la présente divulgation que l'on
pouvait
généraliser les méthodes de réalisation des machines à bielles rectilignes, en
montrant que l'on pouvait utiliser , pour les produire en contr~lardt
totalement
l'aspect positionne) du déplacement du piston toutes les mécaniques , en
unissant à
leur engrenage d' induction un excentrique ou une bielle d' induction
directement
reliée au piston.Par ailleurs , nous avons montré , lors de nos derniers
commentaires relatifs aux corrections des courses de pales de machines que l'
on
pouvait produire les poly turbines non seulement de façon bi rotative, mais
aussi
de façon mono rotative , corrigée d'une bielle de géométrie de tel manière de
lui
conférer une course birotative.( Fig. 43)
Comme nous l'avons déjà mentionné, les figures corrigées de premier degré
peuvent toujours âtre produites par des combinaisons de méthode, et il faut
bien
préciser que les figures de second degré peuvent tout autant l'étre~. Cette
assertion
permet de vérifier plus de quatre cent méthodes de soutient adéquat des poly
turbines, issues du corpus mécanique fourni aux présentes .Il faut: aussi
préciser
61

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que, la méthode de correction par addition de bielle de géométrie est non
seulement
simple de réalisation mais, aussi pour les polyturbines, comme pour les
machines à
bielles rectilignes généralisables â toutes les méthodes. ( f g. 58 ) L'on
pourra donc,
à toute méthode comprise au corpus mécanique des présente, additionner une
bielle
de géométrie suffisamment longue pour faire passe la forme de celle de
rétrorotative â celle de birotative, et par la réaliser la poly turbine
désirée. L'on
pourra donc non seulement réaliser les polyturbines par mono induction
additionnée de bielle de géométrie, mais aussi par engrenage cerceau ,
additionné
de bielle de géométrie, par sei transmission additionnée de bielle de
géométrie,
par engrenage intermédiaire , additionnée de bielle de géométrie ,, et ainsi
de suite.
Généralisation des acquis aux machines â cylindre rotor.
Les prochains propos montrerons que lorsque les machines à cylindre rotor sont
construites avec une mécanique d' activation des pistons active, ces machines
ont
une structure mécanique identique ~. celle des poly turbine et par conséquent
,
toutes les méthodes de soutient que nous venons de généraliser pour ces
derniéres
s'appliqueront autorrzatiquement pour celles-ci , ce qui prouvera , hors de
tout doute
leur appartenance.â la règle générale de définition de toute machine motrice
énoncée aux présentes.
En effet , si l'on suit attentïvement le déplacement d'un piston se déplaçant
alternativement ~. raison de deux fois par tour du cylindre rotor, l' on verra
qu' il
réalise exactement une ellipse similaire ~ celle des poïntes de pals des poly
turbines. S'il se déplace trois fois par tour, son déplacement sera aussi
équivalent â
celui du déplacement des pales d'une poly turbine ~ trois coté. ( big. 5~ c ,
d) L'on
eut par conséquent déduire que toutes les méthode de soutient de premier
degré,
corrigées par l'une des méthodes plus avant exposés seront adéquate pour
soutenir
les pistons de telles machines, en parfaite conformité avec le mouvement
circulaire
du cylindre rotor. L'on pourra aussi déduire que parmi les méthodes les plus
simples de réalisation, l'on pourra utiliser toute méthode de soutient
comprise au
corpus des méthode plus avant exposé, et y ajouter des bielles de géométrie.
L'on
pourra ainsi produire la machine par mono induction additionne de bielle de
géométrie, par engrenage caressez, additionné de bielles de géométrie, par
engrenages intermédiaires additionnées de bielles de géométrie et ainsi de
suite.
(fig. 61 ) Les tableaux précédents pourront donc être mis â jour par le
tableau qui
suit
62

<IMG>

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Dés et niveaux des machines
Le prochain commentaire aura pour but montrer un autre aspect résultant des
corrections géométriques effectuées, qui consiste à montrer que l'on peut
déterminer , à partir d'une compréhension des ces corrections , une
détermination
des degré de machines , selon le nombre de modifications effectuées.
Bien que nous prendrons à titre d'exemple les moteurs de géométrie Wankle.,
Boomerang, et polyturbines, ces règles s'appliqueront, comme o:r~ le verra par
la
suite, à toutes les machines post et rétro mécaniques abordées dans les
présentes.
L'on sait que l'on peut, de façon planétaire, ( Fig.39~ réaliser la course de
la pointe
de la pale . L' on imagine cette structure trop bombée. L' on imagine donc, la
course d'une dent de l'engrenage, comme centre d'une circonférence
rétrorotative.
L'on verra que la crëation de cette circonférence subsidiaire ou secondaire
produit
une courbure résultante contraire à la premiére, corrigeant celle-ci. L' on
peut
maintenant supposer que la course obtenue serve elle-même à la cdréation d'
une
troisième circonférence, secondaire, à un degré supérieur, et cette fois-ci
post
rotative. Dans la mesure oû cette derniére cireonférence est plus encore plus
petiote
que les précédentes, l'on assistera à une correction de la figure, la faisant
passer à
une forme cette fois-ci plus irréguliére, par exemple quasi rectangulaire.
L' on peut imaginer maintenant que les courses ne sont pas synchronisées , ce
qui
ajoutera à la complexité de la f gare obtenue , que l'on nommera figure
résultac~cte.
L'on peut maintenant prétendre que la méthode par étagement et,juxtaposition
déjà
montrée peut réaliser ces courbures,
Régie de l' équivalence des procédures de modification des figures.
11 est important de noter ici que les autres méthodes de modification des
figures
arrivent aux mêmes résultats.
Par exemple, l'addition d'une bielle de géométrie à un structure rétrorotative
réalise
une très adéquate soutient des machines de type poly turbine, et remplace
efficacement les soutient par double vilebrequin birotatifs que nous avons
déjà
montré. (Fig.. 43
64

CA 02429211 2003-05-16
D'une autre manière, Ie soutient poly cané en mono induction est équivalent,
et
peut lui-même être utilisé en remplacement soit le double soutient, soit
l'addition
géométrique . ( Fig. 49
La composition de ces méthodes permet évidemment de fabriquer des machines qui
nécessiterait deux niveaux de poly induction étagées, Dans des machines telles
par exemple de poly turbine., mas cette fois ci avec un seul niveau poly
inductif de
soutient , modifié par addition ou polycamation. (Fig. S8 a,b ) Cette
composition de
méthode remplacera même des machines dont Ia forme du cylindre peut requérir
trois niveaux de poly induction étagé, telles par exemple les métaturbines,
entendue
comme machines à cylindres irréguliers, tels les cylindres quasi
rectangulaires.
L'on pourra en effet réaliser celle-ci avec un seul niveau de poly induction,
ajoutant
par Ia suite une polycamation des engrenages, de même que simultanément, une
addition géométrique.
( Fig. 58 c )
Dans les précédents propos, nous avons montré, en tout premier lieu, les
principaux types de machines, à savoir, Ies machines post, rétro et bi
rotatives.
Dans un deuxième temps, nous avons montré qu'il existant deux grandes classes
de
mécaniques de soutient pour ces types de machines selon qu'elle dérivaient de
l'observation de la conduite des pièces maitresses par un observateur
extérieur, où,
selon que l'on procédait à l'observation par un observateur intérieur, c'est-à-
dire
Plus précisément situé sur le vilebrequin, ou sur la pale elle-même.
Dans la troisième partie de notre propos, nous avons montré que l'on pouvait
ensuite, non seulement pour des questions de point d'observation, mais pour
des
raison de modification des formes, produire des machines qui ne seraient qu'à
proéminence post rotative, ou à proéminence rétrorotatives, puisque chacune
d'elle,
de par sa géométrie comporterait aussi une souche contraire. Dans la quatrième
partie de notre propos, nous nous sommes efforcé de montrer, comment par la
suite, réaliser ces figures hybrides, simplement proéminentes.
Rè~le d'interchangeabilité des mécanidues ~ frères, , parents enfanta)
Il est important avant d'aller plus loin dans la présente de préciser que nous
distinguons Ies formes géométriques dites post rotatives, rétro rotative et
rotatives,
des mécaniques post rotative, rétrorotatives et bi rotatives. En effet, l'on
doit
constater que dans leur forme initiale, l' on peut créer un mécanique une
forme

CA 02429211 2003-05-16
rétrorotatives avec un mécanique de type rétrorotatives, et de même un forme
post
rotative avec une mécanique post rotative. Il faut donc abouter, que les
modification
présentées précédemment permcttent de rendre plus indépendantes les types de
mécaniques, lorsque réalisées de second degré, des figures. En effet , l'on
pourra à
partir de ces modif cations réalise des figures post rotatives à partïr de
mécaniques
rétro rotatives modifiées et inversement , réaliser des figures rétrorotatives
à partie
de mécaniques post rotative modifiées. Il va de soir que les deux types de
mécaniques modifiées pourront réalise les figures bi mécaniques, pour laquelle
l'on
a produit un mécanique rétro rotative polycamé et en;'uite une mécanique post
rotative polycamé. Généralement cependant, pour passer à d'une mécanique post
rotative à une mécanique bi rotative, il faudra une correction et à une
mécanique
rétrorotatives, deux corrections et inversement.
Les corrcctions sont donc utilisables pour augmenter la complexité du
cylindre, et
par conséquent obtenir des poly turbines, métaturbines, mais aussi pour
obtenir une
géométrie opposée à la structure mécanique.
Lois d'étaiement et de degrés de machines
L'on trouvera des précisions relatives aux prochains propos dans notre demande
de
brevet titrée Guidages combinatoires et synthése ses niveaux de guidage.
Les machines de p~emie~° degré.
L' on appelle les machines de premïer degré des machines qui pourront être
produites avec des techniques par mono induction et poly induction mono et
poly
inductives de base, non étagées , non additionnées géométriquement , non
excentricisées ou polycam~es. Les machines de premier degré sont donc les
machines post et rétro rotatives de base non modifiées telles les moteurs de
géométrie Wankle et sous jacentes à n cotés, dont les pales sont motivés par
les
méthodes du corpus de la présente divulgatïon.
Les machines de second deg-~°é
L'on peut distinguer deux types de machines de second degrés.
L'on appelle tout d'abord des machines de second degré des machines de type bi
rotatives de base, telles par exemples les poly turbines, ou encore les
machines à
cylindres rotor avec course de pistons sinusoïdale.
66

CA 02429211 2003-05-16
Ensuite, l'on pourra aussi classer comme de machines de second degré les
machines mono rotatives de base auxquelles l'on aura produit une modif cation
correctrice, par l'un des procédés précédemment démontrés, c'est-à-dire par
addition géométrique, par polycamation, par étagement de mécanisation, et
autres
formes de ligaturation telle par coulisse et ainsi de suite.
Les machines de second degré sont donc, en résumé
a) Des machines dont Ia course des pièces et/ou la forme du cylindre est bi
rotative de façon naturelle
b) Des machines post rotatives ou rétrorotatives de premier degré, ayant subi
un
degré d' altération
Les mczchi~es de troisième degré
Comme précédemment l'on peut classifer les machines de troisième degré selon
qu'elles le sont de façon naturelle, de par la courbure naturelle mème de leur
cylindre, ou encore selon qu'il s'agit de machines de degrés inférieurs ayant
subit
des altérations.
L' on appelle les machines de type métaturbines, dont les cylindres
irrégulier, quasi
rectangulaires des machines de troisième degré. De mème, les machines à
cylindre
rotor de type Slinky, ainsi que les m~xchines à cyli~d~°e~
r°oto~, de type à pistons
périphériques , que nous commenterons plus loin dans Ie présent exposé ,
peuvent
être considérées comme des machines de troisième degré. Finalement, les
machines
à Cylindre Be~llon, que nous commenterons aussi plus loin dans Ie présent
exposé,
peuvent aussi être considérées comme étant des machines de troisième degrés.
Dernièrement, les machines à pistons conventionnels, lorsque en ceux-ci, les
aspects positionne) et orientationnel des pistons sont simultanément
contrôlés, sont
des machines de troisième degré.
Ces machines sont toutes dites de troisième degré pour Ia raison e>uivante que
la
forme naturelle de leur cylindre ou encore de la course de leur partie
compressives,
nécessitent toujours trois niveaux d'induction mécanique pour en réaliser les
méthodes de soutient. A Ia limite, si l'on procédait par mono induction, l'on
devrait
étager trois niveaux d' induction pour réaliser ces machines.
67

CA 02429211 2003-05-16
L'on doit aussi considérer comme anachines de troisiéane degré des ~zachine de
second dega~é ayant ,subi deux adtér°ations en composition, telle par
exemple un
altération géométrique et une altération polycamé, une altération en étagement
de
structure et en polycamation etc., ou encore des machines de second
deg~°é ayant
subit une altération.
L'on pourra dès lors définir par exemples les machines de premier degré, par
exemple des machines post et rétro rotatives de base ayant subit ,deux
altération
comme des machines de troisième degré . Un autre exemple sera celui de moteurs
à
pisont que l'on aura produit à bielle rectiligne, mais dont la rectiligne sera
oblique
et lesquels par conséquent il faudra produire par engrenage polycamés, pour
ramener Ia course rectiligne verticale du piston. Les serai turbines
différentielles,
machines à cylindre rotor, montées avec des engrenages poly camés seront aussi
des machines de troisième niveau. Les poly turbines, dont on aura surbombé le
cylindre seront aussi de cette nature.
Les machines de troisième degré sont donc, en résumé
a) des machines dont la cours des pale, et /ou la forme du cylindre est, de
façon naturelle de troisième degré
b) des machines de second degré, pour lesquelles I'on aura apporté un
modification de telle manière d'en améliorer Ie cylindre
c) des machines post ou rétro rotatives de prerr~ier degré, ayant été
modifiées
de deux manières (dans la mesure bien entendu ou ces modifications de
s' annulent pas, )
En général , l' on peut donc déduire qu' une machine sera dite du même nombre
de
degrés que Ie nombre d'inductions nécessaires à la correctes motivation de ces
parties compressive..
D'une autre manière, l'on pourra aussi comprendre le degré des machines selon
le
nombre d'induction et de correction apportées à cette ou ces inductions, ces
corrections équivalent , comme nous l'avons dit , elle~même à une induction.
Une dernière manière d'entendre le degré d'une machine sera qu'un machine d'un
degré supérieur peut être construite en se servant le la pale d'une machine
inférieure comme pièce de support supplémentaire au support de ses propres
parties
6~

CA 02429211 2003-05-16
compressives. En ces sens les poly turbines sont des machines Wankle dont les
pales deviennent des bielles de soutient à a structure palique, alors que les
méta
turbine peuvent être assimilable à des machines dont La structure palique
devient à
son tour une structure de soutient à laquelle l'on a rattaché des pales.
L'on comprendra mieux de cette maniére figurée la notion de degrës de machine
et
pourquoi, plus le degré en est élevé, plus les réalisations mécaniques de
support
sont complexes et en nombre abondant.
Anti corrections
L'on montre aussi aux présentes que l'on peut utiliser une méthode de soutient
par
exemple de second degré, pour soutenir une machine de premier degré. En ce cas
l'on doit effectuer une troisième correction, pour ainsi: dire de
rétablissement, qui
annulera les effets de la premiére correctïon.
LTne cas probant est la construction d'une machine mono inductive, par exemple
de
géométrie Wankle avec des soutiens mono inductifs additionnés de bielles de
géométrie, soutiens qui conviendraient plus, comme nous l'avons déjà montré, à
un
machine de type poly turbine, de second degré . L'on devra produire les
soutiens
cette fois-ci avec engrenages polycamées de maniére à conserver équidistante
la
distance entre les points de rattachement des bielles de géométrie et Ia pale.
Modification de de~°és de machines
La présente section a pour objet de montrer que l'on peut
a ) soit modifer le degré d'un machine en additionnant une correction , c'est-
à-dire
donc , amener une machine naturellement de premier degré à une machine de
second degré ,
b) ou encore, réaliser une machine de second degré avec des mécaniques de
premier degré corrigées.
c) rëaliser une machine avec deux degrés différents de soutient agissant
combinatoirement pour soutenir des parties de la pale.
Deux exemples
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Exemple de mécanisation avec un degré inférieur
Le premier cas sera celui de machine de second degré, soit les poly turbines,
que
l' on réalïsera avec des mécaniques de premier degré ayant subi un degré de
correction . En effet, pour réaliser un machine de nature de second degré,
l'on peut
se servir des mécaniques de premier degré pour ensuite leur apporter une
correction.
Un exemple intéressant de ceci consiste à réaliser la polyturbine, comme nous
l'avons déjà montré des machine de nature à deux degrés, avec une mécanique de
premier niveau corrigée. Par exemple, on se rappellera les cas de la
polyturbine
mécanisée par une mono induction rétrorotative, additionnée d'une bielle de
géométrie.
Comme nous l'avons déjà montré, l'on pourra généraliser cette dlernière idée
en
disant que toutes les mécaniques de premier niveau formant le corpus mécanique
pourront avec une correction, telle par exemple une bielle de géométrie,
devenir
des méthodes de support trés convenables pour la poly turbine, ce qui totalise
plus
de deux cents méthodes, pour cette seule machine.
La machine pourra donc par exemple étre construite par engrenage cerceau et
bielle
de géométrie, par serai transmission et bielle de géométrie, par engrenage
talon et
correction coulissante et ainsi de suite.
Exemple d'augmentation de degré : les machines à action rectiligne de second
degré
Comme nous l' avons déj à mentionné, si l' on consent à ne s' occuper que de
l' aspect
positionel des pistons peuvent être entendues comme des machine de premier
degré
en ce sens qu'il peuvent être réalisé par un ensemble d'induction dont la plus
simple , par mono induction rétrorotative, sans aucune autre correction.
L'on peut cependant remarquer que l'on peut construire la machine de telle
manière que la rectiligne rëalisée par la mécanique ne soit pas dans le sens
du
cylindre, mais plutôt par exemple oblique à celui-ci . Plusieurs exemples
pourraient
être produits, mais nous nous contenterons de deux seulement .Le premier cas
est
celui des.machine à avec action rectiligne verticale de premier degré, que
l'on
transformera en machine à action rectiligne verticale de second degré.

CA 02429211 2003-05-16
L' on notera, ensuite, que si l' on organise les engrenages dc telle manière
que la
rectiligne réalisée par la mécanique de la machine soit, cette fois-ci non
plus
verticale, mais oblique , l'on devra apporter un correction de rétablissement
, par
exemple en réalisant la machine par engrenage polycamés, ce qui rendra cette
machine une machine de troisième degrés.
De façon supplémentaire à la machine de second degré, cette nouvelle machine
possédera des accélérations et décélérations de vitesse qui pourront étre
synchronisées avec les déterminations thermodynamiques de la machine (fig. 63)
Dès lors une forme de ligature sera nécessaire, comme par exemple la coulisse,
ou
encore la bielle libre, unissant le piston à cette mécanïque.
Cette machine sera dite alors machine de second degré, exclusion faite de
l' orientationalité du piston, réalïsée par le cylindre.
Tous les moyens de correction déjà démontrés seront donc applicables, dont
notamment celui par engrenages excentrique et polycamé. L'on se rendra. compte
en effet que l'on pourra faire l'économie de la bielle corrective en utilisant
des
engrenages polycamé, redressant l' oblique en un rectiligne. Cette nouvelle
rectiligne aura. cependant des qualités dynamiques que la premières n' aura
pas,
c'est à dire que elle réalise des accélérations et des décélération
conséquentes de la
polycamation que permettront d'apprivoiser les vitesse montantes et
descendantes
du piston en fin et début de cours pour une plus grande puissance compressive
et
une plus grande puissance expansive, sans morceaux supplémentaire ajoutés.
L'on notera que toutes les mécaniques jusqu'aux présentes exposées pour
réaliser
les action rectilignes pourront ainsi être obliquées puis corrigées.
L' on notera, en dernière analyse, que, comme nous l' avons déj à mentionné ,
des
formes post rotatives peuvent étre soutenues par des rr~écaniques
réirorotatives
corrigées et inversement. Ces méthodes pourront s'avérer pertinent pour
notamment transformer des machines à proéminence compressive en machines
motrices et inversement.
71

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Les poly turbines : généralisation des méthodes de so~.ztient
Comme nous l'avons déjà expliqué, certaines machines ont, pour ainsi dire, un
niveau naturel. Par exemple, les polyturbines, avec Leur cylindre circulo-
sinuosidal
peuvent être définies , géométriquement comme des machines de type bi
rotative,
les formes se situant entre les formes rétro et post rotatives
conventionnelles .
C'est pourquoi les mécaniques de base les plus expressives permettant de
soutenir
adéquatement les extrémités des structures paliques sont des méthodes
utilisant en
combinaison des induction rétro et post rotatives mais , comme nous l'avons
déjà
montré précédemment , l'on peut effectuer des corrections des figures de bases
, et
ces corrections peuvent à ce point être accentuées que l,on peut finalement
réaliser
des f gares géométrique post rotatives, avec des mécaniques rétrorotatives
corrigées , comme l' on peut au contraire réaliser des fïgure rétro rotatives
avec des
mécaniques rétro rotatives. L'explication théorique de cette réalisation
consiste
donc à proposer qu' un méthode de soutient de premier niveau co~~rigée par une
méthode corrective peut être une méthode adéquate de rëalisation de la machine
de
nature de second niveau. Cela étant dit , l'on pourra dés généraliser les
méthodes de
soutient de la structure palique de la poly turbine , en disant que toutes les
méthodes rétrorotative de premier niveau déjà mentionnées au corpus mécanique
général , pourront additionnées d'une correction réaliser des méthodes de
montages des poly turbines. La façon la plus simple sera par addition gde
bielle de
géométrie.
L' on pourra par exemple soutenir adéquatement Ia poly turbine avec l' aide de
la
mécanique à engrenage cerceau, additionnée d'une bielle de géométrie, ou
encore
avec la mécanique par engrenage intermédiaire, comme précédemment additionnée
de bielle de géométrie , ou encore , de la mécanique par engrenage talon ,
additionnée de bielle de géométrie et ainsi de suite . L'on notera que toutes
les
méthodes correctives seront utilisables, mais que l'aspect rigide des bielles
de
géométrie nous semble le plus pertinent de montrer plus prëcisément.
Pour ces mêmes machines, l'o pourra procéder comme pour les moteurs à bielles
rectilignes en lesquelles l'on avait forcé la rectiligne alternative à se
produire de
façon oblique pour ensuite la corriger de façon polycamée. En effet l'on
pourra
produire le mouvement elliptique de façon oblique et, par la suite le corriger
de
façon, par exemple polycamée. L'on aura donc dés lors une machine de niveau
naturel amené à un troisième niveau, en lequel l'on pourra tirer profit des
nouvelles
accélérations et décélérations
'i2

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Le soutient des métaturbines
Comme nous l'avons déjà, mentionné, les méta turbines sont des machïnes dont
le
niveau naturel est de troisième niveau. L'on doit en effet, pour soutenir
adéquatement les extrémités des pales des celles-ci, effectuer deux
corrections
mécaniques, soit une mono induction additionnée de bielles de géométrie
décentrée, oblique.
L'on doit cependant remarquer que le centre des pales de ces machines, qui
oscillantes par leurs extrémité, parcourt au contraire une course circulo-
sinuosidale
qui est une course de second degré .
L'on peut donc constater que si comme pour les machines à pistons, l'on entend
soutenir seulement l' aspect positionnel de la course des pales, laissant le
cylindre
gouverner l'aspect orientationnel de celles-ci , l'on pourra réaliser la
machine avec
des mécaniques gouvernant 1e centre des pales et toutes les mécaniques de
second
degré, ou de premier degré corrigées pourront êïre efficaces. L'on utilisera
alors
toutes les mécaniques déjà montrées par nous-même permettant de soutenir les
pointes es structures palique des poly turbines, ou encore les pistons des
machines à
cylindre rotor , ce qui montre bien un fois de plus la genèse de toute
machine.
Par ailleurs, si l'on entend gouverner aussi les orientations des pales de
façon
mécanique, et autonome du cylindre, l'on devra produire des mécaniques de
troisième degré, c'est à dire, additionner à chacune de mécanique une
correction
supplémentaire. L' on aura donc un chois impressionnant de plus de mille
mécaniques. L'on aura soin préférablement d'utiliser les mécaniques impliquant
des engrenages polycamé et des bielles de géométrie, ces mécaniques n'ajoutant
pas de pièces libres aux mécaniques mono inductives de base, ce qui est fort
pertinent en motorologie.
Ceci nous amène à une dernière constatation, relative aux degrés des machines.
L'on pourra en effet constater que l'on peut toujours ajouter des pales libres
sur les
parties motivées adéquatement pour créer une machine plus complexes d'un degré
supérieur. Ainsi l'on pourra par exemple ajouter des pales pivotantes à un
rotor de
premier degré, ce qui en fera une machine de second degré. L'on pourra encore
ajouter des pales oscillantes sur des pi'ces de support similaires à des pales
de
machines inférieures. L'on créera alors des machines de troisième degré. L'on
pourra pousser l' application en rattachant des pales à des structures
similaires à
celles des structures paliques, cette fois-ci utilisées comme structures de
soutient.
L' on aboutit alors à des machines très complexes de quatrième degré, en
lesquels
73

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seul l'aspect positionnel des pales est contr~lé et qui, pour ces raisons,
risquent fort
peu d'être produites.
L'on pourra par ailleurs allier ces deux types de soutïent, et produire le
soutenir de
chaque pale de ces machines avec, au centre une structure de soutient de
second
degré, et dans les pointes, de troisième degré, ce qui p~e et, plus de sept
cents
variations de soutient possibles pour ces types de machine, soutients qu'il
n'est pas
nécessaire de répertorier ici une par une, puisque le concept de leur
réalisation est
ici énoncé..
L'on peut donc une fois de plus ajouter ces composantes ~ notre tableau
initial, y
incluant de façon généralisée Ies poly turbines et Ies méta turbines, puisque,
comme
on vient de le montrer, ces machines ne sont pas des machines isolées, mais
bien
des machines qui obéissent au même corpus de mécanique général permettant de
soutenir toute partie motrice de machine motrice.
L'on ajoutera donc au surplus, ~ ce nouveau tableau, de détermination, pour
chaque machine, du nombre de degré de selle-ci. La méthode de soutient de base
utilisée, et les ou les mëthode de correction utilisées.
74

<IMG>

<IMG>

<IMG>

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Ré~le d'interchangeabilité des mécaniques
Toutes les machines plus haut mentionnées sont des machines dont la souche à
divers degrés et de façons plus ou moins rapproches est des machines rétro,
post
Ou bl méCanlque.
C'est pourquoi l'on peut affirmer comme régie que toutes les mécaniques
présentes
aux présentes s' appliquent, non seulement aux machines de bases, mais ~. tous
les
types e machines présentés
L'on peut par exemple appliquer avec succés des mécaniques de type rétro
rotatives â des machines à cylindres rotor pour soutenir leur piston, et ces
mécaniques s'useront â ce point efficace qu'elles permettront d'y retrancher
Ies
bielles
Pour les méme moteurs, l'on pourra aussi appliquer les mécaniques ~, cerceau,
à
semi transmission, à post induction ~.vec addition géométrique, et au sur plus
appliquer, comme pour les machines e base, des mécaniques en étagement etc ce
qui réalise plus de quatre cent type de mécaniques par genre de rr~achines.
Ainsi donc toutes Ies mécaniques seront aussi réalisable pour toute les types
de
moteur, dont nous donnons ici exemple pour le moteur slinky, avec en a une
mécanique a engrenage cerceau, en p une mécanique ~~ poly induction
rétrorotative, en c, une mécanique ~, engrenage intermédiaire et ainsi de
suite.
d~écapitulati~a~
Nous avons jusqu'â présent montré que trois grandes classes de machines ~ pals
étaient réalisables, et peuvent être déterminées selon qu'elles sont, lorsque
construite de façon mono inductive ou poly inductive, post rotative,
rétrorotative,
o~ birotatives. Nous avons montré qu' il s'agissait bien l~ de générations
pour
lesquelles nous avons soumis des régies de cotés appropriées.
76

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Nous avons ensuite montré que deux grandes classes de soutient mécaniques
étaient possibles, pour ces machines, selon que les parties compressives et
mécaniques sont observées de l' extérieur ou de l' intérieur.
Cela nous a permis de créer des types de mécaniques absolues
Mono inductif pareillement réalisé chez Wankle pour les machines post
rotative, de pale triangulaires et carré
Poly inductif,
Et relatif
Par engrenages, polycarné, par serai transmission, ainsi que toutes autres
méthodes ayant été exposées par nous-mêmes
Nous avons ensuite montré que ces trois types de machines pouvaient être
réalisé
de façon moins stricte, en apportant chaque genre, des qualités
complémentaires
des machines de génération complémentaires, ce qui nous a permis de parler
plutôt
de machine sa proéminence post rotative, à proéminence rétrorotative, à
proéminence bi rotative, les machines idéales se situant entre les formes bi
rotative
et post rotative.
Ces distinctions nous ont ensuite permis de montrer que l'on pouvait établir
des
degrés de machines, selon ne nombre d' induction étagé qu' il en prendrait
pour en
réaliser un soutient mécanique adéquat.
Les prochains propos auront pour objet de montrer, fort à la fois de
l'homogénéité
et de la variabilitë de l' ensemble mécanique que nous venons de montrer, que
les
machine de types post rotatives, rétro rotatives, et rotatives, peuvent dés
lors être
réalises par diverses figures de compression, qui toutes, sont supportées par
ce
même ensemble mécanique.
L'on montrera dons que la complexité du mouvement des pales ou structures
paliques peut être réduite en utilisant des pistons , en périphéries,
verticaux,
machines à cylindre rotor poly inductive) en périphéries horizontaux (
machines à
cylindre rotor à pistons horizontaux ) , central ( machines à explosion
centrale) , ou
encore à course circularo-rectiligne (Machine Slinky ) .
77
". . _,. ~ ,.., -_ ..: . ..:.~~ .....u> ~~.,~. ~_~~.~... _~-..a
~_=a~Ra~~~.__~.,~_~ _ ~...~~.. __..________.____

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Par un autre coté , l'on montrera que les machines poly inductives , peuvent
aussi
avoir diverses conception de pales , les réalisant ainsi en pales périphérique
machines à cylindre rotor poly inductive à pale) , par lpales à traction , (
machine à
traction poly inductive ) par pales différentielles ( machine différentielle à
poly
induction) , par pales centrales ( ~/Iachines à pale centrale)
La machine à pistons , comme machine e ~uatriéme degré
Les réalisations de machines à pistons, si simples dans Icur réalisation
courantes,
masquent leur réalité fort complexe. En effet, la distrilbution égale des
forces sur le
piston minimisant la friction sur le cylindre rend inutile le contr~le
orientationnel
de celui-ci, réalisé adéquatement par Ie coulissement de celui-ci dans le
cylindre.
~,es prochains propos ont simplement pour effet, de montrer, que si l'on
entendait
produire Ie soutient à la fois positionnel et orientationnel du piston, cette
machine
serait en réalité un machine de troisiëmc, et méme de quatriéme degré.
L'on a vu jusqu'aux présentes, que toutes les méthodes de premier degré
suffisent
pour supporter adéquatement le piston, de son seul point de vu positionnel.
L'on
réalisera que si l'on entend le supporter aussi orientationnellement , et par
conséquent sans aucun incidence du cylindre , l'on devra toujours produire h
machine dans son aspect birotatif , corrigé . L'on produira la machine par
exemple
par double soutient de vilebrequin , rattachés cette fois-ci à deux parties du
piston
opposées. ( Fig. 64 ) ~u encore, I'on supportera le piston en double mono
induction , en double engrenage cerceau , etc , toujours en supportant le
piston en
deux parties différentes. .
L'on voit donc que si l'on entend soutenir de façon totale et autonome le
partie
compressive de cette machine, et que l' on doit rëaliser mécanique la forme de
sa
course , cette machine répond elle aussi à tous les critéres de maohines déjà
;
exposé , les induction devant même produites en doublé. Cette assertion
renforce
donc l' idée générale que nous défendons aux présentes, que toute machine
répond
du corpus de mécaniques de soutient, de ligaturation et de corrections
édictées aux
présentes, dont les bielles et les coulisses ne sont que la plus élémentaire
expression
applicables préférablement dans certains contextes plus particuliers.
7~

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Les figures de machines motrices subsidiaires
I~Tous avons établi jusqu,aux présentes que les formes géométrique de bases
pour
lesquelles l'application du c~r~u~ de écr~nds~ti~n est réalisable sont
principalement les machines à parties compressives rectilignes , soit à
pistons , et à
parties compressives géométriques , soit les machines post rotatives,
rétrorotatives,
birotatives.
De même nous avons montré que les formes dérivées directement de celles-ci,
géométriquement , telle par exemple Ie moteur orbital , répond ai:~ même
corpus
mécanique , et doit étre compris dans la présente divulgation , et revendiqué
sous
toutes ses formes mécaniques non encore brevetées préalablement aux présentes.
De méme nous avons montré que des formes plus subtiles , comme par exemple les
moteurs à cylindre rotor , pouvaient être considérées comme des machines
hybrides, se situant à mi chemin entre les machines déjà exposée s , tant en
quelque
sorte deS maChlne à plStons , mais Y°otatlves.
Les prochains objectifs de notre propos auront pour ohjet de montrer, que des
formes subsidiaires de machines, découlant des géométries de bases, ou encore
des
mécaniques de base peuvent être réalisées et, à juste titre étre considérées
commendes variantes de la déf nition générale de machine motrice puisque les
corpus mécanique général peut leur être applique de façon adéquate.
Les prochains propos porterons dons sur ces variantes géométriques des parties
compressives, pour lesquelles nous commenterons la souche.
L'ensemble de ces machines pourra donc être répertorié de la façon suivante .
a) Les machines à cylindre rotor poly inductives
b) les machines de type, poly rectiligne dites Slinky
c) les machines Rectilignes périphériques, simples ou
polycamés
d) Ies machines à Explosion centrale les machines de type
Semi turbines polycamées
e) les machines de type Antiturbines
f) Les Machines hybrides pures
g) Les machines de type i~oly rotatif
h) Les serai turbine et poly turbines A traction
i) Les machines de type métaturbines
7

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j) Les machines auto pompées, compositionnelles
k) Les machines rotatives périplhériques.
1) les machines poly inductives différentielles ~7ans
considérations géométriques)
m) machines poly inductives à traction
n) machines poly inductives combinatoires, et à cylindre rotor
'Types de machines poly inductives subsïdiaires
Comme nous venons de le montrer , par Ia loi des l' interchangeabilité des
mécaniques aux divers types de machines , l'on peut reconnaître qu'il s'agit
ou non
d'une machine de type poly inductives dans la mesure oû l'on peut lui
appliquer
favorablement l'une des méthodes des soutients déjà commentées par nous-mémes
cette méthode étant selon lc degré de la machine , odif ée aussi par les
méthodes
commentées par nous-mêmes , soit par addition, engrenage de support dynamique
,
polycamation des engrenages , étagement .
Les prochains propos auront donc pour but de présenter de nouvelles machines
ou
encore de présentées des machines pour lesquelles nous avons déjà obtenu
brevet,
mais cette fois-ci montées avec des méthodes poly inductrices.
La mc~chi~e ~ cylindre ~°oton poly inductives
Comme nous havons montré à la présente demande , lorsque la machine à cylindre
rotor est produite avec une action dynamiques des partis mécaniques motivant
,es
pistons , celle-ci s'avéra être un machine appartenant à l'ensemble mécanique
décrit aux présente.
Les machines ce Expl~sion cent~°c~le 45
Comme on peut le constater, à nos prcmiéres mécanisations de machines à
explosion centrale ( Fig. 65) , toutes les mécaniques sont ici utilisables
pour actives
une parties compressive entre elles L'on doit déduire de nos machines à
explosion
centrale la règle suivante, qui s'appliquera par la suite à toutes nos
machines : Ce
qui peut êt~°°e produit de façon standard peut aussi
êty°e p~°oduit de fezço~e cent~ezle , et
~0

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la production de façon centrale de machine moty°ice ici présentée est
sta-°ictement
dans le champs d,applieation de celles-ci
Les machines de type, poly rectiligne dit Slinky
Bien entendu, les machines â pistons Slinky (Fig. 66) pourront être réalisées
avec
l'aide de bielles, ou de coulisses. Cependant, comme nous l'avons montré, l'on
pourrait avantageusement les réaliser avec tous les types d' inductions
mécaniques
déjà élaborées par nous-mêmes.
L'on notera que toutes les mécanique de réalisation de machines à bielle
rectiligne
sont ici applicables au piston des machines de type Slinky , en prenant soin
cependant de calibrer les mécaniques de telle manière dc réaliser plusieurs
allez
retour du piston par tour , à travers la rotation du cylindre rotor. I,'on
pourra donc
réaliser des mécanique de machine Slinky en utilisant des mono induction, des
inductions à engrenages cerceau, à engrenages intermédiaires et ainsi de
suite. En
ayant soin cependant de réaliser les additïons géométriques nécessaires de
telle
manière que le piston repasse correctement par le centre.
Les machines de type slinky peuvent â juste titre être considérées comme
machine
rétromécaniques, de second niveau, puisque l'on doit ajouter au système une
correction supplémentaire permettant dc coordonner le mouvement du cylindre
rotor et celui du piston. Plusieurs manières sont possibles. L'on choisira
d'altérer la
vitesse du rotor par l'utilisation d'engrenages polyeamé, ou encore d'altérer
celle
du piston, aussi par de telles en grenage. L'on pourra aussi tout simplement
ajouter
une bielle ou une coulisse au piston,
En effet ici, l'on retrouve à la fois les caractéristiques des machines à
cylindre
rotor, des machines à bielles rectilignes, et des machines triangulaires. Il
s°agit ici
en effet, par exemple lorsque l'on entend donner à la partie pistonne trois
mouvements par tour, comme si l'on mettait en rotation une machine à bielle
rectiligne. Une simple mécanique rétrorotative sera nécessaire, en ayant soin
de la
produite de telle manière que le centre de sont excentrique ou maneton d'
induction
passe par le centre. De telle manière que la rectiligne soit aussi parfaite, à
travers le
mouvement, for pourra si nécessaire employer des engrenages polycamés.
81
. ,.. _ _:,. , , ~,". ,:, ., . . .,. x,..- . , ~ : ,-."::, . _ . _ ...,. ".

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Les anachines Rectilignes pé~°iphé~°iques, (~g. 67~ simples
ou polJ~camés
Comme on peut le constater, comme les précédentes, ces machines sont des
machines de géométrie limite, ou l'on suppose, par exemple lorsque réalisés de
façon triangulaire, non pas Ia mécanique rétro rotative passant par le centre,
mais
réalisant un parfait triangle.
Les différences entre Ia réalisation rétromécanique de ce triangle et
Permettront, sans aucun usage de bielle le déplacement rectiligne horizontal
d'un
piston à travers un cylindre en rotation.
Comme dans les cas précédentes toutes les mécaniques sont applicables, bien
que
nous ne donnions ici que deux exemples, soit par mono induction.
rétrorotative, et
par poly induction. I3e même les polycamation et autre modification seraient
applicable. Il faut en dernier lieu mentionner que Ies nombre de pistons est
variable
de même que le nombre dallez retour par tour. L'utilisation différentielle de
la
force entre le piston est aussi réalisable. encore là, l'on pourra constater
que
plusieurs mécaniques permettront de gouverner les ayez retours horizontaux des
pistons, sans utilisation de bielles
Les anachines de type Se~ni tu~°bïnes polyccza~eées
Comme nous Pavons déjà mentionné à notre Bntroduc~tion, des machines motrices
se déterminent lorsqu' il y a différence entre Ie mouvement circulaire
régulier des
parties motrices et le mouvement irrégulier, non circulaire, et même
circulaire des
parties compressives.
Les serai turbines différentielles se situe dans cette catégories de machines.
Comme
précédemment, toutes les mécaniques déjà exposées peuvent servir à gouverner
les
pales. Tel que l'avons déj 'a"exposé préalablement aux présentes, la version
la plus
simple est par poly induction simple couplée à une coulisse
Comme nous l'avons déjà montré, les serai turbines différentielles, peuvent
avec
grand avantage être réalisées à partir d'engrenages de e polycaé (Fig. 68) ,
ce
qui permet de les réaliser sans parties de soutient coulissante. L'~~n notera
que ces
types de machines, comme toutes celles exposées ici d'ailleurs, peuvent avoir
leur
parties compressive motivées par toutes le mécaniques ïci répertoriées , ce
qui
assure qu'elles sont bien dans le champs des machines otrïces ici
revendiquées.
~2

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Les machines de type Antitu~bines
Dans ces machine, (Fig. 69) il s'agit simplement de montrer que, par
opposition
aux servi turbines, en lesquelles les pales sont montés serai rotativement
dans le
centre de la machine, celles-ci pourront cette fois-ci être montées servi
rotativement dans leur extrémité et motivées rétro ou post mécaniquement dans
leur
partie centrale. Attendu la complexité du mouvement de déplacement de leur
centre. Ces machines seront dès le départ des machines de second degré, que
l'on
réalisera avec l'aide soit de coulisses, ou d'engrenages polycamés.
Les servi turbine et poly tu~°bines à ty°action
Une troisiéme version de machines, dites poly inductives à traction, consiste
simplement, par exemple pour les servi turbines, à montrer que la puissance
produite, peut être réalise à parti de la traction entre deux poins de
soutient de
scelle-ci .( Fig.70) Dans le même ordre d' idées, il est important de
souligner que les
machines poly inductives, lorsque produites avec des ;pales successives,
peuvent
aussi être produites de façon différentielles , en accumulant l'énergie
produite entre
ces deux pales dont Tune est en accélération et I,autre en décélération.
Les machines poly inductives pé~°iphé~°iques
Comme pour les machines à cylindre rotor, (fig. 71 ) l'on peur monter que l'on
peut
réaliser à partir de la méthode de poly induction une machine comprenant en
périphérie plusieurs machines de type poly inductif. Noue ne donnons ici
exemple
que pour les machines de base, à savoir leur boomerang
Compositions de machines
Comme nous l'avons vues ~usqu,aux présente, de multiples variantes de machines
peuvent être créées , toutes ces machines ayant la caractéristique commune de
voir
leur partie compressive conduites par un même ensemble logique de mécaniques
issues de l'observation interne ou externe.
83

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Comme on pourra le remarquer ici, l'on pourra réaliser en combinaison ces
machines, ces combinaisons ayant pour but de réaliser adéquatement deux
objectifs
possibles. Le premier sera de réaliser en copnbinaison des machines à
proéminence
compressives avec des machines à proéminences dépressive, de telle manière de
réaliser des parties pompes et motrice optimale.
La seconde raison permettra de désynchroniser les deux parties combinatoires
des
machines de telle manière de tromper le point mort de la machine, c' est-à-
dire, de
permettre de contrer la déperditïon de l'un des systèmes par le système
combiné.
Machines combinées àpistons successifs
Dans ce type de machine ( f g. 72) on utilise en composition deux machines de
telle
manière de se servir de leur désynchronisation pour atténuer le temps mort de
la
machine
Les machines l~uto pompées, compositionnelles
Il ressort de ces dernières figures que l'on peut créer une loi de combinaison
entres
les machines rétro et post rotative et montrant qu' une même machine peut
comporter pour une même pale, un mouvement extérieur post rotatif, et un
mouvement interne rétrorotatif, et cela avec la même mécanique. (Fig 73 )
Cette loi
nous permet de comprendre que l' on peut une mécanique de géométrie
rétrorotative
par une action post rotative de son cylindre, et inversement une géométrie
post
rotative par une action mécanique de son cylindre de type rétrorotative. Cette
machine permet de comprendre d'autres lois de complémentarité très subtiles de
ces machines.
Les générations de machines de type métaturbines (Fig. 74 )
Comme nous (avons vu précédemment, l'on peut créer des machines de cylindre
plus irrégulier, tels des cylindre quasi rectangulaires, rectangulo
triangulaires, et
ainsi de suite, par l'utilisation de deux altérations étagées de mécaniques
post ou
rétro rotatives de base. Tel est par exemple le cas des métaturbines de
géométrie
quasi rectangulaire, pour lesquelles la réalisation la plus simple e st
produite à partie
d' une mécaniquc rétrorotative, faite avec une première correction de type
addition
géométrique, et ave une seconde correction de type polycamée,. Comme les
machines de niveaux inférieurs , ce machines peuvent aussi être entendues
comme
~4

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des classes de machine , se réalisant ~ travers plusieurs figures en série et
selon une
règle des cotés.
Les lLlachi~es hyba~ides pu~°es
Dans le même ordre d'idée, fon peut parler de machine ~ cylindre en apparence
simplifié tel les machines ~, cylindre ballon.( fig. 75 ) Ces machines ont ,
elles aussi
besoin de plusieurs degrés de correction , ce qui en fait des machïne a ;a
trois et
quatre degré , selon le degré de perfection de l'aspect ballon que L'on veut
réaliser.
Ré~les des parties compressives des machines
Division du mouvement
Dans certaines machines l'on peut recourir à la division du mouvement . En
effet ,
plusieurs mouvement de machines sont composées d'une combinaison ou d'une
addition de mouvement circulaire et de un ou plusieurs autres mouvement . l'on
peut dès lors diviser ce mouvement de plusieurs machines , en ne gardant
qu'une
partie de celui-ci , même strictement circulaires, à l'excentrique ou au
vilebrequin,.
ou encore si I' on veut à l' exécution du mouvement total ou partiel
C'est le cas des moteurs par exemple à cylindre oscillant, à cylindre rotor .
L'on
notera que l'on peut trouver des moteurs en Lesquels l.es cylindre ne
produiront pas
qu' une action circulaire , mais avec l' une des figures de premier ou de
second
degrés montrées aux présentes . D'autres machines seront possibles en divisant
le
mouvement de telle manières que le mouvement des cylindres soüt circulaire ,
mais
celui de vilebrequin rectiligne en poly induction .
'Toutes ces machines font aussi partie de la présente invention puisqu'elles
répondent toutes, comme leur cylindre est aussi mécanique, aux nnéthodes
énéncées
au corpus plutôt énoncé.
Stabilité et mouvement
Par conséquent, certaines pièces motivées des machines, sauf bien entendu le
vilebrequin, peuvent devenir statique et certaines pi'ces statiques peuvent
devenïe
active.
~5
.i. . ,. ~ r .,n.xk~. . ~ ~a m, . .

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Les modes de motivation des parties compressives
Dans toutes les machines ici répertoriées, l'on notera que les parties
compressives
peuvent être motivées , tout autant en poussé qu,en traction
L'exemple le plus simple consiste en la motivation par poussé ou par traction
d'un
machine à piston
L' on notera que les mémes attrïbuts peuvent être indü:féremment octroyées à
tout
type de machines, ces machines demeurant explicitement dans le champs de la
présente invention
Action verticale , horizontale , ou obligue des parties compressives, de tee
piston
L'on notera, plus précisément dans nos machines à cylindre rotor, que les
pistons
peuvent étre disposées verticalement , horizontalement ou de façon oblique au
centre de la machine.
Dans tous les cas, et ce à fortiorï si Leur moyens de mécanisation sont de
mécaniques divulguées aux présentes, il s'agit de machine à cylindre rotor,
couvertes par la présente divulgation.
Par exemple, l' on pourra tout aussi bien disposer un ensemble, non seulement
en
périphérie, mais aussi, de façon horizontale au centre, et actionner les
piston par
des sous ensemble poly inductifs, mono inductif, à cerceau, etc, permettant
ainsi de
retrancher les bielle et, ces machines seront dans le champs de la présente
invention.
De même, dans toute machine l'on pourra interchanger la centralité et
l'extériorité
sans changer la genèse de Ia machine. L'on pourra aussi interchanger des
pièces en
mouvement en pi' ces statiques et inversement sans changer la genése de la
machine. L'on pourra de même interchanger excentricité et circularité sans
changer
la genèse de Ia machine.
Action standard, centrale , et en périphérie.
Que ce soit pour un moteur à pistons , à pale , ou à structure palic~ue , les
parties
compressives peuvent être disposées de façon standard, en périphérie et au
centre,
~6

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et leur supp~rt par le corpus de méthodes r~técartiques plut~t énoncées en
assurera
l'appartenance à la présente invention.
Dans les diverses réalisations de toutes les machines décrites dans nos
travaux
antérieurs , dans les présents travaux , nous avons montré commet réaliser ,
avec
l'effort explosif le moindre , la plus grande déconstruction systémique , ce
qui par
opposition aux machines de Type rotatif conventionnelles ,sera un gage de
résistance à l'usure prématurée. Il n' en demeure pas moins,que pratiquement
toutes
les machines présentées par nous même, nécessitent , à un niveau ou un autre
,, et
dans des quantités diverses , des engrenages. Il est donc important de
spécifier que
toutes ces machines peuvent aussi utiliser avantageusement des engrenages de
type
engrenage chevauchés, ( fig76 ) et que toutes les variantes réalisées avec ce
type de
montage font partie intégrante des présentes .
Avant de clore le propos de la présente demande de brevet , il est important
de
mentionner que toutes les machines ici montrées , peuvent bien entendue être
utilisés dans différentes varïantes, comme par exemple comme compresseur ,
caeur
artificiel , pompes et bien entendu comme moteurs.
excentriques
Comme nous L'avons déjà montré dans notre demande de brevets relative aux
machines poly inductives titrées ponts pour machines reprise dans
notre demande internationale, - l'on peut utiliser de façon
avantageuse des éxcentriques en remplacement des axe d'engrenages d'induction
montés rotativement sur les manchons de vilebrequins ou encore des vilebrequin
conventionnels munis de manetons, de telle maniére de pouvoir traverser, par
d'autres axes, la machine sur sa largeur; et ainsi assurer à tous les éléments
de
celle-ci un support égal de chaque coté, bien équilibré.
La présente a simplement pour objet de généraliser cette technique à toutes
les
machines présentées aux présentes et dans 1°ensemble de nos travaux.
Partout oû
cela est nécessaire en effet I°on pourra changer les vilebrequins
conventionnels par
des excentriques et permettre
Fourchettes
De même, l'on entend généraliser ici que Ie support des engrenages d'induction
s'il
est préférablement produit par des axes montés rotativement sur des marchons
de
vilebrequin sera avantageusement rëalisé avec l'aide de fourchettes, soit
externes
7

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ou internes, permettant de déterminer la position des engrenages comme étant
située entre ces deux parties de fourchettes, et par conséquent le meilleur
soutient
possible pour celle, ci
Engrenages d'appui libres
Une troisiéme méthode de soutient, pourra elle aussi âtre réalisées dans tous
les cas
ou on le jugera pertinent, notamment dans les cas pu l'on ne peut utiliser les
deux
premières méthodes, en lesquelles l'on préfére par exemple ne pas traverser
justement la machine sur sa largeur.
En ces cas, comme nous Ie montrons dans notre demande ....... .. ......
Et titrée , l'on pourra produire un manchon de vilebrequin , ns la partie
opposé au
manchon principal , et lui monter rotativement engrenage ou plusieurs
engrenages
d'appui , cet engrenages étant donc , comme L'engrenage d'indLCCtion ,couplé à
l'engrenage de support.
Le vilebrequin sera donc assisté dans son appui, de ces engrenages appuyés sur
les
engrenages de support
Isolement des parties compressives et des parties mécaniques
En résumé , Ia présente invention entend prouver que Ies machines de type
rétro
rotative, d'on la principale est le moteur triangulaire, les machine à bielle
rectiligne
les machine post rotative, les machines de type poly turbine , les machines à
cylindre rotor, les machines à pistons périphérique , les serai turb fines
différentielle ,
les mâta turbines , et toute autre machine motrices, fonctionnent toute sous
exactement le même corpus de mécaniques de soutient des parties compressives ,
avec , selon le cas , un ou plus d'un niveau de mécanisation , et pour cela ,
constitue un seulement et même machine qui est ici revendiquée , dans toutes
les
forme non encore mises en évïdences à ce jour.

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Bref lexique
Figure post rotative : figurc dont le nombre de coté des pales est supérieur
de un à
celui u cylindre
Figure rétro rotative : Figure dont le nombre des cotés de pales est inférieur
de un
â celui du cylindre
Figure bi rotative : Figure dont le nombre de cotés de pales ou structure
palique
est du double de celui du cylindre
Mécanique post inductive : mécanique produisant le n:~ouvenzent en même sens
mais ralenti de pale
Mécanique rétro rotative Mécanique produisant un mouvement de pale en sess
inverse
Mécanique bi rotative : mécanique utilisant en combinaison les mécaniques post
et
rétro rotative
Engrenage de support : engrenage d' appui de l' engrenage d' induction 9 est
dit
étagé , ou d'orientation s'il gouverne l'orientation de la pale dans des
constructions
en combinaison.. Peuvent aussi être dynamisés , pour modifier Ies
rapport de grosseur.
E~grea~age d'induction : engrenage fiés rigidêmcnt sur la pale
Ea~g~°e~ages de liehs : engrenages unissant dans certain cas ,
notamment
lorsque l'engrenage de la pale est dc type interne , Ies engrenages de
support et d'inductüon
Ea~grehages de serai transmission : ensemble d'engrenages gouvernant
les relations de tournages de vilebrequin et d' engrenage de support ou de
liens actifs
~9

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Engrenages excentriques et polycamés , dits engrenages accélératifs:
engrenages irréguliers, construits de telle maniérc c pouvoir agir en
couple lorsque sur des axes rigides et axes planétaires
Corpus mécanique : ensembles des méthodes de soutient des paries
compressives d'une machine
Degrés : nombre d'étagement de mono inductions requis pour actionner
les parties compressives. Peut aussi signifier lc nombre d'étagements
d' induction et de corrections.
Liste des brevets ~t de ~c~es e ~°ev~ts~
1) Brevet canadien 1,160,921 délivré le 24 janvier 1984 ( déposé le 29
octobre 1981 sous le no 389 ,266) pour Moteur énergétique
2) Brevet canadien no 1,167,337 délivré lc 15 mai 1984 (; déposé le 27
mai 1983 sous Ie no 429,073) pour Cloisonnements cylindriques de
moteurs et compresseurs .
3 ) Brevet canadien no 1,1674 ,130 , délivré le » 1 scptemhre 1984 (
déposé lc 21 septembre 1983 sous lc no 437, 268) pour Solutïons
dérivées de moteur éner~étic~ue
4) Brevet canadien no 1,209 , délivré le 8 août 1986 ( déposé le 11 août
1983 sous le no 440,645 ) pour oteurs énergéti~que ~I

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5) brevet canadien no 1,229,749 , délivré le 12 janvier 1987 ( déposé le
18 mars 1985 sous le no 476, 720 ) pour Machine énergétique III
6) Demande de brevet canadien no 2,056 , 168-8 , déposée le 25
novembre 1991 , pour Machine énergétique à ,pistons culbuteurs ,
en cours de procédure
7 ) Demande de brevet canadien no 2,045 ,77T-5 , déposée le 26 juin
1991 pour Machine énergétique à induction serai transmittive , en
cours de procédure .
8 ) Demande de b~°evet canadien no 2,056 ,168-8 , déposée le 25
novembre 1991 , pour Machine éner, étique â induction simple
9) Demande de brevet canadien no 2,297 ,393
déposé le 2 février 2000 , pour Moteur éner;~étiq_ue
antirefoulement
I 0) Demande de brevet canadien , no 2,302 ,870
déposée le 15 mars 2000 , pour Moteur éner ég-t°iq'ue à poly
induction
I 1 ) Demande de brevet canadien no 2,3 I 0, 487
déposée le 23 mai 2000 , pour Moteur éner e'~tique â traction
I2) Demande de brevet canadien 2,310 , 488
déposée le 23 mai 2000 , pour Polyturbine éner, étique et
antirefoulement
13 ) Demande de brevet canadien no 2,310 ,489
déposée le 23 mai 2000 , pour le Moteur éner é~t°~que â double
niveaux
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14) Demande de brevet canadienne , no , 2,330, 591 déposée le 9
j envier 2000 pour Réalisations complémentaires de moteurs
antirefoulement
15 ) Demande de brevet , numéro 2,356,43 pour
Moteur antirefoulement II déposé le 31 juillet 2001 ,
16 ) Demande de brevet no 2,346,190 , déposée le 7 juillet 2001 pour
17 ) Demande de brevet no 2,342,442 , déposée le 22 mars 2001 ,
pour Généralisation de moteurs pol~,~ inductifs
18) Demande de brevet no 2,342,438 , déposée le 22 :mars 2001 pour
Ponts pour moteurs poli ïnductifs
19 ) Demande de brevet no 2, 341,798 , déposé le 22 mars 2001 pour
I~Touvelles poly inductions de ~oly turbines énergétiques
20 ) Demande de brevet no 2,341,801 , déposée le 22 :mars 2001 pour
Synthése globale des moteurs pole inductifs à pale simple
21 ) Demande de brevet no 2,340,950 , déposée le 22 mars 2001 , pour
Polyturbine différentielle
22 ) Demande de brevet no 2,340, 954 , déposée le 16 mars 2001 ,
pour Montages semi transmitiifs de moteurs ~ u~oly induction
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rétrOPOtatlVe
23 ) Demande dc brevet canadienne, déposée le 9 juillet 2001,
2,354,200 pour Moteur éner,que ~. infection rétroactive
En priorité aux présentes
24 ) Demande dc brevet canadienne , déposée lc 17 mai 2002 ,
2,385 ,608 Polyturbine énergétique et antirefou~~lement II ,
25 ) Demande de brevet canadienne , déposée le 27 mai 2002 ,
numéro 2, 386 , 353 , pour lliIachine motrice â cx~losion centrale.
26 ) Demande de brevet canadienne , déposés le 27 mai 2002 ,
numéro 2,386 355 , pour Synthése des moteurs â temps morts annulés
27 ) Demande de brevet canadienne, déposée le 27 mai 2002 , numéro ,
2,386 , 350 , pour lVloteur éner e~'t°~que à rétention
28 ) Demande de brevet canadienne, déposée le 27 mai 2002 , numéro 2,
386 , 349 , pour ~'o~°mes cyli~d~ic~ues idéales pour moteurs poly
inductifs
29 ) Demande de brevet canadïennc , déposée le 19 septembre 2002 ,
numéro 2, 401, 687 , Sy~thèse fi~cole des machines ~oly inductives
30) Demande de brevet canadienne , déposée le 19 septembre 2002 ,
numéro 2, 401 , 678 , pour ~ena.ges c~ccélé~°atifs
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31) Demande de brevet canadienne , déposée le 5 novembre 2002,
numéro 2,407 284 , Pour Machines énergétigues c~ soutients
éguidistants
32) Demande de brevet canadienne, déposée le 26 novembre 2002,
numéro 2,410 , 787 , pour Synthése rnale de machine pole
inductives II
33) Demande de brevet canadienne , déposée ie 26 novembre 2002 ,
numéro 2, 410 , 789 , pour considération. ~éomét~igue ~°élatives
aux montages ~oly inductifs de machines post et rétro ~~tatives
34) Demande de brevet canadienne, déposée 1e 5 décembre 2002.
numéro 2 ,410, 848 , pour Méthodes additionnelles de soutient de
machines laoly inductives
35) Demande de brevet canadienne , déposée le 30 janvier 2003 ,
numéro 2 ,417, 138 , pour ~'olutions c~m~léentai~~es a~elatives aux
moteurs rectilignes
36) Demande de brevet canadienne , déposée le 12 mars 2003 , numéro
2,421 , 097 , pour C~uida~-es combinatoi~°es de machines ~ol~
inductives et synthèse des niveaux de ~uidç~ge.
Description sommaire des figures
La figure 1 montre, à titre récapitulatif, Ies principaux types de moteurs
connus de
l'art antérieur , soit les moteurs à pistons standard , orbital, les moteurs à
pales, de
géométrie Wankle, et à structure palique , de géométrie Wilsonnienne.
94

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La figure 2 monte une récapitulation de quelques uns des moteur s de l' art
antérieur
de l' inventeur, soit le moteur à cylindre rotor, le moteur à pales
coulissante
triangulaire , la semiturbine différentielle .
La figure 3 montre , aussi du même inventeur , les moteurs rétro rotatif
triangulaires , dits moteurs boomerang , de méme que l,aspect mécanique bi
rotatif
et rétro rotatif des poly turbines .
La figure 4 montre , au surplus des machines à pistons à bielles rE;ctiligne ,
les
divers types machines qui seront affectées par les présentes les diverses
figures de
machines . L'on y retrouve en a , les machines post rotatives, en h les
machines
rétrorotatives, en c) les poly turbines à structure palique , en d) les semi
turbines
différentielles , en e) les machines à cylindre rotor , en fj les machines à
pistons
périphériques , en g) les machines Slinky , en h ), es machines hybrides, en
i) les
machines rotatives périphériques,
La figure 5 montre que le champs de la présente invention s' applique aussi ,
indifféremment sur les parties compressives soit par poussée en a ) , par
traction
en b) , de façon standard ou différentielle
La figure 6 montre que toutes les réalisations géométriques répo~:~dent de
diverses
façons de la définition générale de machine motrice selon laquelle le
mouvement
des parties compressives est irrégulier en géométrie ov en dynamique et se
différentie du mouvement circulaire et régulier des parties motrices
La figure 7 montre en a ) les différences fondamentales entre les machines à
pistons et à pales selon que les parties compressives sont liées indirectement
ou
directement aux partie motrices.
La figure 8 montre les divers moyens de liaison indirectes des parties, dit
moyens
interstices, ou ligaturaux .
La figure 9 montre qu'une généralisation des moyens ligaturaux exposés en 9
peut
être produite pour toute machine à piston. Ici l'exemple est donné à partir
d'une
machine à cylindre rotor
La figure 10 montre que la coulisse peut aussi être utilisée dans l.a machines
à pale

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La figure 11 montre les deux grandes méthodes de base de correction du
mouvement irrégulier des pales des parties compressives vers le mouvement
rotatif
des parties mécaniques.
La figure 12.1 montre en a ) b ) c) au niveau dynamique les distinctions
importantes relatives aux sens des mouvement de pales , par rapport à celui de
leurs
parties motrices , pour chacune de ces machines , ce qui permet d'en
déterminer
l'appartenance à la classe post rotative ou rétro rotative.
La figure 12.2 montre en c ) que l' on peut soutenir une pale en chaque
extrémité
par une structure combinant rétro et post rotativité
La figure 13 montre que les actions des parties mécaniques en sens contraire
des
pales , dans les machines rétro rotatives , résultent en une réduction du
temps mort
haut de celles-ci , par rapport aux machines à piston et aux machines post
rotatives.
La figure 14 montre que les machines rétro rotatives boomerang, post
inductives,
et bi rotatives peuvent être généralisées en classes de :machines, selon des
réglas
des cotés
La figure 15 montre que partant de ces généralisation et réglas , un cylindre
par
exemple de trois cotés peut permettra la réalisation tout à fait différente de
machines rétro mécaniques, post mécaniques et bi mécaniques selon la forme de
pale utilisé et la dynamique qui lui est appliquée.
La figure 16 présente un commentaire plus détaillé de la méthode de motivation
de
la pale dite par mono induction post rotative et par mono induction
rétrorotative
respectivement à des machines de géométrie ~rVankle et de géométrie
boomerang.,
déjà représente à la figure 12 .
La figure 17 donne une explication géométrique préalable à la construction de
la
méthode dite par poly induction
La figure 18.1 montre comment réaliser mécanique les données géométrique
commentées à la figure 13
La figure 18.2 montre un méthode similaire , dite de poly induction , cette
fois-ci
produite de maniére à pouvoir réaliser un rétro rotation des planétaire lors
de la
rotation du vilebrequin, ce qui permettra de réaliser un machine d.e type
rétro
rotatif
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La figure 19 montre le travail de la pale par rapport au vilebrequin lorsque
observe par u observateur intérieur, à savoir situé sur le vilebrequin, ou sur
la pale
elle-même.
La figure 20.1 montre la méthode de support dite par serai transrr~ission.
La figure 20.2 décrit la même méthode , appliquée cette fois-ci ~ une machine
post
rotative de base , qui sera dés lors dite , a~taehi~ee post ~otsative par
serai
t~°ansmission.
La figure 21 montre la méthode de support dite par engrenage
cep°ceau
La f gare 22 a et b montre respectivement les méthodes dites par engrenage
cerceau
par couplage antérieur et par engrenage cerceau à couplage extérieur.
La figure 23.1 montre la méthode de support dite par engrenages internes
juxtaposés.
La figure 23.2 représente la même méthode, cette fois-ci appliquées à une
machine
post rotative.
La figure 24.1 montre la méthode dite par engrenages internes superposés.
La figure 24.2 montre même méthode qu'â la figure précédente, cette fois
appliqué ~ une géométrie post rotative
La figure 25.1 montre la méthode dite par engrenage intermédiaire.
La figure 25 2 est une méthode similaire â celle de la f gare précédente,
appliquées
â une machine post rotative.
La figure 25.3 est une méthode dérivée de la précédente en ce que l'engrenage
intermédiaire actionne plut~t cette fois-ci l'engrenage de pale , puisque
celui-ci est
de type interne , par le recours à un engrenage de lien .
La figure 26 montre la méthode par engrenage cerceau intermédiaire
97

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La figure 27.1 montre la méthode dite par engrenage talon
La figure 27.2 montre la même méthode que celle présentée en 27.1 , mais cette
fois appliquée â une machine de géor~aétrie post rotative.
La figure 28.1 montre la méthode dite par engrenage central post actif
La figure 28.2 est une méthode simïlaïre à celle de la précédente figure,
cette fois-
ci appliquées à une machine de géométrie post rotative.
La figure 29 montre la méthode par engrenage central post actif motivé par
doublé
d' engrenages de lien.
La figure 30.1 montre la méthode par engrenage cerceau de pale
La figure 30.2 montre que l'on peut applïquer une méthode similaire à ne
machine
de type rétrorotative. Cette fois-ci cependant, l'on a laissé libre
l'engrenage central
de pale, et l'on a motivé par engrenage cerceau l'engrenage supérieur du
maneton.
La figure 311 montre la méthode dïte par structure engrenagïque
La figure 31.2 montre la figure précédente en troïs dïmensions.
La figure 32 montre la méthode dite par engrenage excentrique
La figure 33 montre la méthode dite par soutient centralo-périphérique
La figure 34 montre la méthode par attaque déportée
La figure 35.1 montre de façon résumée que toutes les mécaniques déjà exposées
s' appliquent aux moteurs rétro rotative, dont la forme la plus représentative
est
celle du moteur triangulaire boomerang
La figure 3 5.2 est la suite de 3 5 .1
La figure 36.1 montre que toutes les mécaniques déjà commentées s'appliquent
aussi aux machines post rotatives, dont la forme la plus usuelle est celle de
la
géométrie VJankle, généralement réalise par une méthode de soutient de type
mono
inductive
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La fagure 36.2 complète la figure prëcédente.
La figure 37 montre en a) et b) respectivement, Ies méthodes rétromcaniques et
bi
mécaniques de soutient des parties compressives des moteurs ~ bielle
rectiligne
La figure 3~ montre les quatre principales méthodes d'équilibrage des soutiens
de
ces machines
La figure 39 montre que tous les soutiens déj~°commentés , ici plus
spécifiquement
sous leur forme rétro mécanique , peuvent au surplus étre appliquées aux
moteurs ~.
pistons
La figure 40 montre l'application des autres méthodes, ce qui permet de
généraliser
cette machine
La figure 41 montre les différences principales des trois grands types de
géométrie
pouvant être réalisées avec les inductions mécaniques présentées précédemment,
et
les corrections pouvant y étre apportées
La figure 42 montre que la coulisse est non seulement un procédé de ligature
correctionnelle de premier niveau, ruais qu'elle peut être utilisée ,~, un
second
niveau.
La figure 43 montre les corrections de mouvement de pale et de f~rme de
cylindre
apportées par engrenage de support actif
La figure 44 montre les corrections de mouvement de pale et de forme de
cylindre
apportées par engrenage cerceau, engrenage intermédiaire , ou cf:rceau
intermédiaire
La figure 45 m~ntre les corrections de mouvement de pale et de ~~rme de
cylindre
apportées par addition de bielle ou excentrique de géométrie
La figure 44 montre une compréhension des corrections e mouvement de pale et
de forme de cylindre apportées par combinaisons étagées ou juxtaposées de
méthodes de soutient modif ant la course de la pale
La figure 45 montre une compréhension des corrections de mouvement de pale et
de forme de cylindre apportées par combinaisons étagées ou juxtaposées de
méthodes de soutient modifiant la course de l'excentrique du vilebrequin
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La figure 46 montre schématiquement que l'une des façons les plus mécaniques
de
réaliser les changements de forme de cylindre consiste à étager le;s
inductions
mécaniques
La figure 47 montre une autre façon de comprendre les corrections â apporter.
L'on
sait que dans le moteur triangulaire, il fait augmenter la compression, alors
que
dans le moteurs rotatifs, iI faut la dïmïnuer.
La figure 48.1 et suïvantes montre Ia régla selon laquelle l'on peut étager
deux
types de méthodes de soutient de telle maniére de synchronise le contrôle
positionne) ou orientationnel des pales permettant dc réaliser les formes
recherchées.
La figure 48.2 montre en a que l' on produit la machine de géométrie ankle ~
cylindre moins large avec une réalisation similaire à la précédente, réalisant
cependant la course de l' excentrique central cette fois-ci elliptique
La figure 48.3 montre deux autres possibilités de combinaisons de méthodes.
Ici
l'on a produit la machine de type géométrie VVanl~le , cette fois-c;i à
courbure de
cylindre améliorée , avec le recours, au niveau positionne) , de la méthode
dite par
engrenage cerceau a 1 ) , et au niveau orientationnel, de la méthode par mono
induction.a 2 )
En 48.3 b ) les deux méthodes combinées sont plutôt , au premier niveau , en b
1 ) la méthode par mono induction , et en b 2 ) selle par poly-induction
La figure 48.4 montre que les mécaniques peuvent tout aussi bien être
réalisées
de façon inverse. L'on pourra par exemple réaliser, au niveau de d'induction
étagée,
une induction rétrorotative.
La f gare 49 montre que, dans 1e cas oû l'on entend réaliser la machine avec
des
engrenages d'induction de type interne, l'on pourra monter les combinaisons de
mécaniques inductives en j uxtaposition, l' une d' elle contrôlant l'
excentrique
positionne), et l'autre, indirectement cette fois-ci l'engrenage d'induction
de pale,
par le recours ~ un tiers engrenage nomme engrenage de lien.
La figure 50.1 montre le cas de contrôle de pale en combinaison, en lequel
l'engrenage de support de l'induction étagé serait disposé rigidement dans le
flanc
100

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de la machine. En ce cas, soit l'engrenage d'induction soit l'engrenage de
support
serait irrégulier, ce que l' on nommera engrenage polycamé.
La figure 50.2 montre l'hypothèse ou la déformation est plutôt portée sur
l'engrenage de pale. 909, alors que l'engrenage de sa~.pport est régulier. En
effet,
l'engrenage de pale, ici irrégulier, demeurera couplé '~ l'engrenage pale ,
méme si
le centre de celle-ci a un déplacement elliptique.
La figure 50.3 montre une couple transversale de ces rapports d'engrenages.
L'on y voit que les engrenages ronds, demeureront couplés aux engrenages
irréguliers, dont les courses sont aussi irrégulières.
La figure S I . l montre les corrections de mouvement de pale et de forme de
cylindre apportées par engrenages excentriques et/ou polycamés
La figure 51.2 montre des rapports contraires d' engre~raages ~, ceu:x des de
la f gare
précédente, cette fois-ci appliqués â une machine de géométrie ~'ankle
La figure 52 et suivantes donnent dc plus amples explications permettant de
comprendre l'incidence et les possibilité d'application des engrenages
excentriques
et polycamés. En celle-ci , l'on montre en a ) le rapport d'engrenages
réguliers et
irréguliers, excentriques ou polycamés. En b,c,d l'om montre les rapport
d'engrenages irréguliers entre eux , ayant des axes de rotation fi~,es.
La figure 53 montre les relations d'engrenages excentriques ou polycaés montés
de façon planétaire.
La f gare 54 montre la règle d' équidistance au centre que produit l'
engrenage
planétaire.
La figure 55 montre l'incidence de l'utilisation de ce i:ype d'engrenages
utilisés lors
d'une méthode par mono induction, appliquée à des machines de géométrie
~lankle
et de géométrie Boomerang.
La fïgure 56 montre l'application de ce type d'engrenage ~ des serai turbines
différentielles, ce qui permet d'en retrancher les moyens interstices ou
ligaturaux .
La figure 57 monte les règles d'équidistance du centre des engrenages
planétaires à
la surface de l' engrenage de support en a ) et en b , la règle d'
équidistance de
points , les centres , des engrenages d' induction entre eux en cors de
rotation.
101

CA 02429211 2003-05-16
La figure 58 montre le soutient possible et facilité de pales dont la course
est
complexe avec l'aide de tels engrenages .
La figure 59 montre donne trois exemples qui montrent que l'utilisation des
engrenages excentriques et polycarr~és peut être utilisé dans tout endroit en
lequel
l' on pourrait normalement utiliser un engrenage standard . En a ) l' on
retrouve un
méthode par servi transmission utilisé de façon poly camée , en b ) l'on a
produit un
méthode par engrenages cerceau polycamé, et en c , une méthode: par engrenage
intermédiaire polycamés.
La figure 60 a montre une poly turbine réalisée par une mono induction
corrigée
par addition géométrique en a , puis par engrenage cerceau additionne de
bielle de
géométrie en c , puis par engrenage intermédiaire additionnée de bielle de
géométrie en d . Toutes les autre méthodes du corps seraient ainsi adéquates,
avec
addition de bielle de géométrie pour soutenir les parties de la structure
palique, ou
encore de la structure palique, utilisée comme structure de soutient de
métaturbine,.
La figure 61 montre que, si l'on suit le déplacement du piston dans une
machine à
cylindre rotor, l'on constatera que le piston poursuit trés exactement la méme
course que les extrémités des emplacements de soutient des structures paliques
de
poly turbine. Il ressort de cette constatation fort importante que non
seulement,
cette machine peut être produite avec toutes les méthodes de mécanisations
comprises au corpus des présentes, avec une correction géométrique, ce qui
nous
donne plus de quatre cents méthodes de soutient pur cette machine, mais aussi
que
toutes les méthodes comprises au corpus peuvent simplement se voir ajouter une
bielle de géométrie , et ainsi permettre de support les pistons sans. bîelles
libres.
La figure 60 montre l' aspect bi rotatif de la machine, chaque piston étant
supporte
par bi mécanique.
La figure 62 montre en a un support de piston par mono induction additionnée
de
bielle de géométrie, en b une induction par engrenage cerceau, additionnée de
bielle de géométrie, en c , une induction par engrenage intermédiaire
additionnée
de bielle de géométrie., ces application montrant hors de tout doute ,
l'appartenance
de ce type de machine â la définition générale donnée
La figure 63.1 montre que l'on peut réaliser la machine ~ cylindre: rotor de
façon
mécanico inductive.
102

CA 02429211 2003-05-16
La figure 63.2 est une vue en trois dimensions de ces mécanisations
La figure 64 montre la métaturbine comme étant une machine de troisiéme degré,
cette machine devant être rëalisé par trois mono induction étagées, ou encore
un
mono induction corrigée en deux reprises..
En c , l'on voit que les deux corrections effectuées simultanément réalisent
une
machine de niveau de complexité supérieur, soit de troisiéme niveau,
produisant
des cylindres irréguliers . Il s' agit des poly turbines.
La figure 65 montre que l'on peut désaxer de façon intentionnelle les courses
naturelles des machines , comme par exemple à bielle rectiligne , et a course
elliptique, pour ensuite les recorriger par quelque moyens, tels des
coulisses, des
bielles libres, ou préférablement des engrenages polycamé.
La figure 66 montre que si l'on entend diriger le piston d'un machine tout
autant
positionnellement qu'orientationnellement , l'on doit utiliser des mécaniques
de
quatriéme degré.
La figure 67 montre que toute machine qui peut être faite de façon standard,
peut
aussi avoir ses parties compressives de façon centrale, et ses mécaniques en
périphérie.
La. figure 68 montre des exemples de machines à pistons rectilignes centraux
dites,
S linky
La figure 69.1 montre des machines à pistons périphériques standard ou
différentielles
La figure 69.2 montre que nombre de cylindre et de pistons est ici variable ,
de
même que le nombre de mouvement alternatif pour cru.que tour de chacun , ce
qui
pourra donc résulter en des cours plutôt carréoide, octogonale et ainsi de
suite.
La figure 70 montre que l'on peut généraliser l'utilisation des enenages
polycamés par exemples aux servi turbines différentielle, ce qui permettra de
changer le moyen initial de ligature de Ia pale à l'excentrique qui était,
initialement
par coulisse.
103

CA 02429211 2003-05-16
La figure 7I montre une coupe d'une c~ntitu~bine d~ére~tielie
La figure 72 montre une poly turbine différentielle
La figure 73 montre une polyturbine ~. cylindre rotor
La f Bure 74 montre une machine en combinaison pistons~pistons~
désynchronïsés.
La f gare 75 montre une combinaison des machines post et rétro rotatives auto
pompées â pistons
La fagure 76 montre les génération6 de machines de type mâta tu~~bines
La figure 77.1 montre une machine ~ cylindre ballon.
La f gare 77.2 montre que l' on peut aussi combiner machines ~. pistons rotors
et
semi turbines .
La figure 78.I montre un classement des machines selon leurs degrés
La f gare 78.2 poursuit les principales formes de la figure précédente
La f gare 79 montre divers modes de compression , par poussée en a , par
traction
en b , différentiel en c .
La f gare 80 montre des engrenages nommés engrenages chevauchés.
La f gare 8 I montre que l' on peut coupler indirectement mais rigidement les
parties
compressives des parties motrices, et produire entre ces parties une plaque
circulaire d' isolement de ces parties qui pourra servir ~ la fois de valve .
La f gare 82, montre que l'on peut décomposer et diviser la répartition du
mouvement
La figure 83 montre , partant des observations de la derniére f gur e , que l'
on peut
même combiner , machines post et rétrorotative de tel e manière que l'une soit
la
pompe de l'autre , qui sera motrice.
I04

CA 02429211 2003-05-16
La figure 84 montre que les pales pourraient aussi être dessinées de telle
maniére
de réaliser des machines hydrauliques.
Les figures 85 sont toutes des reproductions de notre demande de brevet, acy
en
priorité , qui donnent d'autre possibilités de réalisation de machines par
combinaisons de méthodes
La f gare 85.1 montre une combinaison de mono induction rétrorotative au degré
et une méthode par poly induction au niveau II , étagé .
La f gare 85.2 montre une méthode par mono induction au 1~Tiveau I et par
engrenage cerceau de pale au niveau II
La figure 85 .3 Montre un mono induction rétro rotative au niveau I et de même
rétrorotative au niveau II
La f gare 85.4 montre une méthode par mono induction post rotative au niveau I
et
rétrorotative au niveau II
La figure 85.5 montre une méthode par engrenage cerceau au niveau I et post
rotative en II
La figure 85.6 montre une méthode par engrenage cerceau au niveau I et par
engrenage cerceau de pale au niveau II
La figure 85 .7 montre une mono induction additionnée de bielle ~de géométrie
en 1
et un induction par engrenage polycamé en II
La figure 85.8 montre deux inductions par engrenage cerceau
La figure 85.9 montre une mono induction post rotative aux niveaux I et II.
La figu85.9.1 deux induction étagées dont l'engrenage de support , non
p~lycamé,
est pour chacune d'elles dans Ie flanc de Ia machine ,. L'on dira alors
qu'elles sont
étagées en juxtaposition, Pour ce faire, l'on utilise un engrenage de pale de
type
interne et l,on utilise des engrenages de lien pour le coupler â l,engrenage
de
support.
La figure 85.9.2 montre une mécanique de premier niveau de type poly
inductive.,et de second de type mono inductive
1Q5

CA 02429211 2003-05-16
La figure 85.9.3 montre deux mécaniques poly inductives étagée:°s.
La figure 85.9,.4 montre une mécanique par serai transmission combinée ~, une
mécanique par engrenage cerceau de pale.
La figure 85.9.5 montre deux mécaniques rétrorotatives étagées juxtaposées.
La f gare 85.9.6 montre deux mécaniques rétrorotatives étagées juxtaposées
La figure 85.9.7 montre deux mëcaniques rétrorotativ~es étagées ,juxtaposées
Ici l'engrenage de support est fxé rigidement sur l'excentrique , et de façon
centrée
ce qui crée la méme géométrie que s'il était , comme dans les a~.tres
versions,
centré avec le maneton.
La figure 86 montre des variations de mécaniques accélératives.
I~escri~ption détaillée des figures
La figure 1 montre, à titre récapitulatif, les principaux types de rr~oteurs
connus de
l'art antérieur , soit Ies moteurs â pistons standard , orbital, les mc>teurs
à pales, de
géométrie i7Vankle, et à structure palique , de géométrie ilsonnic~nne
En a ) , l' on montre une machine â pistons standard. En cette machine , le
mouvement rectiligne alternatif de la partie compressive , soit le piston 1 ,
est
synchronisé au mouvement du vilebrequin 2 par le recours ~ une bielle 3
Dans la figure 1 b ) , l'on retrouve plut~t une disposition dite orbitale .
Cette
disposition a couramment été utilisée par exemple dans l'aviation.
Ici, le mouvement et la synchronisation des piéces est identique ~ la
disposition
standard. Cependant, la géométrie de l'emplacement ces parties compressives
cylindre-pistons , par rapport au vilebrequin est spécifique : ceux-ci sont
disposés
sur différents axes 4 , ce qui rend possible la réalisation du vilebrequin
avec un seul
maneton 5 , alimentant chaque ensemble de bielles pistons.
Les f gares c et d ) montrent principalement des machines post et rotatives à
pales ,
supportes de manière mono inductive. La machine post rotative, plus
spécifiquement ~ pale triangulaire, est généralement appelées moteur ~lanl~le
, du
nom de son inventeur. La machine rétroratative, ici triangulaitre, ou
boomerang, a
sa forme géométrique divulguée dans notre brevet titré czchine
éner°gétiqa~e c~ poly
inductïon
106

CA 02429211 2003-05-16
Dans ces types de machines, la bielle est soustraite, et cela a pour résultat
que la
partie compressive, réalisée sous la forme d'une pale, doit être contrôlée non
seulement le pOSltiOnnement, niais aussi l'orieritationn.ellement. En effet ,
Ie
positionnement de la pale est assuré par un excentrique , monté r~otativement
dans
la machine , alors que l'orientation de celle-ci est assurée par une mécanique
de
type post rotative et mono inductive , c'est-~-dire entrainant la peule dans
le même
sens que le vilebrequin.
En 1 d ) , l' on retrouve la machine â structure paliques; , dont la
pi°emière réalisation
du type de parties compressives utilïsécs a été produite par I' inventeur
ilson ~
1978 ) . En effet, la partie pistonnée est ici réalisée par des pales
assemblées sous la
forme d'un quadrilatère flexible. Leur modïfication alternative de forme
carrée â.
losange permet de suivre la forme quasi-elliptique du cylindre.
Il est ïmportant ici de mentionner l' aspect original du mouvement: de chaque
pale
de cette structure palique , à la fois rotatif et oscillatoire ,
Nous avons déjâ mentionné ~ ce sujet que VVilson n'avait pas réalisé la nature
correcte de ce type de machine et pour cette raison n'avait pas réalisé de
façon
viable et correcte la structure de soutient de la structure palique. Nous
avons ~, ce
jour réalisé ce travail et proposé plusieurs manières pertinentes de soutient
de ces
structures palique. L'on consultera, pour de plus amples détails nos demandes
de
brevets à ces suj ets .
La figure 2 monte une récapitulation de quelques uns des moteur;> de l'art
antérieur
de l' inventeur, soit le moteur ~. cylindre rotor, lc moteur ~ pales
coulissante
triangulaire, la semiturbine différentielle .dette figure: montre en. effet
une version
différente des moteurs â pistons que nous avons nominé r~aachine c~
cyltnd~°e ~°~t~~,
cette machine étant couverte par notre brevet canadien ~ ce sujet. Dans cette
machine, les deux axes de support du rotor et des bielles sont situés sur des
emplacement différents , l' un d' eux , celui du cylindre rotor 11 étant
centré et le
second , étant excentrique 12. Par conséquent, Ies différentiations entre Ies
parties
cylindriques 13 et les parties pistonnées 14 ne sont pas dues au mouvement
alternatif rectiligne du piston, mais plut~t aux double mouvements circulaires
différentiels des parties cylindriques 15 et pistonnées 16. .
En b ) l' on retrouve un moteur â mécanisation rectiligne . Dans ces machines,
le
mouvement rectïligne du piston est obtenu par le montage sur le maneton d'un
107

CA 02429211 2003-05-16
vilebrequin-maître 16 , d'un excentrique 17 muni d'un engrenage que l'on dit
engrenage d'induction 18 , â un engrenage dit engrenage de support 19 , de
type
interne , cet engrenage étant rigidement fixé dans le coté de la machine
La figure 2 c montre que l'on peut aussi produire la machine de rr~anière
rotative
avec des pistons central 14 b , ou encore avec l'aide de pales coulissantes 19
La figure 3 montre, aussi du même inventeur, les moteurs rétro rotatif tr
iangulaires
dits moteurs Boomerang , de même que l'aspect mécanique bi rotatif et rétro
rotatif des poly turbines .L'on peut voir en a, une première machine de type
rétrorotatif se définissant par une pale de deux cotés 21 motivée rotativement
dans
un cylindre à trois cotés 22 , d'où son appellation de moteur triangulaire
boomerang
La figure b mets en évidence par sa mécanique rétrorotative corrigée post
rotativement par l'action de bielle de géométrie 24, l'aspect bi- r~otatif de
la
machine de type poly turbine
La figure c montre que les différences peuvent être considérés entre deux
mouvements circulaires de même centre 25, dans la mesures où le mouvement du
vilebrequin est régulier, 26 et celui des pales accéléro-- décélératif , 27 ,
ce qui
montre que toute machine motrice répond de la définïtion générale que nous en
avons faite dans notre divulgatïon.
La figure 4 montre , au surplus des machines â pistons â bielles
re°ctïlîgne , les
divers types machines qui seront affectées par les présentes les diverses
figures de
machines . L'on y retrouve en a , les machines post rotatives, en b les
machines
rétrorotatives, en c) les poly turbines à structure palique , en d) legs serai
turbines
différentielles , en e) les machines â cylindre rotor , en fj les machines â
pistons
périphériques , en g) les machines Slinky , en h ), es machines hybrides, en
i) les
machines rotatives périphériques,
La figure 5 montre que le champs de la présente invention s'applique aussi ,
indifféremment sur les parties compressives soit par poussée en a ) ; par
traction
en b) , de façon standard ou différentielle en c ) , et de plus qu' elles
soient
verticales, horizontale ou oblique, , standard, en périphérie, ou par
explosion
centrale. En effet, les variantes des machines précédentes réalisées par des
modifications aux parties compressives, par combinaison, par inversion
géométrique, par traction et ainsi de suite, qui en dépit de ces modifications

CA 02429211 2003-05-16
pourront quand même être soutenues par le corpus mécanique ici proposé, et par
conséquent appartenir à Ia définition générale donnée.
La figera 6 montre que toutes les réalisations géométriques répondent de
diverses
façons de la définition générale dc machine motrice se;Ion IaquellE; le
mouvement
des parties compressives est irrégulier en géométrie ou en dynamique et se
différentie du mouvement circulaire et régulïer des paries motriccrs Cette
figure
montre schématiquement que l'on peut en effet définir toute machine motrice
comme un machine transformant un mouvement irrégulier, géométriquement ou
dynamiquement , ou les deux à la fois , en un mouvement régulier circulaire
~n effet , quelque soit le type de machine ici exposé , tant au point de vue
de ses
parties compressive que de ses méthodes de mécanisation , cette régla de base
est
vérifiable et applicable. Nous verrons plus abondamment dans les pages qui
vont
suivre, que divers degrés de complexité peuvent intervenir entre la régularité
du
mouvement circulaire dc la partie motorisante et I' irrégularité du mouvement
des
parties compressives.
four l' instant cependant, Ia présente figure n' a pas pour objet de montrer
plus
précisément la précédente définition
Dans Ia figure a) , l'on peut apercevoir que Ia puissance est égalisée dans un
moteur
à piston conventionnel , est donnée par la différence dynamique :;e produisant
entre Ia réalisation d'un mouvement rectiligne alternatif 41 et par la partie
compressive, ici un piston 42 , et le mouvement circulaire régulier 43 du
maneton
du vilebrequin 44
Dans la figure b , l'on a réalisé la machine motrice sous sa forme orbitale.
La
différence fondamentale entre ce type de moteur et le moteur à piston standard
est
avant toute chose géométrique, les organes de compression pistons, cylindres
45
étant disposés chacun à un angle spécifique 44 , ct raccordé à un même maneton
45
, alors que dans un moteur conventionnel , ce sont plut~t ies manetons qui
sont
différentiés.
La structure dynamico-mécanique demeure dons la méme que dans les moteurs à
pistons standard , puisque comme précédemment , le mouvement alternatif
rectiligne de chaque piston 46 est transféré en un mouvement circulaire .
L'on retrouve en c , un troisiéme version de moteur à partie compressive à
pistons ,
dite moteur à cylindre rotor . La particularité de ce moteur est que le
cylindre, que
109

CA 02429211 2003-05-16
l'on a nommé cylindre rotor, a un fonction dynamique puïsqu'ïl est monté
rotativement dans la machine. L'action différentielle irréguliére des courses
des
pistons 49 et du cylindre 50, servant â la fois de vilebrequin , résultent en
mouvement moteur , et réalise la définition donnée précédemment .
Dans l'exemple d ) dans lequel est réalisé un moteur dit moteur rotatif
~Vankle, le
mouvement des parties compressives réalisé par la pale 5I a une norme
s'approchant de celle d'un haït , et est transformée en un mouvement
circulaire 52 ,
réalisé sous Ia forme d'un excentrique .
Dans la figure f , le mouvement irrégulier de la partie compressive , soit de
la pale
53 , cette fois-ci d'un moteur triangulaire Boomerang , est aussi transformé
en un
mouvement régulier et rotatif du vilebrequin 54
De même en f , le mouvement altcrnativo-rotatif de ch~.cune des pales de la
structure palique de la poly turbine est transformé en un mouvement circulaire
du
vilebrequin 5 6.
L'on notera que le mouvements des vilebrequins des machines montées en e et f
est
possiblement en c , sont contraires ~. celui des parties compressives , pales
et
structures paliques , ce qui en fait des machines de nature rétro rotative,ou
de
souche rétrorotative , bi-mécaniques selon le cas. La figure h représente elle
aussi
un machine motrice respectant la définition générales que nous avons donnée ~
la
divulgation. Dans cette machine motrice, le pïston est plut~t disposé à
l'horizontale
par rapport au centre de la machine et leur mouvement alternatifs et
irréguliers est
transformé en un mouvement circulaire régulier .6I
En g de la méme f Bure, nous reproduisons notre semi turbine différentielle.
La particularité de cette machine consiste en ce que les pales, tout: autant
que le
vilebrequin tournent de façon parfaitement cîrculaire. La différence
motorifique
consiste en ce que la différence entre Ie mouvement des pales et le mouvement
du
vilebrequin, qui n' est donc pas d' ordre géométrique, est plut~t d' ordre
dynamique.
En effet, alors quc le mouvement des pales, bien que circulaire, est
alternativement
accélératif et décélératif, celui du vilebrequin est régulier 59.
Bien entendu, il existe, comme nous l'avons mentionné, d'autres
variantes des machines motrices , issues des ces erniéres , selon :par exemple
que
l'action sur les parties compressives est par traction , par pousséc etc, mais
les
précédents exemple nous semblent suffisants pour bien montrer que la déf
nition
donnée demeure pertinente quelque soit Ia machine.
1~0

CA 02429211 2003-05-16
La figure 7 montre Ies différences fondamentales entre les machines à pistons
et à
pales selon que les parties compressives sont liées indirectement ou
directement
aux partie motrices. Cette figure montre en effet que les machines à pistons,
dans
leurs réalisations les plus simples se différentient des machines à opales en
ce que,
les parties compressives 70 de celles-ci, dont la directionalité est assurée
en partie
par leur introduction dans le cylindre 71, sont liées de façon indirecte, par
l'intermédiaire d'un moyen, que nous nommerons moyen ligatureal, au
vilebrequin
de la machine. Cette partie ligatrice est le plus généralement réalisée sous
la forme
d'une bielle libre 72, mais il existe plusieurs autres moyens possïbles de
ligature.
Les machines à pales se caractérisent par le fait que les parties compressives
sont
montées directement sur l' excentrique 73 ou le maneton 74 du vïlebrequin
Les différences entre les mouvements des parties compressives et de motricité
sont
donc déportées vers l' extérieur du système, et affectent directement la
course des
parties compressives. Par conséquent,1a forme du cylindre 75 . L'aspect non
seulement positionel, mais aussi orientationel des parties compressives, les
pales,
doit donc être contr~lé. Ceci est réalisé par plusieurs méthodes déjà exposées
par
nous-mêmes , de même que par la méthode en mono induction réalisée dans
moteurs post rotatif à cylindre en huit de type Wankle 76.
La figure 8 montre les principaux moyens de ligature 'unissant les parties
compressives, de type à pistons, aux parues motrices.
En a ) la plus commune , l'on retrouve la bielle libre 90 . Fixé librement à
son
extrémité supérieure à l' axe du piston 91 , et à son extrémité mfér ieure au
maneton
82 du vilebrequin , elle transforme facilement , de par sa flexibilité , le
mouvement
alternative-rectiligne du piston en un mouvement inférieur circulaire.
En b , l'on retrouve la correction par coulisse . Ce type de correction est
couramment utilisé dans d'autres appareils, notamment par exemple dans les
scies
sauteuses. . Ici, la bielle 90 est reliée de par le haut 93 de façon f xe au
piston. Au
bas de cette bielle est disposé , aussi de façon fixe, une piéces munie d'un
coulisse
latérale 94 , en laquelle sera engagée de façon coulissante le maneton 95 du
vilebrequin.
L' action latérale du vilebrequin 96 en cours de rotation sera absorbée par la
coulisse, et sera par conséquent anwulée 97. Quant à son action verticale,
elle sera
transmise directement au piston.
lIl

CA 02429211 2003-05-16
La troisième méthode de ligaturation des pistons et vilebrequin, pourra être
dite par
bielle flexible. L' on supposera en cette méthode une bielle réalisée dans un
matériel
flexible couplé de par le haut de façon rigide au piston 98 et de par le bas
de façon
libre au maneton du vilebrequin. 99. Dans cette réalisation, la flexibilité
100 de la
bielle absorbera l'aspect latéral du déplacement du vilebrequin, mais
garantira la
transmission des rapports verticaux entre celui-ci et le piston.
La quatrième méthode de Iigaturation des parties compressives pistonnées aux
parties motrices du vilebrequin sera dite par cylindre oscillant.
Dans cette méthode, chaque cylindre est monté de faç'~n oscillante 101 dans Ia
machine. La bielle et même le piston pourront donc directement être reliées à
I' excentrique du vilebrequin 103, L' aspect latéral du mouvement de l'
excentrique
du vilebrequin sera donc absorbé par a qualité oscillatoire du cylindre, alors
que
l' aspect vertical conservera son incidence sur le piston.
Une autre méthode de ligature des parties compressives et motorisé sera dite
par
induction mëeanique. Comme on le verra plus abondamment dans le prochaines
figures, cette méthode peut être réalisée de diverses manières, qui. formeront
le
corpus mécanique de la présent, et dont nous ne présentons pour l.e moment que
la
plus élémentaire, pour ce type de soutient.
Dans la présente mécanique, l' on monte rotativement sur le maneton du
vilebrequin 104 un excentrique 105 dont le rayon est égal à celui du
vilebrequin.
Cet excentrique est muni rigidement d'un engrenage dit engrenage d'induction,
cet
engrenage d'induction .106 tant couplé à un engrenage interne, de deux fois sa
grosseur , disposé rigidement dans le coté de la machine que l' on dira
engrenage de
support 107 .
L' action post rotative du vilebrequin 108 entraînera I' action rétrorotative
de
l' excentrique et les aspects verticaux de chacun des mouvements seront
additionnés alors que les aspects latéraux seront annulés.
L'action de l'excentrique sera donc alternative et recti.ligne., ce qui
permettra un
contrôle ou un soutient du piston sans bielle, de type mécanico-inductif .
En f , de cette dernière figure , l'on peut aussi constater que l'on peut
conduire de
façon parfaitement rectiligne Ie piston de la machine par Ie concours de deux
ensembles de vilebrequins tel 90 a 90 b montés de façon antirotative l'un de
l'autre
I12

CA 02429211 2003-05-16
La f gare 9 montre qu'une généralisation des moyens ligaturaux exposés en 9
peut
être produite pour toute machine à piston. Ici I'exeple est donné. à partir
d'une
machine orbitale
'loici par exemple en a) le moteur orbital est produit de façon
conventionnelle. En
b) , on a réalisé celui-ci avec des bielles à coulisses. En c) , la
réalisation est
produite avec des bielles fïexibles . En d) , l'on a produit la machîne avec
des
cylindres oscillants, et en e) , avec une mécanique de base de la gamme des
méthodes mécaniques dont l'on exposera la détail plus loin dans La présente
description .
La figure 10 montre que l'on peut aussi appliquer ces méthodes aux moteurs à
cylindre rotor, chaque piston étant contr~lé par des mécaniques ligaturales de
méme nature que les méthodes utilisées précédemment.
En a) , l'on a le moteur à cylindre rotor de base , réalisant un seul
mouvement
alternatif de chaque piston par tour . En b) , on celui-ci avec une ligature
de type à
bielles coulissantes . En c ) celle -ci est réalisée avec des bielles
flexibles . En d )
avec des cylïndre oscillants.
La figure I 1 montre les deux grandes méthodes de base de correction du
mouvement irrégulier des pales des parties compressives vers le mouvement
rotatif
des parties mécaniques. La figure montre plus prêcisément que la coulisse peut
aussi être utilisée dans la machine à pale
La première méthode est par action coulissante de la pale, disposée dans un
rotor,
lui-même installé de façon rotative dans Ia machine.
Bans les deux figures, soit quasi circulaire et quasi trïangulaire ,
la pale 110 , est disposé de façon coulissante 111 dans un rotor nommé noyau
de la
turbine I 12 , monté rotativement 113 dans celle-ci .
Dans les deux cas, l'action combinée du rotor et de l'excentricité du cylindre
utilisé
comme came, produit le n~ouvexnent désiré de pale.
Comme nous l'avons déjà mentionné à plusieurs reprises, ce type de
mécanisation
trés élémentaire, bien que pouvant s'avérer suffïsant dans des applications
spécifiques ne nécessitant que peu de puissance, tel de petites pompes,
lI3

CA 02429211 2003-05-16
compresseurs, ne seraient âtre utilisées convenablement en motorologie plus
lourde, en laquelle une plus grande puissance et pression sur les éléments
seront
réalisés
La figure 12.1 montre en a } b ~ c~ au niveau dynamique les distinctions
importantes relatives aux sens des mouvement de pales , par rapport à celui de
leurs
parties motrices , pour chacune de ces machines , ce quî permet d'en
déterminer
l'appartenance à la classe post rotative ou rétro rotative. Cette figure
explique en
effet les principales raisons dynamiques qui peuvent permettre de classifier
les
machines rotatives de bases à pistons triangulaires, de géométrie 'UVanl~le
comme
une machine post rotative. En effet , lorsque l'on observe le déroulement de
la
séquence des pièces dynamiques de la machine pour un tour , l' on peut
constater
que l'action I2I du vilebrequin I20 est en vitesse accélérée post rotative par
rapport à l' action de 123 de la pale 124 . I,' on doit aussi constater que le
vilebrequin
tourne dans le même sens que la pale qu' il supporte.
En fait l'on pourra constater qu'iI est un art trés connu en la matière que la
pale
tourne à raison de un tiers de tour pour chaque tour complet du vilebrequin
Ces constatations nous amènent à préciser que le temps mort des machines rétro
rotative, est pour ces raisons , de beaucoup plus faible que dans le; machine
à piston
et que dans le machine post rotatives, dans leurs formes les plus élémentaires
, aux
moteurs à pistons et aux moteurs rëtro rotatif les plus élémentaires, soit les
moteurs
triangulaires boomerang , l' on s' aperçoit qu' a à mi descente de chacune de
ces
unités, le couple de la machine post rotative est faible , alors que .celui du
moteur à
piston est moyen , et celui de moteur triangulaire est d.e beaucoup plus
puissant.
La figure I2.2 montre en c j que l' on peut soutenir une pale en chaque
extrémité
par une structure combinant rétro et post rotativité . Chaque partie opposée
de la
pale I40 est en effet soutenue par un ensemble de deux bielles I4I , ou l'une
est
rattachée à un maneton disposé sur un engrenage planétaire rétrorotatif 142 ,
et
l' autre à un maneton d' un engrenage planétaire post rotatif I 43 . lG'
action combinée
de ces rotations décrira un forme parfaitement birotative , c' est-à-dire
permettant
l'aspect oscillatoire de la pale.
I,a figure 12 en a,b,c,d,e, montre l'action pour un tour de ces mécaniques et
parties
compressives.
114

CA 02429211 2003-05-16
La figure 13 montre que les actions des parties mécaniques en sens contraire
des
pales , dans les machines rétro rotatïves , résultent en une réduction du
temps mort
haut de celles-ci , par rapport aux machines à piston et aux machines post
rotatives.
Comme on l' a déj à dit, dans ce genre de machine, le vilebrequin, ou l'
excentrique
est caractérisé par le fait que son mouvement est réalisé en sens contraire de
celui
de la pale.. L' on peut de plus constater que l' angle de couple entre le
vilebrequin et
la pale 145 est beaucoup plus important dans ces machines que dans les types à
piston et post rotative un deuxième différence fondamentale avec le type de
machine post rotative. LTne seconde différence, est cette fois-ci relative à
l'angle
piston bielle 146, ici réalisé de façon i~gurée , qui est plus faible dans le
moteurs à
pistons.
La figure 14 montre que Ies machïnes rétro rotatives L~oomerang, post
inductives,
et bi rotatives peuvent être généralisées en classes de machines, selon des
règles
des cotés Celte figure montre en effet , tel que déjà divulgué antérieurement
, que
Ies machines post , rétro et bi rotatives de base sur lesquelles nous venons
d' appuyer notre commentaire , ne sont que les machines les plus élémentaires
des
séries à l' infini que l' on nomme post , rétro ou birotative à x cotés.
L'on remarquera que, comme mous l'avons antérieurement définà, les machine
post
rotative se définissent géomét~iqueme~t comme des machines doa~t le n~mbr~e de
coté de pale est supérieur de un à celui du cylindre eux lequel elle est
motivée, tel
que montré en a ) , alors que machines dites de géoméirie rétro rotatives se
caractérisent au contraire par une géométrie, mettant en évidence un nombre de
coté de pale de un in, fé~°ieu~° c~ celui du cyli~adre dans lc
qucl elle est motivée, tel
que montré en b de la méme jâgure . huant aux machines birotatives , tel que
moniré en c ), le nombre de coté des structures palique et du double de celui
du
cylindre. Eaa d) l'oa~ peut voir que le nombre de pale par cylindre, pour les
machines de type semi turbine d ffére~tielle, est variable de deux jusqu'à n
pales .
En e ) l'on voit , comme on Ie récrira plus abondamment plus loin , que Ies
méta
turbines peuvent aussi être produites par générations.
La figure 15 montre que partant de ces généralisation et règles, un cylindre,
d'apparence similaire, par exemple ici de trois cotés, permettra, selon la
forme de
pale utilisée et la dynamique qui lui est appliquée, la réalisation de
machines tout à
fait différentes et même contraires, telles des machines rétro mécaniques,
post
mécaniques et bi mécaniques. La figure montre en a ) que des cylindres de même
nombre de cotés , par exemple ici trois, peut par conséquent permettre , selon
le
nombre de coté de la pale et le type de mécanique utilisées , permettre de
produire
des machine totalement différentes et opposées , telles la machines post ,
rétro et
11~

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birotatives. Tel que l' on peut le constater, lorsque Ia machine sera réalisée
par un
construction de type post rotative, l' on utilisera un pale de quatre cotés en
a) ,
lorsque l' on réalisera la machine avec une construction de type re'tro
rotative, l' on
utilisera un pale de deux coté , tel que montré en b) . l~ inale~nent, pour
les
machines de type poly turbine, la structure palique convenable sera de six
cotés.
Les trois différences fondamentales suivantes assurent une plus grande
puissances
machine bi rotatives et rétrorotatives , sur les machine post rotatives. En
effet , le
nombre d'explosion par coté de pale dans un moteur rétro roiatif est supérieur
puisque le nombre de cotés de son cylindre est de deux supérieur à celui des
machine post rotatives. En effet, comme nous l'avons déjà montré, une pale de
troïs
coté, lorsque la machine est monté rétrotativement , voyage dans un cylindre
de
quatre cotés, alors que lorsque la machine est montée de façon post rotative,
la pale
voyage dans un univers de seulement deux cotës.
Dans une machine de type rétro rotative, à pale triangulaire , chaque coté de
pale
produit en effet les quatre temps nécessaires à la combustïon , à raison de
deux fois
par tour, alors que dans une machine de type post rotative, une pale de même
nombre de coté n'en produit que deux.
La figure I6 montre la méthode mécanique de base de contr~le à la fois
positionne)
et directionnel de la pale des machines â parties compressives à pale simple.
L'on
dira que cette méthode est une méthode par mono ind~ection post
~°otative, si elle
utilise un engrenage de pale de type interne et un engrenage de support de
type
externe, ces partie entraînant Ia pale , quoique à vitesse réduite , dans le
même sens
que celui de I' excentrique du vïlebrequïn, l' on dira par ailleurs que les
mécaniques
sont de type rno~o induction rétro rotatives, si les engrenages de pales sont
de type
externes alors que l'engrenage de support est de type interne , ce qui a pour
résulta
d' entraîner la pale dans le sens inverse de l' excentrique du vilebrequin. .
Ces deux types de mono induction produiront donc dans leur plus simple
expression , lorsque réalisé par mono induction post rotative, les moteurs à
cylindre
en huit post rotatif, de géométrie Wankle, et , lorsque réalisé par mono
induction
rétro rotative, Ies moteurs dits moteurs triangulaires Boomerang .
Cette méthode par mono induction consiste à monter la pale 150 sur un maneton
151 ou excentrique 152 de vilebrequin. L'on i~xera rigidement à la pale d'u~ae
rszachine post rotative, en tenant compte de la règle des cotés, un engrenage
de type
interne que l' on nommera engrenage d' induction I 53 . L' on couplera cet
engrenage
à un engrenage de type externe 154, ce dernier engrenage étant disposé
rigidement
116

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dans le flanc de la machine Ce couplage d'engrenage ne fera que réduire la
vitesse
de la pale qui conservera., par conséquent, un mouvement dans le même sens que
celui du vilebrequin.
Les machines rétro rotatives, montées de façon mono inductïve, seront plutôt,
cette
fois-ci , montées avec , sur le flanc de leur pale , un engrenage d' induction
de type
externe 154 , et dans le flanc de la machine , un engrenage de support de type
interne 15 5 .
Ce type d'engrenage, au contraire que de simplement réduire l'action de la
pale par
rapport â celle du vilebrequin, entrainera celle -ci dans un mouvement
planétaire
contraire par rapport à celui-ci, d'où l'appellation de machine rétro
rotatives.
La figure 17 commente la géométrie ayant préalablement été appliquée et ayant
permis de mettre en lumiére et réalisé la méthode par poly induction,
appliquée aux
machine post et rétro rotatives. Pour réaliser la méthode de soutient des
parties
compressives des machines à pale, dite par poly induction, il faut d'abord
observer
attentivement le déplacement de certains point précis situés sur la pale,
lorsque
montés par mono induction. Ainsi donc si l'on observe un point 180 situé sur
un
ligne unissant les centre de la pale et l' une des pointes de celle-ci 161 ,
l' on réalise
que la course de ce point est comparable à celle de la forme même un huit
réalisé
horizontalement 163, décrite pax les o . l'~'autre part, si de façon opposée,
l'on
observe une course d'un point 164 cette fois-ci situé sur la ligne unissant le
milieu
de l'un des coté au centre de la pale 165, l'on verra que celle-ci a dëcrit un
double
arc, rappelant la forme d'un huit, cette fois-ci ve~°tical 166, soit
donc
perpendiculaire à la première course analysée.décrite par les x
Si l'on poursuit l'analyse de comparaison entre les deux courses, cette fois-
ci au
niveau dynamique, l'on s'aperçoit que Ia distance entre les deux points
réalisant
chacun leur figure opposée est toujours équidistante. En effet , si l'on
imagine une
droite unissant le niveau le plus bas de l'une des courses, 167 , au niveau le
plus
haut de Ia figure complémentaire 168 , et que l'on suit le déplacement de
cette
droite relïant les deux points lors de leur course respectives, l' on
constatera que la
longueur de cette droite est invariable, et que la distance séparant ces deux
points
est donc équidistante , pour tout emplacement plus spécifique des. deux points
en
question , ce qui est imagé par les points a,b,c,d,e,f, de la présente figure.
117

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Cette invariabilité est très importante parce qu'elle pe~:-met de supposer que
cette
droite au niveau matériel peut être remplacée par une ;pièce rigide, comme par
exemple un pale.
La figure 18.1 montre comment réaliser mécanique les données géométrique
commentées à la figure 13 Cette figure les réalisations techniques permettant
de
produire de telles géométries Ayant déterminé ces courses, de même que leurs
rapports spécifiques, nous avons montré que l'on pouvait réalisei°
celles-ci avec
l'aide de deux engrenages de type planétaires , 169 , munis de maneton ou
d'excentrique 170 , ces engrenages étant montés rotativement sur un
vilebrequin
maître 173 , et couplé à un engrenage de support 174 initialement disposés
dans
leur phases opposé .I)ès le départ, l'on positionnes les engrenages et
manetons de
telle manière que l' un à sa phase Ia plus haute de sa course 171 et I' autre
à sa
phase la plus basse, 172. L'on couple cnsuite la pale 182 à ces devux
excentriques,
et celle-ci exécutera les mouvements demandés.
Cette disposition a les principaux avantages suivants, à savoir unc meilleur
répartition des charges et poussé sur deux points d'appui différents,
diminuant pour
autant Ia friction de ce type de machine, lorsque montées avec excentrique
central ,
et b) le blocage dynamique de la poussée arrière sur la, pale , augmentant
pour
autant la puissance avant de la machine.
Ce Type de méthode vérifera aussi l'aspect post rotatif de la machine , en ce
que les
vilebrequins secondaires, ou encore les excentriques to eront dans le même
sens
175 que le vilebrequin principal , de même que dans Ie même sens que celui ,
de la
pale 176.
La figure 18.2 montre un méthode similaire , dite de poly induction , cette
fois-ci
produite de manière à pouvoir réaliser un rétro rotation 179 des planétaire
169 lors
de Ia rotation du vilebrequin 180 , ce qui permettra de réaliser un machine de
type
rétro rotatif
Ici les engrenages dit engrenages d'induction 169 ser~~nt , pour réaliser les
objectifs
prédécrits, plutôt couplé à un engrenage de support , de type interne 191, cet
engrenage étant disposé de manière faxe dans le flanc de la machine .
Comme précédemment, l'on montera Ia pale sur les excentriques ou les manetons,
182, et l' on obtiendra, lors de la rotation du vilebrequin et la rétro-
rotation des
excentriques, Ia course triangulaire de celle-ci recherchée.
~l~

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La figure I9 montre le travail de la pale par rapport au vilebrequin lorsque
observéc par un observateur intérieur, à savoir situé s~.xr le vilebrequin, ou
sur la
pale elle-même. L'on y voit que lorsque l'on observe Ies machines rétro
rotatives
et post rotatives par le recours à un observateur extérieur , l'on constate
que dans le
cas des machines rétro rotatives, en a ) la pale, comc nous lavons déjà
mentionné
se déplace dans le sens contraire de celui du vilebrequin , alors que dans le
cas des
machines post inductives en b) la pale se déplace , quoique à vitesse réduite
, dans
le même sens que celui-ci .
C'est de ce type d'observation qu'on été élaborées les méthodes par mono
induction et par poly induction déjà commentées.
La figure I9 c ) et d) montre que si I'on considére le mouvement de la pale ,
cette
fois-ci non pas par rapport à un point fixe , situë sur le corps de Ia.
machine , mais
plutôt , par rapport à un point situé sur le vilebrequin , I' on réalise; que
, dans les
deux cas , rétro rotativement et post rotativement , la pale est toujours en
rétro
rotation par rapport au vileb~eq~ci~t.
Pour une meilleure compréhension, l'on suppose en effet en c et d ), que la
pale
n' aurait pas tourné du tout sur son axe , après un quart de tour de
vilebrequin. L' on
a donc positionné la pale en b et c comme si elle était rigidement fixée au
vilebrequin. Dans les figures e et d , l'on voit trés bien que pour replacer
les pales
aux positions spécifiques qu'elles devraient occuper à ces moments de
dynamiques
de la machine, l' on doit appliquer à chacune d' entre un rétro rotation ,
plus légére
I 00 pour les machines post rotatives, et plus prononcées 1 Q 1 pour les
machines
rétro rotatives.
L' on peut en effet constater qu' une r étro rotation de Idt pale de Ia
:machine post
rotative sera environ de Tordre de 60 degrés, alors que celles des machines
rétro
rotatives, ici triangulaire, sera d'environ I30 degrés.
C'est donc dire que vu sous l'angle d'un observateur situ sur Ie vilebrequin,
ou sur
la pale, l' on constatera que dans les deux cas, il y a un rétro rotation de
la pale par
rapport au vilebrequin, et que ce sont avant tout des diffërences de degrés de
rétro
rotation qui caractérisent ces deux types de machines.
Il est donc des plus important de constater les deux points suivants
A ) que les mêmes méthodes de support des pièces pourront dès lors être
utilisées
pour les deux types de machines
11~
__ _ _ _ _ ~ __ ~_ e n ~ za
__ _ _ ___._ , , . ,_. . __ ~_~z ... _a _x.. . _p.~.._.z _ _~ .._~f ~ ~ .~ ~
_. ,~.. _._ -~,_.~ 6:_w=~ ~_~.n~. . ~ - ~,.

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b) que ces méthodes mettront en évidence url action de la pale par rapport une
action du vilebrequin et vise versa, par rapport à deux actions simplement
convergentes, telles que réalisées dans le premières méthodes.
La figure 20.1 montre une première méthode de soutient des pales obtenues par
une observation dite intérieure, en laquelle Ie vilebrequin participera non
seulement
à l'aspect positionnel de la pale , mais aussi à son aspect orientatiormel. Il
s'agit de
la méthode dite par serai transmission... Dans cette méthode, il s''agit
principalement de modifier la~'onction absolue de l 'engrenage de support
originellement statique contrôlant I'orientation de la pale, en une position
dynamique et relative par rapport au vilebrequin. L'on dïsposera rotativement
dans
la machine un excentrique 110 sur lequel sera montée rotativement la pale 111.
L' excentrique sera poursuivi par un axe et terminé par un premier engrenage
semi-
transmittif 112. La pale sera munie d' un engrenage d' induction I 13, ici e
type
interne, qui sera couplée à l'engrenage de support 114, cette fois-foi
dynamique. Ici,
comme l'excentrique, l'engrenage de support sera poursuivi par un axe au bout
duquel sera disposé un second engrenage de serai transmission I L 5. Les deux
engrenages de serai transmission prédécrits seront couplés indirectement par
Ie
concours d' un engrenage d' inversion 11 b, monté rotativement dans le flanc
de la
serai transmission.
Le mouvement de la pale sera dès lors réalisé, non par le recours au caractère
positionnel du vilebrequin et orientationel de Ia machine, mais bien plutôt
par les
cczractéres à la fois positionnel et orientationnel du vilebrequin. .
La figure 20.2 décrit Ia même méthode , appliquée cette fois-ci à une machine
post
rotative de base , qui sera dès Lors dite , machine post ~~tsative par serai
transm iss ion.
La figure 21 commente la méthode dite par engrenage cerceau. La méthode par
engrenage cerceau a été construite par nous-mêmes dans le but de pourvoir les
pales de tout type de machines d' engrenage d' induction de type externe, et
par
conséquent de pouvoir produire toutes ces machines de manière rétrorotative,
et au
surplus par une attaque de l' engrenage d' induction par le haut .
L'explication plus complète est la suivante. En a ) on aperçoit la structure
de base
recevant ultérieurement la pale . En c), un vilebrequin 120 est monté
rotativement
dans le corps de la machine et est construit de telle manière de pouvoir
recevoir
rotativement un engrenage dit engrenage cerceau 121 . IJne engrenage dc
support
122 est disposé de façon fixe dans le coté de la machine, préférablement par
Ie
120
r _ , .v , . .,s _ _

CA 02429211 2003-05-16
recours à un axe. L'engrenage cerceau est disposé rotativement .dans un le
bassin
du manchon du vilebrequin à cet effet I23 , de telle maniére d'être couplé à
I' engrenage de support.
L' on notera que l' engrenage cerceau, pourrait être aussi rotativement à
partir d' un
axe, ou encore remplacé par un autre moyen tel une chaîne.
En b de la même figure, l'on voit que la rotation du vilebrequin 1:26 entraîne
la
rétro rotation orientationelle de l'engrenage cerceau , et que si un marque
I27 est
placée sur l'engrenage , celle-ci reculera pour ainsi dire , 12~ ,129 ,130
en cours de rotation du vilebrequin.
I~és lors si un engrenage 131 est engagé rotativement sur le maneton du
vilebrequin
de telle maniére d'être couplé à l'engrenage cerceau 132 , Ia rétro rotation
de ce
derniére entrainera automatiquenment , la rétrorotation de ce derrnier
engrenage 133
et produira ainsi la rétro rotation orientationnelle de ~:a pale qui lui est
rattachée.
C' est bien ce qui arrive en en c 1 ) et en c2~ puisque les pales 134 seront
munies
d'engrenage d'induction 131. et seront montées rotativement sur :fie maneton
du
vilebrequin 136, de telle maniére que leur engrenage d'induction soit couplé à
l' engrenage cerceau , ce dernier ayant sa course contrdlé comme on I' a
précédemment expliquée et commentée., par son couplage à l' engrenage de
support
simultanément à l'action rotative du vilebrequin.
Les avantages d'un telle mécanique sont certes tout d'abord une scande
fluidité
résultant de l'utilisation d'un maneton 140, par opposition à celle d'un
excentrique,
comme c'est le cas dans les versions standard. En second lieu il faut
mentionner le
deuxiéme avantage important qui consiste à permettre un attaque de l'engrenage
d'induction de pale, cette fois-ci externe, par le haut, ce qui enlève tout
l'effet de
poussée arrière connu dans ces genres de moteurs.
La figure 22 a et b montre respectivement les méthodes dites par engrenage
cerceau
par couplage antérieur et par engrenage cerceau à couplage extérieur.
La figure montre que l' usage de l' engrenage cerceau peut être multiple. En
effet,
par exemple dans cette f Bure, Ia technique d' engrenage cerceau permet d'
activer
un tiers engrenage, soit ici un engrenage de Lien. I60, ce dernier motivant à
son tour
I' engrenage d' induction de pale, qui cette fois-ci est de type interne
Dans la présente méthode de support , un vilebrequin 1.52 , muni d'un maneton
I53
ou d'un excentrique 154 , sera monté rotativement dans Ia machine , et un pale
l21

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155 munie d'un engrenage de type interne 151 , sera monté sur scen maneton ou
excentrique .
Le vilebrequin possèdera , sur le coté antérieur 156 ou postérieur 157 , un
maneton
de support 158 de l'engrenage de lien , sur lequel sera monté rotatïvement
l'engrenage de lien I50, cet engrenage étant couplé à la fois à l'engrenage de
pale
et à l' engrenage cerceau.
L' engrenage cerceau sera préalablement mais non obligatoirement monté
rotativement sur le manchon du u vilebrequin, par sont intrusion dans un
bassin, ou
à l' aide d' un axe, de telle manière de coupler I' engrenage dc lien et l'
engrenage de
support.
La rotation du vilebrequin entraînera Ia rétro rotation de l' engrenage
cerceau , qui à
son tour entraînera la rétro rotation de l' engrenage de lien , et par
conséquent , par
celui-ci, à son tour l' engrenage de pale et la pale qui y est fixée.
En c l, l'engrenage de lien est placé au haut, pour une attaque plus avant,
qui
pourra être intéressante dans le cas des machines rétro rotatives.
En a et b, il est placé plus près du centre pour un attaque plus arrière de la
pale. La
f guration schématique de ces possibilités est montrée en d) l' idée; générale
de
celle-ci est de bien montrer la versatilité de l'utilisation de l'engrenage
cerceau, qui
couplé de cette manière, permet de trouver l'équilibre parfait de poussées
post et
rétro rotative sur une même pale, de telle manière de balancer ces poussée, en
retranchant totalement les contre poussées.
La f gare 23.1 montre Ia méthode par engrenage interne ~uxtapos,é , ici
appliquée à
une machine de type rétro rotative.. En a), les pièces sont vues en trois
dimension,
alors qu'en b) et c), il s'agit de coupes transversales. Dans cette méthode,
un
vilebrequin 170 est monté rotativement dans la machine, et un engrenage de
type
interne de support 171 est f xé rigidement dans Ie flanc de celle-ci. L'
excentrique
du vilebrequin, dans sa partie supérieure, est traversé par un axe 1.72
supportant de
chaque coté en engrenage que l' on nommera engrenage de lien I 73.
L'engrenage de lien extérieur est couplé I74 à l'engrenage de support alors
que
l'engrenage de lien intérieur est couplé à l'engrenage interne de la pale 175
, celle-
ci étant montée, bien entendu sur l'excentrique du vilebrequin.
X22

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La rotation du vilebrequin entraînera la rétro rotation du doublé
c1'engrenages de
liens, qui entraînera rétro rotativement la pale.
La figure 23.2 représente la même méthode , cette fois-ci appliquées à une
machine post rotative.
La figure 24.1 montre la méthode par engrenages internes superposés,
Dans cette méthode, l'on monte un vilebrequin 180 rotativement dans le centre
de
la machine, et l'on muni ce vilebrequin d'un excentrique, ou d'un. maneton.
A la différence de la méthode commentée à la figure précédente, l' engrenage
de
support sera de type interne et sera dïsposé rigidement: dans Ie flanc de Ia
machine
181. Un axe de support 172 des engrenages de lien 183, sera monté rotativement
sur Ic manchon du vilebrequin. La pale 184, munie d'an engrenage d'induction
185
de type interne sera montée rotativement sur le maneton ou l' exc~,ntrique du
vilebrequin .L'engrenage de lien situé du coté extérieur du vilebrequin sera
couplé
à l' engrenage de support 187, et le second à l' engrenage de pale I. 88.
Le fonctionnement sera le suivant. La rotation du vilebrequin entraînera la
rétro
rotation du doublé d'engrenage de lien 179 qui entraînera à son tc>ur la rétro
rotation orientationelle de la pale, en cours de sa rotation
positionnelle.180,
La figure 24.2 montre même méthode qu'à la figure précédente , cette fois
appliqué à une géométrie post rotative , la fgure pern~~et de constater qu'une
telle
mécanique absorbe Ia force avant 181 a~ sur le maneton , alors que la force
arrière
181 b~ est transformée post rotativement , ce qui permet de conclure que la
force
résultante est constituée des deux forces précédentes cette fois-ci
additionnées,
alors que dans le machines conventionnelles , elles se soustraient et se nient
l'une
l' autre.
Dans ce type de support, comme toujours, un vilebrequin 200 muni d'un
excentrique ou d'un maneton 201 est monté rotativement dans Ie centre de la
machine . Dans le coté de celle-ci est disposé un engrenage de support 202 ,
de type
X23

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externe . La pale est munie 204 d' un engrenage d' induction 205 et est montée
rotativement sur le maneton ou l'excentrique du vilebrequin. Un engrenage, dit
engrenage intermëdiaire 206, est monté rotativement s,ur ou par wn axe au
manchon
du vilebrequin 207, de telle manière de coupler indirectement les engrenages
de
support de la machine et d'induction de pale.
Cet engrenage est monté de telle manière de coupler les engrenages d'
induction de
pale 204, et de support 202.
Le fonctionnement de la machine montre que lors de Ia post rotation du
vilebrequin 208, l' engrenage intermédiaire, étant lui-même engrenage
planétaire de
l'engrenage de support , subit un post rotation 209, qui entraîne à son tour ,
de par
sa face complémentaire , la rétro rotation 209 b orientationelle de la pale en
cours
de sa roiation positionnelle. Comme precédemment, puisque les aspects
positionnels et orientationncls de la pale ne sont pas absolus, mais plut~t
relatifs à
ceux du vilebrequin, cette mêthode s'appliquera tout autant aux machines post
rotatives que rétro rotative, en lesquelles in suffira de calibrer les
engrenages.
La figure 25 2 est une méthode similaire à celle de Ia figure précédente ,
appliquées à une machine post rotative.
La figure 25.3 est une méthode dérivée de la précédente en ce que I' engrenage
intermédiaire actionne plutôt cette fois-ci l'engrenage de pale I 13 , puisque
celui-
ci est de type interne , par le recours à un engrenage de lïen I&3 I,'on
notera que le
maneton 201du vilebrequin est plut~t cette fois-ci situé au niveau de
l'engrenage
intermédiaire.
Cette dernière réalisation nous permet d'énoncer la règle selon laquelle l'on
peut
changer un engrenage de pale de type externe par un engrenage de type interne
et
un engrenage de lien, et inversement, sans modifier la structure de la
machine.
La figure 26 montre la méthode par engrenage cerceau intermédiaire
Dans cette méthode, l' engrenage cerceau 121 de la rn.achine est ;produit de
façon
assemblée rigidement ou dans une même pièce que celle de l'engrenage
intermédiaire 206 . L'un ou l'autre des engrenages sera couplé à l'engrenage
de
support 154, et l'engrenage complémentaire à l'engrenage d'indu.ction I53.
Les deux manières en a) et b) produiront un post induction de I'e~ngrenage
d' induction et de Ia pièce ou de l' excentrique qui y est rattaché.
La figure 27.1 montre Ia méthode de support qui sera dite par engrenage talon.
12~

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Dans cette méthode, le vilebrequin 210 sera monté rotativement dans la machine
et
aura pour particularité d'âtre poursuivi sur sa longueur , dans sa partie
antérieure,
c'est-à-dire contraire à celle du maneton , cette partie additionnelle étant
appelée
pour cette raison talon du vilebrequin 21 I . LTn engrenage de support 2I2
sera
disposé rigidement dans le flanc de la machine.
La pale 2 I 3, munie d' un engrenage d' induction 214, sera montée sur le
maneton
215 du vilebrequin. Deux engrenages de lien 216 seront à la fois reliés
rigidement
et montés rotativement, par Ie recours à un axe au talon su vilebrequin, de
telle
manière de coupler l' engrenage de support de la machine et l' engrenage
d' induction de pale.
Le fonctionnement de la machine est à I'effet que sous Ia rotation du
vilebrequin,
219, les planétaires de lien montés sur le talon du vilebrequins seront
entraînés post
activement 220, ce qui actionnera rétro activement 221 l'orientation de Ia
pale
pendant sa rotation positionneile.
La figure 27.2 montre la même méthode que celle présentée en 2 7. l, mais
cette fois
appliquée à une machine de géométrie post rotative.
La f gare 28.1 montre la méthode dite par engrenage central post actif,
appliquées à
une machine de géométrie rétro rotative. Comme précédemment, la présente
méthode montre que lorsque la pale est activée post activement par I'arriére,
en
cours de sa rotation positionelle, elle subit une rétro rotation
orier~tationnelle, ce qui
est l'effet recherché.
Ici , par conséquent , un vilebrequin 230 est monté rotativement fans Ia
machine et
un engrenage central 231 est monté de façon Iibre met rotative dans le centre
sur
ou par un axe central â cet effet , et de telle maniére d'âtre couplé à
l'engrenage
d'induction de pale. Pour obtenir l'effet orientationnel de la pale
i°echerché, il
faudra donc en cour de rotation positionnelle de celle-ci motiver l'engrenage
central de façon post active.
En effet, pour obtenir une rétro rotation 232 de la pale durant son tournage
positionnel 233, il faut produire une post action de l'engrenage de: support
central
actif supérieure à celle du vilebrequin.
Pour ce faire plusieurs moyens pourront âtre utilisés. Parmi les plus simples,
le
suivant : l'on munira les axes de support de l'engrenage central et de
vilebrequin
d'engrenages 234, 236, ces engrenages étant à leur tour couplés indirectement
par
125

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un doublé d'engrenage , que l'on dira engrenages accélérateurs 237 , ces
derniers
étant montés rotativement dans le fane de la machine..
Le fonctionnement de la machine sera donc 1e suivant. Lors du tournage du
vilebrequin 239, les engrenages accélératifs entraîneront le tournage accéléré
de
l'engrenage de support, qui produira un effet rétrorotatif 232 sur La pale par
le biais
de son engrenage d' induction.
La figure 28.2 est une méthode similaire à celle de la précédente figure,
cette fois-
ci appliquées à une machine de géométrie post rotative.
La figure 29 montre la méthode par engrenage central post actif en doublë
d'engrenages de lien. Dans cette méthode, la pale est co e précédemment
activée
250 par l'attaque antérieure 251 par un engrenage central post actif 252.
Cependant, la méthode d' activation de I' engrenage ce:r~tral est différente.
Ici, l' on a
plutôt recours à un engrenage dc support 253 de type interne. Un engrenage
talon
254, couplé à l'engrenage de support, active post activement le doublé
d'engrenages de liens 256 constituant L'engrenage central post actif, avec
l'effet
que l' on connaît. .
Le fonctionnement consiste en ce que lors du tournage du vilebrequin 257, les
engrenages de liens centraux sont amenés en post rotation 258, ce qui entraîne
la
rétrorotation orientationnelle de la pale 250 pendant le rotation
positionnelle de
celle-ci.
La figure 30.1 montre la méthode dïte par engrenage cerceau de xrale. Ici,
l'on
suppose que la pale n'est pas, comme précédemment, soutenue positionnellement
par un excentrique ou maneton de vilebreq~.in, mais par un enserrable
d'engrenages.
L'on suppose donc, un vilebrequin 260 monté rotativement dans la machine. L'on
suppose que sont montés rigidement sur le manchon d.u vilebrequin deux axes de
support 261 des engrenages ,ou plus , les deux premiers supportant les
engrenages
libres et le troisiéme l'engrenage de lien actif. L'on notera que la machine
serait
réalisable avec un seul support et engrenage libre, et que I' on l' a produit
avec deux
pour une meilleure stabilité. L' on notera que dans Ie cas d' un seul
engrenage libre,
celui-ci pourra aussi être monté dans le centre de la machine, et non sur le
manchon. Un engrenage de pale de type interne sera rigidement fixé au centre
de
la pale 268 , et un engrenage de support sera , comme dans les versions
précédentes
fixé rigidement dans la machine. Un engrenage, ou un double d'engrenage de
lien
X26

CA 02429211 2003-05-16
253, sera monté rotativement sur l'axe du maneton supérieur, et couplera
l' engrenage rigide cerceau de pale et l' engrenage de support de la machine.
Le fonctionnement de la machine consistera en ce que lors de la rotation du
vilebrequin 267, les engrenages de liens seront amenées en rétro rotation 268
et
entraîneront ainsi la rétro rotation oricntationnelle de la pale, appuyée de
par son
engrenage cerceau fxe, à la fois à l'engrenage de lien et aux engrenages
libres
support.
La figure 30.2 montre que l'on peut appliquer une méthode similaire à ne
machine
de type rétrorotative. Cette fois-ci cependant, l'on a laissé libre
l'engrenage central
de pale, et l' on a motivé par engrenage cerceau l' engrenage supérieur du
maneton.
L'on notera que 1 'on pourra aussi produire la machine en laissant: libre
l'engrenage
central et en rétromotivant l' engrenage supérieur de maneton.
La figure 3 i.l montre la méthode de soutient dite par structure engrenagique.
Cette
méthode, tout comme la suivante d'ailleurs , a été conçue de telle maniérc de
pouvoir construire la machine en retranchant le vilebrequin ou l'excentrique
central
et ainsi permettre l'utilisation de cette emplacement pour d'autres
applications
telles des pompes , turbines à eau , génératrices etc.
La figure 31.2 montre la figure précédente en trois dimensions.
Dans cette méthode, la pale est comme précédemment munie d' un engrenage
cerceau fixe 270, qui lui sert d'appui, à Ia fois positionnel et
orier~tationnel.
Comme précédemment, il est possible de construire la machine avec moins
d'engrenages, mais par un soutient idéal, et une meilleure compréhension.,
nous
supposons ici que quatre engrenages, dits engrenages excentriques , parce que
le
sens de rotation est en dehors d'un centre d'engrenage lui-même sont montés
rotativement en quatre endroits fixes de la machine , soit sur ou far quatre
axes
fixes 272 à celle-ci .
Le fonctionnement est à l'effet que le fonctionnement de la pale tournant le
positionnement des engrenages se modif era, tel que montré en b~, et réalisera
ainsi
les formes de machines désirées.
i27

CA 02429211 2003-05-16
L'axe moteur pourra être disposé par un des engrenages 273, ou encore sur un
engrenage central polycamé rétrorotatif 274, disposé entre les quatre
engrenages
d' induction excentriques.
La figure 32 montre une nouvelle méthode de soutient dite par engrenage
excentrique. Dans cette méthode , la pale 280 de la machine est rn.unie d'axes
fixes
281 , qui sont couplés rotativement à trois engrenages dits l'excentrique 282
, ou
plus , en des points décentrés de ceux-ci
De telle maniére de conserver les engrenages excentriques bien couplés à
l'engrenage de support, l'on produira une armature de soutient reliée soit au
centre
de ces engrenages soit aussi de façon décentrée 284, inverse de la première.
Le vilebrequin pourra être un excentrique disposé dans la machine 285, ou un
double excentrique 286.
L'intérêt de la présente mécanique sera que le mouvement de la pale pourra
être
fait de façon totalement ïndépendante de l'excentrique du vilebrequin, ce qui
aura
pour résultat que la friction sur celui-ci sera réduite au maximum.
La figure 33 montre une méthode de soutient en laquelle l'on constate que l'on
peut supporter I' aspect positionnel de la pale à partir d' un excentrique
central, 290,
et l' aspect orientationnel de la pale par un excentrique secondaire et
périphérique
291.
Dans le cas de la machine rétrorotative, l' excentrique périphérique et I'
excentrique
central, pourront être contr~lés par un engrenage cerceau 292 couplé à
l'engrenage
d' induction de chacun de ces éléments 293, 294, de même qu' à I' engrenage de
support 295.
La fpgure 34 est une méthode similaire appliquée à une machine de géométrie
post
rotative. Dans le cas des machine post rotatives l'on devra utiliser u
engrenage que
nous avons nommé engrenage cerceau intermédiaire sous l' un des ces deux modes
d'installation et de commandement 296, 297 L'engrenage cerceau intermédiaire
est en fait un engrenage cerceau sur Ia surface extérieure duquel l.'on a
surajouté un
engrenage intermédiaire de type externe.
Dans son premier type d'installation , l'engrenage cerceau intermédiaire est
rattaché de façon intérieure à I' engrenage de support et de façon extérieure
à
l'engrenage d'induction , avec pour résultat que sa rétro rotation 298
entraîne la
12~
- _..__~_ .--_y .,-__ ,.~.,._'_,.", . _-_ ,.. ..__, v v.,:..>-- . .:~.s=
.~.,~.....- S..',2'b ~......~.__.. :1v-..--~-.-m.~...-..>.. _~,.,...-:.-.
=,.o.._. _ ......,.",.-T., ."....,.....

CA 02429211 2003-05-16
post rotation 299 de l' engrenage d' induction. Dans son deuxième type
d'installation , l'engrenage cerceau intermédiaire est couplé de par sa
surface
extérieure à l'engrenage de support , et de par sa surface intérieure à
L'engrenage
d'induction , avec pour résultat que sa post rotation 340 entraîne aussi la
post
rotation de l' engrenage d' induction
LTn engrenage intermédiaire pourra en effet relier les engrenage de chacun des
excentrique et périphériques.
L' utilisation de l' engrenage cerceau intermédiaire et cerceau intermédiair e
offre,
au surplus beaucoup plus de souplesse géométrique, homme on le montrera dans
la
variété et la liberté de réalisation des formes de la machine, selles-ei étant
dès lors
beaucoup moins soumises aux rapports forcés de grosseurs des engrenages en
rapport avec leurs nombres de rotation requis.
Les types d'arrangement permettront donc de réaliser non seulement des
machines
post rotatives à cylindre plus bi rotatives, mais aussi des machiner
birotatives plus
post rotatif, comme par exemple les poly turbines.
La figure 35.1 montre de façon résumée que toutes les mécaniques déjà exposées
s'appliquent aux moteurs rétro rotative, dont la forme la plus représentative
est
celle du moteur triangulaire Boomerang. En 35 a), l'on retrouve l~e soutient
de pale
par mono induction, en 35 b) , par poly induction . Les deux méthodes étant
les
méthodes déduites de l'observation extérieure. En 35 c), l'on retr,~uve par
serai
transmission, en 35 d) , par engrenage cerceau, en 35 e ), par
engc°enage par
engrenage cerceau antérieur , et postérieur , en 35 f), par engren~.ge interne
juxtaposé ; en 35 g )" par engrenage interne superposé l'on retroLCVe une
réalisation ; en 35 h) par engrenage intermédiaire ; en 35 I) Par engrenage
intermédiaire postérieur ; 3 ~ J) , par engrenage cerceau-intermédiaire ; en k
par
engrenage talon
La figure 35.2 compléta la figure précédente. : en L , L'on retrouve la
méthode par
cerceau de pale ; en m , la méthode par engrenage actif central ; en en n , la
méthode par structure engrenagique. ; en o , la méthode par engrenages
excentriques.
Bien entendu, toutes ces mécaniques s'appliquent aussi aux figures dérivées
rétrorotatives, telles par exemple des figures à pales de trois coté:., dans
des
cylindres quasi carrée, ou encore des figures de pales à quatre cotés dans un
129

CA 02429211 2003-05-16
cylindre de cinq coté. L'on doit simplement pour ces figure calibrer ces
engrenages.
La figure 36.1 montre que toutes les mécaniques déj~ commentées s'appliquent
aussi aux machines post rotatives, dont la forme la plus usuelle est celle de
la
géométrie 'Wankle, généralement réalise par une méthode de soutïent de type
mono
inductive, en a ) avec tous les défauts que l'on lui connaît. Bien .entendu,
et cela
est la même chose pour les machines post rétrorotatives, toutes cea mécaniques
s'appliquent aussi aux figures dérivées post rotatives, telles par exemple des
figures
à pales de quatre cotés , dans des cylindres de troïs , ou encore des f gares
de pales
â cinq cotés dans les cylindre de quatre cotés. L'on doit simplement pour ces
figure
calibrer ces engrenages.
L'on retrouve en 36 a}, Ie soutient e pale par mono induction, en 36 b) , par
poly
induction . Les deux méthodes étant les méthodes déduites de l'observation
extérieure. En 36 c}, l'on retrouve par serai transmission, en 36 d} , par
engrenage
cerceau, en 36 e }, par engrenage par engrenage cerceau antérieur , et
postérieur , en
36 f~, par engrenage interne juxtaposé ; en 36 g )" pat° engrenage
interne superposé
l'on retrouve une réalisation ; en 36 h) par engrenage intermédiaire ; en 36
I) Par
engrenage intermédiaire postérieur ; 36 J) , par engrenage cerceaL~-
intermédiaire ;
en k par engrenage talon
La f gare 36.2 compléte la f gare précédente. : en L , l' on retrou~Te la
méthode par
cerceau de pale ; en m , la méthode par engrenage actif central ; en en n , la
méthode par structure engrenagique. ; en o , la méthode par engrenages
excentriques.
La figure 37 montre en a) et b) respectivement, les méthodes rétroécaniques et
bi
mécaniques de soutient des parties compressives des moteurs â bielle
rectiligne
Dans la partie a de cette figure, l'on retrouve donc Ia machine motrice ~
pistons
soutenue par cette méthode. IJn vilebrequin 210 est monté rotativ~ement dans
la
machine, sur le maneton 311 de celuï-ci est monté rotativement excentrique
312, de
même rayon que Ie vilebrequin. Cet excentrique est muni de façon rigide d'un
engrenage dit d'induction 313, cet engrenage étant couplé à un engrenage de
type
interne dit engrenage de support 31 ~ , dans le coté de la machine.
En b , l'on retrouve la méthode bi rotative, en laquelle deux vilebrequins ,
munis
chacun d'une bielle, celles-ci soutenant ;a leur tour Ie piston
13~

CA 02429211 2003-05-16
Les pistons 315 sont rattachés par des bielles fixes ou directement à
l'excentrique
puisque son rattachement sera parfaitement rectiligne 316 .
La figure 38 montre les trois principales méthodes d'équilibrage des soutiens
de ces
machines. L'on peut toute d'abord , en a , soutenir la machine en construisant
Ie
vilebrequin principal de façon standard , traversant la machine. Comme on l' a
déj à
montré , la méthode par mono induction rétrorotative s' applique avec d'
excellents
résultats aux moteurs à pistons .
En a , l' on utilisera des fourchettes 318 pour équilibre r le support de l'
axe du
vilebrequin. subsidiaire.
En b ) , l'on réalisera ce vilebrequin subsidiaire sous la forme d'un
excentrique 319
En c , l' on soutiendra le vilebrequin aussi dans sa face intérieure; , par un
renflement circulaire à cet effet , servant de portée supplémentaire. 320.
En d ) l'on ajoutera plutôt un soutient intérieur au vilebrequin soa;~s la
forme d'un
engrenage talon librement couplé à I' engrenage de support .
La figure 39 montre que tous les soutiens déjà'commentés , ici plus
spécifiquement
sous leur forme rétro mécanique , peuvent au surplus étre appliquées aux
moteurs à
pistons , ce qui montre bien que la nature mécano inductive de ces machines
répond
à Ia définition générale donné en introduction . Ces applications montrent
aussi
clairement que les habituelles méthodes de fabrication e ces machine sont
simplement heureuses et généralisées parce que la poussé égale s~tar°
le piston permet
des méthodes de contrôle positionnelles et orientationnelles qui permettent de
faire
phi , exceptionnellement de méthodes mécaniques de soutient , cc; qui n'
empéche
en rien cependant leur structure profonde en ce sens. Les méthodes de
lpgaturatgon
par bielles, bien que généralisées au niveau de leur réalisation n'e,n
demeureraient
pas moins exceptionnelles du point de vue de leur conceptualité , et auraient
masqué la réalité à l'effet que , comme les machines à pales, les machines à
pistons
sont des machines mécanico inductives. bien que, comme nous le répétons,
toutes
les méthodes soient applicables, nous ne montrons à cette f gare, par soucis
de
concision que les quatre méthodes suivantes figure montre les méthodes, en a )
par
engrenage cerceau, en b) , par semi transmission, en c) , par engrenage post
actif
L' on notera qu' a toutes ces figures, l' excentrique de support du piston
peut être
remplacé par une bielle , reliées aux pistons.
131

CA 02429211 2003-05-16
En a , le vilebrequin 320 reçoit rotativeent l' engrenage cerceau , 321 , cet
engrenage étant couplé en sa basse partie â L'engrenage dc support 322,
disposé
fixement dans la machine . Sur le maneton 323, du vilebrequin, e;~t monté
rotativement un excentrique 324, muni d'un engrenage d'induction 325 , de
telle
manière que cet engrenage d' induction soit couplé ~. la partie supE;rieure
326 , de
l' engrenage cerceau.
Le correct calibrage des engrenages, et dc la grosseur de l'excentrique de
rayon
égal ~ la distance séparant les centres de engrenages assurera un voyagement
purement rectiligne de l'excentrique 327, ou du maneton, et supportera donc
correctement les pistons 328sans bielles ou sans bielles libre.
La figure 39 b ) , montre l'application de la méthode par serai transmission,
Tans
cette méthode , un excentrique 329 est monté rotativement dans la machine et
est
muni d'un engrenage de serai transmission 331 , L.Tn :>econd excentrique 330 ,
du
double de grosseur est monté sur le premier et est muni d'un engrenage
d'induction 332 . ITn engrenage dynamique de support 333 lui est couplé et est
par
le recours ~. un axe 334, muni d'un engrenage de serai transmission 335. Les
deux
engrenages de serai transmission sont couplés indirectement par le recours â
un
engrenage d'inversion 336, monté rotativement dans la machine. Les pist~ns
sont
reliés directement ou par bielle â l'excentrique supérieur 337 qui réalise un
mouvement parfaitement rectiligne.
La figure 39 c) , montre la réalisation d'un moteur rectiligne à partir de la
méthode
dite par engrenage intermédiaire.
En cette méthode le vilebrequin 340 est monté rotativement dans la machine et
sur
son maneton un excentrique 341 est disposé rotativement et est rrEUni d'un
engrenage d'induction 342) Les engrenages de support 343 et l'e:ngrenage
d'induction 342 , sont couplés par le recours ~ un tiers engrenage , soit
l'engrenage
intermédiaire 344. Les pistons sont directement, ou par le recours à des
bielles
fixes, reliés ~ l' excentrique d' induction 341.
OLa figure 39 d) montre la méthode de support dite par engrenage central post
actif
.En cette méthode, un premier excentrique l'excentrique 350, mu:rii d'un
maneton,
est monté rotativement dans la machine, et est muni d'un axe terminé par un
engrenage de serai tranmission. LJn engrenage de centre post actif est monté
sur
un axe traversant celui de l'excentrique principal, et est muni lui ~de même
muni
d'un engrenage de serai transmission.. Les deux engrenages de serai
transmission
sont couplés par des engrenages de lien 355 accélérateurs.
132

CA 02429211 2003-05-16
Sur ie maneton du vilebrequin 356 est ensuite disposé rotativement un
excentrique
d'induction, 357, lequel est muni d'un engrenage d'induction 350, couplé à
l'engrenage de support dynamique et post actif.
Le piston 359 sera dès lors couplé directement ou part le recours ~de bielle
fixe à
l' excentrique d' induction qui réalise une parfaite rectiligne alternative.
L'on peut déduire des derniéres explication que les machines à pistons sont
elles
aussi des machines à induction mécanique, et que par conséquent, de toutes les
autres méthodes de soutient du corpus mécanique préalablement exposées seront
correctement applicable de telle maniérc de réaliser un soutient de parties
pistonnées mécanique. Dans tous les cas, il suffira que, comme nous venons de
le
montrer, la pale sont remplacée par un excentrique ou encore par un
vilebrequin
secondaire muni d'un maneton, ces deux derniéres piéces recevant de façon fixe
les
engrenages d'induction, et étant par conséquent motivées non seuilement
positionellement , mais aussi orientationellement par l'ensemble ,mécanique.
Les pistons 359 seront des lors couplés directement ou par le recours de
bielles
fixés à l' excentrique d' induction.
La fgure 40 montre l'application des autres méthodes, ce qui permet de
généraliser
cette machine.. Ici, l' on a installé sur chaque mécanique des bicllc~s la
place des
engrenages. L'extrémité de chacune d'elles parcourra un course alternative.
rectiligne, ce qui permettra un contr~le positionnel du piston qui ;>era
total.
La figure 41 montre Ies différences principales des trois grands types de
géométrie
pouvant être réalisées avec les inductions mécaniques présentées précédemment
, et
les corrections pouvant y être apportées. En utilisant la mécanique par
engrenages
planétaires, rétro ou post rotatives, l'on saisi mieux les types de figures.
en a) l'on
suppose un point précis , 360 , pris sur un engrenage planétaire 361 , dc une
demi
de la grosseur de l'engrenage de support . la rotation de l'engrenage
planétaire
réalisera la course bombée en double arc 362 . Un rapport de un sur trois des
engrenages entraînera la forme en triple arcs et ainsi de suite. Les formes
réalisées
seront dites post rotative . L'on notera un accroissern.ent du rayon de
rotation du
point en suivi, produira un accroissement de bombages 363 des formes de base.
En b), l'engrenage planétaire 364 est plut~t du tiers de la grosseur de
l'engrenage
de support 365 qui au surplus cette fois ci est de type interne. La forme
réalisée est
133

CA 02429211 2003-05-16
dite de géométrie rétro rotative. L'on notera qu'un accroissement de
l'éloignement
du point de rotation de son centre 366 produira un accroissement de
l'aplatissement
de la forme triangulaire, réalisé 365 b j .
En e~ , l'on voit la course réalisé par un point joint à deux planétaires
tournant en
sens inverse , la forme réalisée étant dite bi rotative. Nous reviendrons plus
tard sur
ce sujet, mais énonçons dés à présent quc les formes birotatives sont aussi
celles
mécaniquement qui permettent géométriquement la réalisation du mouvement
oscillatoire, ce qui nous commenterons plus abondamment lors de nos propos
relatifs aux poly turbines.
Pour l' instant notons plus précisément que lorsque ces f gares représentent
des
cylindres de machines à pale, l'allas apparaissent non ïdéales et devant être
corrigées pour respecter le rapport optimal de compression des machines à
COmbustlOn lnternes.
Relativement aux machines post rotatives, les bombages en sont i:rop amples,
et
réalisent un trop important taux de compression. ~'es~t pourquoi il est d'un
art
connu de retrancher une certaine quantité de matériel sur la surface des pales
pour
amortir cet excés de compression. Les prochains propos auront pour objet de
montrer qu'un réductïon de compression par une transformatîon du cylindre,
permettra non seulement d'obtenir des résultats correctif relativement à cet
élément, mais aussi, en raison des nouvelles mécaniques de soutient élaborées,
augmenter simultanément le couple de la machines. L'on visera donc réaliser
les
baisses de compression en réalisant des cylindre dont l'amplitude de largeur
sera
réduite 370.
Au contraire, en ce qui concerne les figures rétro rotatives, il faudlra leur
donner de
l'amplitude en réduisant les encoignures des figures qui leur sont propres 371
et en
augmentant le bombage des cotés 372.
Lie même que les machines birotatives, plus particuliérement de type poly
turbine,
il faudra leur donner une post rotativité, si l'on veut s'exprimer de la
sorte, et en
élargir l'ampleur 373, et en réduire la hauteur 374.
Il faudra donc imaginer les corrections des formes et des mécanig~~ues de
base, pour
permettre la réalisation de ces nouveaux cylindres.
La f gare 42 montre que la coulisse est non seulement un procédé: de ligature
correctionnelle de premier niveau, mais qu'elle peut être utilisée à un second
134

CA 02429211 2003-05-16
niveau. En effet, nous avons montré dans nos premières figures qu'une pale 380
coulissante peut être installée dans un rotor 382. d'une machine motrïcc cn a
~ . E.n
b) l'on voit une réalisation de Ia précédente f gure, cette fois-ci montée en
mono
induction et permettant au centre de rotation de la pale 383 sur elle-mèmc,
lui-
méme se réalisant sur une course 384 non centrée, mais circulaire:. En c) I'on
voït
que c'est le rotor 386 lui-même qui est excentriquement 387 et rotativement
disposé Le déplacement coulissant dc la pale 388 absorbera les modification de
la
forme imparfaite dc base, cn raccourcissant les encoignures et en bombant Ies
cotés. L a compression sera donc plus élevée lors de l'explosion 391.
L'on remarquera que ce type de réalisation réitère lc défaut de la ;première,
quoique
cette fois-ci à un second niveau, puisque Ics excentriques du cylindre
complètent
l' action mécanique et est nécessaire au mouvement dc Ia pale.
L'on notera que toutes Ies réalisations précéda ent montrées pcrrmettent de
produire un mouvement alternatif rectiligne peuvent être utilisées de façon
étagée
pour contr~ler l'aspect alternatif du déplacement de 1~. pale.
En d~ lc déplacement latéral de la pale pendant ces rotations positionnellcs
et
orientationnelle est produites avec des bielles .
Idéalement pour augmenter le compression des moteurs ~oomrerang et diminuer
celle des post rotatifde géomêtrie ~Vankle, il faudrait, bomber les cylindres
de l'un
et atténuer l' ampleur de I' autre.
Pour ce faire, l'on falsifiera le rapport dimensionnel des engrcna~;es. L'on
utilisera
par exemple un rapport des engrenages du moteur triangulaire de I' ordre de un
sur
quatre 404, et le rapport de ceux du moteur Wanl~le établi par exemple â un
sur un
405. Pour compenser ces changements, l'on activera post activement l'engrenage
dc support 407 du moteur triangulaire , et l'on actionnera rétroactivement
celui des
moteurs post rotatif 408. L'on conservera ainsi, en dépit des modification de
235

CA 02429211 2003-05-16
rapport de grosseurs des engrenages, la même incidence des uns saur les
autres, et
par conséquent le méme nombre de révolution par tour des engrenages
planétaires.
Le nombre de révolution des engrenages d'induction, et par consÉ;quent des
pale
sera donc identiques, et ce la indépendamment de leur éloignement en a ~ ou de
leur
rapprochement du centre en b
La forme de cylindre obtenu sera donc moins enfoncée dans les encoignures 409,
pour les moteurs triangulaires , met plus faible dans le b~mbages des machines
post
rotative.
Les post action ou rétro action des engrenage de support plus haut commentées,
pourraient être obtenues par les petïtes semi transmission accélératives ou
inversives déjà commentées, ou par quelque autre moyen. L'on notera que le
moteur rétro rotatif ainsi corrigé , prend , pour ainsi d~.re , une certaine
connotation
post rotative, alors que le moteur post rotatif , prend pour sa part .,
inversement une
connotation rétrorotative. L'on notera de plus que les sorties de motorisation
pourront être produites à partir des axe des engrenages d'accélération ou
d' inversion , ce qui permettra , à celle-ci de réaliser à la fois les forces
post
La figure 44 montre une méthode de corréction des figures qui sera dite par
engrenage cerceau 420 , par engrenage intermédiaire 423 , ou par engrenage
cerceau intermédiaire 425. bous avons déjà commenté ces méthodes à titre de
méthodes de soutient des pales, ou de pistons de machines motrices. La
présente
figure a plutôt pour objet de montrer la versatilité de ces méthodes, qui
peuvent
aussi être utilisées pour modifier les rapports géométriques originels des f
gares. En
effet, ces méthodes sont beaucoup plus libres au niveau géométrique que les
mono
induction et poly induction de base, puisqu'elles peuvent pour ainsi dire
rapprocher
ou éloigner les planétaires sans pour cela modifier leur rapport de: tournage.
IJne
même figure, nécessitant par exemple deux tour complets de planétaires par
tour,
comme par exemple, la mécanique poly inductive nécessaire aux moteurs de type
géométrie V6Tankle, pourra, avec l'aide de planétaires contrdlé par engrenages
cerceau être construite avec des planétaires plus rapprochés du centre, sans
pour
autant modifier le nombre de révolution par tour de ceux~ci, et par conséquent
le
nombre de cotés ou d'arcs du cylindre.
Avec ces méthodes il est en effet possible de falsifier à volonté les rapports
de
distance entre les engrenages sans falsifier le rapport de tournage. LJn
second
exemple de ces qualités sera celui, permettra au contraire, d' allonger la
largeur du
136

CA 02429211 2003-05-16
cylindre d'une machine de type poly turbine, ici avec l'aide d'un engrenage
cerceau-intermédiaire. rotatives et rétro rotatives de la machine.
La figure 44 montre que l'on peut réalise des modification similaüres des
distances
à partir d'engrenage intermédiaires ou engrenage cerceau intermédiaires. Comme
dans le cas des corrections avec engrenages Berceau, l'on peut rerrlarquer que
le
changement de grosseur d'engrenage intermédiaire n'aura pas d'incidence sur le
rapport des engrenages d' induction et e support, mais qu' il odlifiera
cependant
les rapports géométriques des figures réalisées par les pales,
En a) l' engrenage intermédiaire est réduit 423.
La figure 4~ montre une troisïéme méthode de correction des formes que l'on
dira
par addition géométrique, ou par bielle de géométrie. dette méthode est
particulièrement utile parce qu'elle permet par exemple de transformer le
mouvement rétrorotatif d'un engrenage planétaire en a) 430 , quï lorsque porté
à sa
limite , c'est-à-dire sur la circonférence de l'engrenage lui-même , réalise ,
comme
on l' a déj à commenté , une parfaite rectiligne 43 I .
En c) l' addition géométrique permet de faire passer la forme de Belle de
rétro
rotative 432 , à Belle de bi rotative 443 .
En effet , l' on constate que l' addition géométrique réalisée sur un
mécanique mono
inductives rëtro rotative produit exactement Ia méme forme que celle réalisé
par un
mécanique en double induction contraires, que l'on a dit , bi rotative, ou bi
inductive 433. Nous montrerons plus précisément plus loin comment I'on pourra
généraliser ce type de correction à toues les mécaniques de base pour soutenir
les
machines de type poly turbine.
La figure 46 montre schématiquement que Tune des façons les plus mécaniques de
réaliser les changements de forme de cylindre consiste à étager les inductions
mécaniques. Dans ces types de correction, I'on introduira des changements
quant
au mouvement du positionnement de la pale pour un tour, et ce en conservant
son
aspect OrlentatlOnnel Intact.
Ici en a), l'on suppose la réalisation d'un machine Boomerang, dont la
gouverne
du mouvement de centre de pale sera réalisée par un rétro induction planétaire
de
type triangulaire.
~3~

CA 02429211 2003-05-16
En b 1) et b 2) , l'on imagine sur le mouvement obtenu 450 ,451 une seconde
action
circulaire 452, 453 , plus petite en étendue et ici , en sens inverse.
L'on peut constater que cette correction corrige la fonce de base ~et la rend
plus
approprié 454, 455
La figure 47 montre une autre façon de comprendre les corrections â apporter.
L'on
sait que dans le moteur triangulaire, il fait augmenter la compression, alors
que
dans le moteurs rotatif, il faut la diminuer.
La façon de réalise ces objectif sera de renoncer ~. réaliser une course de
positionnement de centre de pale qui sera circulaire. Dans Ie cas du gnoteur
triangulaire, la course centrale pourra être en tri-pointes, 460 alors que
dans du
moteur post rotatif, elle pourra être orale et verticale. 461
L'on peut résumer les deux présentes f Bures en disant que l'on peut effectuer
un
mécanique superposée additionnelle de correction de la forme initiale, ou
encore
que l'on peut corriger Ia forme de son évolution centrale, qui, somme toute,
sera
réalisée dans le même type de mécaniques en superposition.
La figure 4~.1 et suivantes montre la régla selon laquelle l'on peut étager
deux
types de méthodes dc soutient de telle maniére de synchronise le: contrôle
positionne) ou orientationnel des pales permettant de réaliser les formes
recherchées.
Il est trés important de notes que t~ute méthode de support des parties
comp~°essives déj~ commentée pa~° n~us-même et j~aisant partie
du corpus
mécanique d'ensemble des machines m~t~ices., s~it paa~ morio inGtucti~~a poly
inducti~n pa~° cerneau, er~g~°enages
i~ete~°édiai~°es, et ainsi de suite, peuveht ëtre
utilisées eh combinaison avec toute méthode de ce méme ensemble p~u~
r°~alise la
machine. Dans ces combi~aaisons de méthodes, l'une s~e~a p~°~duite pour
conte~le~°
le pa~°cou~s positi~nnel sp~ci~que de la machine et l'aut~°e
p~ua~ réalise~° son
parc~urs ~rientationrael .
En effet, une machine pourra donc être produite en contrôle positionne) ~
partir
d'une mono induction et produite un conirôle orientationnel par engrenage
cerceau. D'une autre manière, un autre machine pourra utiliser un premier
niveau
de contrôle positionne) par engrenage cerceau, et un second , powr contrôle
orientationnel, en mono induction .
13~

CA 02429211 2003-05-16
L'on réalise donc que les possibilité de variantes mécanique sont d'environ
quatre
cents pour un seule machine, puisque chaque méthode du corpus ïpeut être
combinée à un autre pour produire un contr~le postionnel et orientationel de
la
pale. Nous ne commenterons ici deux possibilités de combinaison. L'on trouvera
plusieurs autres possibilités de combinaison dans nos deux dema:ade de brevet
à
cet effet , servant de priorité à la présente desquelles nous annexons les f
gares à
la f n des présentes.
L)ans la présente figure, l'on a modifié le parcours extérieurs de la pale en
modifiant la course centrale de celle-ci. Pour ce faire, l'on a utilisé deux
mono
induction, l'une rétro rotative et l'autre post rotative. En effet, l'ors a
disposé
rotativement tout d'abord dans la machine un vilebrequin 800. Su:r le maneton
de
celui-ci l'on a disposé aussi rotativement un excentrique 801, muni d'un
engrenage
d'induction de posïtionnement 802. Cet engrenage est couplé à un engrenage de
support de type interne 804. Cet ensemble forme la première induction, celle
dont
résultera le mouvement en triangle 80~ de l'excentrique positionr~el.
La seconde induction, cette fois-ci de type post rotative, sera constitué des
éléments
qui suivent. Sur le vilebrequin sera axé rigidement, à la hauteur du maneton ,
un
engrenage de type interne , que l'on nommera engrenage de support
orientationnel ,
ou étagé. 806 . Sur la pale sera disposé de façon rigide l'engrenag;e
d'induction
orientationnel ou étagé 807, ici de type interne. et qui sera couplë à l'
engrenage de
support orientationnel.
Ce deuxiéme ensemble assurera la rétrorotation de la opale pendant la
réalisation de
sa course triangloide, ce qui produira la forme recherchée.
La figure 48.2 montre en a que l'on produit la machine de géométrie ~Tankle à
cylindre moins large avec une réalisation similaire à la précédentar,
réalisant
cependant la course de l'excentrique central cette fois-ci elliptique 805 b .
La figure 48.3 montre deux autres possibilité de combinaisons de méthodes. Ici
l'on a produit la machine de type géométrie é~dankle , cette fois-c;i à
courbure de
cylindre améliorée , avec le recours, au niveau positionne) , de la méthode
dite par
engrenage cerceau a I ) , et au niveau orientationnel, de la méthode par mono
induction.a 2 )
En 48.3 b ) les deux méthodes combinées sont plutdt , au premier niveau , en b
1 ) la méthode par mono induction , et en b 2 ) celle par poly-induction
139

CA 02429211 2003-05-16
La figure 48.4 montre que les mécanïques peuvent l:out aussi bien être
réalïsées
de façon ïnverse. L' on pourra par exemple réaliser, au niveau de L' induction
étagée,
une induction rétrorotatïve. En ce cas , l' on disposera sur la pale un
engrenage
d'inductïon orientatïonnel de type externe 810 , et sur le vilebrequïn , un
engrenage
de support de type interne 811 , dont le centre sera équivalent â cE;luï du
maneton.
La figure 49 montre que lors de l'utilisation d'un engrenage d'induction
orientatïonnel de type interne, l'engrenage de pale 81~ peut être contr~lé par
un
engrenage de lien 814 Iuï-même actïvé par l' une ou I' autre des méthodes
d' induction, ici par mono induction rétrorotative , dont les engrenages de
lien sont
814b et de support 815 .
La figure 50.1 montre le cas de contrêle de pale en combinaison, en lequel
l'engrenage de support de l'induction étagé serait disposé rigiderr~ent dans
le flanc
de la machine. En ce cas, soït l' engrenage d' induction soït l' engrenage de
support
seraït irrégulier, ce que l'on nommera engrenage polycamé.
Ici, c'est l'engrenage de support orïentationnel 900 quï sera irrégulïer.
Ire ce fait, ïl demeurera couplé ~ I' engrenage d' ïnduction de pale 901, en
dépït d sa
source irrégulières. d'est ce que nous appellerons la méthode par étagement
serai
polycamé.
La fïgare 50.2 montre l'hypothése ou Ia déformation est plut~t p~~rtée sur
l'engrenage de pale. 909, alors que l'engrenage de support est régulier. En
effet,
l'engrenage de pale, ïcï irrégulier, demeurera couplé ~. l'engrenage pale ,
même si
le centre de celle-ci a un déplacement elliptique.
La figure 50.3 montre une couple transversale de ces a.°apports
d'engrenages.
L'on y voit que les engrenages ronds 91 l, demeurerons couplés <~ux engrenages
ïrréguliers, 912 , dont Ies courses sont aussi irrégulières.
La figure 51.1 montre les corrections de mouvement de pale et de; forme de
cylïndre apportées avec un seul nïveau d'ïnduction, et utïlisant ao~assi des
engrenages ïrrégulïers. En ces cas, ces derniers seront couplées ~. d' autres
engrenages irréguliers, ce quï permettra d'en réaliser Ie couplage de façon
permanente, en dépit de ces irrégularités. Ici Ies couplages d' engrenages
sont
réalisé pour une machine de type triangulaïre.
140

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La figure 51.2 montre des rapports contraires d'engrenages à ceux des de la
figure
précédente, cette fois-ci appliqués à une machine de géométrie W~anl~le.
La figure 52 et suivantes donnent de plus amples explications permettant de
comprendre l' incidence et les possibilité d' application des engrenages
excentriques
et polycamés. En celle-ci , l'on montre en a ) le rappo~~t d'engrenages
réguliers et
irréguliers, excentriques ou polycamés. ~n b,c,d l'on montre les rapport
d'engrenages irréguliers entre eux , ayant des axes de rotation fixes.
La figure 53 montre les relations d'engrenages excentriques ou polycamés
montés
de façon planétaire. , et notamment que le centre de rotation excentrique
demeure
toujours à égale distance du centre de l'engrenage de ;>upport 920
La fgure 54 montre d'autres paramètres d'équidistance que produisent ces
engrenages planétaire. Premiérement , leur centre est toujours à l,a même
distance
de la surface de l' engrenage de support 930. L' on peut déduire de: cette
constatation
que la figure réalisée par ces centres est la reproduction fgurale de
l'engrenage de
support polycamé. 931
La figure 55 monire l'incidence de l'utilïsation de ce type d'engrenages
utilisés lors
d'une méthode par mono induction, appliquée à des machines de géométrie
i~Iankle
en a ) et de géométrie Boomerang en b).
La figure 56 montre l'application de ce type d'engrenage à des serai turbines
différentielles, ce qui permet d'en retrancher les moyens interstices ou
ligaturaux .
Selon la règle d' invariabilité des points de rotation des planétaires au
centre des
engrenages de support , l'on peut maintenant rattacher ces pales à, ces points
940 ,
sans nécessité d,jouter ni bielles , ni coulisses , ou autres moyens
ligaturaux.
La figure 57 monte les réglas d'équidistance du centre des engrenages
planétaires
aux engrenages planétaires successifs 941.
La figure 58 montre le soutient possible et facilité de pales. 942 dont la
course est
complexe avec l'aide de tels engrenages
La figure 59 montre donne trois exemples qui pr~uvent que l'utili,~c~tican des
engrenages excentriques et p~lycamés peut ët~e utilisé a'cz~cs tout ea~d~~it
en lequel
l'~n p~urr°ait normalement utili,re~° usa enga~ea~age stan~aa~d
. En a ) l'on retrouve un
méthode par serai transmission utilisé de façon poly camée . Ici l~;s
engrenage de
support dynamique 950 et d' induction 951 ont été polycamés. en b ) l' on a
produit
141

CA 02429211 2003-05-16
un méthode par engrenages cerceau polycamé, en lequel Ies engrenage cerceau
952
et de support 953 et en c , une méthode par engrenage intermédiaire polycamés,
en
laquelle , l'engrenage intermédiaïre 944 et l'engrenage d'induction 9~5 ont
été
polycamés. .
La figure 60 a montre une poly turbine réalisée par une mono induction 959
corrigée par addition géométrique 960 en a ., puis par engrenage cerceau 961
additionné de bielle de géométrie 960 en b , puïs par engrenage intermédiaire
962
additionnée de bielle de géométrie 960 c .1,'on peut donc déduire les mêmes
conclusions pour les poly turbines que pour toute machine. ~n effet, toutes
les
autre méthodes du corps seraient ainsi adéquates, avec addition de bielle de
géométrie pour soutenir les parties de la structure palique, ou encore de la
structure palique , utilisée comme structure de soutient de métaturbàne,.
La figure 61 montre que, si l'on suit Ie déplacement du piston dans une
machine à
cylindre rotor, l'on constatera que le piston poursuit trés exactement Ia même
course que les extrémités des emplacements de soutient des struc~;ures
paliques de
poly turbine. En effet , en a , I'on peut voir que la course des pistons ,
quand leur
axe de soutient est invariable est circulaire . Cependant, si cet axe tourne
en sens
contraire de la pale , à raison de un sur un, la course des pistons est
elliptique tel
qu' en b. En variant les rapports, l' on obtient une course serai triangulaire
sinusoïdale , telle qu'en c) Il ressort de cette constatation fort importante
que non
seulement , cette machine peut étre produite avec toutes les méthodes de
mécanisations comprises au corpus des présentes , avec une correction
géométrique , ce qui nous donne plus de quatre cents méthodes de soutient pur
cette machine , mais aussi que toutes les méthodes comprises au a~orpus
peuvent
simpleme~at se voir ajouter une bielle de géométrie , et ainsi permettre de
support
les pistons sans bielles libres.
La figure montre donc que l'on peut considérer à juste titre la machine à
cylindre
rotor, déjà sous brevet canadien avec axe fixe, comme une machüne mécano
inductive, dans Ia mesure où l'on considère l'action inférieure de la bielle,
non plus
comme rattachée à un point fixe, mais motivée par une méthode ligaturale, dont
les
méthodes par induction mëcanique. L'on peut à cc stade concevoir des
mécaniques
rétro rotatives, ou post rotatives qui avec l'aide des serai transmissions ,
actionneront le vilebrequin en sens contraire ou en méme sens , mais à vitesse
accélérée du rotor. La premiére et la seconde série des figures a) et b,
montre en 1
ces cas, le déplacement du rotor et le déplacement du vilebrequin en sens
inverse,
ou en post rotation accélérée .
I42
. ~ . ~ , .~~.,..F ~,..:". .. , , ,. .

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En c ) l'on peut observer que le déplacement du piston est de type: elliptique
, 504 ,
ce qui a comme conséquence que l'on peut considérer la machine comme bi
rotative, et ainsi , réaliser un ensemble de mécaniques , et surtout ,
permettant le
support des pistons par des mécanique identiques à celles , des poly turbines
, et
par conséquent sans bielles.
En ce cas, la mécanisation de celle-ci démontre que ce genre de rriachine est,
si on
entend faire tourner le rotor de façon régulière , de type bi-rotatif , donc
du même
type que les poly turbines à structures paliques . En effet, si l'on observe
attentivement le déplacement du piston, l'on remarque qu'il suit un
trajectoire
elliptique, identique à celle des pointes de pales des structures paliques des
poly
turbines.
Il ressort donc de cette constatation que toutes les méthodes répertoriées de
conduite des structures palique de polyturbine, pourront avec réussite s'
appliquer à
la correcte conduite des piston de ces machines, et ce sans aucune bielle
libre,
La figure 62 en a , une construction, puisque celle-ci , comme nous venons de
Ie
voir , est de nature bi rotative, une construction bimécanique de la machine.
En b, la machine est construite avec chaque piston soutenu par une mécanique
rétrorotative, additionnée de bielle de géométrie 514 ,
En c) de la même figure nous montrons que dans le cas où l' on désirerait
réaliser la
machine avec une mono induction post rotative, il faudra polycamer 51 S celle-
ci
pour obtenir une eorrecte gouverne du pïston sans bielle.
En d , I'~n montre si l'on veut procéder à l'utilisation d'une mécanique post
rotative standard, l'on devra au contraire polycamer l'action rotative du
rotor 516
de Ia manière à la rendre irrégulière , l'on pourra sans ajout géométrique ,
ou poly
carnation de la structure de soutient réalisera la machine sans bielle que ce
soit par
post ou par rétro induction.
143

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La figure 63.1 montre que l'on peut réaliser la machine à cylindre rotor, ici
, de
manière à en faciliter la compréhension, avec un seul piston , monté de façon
coulissante dans un cylindre dans un cylindre du cylindre rotor , e que l'
action de
ce piston sera soumise à des inductions mécaniques telles que plus haut
divulguée ,
ce qui permet d' afffirrmer l' appartenance de cette variante à la machine
générale
décrite au dëbut de divulgation .
La figure 63.2 est une vue en troïs dimensions de ces mécanisations
En a ) l'on retrouve une gouverne du pïston par mono induction rétrorotative ,
additionnée d'un bielle de géométrie. En b) l'on retrouve Ie piston actionné
par une
mécanique d' engrenage cerceau, additionnée de bielle de géométrie, En c), l'
on
retrouve une mécanique par engrenage intermédiaire additionné d' une bielle de
géométrie Toutes les mécaniques pourraient donc ici être utilisées, en les
additionnant d'une quelconque correction, ici par exemple par bielle de
géométrie.
La figure 64 montre la métaturbine comme étant une machine de troisième degré,
cette machine devant être réalisé par trois mono induction étagées, ou encore
un
mono induction corrigée en deux reprises. En c , l'on voit que les deux
corrections
effectuées simultanément réalisent une machine de niveau de complexité
supérieur,
soit de troisième niveau, produisant des cylindres irréguliers . Il s'agit des
méta
turbines. Ici en effet, la machine est réalisées par une mono induction
rétrorotative
1000 , additionnée de bielles de géométrie 1001, et corrigée par engrenages
polycamés 1002 .
L'oa~ peui dire que toute méthode permettant de réaliser les p~ly turbine,
pourront
constituer les deux premiers niveaux de réalisation des métaturbïnes, qui
effectueront sur ces méthodes une correction supplémentaire. L'on a donc plus
de
mille p~ssibidités de méca~eiques de s~utie~~.
Comme les machines à pistons , Ies machines rétrorotatives, post rotatives,
les
machines à cylindres rotor, et les polyturbines, les métaturbines peuvent dont
avoir
leurs parties compressives motivées par toute les mécaniques répertorïées au
présent corpus , et sont dont, par cette raison partie intégrante de:.
machines
entendues à 1 la définition générale plus haut édictée.
La figure 65 montre que l'on peut désaxer de façon intentionnelle les Bourses
naturelles des machines , comme par exemple à bielle rectiligne en a , et à
course
elliptique en b , ou post et rétro rotative en B , pour ensuite les recorriger
par
144
L.,. , .. . . .r , _ . _

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quelque moyens, tels des coulisses, des bielles libres, ou préférablement des
engrenages polycamé. Cette derniére correction permettra de domestiquer la
variabilité de la vitesse des parties compressives, ce qui sera un atout
majeur dans
certaines situations.
La figure 66 montre que si I'on entend diriger le piston d'un machine tout
autant
positionnellement qu'orientationnellement , l'on doit utiliser des mécaniques
d'un
degré supérieur degré. Ici, pour ce faire, l' on soutient le piston en doublé
en a , et
en doublé. croisé en b ., ce qui montre la complexité réelle, lorsque l'on
veut
diriger totalement , positionellement et orientationellement le piston. .
La figure 67 montre que toute machine qui peut être faite de faç~~n standard,
peut
aussi avoir ses parties compressives de façon centrale, et ses mécaniques en
périphérie. Comme les précédentes , toutes ces machines peuvent être mues avec
le
corpus mécanique plus haut répertorié et font par conséquent partie des
variantes de
la présente machine générale. L'on a donc en a ) une machine à explosion
centrale
dans sa version la plus simple , telle que montré dans notre breve5~~ canadien
à cet
effet . En b ) I'on suppose cette configuration mue par poly induction post
rotative,
en c) par poly induction rétrorotative, En d ) dans sa version rotative â
structure
palique , ce qui illustre la règle selon laquelle ce qui est fait de façon
standard
comprend ce qui est fait en périphérie , et ce qui est fait au centre.
La figure 68 montre à la machine à cylindre rotor à mono piston transversal,
appelée machine â cylindre pot~~ Slinhy en a )
Dans cette machine un rotor , 520 muni d'un cylindre transversal 521 et montée
rotativement 522 dans le cylindre de la machine. I_Jn piston 523 est dispos de
façon
coulissante dans le cylindre et aura, pendant le tournage du rotor , un action
rectiligne alternative 524 a ) selon le nombre d' aller retour du piston dans
, ici à
titre d'exemple , au nombre de trois , l'on verra que la forme réelle
résultant de la
course du piston sera de type quasi triangulaire 524 b) , s'apparentant à
celle
réalisée par une mécanique mono inductive rétro rotative.
Deux façons principales de réaliser ce mouvement. L''on peut tout d'abord
réaliser
un mouvement rectiligne alternatif secondaire, subordonné au mouvement rotatif
du rotor. L'on notera que l'on peut ~.ussi réaliser les machines en traitant
de façon
intérieur le mouvement rectiligne alternatif du piston , par exemple par un
mirai,
mono induction mécanique , rectiligne en cours de rotation, le vilebrequin
secondaire de cette dernière pouvant par exemple , rétro activé par engrenage
145

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cerceau 531. l'on notera qu'en ce cas , tourtes les mécaniques de réalisation
de
rectiligne du corpus mécanique plus avant exposé pourront être ul;ilisées en
étagement et ainsi permettre de réaliser adéquatement la machine , les formes
de
cylindre lorsque cela est nécessaire. En ce cas, l'on pourra réaliser le
mouvement
rectiligne alternatif par tous les moyens déjà montrés, et synchroniser ce
mouvement, par quelque moyen tel des engrenages, avec la rotation du cylindre
rotor.
Une seconde maniére sera de produire une induction par I' extérieur,
produisant
exactement le mouvement désiré en une seule induction.
Pour ce faire, I'on doit préalablement cependant remarquer que le passage dc
l'induction doit passer par le centre de la machine. L'on doit donc
additionner à la
mécanique mono inductive rétro rotative une bïelle de géométrie 526 pour
réaliser
cet aspect de la course. Par ailleurs, ce faisant, I'on remarquera que
l'addition de
cette bielle force l'élargissement de la forme de pétale 257 obtenue, au haut
de la
course. L'on devra donc viser l'amincissement de cette arrondissement
supérieur,
pour permettre l'adéquation du mouvement du piston et celui du rotor. L'on
devra
donc produire Ia mono induction avec des engrenages polycamés., qui
ralentiront la
vitesse de la mécanique en ces endroits, de telle maniére qu'elle soit
adéquate, en
sa largeur, à la rotation du rotor.
D'une autre manière, l'on pourra au contraire accélérer et ralentir
alternativement
l'action du rotor 528 pour tenir compte de cette géométrie. En ce cas, c'est
plutôt la
vitesse de rotation du rotor qu'il faudra rendre irrégulière, en c ~ .Il
faudra donc
réaliser son mouvement avec une induction mécanique fabriquée avec des
engrenages excentriques et polycan~és.
L'on voit donc que ces types de machines, d'apparence trés simple, sont en
fait des
machines de troisième degré, c'est-à-dire nécessitant une premiére induction,
et par
la suite deux niveaux de corrections.
La figure 69.1 montre des machines à pistons périphériques standard ou
différentielles. La figure pose l'hypothèse d'une géométrie de machine à
cylindre
rotor en laquelle les cylindres seront disposés horizontalement p:~utôt que
verticalement. Les prochains propos montreront qu'il s'agit là aussi de
machines
pour lesquelles les corpus mécanique déjà exposé peut être applique
adéquatement
et que pour cette raison , ce type de machine doit être considéré comme
faisant
146
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partie intégrante de la définition générale relative aux machines motrice
servant de
base aux présentes.
Dans ce type de machines, le cylindre rotor 540 est monté rotativement dans le
cylindre principal de la machine, est muni de cylindres horizontalement
disposés
541 dont le nombre est variable. Des pistons 542 sont introduits dans ces
cylindres
541 et auront en cours de rotation du rotor une action alternative rectiligne.
L'on
peut bien entendu relier ces pistons par les divers moyens ligaturaux exposés
aux
présentes, bielles libres 544, coulisses, à des monos induction 543 disposées
de
façon planétaire dans la machine. Cependant, l'on peut aussi étudier plus
attentivement le mouvement alternatif des pistons en cours de rotation du
cylindre
rotor, et observer le phénomène suivant que les pistons produisent une forme
qui
rappelle celle des formes de figures des pointes de pales des figures rétro
rotatives.
Dès Lors I'on réaliser que l'action des pistons peut, comme dans toutes les
machines
décrites aux présentes être induite par les diverses méthodes formant le
corpus de
méthodes des machines motrices en général. En effet pourra constater que l' on
pourra procéder à un soutient direct des pistons par de ono induction de type
rétro
mécanique 557, comme par exemple ici une mono induction réalï~~sant une forme
triangulaire,. Comme précédemment, l'on pourra synchroniser le mouvement du
rotor avec l'aide d'engrenages excentrïques et polycamés si cela est
nécessaire.
D' une autre manière, l' on pourra, si l' on désire une action plus
caractérisé du
piston, additionner à Ia mono induction, pour à une induction de premier
degré,
additionnée d'une bielle de géométrie 556, et par la suite, d'un certaine
manière
une anti correction par engrenage polycamés, ce qui garantira à la fois
l'ampleur du
mouvement du piston mais aussi sa correcte figure triangulaire. 563
La figure 69.2 montre que nombre de cylindre et de pistons est ici variable ,
de
même que le nombre de mouvement alternatif pour chaque tour de chacun , ce qui
pourra donc résulter en des cours plutôt carréoide, octogonale et ainsi de
suite.
Dans tous les cas, le piston passe alternativement au centre du cylindre 55~ ,
puis
en ses extrémités 559
L' on notera que la machine peut être réalisée de façon conventionnelle, c'
est -à
dire par poussée sur les parties compressives en appui sur le cylindre, 564,
I'on
pourra aussi réaliser la puissance de manière dite différentielle, utilisant
la
puissance développée par un piston postérieur, en appui différentiel sur le
piston
antérieur 565.
147

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La figure 70 montre que l'on peut généraliser l'utilisation des engrenages
polycamés par exemples aux servi turbines différentielle, ce qui permettra de
changer le moyen initial de ligature de la pale à l' excentrique quï était,
initialement
par coulisse.
En effet, ici, l'on utilise des engrenages excentriques et polycamés, pour
réaliser le
soutient des pales et ce, avec pour résultat que l' on peut retrancher les
moyens
ligaturaux de la machine et réaliser celle-ci avec des pales directement
couplées
aux manetons des engrenages d' induction. Ces possibïlités sont issues du
constat
que l'on fait tourner des engrenages excentriques, 570, ou polycamés, de façon
planétaire, un engrenage de support 571, externe ou i,~terne aussi de type
polycamé, 572, la distance reliant le centre de l'engrena de support, ou
encore des
vilebrequins de support, et le centre de rotation excentrique des engrenage
d'induction 575, est invariable.
Les difformités des excentriques ont dés lors plutôt une incidence
accélërative 576
décélérative 577, sur les excentriques en même temps que décélérative 578
accélérative 579 sur Ies vilebrequins.
Dés lors, ces vilebrequins peuvent être remplacés par des pales elles-mêmes
Sb0
qui subiront des accélérations décélérations complémentaires qui produiront
Ies
rapprochement et éloignements et par voie de conséquence, la compression et
l'expansion des gaz se trouvant entre elles.
La figure 71 montre que l'on pourrait produire de façon inversé
géométriquement
les parties compressives des servi turbines différentielles, d'oie leur
appellation
antiturbines .Dans cette version , les pales 590 , sont plutôt toutes
rattachées de
façon oscillante 591, par leur partie extérieur dans un rotor 592, monté
rotativement
dans la machine .
Des moyens d'induction; tels que ceux précédemment énoncés dans le corpus
mécanique général du présent ouvrage soutiennent chacune des extrémités
intérieures de pales 593 en cours de rotation. Ce mouvement occasionnera le
pliage 594 et le redressement alternatif des pale 595, ce qui occasionnera des
rapprochement 596 et des distanciations 596 alternatives entre celles-ci,
créant des
compression et des expansions des gaz.
14~

CA 02429211 2003-05-16
La figure 72 propose un type de serai turbine différentielle dont l''action
des pales
ne serait pas circulaire , mais plutôt d'une fgure similaire aux machines
rétro
rotatives et post rotatives. L' on suppose en effet une surface de cylindre
extérieure
irrégulière 610,. Plusieurs pales successives 61 i , dont l'action sera
similaire à
celles des pales machines à pales , et qui par conséquent seront soutenues par
des
moyens et méthodes telles que celles exposées dans le corpus mécanique déjà
exposé , agiront par éloignement 612 et rapprochement entre elles , et
produiront
une action différentielle.
La figure 73 montre que les parties compressives des machines, comprenant un
cylindre rotor, ne sont pas nécessairement des pistons. Elles peu~Tent aussi
être des
pales. De plus , l'on montre , une fois de plus , que ce qui peut être fait au
centre ,
peut être fait en périphérie. En effet, dans cette figure, l' on suppcPSe un
cylindre
rotor 620 monté rotativement dans la machine , ce rotor étant muni de
plusieurs
cylindre de type cylindre 621 de machines à pales. Une pale rotative 622 est
disposée dans chaque cylindre et est motivée de façon. étagée par l'une ou
plusieurs
des moyens énoncés dans le corpus de méthodes de soutient mécaniques
préalablement divulgué.
La figure 74 montre que l'on peut aussi de façon combinatoire réalise un
machine
pistons-pistons . Deux pistons sont en effet disposés dans des chambres 650
successives et communiquantes , mais avec un même moyen de support 652 . La
poursuïte de la montée du piston 653 arrière, compense l'amorce de la descente
du
piston avant 654 , et par conséquent Ia compression est gardée nnaximale
jusqu'aux descentes simultanées des deux pistons .
Une chambre d'explosion commune 65 permettra à l'explosion, surtout sur le
piston extérieur de casser 656 le temps mort haut du pistons avant.
En b , la combinaison est faite avec deux parties de pistons assemblées.
La figure 75 montre que l'on peut aussi construïre des machines en
combinaison,
ce qui représente, puisque les parties compressives seront soutenues par les
mêmes
mécaniques constituant le corpus mécanique du présent ouvrage, Dans la figure
a)
l'on a assimilé la pale 630 rotative d'une machine post en a ) et
rétrorotative 631 au
cylindre rotor ces machines précëdente et on a muni cet élément que l'on
nommera
cylindre de pale 632.
149
. _ _ _~
_ _ _ _, , ro _

CA 02429211 2003-05-16
Dans les deux machines, ici montrëes de façon mono rotatïve posa: rotative
633, et
mono inductive rétro rotative 634 , l' on a extrudé 1' excentrique original ,
63 S , en
gardant de chaque coté une partie excentrique 636 , chacune de ces parties
étant
reliés à l' autre par l' intermédiaire d' un maneton. L' on sait que les
excentriques de
machines post rotatives, tournent à raison de trois fois plus rapidement que
Ies pale
638 , alors que les excentriques des machines rétrorotatives tourne en sens
contraire
de leur propres pales 639.
L' on peut donc disposer dans les cylindres des pales des pistons 640
ligaturés par
quelques m~yens tels une bielle, aux manetons des excentriques. Les actions
différentielles des pales et manetons produiront les ac9:ions rectilil;nes
alternatives
des pistons dans leur cylindre respectif, pendant la réalisation du tournage
de ces
dits cylindres.
L'on produira ainsi des augmentation et diminution de compression selon le
positionnement des manetons.
L'on pourra par exemple disposer des manetons de telle manière que le haut de
la
montée des pistons soient en avance ou en retardement sur celui de la pale, et
par
consëquent, produit un compensatïon de pression de l'une des parties pendant
l'amorce de l'autre, annihilant ainsi le temps mort de Tune des parties, sans
déperdition de compression lors de l'amorce de la descente de celle-ci.
La f gare 76 montre que Ies semi turbines différentielles et les m.étaturbines
peuvent aussi donner lieur à des générations de pales et de cylindres.
Quant aux serai turbines en a ~ , le nombre de pale est variable .
Quant aux métaturbines, les cylindres peuvent en être générés, en gardant
t~ujours
un aspect reciangloide, donnant lieu à des alternances dans la suite des
longueurs
de cotés. Leurs cylindres se caractérisent par un cylindre irrégulier de forme
rectangloide 660 , réctanglo-triangloide , 661 , et rectanglo- carréoide 662
etc.
La figure 77.1 montre un exemple de machine hybride pure dite à cylindre
ballon
670. Comme précédemment, quoique d'apparence triviale, les machine requièrent
des mécaniques de troisième niveau.
L'on pourra simplement utiliser une mécanique de positionnement de course
ovale,
671, et laisser la surface du cylindre, comme dans une machine à. piston,
effectuer
le travail orientationnel du déplacement du piston. L'avantage de ces machines
sera
150

CA 02429211 2003-05-16
la possibilité de disposer la bougie dans les coté, ce qui permettra une
explosion en
dehors du temps mort mécanique.
La figure 77.2 montre que l' on peut aussi combiner machines à pistons rotors
et
semi turbines .
La figure 78.1 montre un classement des machines selon leurs degrés . ~n y
retrouve les machines à bielle rectiligne en a , les machines à bielles
rectiligne
oblique en b, les machines post rotatives en c ( additionnelles à la machines
wankle à pale triangulaire en mono induction) la machine post rotative à
course
elliptiqueen d ) , le moteur post rotatif polycamé en e ) , le moteur
triangulaire en f
) , le moteur triangulaire de second niveau en g ) , le moteur triangulaire
polycamé
en h) , la poly turbine rétrorotative corrigés en i ) , la poly turbine
birotative en j ) ,
la polyturbine de troisième niveau en Ic) , la métaturbine en I) ,
La figure 78.2 poursuit les principales formes de machines en m ) , avec Ia
machine
à cylindre rotor simple en n ) , la machine à cylindre rotor en poly induction
rétro
rotative en p ) , la machine à cylindre rotor en q ) , en poly induction post
rotative
polycamée r) , la servi turbine différentielle à coulisse q) , la servi
turbine
différentielle polycamée en r) , le moteur Slinky en s ;I , l'antiturbine en t
) , Ie
moteur à explosion centrale u .
La figure 79 montre divers modes de compression , p<~r poussée en a , par
traction
en b , différentiel en c .
La f gare 80 montre des engrenages nommés engrenages chevauchés.
Comme on a pu les remarquer , nous basons notre conception des moteurs sur
l' idée q' avec une seule pale et un cylindre, l' on peut remplacer un nombre
assez
important de pistons et cylindres individuels. Le prix à payer pour ces
économies
de pièces consiste généralement en un nombre assez restreints d'engrenages
constituant la partie mécaniques de la machines. Comme les poussées sur les
pales
et structures paliques sont , comme nous l'avons déjà mentionné plus inégales
que
les poussées des machines à pistons, l'effort orientationnel sur les parties
mécaniques est généralement plus grand , et ce d,autant plus qu'en maints
endroits ,
il est démultiplié sous forme de levier. C' est pourquoi nous avons conçu le
type
d'engrenages dits engrenages chevauchés. Les engrenages chevauchés sont soit
des
engrenages , soit une méthode d'assemblage d'engrenage qui co~~siste à
assembler
de façon fixe, deux engrenages ou plus, de telle manière que les dents 1010 de
l'un correspondent aux creux de l'autre 1011 et ainsi de suite. Cet
association
permettra de réaliser des engrenages dont la dentition de chacun des
engrenages
I5I
.., _,. _ ...._.. gym. ..... ... . ... ,..~..:~ , _~ , ,~ . :..,~ ,.." . ..,.
".. ", .a K . ~ ... .. .. ,. . .

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constituant l'engrenage chevauché sera grosse et puissante 1012 , maïs dont
l'ensemble des dents formera un engrenage â fine dentïtion 1013 , ce qui
assurera la
précision de 1a même manière que s'il s'était agit de micro engrenage.1014
La figure 8I montre que l'on peut coupler indirectement mais rigidemebt les
parties
compressives des parties motrices 980, et produire entre ces parues une plaque
circulaire d' isolement 981 de ces parties qui pourra servir à la fois de
valve 982.
La figure 82, montre que l'on peut décomposer et diviser la répartition du
mouvement, lorsque celui-cï possède de plusieurs degrés. L'on peut par exemple
imaginer que le cylïndre d'une machine post rotative, ou rétro rotative sera
rotatïf
983 , alors que ie mouvement de sa pale sera rectïligne 984 ,1a somme de ces
mouvement équivalent au mouvement initialement produit par la pale.
Cette version permettra notamment de se servir de Ia face du cylïndre pour
réalïser
une partie électrique au moteur.
La figure 83 montre, partant des observations de la dernière figure, que l' on
peut
même combiner, machines post et rétrorotative de telle manière que l'une soit
la
pompe de l' autre, qui sera motrice.
La figure 84 montre que les pales pourraient aussi être dessinées de telle
manière
de réaliser des machines hydrauliques.
Les figures 85 sont toutes des reproductïons de notre demande de brevet, ici
en
priorité , qui donnent d'autre possibilïtés de réalisation de machines par
combinaisons de méthodes
Les figures 85 sont toutes des reproductions de notre demande de brevet, ici
en
priorité , qui donnent d'autre possibilités de réalisation de machïnes par
combinaisons de méthodes
La figure 85.1 montre une combinaison de mono ïnduction rétrorotative au degré
I
et une méthode par poly induction au niveau II , étagé .
La figure 85.2 montre une méthode par mono induction au lVïveau I et par
engrenage cerceau de pale au niveau II
La figure 85 .3 Montre un mono induction rétro rotative au niveau I et de même
rétrorotative au niveau II
I52
_._ ~_ . . _ - t ~w _.. ~ . _ ., $ , .: ~~ ; s _ ,.~, ,., , s ...

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La figure 85.4 montre une méthode par mono induction post rotative au niveau I
et
rétrorotative au nïveau II
La figure 85.5 montre une méthode par engrenage cerceau au niveau I et post
rotative en II
La figure 85.6 montre une méthode par engrenage cera;,eau au niv~: au I et par
engrenage cerceau de pale au niveau II
La figure 85 .7 montre une mono inductïon additionnée de bielle de géométrie
en 1
et un inductïon par engrenage polycamé en II
La figure 85.8 montre deux inductions par engrenage cerceau
La figure 85.9 montre une mono induction post rotative aux niveaux I et II.
La figu85.9. l deux induction étagées dont l'engrenage de suppori: , non
pôlycamé,
est pour chacune d'elles dans le flanc de la machine ,. L'on dira alors
qu'elles sont
étagées en juxtaposition, Pour ce faire, I'on utilise un engrenage de pale de
type
interne et l,on utilise des engrenages de lien pour le coupler â l,engrenage
de
support.
La figure 85.9.2 montre une mécanique de premier niveau de type poly
inductive.,et de second de type mono inductive
La figure 85.9.3 montre deux mécaniques poly inductives étagées.
La figure 85.9,.4 montre une mécanique par servi transmission combinée à une
mécanique par engrenage cerceau de pale.
La figure 85.9.5 montre deux mécaniques rétrorotatives étagées juxtaposées.
La figure 85.9.6 montre deux mécaniques rétrorotatives étagées juxtaposées
La figure 85.9.7 montre deux mécaniques rétrorotatives étagées juxtaposées
Ici l'engrenage de support est fixé rigidement sur l'excentrique , et de façon
centrée
ce qui crëe la même géométrie que s'il était , comme dans leS autres versions,
centré avec le maneton.
La figure 86 montre des variations de mécaniques accélératives.
153

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Abstract 2003-05-15 1 52
Claims 2003-05-15 15 757
Drawings 2003-05-15 124 6,693
Filing Certificate (French) 2003-06-17 1 158
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Courtesy - Abandonment Letter (Request for Examination) 2008-09-07 1 165
Second Notice: Maintenance Fee Reminder 2008-11-17 1 119
Notice: Maintenance Fee Reminder 2009-02-16 1 120
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Fees 2005-05-05 3 117
Correspondence 2004-11-15 4 153
Correspondence 2006-01-10 1 15
Fees 2006-04-27 1 64
Correspondence 2006-01-23 13 436
Correspondence 2006-06-18 1 17
Fees 2007-05-13 1 65