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Patent 2442351 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2442351
(54) English Title: MACHINES MOTRICES RETROROTATIVES, POST ROTATIVES ET BI ROTATIVES (CONCLUSION)
(54) French Title: RETRO-ROTARY, POST-ROTARY AND BI-ROTARY POWER MACHINES (CONCLUSION)
Status: Deemed Abandoned and Beyond the Period of Reinstatement - Pending Response to Notice of Disregarded Communication
Bibliographic Data
(51) International Patent Classification (IPC):
  • F01C 1/00 (2006.01)
  • F01C 1/067 (2006.01)
  • F01C 1/077 (2006.01)
  • F01C 1/22 (2006.01)
  • F01C 21/00 (2006.01)
  • F02B 53/00 (2006.01)
  • F03C 2/22 (2006.01)
(72) Inventors :
  • BEAUDOIN, NORMAND (Canada)
(73) Owners :
  • NORMAND BEAUDOIN
(71) Applicants :
  • NORMAND BEAUDOIN (Canada)
(74) Agent:
(74) Associate agent:
(45) Issued:
(22) Filed Date: 2003-09-24
(41) Open to Public Inspection: 2005-03-24
Availability of licence: N/A
Dedicated to the Public: N/A
(25) Language of filing: French

Patent Cooperation Treaty (PCT): No

(30) Application Priority Data: None

Abstracts

French Abstract


La présente invention a pour objet de compléter et terminer nos travaux
relatifs aux
machines motrices, principalement en ajoutant toutes les nouvelles conceptions
et
mécaniques supplémentaires relatives à la poussée et en montrant la
convergence
des considérations de compression et de poussée, et cela, premièrement en
ajoutant les dernières méthodes de soutient de premier et de second niveau des
parties dynamiques, deuxièmement en montrant comment réattribuer et
redistribuer de diverses façons les géométries et dynamiques desdites
machines,
troisièmement en montrant les diverses combinaisons d'étagements de machines
réalisables à partir de ces recompositions, et finalement de proposant
certaines
applications supplémentaires pour l'ensembles de ces machines.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.


Revendications
Revendication 1
Une machine telle que définie dans l'ensemble des revendications de la
première
partie de la présente invention, portant le titre : Machines motrices rétro
rotatives,
post rotatives, et bi rotatives, et à lesquelles seront ajoutés les prochaines
revendications, dont les objets seront
a) de compléter le corpus mécanique en ajouter deux méthodes de soutient
des parties dynamiques premier degré, à savoir : 1) par mono induction
d'engrenages pignons,
b) de compléter toutes les attributions et redistributions dynamiques des
parties des machines, et ce autant aux machines de premier degré,
qu'aux machines de second degré et supérieurs
c) de préciser l'utilisation bifonctionnelle d'éléments telles le cylindre
rotor
d) de préciser les utilisation supplémentaires des machines
Revendication 2
Une machine telle que définie en 1, à laquelle est appliquée la méthode de
support
dite par engrenages pignons, la machine se réalisant alors comme suit :
Une machine, comprenant en composition un corps de la machine, dans lequel est
:
- fixé rigidement un premier engrenage de type à pignon, cet
engrenage étant nommé engrenage de support à pignon
- est monté rotativement un vilebrequin sur le manchon duquel
est monté rotativement un axe ou autre moyen recevant
rotativement un engrenage d'induction
- un engrenage d'induction de type à pignon, que l'on dira
engrenage d'induction à pignon, cet engrenage, ou son axe de
support, étant muni d'un moyen de gouverne de partie
140

compressive ou autre, ce moyen étant un maneton ou un
excentrique.
Une partie dynamique, telle une pale de machine rotative, par
exemple de type servi turbine différentielle, cette pale étant
couplée à l'excentrique ou au maneton de l'engrenage
d'induction.
Revendication 3
Toute machine, telle que définie en 1 et 2 comportant minimalement les quatre
éléments suivants :
- une partie compressive dynamique, comprenant un cylindre et
une pale
- une partie motrice, comprenant un excentrique ou un
vilebrequin
- une partie d'encrage, comprenant une partie fixe, sous la
forme du cylindre lui-même, de l'engrenage de support, ou
d'un axe supportant l'engrenage d'inversion ou de lien d,une
servi transmission
- une partie subdivisée soit : a) la partie dynamique, par la sur
dynamisation ou la subdivision
dynamique de l'une des parties
b) par l'excentrique par la division
ou l'ajout d'un excentrique
c) par la dynamisation ou l'ajout
d'un encrage supplémentaire
pour un total de quatre éléments minimaux
Revendication 4
Toute machine telle que définie en 1 et 3, mais de type rétrorotatif, et qui
comportera un élément constitutif supplémentaire, de telle sorte d'en réaliser
des
compressions supérieures et un effet moteur.
141

Revendication 5
Une machine telle que définie en 1, 3 et 4, de premier degré, dont les parties
ont
été réattribuées par la méthode de Double axes rotationnels, exclusivement
lorsque
les éléments de cette réattribution sont guidées par les méthodes
- d'engrenages internes superposés
- d'engrenages internes juxtaposés
- d'engrenages talon
Revendication 6
Une machine telle que définie 5, dont le cylindre et la piston pale sont monté
sur
deux axes fixes, cette configuration recevant les types de montages et guidage
des
vitesses des parties
- par double engrenage externes couplés entre eux par engrenage
cerceau rotativement monté
- par doubles engrenages externes couplés entre eux par une
chaîne
- par doubles engrenages internes montés de façon juxtaposée et
liés entre eux par un, ou un double d'engrenage de lien
- par double d'engrenage internes superposés, ces engrenages
étant couplés entre eux par un seul, ou un doublé d'engrenage
de lien
Revendication 7
Une machine telle que décrite en 1 et 2, de premier degré, dont la
réattribution
est dite par Cylindre rotor/pale fixe, le cylindre ne recevant pas
d'induction, ou
encore induction par came, ou finalement l'une des inductions du corpus
général
d'inductions de premier degré répertorié à la revendication 1
Revendication 8
Une machine telle que définie en 1, dont les moyens de soutient et de guidage
sont contraires à la classe de figure utilisée, ces moyens de soutien étant de
type
142

post inductifs lorsque la figuration de la machine est rétrorotative, et
inversement,
ces moyens de guidage étant rétrotratatifs lorsque la machine est post
rotative.
Revendication 9
Une machine telle que définie en 1 et 2, dont les parties ont été
redistribuées
c'est-à-dire que soit l'une des parties des éléments :
- de la dynamique compressive,
- de la mécanique des excentrique ou manetons,
- d'encrage
a été soustraite, pour être distribuée à un autre élément, ou encore à
laquelle il a
été ajouté une valeur, que l'on doit compenser en retrait par un autre
élément.
Revendication 10
Une machine telle que définie en 1 et 10, dont les principales redistributions
peuvent être répertoriées généralement mais non limitativement de la façon
suivante :
a) Par dynamique Clokurise de pale, cette dynamique se définissant plus
spécifiquement par la combinaison d'un piston rotationnel circulairement, et
invariable orientationnellement lorsque observé de l'extérieur, ce mouvement
étant plus spécifique nommé mouvement Clokwise de la pale, combiné une
cylindre rotor rotationnel
b) Par cylindre rotor en mouvement Clokwise, combiné à une rotation et/ou
une rétro rotation de la pale
c) Par cylindre rotor poly inductif, combiné à une pale piston
rétrorotativement monté à la pale, ces parties agissant en même sens
d) Par cylindre rotor poly inductif, combiné à une pale piston
rétrorotativement monté à la pale, ces parties agissant en même sens
e) Par cylindre rotor poly inductif, et pale fixe au maneton du vilebrequin,
c'est-
à-dire ayant la même course positionelle et erientationelle que celui-ci
f) Par cylindre rotor périphérique fixe, et pale poly inductive périphérique
143

Revendication 11
Une machine telle que définie en 1, 7, 10, dont les sens des éléments est
réalisé
dans le même sens pour un effet compressif amplifié.
Revendication 12
Une machine telle que définie en 1, 7, 10, dont les sens des éléments est
réalisé à
Contrario pour un effet Moteur amplifié.
Revendication 13
Une machine telle que définie en 1, 10 et 11 dont l'un des éléments
constitutifs,
comme par exemple le cylindre rotor, réalise simultanément une seconde
fonction,
comme par exemple une fonction piston, ces double fonctions permettant des
étagements de machines, de plusieurs niveaux.
Revendication 14
Toute machine telle que définie en 1, 7 et 10, en laquelle l'une des parties
agit en
traction ,par opposition à une action en poussée dans les machines standards.
Revendication 15
Une machine, telle que définie en 1, 10, 14 dont la double nature d'un élément
est
réalisé dans une machine soit réattribuée, soit redistribuée.
Revendication 16
Toute machine telle que définie 1 et 10 dont le vilebrequin est rigidement
relié à la
pale, rotationnelle
Revendication 17
Toute machine, telle que définie en 1 et 10, dont le vilebrequin est
rigidement
relié au cylindre rotationnel
144

Revendication 18
Une machine telle que définie en 1, 10 et 15 dont l'une des parties sert à la
fois
- de cylindre rotor d'un pale piston intérieur, fixe, rotationnel ou
poly inductive, polycamée ou non
- et de piston d'un cylindre supérieur, lui-même fixe, rotationnel,
ou planétaire, et lui-même pouvant à son tour être le piston d'un
cylindre supérieur
Revendication 19
Une machine telle que définie en 1, 15 et 16, dont les sous-machines ainsi
réalisées de façon étagées, sont dans un même sens rotationnel, ces machines
ayant
chacune un nombre de cotés de pale et cylindres tel que réalisé dans l'art,
mais
entre elles ayant des nombres de cotés de pale et cylindre indépendant, de
même
qu'une nature rétro et post rotative indépendante
Revendication 20
Une machine telle que définie en 1 et 15 et 16 dont les sous-machines ainsi
réalisées de façon étagées, sont dans un sens rotationnel à Contrario, ces
machines
ayant chacune un nombre de cotés de pale et cylindres tel que réalisé dans
l'art,
mais entre elles ayant des nombres de cotés de pale et cylindre indépendant,
de
même qu'une nature rétro et post rotative indépendante
Revendication 21
Une machine telle que définie en 1, 10 et 13, dont le niveau a été augmenté
par
l'un des procédés suivants:
- Par engrenages polycamés
- Par coulisse
- Par ajout d'induction juxtaposées ou étagées
- Par poly manetons
- Par bi pistons
145

Revendication 22
Une machine telle que définie 1, 10 et 16 dont les pales et cylindre sont
contigus.
Revendication 23
Une machine telle que définie en 1, 13 ,22 comportant plusieurs pales et
cylindre
superposés ou contiguës
Revendication 24
Toute machine telle que définie en 1, de tout niveau, réalisée avec deux
inductions
ou plus, ces inductions étant entre elles dais les relations juxtaposées,
inversées,
étagées, contraires, et même indépendantes et indirectes, et ce de façon
indépendantes ou confondues entre elles.
Revendication 25
Une machine telle que définie en 1, et 13 utilisant dans des relations telles
que
définies en 24, deux moyens de support répertoriés par l'inventeur et se
répertoriant comme suit:
- Méthode par mono induction
- Méthode par engrenages intermédiaires
- Méthode par poly induction
- Méthode par semi transmission
- Méthode par engrenage cerceau
- Méthode par engrenage intermédiaire
- Méthode par engrenage talon
- Méthode par engrenages internes juxtaposés
- Méthode par engrenages internes superposés
- Méthode par engrenages central post actif
- Méthode par structure engrenagique
- Méthode par mono induction d'engrenages pignon
146~

Revendication 26
Toute machine telle que définie en 1,10 et 25 utilisant entre ces éléments,
une semi
transmission inversive, ou une semi transmission accélérodécélérative
Revendication 27
Toute machine, telle que définie en 1, 10 et 26 utilisant comme encrage un axe
muni d'un engrenage d'inversion ou de lien.
Revendication 28
Une machine telle que définie en 1, 13 et 23 dont chacune des parties a une
fonction machinale différente, pouvant être de genre génératrice, moteur
électrique
compresseur, pompe, moteur, propulseur à eau, à air, turbine, ou encore carter
de
l'autre
Revendication 29
Une machine telle que définie en 1, 13 et 28, dont les entrées et sorties,
sont
longitudinales, transversales, de l'extérieur vers l'intérieur, de l'intérieur
vers
l'extérieur, de l'avant vers l'arrière.
Revendication 30
Une machine telle que définie en 1, 13 et 23, dont la forme des pales est de
type
propulseur à eau, turbine à eau, à air
Revendication 31
Toute machine de premier degré, telle que défini en 1, 13, et 23, redistribuée
de
telle manière que les effets soient moteurs, dans le sens défini par nous même
à la
précédente divulgation
Revendication 32
Toute machine de second degré, ou supérieur, redistribuée de toutes de
manières,
et dont les effets sont, indifféremment, Compresseurs, Neutre, Moteurs
147

Revendication 33
Toute machine telle définie en, dont la forme du cylindre est produit à partir
d'une
observation dite Observation par l'absolu, Observation par l'excentrique ou
Observation synthétique.
148

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.


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DlVülgatlOn
Champ géné~°al de la p~ésent~ znventâon
La présente invention, comme le nom l' indique, entend compléter notre travail
relatif aux machines motrices, dont la premiére partie a été réalisée dans
notre
demande de brevet du même nom, de même que dans un ensemble de demandes de
brevets dont on trouvera la liste à ce dit brevet
La présente demande de brevet comportera donc les cinq pr~.ncipales parties
suivantes
a) Une récapitulation succincte des f gares et mécaniques des machines
motrices de l' art antérieur (machines rotatives rétr~~ et post rotatives et
machines à pistons), comprenant l' identification des défauts de chacune
des catégories
b) Une récapitulation des solutions de notre travail antérieur, et la
divulgation
de nouvelles méthodes d'observation et solutions corrigeant les défauts
relatifs à la poussée sur les pales
c) Une généralisation des réattributions et redistributions mécaniques en
général, de premier et de second degré
d) Une généralisation des méthodes semi transmittives et bi inductives
e) Une généralisation des diversifications combinatoires et dynamiques de
premier et second niveau, issues des doubles attributions de natures de
certaines parties des machines.
fj Les propositions de mécaniques supplémentaires de la présente solution
technique
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g) Les applications supplémentaires.
L'ensemble de ces travaux noa.~s permettra non seulement de dégager
principales
méthodes d'observation des parties des machines rotatives, mais aussi de
prouver
que les méthodes d'observation par l'absolu, d'observation synthétique et
d' observation par l' excentrique secondaire sont les seules méthodes d'
observation
desquelles il est possible de réaliser Ies machines rotatives sous leur forme
Moteur,
les méthodes par observateur extérieur et observateur antérieur ne permettant
que de
les réaliser sous leurs forme Compressive.
Premiére partie
Récapitulation des figures de l' art antérieur
Comme nous l' avons précédemment spécif é à plusieurs reprises, l' art
antérieur en
matière de machines motrices a, de façon générale réussi à exposer l' aspect
général des principales f gares de machines motrices de type rotative, que
nous
avons dites de figures primaires premier degré . (Fig. I )
La raison principale de cet établissement de degré réside dans le fait que
toutes ces
machines peuvent être comprises comme ayant un moyen de compression
planétairement disposé sur une partie rotative, stricter~nent circulaire, et a
vitesse
régulière. L'ensemble des êléments compositionnels est donc limité à trois. En
général, donc l' on différenciera l' aspect positionnel de l' action de la
pale ou du
piston rotatif de son aspect ~rientartionnel, et l'on constatera que toutes
deux, dans
les machines de l' art antérieur sont strictement rotatives. L' on constatera
au surplus
que ces actions sont non seulement circulaires mais au surplus régulières et
symétriques dans le temps. Finalement, l'on constatera que les rapports de
rotativité
rotationelle sont toujours passifs, par rapport aux rapports de rotativité
positionnels.
Une deuxième méthode de détermination des machines de premier degré consistera
donc à spécifier que ces machines ont toutes deux seuls points de rotation,
soit celui
du centre du vilebrequin, et celui du centre de pale, par opposition aux
moteurs à
piston qui en ont trois, et aux machines de degrés supérieurs qui en ont en
général
aussi trois, ou plus, principalement lorsque leur encrage est unique.
4

CA 02442351 2003-09-24
A la figure la , l'on retrouve donc l'ensemble des formes générales et
primaires de
ces machines génériques , et à la figure 1 b) , la synthè-se que Wankle en a
faite , en
complétant les figurations manquantes et en montrant l' aspect synthétique par
l'établissement de séries ( Wankle 1952 ) , que nous avons ultérieurement ,
pour
plusieurs raisons nommée post rotatives et rétro rotatives.
Récapitulation des mécaniques
I,a contribution de Wankle a aussi été d'un autre ordre, puisque qu'il a forcé
la
précision des formes aléatoires de cylindre en proposant des méthodes de
soutient
et de guidage des pales pistons. Ces méthodes de support au nombre de deux,
ont
permis le guidage non seulement positionnel, mais aussi orientationnel des
pales,
les rendant totalement indépendantes du cylindre.
Ce travail est cependant demeuré fort restreint et incomplet au niveau
mécanique
puisqu' il s' est limité à l' identification de deux méthodes de soutient
seulement, soit
celles
par mono induction post rotative et rétrorotative
par engrenage intermédiaire
l~Tous avons montré à plusieurs reprises les déficiences de ces méthodes, et
nous
montrerons une fois de plus aux présentes la compréhension lacunaire de la
géométrie de ces machines qui Ies a inspirées, et dont l'application a résulté
en des
machines à proéminence Compressive, par opposition à des machines à
proéminence Motrices.
Fous avons montré plusieurs maniéres que les machines rotatives de l'art
antérieur
pouvaient être guidées par plusieurs autres méthodes de guidage. Nous avons
donc
établi un corpus de plusieurs méthodes supplémentaires de soutient des parties
dynamiques des machines rotatives de premier degré, lesquelles nous complétons
aux présentes. Toutes ces ~reéthocles peuvent soutenu toutes les machines
~éty°o~otative et post ~°otative cle premier c~e~°é, quel
que soit leu~° nomb~°e âe cotés.
I,a répertoriation totale de celles-ci doit donc s'énoncer de la maniére
suivante
Méthode par mono induction ( Wankle )
Méthode par engrenages intermédiaïres ( Wanl~le

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Méthode par engrenage intcrmédiaire pcest positionné ( eaudoïn)
- Méthode par poli inductïon généralisée (, eaudoin )
- Méthode par serai transmission ( eaudoin )
Chacune d' entre elles à ses qualités et ses défauts, produisant non seulement
des
capacités motrices différentes , mais aussi des facilités de réalisation et
des
quotients de durabilité différents.
IJne prise de conscience correcte de ces machines ne saurait donc être
effectuée
sans une connaissance de l'ensemble de ces méthodes de soutien, et par
conséquent
l'art en la matière ne saurait étre complet sans cet ensemble.
I7e plus, comme nous l' avons dés à montré dans nos travaux antérieurs et
achèveront de le montrer aux présentes, ces formes, qui sont: issues d'un
mouvement bi-polaires régulier réalisé avec un seul ancrage, ne peuvent, en
~ucuxa
cas, permettre la réalisation de machïnes motrices sous leur forum Moteur. Les
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figures et mécaniques traditionnelles ne permettent que de réaliser la machine
sous
sa forme Compresseur, ce qui est la lacune principale à laquelle nous
apportons, par
l'ensemble de nos travaux, un corpus de solutions.
Deuxiéme paYtie
Idea~tification plus précise des lacunes et dé, f'fauts relatifs dux fomnes de
cylind~°e et
à la poussée dans les figures p~°irnai~es et s~luti~~as p,~~posées
Lacunes de formes de cylindre
Notre travail préalable aux présentes s'est ensuite poursuivi en tentant de
réaliser
des structures de soutien viables permettant de guider adéquatement et avec le
minimum de pièces la structure palique utilisée comme parue compressive dans
le
type de machine que l'on a nommée polyturbine et dont ~Vilson a été le premier
à
présenter la géométrie compressive ( ilson I975~ (fig. 4 a )
laappelons ici que Wilson n'était pas parvenu lui-même, pour ce type de
machine, à
proposer des structures de support simples et efficaces. La raison de cette
incapacité aura certes été le fait d' une mauvaise compréhension de la nature
même
de celle-ci, et principalement du type de cylindre que la configuration des
parties
compressives nécessite. Nous avons résolu la problématique wilsonnienne en
montrant à plusieurs reprises que la nature de ce genre de machine est de type
bi-
rotative, et que toute tentative de réaliser des supports de la structure
palique de
façon purement post ou rétro rotative sans additïon de degré est vouée à
l'échec.
Nous avons en effet montré que la forme du cylindre de ce type de machine se
situe
entre celles des machines post rotatives et rétrorotatives. En effet, si l' on
disposait
virtuellement les courses de extrémités des pales de chacune de ces machines
sur
une droite, l'on constaterait que la course des pointes des pales des machines
post
rotatives réalise des bombages extérieurs, alors que celle des machines
rétrorotatives réalise des bombages intérieurs. Quant à l'action des parties
compressives des poly turbines, l'on voit qu'elle est bi rotative,
sinusoïdale. (Fig. 4
b)
~r nous avons montré que le type de cylindre bi rotatif ne peut pas être
réalisé
strictement par l' une des méthodes de premier niveau ~que nous venons de
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répertorier. Il nous a par conséquent fallu établir les méthodes de supports
les plus
adéquates.
Pour ce faire, nous avons constaté que la différence la plus notable de ce
type de
machine avec les deux premiers types consistait en ce que la c~urse du
positionnement des centres des pales n'était pas circr~daire. L' on a montré
en effet
que pendant que les extrémités des pales réalisent une ellipse, le centre de
celles-ci
ne réalise pas une course circulaire, comme dans le machines rotative de base
,
mais a plutôt lui-même une action irréguliére, excentrique de quatre
mouvements
par tour. La machine est donc bï rotative puisque l'action non seulement
orientationnelle, mais aussi positionnelle de chaque pale est elle-même
planétaire
ou non circulaire, ou encore circulairement non réguliëre. C' est ce qui
permet le
mouvement très spécifique de cette machine, et ce que 'VVilson lui-même avait
spécifié intuitivement comme non seulement rotatif mais aussi oscillatoire.
Nous en sommes donc arrivées à la conclusion qu' il était possible de réaliser
des
machines donc l'action de centre de pale n'était pas circulaire, mais elle-
même
polyinductive, et que cette idée pouvait être étendue aux machines motrices de
premier degré, les rendant elles-mêmes non seulement rotatives mais aussi
oscillatoires, birotatives .
Comme nous l' avons précédemment mentionné, les précédentes méthodes de
premier degré ne permettent pas Ia réalisation de tels cylindres et c'est
pourquoi
nous avons développé un corpus de régies permettant de les réaliser.
L' ensemble des méthodes de modification des figures générales et primaires de
premier degré permettant de transformer celle-ci en figures de second degré
est
donc le suivant
1 ) en créant de nouveaux cylindres
a) parengrenages poly camés
b) par engrenage dynamique central
c) par addition ou soustractïon géométrique
d) par combinaison superposée de méthode de guidage ( quatre cents
méthodes combinatoires)
e) par coulisse
2) en créant de nouveaux pistons combinés

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f) par pale flexible
g) par pale composée et poly manetons
Ces nouvelles méthodes (Fig. 5.1 ). ont permis de rêali~ser les machines de
base
avec cette fois-ci des courses centrale non circulaires et ou non régulières.
Ces
méthodes ont de plus permis de réaliser d'autres types de machine de second
degrés, ces machines ayant toutes en commun l' idée de course de
positionnement
central de pales , non rotative , poly inductive, ou rotative mais
irrégulière, c'est-à-
dire accéléro-décélérative . Les principales de celles-ci sont les machines à
Cylindre rotor poly inductives sans embiellage , les Machines à piston central
à
course poly inductive , les Machine à pistons périphériques, les Semi turbïnes
différentielle à coulisses ou à engrenages polycamées, les Antiturbines, les
moteurs
Slinky. {Fig.5.2) Ces machïnes ont toutes en commun d'âtre des machines de
second degrés ou supérieures, la course positionnelle entiër°ement
guidée du centre
de leur parties compressives étant non régulière ,soit dans le tempos , soit
dans
l'espace et le nombre de leu~°s éléments constitutifs étant supérieur
c~ Mois.
Lacunes relatives aux poussées tsar les parties compressiyes
Même si nombre de critiques sont faites à l'égard du moteur à piston, il n'en
demeure pas moins que, lorsque l'on observe la poussée descendante du piston
sur
le vilebrequin, et ce par l'entremise de la bielle, l'on peut constater
certains efforts
intéressants que l'on ne retrouve pas dans le machines rotatives. Un premier
point
intéressant est celui de la poussée également répartie sur la surface de la
surface
supérieure du piston. Cette répartition est compatible avec le caractère
amorphe de
l'explosion, au niveau de son sens. Un second aspect intëressant est certes la
double
action latéralo-verticale de la bielle. ~n effet, non seulement transporte-t-
elle la
poussée vers le bas, mais au surplus, l'on assiste une modification
d'orientation de
sa base qui lui permet, en appui sur Ie cylindre, non seulement d'améliorer
l'angle
le de poussée mais aussi, la puissance de celle-ci. Le bas de la bielle se
déplace
donc latéralement et réalise un mouvement quasi à contrario du maneton du
vilebrequin. C'est cet appui, dynamique sur le cylindre que nous appellerons
armement de la machine. Résumons donc cet avant-propos en disant que toute
machine motrice à besoin de cette poussée et cet armement pour être pleinement
fonctionnelle. (Fig. 6 )
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L'on a bien tenté, dans les machines rotatives initiales, d'imiter ce
mouvement de
poussée et effet levier. Mais cela demeure très difficile à réaliser avec
seulement
deux seules parties actives, la pale et Ie vilebrequin. Pour ce faire, l' on
devait
organiser la machine de telle manière que le piston prenne appui sur le
cylindre,
avec pour résultat que les segments de ces machines servaient à la fois de
pièces de
support mécaniques d' encrage. Leur longévité était donc de ce fait des plus
courtes,
et de telles machines ne pouvaient, de ce poïnt de vue, rivaliser avec le
moteur à
piston. (Fig. 3.3)
L' on a donc été dans l' obligation de réaliser des mécaniques de support des
pièces
par le centre. CeIIes-ci ont permis principalement de rendre la pale
indépendante du
cylindre, c' est-à-dire d' en permettre l'articulation par des pièces de
compression de
telle manière que leur déplacement soit identique au cylindre, et qu'il soit
cette
fois-ci assuré de faon autonome.
L'on doit donc aux pionniers des machines motrices la confection progressive
des
figures primaires des machines rotatives. Quant à VVanhle, on lui doit plutôt
d'avoir
synthétisé les formes de l'art antérieur en des séries d'une part, et d'autre
part,
d'avoir produit deux méthodes de soutien des pièces de compression de façon
autonome (Fig.7.2)
L 'on comprena' mieux, comme l 'une de ces méthodes été employée par la grande
industrie, pourquoi les moteurs dont la~~uration g-éo~aaétriq~ue est de
Nlallard
(1943), a été connue sous le nom de ~ankle. Comme nous le verrons, si ces
méthodes de support sont acceptables pour la construction de eompresseurs,
elles
sont tout à fait iaavalides pour la réalisc~tï~n de moteurs, ce qui est
entériné par
l 'expërience. En ef j''et, c~mme la pratique l 'a montré, l'utilisation d
'une méthode
Compressive comme moteur, aboutit en des problémes de surchauffe, et de
friction
produits par le couple négat~des machines, alors que leur réalisation sous
forme
l~Ioteur prouve la thèse que nous soutenons, que toute. machines motrices ne
sont
qu'une seule et même machine, et que par conséquent le couple des machines
rotatives, lorsque réalisées de façon tllotrice, est équi,vczlent à celui des
machines à
pistons.
L'une des explications à la valeur proémïnente du caractère Compressif des
machines rotatives dc l'art antérieur est la suivante. L'on peut certes
constater que
Ies méthodes de guidage proposées réagissent parfaitement bien, lorsqu'on les
considère d'un point de vue purement mécaniquement, c'est-à-dire, lorsque les
parties compressives sont activées du bas vers le haut; c'est-à-dire du
vilebrequin
vers la pale.

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Des défauts majeurs apparaissent cependant lorsque ce sont, au contraire, les
parties compressives, donc les pales, qui activent le vilebrequin ou
l'excentrique.
Comme on le montrera plus abondamment aux présentes, ces défauts tiennent au
caractére amorphe de la poussée de l'explosion, qui se concilie mal avec le
déplacement plus spécifiquement orientationnel de la partie compressive de ce
type
de machines. La spécificité du mouvement des machines rotatives, qu'elles
soient
post ou rétro rotatives, réside en ce due le mouvement de pale est à la fois
descendant, et à la fois rétrorotata'f. (Fig.7. I a, b) Le mouvement de la
pale est en
effet composé d'un vecteur positionne) et d'un vecteur orïentationnel. Pour
qu'une
conversion totale de la puissance de l'explosion soit transmïse à l'extérieur,
il est
évident qu'elle doive tout d'abord être acceptée par le vilebrequin. Pour
cela,
attendu la déconstruction systémique birotationnelle de la pale Lors de
l'expansion,
il faudrait que la pression ne soit plus égale, mais au contraire qu'elle soit
plus
puissante sur l' un des cotés de la pale que sur l' autre. ~ ce prix, l'
expansion
produirait non seulement la descente de la pale, mais aussi sa rétrorotation.
Mais,
par définition, une explosion et l'expansion qui en découle sont amorphes, et
la
poussée ne peut en être dirigée, sinon trés peu, par une thern~o dynamique du
positïonnement de bougie.
Pour faire bref, l'on peut résumer les trois grandes lacunes spécifiques
relatives à la
poussée, dans les rna.chines rotatives Compressives réalisées sous leur forme
Moteur de la façon suivante
a) l'armement centralisé et rigide, y réalise en sens contraire l'effort issu
des poussées postérieure et antérieure de l' explosion sur l' organe de
compression, la pale
b) La mauvaise réalisation géométrico-mécanique de l' organe de
compression, la pale, à laquelle on confere, comme nous le montrerons
plus abondamment aux présentes, une f~~nction mëcanique assimilable
à celle du vilebrequin
c) Le couplage direct de l' armement, à la fonction vilebrequin de la pale,
qui ne produit qu'un effet portant, c ést ~-dire de support de la partie
compressive, mais ne réalise aucun effet ote~,er.
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L'on montrera. en effet, dans la présente sectïon, que sï l'on compare le
moteur
rotatïf, dans sa figuratïon et sa mécanique les plus conventionnelles , à un
moteur à
pïston, l' on peut comprendre plus facilement les trois Lacunes fondamentales
relatives à la poussée . L'ensemble de la présente solution technique montrera
que
les solutions déjà utïlisëes pour améliorer ces machines du point de vite de
leur
cylindre convergent totalement avec les solutions nécessaires à la correcte
réalisatïon de la poussée dans les machïnes , lorsque réalïsées sous leur
forme
Moteur.
Fremière lacune: le mono encrage central et fixe
Dans la première méthode d'art antérieur, dite par mono ïnductïon, (Wankie) le
point de couplage des engrenages de support et d' inductïon crée pour aïnsï
dire un
effet en balançoïre, avec un point d'appuï, ce qui est aussi réalïsé sur le
piston dans
les moteurs à piston, mais quï est négligeable, attendu la non rotatïonalité
de celuï-
ci (Fig. 7.1 a ) La partie arrière de Ia pale produit par conséquent un effet
de
bascule arrière, qu' il faut par conséquent neutraliser.1, 'explosion sur t
'entièreté de
la pale ne pr~duit par conséquent un effort réel que sur une faible partie de
la pale,
et cela au surplus avec un angle de couple fszible.
Le moteur a donc une poussée ~rientrrti~nelle eontradicta~ire, nëgative sur la
partie arriére de sa pale, et p~sitive sur sa partie avant.
Par ailleurs, la méthode dïte par engrenage intermédiaire (Wankle) produit les
effets totalement contraires, mais tout aussi néfastes. En effet, si cette
méthode a Ie
bienfait de bïen emmagasiner l'énergie rétro active de la pale, elle crée au
contraïre,
sur la partïe avant de celle-cï, non seulement un blocage, mais plus, une
action à
contrario du vilebrequin vers sa propre p~ussée. (Fig. 7 b )
Le m~teur a d~nc aussi une poussée ~rientactionnelle~ c~nt~~adict~ire,
p~sitive sur
la parue arriére de la pale, macis négative sur sa partie cav~cn~
Comme on le montrera plus abondamment dans le cours de la présente
présentation, la pale réalise en ces types de méthodes de guidage de machines,
une
fonction bielle, ou même de vilebrequin, selon le cas. Celte bielle, ou
vilebrequin,
inclue dans la pale, a donc une poussée orientatïonelle équivalente à sa
contre-
poussée, ce qui est contradictoire, en terme de motorologïe.
I2

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L'on voit donc, dans les deux cas, que si l'on compare le dessus de la pale à
une
planche appuyée en balançoire sur un point d'appui central que les poussées
seront
contrebalancées par des contre poussées. Lc mouvement rétrorotationnel dc la
pale
est donc réalisé par la mécanique, sans l'aide des poussées, et par conséquent
cle
façon passive. L'encrage, disposé au centre, a fait perdre c~ la machine sa
capacité
latérale, ici exprimée sous forme de rétrorotation.
Dans leur état de base, les machines rotatives ont donc un couple bien en deçâ
des
moteurs à pistons, qui eux-mêmes, pour d'autres raisons, sont énergivores. Il
y a
donc lieu d'améliorer ces machines, en leur retranchant ces lacunes.
Deuxiéme lacune: dculté relative ~r la conception géométr ique de la pale
planétaire
loTous montrerons de façon plus précise dans le cours du présent exposé que la
lacune la plus fondamentale de la conception des machines rotatives consiste
en
une mauvaise conception, ou plutôt une conception Compressive, de l'action de
la
pale dans les machines rotatives de l'art antérieur. Nous montrerons en effet
qu'il y
a deux conceptions possibles de l'action planétaire de la pale, et que l'une
est
c~mpYessive, lorsque celle-ci agit au premier degré, et l'autre Motrice. Ire
plus,
nous montrerons que, dans l'crt antérieur, l'on s'est servi de la conception
Compressive pour réaliser les machines de genre Moteur, avec pour résultant un
fort degré de friction et un faible rendement. Nous montrerons plus loin
comment
récupérer positivement et simultanément les aspects positionne) et
orientationnels
des parties compressives celle-ci.
Pour l' instant, nous nous bornerons â identifier la lacune suivante, de l'
ensemble
des machines rotatives de l' art antérieur en ce que, en celles-~ci, et plus
particulièrement dans les machïnes post rotatives, la pale planétaire â une
action de
circonvolution sur elle-même plus lente et plus large chie celle de
l'excentrique
central, ce qui rend toujours la machine en surpression mécanique, de la pale
~ son
excentrique.
De façon imagée l'on demande toujours un sur commandement ~ la pale, par
rapport ~ l'excentrique central (Fig. 7.2)
13

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Troisième lacune : le manque de détermination de degrés de machines
Par ailleurs , une troisième lacune fondamentale sera, identifiée comme étant
le
manques de degrés rotationnel , ou armarturel de la machine , ce qui comprime
les
parties en un nombre trop restreint et centré de pièces, faisant perdre toute
réalisation différentielle d' énergie entre les éléments, sur le plan latéral.
Si l'on reprend en effet notre comparaison avec le moteur à piston, l'on peut
facilement comprendre que dans celui-ci, la bielle s'appui sur le cylindre
comme
s' il était un mur. Dans les machines rotatives, il s'y passe comme si l' on
s' appuyait
sou sol pour effectuer une poussée latérale. La poussé réalisée est fort plus
limitée.
Lacune fondamentale générale
Les trois précédentes lacunes des machines du type de guidage de pale de
VVankle
peuvent finalement se résumer en une seule grande lacune générale qui est la
suivante
Dans tout système, que ce soit la chaîne d'ADN pour la vie, les
couleurs primaires et le blanc, pour la peinture, la mélodie l' harmonie et le
rythme
pour la musique , et ainsi de suite, il y a un minimum de composantes pour
ainsi
dire vitales sans lesquelles trop peu de permutations sont possibles, et par
conséquent sans lesquelles aucune systémique ne peut être réalisable.
~r, la particularité des machines mécaniques consiste en ce que le nombre
minimal
d'éléments, lorsque réalisées comme compresseur est de trois soit l'ensemble
compressif, cylindre-pale , l'excentrique , et un point central d'encrage.
L'on a une bonne image de ceci lorsque l'on étudie la .réalisation d'un moteur
à
piston sous sa forme avec bielle coulissante, qui ne fait qu'un seul morceau
avec le
piston. (Fig. 7.3) La poussée latérale de la bielle conventionnelle, qui est
un des
éléments constitutifs de la poussée totale, y est totalement perdue. L' on a
là un bon
compresseur, mais un mauvais moteur, comme c'est le cas général pour les
moteurs
rotatifs, tels que conçus par l' art antérieur.
Cependant, lorsque rëalisées comme moteurs, ces mêmes machines doivent, si l'
on
veut les réaliser avec une l'effcience motrice appréciable, comparable à
celles des
moteurs à pistons, comporter minimalement quatre éléments constitutifs, faute
de
quoi, l'on ne peut prétendre à leur réalisation sous forme moteur. Ces quatre
éléments se réalisent lorsqu' il y a subdivision d' au moins un des trois
éléments de
14

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base. De plus, comme on le montrera, l'on peut réaliser plusieurs subdivisions
et
réattributions dans une même machine. L 'on aura donc une machine 1~~trice
lorsque l'on réalisera soit un double encrage, ou un encrage dynamique, soit
une
réattribution ou subdivision des parties compressives la conapression se
faisant par
exemple par le concours de deux parties, ou soit une subdivision mécanique, la
pale étant par exemple activée par une combinaison dé vilebrequin.
De toutes ces manières, que nous commenterons plus abondamment ici, les
machines compressives deviennent des machines motrices.
regard, sous l'rangle de lc~ poussée, des soluta~ons déjâ
proposes par nou;~ orées tantérieureanent ~c la présente
Comme nous l'avons mentionné en introduction, toutes les réalisations de nos
travaux antérieurs visant à améliorer la forme des cylindre des ces machines,
en
amélioraient, comme nous l 'avons montré à plusieurs reprise, simultanément et
corrélativement l 'aspect du couple.
Comme le propos de la présente invention est de dresser un lexique général et
total
des méthodes relatives à la réalisation de la poussée sous firme 111~teur,
dans les
machines rotatives, nous réitéa°ons ici un ensemble de .solutions déjâ
énoncées dans
nos travaux antérieurs . Leur présentation sera cependant exécutée sous
l'angle du
couple et de la poussée, ce qui donnera un éclairage plus total sur l
'ensemble de
nos conceptions, De plus, de façon ~ compéter de façon finale notre analyse,
nous
montrerons la valeur synthétique et conceptuelle de certaines méthodes, que
l'on
pourra par la suite généraliser. p'inalement nous ajouterons quelques méthodes
supplémentaires.
Cette exposition permettra donc, au surplus', la synthö,se générale de tous
nos
travaux comprise en un seul tout, synthése qui montrera comment réaliser les
machines rotatives dans leur f~rayze lt~'~teur, c'est-~z-dire avec des
mécaniques
permettant leur réalisation avec des couples puissants.

CA 02442351 2003-09-24
,Solution pcz~ engrenages polycanaés
La premiére solution à considérer pour corriger le problème de Ia poussée et
de la
contre poussée orientationnelles d'une pale de machine rotative est dite par
la
méthode des engy°enczges polycamés. (Fig.8~
Dans cette solution, il s' agit de réaliser les machines, par l' une ou l'
autre des
diverses méthodes de support, mais cette foïs-ci avec le recours à des
engrenages
que nous avons nommée engrenages polycamés. Il s'agit là d'engrenages
irréguliers qui non seulement peuvent couplés dans des montages standard, mais
aussi de façon planétaire, ce qui est fort pertinent pour nos travaux. Le but
de
l'utilisation de ceux-ci, du point de vue de la forme du cylindre, est Ia
normalisation et l'optimalisation de la co~~npression. Le but plus concret de
l'utilisation de tels types d'engrenages est de rendre irréguliers les
rapports de
vitesses de pales et de vilebrequïn.
Comme nous l'avons déjà dit, l'application de tels engrenages, dans le cas de
mono
induction pourra par exemple permettre, de ~°eculet°
momentanément le point
a''enc~°cage des eng~enczges de suppo~°t et d 'induction,
~°éduisant pour autant l 'effet
rét~oczctif de l'arrièa~e de la pc~,~e, et conséquemment, Ia poussée avant
nécessaire à
son annulation. En résumé, ces engrenages réalisent non seulement des
cylindres
plus appropriées, mais aussi , simultanément des temps morts réduits et des
poussées descendantes accélératives puissantes.
II est à noter que les engrenages polycamés pourraient âtre utilisés en sens
contraire
produisant ainsi non seulement des f gurations différentes, mais aussi des
rapports
de poussée différents. Inversement, en effet, dans le cas de l'application en
sens
inverse des engrenages polycamés, l' accentuation de Ia rétrorotatïon de la
pale dans
sa phase d'explosion, permettra d'en réduira par conséquent la vitesse, dans
sa
phase de descente. Le manque de poussée dérotative aura donc beaucoup moins
d' incidence.
Pour les fins de la présente divulgation, nous entendons appuyer
principalement sur
l' idée que cette méthode, lors de la descente, visera à modifier
momentanément le
point d'ancrage des engrenages de support et d'induction, réduisant ainsi les
effets
arriére et Ia poussée avant nécessaire à Ies neutraliser. En effet, ce point
est des plus
important. Lcz modification dynamique des points d'enc:~°czges
a°écalise, comme dans
le moteur à pistons, très exactement le méme effet que s 'il y avait deux
points
16

CA 02442351 2003-09-24
d'enc~°ages d~é~ents. Pour cette raison, si l'on analyse la
natu~°e de la machine,
l'on devra la considérer non pas comme bi-polaire, mais tripolaire. Cette fois-
ci en
effet, l'on augmente le nomb~°e d'éléments constitutifs, non pas
pa~° le nombre de
r°otationalité, mais par le nombre d'encrages.
Les acquis de cette solution sont donc pertinents au niveau de la poussée. Si
cette
solution nc retranche pas totalement les lacunes de po,~ssée contradictoire
que nous
avons montrées précédemmenft, elle a la capacité d' en diminuer grandement
l'ampleur et les conséquences, transformant simultanément la machine en
machine
offensive.
En effet, si l'on compare encore une fois la surface de la pale à une pièce cn
balançoire installée sur un point d'appui central, la réalisation de Ia
machine avec
un engrenage polycamé produira un effet similaire à celui du déplacement du
point
d' appui, dans une position plus pertinente. L' on réalise ainsi une dynamique
du
point d'encrage, similaire à celle qui se passe dans les moteurs à pistons,
par le
déplacement du piston sur le cylindre. Liés Lors Ia contre poussée sera
diminuée au
profit de Ia poussée, et il se produira un action rétrorotationelle
orientationelle de
la pale sur elle-même, qui viendra s'ajouter à son action rotationelle
positionnelle.
I,a solution per~° eng~encxge ce~°eee~u
Comme la méthode par engrenage polycamé, la méthode par engrenage cerceau fait
passer la machine a un degré supérieur sans aucun élément supplémentaire.
(Fig.11.3~
ainsi donc, relativement à la poussée, la méthode par engrenage cerceau a
aussi des
incidences fort positives. L'engrenage travaille comme si l'on avait réussi,
simultanément, à réaliser, comme dans la méthode par engrenages polycamés, la
machine avec deux points d'ancrage. En effet, dans cette méthode, la poussée
antérieure sur la pale s' ancre en levier à l' engrenage cerceau et actionne
le
vilebrequin dans la bonne direction. IJe plus, dans cette méthode, cette
poussée
antérieure n'est pas contrebalancée par la poussée postérieure. La raison en
est la
suivante. La poussée postérieure elle-même est produite à partie d'un double
encrage. En effet, la poussée rotationelle postérieure de la pale s'appuie par
son
point de couplage, nécessairement et simultanément c~ la fois sur l 'anca~age
de
l'engrenage de support et sur le centd°e de rotation de l'engrenage
cerceau, ou son
bassin d'appui. La poussée postérieure est donc elle aussi réalisée sous forme
de
poussée. La pale est donc en pousséelpoussée. A la limite, cette poussée
~7

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postérieure est un simple blocage, mais elle n' est pas une contre poussée. ~I
y a
donc effet rotationnel orientationnel s'ajoutant à l'effet rotationnel
positionnel.
5i l'on compare toujours le système à celui d'une balançoire, l'on verra qu'il
s'y
passe comme si l' on avait échafaudé un second point d' encrage, cette fois-
c,i
décentré, qui vient débalancer favorablement le systéme et développer une
action
rotationelle orientaionelle, s'ajoutant à l'action rotationelle positionnelle.
L'on a donc encore une fois une augmentation des élénnents constitutifs par la
double fonction positive de l' ancrage.
~~ solutïon pc~~ ïnductïon.> ~tc~g~e~°
Du point de vue de la poussée, Ia solution par poly inductions étagées
n'essaie pas
de modifier la poussé des gaz, mais au contraire e profiler la course de
l'ensemble
vilebrequin de telle maniérc c placer l'induction elle-rnêrne dans un
~ncillcu~°
sangle de ~éccption de la p~ussée de lc~ pale.
Comme précédemment, cette solution a été abondamment commentée par nous-
même sous l'angle des figurations idéales. Cependant, comme nous l'avons dit à
plusieurs reprises, l'utilisation de poly inductions étagées avait aussi
d'importantes
conséquences sur le couple. Comme ce sujet a été lui aussi élaboré dans nos
travaux antérieur, nous ne donnerons ici que deux exe~~ples. (Fig. 9)
Ainsi donc , dans le cas d'un moteur à cylindre en huit et à pale
triangulaire, la pale
lors de la descente , sera dans une poussée à quatre-vingt-dix degrés avec le
vulebrequin secondaire, qui actionnera le premier par levier.
Encore une fois, du point de vue de la poussée, l'idée que la. pression sur la
pale ne
peut être contrôlée est sont~u~°née en ,situant plus'
czvczn~c~gcu,~ement, sous celle-ci
les axes récepteu~°s de la pres,~ï~n, n~tc~~nent d
'excen~~°ic~ue supérieur.
l~

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Si l' on réalise encore une fois la conception de celte méthode par l' image
d' une
planche , disposée sur un poing: d' appui, l' on pourra s'imaginer un point d'
appui
cette fois-ci dédoublé et étagé , mais en équilibre général, lors de
l'explosion. En
cous de rotation cependant , l'on voit que Ies encrages de niveaux inférieur
et
supérieur se complètent et Ie systéme et déséquilibrent le système au grand
complet.
II y a donc effet rotationnel orientatio el s'ajoutant à l'effet rotationnel
positionnel, ce qui amène la machine en version Moteur. Ici, Ie nombre
élémentaire
d'éléments constitutifs est augmenté par l'addition d'un étagement supérieur
de
d'excentriques orientationnels, et par leur armements i°espectifs.
lVl~thode pc~~ dite par poly--aneto~a et bi piston ve~~ticc~l
Une autre solution proposée par nous-mêmes relativement au probléme d'amorphie
de la surface de la pale est de le contourner en retranchant une partie de la
surface
de la pale à la compression,1a remplaçant par la tête de pistons que l' on
aura
insérés, de façon centrée ou décentrée dans chaque face de celle-ci.
Dans cette manière de faire, l' inventeur s' est inspiré de son moteur à
cylindre rotor,
(Fig. !0~ et a émis l' idée que le piston d'une moteur rotatif, en dépit du
fait qu' il ne
tourne pas parfaitement circulairement, mais plutôt po:lyinductivement,
pouvait
aussi et simultanément réaliser les fonctions de cylindre rotor. L'on a au
surplus
émis l' idée que le rayon des manetons des pistons pouvait être différent que
Ie
centre de l' excentrique.
La course plus rapide des manetons que celle du piston / cylindre-rotor
entraîne
l'action rectiligne des pistons dans chaque sous-cylindre. Toujours du point
de vue
de la poussée, il s' en suit qu' une grande partie de l' action motrice est
donnée par
ces pistons, et que lcz neuttr°°alité des pous~ée,~ initiales
~ua~ la pale est de ce fait
négligeable, puisqu'une bonne partie de la surface de ces oppositions en a été
retranchée. Le piston/cylindre-rotor sera en fait le compresseur à l'explosion
qui
alimentera Ies pistons en explosion.
Encore une fois, si l' on compare le dessus de la pale à une planche disposée
sur un
point d'appui central, en lesquelles les forces antérieures et postérieures
annulent la
rotation de celles-ci autour de son point d'appui, l'on produira cette fois-ci
cette
planche de façon incomplète au centre, et on la complétera par une tierce
partie.
Cette tierce partie sera Ia surface des pistons secondaires disposés dans les
sous
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cylindre du cylindre rotor. Le déséquilibre se crée donc lors de la descente.
Ce
déséquilibre est d'autant plus inhérent au systéme si Ies deux axes sont au
surplus
successifs, ce qui se passe lorsque les deux manetons ne sont pas
simultanément au
sommet. Dés lors l'action, l'action dëcentrée de la pièce centrale détruira
l'équilibre de l'ensemble du s5rstéme et forcera la rotai:ion dc la planche
principale.
(Fïg.lO b)
Ici le nombre d'éléments constitutifs de base est augmenté par le
fractionnement du
vilebrequin par poly manetons. L'on passe donc d'une macl~.ïne e type
Compressive, à un type de machine que l'on dira l~Iotr~ice.
~hthode p~r° s~mi t~°a~si ssi~~
~'ar articulatâoaa ~ co~atrarâo, ou accéléro-décélérat~~e
Flous appellerons cette structure, induction de motricité, par opposition ~
l'induction qui sera dite de portance et qui sert de guidage à course de la
pale. L'on
doit dégager de cette réalisation les différences suivantes. Premiérement au
niveau
de la compréhension des systèg~nes, l' on aura un systér~e po~teur° et
ua~ ,système
moteur. Deuxièmement, au niveau de la conception des éléments, l' engrenage de
pale du systéme moteur, sera maintenant nommé engrenage de suppoa~t de
motricité. C~uant à l'engrenage d'axe central, il sera no é
e~ng~°ea~age d'i~eduction
de moty°icité. L'une des structures sera mont~zz~ate,
poa°tcta~t, l'autre pour ainsi dire
descendcante, motrice.

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voici ce qu' il y a de différent dans cette structure l~ot~rice.
P'remiérement, lors de
l'explosion, cette structure portante n'a aucune incidence de cognement
vertical.
Deuxiémement, lors de la descente l' angle de couple sw° l' engrenage
d' induction,
est contraire à celui sur l'excentrique. 'l'roisiémement, ce couple est
constitué à la
fois de la rotation orientationelle et de la rotation positio elle de la
machine. Que
l' on appui en effet sur la partie postérieure ou antérieure de la pale, l' on
aura un
effet rotatif positifs et ces effet s'additionneront plut~t que de se nier.
P9ans la méthode par servi transmission, ces deux mécaniques sont réalisées en
une
seule et l'ancrage est dès lors dynamique. Comme la partie avant prend appui
sur
le centre de L'excentrique pour avoir une rotation orientationnelle, cet effet
rotatif
indésirable est annulé automatiquement. Quant à la poussée antérieure, elle
peut
maintenant être saisie par la pale. Les deux poussées convergent dans l' un ou
l'autre des trois axes. L'axe moteur peut donc être celui de L'engrenage de
support
dynamique ou encore celui de l'axe de l'engrenage pivvot, qui sera à la fois
celui de
I' encrage de la machine.
Quant à la méthode de servi-transmission accéléro-décélérative, elle a été
créée
aussi pour dynamiser l'engrenage de support, permettant ainsi de réaliser la
machine avec des cylindres optimaux. L'on verra plus loin l'importance de
cette
méthode, au point de vue de La poussée.
L'on voit donc que La composition en double portance e la machine réalise des
fonctions similaires à celle réalisées par servi transmission. En celle-ci
cependant,
l' on deux structures, l' une Portante et l' autre lVLotrice, le système s'
amorçant de
l' engrenage de support, un encrage fixe, vers Le haut, et redescendant vers
la sortie.
Dans la méthode par servi transmission, les deux systémes sont raccordés et
confondus, et l' encrage est dynamique : c' est L' engrenage pivot d'
inversion et son
axe. L'on verra plus loin dans le présent exposé, que les deux formules
d'appliquant aussi non seulement à la méthode par morio induction, mais à
toutes
les méthodes. En effet, l' on pourra réaliser la méthode par engrenage
intermédiaire,
par servi transmission ou par bi induction montante, descendante. La méme
versatilité sera réalisable dans la méthode à poly induction, qui pourra âtre
réalisé
de façon servi transmittive ou en bi induction montante, desc-endante. Fous
reléguons les commentaires relatifs à ces généralisations, préférant
constituer un
lexique des méthodes de poussées le plus concis qui soit.
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~CiY ~?~~~% ZYIdZIC$ZO~'l'l
Une autre maniére de contrer les défauts inhérents ~ Ia poussée a été Ia
méthode de
poly induction en double partie proposée par inventeur, dans son brevet
relatif ~. ce
sujet. (Fig. I I.2)
Four comprendre cette méthode, il s'agit de constater que la course d'un point
situé
sur la ligne des pointes d'une pale post rotative suit une trajectoire
similaire â celle
du cylindre. Inversement, un point situé dans le milieu de I'un des cotés
suit une trajectoire similaire, mais cette fois-ci en sens contraire de Ia
premiére.
L'on doit ensuite constater, ce qui est assez étonnant, qu'un dépit des
accélérations
et décélérations fort différentes de vitesses des deux points, ceux-ci
demeurent
toujours en totale égalité de distance, ce qui permettra le raccord d'une
piéce fixe.
En effet, il s' agira donc de réaliser deux montages planétaires, en ayant
soin de
situer la course de chacun d' eux en sens contraire de l' autre, pour par la
suite,
rattacher Ia pale, par deux points opposées, qui pourraient être en différents
endroits de la pale, par exemple obliques, perpendiculaires ~ obliques. (Fig.
l l . I )
L'effet sur la poussée d'un tel :montage est très positif, puisque permet e
déséquilibrer favorablement Ia déconstruction de Ia pale. C' est en effet ce
déséquilibragc, qui contrairement aux machines â pistons, est nécessaire dans
les
machines rotatives. Ici, en cours de descente, non seulement l' on recule le
point de
balançoire vers l'arrière, diminuant pour autant l'effet arrière, mais aussi
l'on
augmente l'effet avant, ce qui rend la contre poussée arriére négligeable.
Si l' on produit, comme précédemment, une figuration ~ I' aide d' une planche,
I' on
devra cette foi-ci réaliser l'image de celle-ci par deux niveauix de points
d'appuis,
dont l'un, lc niveau supérieur, sera dynamique. Sous l'effet de la flexion des
points d'appuis supérieurs, la planche supérieure sc déplacera latéralement et
forcera la rotation de la planche inférieure. Une rotation orientationnelle de
la pale
viendra donc s' aj outer à la rotation positionelle.
L'on passera donc d'une mach ne de type Compressive ~. une machine de type
Moteur.
Méthode pcz~° armement centy°°~c~ à
conP~°~rio
fans les deux figures numéro 82 et 83 dc la premiére parue des présentes, nous
montrons Ia possibilité d'attribuer des dynamiques ~. des parties fixes, et
nous
imageons le mouvement en Clokwise de Ia pale , rotationnel, rectiligne , ou
poly
22

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inductif. Dans les deux cas, le cylindre est en mouvement à contrario des
parties
mécaniques. Ceci ne peut être réalisé, de façon directe, que par un armement
central à contrario. Pour réaliser ce type de mouvement, il faut procéder à
une
réattribution et une redïstribution des parties dynamiques et Irnécaniques de
la
machine. L'on verra., à la prochaine section, qu'un éventail assez vaste de
réattributions et de redistributions sont possibles. Pour le moment,
cependant, nous
nous conterons des plus symboliques, permettant de montrer significativement
la
réalisation de la machine sous sa forme Moteur. (fig. I 1.5 et 11.6 ) Comme on
le
montrera abondamment aux présentes, les mouvements à contrario , soit des
cylindres et pales, soit de leur vilebrequins respectifs, ont réellement un
effet
Moteur. La prochaine partie sera donc un développement et une généralisation
de
ces deux figures, du point de vue de la poussée.
Si l'on se sert, encore une fois de l'image de la planche disposée sur une axe
pivot,
l''on pourra dire que dans ce ces, il se passe comme si l'on avait, durant la
descente,
deux planches et que les parties de la poussée se réalisent comme s'il
s'agissait
d'un double appuis, sur deux extrémités de planches différentes.
Une rotation orientationnelle de la pale viendra donc s'abouter à la rotation
positionelle.
ésun~é
Il nous a semblé pertinent, avant de passer ~. la prochaine section, de
réaliser un
résumé des derniers propos. L'argument central de ceux-ci est à l'effet que
pour
réaliser une machine que l'on puisse catégoriser de Motrice, il faut réunir,
tel que
cela est fait dans le moteur à piston, les principaux éléments suivants
a) une partie compressive, comprenant cylindre et piston
b) une articulation motrice, avec deux articulations rotatives (le
vilebrequin)
c) une piéce de transmission, (la bielle)
d) un point d'encrage, dynamique et décentré, (l'appui du piston sur le
cylindre)
Pour un total de trois piéces motrices, un point d'cnrage, donc quatre
éléments
constitutifs
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Les machines rotatives de premier niveau. sont apparues, du point de vue de
leur
poussée, défaillantes. Ceci est appuyé par constitution de leurs éléments trop
minimale, réalisée de la façon suivante
a) une partie compressive, comprenant cylindre et pale
b) l' excentrique, avec deux articulations rotatives
c) un point d'ancrage axe et centré (le couplage des engrenages de support
et d' induction)
Soit une ensemble de deux pièces motrices et d'un point d'articulation, pour
un
total de trois éléments constitutifs seulement. Cette car~stltution trop
élémentaire
d'éléments ne rend doatc passible la réalisation de la machine que saus sa
forme
CamDPesslyeo
Foutes des dispositions présentées par nous-mime réalisent une
machine constituée d'au moins quatre éléments. Il ,y a toujours
minimalement l'un des éléments de base de la machine de type
copressïve qui est subdivisé et doublé.
Dans la méthode par polycamation, l'on a une partie de compression, et une
partie
mécanique sous la forme de l' excentrique. l~ar ailleurs, l' on doit
interpréter
l' encrage dynamique comme deux points d' articulations, ceux-ci étant
différents en
haut de la montée et en cours de descente, pour un total donc de quatre
éléments
constitutifs.
Dans la méthode par étagement d' inductions, l' on a deux vi:Lebrequins ou
excentriques étagés, une partie compressive, deux armements, pour un total de
cinq
él~~nents constitutifs.
Dans la mëthode par engrenage cerceau, l' on a deux parties motrices, soit la
partie
compressive et l'excentrique. Comme dans Ia méthode par engrenages polycamés,
l' on a un encrage dynamique, dans le sens où les rapports d'' encrage varient
du haut
de la montée par rapport à la descente, pour un total de t~uatre éléments
constitutifs.
Dans la méthode par semi transmission, l'on a deux parties motrices, soit la
pale,
l'excentrique. Quant à l'engrenage dynamique, il doit lui de même être
considéré
comme un double encrage, pour un total de quatre éhments constitut fs.
24

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Ce bref résumé nous permet d'établir, errapi~iquca~ae~at, qu'à chaque fois que
l'on
entend donner à la machine une capacité l~Iotrice, il faut pouvoir tirer parti
de la
rétrorotation de la pale. pour réaliser cela , il faut nécessairement par
conséquent
ajouter un élément moteur. Énoncé d'une autre maniére, il faut âtre capable de
réaliser un ajout de poussée latérale, donc oricntationnelle, ~ la poussée
positionnelle de la pale sur le vilebrequin ou I' excentrique.
Les prochaines parties de l'exposé permettront de comprendre les raisons
rationnelles de ces faits empiriques.
des a~ouvelles solutions ~°o osées ~x ~°~setes
Les nouvelles conceptions présentées aux présentes seront : les méthodes
d' observations
1~) par observateur fixe extérieur
B) par observateur intérieur
C) par l'observation absolue
D) par l' observation absolue/empirique
Ces d'observations montrerons les modélisations les plus pertinentes
permettant de
réaliser le machines motrices rotatives dans leur type tJompressif, lTeutre,
l~Ioteur.
Ces modélisations montreront par conséquent, cette fois-ci
~°~ti~nnelleaaze~t, les
machines rotatives en tant que l~/Ioteur.

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Les méthodes :
Gilles d'oseYVrx~ioh d'es a~cl~ies ~°otc~tives
~bserveztion extërieure, C)bservation intérieure, ~bsey°vcztion par
vitesse constante
et ~bservcetion synthético-ernpiri~ue
L,'on peut distinguer cinq grcrncls types ~e g~o~aétrie cle for~aation
cles~gures post
et rétro rotatives générales et prinac~ires, que l'on peut répe~~torier de la
façon
suivante :
A) Par l' observateur extérieur : observation extérieure
B) Par l' observateur intérieur : obser°vation intérieure
C) Par observateur virtuel positionné sur un mouvement
circulaire absolu : observation ab;~olue
D) Par l'excentrique planétaire
E) Par observateur absolu subtilisée empiriquement : observation
synthétique
Dans la pratique, la méthode par mono induction post rotative correspond donc
à la
premiére classe, puisqu'elle est réalisée ~ partir de l'observation
extérieures
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Foutes les méthodes subséquentes, par engrenage â cerceau., intermédiaires,
talon
etc, sont issues du type d'observation par l'intérieur et appartiennent par
conséquent ~ Ia seconde classe de méthodes.
'~roisiémemcnt, la méthode par poly induction est issue de l'observation par
l'absolu et appartient ~. la iroisiémc classe.
Quatriémcment, la méthode d'observation par excentrique planétaire permet la
réalisation de la machine en dynamique Clokvdise.
Finalement, la méthode par observation synthétique est un raffinement dc la
méthode d'observation par l'absolu, relativisée par les nécessités de constat
de taux
de compression. (Fig. 12.2
Exp~ict~ti~~cs
Dynamiques et méthodes de support issues de l'~bse~~wcztio~
Cependant, la pratique, corroborant la théorie, a aussi déteri~niné que de
réaliser les
machines de telle maniére provoquaït une usure prématurée des segments, et
nombre d'autres problémes. Par conséquent, l'on a terJté, comme on l'a dït, de
rendre le mouvement de la pale indépendant du cylindre.
Pour ce faire, l'on a trés certainement du observer lc compo~~tement des
piéces entre
elles, comportement qui subséquemment aura permis de créer les mëcaniques
appropriées. Inversemeaa~; d'aprés les mécanigues c~é~es, l 'on ~aeut
sup~~ser~ le
point de vue thé~~îque et analytique qui aura été â la s~ur°c~ d~ l
'investi~n de telle
~u telle mécanique.
27

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Selon les mécaniques de premier degré l'art antérieur, dc mëmc que toutes
celles
que nous avons présentées, nous pensons que I'on peut classer cinq grands
types
d'observation du componcrncnt des panics d'une machine motrice, et que nous
avons nommée précédemment.
~b~'etwvcxt~~n pa~° d'exté~°ieu~°
Inversement, l'on peut aussi interpréter cette observation mécaniquement en
produisant une pale se déplaçant plus Lentement que l' excentrique.
2~

CA 02442351 2003-09-24
i~raarnique par observateur i~atérieur
L'on peut spéculer qu'un ensemble d'autres techniques de support sont issues
de ce
que l'on pourrait la méthode d'observation par l'intérieur.
L'on produira donc un ensemble de méthodes produisant la
~°~trorotatior~ de la pale
en cours de rotation du vilebrequin. Ces méthodes sont par engrenage
intermédiaire, par engrenage talon, par engrenage cerceau e1: ainsi de suite.
En effet, cette deuxiéme méthode d'observation générera l'ensemble des
méthodes
de supports suivantes â la méthode par mono induction, â l' exception de la
méthode
par poly induction (Fig.l2.l b~. L'on a pu, plus spécij~~quement pour la
méthode
par engrenage intermédiaire, constater les diff caltés motrices.
C~bservc~tion par observateur se déplaçant circulcciremerat : observatioaa
absolue
La troisième classe comprend trés spécif quement la méthode dite par poly
inductïon. Cette méthode est aussi issue d~ l ôbservczti'~n de l'extérieure
idéale,
~~nstruite. L'on verra que cette observation est plus précise,.
29

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Cette méthode est issue d'une observation virtuelle. S'en effet, pendant le
tournage
d'une méga machine de type post rotative, l'on suppose un observateur posté
sur
une pièce en rotation de façon invariable et ~ hauteur des extrémités de la
pale.
~'elui-ci verrait que les pointes de lc~ perle exécutent strictement ales
mouvements
circulaires. Il verrait trés clairement que le mouvement, en apparence
oscillatoire
de l'extérieur, est, si lui-méme a les deux pieds sur une piéce ayant une
course
circulaire, la réalisation de parfaites rotations. L7e plus, il constaterait
que ces
rotation sont, s'il s'agit d'une machine postrotative~
a) dans le même sens que sa propre rotation
b) â une vitesse plus rapide que la sienne
c) que le nombre de révolutions circulaires des pointes des pales peut
être mis en relation avec sa propre rotation
Cette dernière observation est donc plus rigoureuse, et ne précise pas
seulement si
la pale va plus lentement ou plus rapidement que son vilebrequin, mais bien
quelle
est sa course spécifique comparative par rapport â celui-ci, et cela, au
surplus selon
ie point l'endroit spécifique des pales analysé.
En effet, comme nous l'avons déjà mentionné, ce mêr~ie observateur, s'il était
situé
au niveau des coté verrait aussi ces cereles, mais la forme résultant serait
en sens
contraire de la première, ou de façon oblique â celle-ci (Fig.l2.I c )
Deux planétaires disposés de telle maniére de réaliser leurs courses en sens
post
actif seront donc disposés sur les manetons opposés d'un vïlebrequin central,
et
soutiendront la pale. Plusieurs différences notables intervïendront dés lors
et nous
ne rappellerons que les principales qui sont n
l'on produira de cette maniére un auto blocage naturel de la
partie arriére de la pale, ce blocage annulant les rétro actions
indésirables de la premiére maniére
l'on aura une post action puissante de la partie avant de 1a pale

CA 02442351 2003-09-24
pour n'en demeurer qu'aux considérations géométrico dyna~~niques, notons les
deux
éléments majeurs suivants
a) l'on obtient une vitesse de vilebrequin relativement égale à celle
de la pale, ce qui est impossible dans les premiéres maniéres
méthodes
Z,a machine se~c~ donc de type llifoty°ice.
~ i l' on s' en tient qu' à la seule vision de 19 observateur, il faut: aj
outer que cc
mouvement circulaire de la pale n'est pas un mouvement rotationnel. Au
contraire,
celui-ci est circulaire dans son poSltlonnement, ~rr~aïs sens ~xucun
changement eau
poïnt de vu posïtïonnel.
C'est pourquoi nous nommons plus spécifiquement ce anouvemea~t, mouvement
Clok avïseé Comme le mouvemea~t des ~ïguilles d'une uorloge, le mouvement est
ci~cul~i~~e, sans pour auta~at que l 'cra~gulc~tioa~ des chies rte soit
changée. ~l s 'agit
donc d'un mouvement pla~eét~ire dont l'aspect o~°ientc~tionnel
de~raeu~e ïnchaa~gé,
ir~vcz~ic~ble pendcant la ~°otc~tio~a positionnelle, et ce, observe
pc~~° un obse~vczteu~
extérieur. f,' on notera que l' on a exposé ce mouvement aux f gares ~2 et ~3
de la
premiére partie du présent exposé. (Fil. 11.~ et 11.6 )
Z,c~cunes des conceptàons des plcenétoi~°es des machines
~ la lumiére de ces différentes observations et des difâvérentes mécaniques
auxquelles elles ont donné naissance, l' on peut confirmer que les types
d'observations plus haut répertoriêes donnent Lieu à deux classes de machïnes
31

CA 02442351 2003-09-24
1) Dans les premières, le,s excent~°iques ,pont dispo~~s au
ce~t~°e et oa~t un
a~raouvement rapide, aloa~s que la pale ~x un rr~ouvee~ct
rétr°or~otot~lent.
2) Dans les secondes, les excent~°ique~ .soa~t disposés en
p~érïphéa°ie et ont un
araouvenzent rapide, post rotatif, et la pale leur est couplée. Par ailleurs,
ces
excentriques sont couplés à un vilebrequin-maître, dont le mouvement est
plus lent, relativement équivalent à celui du systéme et de Ia pale.
Il sera maintenant plus facile de comprendre celte section, que l' on
commentera
donc plus abondamment ici.
Les précédentes observations montrent avec clarté que la conception des
machines
rotatives, issue de l'expérience a compris le mouvement de la pale comme étant
celui d'un planétaire lent et plLas volumineux , tournant sur un mouvement
circulaire rapide et plus petit .
A titre d'exemple, l'art antérieur considéra que le mouvement de la pale
triangulaire des machines post rotatives en double arc, est de deux fois plus
volumineux et lent que celui de l'excentrique central.(:fig. 13.1 a et 13.3 )
Par ailleurs , la méthode par poly induction montre au contraire que le
mouvement
des pointes de pales est celui d'un planétaire deux fois plus petit et deux
fois plus
rapide que son vilebrequïn maître. (Fig. 13.1 b et 13.4 )
C'est dîne que quelqu'un qui coure à cinq milles à l'heure sur un train qui
voyage à
cent milles à l'heure, va finale~~ent à la méme vitesse que celui qui ne fait
que
marcher, à deux milles à l'heure, le train se déplaçant: cette fois-ci à cent
trois
milles à l'heure.
Ln effet, si l'on suit attentivement la trajectoire d'un planétaire de double
grosseur
et demi de la vitesse de son excentrique naître, et qu'on la compare à la
trajectoire
d'un planétaire, de la demi de la grosseur et du double de la vitesse du
vilebrequin
maître, l' on aboutit à une figure de course similaîre.
li~Iaintenant, si l'on matérialise ces courses dans des réalisations
spécifiques de
machines rotatives, l'on obtient par exemple les deux onachines comparatives,
par
engrenage intermédiaire, et par poly induction.
Dans la première, l'excentrique maître, plus petit et rapide est au centre de
la
machine, et le planétaire, réalisé sous la forme de la pale elle-éme, est
lent, large,
32

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et en périphérie. La machine ne requiert donc que peut d'effet pour assumer
une
fonction compressive. Mais inversement, Lorsque l'action vient du planétaire,
de la
pale donc, elle suractive l' excentrique central et a un très mauvais
rendement. On la
dira machine de type C'ompres,sàve.
Inversement, dans la machine â poly induction, les excentriques périphériques
planétaires sont rapides, et Ie vilebrequin central lent. Le résultat est une
machine â
proéminence motrice, dont en revanche l' action compressive est plus ardue.
On la dira. Motrice.
Ces deux méthodes de support des piéces, issues de deux conceptions
d'observation totalement différentes, sont donc totalement diffërentes.
Mais nous pensons qu' il faille aller plus loin dans nos affirmations. Nous
voulons
en effet bien préciser que si l'on entend réaliser les machines sous leur
forme
Moteur, non seulement la méthode d'observation la plus précise et ratio elle
est
celle de l' observateur absolu et celles qui en découlent. Les méthodes de
guidages de premier degré, issues de l' observation par l' extérieur et par l'
intérieur
sont en effet invalides, puisqu' elles ne permettent que de réaliser des
mécaniques
de type Compressives.
S'i tel est le cas , L'on doit se rendre compte que la meilleure faon de
réaliser la
machine est par planétaires rapides et que , ce que l'on a longtemps pris pour
l'excentrique central, l'excentrique maitre, est en fait un excentrique
périphérique auquel l'on a réattribué cette position, alors que simultanément
l'on
octroi la p~sition de vilebrequin c~ la pale elle-mée, ~actement comme lorsque
l'on octroi au cylindre rotor des machines ~c cylindre rot~r le rôle de
vilebrequin
ou d'axe central.
D'ailleurs, les résultats sont on ne peut plus comparables. (Fig. 13.2) En
effet,
lorsque que l'on rëattribue les pièces d'un moteur standard dans une dynamique
de
moteur â cylindre rotor, l' on force le cylindre rotor a remplir le r~le de
vilebrequin.
Dés lors, Ia force n' est plus que différentielle entre ces parties et n' a
que peu
d'armement. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il apparaît que les
attributions
dynamo mécaniques dans les méthodes de soutient antérieur, ont fonctionné sans
s' en rendre compte, â partir de cette modélisation, beaucoup mieux adaptée â
la
réalisation de compresseurs.
L'on se doit donc de déduire que si l'on entend réaliser les machines
rotatives dans
leur forme compressive, les méthodes issues de L'observation intérieure ou
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CA 02442351 2003-09-24
extérieure permettront de réaliser des mécaniques plus puissantes, vers le
haut, en
disposant l'excentrique rapide au centre et en disposant l'excentrique lent,
sous la
forme de la pale en périphérïe.
Si cependant, d'on entend les produire sous forme lt~oteur, cette disposition
des
pièces est alors, à mois de correction d'encrage telles que déjà énoncées,
totalement erronée et lacunaire.
Il se passe en effet comme sï dans le domaine des moteurs à pistons, les
générations antérïeures avaïent trouvé en premier le moteur â cylindre rotor,
peu
performant, p~ur ensuite en trouver lcz con~guratïon la meïlleure, le mr~teur
standard a cylindres fixes. Dans le cas des machines rotatives, les deux
mécompréhensions de base issues des observations fautives de bases, ont
enfouies
profondément dans les conceptions sont ici mises au rancart.
~'r°emièrement, il est
clair que le mouvement maître ne peut être placé au dessus du m~uve~raent
planétaire, même si géométriquement, cela donne exactement le même résultat.
Mécaniquement le résultat est motoriquement des plus inappropriés. (Fig. 13.3)
Autres méthodes de guidage réalisées à partir de l'observation absolue.
Généralisatïon de la méthode par poly ïnductïon
Comme on l'a vu à la première partie de Ia présente, nous présentons deux
solutions techniques en lesquelles le mouvement Clokwïse de la pale de la pale
est
réalisé. Par ailleurs, nous réalïsons aussï une machine dont le mouvement du
cylindre est à contrario du celui du vilebrequin princïpal. Nous reproduisons
ici ces
figures (Fig. I1.5 et 11.6 )
La prochaine section synthétisera ces fagures à partir d.e la méthode
d'observation
par l'absolu, et les réalisera dans leur forme la plus élémentaire.
lBléthode par cylindre rotationnel /pale en ~'lokise
Comme nous l' avons montré ~. maintes reprïses dans nos travaux antérieurs, la
lacune majeure et.fondamentale dans la compréhension des machines rotatives
dans l'art antérieur est d'une certaine manière d'avoir réalisé les machines
rotatives avec les parties rapides â l'intérieur, sur lesquelles l'on a ajouté
une
partie rétro rotative lente,en périphérie, soit la pale. e plus, une autre
lacune de
ces machines aura été de réaliser celles-ci avec un encrage simple, fiace, et
centré.
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CA 02442351 2003-09-24
Toutes nos méthodes de soutient ont visé à corriger cette lacune, et à
minimiser les
défauts entraînés par celle-ci , dont les deux principaux étaient , à la fois
pour les
machines post rotatives et rétrorotatives ,
a) la vitesse insuffisante de la pale par rapport à son excentrique
b) le travail inégal de la poussée sur la pale, qui sous certaines manières de
guidage produit un effet moteur sur un coté et un effet rétrornoteur sur
l' autre, alors que par d' autres, les effets rr~oteurs et rétro moteurs se
produisent sur les cotés contraires de la pale.
Comme on l'a vu, ces défauts ont été amenuisés par la méthode de polycamation
accélérant alternativement la pale par rapport à son vilebrequin, et par la
méthode
de poly induction, qui a à la fois assuré une vitesse relative~r~ent égale du
vilebrequin et de Ia pale, et de plus, un travail positif de la pale sur toute
sa
sur~c~ce, sans action contre-gnotrice.
C'est pourquoi la prochaine réattribution prend pour point de départ la
méthode
d'observation par l'absolu, en laquelle le mouvement de la pale en Clokwise
est
simplement virtuel, pour le produire de façon réelle, comme dans les solutions
plutôt citées. (Fig. !4) De plus., dans Ia présente solution technique, nous
montrerons comment en généraliser le soutien.
Dans la présente méthode donc, nous isolerons le mouvement que l'on dira en
dynamique Clokwise, constaté virtuellement dans la méthode d' observation par
l'absolu, et comme nous Ie disions, présenté aux figure X2,93 de la première
partie
de la présente. Pour le réaliser concrètement, deux axes seront disposés
rigidement,
de préfërence, pour le départ, sur une même droite, dans Ie flanc d'une
machine.
(Fig. 15.1 ) Un troisième axe sera disposé rotativement et parallèlement à
ceux-ci,
préférablement à égale distance entre ceux-ci et sur une droite unissant ceux-
ci.
L'on doit noter que dans d'autres montages, cet axe pourra cwependant être
fxe.
Deux excentriques seront dont montés de façon rotative les deux axes
extérieurs
L' on munira ces excentriques de moyens de gouverne tels des engrenages, que
l' on
nommera engrenages d' induction. L' on unira ces engrenages entre eux par un
moyen, tel une chaîne, un engrenage cerceau couplé à leur extérieur, ou un
engrenage externe, les couplant par l' intérieur, et ce de telle manière que
ces
excentriques soient parallèles et tournent dans le méme sens. Ici l'on a
choïsi un
engrenage de couplage de type externe, monté fixement sur l'axe rotationel
central.
L'on montera par la suite la pale sur ces excentriques. L'on extrudera, bien
entendu
le centre de la pale, de telle manière de laisser passe l'axe cenïral pendant
le

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parcours du déplacement positïonnel du centre de la pale ainsi montée. Lc
mouvement de la pale sera donc cïrculaire, maïs son orientation demeurera
inchangée, tout au long de sa course positionnelle circulaire, ce système
étant
observé de l' extérieur. La pale décrira alors un mouvement spécifique que
nous
nommons mouvement Clokise, ce mouvement rappelant lc mouvement d'une
montre en lequel, en dépït du tournage des aiguilles, les chiffres demeurent
toujours
orientationnellement stables.
Toujours en conservant en tête la modélisation par l'absolue, l'on peut dire
que le
mouvement de la pale, est identique â celui d'une méthode de support par poly
induction auquel l' on aurait retranché le vilebrequïn maitre. L' on a donc
retiré du
système sa course positionnelle, pour ne conserver que sa course
orientationnelle.
Le mouvement du vilebrequin-maître a donc été totalement soustrait, dans la
premiére partie de cette redynamïsatïon.
L' on doït donc effectuer une compensation réaitributive. La machine sera dès
lors
construite de telle manière que ce mouvement retranché au vilebrequin soit
maintenant attribué et réalisé , en sens c~ntraire, pas° le cylindre .
Cette partïe,
préalablement fixe, sera donc mon seulement rotatïonnelle, maïs aussï, ce qui
est
des plus important, de surcroit à contrario. Dans la pratique, ce cylindre
pourra, en
effet être fixement rattaché à l'engrenage rëtrorotatif unissant les
engrenages
d'excentrique, et par conséquent activé par ce Iui-ci. (l~ig. 1 x.2.1)
~Jn même engrenage servira donc d'encrage aux deux partïes et au mouvement ~
contrario. De plus la parue compressive sera dans cette manïère de faire,
divisée
entre des éléments tous deux dynamiques, la pale et le cylindre. L'on aura
donc un
total de cinq éléments constitutifs, ce qui assurera â la machïne sa puissance
et sa
nature lvlotrïce.
~a poussée sur la pole est d~nc t~tale, exucteuzeut c~~e d~r~s
u stV~bso
Cette redynamisation est des plus fondamentale, puisqu'elle ne comporte plus
aucun des défauts des machines motrices rotatives conventionnelles, et puïsque
au
contraire l'on y rencontre le qualités ïmpressionnanter> suivantes:
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a) la poussée s'établit, comme dans un moteur â piston, de façon égale sur
toute la partie du la pale lors de l'explosion et de la descente
b) l'cza~gle de pression sur la pale est toujours perpendiculaire c~ celle-ci,
par
conséquent, beaucoup plus important que dans un moteur rotatif standard.
De plus, toujours au point de vue de l'angulation du couple, si l'on tient
compte de la désangulation de la bielle ~ son piston, le couple de ce pàston
C'lokwise est aussi favorable, somme toute, que celui d'un piston dans un
moteur â piston
c) le déplacement latéral de la pale, désaxera positivement la pression
rétrorotative du cylindre, ct servira de butoir à sa rotation, les forces de
celles-ci s 'ajoutant à celles de la pale par le couplage des engrenages.
d) Encore mieux réalisé que dans le moteur ~ cylindre rotor, aucune
accélération et décélération des pièces ne se retrouve, chacune des parties
tournant strictement rotativement.
e) Les parties agissent a contrario, ce qui augmente l'e~j''et moteur de la
machine.
f) Les encrages de la machine sont bien effectifs et réels, puisqu' il s' agit
des
deux axes fixes de support des engrenages et excentriques d' induction, et au
surplus de l'engrenage de cylindre, qui doit être considéré comme un
armature double , entre les excentriques de la pale et le cylindre luï-même.
La machine, en dépit de son extrême simplicité comprend le stricte nécessaire
des
éléments moteurs requis, soit ~
1 ) une pale
2) deux centres de rotation supérieurs, par chaque excentricité
3) un centre de rotation maure, celui du cylindre vilebrequin
4) un armement double, constitué des axes de support des excentriques
et de l' engrenage de cylïndre, qui est ~ la fois engrenage d' encrage
simultané de celui-ci et des engrenages d'excentrique.
) un cylindre rotationnel , couplé â l' engrenage d' encrage.
plusieurs sorties motrices sont possibles. La plus évidente est l'axe de
l'engrenage
de cylindre. Mais on peut utîliser aussi une différentiation entre structure
portante
et structure motrice.
C'e c~cs de figure réalise donc ~a notre avis, ~a tous points de vue,
l'essence même
d'une machine hybride entre une machine rotative et une machine a pistons, en
laquelle l'on retrouve des qualitës supérieurs inédite. (pig. 15.3 et 16.1) Le
37

CA 02442351 2003-09-24
mouvement maître ne peut donc qu'être sous le mouvement planétaire, et c'est
ce
que nous montrons à travers la méthode de poly induction. Par ailleurs, ce qui
est
montré par la redynamisation effectuée dans les lignes précédentes, c'est que
le
mouvement maître, s'il est attribué au cylindre et retranché au vilebrequin,
peut
demeure sous le anouvement des planétaaires, ici fixes. ~l peut donc, a la
limite lui
être juxtaposé, ce qui d'une certaine maniére est ce qu:i se passe ici. La
survitesse
des planétaires post actif à leur vilebrequin dans la méthode de poly
induction est
compensée ici par la rétrovitesse du cylindre.
Or, analysé de cette manière, la figure de dynamique par Clokwise est des plus
intéressante, puisque aucun effort rotationnel orientationnel, sur elle-même,
n'est
demandé à la pale, ce qui respecte la direction amorphique de la poussée
explosive.
La poussée est totalement vers le bas, c'est-à-dire vers les vilebrequins. A
ce stade,
l'angle d'attaque est déjà meilleur, puisque aprés un quart de tour du
vilebrequin,
dans une machine de dynamique conventionnelle, l'angle d'attaque est de cent
vingt degrés.
lais i1 y a plus, toute Ia résistance du manque de couple sur la pale est
transférée
au cylindre. Et ceci est des plus important. En effet, puisque l'on corrige
encore là
une lacune fondamentale des machines rotatives. En effet, l~ aussi comme nous
l'avons monté à maintes reprises, l'on réussit mal dans les machines standard
à
bien différencier les poussées sur la pale de telle maniére d'en tirer tous
les effets
de tournage possibles, principalement rotationalo-latéral. C'est d'ailleurs à
cette fin
que nous avons créé notre méthode à poly induction, qui stoppait la puissance
sur
une partie de la pale et la générait sur l'autre en tournage. La même chose ,
toute à
fait intéressante et pertinente se produit ici, ,mais cette fois-ci de façon
complète,
puisque même si la totalité de la pale est exposée, Ia surface du cylindre
exposée
est décentrée par rapport à son centre, et accepte un poussée rotative ,
parfaitement
rotative. lême si l'explosion demeure amorphe, dans son sens, sur le cylindre
, la
poussée en sens inverse , de l'intérieur vers l,extérieur, se traduit en une
poussée en
sens inverse, à contrario de celle de la pale, et ce par le biais de I,encrage
commun
qu,est l'engrenage de cylindre. Cette force réalise l'équivalent de la force
latérale
de la bielle, dans le moteur à pist~ns. Considérant qu' une même pale remplace
plusieurs pistons, si chaque explosion en est équivalente , l'on peut dire que
l'on a
donc lâ un moteur superpuissant, puisque les engrenages gouvernant la
rét~orotatio~ du cylia~dre so~zt couplés directement ou indirectement ~z ceux
des
vilebrequins.
Si l'on considère de plus la poussée, non seulement antirotative, mais de plus
décentrée sur le cylindre, l'on avoisine même les machines rétrorotatives.
îVVous
3~

CA 02442351 2003-09-24
montrerons plus loin, par la méthode d'observation synthétique, comment
augmenter encore ce couple, et comment réaliser l'égalité fondamentale des
poussées entre les moteurs rotatifs et les moteurs ~ pistons. (:ette
dynamisation est
donc des plus pertinentes pour la motorologie. Nous parlerons, en suppléments,
des
toutes les possibilités d' applications que rend possible un cylindre purement
rotationnel, moteur roue, génératrice, turbine extérieure.
Derniérement, l'on doit considérer, puisque c'est Ie cylindre qui a hérité du
mouvement maître que Ia locomotion de la puissance ,peut être transmise vers
l' extérieur par cet organe. L' on notera qu' alors que dans les moteurs
rotatifs
conventionnels, le vilebrequin est décommandé négativement par rapport à. sa
pale.
Ici, le cylindre réalise le méme ratio que Ie vilebrequin-maître en mécanique
poly
inductive standard, soit un tournage deux fois plus lent. Le tournage de la
sortie est
dons cette fois-ci dëcommandé en puissance et non en vitesse, ce qui confirme
un
effet Moteur dans un ratio de quatre fois supérieur sari moteur rotatifs
standard,
qui accumulent malheureusement l'énergie lente de la pale, et la forcent
rapidement vers l'extérieur. Ici l'énergie est captée rapidement et forcée
lentement,
mais non artificiellement, ce qui est une solution de beaucoup meilleure, dans
la
masure encore une fois ou l'on veut réaliser la machine sous son aspect
lVioteur.
Autres méthodes de guidage de lcs pale en Clokr~ise
Dans les prochains propos, nous montrerons encore une fois, la capacité
généralisante de nos méthodes d'induction, mettant en évidence, la nature
birotative de la machine en guidage de pale en Clokwise
'foutes les méthodes de guidage déj~. répertoriées par nous-mêmes pourront
être
utilisées pour réaliser le mouvement en Clokwise de la pale. Dans certaines
méthodes, telle par exemple celle par engrenage cerceau, l'on procédera avec
des
engrenages de supporï et d'induction d'un rapport de un pour un. d'est en
effet la
rétro rotation de la pale dans un même rapport que le vilebrequin qui la
supporte
qui assure son invariabilité orientationnelle en cours d.e rotation
positionnelle. Dans
d'autres méthodes de support, par exemple par mono induction, il faudra
dynamiser
l'engrenage de support pour réaliser le rapport de un sur un désiré. Dans tous
les
cas, il faudra réaliser un moyen de couplage rétrorotatif de l'excentrique ou
du
vilebrequin est du cylindre rotatif, par exemple par engrenages pignons tels
que
réalisé par nous-mêmes dans notre méthode par servi-transmission inversive.
L'on
trouvera, quelques exemples de mécaniques plus précises dans l'ensemble des
mécaniques â la (Fig.l7)
3~

CA 02442351 2003-09-24
~r, bïen que toutes les méthodes, sauf la méthode par mono inductïon, soïent
applicables pour réaliser la course Clokwise de la pale, la course
rétrorotative du
cylindre n'est pas encore , à ce stade assurëe . Comme on l'a vu dans la
première
méthode, l'encrage permanent des centres d'excentriques a permis de d'inverser
de
la manière la plus simple l'engrenage central et le cylïndre qui lui est fixé.
Pour le reste des inductions, l'on pourrait bien sûr, produire pour chacune,
une
petite serai transmission réversive, mais cela ajouterait nombre de pièces
ïnutiles.
En fait, si l' on a bien compris la notion de dïstrïbutïon, de même que l'
ïdée que ces
machines deviennent, comme la machine â cylindre rotor automatiquement
bïrotatïves en contrariant la rotation du cylindre et celle du vilebrequin,
l'on
comprendra qu'il faille articuler, dans le cas des machines post rotatives, le
cylindre par une induction en sens contraire de celle régulant la pale.
Couplage et contrôle ~°ét~o-rotationnel du cylindx°e des
diverses môthodes en
Cloi~wise
Un premier exemple de cet arrangement nous est founxi par la combinaison
juxtaposée de mécaniques à engrenages ïntermédiaires. Dans cette mécanique,
l'on
réglera les engrenages de support et de pale à raison de un sur un, de telle
manière
d'une part de réguler le mouvement dc pale en Clokwise.17'autre part, I'on
dédoublera l'engrenage intermédiaire, le couplant cette fois-ci vers le centre
à un
engrenage monté rotativement dans le centre de la machine et fixé à la pale.
(F'ig.
18.1)
Cette bï mécanique, ne comportera donc que deux engrenages de plus que la
mécanique par engrenage intermédiaire. elle sera simplement constituée d'une
structure dédoublée, l'une montante et l'autre descendante, comme celles due
nous
avons utilisées précédemment pour séparer l' effort porteur de l' effort
Moteur.
Ceci est très important puisque ceci vient aussi confir~.~ner la pertinence de
L'utilisation de structures étagées, déjà présentées par nous-même.
d'ensemble de ces méthode, lorsque synthétisées, vient donc p~°ouve~~
ce qui suit,
que la performance moteur d'une machine est toujou~~s récalisée
loa°sque l'on utilise
deux inductions pour contrôler les pa~°ti~s d'un machïne, que ces
inducti~n soient

CA 02442351 2003-09-24
disposées en étagement, en ju.,~tczposition ou en inversion de sens, ou par
serai
transmission. De plus ces exemples permettent de généralàser que ceci se vér~e
quelque soit la forme du cylindre, p~irnczi~°e ou corrigée, ou quelque
soit la
distribution, èa cylindre fixe ou actif.
La double mécanique en sens inverse assurera à la fois le mouvement en
Clokwise
de la pale et le mouvement circulaire du cylindre.
autre exemples
Donnons un autre exemple. L'on supposera cette fois-ci f action Clokwise de Ia
pale régulée par la méthode dite par engrenage cerceau. Nous juxtaposerons
cette
fois-ci cette méthode à celle d~.te par engrenage intermédiaire, pour ainsi
dire
descendante, puisqu'elle partàra de la pale pour contr6ler par le centre
l'orientation du cylindre. L'on contr~lera en effet la pale en mouvement
Clokwise
en réglant les engrenages de support et d'induction dans un rapport de un sur
un.
Inversement, par le coté contraire de la pale, l'on apposera un second
engrenage qui
sera couplé à un engrenage monté rotativement sur l'axe central et relié au
cylindre.
L' on verra que le résultat est le méme. (Fig. I ~. I b)
Dans un autre exemple, l'engrenage cerceau est doublé cn son centre, d'un
engrenage externe, d'oû son appellation d'engrenage cerceau intermédiaire.
L' on couplera. par la suite l' engrenage externe de l' engrenage
intermédiaire à un
engrenage d'induction de cylindre, monté rotativement dans le centre de la
machine. L'on a donc ici une structure montante par engrenage cerceau et
descendante par engrenage intermédiaire: (F'ig. IB.I c)
Dans une dernier exemple, l'on montera la pale, munie d'un engrenage interne
d'induction sur un excentrique, et comme il est impossible de réaliser un
rapport de
w sur avec un engrenage externe de support, l'on dynamisera, en rétro action
comme dans mos mécaniques à serai transmïssion, l'engrenage de support de type
externe. Encore une fois, comme dans nos mécaniques ~, serai-transmission, la
réversion sera faite avec l'aide d'un pignon, monté sur l'excentrique
principal,
couplé à engrenage d'inversion monté rotativement dans le bloc de la machine,
ce
dernier étant à son tour couplé à un engrenage d' axe, cet axe recevant
rigidement
l' engrenage de support à dynamiser. C7r cet axe sera poursuivi et l' on y
raccordera,
comme si c'était l'engrenage de support actif le cylindre de la machine.
41

CA 02442351 2003-09-24
Dans cette disposition, i'on voït bien que l'excentrique central, qui
représente le
mouvement planétaire, capte l' énergie et la transmet au cylindre, et à l'
arbre
moteur qui le support. Le cylindre remplit donc les fonctions non seulement de
cylindre, mais mécaniquement de vilebrequin-maître, ce qui assure une fois de
plus
que les éléments sont conçus et placés dans le vraï sens, à savoir les
fonctions
extérieurs sont données à la pale et les fonctïons intérieurs au vilebrequin
maître, ce
qui est contraire à toute acceptation connue, et fautives, qui ont octroyé,
d'une
certaine maniére les fonctions d'axe moteur à l'excentrique et de captation
d'énergie au maître vilebrequin, réalisé par la pale. Ces dispositions montre
que les
organisations juxtaposées d'induction sont valides et que seule, la
dispositàe~n de
l 'art antérieur , dàsposant , de faon confondue avec la pale, le vàlebrequin
maître
en périphérie est invalide , pour la réalisation de moteurs. Cette dàsposition
n'est
valide que pour° la réalisation de machine sous leur forme C~mpreseur.
Ces constatations, issues de reconnaissance des rôles des éléments à partir de
la
méthode d'observation par l'absolu, mettent en évidence l'irrëalisme de la
disposition standard, et la pertinence de celle que nous proposons. I)'
ailleurs, cette
disposition était déjà en action dans Ia forme standard de réalisation par
semi-
transmission, en laquelle nous avions souligné que l' arbre-moteur devrait
être celui
de l'engrenage dynamique, ou encore celui de l'engrenage pignon, l'excentrique
central devenant alors plus flottant, ne recevant qu'une partie de Ia
puissance,
l' autre étant réalisée par la poussée de l' engrenage d' induction sur l'
engrenage de
support dynamique. Il est fort intéressant de noter que la vitesse de
l'engrenage de
support dynamique devient alors exactement la même que celle du vilebrequin
maître dans la méthode de poly induction, ce qui prouve bien qu' il réalise
les
mêmes fonctions, et que Ia seule dynamisation de cet engrenage révèle de
totales
différences dans la conceptions initiales des machines issues d'observations
contraires. L'on notera, au surplus que l'inversion par engrE:nage pignons
peut, si
cela est nécessaire, être produite à partir à partir de doublés d'engrenages
pignons,
de telle manière de réaliser divers rapport plus subtils.
Par ailleurs, dans les dernières mécaniques, nous avons montré et réitéré que
la bi-
mécanicité , en toute manière, étagement , combinaison, juxtaposition ,
inversion
de ces machines, et ce d'autant plus si elle est réalisée à contrario,
assurait elle
aussi la nature fondamentalement nouvelle de ces machines, partant du haut ,
vers
le bas, très souvent, des planétaires au maître, réalisé par le cylindre .
(Pig. I9~
Par ailleurs, dans les derniéres mécaniques, nous avorte montré la bi-
mécanicité en
juxtaposition de ces machines, et que cette bi mécanicité assurait elle aussi
Ia
42

CA 02442351 2003-09-24
nature fondamentalement nouvelle de ces machines, partant du haut , vers le
bas,
Très souvent, des planétaires au maître, réalisé par Ie cylindre .
Machines rétrorotatives
L'on nous permettra en cours de cette exposition, un bref commentaire
rappelant
que toute réalisation pour les machines rotatives est applicable, en
produisant
cependant les inversions nécessaires, aux machines rétrorotatives. En effet,
ce qui
est vrai pour les machines post rotatives, l'est aussi, par inversion pour les
machines rétrorotatives. Dans le cas des machines rétrorotatives, donc, le
mouvement à inculquer au cylindre sera, lors d'un mouvement de pale en
Clokwise. L'on activera alors ~.e cylindre, dans le sens méme de la rotation
du
vilebrequin. f,a pale de machine triangulaire sera activée en Clokwise et
combinée
au cylindre en rotation, sa forme de même que celle du cylindre seront
parfaitement
compatible, dans la mesure oh Ie cylïndre est post actif (big. 15.2.3)
Comme dans les cas prësentés précédemment, I'on aura besoin, pour réaliser
l'entiéreté mécanique de deux inductions combinées, Ie plus souvent de façon
juxtaposées.
Observations et observation pc~r les ~centriquc~s
Nous venons de suggérer due le cylindre puisse être ~ la fois le vilebrequin
de la
machine et aimerions faire comprendre au lecteur les dessous géométriques
d'une
telle démarche.
Il sera intéressant maintenant de réaliser ~ partir de la machine a dynamique
Clokwise quelle sont les observations intérieures, extérieures, par
observation
absolue des éléments. Notamment au niveau de celle-ci, l'on verra que son
application en sera inversée et qu'elle deviendra plutôt une observation par
l' excentrique
43

CA 02442351 2003-09-24
Observation extérieure et ànt~rieure ch les rne~chine iz ~.~nce~aaique
C'lok~ise
Observation extérieure
Si l'on effectue sur les éléments de la machine une observation par
l'extérieur, l'on
voit évidemment que le caractére orientationnel de la pale a disparu, ct que
cela à
été compensé par une dynamisation du cylindre.
Observation intérieure
Deuxièmement, si l' on observe le mouvement de la pale, cette fois-ci dc l'
intérieur,
l'on voit au contraire que son action rétrorotatve par rapport à celle du
vilebrequin
a été augmentée, pour le cas des machines post rotative. I,a rétrorotation est
à ce
point rapide qu'elle est devenue égale à la rotation du vilebrequin. C'est ce
que
l'application des autres méthodes que la mé~hhode poly inductive révèle,
D'autre
part, pour ce qui est des machines rétrorotative, le contraire se produit,
puisque la
rétrorotation de la pale est cette fois-ci moins rapide, celle-ci devenant
elle aussi
égale à la rotatïon du vilebrequin.
Ce mouvement cn Clokwise égalise donc les deux classes de machines sur ce
point
de vue.
Observation synthétique et observation synthétique p~~r les excentriques
n'est pas circulaire, mais plutc~t ovale ou rectiligne, le dessin s'en
trouvera
automatiquement modif é, mais sera dés lors une figm°e de second degré.
44

CA 02442351 2003-09-24
Cette dynamisation du cylind~°e n'est pd~° conséquent pcas
simplement un
changement de degré de vitesse, mais aussi de nature, puisqu'il
compo~°te lc~
~°otation du vileb~°equin mczât~e.
~este~nda~°disation de 1 'c~tavibution des parties
duite à l'ensemble de ces solutions, il faut maintenant considérer que
certains
constructeurs de machines motrices auraient préféré, pour des raisons
techniques,
conserver à ces machines un cylindre fïxe.
Il est important de noter que ces méthodes pourraient étre généralisées au
surplus
dans la forme standard de la gr~achine, assurant ainsi, comme dans le cas des
dynamiques par serai transmission, un arbre moteur plus pu~asant. L' idée de
fond
de cette procédure consiste à prouver que les mécaniques incomplétes de l'art
antérieur ont commandé le moteur seulement sur l'excentrique planétaire,
faussement disposé au centre, alors qu'une correcte compréhensïon montre la
nécessité d'une bi orientation de ces mécaniques, l'une d'elles gouvernant le
positionnement de la pale et l'autre devant gouverner l'arbre moteur. Ceite
double
motricité répond directement du concept de double motricité déjà démontré dans
l'observation en Clokwise, la méthode de poly induction qui en découle et dans
l' ensemble de nos travaux.
Les prochaines explications montreront qu' il est possible dc réaliser ces
machines
avec cylindre fixe, simplement en les réalisant de telle maniére de conserver
de
façon virtuelle le mouvement ~lokwise, et la réattribution du r~le de
vilebrequin.
(Fig. 19.1 et 19.2
L' on préservera de façon virtuelle le mouvement Clokwise, en réalisant un
rapport
des engrenages d' induction e un pour un, reléguant à un étage différent, la
différentiation réelle entre les ratios divergents de ceux-ci, lors de
montages
primaires. Il est évident que si l'on modifie le rapport réel des engrenages,
il faudra
le réaliser de façon virtuelle. I~.ègle générale,, si l'engrenage de support
est remplacé
par un engrenage plus gros, la serai transmission sera une serai-transmission
inversive, telle que démontrée dans notre mécanique 'v serai transmission.
D'autre
part, si l'engrenage du support est modifié en le rapetissant, la mécanique la
plus
appropriée sera de type accéléro-décélérative, aussi décrite dans nos travaux
antérieurs. Par conséquent, c~mme dans la plupart des. cas, l'on devra, pour
les
réaliser dans un rapport de un sur un, augmenter la grosseur des engrenages de
support des machines post inductîves et diminuer celui des machines
rétrorotatives,
le premier type de serai transmission s'appliquera plus souvent dans Ies
machines

CA 02442351 2003-09-24
post inductives et le second type dans le machine rétrorotatives. hTotons au
surplus,
que certaines mécaniques, comme par exemple, à engrenage dynamique central,
sont déjà réalisées avec serai transmission. Il ne faudra qu'y recalibrer les
engrenages.
Dans le premier exemple, l' on réalise une machine po st inductive avec l'
aide d' une
méthode par engrenage cerceau, et ce de telle manière que les engrenages de
supporé et d' induction sont dans un rapport de un sur un, donc de même
grosseur.
Par la suite, pour rééquilibrer de façon virtuelle les rapports d'engrenages,
l'on
ajoute une partie serai transmittive à la machine de la façon suivante. L'on
couple
au vilebrequin un premier engrenage pignon, et l'on couple à l'engrenage de
support, ou à un axe lui étant rattaché, un second engrenage pignon. L' on
couple
par la suite les deux engrenage pignons à un tiers engrenage, monté de façon
rotative dans le coté de la machine et dont l' axe servira d' ancrage. (Fig.
24.1
Comme nous l'avons déjâ dit, ce mouvement assurera que l'amorphie et l'inertie
de
l'explosion se répartisse également.
Dernièrement, comme nous l'avons déjà montré dans notre travail relatif aux
montages serai transmittifs, l'on pourra se servir de l'engrenage d'inversion
ou de
réduction comme organe moteur, puisque c'est celui-cï qui rassemblera
l'ensemble
de l'énergie.
Dans un second exemple, l'on re'alise une machine de type rétrorotative, cette
fois-
ci avec une méthode par engrenage intermédiaire en laquelle l'on a disposé,
une
fois dc plus les engrenages dans un rapport de un sur un. Pour combler cette
disposition, l'on accélérera l'engrenage de support par une serai-transmission
accélérative. Comme déjà démontrée dans r~os travaux antérieurs, l'on munira
lc
vilebrequin et l'axe de l'engrenage de support d'engrenages que l'on reliera
par un
double d'engrenages de liens, disposés rotativement dans le flanc de la
machine.
Ces engrenages modifieront les vitesses de tournage des engrenages et parties
auxquelles ils sont couplés.
Mécaniquement, c' est l' engrenage pignon, ou le doublé d' engrenage de lien,
qui
récupère la totalité des eff'~~°ts de la pale, d~~es l~ ~céthode de
seani traaas~raissi~n.
Le vilebrequïn devrait donc leur être associée, quoiqu' il fawt dire que, la
système
étant en circuit fermé, toute pièce, excentrique, engrenage de support et
engrenage
de serai transmission résume cn elle les forces des pièces complémentaires, et
pourrait être utilisée comme vilebrequin.
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CA 02442351 2003-09-24
Toutes ces nouvelles conceptions bimécaniques juxtaposes sont issues de
l'observation en Clokvvise, de la méthode par poly induction qui en découle,
et des
applications tout d'abord scmi-transmitive des éléments. Toutes ces manières
restituent, non seulement la puissance totale des machine, mais aussi la
logique et
l'originalité profondes de ccllc~s~ci, perdues dans toute mono induction, que
la
poussée sur la pale est inégale et produit par conséquent des forces non
seulement
descendantes, qui doivent non seulement être contrôlées passivement, mais
restituées dans leur totalité, si :d'on veut retirer Ie maximum de ces
énergies.
Au contraire, dans toutes les mécaniques issues dc l'observation en Clo~~vise,
toute
la partie de Ia pale travaille , et ce qui apparaît , à un moment donné comme
un
couple déficient, sur l'excentrique, est, s'il est complété par Ie couple e la
partie
arrière de la pale sur sa partie motrice, un couple de haute qualité, aussi
puissant,
sinon plus que le couple des machines à pistons, mais avec de surcroît ,
toutes les
qualités d'une machine rotative, comme Ia petitesse, le petit nombre de pièces
et
ainsi de suite.
L' on notera que toute figure dc pale post ou rétro rotative peut âtre
produite en
mouvement Clokwise ( Fig.l6.2~
Nouvelle obs~~vatica~ : l 'obse~vatio~a ,synthétique
Mais, allons plus loin. I~Tous avons beaucoup parlé, jusqu'à présent de
l'observation
par l'absolu, que nous permet de mettre en valeur la rnëthode de poly
induction.
bous l' avons comparé aux méthodes d' observation, pour ainsi dire à l' ocil
nu.
Par ailleurs dans nos travaux antérieurs nous avons beaucoup parlé de Ia
nécessité,
tout autant pour les machines réirorotatives que pour les machines post
rotatives,
d'en corriger le cylindre, trop exigu pour les machines rétrorotatives et trop
obtus,
pour les machines post rotative. Nous avons de plus montré que la diminution
du
caractère obtus de la machine post rotative se transférait en couple
supplémentaire.
fer, l'apphcatlon des mécaniques par mouvement Clokvvise, réel ou virtuel, nc
réalisent pas de modifications de forme de cylindre.
Pour mieux comprendre notre propos, l' on peut donne.~r cn exemple la
construction
d'un moteur à piston, quand bïen même l'on aurait observé de façon parfaite le
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CA 02442351 2003-09-24
comportement du piston et du vilebrequin, l'on nc parviendra pas à réaliser le
meilleur moteur si l'on a pas au surplus une analyse objective du comportement
de
la bielle, nous permettant de décider dc sa grosseur, de sa longueur de sa
répartition
de poids et ainsi de suite.
I~Tous pensons que la bïelle, dans les moteurs rotatifs est représenté par le
ratio de
puissance des parties rétrorota~tives et post rotatives entre elles. La raison
de ce
raisonnement nous est donné par Ie fait que ces ratios se rréalisent ,à
travers
l'encrage, fonction dévolue à la bielle, en appui sur le piston et le
cylindre.
Jusqu'à présent, nous avons montré comment récupérer les forces rétrorotative,
mais ~aous a~'czvons pas m~nt~é dates quel rapp~rt il.f'allait lc faire. Nous
l'avons fait
dczn,~ un rappoa°t avec l '~bse~v~zti~h abs~lue9 pla~~znt pas exemple
les eng~°ea~age
d'induction de motricité dynamique dahs° usa rapport de un s~u~ avec
les cn~e~tage~
de support moteur.
Les prochains propos auront pour objet de montrer l'i~~portance e joindre les
deux précédents aspects, couple ct compression. L'on verra donc que Ia méthode
par I' absolu peut et doit, à son tour être subtilisée.
~r nous avons déjà répondu à cette question sous dans nos travaux antérieurs,
sous
l'angle de Ia compression. I'~ous avons souligné l'excés e compression des
machines post rotatives, et comment la corriger au niveau des machines, par
exemples poly inductives.
Les prochaines démonstrations montrerons Ie bien fondé dc ces corrections et
le
généraliserons en ce que nous appelons l'observation synthése, obéissante à la
compression. I3és lors, l'on pourra subtiliser les rationa de des engrenages
dans un
rapport cette f0ls-C1 non pas de un sur un parfait, mais d'un rapport tenant
aussi
compte de Ia compression.
48

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lZatios de poussée dans les machines ~ mouvement Clo7z-wise
~'~zux de comp~°ession
Par ailleurs, lorsque le mouvement Clokwise est réalisé en poly induction,
Nous
savons que Ia compression n'est pas nécessairement idéale. I,a méthode par
observation Clokwise doit dont elle aussï être subtilisée par une observation
du
taux de compression. Si cela est bien exact, il faut réalïser la mécanique de
telle
maniére de réaliser le strict nécessaire de compression, les surplus se
traduisant en
des pertes de couple. Comme dans la mécanique a dynamique Clokwise, la
modification, dans la méthode de poly induction, soit de la grosseur , soit de
position de la grosseur de l'engrenage de support, n'altère pas le mouvement
en
Clokwise virtuel des extrémités de la pale.
Dans la méthode par poly induction, l'on a déjà montré la méthode de
dynamisation par serai transmission accéléra-décélérative comme l'engrenage de
support sera plus petit, l'on devra l'accélérer (Fig.I7).
Dans un second cas de fgure, l'engrenage de support est plut~t décentré. (Fig.
23.4
I7e ce fait l'on peut produire géométriquement un rapprochement des deux
engrenages d' induction et réaliser les mêmes effets sur la course de Ia pale
et la
forme plus appropriée du cylindre. En ce cas, cet engrenage sera doublé d'un
engrenage d' induction de motricité, qui sera couplé à un engrenage de support
de
type interne, disposë de façon rigide dans le flanc de Ia machine. Cette
dynamisation de l'engrenage de support, issue de la comprëhension du point de
vue
d'observation synthétique donnée par le mouvement Clokwise apporte des
qualités
nouvelles à la machine. Outre un taux de compression idéal, l'on se rend
compte
que l' action arriére de Ia pale, sur I' excentrique antérieur, ne: produit
plus qu' un
simple blocage, comme dans la poly induction à engrenage de support f xe, mais
une force positive, qui entraîne, tout autant que la force avant le mouvement
de
l' engrenage dynamique et du ~Tilebrequin maître qui le supporte. C' est en
effet le
vilebrequin supportant cet engrenage qui devient le vilebrequin maure de Ia
machine.
En effet, l'on constatera que si l'on dispose l'engrenage e support de façon
non
centré entre les engrenages d'induction, l'on pourra rapprocher ceux-ci. Ire
cette
49

CA 02442351 2003-09-24
La réalisation plus précise encore de la méthode par observation absolue ,
tenant
compte de la compression et du ration d'effort, soit du piston et du cylindre
, soit de
la partie avant et de la partie arriére de la pale est nommé méthode
synthétique.
G'est elle qui assurera â la machine sa plus pertinente capacité motrice.
Les ratios de compression pourront par Ia suite âtre appliqués ~. toutes
machines
rotatives avec ajout de serai transmissions.
L'on voit donc que Ies observations par l'absolu et synthétique sont les
seules ~
restituer le caractére ~lloteur de ces machines.
L'on constate donc une fois de plus qu'en utilisant, d'une certaine manière
l'excentrique de la méthode de poly induction comme excentrique central, les
méthode antérieurs n'ont jamais aperçu Ie fait que le rayon de rétrorotation
de la
pale est toujours supérieure ~. celui de Ia rotation de l'excentrique et que
négligeant,
et neutralisant toujours cette force de dénotation, I'on a relégué ainsi la
puïssance de
la machine â la seule rotation de l'excentrique.

CA 02442351 2003-09-24
Cette oblitération de la vraie nature de ces~oranes machinales a
disproportionné
par conséquent les parties coynpressives pay° rapport c~ l'effort
auquel l'on a soumis
l 'excentrique central, avec tous les probléa~nes de, f °ictm~on que l
'on conncrit. ~'Fig~. 24)
Dans toutes les méthodes données par nous-mêmes aux présentes, toutes les
parties
de la pale travaillent, et le vilebrequin-maître, ou l'axe moteur qui en joue
le r~Ie,
rassemble en lui toutes ces forces, puisque l'un de ses organes de com~nnande
directe ou indirecte participe ~ la juxtaposition des guidages. Les types
d'observation permettent donc au surplus de déterminer plus adéquatement le
r~lc
de chacune des pièces d'une ~r~achine, méme si les montages peuvent en varier.
Courte récapitulation
Il sera maintenant plus facile de comprendre cette section, que l'on
commentera
donc plus abondamment ici.
Les précédentes observations montrent avec clartë que la conception des
machines
rotatives, issue de l'expérience a compris le mouvement de la pale comme étant
celui d'un planétaire lent et plus volumineux , tournant sur un n~ouveent
circulaire rapide et plus petit .
51

CA 02442351 2003-09-24
A titre d'exemple, l'art antérieur considère que le mouvement de la palc
triangulaire des machines post rotatives en double arc, est de deux fois plus
volumineux et lent que celui de l' excentrique central.
Par ailleurs, les méthodes par poly induction et par dynamique Clokwise
montrent
au contraire que le mouvement des pointes de pales est celui d'un planétaire
deux
fois plus petit et deux fois plus rapide que son excentrique maître, bien
entendu
pour le cas exemplaire d'un moteur post rotatif ~ pale de trois cotés.
L,' on voit donc comment non seulement les machines ~ poly induction standard
et
les machines â dynamique Clokdvise corrigent l'ensemble des lacunes des
machines
issues de type d' observations antérieures.
'Fout d' abord, dans tous les cas, la poussée sur la pale est acceptée dans sa
totalité,
sans contre poussées, comme on les rencontre dans les méthodes
conventionnelles.
Ea~suite, le ~°~le de vilebrequin maitre est disposé soit au centre,
sous des
excentriques, soit de façon juxtaposés, mais il m'est jamais iraterchaa~gé de
positiortde telle maniére d,être disposé e~ périphérie et conf~ndu avec lcz
pcale elle-
même, comme dans les méthodes de l art ar~t~rieur
F~r~alement ce vilebrequin maître ou tout autre organe douant lc r~le,
additionne les
énergies de ce vilebrequin et des excentriques au lieu de limiter
l'acceptation et la
transmission que de l' énergie des vilebrequins excentriques, lacunairement
disposés au centre.
,S'i l'osa compare, une fois de plus, les machistes rotatives avec le moteur ~
piston,
l 'on peut dire que le eylindre ra. 'a pas pour seul objet de coaatenir la
pression de
52

CA 02442351 2003-09-24
l'explosion. Mécaniquement, il a aussi un effet cl'arme~nent, d'appui. ~'i le
piston
était en effet laissé à l'air libre, toute poussé sur sa partie supérieure
demeurerait
sans résultat.
Si l'action verticale de la bielle lui vient de Ia poussée supérieure, son
action
latérale lui vient du cylindre, qui lui sert de butoir passif. Ire la même
manière dans
les machines rotatives de premier niveau, les engrenages de support servent de
butoir.
L'on notera donc à ce sujet, pour les machines de second niveau, en mécaniques
juxtaposées que l'armement, ou point d'appui des machines peut selon 1e cas
être
simplement l'axe sur lequel est disposé les engrenages d'inversion ou
d'accélération. C'est le cas des mécaniques par semi transmission, par
engrenage
central dynamique, par poly induction à engrenage central dynamique centré, ou
encore par engrenage intermédiaire à engrenage e support dynamique. L'organe
d'armement pourra aussï être un premier engrenage de support, comme c'est le
cas
dans les méthodes par engrenage in$ermédiaire, par engrenage cerceau, par poly
induction à engrenage de support dynamique décentré.
La première façon de réaliser une poussée sur l' entièreté de la pale, est,
comme
nous l'avons fait par la méthode Clokvaise, c'est à dire en plaçant les
engrenages de
support et d' induction dans u rapport de un sur un. De cette manière, l' on
se pise à
l'amorphie de la poussée. Cet établissement de ratio, si l'on entend réaliser
Ia
machin avec des cylindres fixe, n' est pas conforme aux ratios naturels,
assurant une
rétro rotation de la pale. L'on dynamisera donc l'engrenage des machines de
support la méthode de support de base employée.
Par conséquent, la poussée sera toujours récupérée également, même sur une
pale
en rétro rotation.
Gomme on I'a vu antërieurement, dans Pari antérieur, l'excentrique central
n'est
que la redistribution de l'excentrique périphérique issu de l'observation
absolue.
Par conséquent, il sera préférable de réaliser I' axe moteur â partir de l'
engrenage
pivot, ou accélérateur de la serni transmission.
L' on peut donc monter toutes les machines, quelles que soient leurs méthodes
de
support, en les réalisant de ces manières, plus conformes à une capacité
motrice.
53

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En aucun cas, que ce soit de façon dynamique que standard, la motorologie ne
nous offre une machine aussi parfaite que la machine à dynamique
Clokwise/cylindre rotor. Aueune machine ne rassemble en une seule, cette
machine
étant la synthèse même du post et rétro rotatif.
L'~n pourra, au surplus, dans toutes ces manières réaliser en tout ou en
partie les
engrenages avec des courbures polycamées, ce qui augmentera le degré et la
qualité des machines.
l6~léthode par engrenages intermédiaires neutralisé ou,post act fs
Comme nous l'avons vu, dans les ïnductions à seulement deux parties, la
rétrorotation de Ia pale est confondue avec sa rotation. Cette
indifférenciation force
littéralement la pale ce elle-même faire partie des organes mécahiques et, et
même à
réaliser le mouvement maure de la machine. C'est ce fui rend la machine
Compressive et a~on ~4~lotrice.
Igappelons tout d'abord que, de quelque position que soit disposé l'engrenage
intermédiaire, antérieure, postérieure, ou centré, la poussée de chaque coté
de la
pale est égale, alors que comme nous l'avons, la pale doit se déplacer
rétrorotativement. Par conséquent la poussée de l' explosion sur la pale ne
participe
pas à la rétrorotation de celle-ci. (Fig.25 a,b,c,~
De toutes ces manières, en aucun cas la poussée de l'explosion ne produit elle-
même la dérotation de l'engrenage. EIIe produit la poussée sur l'excentrique
qui
réalise, à son tour le tournage de l'engrenage. La poussée rétros~tative est
donc a~n
effet et non une partàe motrice. La machine est Compressive, puisque la plus
grande
puissance de ces actions est neutralisée. Lune première méthode , qui servïra
à tout
le moins à rendre la machine neutre, est celle d'annuler les effets et contre
effets de
l'engrenage intermédiaire en montant la machine avec une structure de deux
engrenages intermédiaires , dïsposés respectivement antérieurement et
postérieurement au système d'engrenage de support et d'induction. (Fig.25 a )
En reliant la pale, une fois de plus à une double mécanïque d' engrenages
intermédiaires, l' on verra que l' on peut faire passer la machine de machine
Compressive, à machine Neutre, puis à machine Motrïce.
54

CA 02442351 2003-09-24
IJans celte manière de faire, les contre forces d'un engrenage seront
compensées
par la poussée de l'autre et inversement. Par conséquent l'on aura toujours un
effet
de tournage égal, de quel coté ou de la pale que l' on appui.
LTn premier exemple concret de cette méthode sera réalisé lorsque l' on
produira, à
partir d' un même engrenage de support, deux inductions par engrenage
intermédiaire en position miroir l' une de l' autre de telle manière que
chacune
active l' engrenage d' induction de pale de façon anguh.ire. En d' autre
termes l' on
couplera un engrenage d'induction à un engrenage intermédiaire antérieur, et
simultanément à un engrenage intermédiaire postérieur, ces deux engrenages
étant
eux-mêmes couplés à une engrenage de support fixé rigidement dans le centre de
la
machine.
~lisi~~ du s~utient de l'eng~ene~ge d'indu~ti~~e
Comme nous l'avons déjà mentionné, le doublage de l'engrenage intermédiaire
permet de réaliser la machine sous sa forme neutre, mais non Motrice. L'action
orientationelle de la pale est passive, et n'a pas d'effet sur la poussé
positionnelle.
~5

CA 02442351 2003-09-24
toutes une poussée positive, et les parties antérieures une poussée
rétrorotative
supplémentaire permettant de saisir totalement la poussée de l'explosion.
Eien sur l'on pourra réaliser la machine différemment, et, au lieu de
retrancher des
parties inférieures du support, lorsque l'axe apparient à la pale, l'on pourra
aussi
traverser la pale avec un maneton, dont l'on fera l'élision supérieure.
L'on pourra bien entendu employer cette méthode en combinaison avec toutes
celles déj à énoncées, si par exemple l' on préfere supporter davantage l'
engrenage
de pale et la pale.
~~ticulations entrelacés
~i l'on considère les possibilités de réalisation commerciale de la dernière
méthode,
il faudra avouer que si la réalisation de petits moteurs est faisable de celte
manière,
il n'en sera pas de même pour de gros moteurs, en lesquels, l'explosion,
beaucoup
plus puissance, réaliserait un cognement sur les engrenages qui aurait tôt
fait de les
user.
Nous pensons que la meilleure solution sera la suivante. Elle consistera à
imiter la
gnéthode par poly induction et à séparer le vilebrequin de pale, équivalent
comme
nous l'avons dit, à l'excentrique, et le vilebrequin réel, celui supportant
l'engrenage
le plus imporant ici, l'engrenage intermédiaire. (Fig. 25 c)
Pour réaliser ce type de machine, l'on montera la pale sur son maneton, et on
la
munira d'un engrenage d'induction de type externe. Ainsi montée, la puissance
de
l' explosion sera bien assise, sans élision, sur le maneton et son coussinet.
L'on réalisera par la suite un second vilebrequin, qui jouera préfërablement
le rôle
de vilebrequin maître. L' on installera sur ce vilebrequin, préférablement à
deux
manchons, deux engrenages intermédiaires, liant de chaque coté, engrenage de
support et engrenage d' induction. Les qualités de ce t3rpe de montage sont
for
intéressantes. L'on notera que l'on pourrait agir avec un seul engrenage
intermédiaire postérieur, en réalisant un système de rétention des deux
vilebrequins
ensembles, leur assurant une indépendance, simplement relative, suffisante
pour
que les engrenages d' induction et intermédiaire soient en ~p~uis réel
Les réalisations de ce type de montage seront fort intéressantes. L'on
réalisera en
effet la machine dans la substance l~iotrice.
56

CA 02442351 2003-09-24
En effet, l' on peut constater que ce type de mécanique imite la poussée des
machines à pistons, et cela de la façon suivante. Lors de l'explosion, la pale
reçoit
une poussée vers le bas, et à ce moment son support est assuré maj
oritairement par
le maneton, les deux engrenages étant de chaque coté. Puis au cours de la
descente,
comme les engrenages intermédiaires sont disposés sur un vilebrequin
indépendant,
la poussée sur la pale se transférera non seulement au maneton central, maïs
aussi
dans un angle appréciable à l'engrenage intermédiaire postérieur. La pale aura
donc, similairement à ce qui se passe dans un moteur à piston, au surplus de
son
action verticale descendant une action latérale profitable. Comme les
engrenages
ne sont appuyés avec effort qu'aprés l'explosion, l'usure en sera minimale.
Notes spécifiques à l'engrenage cet~ce~u
Bien qu'avec la méthode par engrenages pol.ycamés, la méthode par engrenage
cerceau soit la seule à pouvoir réaliser, avec une seule induction , l'
acceptation de
la force rotationnelle de la pale, l'on peut améliorer cette méthode en
désaxant le
point de couple de cet engrenage aux engrenages de support et d'induction.
Pour ce
faire l'on introduit simplement un troisième engrenage, que l'on dira
engrenage
tenseur, ou de désaxation qui permettra de rapprocher et d'aac~guler ponts de
couplage de ceux-ci à l' engrenage cerceau. (Fig.26)
En effet, l'on verra que de cette manière, que non seulement l'effet
rétrorotatif est
amélioré, mais que de plus l' effet de contre poussée est transformé en
poussée
directe sur le vilebrequin.
L'on notera que plusieurs autres doubles d' induction sont possibles et qu' il
n'apparaît pas nécessaire de tous le identifier ici, la structure de chacun
demeurant
toujours celle que nous avons décrit de façon générale plus dans cet exposé.
57

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Support excentrique et eng~en~ges polycexmés.
lVléthode pc~~° poly maneton ct hi pistou laté~°czl.
Ielous avons montré, par la méthode par cylïndre rotor rotatif, que l' on
pouvait
amenuisé le probléme de la réception amorphe orientationellement de
l'explosion
par la pale, en retranchant de celle-ci une certaine surface de matériel, pour
la
remplacer par des pistons dont on pouvait au surplus désynchroniser le temps
de
montée finale, de talle maniére de retrancher le temps mort de la machine.
Dans la présente solution technique, l' on joue plutôt sur l' idée que si la
pale est
construite, comme précédemment en deux parties, chacune d'elles étant reliée a
un
maneton différent du vilebrequin, l'on pourra plutôt cE;tte fois-ci faire
travailler le
système dans son sens latéral pour en tirer les bénéfices attendus d'une
poussée
correcte. En effet , par un usage latéral des poly manetons, 1"on visera â
faire varier
la longueur réelle des cotés par rapport au centre, et par conséquent
construire
géométriquement, par des longueurs de cotés variables, une déconstruction
systémique orientationnelle intéressante.
Dans la pratique, il s' agira, comme précédemment, de monter la machine avec
un
poly maneton, d' un d' eux, préférablement le recevant la pale maître, et l'
autre, un
excentrique inférieur, recevant la pale secondaire. (Fig.27) La pale maître
est alors
construïte de telle maniére de pouvoir recevoir de façon coulissante
latéralement la
pale secondaire. Quant â la pale secondaire, en plus d' âtre rr~ontée de façon
coulissante â la premiére, elle sera munie d'une coulisse verticale, ~.
laquelle elle
sera reliée au maneton secondaire. L'on notera que la coulisse pourra être
remplacé
par un rattachement par bielle.
La logique de cet arrangement sera ~. l' effet que la pale maître réalisera l'
effort en
hauteur, réalisant par conséquent une compression intéressante, même pour un
moteur triangulaire, et la pale secondaire réalisera un effet latéral. La
course des
extrémités de la pale secondaire sera dés l'équivalente à la courbure attendue
du
cylindre, qui sera bi rotative. hors de la descente, l'entrée profonde dans
Ies
encoignures de la maître pale ne sera pas réalisée par la pale secondaire, qui
se
déplacera latéralement du coté de la poussée , produisant encore une fois le
déséquilibre et la déconstruction orientationnelle nécessaire ~, une puissance
action
motrice.
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Lc~ méthode par poly vileba~e~zc~n cc contrc~r°io
Comme nous l'avons abondamment montré depuis le début de nos travaux, des
différences fondamentales sont â noter entre les machines post et rétro
rotatives.
Fout d' abord au niveau géométrique, comme l' a montré é~Vankle, les rapports
des
cotés des pales et des cylindres sont contraires pour les deux catégories de
machines.
Ces différences géométriques se réalisent simultanément ~ des différences
mécaniques importantes. Les unes, les machines rétrorotatives, ont une
déconstruction systémique très rapide, mais en revanche, une compression en
dessous des seuils nécessaires de compression. Mors que les autres, les
machines
post rotatmes, ont une bonne compression, voire une surcompression, mais n'ont
que peu de couple.
De ces constatations l' on peut déduire l' idée suivante qui si les machines
post
rotatives peuvent se suffire de ce manque de couple, qui ne leur empêchent pas
d'être réalisées, quoique avec un rendement faible, sous formes de moteurs et
compresseurs, les machines rétro rotatives, pour leur part, ne peuvent se
suffire de
leur manque de compression.
C' est pourquoi , comme on l' ~. vu, régle générale , les machines
a~ét~oa°otc~tive~,
doivent nécessairement être transmuées en machines birotatives, â proéminence
rétrorotative, pour atteindre un seuil de compression leur pe~~nettant d'âtre
réalisées
concrétement.
L'on note donc que, même dans leur réalisation en Clokwise , ces machines
conservent leur même manque de compression. L'on notera de plus une différence
fondamentale supplémentaire , qui consiste ~. remarquer que lorsque réalisées
de la
sorte , le mouvement du cylindre par rapport ~. celui de la pale, par
opposition â
celui d'une machine post rotative, n'est par en ses opposé, mais dans le même
sens.
Ce manque de compression, même dans la dynamique en Clokwise, nous oblige â
réaliser une correction , ici sous la forme d'une induction supplémentaire que
l'on
réalisera avec une méthode de poly vilebrequin â contrario. !~F'ig.28 , et 29)
Dans cet arrangement, la pale est montée par une prerniére induction, de
préférence
en poly induction de telle manière de réaliser un mouvement Clokwise.
L'engrenage de support dynamique et inversé, sera relié ~, un excentrique
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CA 02442351 2003-09-24
supportant le cylindre. Dès lors les excentriques poly inductif de la pale,
(ou son
seul excentrique, si celle-ci est montée avec une mono induction), tourneront
en
sens contraire de l'excentrique du cylindre. ~e cylindre sera par ailleurs
commandé
par une induction, parmi a liste des inductions de premier degré. Par exemple,
il
sera muni d'un engrenage d'induction de type interne, couplé à un engrenage de
support de type externe disposé dans le coté du bloc.
De cette manière, l' on réalise le mouvement ~, contrarï~, non pas des aspects
rotationnels des parties compressives, pales et cylindre, mais de leur aspect
positionnels, c'est-à-dire de leurs vilebrequins respectifs. La bimécanicité
de la
machine sera assurée, cette fois-ci non pas par des inductions étagées,
juxtaposées,
entrelacés, mais bien inversées.
Le fonctionnement de la machine sera assez similaire à celui. de la mée
machine
avec un cylindre purement rotationnel. Mais ici le cylindre la course du
centre du
cylindre est circulaire. Par conséquent, à travers sa course orientationnelle
inchangée, le centre du cylindre se rapproche et s' éloigne sïmultanément des
centres de rotation des excentriques de la pale, avec pour conséquent ce que
lors le
la compression, le cylindre en est éloigné, se rapprochant ainsi de la pale,
et lors du
passage dans l'encoignure, celui-ci passe en positionnement opposé, laissant
la pale
passer plus facilement avec un moindre enfoncement d' encoignure, ce qui
conservera la compression.
Le résultat est à la fois une fore compression et une bonne détente, en double
des
vilebrequins en contrario. L' on notera que dans ce cas de figure, ee ne sont
pas les
parties, cylindre et pale qui voyagent, co e dans le cas des machines post
rotatives mais les vilebrequins.
~~pertori~tion finale
L'on peut donc à présent, réitérer la répertoriation de l'ensemble des
solutions
relatives à la poussée de la façon suivantem
d) par engrenages polycamées ( modifie aussi le cylindre )
e) par serai tranmission généralisée, inversives ou accéléro décélérative '~
f) Par bi induction, portante-motrice
g) Par poly induction étagée ( modifie aussi le cylindre ) ~'
h) Par poly maneton (bipiston vertical) ( modif e le piston) '~
i) Par polymaneton ( bi-piston latéral) ( modif e le piston)

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j) par poly induction ~
k) Par dynamique Clokwise ~'
1) Par IW al induction, interne, externe
m} Par engrenage central dynamique ~
n) Par poly vilebrequin ( modifie aussi le cylindre ) '~
o) Par engrenage ceB°ceau décentré
Note : les méthodes marquées d'un * ont été montrées en première partie.
'poutes ces machines pourront â divers degrés rivaliser avec la poussée des
moteurs
~, pistons. Si l'on ajoute ~ cela les facteurs tels l'économie d'encombrement,
l' économie de poids, de valves, d' accélërations décélérations accentuées des
moteurs ~ pistons, il est probable et souhaitable que l'une de ces manières
pourra
permettre des réalisations intéz°essantes â ces sujets. (Fig. 29)
~.Jne deuxième répertoriation doit aussi être faite, qui établira quel organe
sera
l' organe privilégié, dans chaque induction pour j puer le r~le d' organe
maître. L' on
peut réaliser cette détermination en déterminant le type de bi induction qui
sera
réalisée. Les principaux cas de figure seront les suivants
a) lors de la réalisation standard, avec mono induction par engrenage
cerceau, ou par engrenage polycamé, ou les eux à la, fois, l' excentrique
central sera le vilebrequin
b) lors de la réalisation par poly induction standard, le vilebrequin sera le
vilebrequin maîire
c) lors de la réalisation de la machine avec un encrage f xe et une induction
montante, portante, cette induction servant d' ancrage ~ une induction
descendante, le vilebrequin sera l' engrenage l' axe rattaché ~ l' axe
d'induction de motricité
d) lors de la réalisation de la machine avec un encrage fixe et des inductions
en étagement, le vilebrequin sera le vilebrequin central
e) lors de la réalisation par serai transmission de la machine, avec axe
d'encrage fixe, le vilebrequin pourra âtre réalisé par raccord â l'un ou
l' autre des éléments, engrenages support dynamique , engrenage de
l,excentrique , engrenage pignon , le système étant en circuit fermé
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~'~lSl~lyl~ plli°ile
Les ~éatt~ibutio~s et ~edistr-°ibutions mécc~~ic~ues est
gé~zé~°c~le de p~ednic~° et de
secoa~d degré
Dans l' ensemble de nos travaux relatifs aux machines motrices, nous avons,
pour
les machines rotatives, montré les diverses spécifications subtilisations de
ces
machines en prenant pour acquis le plus souvent que la disposition des
relations
standard des éléments entre eux était unique. Nous avons en effet supposé que
le
cylindre de ces machines était f xe, que la pale de ces machines était non
seulement
toujours en mouvement, mais en double, et triple mouvement. ~r, la technique
d'observation par double observateur circulaire nous aura permis de disséquer
le
mouvement de la pale en un mouvement de circonférence-maître, et un mouvement
en Clokwisc. L'on a donc montré que l'on pouvait réaliser ces mouvements de
faon étagé par la méthode de poly induction, mais aussi de façon juxtaposée
par
dynamique Clokwise.
La dernières sections montrent donc que les prémisses mécaniques dynamico
géométrique des machines rotatives, ne peuvent, comme pour les machines ~.
pistons, en aucun cas définis de fczçon~nczle, et que l'on peut au contraire
proposer
plusieurs possibilités de décomposition et de recomposition dynamiques de ces
machines, qui non seulement modifieront leur apparence, mais surtout Leur
nature
et leurs capacités motrices et compressives.
Les prochains propos auront donc pour objet de montrer que l'on peut
généralisé le
travail de dëcomposition et de recomposition des géc~métries et des dynamiques
pour les machines rotatives. La prochaine section montrera qu'il y a plusieurs
types
de réattribution et de redistribution possibles des dynamiques des parties de
la
machine et que ces dynamiques et redistribution ont des effets majeurs sur le
développement de puissance de ou par celle~ci
L'on montrera en effet que l'on peut réaliser ces machines de telle manière
que par
exemple les parties fixes deviennent actives alors que d' autres parties
préalablement actives pourront devenir fixes. L'on montrera aussi que
certaines
parties préalablement en double action rotative, pourront ne se voir attribuer
qu'une
seule action rotative, ou encore une action rotative réduite, et ainsi de
suite.
62

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Nous montrerons aussi dans ccite section que par la généralisation les
distributions
des éléments, l 'on crée des machines dont l 'effort sera totalement
différent, que
l'on pourra dïfférencier et classer selon qu'elles sont f or~cpressives,
Neutre, ou
Motrices,
Préambule explicatif : exemple préalable à partir des distributions de
~aaachines a
pistons
Pour mieux comprendre la présente section, l'on pourra mettre en comparaison
dynamico géométrique les trois moteurs de type à piston suivants, soit le
moteur
standard, le moteur orbital, et le motcur à cylindre rotor, à poly maneton, à
cylindre
rotor poly inductif (Fig.30)
Si l'on analyse comparativement ces trois principaux types de moteurs, en
comparant les emplacements et mouvements spécii~qucs des principales piéces de
motricité et de compression, l'on peut dégager les relations suivantes
a) Le moteur standard posséda
1 ) un ensemble de cylindres mécaniquement ~ïxes et
géométriquement alignées
2) un vilebrequin monté rotativemcnt, dont les portées sont
diversement alignées
b) Le m~teur ~rbital réalisc la distribution géoméirico mécanique
suivante:
1 ) un ensemblc de cylindres mécaniquement fixes et
géométriquement diversement alignés
2 ) un vilebrequin avec une seule portée commune
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CA 02442351 2003-09-24
c) Le moteur à cylindre rotor réalise la distribution géométrico mécanique
suivante:
1 ) un vilebrequin fixe , consistant en un axe f xe excentrique
2) un cylindre rotatif, dans lequel sont insérés plusieurs cylindres
alignés de façon diverses.
d) Le moteur à poly manetons redistribue deux pistons pour un seul
cylindre, chacun d' eux étant rattachés à un maneton en même sens ou
en cadran opposé
Le moteur à cylindre rotor polyinductif réalise, sur deux manetons le
soutien d'un piston et le soutient d'un cylindre poly inductif
L'on voit bien que la disposition géométrique et la dynamisation mécanique des
éléments forment des moteurs fort différents, non seulement au niveau de Leur
forme, de leur dynamique, mais aussi au niveau âe leur puissa~eee.
En même temps, cependant, l'on voit que ces machines ont toutes des
composantes
souches équivalentes. EIIes possèdent toutes un mouvement rotationnel et un
mouvement rectiligne, et une partie passive. Dans les deux premiers cas, le
mouvement rotationnel est octroyé au vilebrequin, et dans le dernier, il est
octroyé
au cylindre, et aux bielles et pistons.
Mais ces distributions différentes ne sont pas que géométriques ou dynamiques.
EIIes sont aussi très importantes mécaniquement. En effet, alors que ces
attributions
dynamiques de a et de b n'ont que peu de différences sur la mécanique et la
force
motrice, Ia troisième dynamisation elle, apporte des différences fondamentales
en
modifiant les paramètres de la machine. Celle-ci devient en effet beaucoup
plus
puissante en compression, mais d'autant plus faible en rriot~risation. Nous
montrerons plus loin que les capacités compressives des machines rotatives, et
plus
particulièrement post rotatives, peuvent, par des redynamisations pertinentes
être
transformées en qualités motrices.
Quant aux machines motrices à poly maneton à cylindre fixe, l' on peut se
rendre
compte que si les manetons sont à des hauteurs différentes d'un même manchon,
la
machine est hautement compressive , entre Ies pistons, alors que si les
manetons
sont sïtuées dans des cadrans opposés, la puissance est Motrice.
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CA 02442351 2003-09-24
Il est des plus important de bien réaliser, donc, que les machines varient de
nature,
selon le type de distribution géométrico-dynamique des éléments choisie,
passant
de la forme neutre , à la forme compressive, ou à la forme Moteur dans leur
forme
Moteur.
éatt~ibutions géomét~°ico d~ync~rnlq~es des ~nacines rotatives en
gé~aér~zl
Ire la même manière que pour les moteurs à piston, et tel qu'on l'a réalisé
pour les
machines à dynamique Clokwise, l'on peut recomposer de diverses manières les
machines rotatives.
Comme pour les machines à pistons, de nouvelles attributions et
redistributions
géométrico mécaniques pourront être réalisées après av~ir bien ident~er les
posàtions géométriques de chaque élément de ces machines et leurs foncti~ns
dynamiques, dans leur forme standard.
Cette méthode est aussi issue de l'observation absolue est certes plus
précise, et
âlans la mesure ou l'on entend réaliser les réattributions et redistributions
sous la
forme moteur, il nous paraît pertinent d' en répertorier les éléments.
Par elle
a) l' on obtient une vitesse de vilebrequin relativement égale à celle de
la pale, ce qui est impossible dans les premières manières
b) l' on obtiendra, considéré de l'observatioh â partir du vilebrequin,
un mouvement de pale en Clokwise de la pale, original et unique à
cette méthode.
La méthode d'observation, et par la suite de découpage, par l'absolu, est la
seule
méthode pertinente, du point de vue Moteur. Elle permet de comprendre a) qu'il
doit nécessairement y avoir quatre parties créant la motricité, comme dans le
moteur à piston, un piston, une bielle, un vilebrequin, et un armement.
b) et que la partie motrice supérieure doit être plus rapide que la partie
inférieure
que la partie inférieure. L'observation par l'absolu reconnaît donc les pièces
motrices minimales suivantes, qu'elles soient placées en étagement, en
entrelacement, en juxtaposition, en succession :
- une partie compressive la pale et le cylindre
- une partïe rotative lente, en mouvement lent principal

CA 02442351 2003-09-24
une partie rotative en mouvement rapide secondaire
un armement
Les réattributions et redistribution issues de ce découpage mécanique sera
fort
pertinente, puisque l'on aura toujours Ie nombre minimal d'éléments moteur
constitutifs.
Du point de vue géométrico dynamique, les deux prerniéres méthodes sont
identiques entre elles. Elles se composent la machine trois éléments
constitutifs
seulement
d'une partie compressive : le cylindre la pale (confondue avec
le vilebrequin-maître)
d'une partie post rotationnelle rapide : I'excentrique central
d'un armement fixe et centré
L' on a par conséquent seulement deuac centres de rotation et une partie fixe.
L'on montera en effet que les excentriques central des deux premières méthodes
sont en fait les excentriques planétaires de la méthode par poly induction,
que l 'o~
a disposé de façon forcée au centre, et que le mouvement de la pale gros et
lent
rétroactivement, est celui du vilebrequih maïtre de la méthode poly inductive.
glu de cet angle, il deviendra évident que la lacune principale des machines
rotatives, en est d'abord une d'interprétation des parties, se réalisant
ensuite de
façon inverse dans irréaliste dans la conception mécanique inversée. L'~n
montrera plus abondamment que l'on a d'abord réalisé les machines rotatives
comme si l'on avait tout d'abord voulu les réaliser à la manière de la machine
à
cylindre rotor à pistons. Ce_ f'r~isant, l'on a ïnversé les éléments de
rotation, et
l'on a diminué, sinon détruit les éléments moteurs.
L'on montrera que l'on a agit en effet comme si l'on avait plut~t l'intention
de
réaliser une machine de forme compresseur
Réattribution de l' art antérieur ( Wankle)
Dans cet ordre d' idée, l' on comprend mieux que l' art antérieur ne comprenne
que
peu de redynamisations, puisque deux seules réattributions sont possibles,
soit selle
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Par double axe fixe , et celle far cylindre rotor/pale fixe. Les possibilités
de
permutation sont en effet limitées. L'on peut retrouver la première de celles-
ci
chez Wankle, que l'on commentera ici brièvement, avant de dresser un lexique
plus
général de celles-ci.
Pour les fins de la présente répertoriation des dynamisations possibles, on
les
nommera de façon classificatoire de la façon suivante ë P'ar double parties
rotati~nnelles décentrées en cylindre unique ou c~ double cylindres
Dans la première redistribution, il s'agit de soustraire totalement la vitesse
du
vilebrequin, et par conséquent la vitesse positionne) de la pale. D'un point
de vue
pratique, le vilebrequin sera remplacé par deux axes, jouant respectivement le
rôle
de Taxe central et le maneton, mais cette fois-ci fixes. (Fig. :31 a)
La vitesse post active du vilebrequin en relation avec l.e cylindre est donc
totalement annulée. Cette action sera accomplie par le cylindre action du
cylindre.
Les deux parties voyageront dans le même sens, ce qui conservera la machine
dans
son strict aspect Compressif
Le cylindre et la pale auront donc dans ce montage de s owvements strictement
rétrorotatifs rotationnels, et par conséquent dans le mê~rae sens. Cette
figuration
respectera les courbures primaires des piéces et les éloignements et
rapprochements de parties se ~éront â raison d'une fois par tour. ~JVankle
propose
pour cette dynamisation deux méthodes d'entraînement des parties, soit par
double
engrenage interne-externe , ou par engrenage intermédiaire . La di~culté
motrice
d'une telle distribution, lorsque réalisée par les moyens de
~,rouve~°ne de ankle, est
l 'inaptitude ~ déséquilibrer la poussée sur la pale, de telle maniére de
pr~duire une
action m~trice, ce qui rend la machine simplement c~mpressive
I~Tous ajouterons aux présentes les méthodes par entraînement en miroir, par
engrenage cerceau , par draine , par engrenage interne juxtaposés , par
engrenage
internes étagés , qui seront plus précisément commentés dans la suite des
présentes
(Fig. 32)
Par ailleurs, ce qui semble être une seconde distributïon suggérée par VVankle
n' en
est pas une. (Fig. 31b) En effet, il n'y a pas de redistribution réelle des
éléments
entre eux dans cette méthode, maïs simplement une distribu~:ion générale
rotationelle égale de tous les éléments. Celte méthode n'apporte donc que peu.
Wankle demeure prisonnier de sa grille d'observation et de la double
rotativité des
éléments.
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CA 02442351 2003-09-24
En effet, dans cette figure, tous les éléments, le vilebrequin et la pale,
l'encrage, le
cylindre sont suractivés e~c~cteynent dans les mémes proportions, sans aucun
changement de rapport. L'on agit exactement comme si l'on tournait un moteur
sur lui-même, sans changer aucun élément, ou encore, comme si pendant le
tournage, l'on changeait soi-même simplement de perspectïve. En dépit des
apparences donc, il n'y aucune modification ou appor°t de nature par
cette
dynamisation, puisqu'il s'agit d'un dynamisation de l'enserr~ble, Il ne s'agit
donc
pas lâ d'un dynamisation. Il s'agit la d'une transposition sans aucune
altération,
avec aucun développement. 11 se passe en effet comme si pendant le tournage
intérieur d'un moteur par exemple ~. piston, l'on avait tourné celui-ci sur
lui-même.
L'on sent bien que VVanl~le avait eu une intuition du coté de la dynamique des
éléments, mais I' appareillage conceptuel dont il disposait ne lui à pas
permis de la
fractïonner autrement que dans la. premiére méthode.
De plus, l' inventeur ne montre pas outre mesure les mécaniques susceptibles
de
réaliser adéquatement cette procédure. En effet, l' inventeur ne présente
aucune
méthode de contrôle de rotation du cylindre, dans le même sens. Pourtant, co e
nus le voyons ~ maintes reprises, des méthodes de contr~le différentes
produiraient
des rendement forts différents.
L'on ne retrouve donc à proprement par qu'une seule réattribution chez ~Yankle
Bréve conclusion
Fous montrerons ultérieurement et plus précisément les différentiation
importantes
~ établir relativement aux capacités Compressives, IoTeutres, et Motrices des
machines rotatives en particulier.
IZ est simplement important de spéc~er ici que la redistribution de Wankle a
étés
du point de vue d'une amélioration de la motricité, pr,~duite sans aucun
changement de nature relativement c'x celle-ci. En effet, il est important de
constater
que la seule redistribution trotcvée a plut~t augmenté la puissance
compressive de
la machine au détriment de sa qualité motrice, qui non seulement n'a pc~s~ été
améliorée, mais a même été diminuée.
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Méthodes de réattri~utio~ et redistrzbutio~s su~~érés ceux présentes
Préalable
Bien entendu, la présente section de l'invention a pour de répertorier de
façon
exacte, complète et synthétique l'ensemble des réattributions et
redistributions
possibles pour ce type de machines motrices.
lNlais, comme nous l'avons fait depuis le début de nos travaux à ce sujet,
nous
avons l'intention, même si les machines s'appliquent tout autant aux pompes
qu' aux moteurs, de continuer de privilégie~° les distribuai~~as qui
ayreéli~re~°ont plus
précisément les aspects naoteu;~s, de méme que celles qui amélioreront les
possibilités de réalisations de ~a machines. De même au point de vus
conceptuel,
nous avons l'intention d'appuyer plus prècisément sur les types de
redistributions
qui, comme on le montrera, changent en l'amèliorant la nature même des
machines.
Les changements de nature des machynes identifiés 1Cl seront non seulement
ceux
qui affecteront leur nature simplement rotative, faisant passer, comme on le
verra
certaines machines de type rètro rotatives, à des types de machines post
rotatives,
ou bi rotatives, ruais aussi des changement qui feront passer les machines de
machines plus Compressives, à machines Neutres ou I'~otrices.
Finalement, certaines redynamisations modifieront totalement les idées
antèrieures
en lesquelles l'action du piston est toujours poly inductive.
Pour ces raisons, avant d'entamer plus spécifiquement cette section, nous
compléterons de façon plus approfondie le comparatif avec .des redistributions
plus
spécifiques à des moteurs à pistons.
Distinctions
Pour les fins de la présente divulgation, nous distinguons les termes
réattrïbution et
redistributions de la façon suivante. L' on dira qu' un rèattribution sera la
recomposition de la machine de telle manière que les permutations relatives
aux
qualités mécaniques ou motrices de la machine soient réalisèe sans qu'il n'y
aucune
fragmentation ou addition dynamique ou mécanique des parties. Dans une
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CA 02442351 2003-09-24
réattribution l'on réattribuera simplement les r~les des parties. l'ar
exemple, comme
on le montrera dans la réattribution par cylindre rotor, Ie cylindre deviendra
planétaire et la pale fixe, d'où son appellation de pale butoir.
Far ailleurs l' on parlera de redistribution lorsque les parues de la
machines,
dymamiques ou mécaniques seront soit subdivisées, ou encore, soit qu'elles
recevront des parties additionelles. L'on pourra donc parler de
redistributïons
dynamiques, ou mécaniques, par exemple d'encrage ou de vilebrequin.
redistributions d'encrages
L' on parlera de redistribution d' encrage, non seulement lorsque l' encrage,
comme
on l'a déjà vu sera dynamique, mais aussi lorsqu'il sera soit dédoublé, ou
encore
lorsqu'il servira à deux inductions différentes. C'est ce qui se passe
notamment
Dans la machine à Mouvment Clokwise, puïsque l'encrage est dédoublé, et sera
deux parties. En effet, les encrages de cette machine sont les axes fixes des
excentriques supérieurs, et l' engrenage de lien des deux inductions.
redistrïbutions dynarnïques
L' on parlera de redistributions dynamiques lorsque l' on retranchera à la
dynamïque
d'un élément une partie seulement de sa dynamique pour la réattribuer
compensatoirement à une autre. D'une autre manière, l'on pourra aussi à une
partie
dynamique une certaine valeu~° mécanique et la retrancher
compensatoirement à
une autre. L'on doit noter au surplus que ceci est toujours conditionnel au
point de
vue dans la dynamique Clokwise, par exemple, vu de l' extérieur l' on a stoppé
Ie
mouvement rotationnel de la pale. Vu de l' intérieur, l' on a augmenté la
rétrorotation de la pale. Vu de I' observation absolue, I' on a r etranché Ie
mouvement
du vilebrequin maître.
En résumé donc, les dynamiques en Clokwise sont des distributions dynamiques.
Le mouvement rétrorotationel de Ia a été accélëré, et, iI a par conséquent
fallu
soustraire pour ainsi dire, une certaine valeur à celui-ci en rétroactivant Ie
cylindre.
Redistrïbution de géométrique du vïleb~equin
Comme nous l' avons montré précédemment au niveau dynamique, l' on peut non
seulement attribuer différemment certains aspects dynamiques de la machine.
Dans
Ia présente section, l'on montrera que I'on peut aussi non pas simplement
attribuer

CA 02442351 2003-09-24
différemment les fonctions du vilebrequin, mais au surplus les
clisty°ibue~
différemment.
C'est ainsi que, comme pour la dynamique, l'on divisera les fonctions du
vilebrequin, agissant ainsi en double vilebrequin, une partie étant attribuée
~.
cylindre rotor et l'autre ~. la pale. Cette redistribution produira les même
résultats
que si l'on avait eu une longueur de vilebrequin variable, et par conséquent
un
course positionnelle de la pale ou du cylindre rotor non réguliére
géométriquement
ou dynamiquement , ce qui est l' essence même des machines birotative. Encore
une
fois, pour mieux comprendre Ia logique de la présente section, l' on se
servira tout
d' abord d' exemples réalisés avec pistons et cylindre rotor.
Comme nous l'avons déjà montré , â l'ajout de l'art antérieur, I'on peut
fabriquer
un piston â insérer de façon coulissante dans un cylindre de telle maniére que
ce
piston soit Iui-même muni, en son intérieur, d'un cylindre , lequel cylindre
recevra
un piston secondaire . L'on peut ensuite relier ces deux pistons â deux
manetons
différents d'un même vilebrequin. Les deux cas de figures principaux seront
lorsque les manetons de ce vilebrequin seront dans le même cadran, et
inversement
lorsqu'ils seront situés dans des cadrans contraire. L)ans le premier cas, de
figure,
du même inventeur, la portée plus longue du piston inférieu~° Iui
assurera un
voyagement lui permettant de rattraper â la montée le piston supérieur et, ~
la
descente, de s'en éloigner. Co~~nme on peut le constater, si l'on produit une
explosion entre Ies deux pistons, il y aura sur l'un une poussée
contradictoire qui
abaissera fortement Ia capacité d'effort de la machine. Cependant, si I'on
compresse des gaz entre ces parties, la puissance nécessaire au vilebrequin
sera
minimisée.
Dans le second cas, connu de l'art antérieur pour la réalisation
d'alimentation de
moteurs deux temps, les manetons sont disposés ~. contrario l' un de l' autre,
avec
pour résultat que la montée de l'un des pistons correspondra à la descente de
l' autre et inversement. Par conséquent, si 1' on produit une explosion entre
ces
parues, l'effort est moteur par opposition à neutre ou compresseur.
C'es notions sont trés importantes puisqu'elles permettent de montrer, d'une
deuxiéme maniére que certains montages des machines sont des montages
~'ompressifs, d'autres Neutres, et d'autres encore lVlotcur.
L'on se rapprochera plus de la présente explication en reconsidérant de cette
manière les machines ~. cylindre rotor avec vilebrequin actif, post rotatives
et rétro
rotatives. L'on peut constater en effet que Ies rotations en même sens éjâ
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CA 02442351 2003-09-24
montrées en dynamique ont des effets directs sur la motricité de la machine,
la
rendant bonne Compressive, mais mauvaise Motrice. Par opposition, les
rotations
en sens inverses les rendent plus Motrices et moins Compressives.
L'on se rapprochera plus encore de notre propos en plaçant non seulement les
pistons, mais aussi le cylindre en rotations poly inductive. En effet, pour ce
faire,
l'on imaginera qu'un cylindre est disposé dans un pièce poly inductive , cette
pièce
étant par exemple montée rotativement et planétairement sur l' excentrique d'
un
vilebrequin . L'on imaginera ensuite les deux cas de figures précédemment
énoncés, soit celui ou un second maneton, recevant bielle et piston est monté
sur le
même cadran, ou dans le cadran opposé du cylindre poly ïnductif ou orbital. A
l'analyse, l'on constatera que ce nouveau type de machine réalise exactement
les
qualités des types à piston mais et cylindre axe déJ~ commenté, à l'exception
cependant que, comme le cylindre rotor est en mouvement, le nombre
d' ëloignement et de rapprochement par tour est augmenté. L' on notera que les
explosions agiront â traction et avec un temps mort raccourci et rapide. L'on
notera
au surplus, que, comme dans notre moteur à cylindre rotor, l' on pourra
réaliser ce
type de machine avec plusieurs pistons par cylindre rotor planétaire possédant
plusieurs cylindres. Il est important de noter ici que l'effet moteur des
machines â
cylindre rotor â piston en contre rotations est ici augmenté par la poly
induction du
cylindre, qui cause des accélérations et décélérations supplémentaires aux
rapprochements et éloignements de éléments. C'est pourquoi nous classerons ces
machines comme étant motrices-motrices au point de vue de l'effort.
Ces explications nous amènent aux compréhensions plus précises de l'usage de
poly maneton supportant cette fois respectivement des pales et cylindres de
machines rotatives.
En ce cas , l'on suppose un axe monté rotativement dans la machine , cet axe
étant
muni de deux manetons auxquels seront montés rotativement le cylindre rotor et
la
pale piston. Chacune de ces parties sera muni au surplus d'une induction de
premier degré, parmi le corpus de méthodes déj~. données par nous-mémes, et
assurant le réglage orientationnel des parties.
Le premier cas de figure sera celui o~z les manetons seront disposés ~
contrario.
En ce cas , comme on peut le voir dans la séquence de la figure , les pales
des
machines pourront s'enfoncer plus profondément dans le cylindre lors de la
compression, et s'éloigner du cylindre lors de leur passage dans les
encoignure, ce
qui assurera une forme birotative à la machine. Au surplus, l'explosion entre
les
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parties réalisera un temps mort très court et un mouvement à contrario des
vilebrequin et, réalisable aussi à contrarïo dans les parties compressives.
La même méthode appliquée à des f gares post rotatives, permettra de réduire
la
compression excessive, et aussi d' augmenter le couple de la machine.
Inversement,
si le manetons sont situés du même coté, le bombage sera augmenté, et l' on
pourra
réaliser une surcompression apte à réaliser la machine de type diesel.
Comme nous venons de Ie montrer, de diverses manières le ~~nouvement poly
inductif des machines post et rétrorotatives peut être réalisé, de diverses
manières
dynamiques, chacune d'elles continuant de réaliser dans le temps les
figurations
originelles post et rétrorotatives.
La machine en poly maneton est une redistribution mécanique pratiquées sur Ie
vilebrequin de la machine, réparti maintenant oppositionellement sur deux
éléments.
En dernière analyse, notons un fait sort important que pour être efficaces à
leur plus
au point Ies redistributions de vilebrequin comportent un certain ajout
géométrique
à la longueur totale des vilebrequins. Le vilebrequin à poly maneton, ou les
vilebrequins en inversion des 1°edistributions allongent la course trop
réduite des
machines rotatives, et plus particulièrement de machines réirorotatives, de la
même
manière que les vilebrequins en étagement des poly inductions étagées.
Résumé
L'on comprendra, à la lumière des derniers propos, qv'il est presque
impossible de
dresser un lexique de toutes les redistributions possïbles. Cependant toute
seront
réalisées selon ces trois règles de permutation, séparément ou simultanément.
Nous ne dresserons donc ici qu'un bref lexique des figures Ies plus idéales de
redistributions.
Propos
Nous avons donc à présent suffisamment de matière, non seulement pour
classifier
les nouvelles attributions et redistributions, mais aussi, pour en juger
73

CA 02442351 2003-09-24
sommairement, mais correctement la nature des nouvelles réalisations qui en
seront
issues
~éattributinns de rer~a~er degré ~t de second déré
Les principales réatiributions et redistribution des machines de premier degré
et dc
second degré peuvent être répertoriées de la façon suivante :
Premier degré ( machines à deux paries rotationelles , ou bipolaire)
- Double axes fixes i~ankle
Par cylindre rotor Ipiston butoir
Second degrés (machines à trois axes rotationels , qu'ils soient étagés,
entrelacé m juxtaposé successifs , ou tripolaire)
- Par pale erg Clokv~ise /cylindre rotationnel
- Par cylindre rotor poly inductif , pale rotative
par cylindre en Clok~vise /pale rotationnelle
- Par cylindre përiphérique /pale polyinductive
- Par cylindre rotor périphérique /pale fixe rotationnelle
- Par cylind~°e rotor/pale rectiligne
Troisiéme degré ( les machines de second degxé dont l'une des parties
rotatives a été augmenté , par polycamation, coulisse , augmentation d'
induction ,
dédoublement de dynamique ., ou dédoublement de manetons., quadrapolaire ou
plus)
hTote : 1) les redistributions et réattributions marquées d'un Astérix sont
déjà
commentées
Par ailleurs, nous montrerons de plus que l' on peut sc'it, redistribuer des
machines
de second degré, ou soit encore, ce qui revient à Ia même chose, augmenter le
degré
de machines déjà redistribuées.
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Propos
Selon la méthode d'observation par observateur absolu, l'on peut répertorier
les
principaux éléments géométrico dynamiques constitutifs des machines de premier
degré de la façon suivante
a) un cylindre fixe
b) un vilebrequin maître rotatif à la méane vitesse relative que la
pale
c) un pale, soumise au double anouvenlent du vilebrequin maître et
des excentr iques
d) deux excea~triques rotationellement montés sur le vilebrequin,
dont la vitesse est de deux fois supérieure à celui-ci, et la
grosseux de deux fois intérieure ( bous prenons bien entendu, à
titre d'exemple, les rapport de vitesse d'Tane machine post
rotative à pale triangulaire.)
e) un encrage
Itéattribution pc~r cylindre rot''~r n~ly induct~~c~le bu~toi~ l'seconde
réatt~°ibution
possible bipolaire )
La réattribution des éléments par Cylindre rotor /pale butoir est la seule
autre
réattribution possible bi polaire. Il est évïdent qu'avec seulement deux
pôles, il ne
peut y avoir plus de permutations.
Dans la recomposition que l'on nomme par Cylindre rotor pol inductif /~aale
butoir, l' on retranchera totalement le double mouvement de la pale afin de la
rendre fixe, d' oô son appellation de pale butoir. Pour combler cette
rigidité, l' on
octroiera non seulement un mouvement rotatif au cylindre, mais un double
mouvement rotatif superposé, planétaire, dont on peut voir la séquence pour un
tour
à la figure (Fig. 33)

CA 02442351 2003-09-24
Mais celte manière de faire sera aussi originale quant 'ala nature différente
de la
machine qui en résultera, tant au niveau du type mécanique, qu' au niveau e
sont
aspect compresso-moteur. En effet, en matière de motorisation, ce type de
redynamisation sera d' une extrême importance pour les raisons suivantes.
Dans une machine de dyna isution ,~tur~du~°d, une ~ra~cc~ni~ue post
rotartive
réalise une forme de cylindre post rotative. l.~ans le type de redynamisation
proposé, l'on doit constater la nature spéc~que du résultat obtenu puisque la
d~namisation de~gure post rotative est réalisée avec aine mécanique de type
coniralre, a savoir de type retro rotative, et inversement une~gurc~tlon de
type
rétrorotative est réalisée avec le recours cx une mécanique post rotative.
Ceci
aboutit c~ l'originalité notable suivante, résultant directement de l'ënoncé
précédent : la machine devient automatiquement bi rotative, étant en effet
ConStltuee par 21122 mécanique et 2ine~gZB)"atlon C032traZe e. ~e cOYlStat
s'accompagne de la vérification suivante ~ l'effet que les figures réalisées
n'ont
plus les formes parfaites des~'lgures primaires, rétro ou post rotatives, mais
sont
au contraire bi rotatives.
En effet, l'utilisation de mécaniques contraire apporte d'elle-même les
correctifs
qui auraient normalement résulté de mod~cations de ,second niveau. Ainsi par
exemple le cylindre d'une machine triangulaire, â cylindre rotor poly inductif
est
plus obtus, alors que celui d' une machine en cylindre e>n huit, post
rotative, est plus
rétréci.
La redynamisation produit donc les mêmes effets de changement de nature que
les
dïverses modifications par exemple par engrenages polycamé, par gouverne de
positionnement de pale non circulaire et ainsi de suite..
i6

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LTne troisième particularité de ce type de redynamisation produit l'effet
suivant que
l' explosion les pièces p~~oduia°a~ une action motrice cette fois-ci
tractive sur le
vilebrequin et, au surplus, pour les figurations post rotatives, en cours de
rwolution. En effet, alors que dans sa forme standard, l'explosion agit en
poussée,
elle agira dans cette machine en traction. Finalement, si l' on veut être
encore plus
précis dans nos différentiations, l'on notera que l'explosion se produit non
pas à Ia
fgn du cycle rétrorotatif de planétaire mais en son milieu La nouvelle machine
est
donc bimécanique, à traction, ~,t à explosion en cours.
La courbure spécifiquement birotcctive du cylindre assurer~x non seulement
optimalisation de lcz compression, mais aussi celle du couple, ce qui est
cczrcrctéristique des machines de second degré.
Voilà donc certainement une nouvelle façon de produire des machines de second
degré, obtenue sans aucun ajout de piéces, mais simplement par une
redynamisation des celles-ci. ~ l' opposé des machines à pistons, en laquelle
la
redynamisation par cylindre rotor diminue le couple, cette redynamisation,
dans les
machines rotative, augmente considérablement celui-cï.
R.éattributions de second degré ( tripolaïres)
Méthode par cylindre rotor lprxle rote~tâve
Comme la méthode par mouvement Clokwise, la réattribution est ici aussi d'une
certaine manière une redistribution. Celle-ci est de second degré puisqu'elle
est
tripolaire, c'est-à-dire qu'elle nécessite trois axes de rotation distincts.
Comme nous l'avons déjà vu, une nuance à établir entre réattribution et
redistribution. Lorsque les parties dynamiques d'une machine sont
interchangées
sans autre modification, L'on parlera de réattribution. Par exemple, dans le
cas des
moteurs orbitaux, ou encore à cylïndre rotor, par rapport aux moteurs
standard, l' on
parlera de réattributions. I7e méme, dans Ie cas de machines à deux axes f xes
et de
machine à cylindre rotor, par rapport à des machines rotatives standard, l' on
parle
de réattribution.
Ce pendant lorsque l'une des parties, dynamique ou mécanique est subdivisée et
par Ia suite, réattribués en dédoublement, I' on parle de redistribution. C'
est par
exemples des moteurs à polymanetons, en lesquels les manetons sont
redistribués
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entre deux pistons. C' est aussi le cas lorsque, dynamiquement, les manetons
vont
en sens contraire du cylindre rotor. La dynamique est distribuée et réattribué
après
cette redistribution.
De la même manière, précédemment nous avons redistribué le maneton des
machines triangulaire à mouvement Clokwise, pour les rendre plus compressives.
De la même manière, nous avons redistribué la dynamique de la pale, lui
retranchant de la vitesse jusqu'à lui conférer la dérotation équivalente à la
rotation
du vilebrequin, créant ainsi le mouvement Clokwise. Nous avons du ajouter un
mouvement de cylindre.
Les redistributions créent automatiquement une augmentation du nombre de
rotationalités, et par conséquent de niveau et de degrés des maclaines~
De la même manière, pour obtenir en remplacement d'une pale butoir, une pale
rotative, il faut soustraire ou ajouter un certain quantum de rotation au
cylindre
rotor. Par conséquent il faut en diviser le temps et redistribuer le résultat
de cette
division à deux pôles rotationnels.
Si l'on reprend à titre d'exemple Ie moteur à cylindre rotor ~, pistons déjà
présenté,
1'on se rendra compte que l'on peut cette fois-ci le soutient des divers
pistons cette
fois-ci à une vilebrequin , ce vilebrequin cette f~is-ci agissant à c~nt~a~io
du
cylindre rotor. Ce faisant, l'on. obtiendra une distanciation beaucoup plus
rapide
des éléments et une plus grande puissance développée entre eux. Pour maintenir
la
portée des pistons, encore une fois sans embiellage, l'on utilisera cette fois-
ci,
comme montré précédemment dans nos travaux, une mécanique rétrorotative,
additionnée d'une bielle de géométrie.
Une réalisation similaire est faisable dans les machines rotatives, et aura
les même
effets bénéfiques en réduisant le temps mort et en faisant passer la machine
non pas
de sa dynamique neutre à sa dynamique compressive, mais bien plutôt à sa
dynamique Motrice. (Fig. 34)
Comme nous l'avons vu dans notre première reconstruction, il est possïble de
dynamiser le cylindre en poly induction et de conserver la pale f xe. En
outre, si
l'on dynamise de façon insuffisante le cylindre planétaire, l'on devra
compenser
par une action strictement rotative du piston butoir. En effet., l' on se
rendra compte
que si l'on octroi, pour un même mouvement de l'excentrique supportant le
cylindre rotor poly inductif, une vitesse orientationnelle ïnférieure au
cylindre, l'on
78

CA 02442351 2003-09-24
devra compenser ce manque de vitesse par une vitesse en sens contraire de la
pale,
créant ainsi un mouvement à contrario des parties.
Ce mouvement à contrario augmentera, comme dans la machine à cylindre rotor,
la
puissance motrice en facilitant la déconstruction du systéme et cn en
réduisant le
temps mort. L'on parlera donc de machine rotative lt~otrice, par opposition
aux
machines hTeutre ou Compressive, de l'art antérieur. Comme dans le cas des
machines rotatives à cylindre rotor rétro, si l' on produit entre les piéces
une
explosion, celle-ci poussera naturellement chacune d' elles de son coté, le
sens de
ces poussées étant parfaitement conforme à leur sens de rotation spéc~que. En
contrepartie l' effet compresseur est moins puissant, et il faudra plus de
puissance
extérieure pour compresser les parties.
~u point de vue de ses applications, cette méthode est aussi importante
lorsque la
pale centrale sera utilisée à d'autres fns que celle d'une machine à
combustion
interne. En effet, cette pale désormais strictement rotationnelle pourra êire
utilisée
comme pale de propulsion, comme on le verra plus en détail dans la fin de cet
ouvrage.
Redistribution par Cylindre eu Clokwise /pale rotationnelle
prés cette restandardisation des apports de la notion Clokvvise, poursuivons
les
réattribution et redïstributions possibles à ces sujets.
1~ l' inverse de la redynamisation précédente, la dynamïque en Clokwise peut
être
appliquée au cylindre rotor. En ce cas, ce sera Ia pale qui devra effectuer un
mouvement purement rotatïonnel. C'est ce mouvement qui remplacera le
mouvement du vilebrequin maître, et celuï-ci sera pour cette raison très
puissant.
En effet, l'on pourra par exemple assigner une course en Clokwise au cylindre
rotor, ce qui permettra la pure rotation de la pale. Pour ce faire l' on
pourra
soutenir la parle par toutes les mécaniques présentées plus avant pour la
pale, avec
des rations de un sur un. L' on. doit noter que la méthode en Clokwise est la
plus
évidente. Cependant, Ie degré de Clokwise, et par conséquent de rotation à
contrario des machines pourra être varié sans pour autant changer la nature de
la
présente redistribution.
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Méthode par pale frxe au vilebrequin
Dans les redistribution précédentes, nous avons supposé que le mouvement de la
pale était invariable orientationnellement, et cela vu d'un observateur
extérieur.
Nous avons aussi dit que vu du vilebrequin, ce mouvement était rotationnel, à
raison de un pour un rétrorotativement.
Ici, le mouvement rotationel de la pale n'est pas subdivisé, mais complètement
stoppé. Mous supposons que la pale n'a plus aucun mouvement orientationnel,
par
rapport à son vilebrequin, lorsque observée de son vilebrequin puisqu'elle est
fixée
rigidement sur le manchon de celui-ci. Vue de l' extërieur, elle a donc un
mouvement rotationnel identique à celui du vilebrequin (Fig.36) L'on doit
donc,
pour coupler ce mouvement, réaliser un cylindre dont le mouvement sera non
seulement rotationnel, mais aussi poly inductif, à par surcroît de façon
périphérique. Encore une fois, la méthode par poly induction vient
géométriquement à notre rescousse, puisqu'elle nous enseigne que le mouvement
planétaire est une composition de deux mouvements circulaire, l' un central,
l' autre
périphérique. L' on pourra donc installer rotativement le cylindre dans une
partie à
cet effet, et contrôler son axe par une poly induction simple , sachant que la
courbe
poly inductive est un composé de deux circonférences, l'une maure, l'une
superposée. Ce sera cette circonférence superposée qui contrôlera la position
et le
rétrorotation du cylindre autour de la pale fixe.
Ce type de machine, qui pourra comporter plusieurs systèmes en combinaison,
dans
des méga machines, pourra être certes utilisé pour une grande puissance,
alliée à
un grande douceur des explosions, pouvant étre soit synchronisées
successivement,
sous simultanément.
Méthode de distribution par pales poly inductive périphérique, cylindre fixe
périphérique
L'un des apports géométriques pertinent de la méthode de poly induction est
d' avoir montré que le mouvement poly induction est un composé de mouvements
circulaire et planétairement circulaire. Par conséquent l'on sait que les
extrémïtés
d'une pale de machine rotative, par exemple à cylindre triangulaire, décrit
deux
rotations planétaires, et cela de la même manière que s'il y avaït eu un
vilebrequin
planétaire le faisant. Cette constatatâon permettra de contrôler plusàeurs
pales
périphériques par une seule aa~t~culati~n centrale. L' ors pourra donc
redistribuer en
périphérie les machines poly inductives. Comme pour le cas précédent, l' on
pourra

CA 02442351 2003-09-24
ainsi produire de méga machines ou turbines de compression ou détention des
gaz.
(fig. 37)
Méth~de pc~r pale rectiligne, cylindre rot~cti~nel
Comme démontré à mos travaux antérieurs, le mouvement de la pale pourra être
rectiligne et celui du cylindre rotationnel. A la différence du mouvement en
Clokdvise de la pale, qui réalise le cylindre de façon conventionnel, ici le
cylindre
sera automatiquement de second degré. Cette méthode peut aider à augmenter la
compression des machines rétrorotative. (Fig. 35)
Méthodes de redistribution de machines de second degré et supérieur
dans nos derniers propos, mous avons montré comment noya seulement l'on
pouvait, mais aussi l 'on devait redistribuer les parties des n~~achines
rotatives, pour
en tirer leurs capacités motrices inhérentes. Cette section aura certes permis
de
montrer que ces parties avaient été des le début historiquement et par l'usage
distribuées de façon fautive, et chie les distributions proposées sont
vraiment celles
qui sont inhérente au parfait fonctionnement de ces machines.
Par ailleurs, nous avons aussi montré que l'on pouvait, même dans leur
dynamique
fautive, construire des machines de degré supérieur en leur apportant des
modifications de course et de formes de cylindre appropriées. Les prochains
propos
auront donc pour objet de montrer comment l'on peut, évidemment redistribuer
les
parties des machines de degré supérieur. Pour ce faire, deux procédures sont
possibles, soit redistribuer des machines de second degré, ou soit encore
élever
d'un degré les diverses distributions chie nous avons déjà montrées. flous
avons
choisi la seconde procédure, dont le classement nous apparaît plus facile.
L' on peut résumer le passage des machines de premier degré à celui de
deuxième
degré en spécifiant que dans les machines de premier degré, bien que la course
des
extrémités des pales soit orbitale, celle des centres de .celles-~ci est à la
fois
circulaire et régulière. De plus, l' on peut considérer, comme nous l' avons
montré
aux présentes, que les machines de second degré peuvent aussi être entendues
de
toute machine dont l'arbre moteur rassemble les énergies des vilebrequin
maître et
excentriques en une seule action. Deux types de machines de second degré sont
par
la suite réalisable, â savoir , soit d'une part par une course positionnelle
du centre
de pale , non régulière, généralement elle-même poly inductive , ou soit
encore
cette course de la pale est irréguliére dynamiquement par rapport à celle du
vilebrequin .
81

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Dans les faits, ces différenciations résultent en des formes de cylindres plus
appropriées, et plus compatibles sues le couple. D'un point de vue mécanique,
ceci
est réalisable des trois principales manières suivantes
Les machines de second degré, qu'elles qu'en soit le type de modification se
caractériseront toujours par trois éléments,
Soit le double cenir°e de rotation des vilebrequins de
positionneraient, ajouté au centre de rotation de la partie piston
Soit le centre de rotation du vilebrequin de positionnement,
ajouté aux doubles centres des rotations des parties de pistons
Soit le centre de rotation du vilebrequin de positionnement,
ajouté au centre de rotation de la partie piston, surajouté de sa
valeur accëlérodécélérative.
Par rapport donc aux dynamisations de second niveau, l'une des parties
rotationnelles deviendra soit : bi rotationnelle
Poly inductive,
Polycamée
!i titre d'exemple, l'on peut dédoubler la pale d'un moteur triangulaire et
raccorder
chacune de ses parties à un maneton situé sur une hauteur spécifique, et aïnsi
réaliser un cylindre de forme birotative. Par ailleurs, l'on peut aussi
augmenter son
induction de un degré, en produisant une mécanique étagëe qui assurera une
course
de pale irrégulière permettant de réaliser le figures de cylindre désirées.
Finalement, I'on pourra aussi polycamer les engrenages et ainsi, par des
accélérations et décélérations modifier avantageusement la forme des cylindres
et
les temps d'expansions. ~'ig. 38 , et 39)
Les prochains propos auront pour objet de montrer que l 'on peut attribuer
toutes
les méthodes modificatrices, habàtuellement réalisées sur les machines
standard,
aux redistributions elles-mêmes, pour les augmenter de degrés.
Cela donnera lieu à diverses augmentations de degrés des redistributions, dont
voici
quelques exemples:
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CA 02442351 2003-09-24
premier exemple : La méthode dc premier degré Par deuac axis fixes,
Augmentée panéta~rena~nt
L'on augmentera le degré dc Ia. redistribution par deux axes axes en réalisant
l'ont
de ces parties de façon non simplement rotationnelle, mais en lui ajoutant un
degré
de rotativité, et par conséquent en Ia réalisant dc façon poly inductive. L'
on pourra
agir de la sorte, soit avec la pale, soit avec Ie cylindre. (F'ig. ~O.f et 41,
4'~)
Comme dans les dispositions standard, l' application de ces procédures
corrigera
les défauts inhérents aux mach:~nes post rotatives et réerorotatives, relatifs
~. leurs
couple et compression.
Augmentée paa° engrenages ~lyca és
L'on pourra réaliser un course relative accéléro-décélé:rative dc rotations du
cylindre et de la pale, ou les deux â Ia fois en réalisant Ie raccordement de
celle-ci
par engrenage polycamés.
I7euxiémc exemple: I~Iéthodes par mouvement Clokwise dc la pale,
Augmentée planéta~rernent
Comme précédemment, l'on peut augmenter le degré de ces machines en ajoutant
une induction â l'un des systémes rotationnels en co~>inaison.
Si l'induction supplémentaire est ajoutée au mouvement Clol~wise, plus
spécifiquement à la pale, ce mouvement sera alors en Clol~wise polyinductif La
pale selon le cas aura alors une course positionncllc polyindL~ctive, mais une
absence de mouvement orientationnel.
3

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Troisième exemple : Méthodes par cylindre rotor poly inductif pale fixe,
Augmentée r~tatwement
L'on augmentera le degré de ces machines en faisant passer la pale de fixe à
rotative
Augmentée planétairement
L'on pourra inversement encore octroyer un contr~le de cylindre rotor par
combinaison étagée d'excentriques.
Augmentée par engrenages p~lyctamés
Par ailleurs, comme dans toutes les machines, l'on peu procéder à une
polycamation des engrenages. ~Fig. 41 ~
Machines de troisième degré en double p~lycamation
Comme nous l'avons montré pour les machines à cylindre fixe, la polycamation
des
engrenages participant de la conduite des éléments dynamique est une méthode
permettant de passer à un degré supérieur de la machine ne nécessitant aucune
piéce supplémentaire lors de sa réalisation et qui est, de ce fait pleinement
pertinente en maintes occasions
De la même manière mue pour la conduite des pales de maclhines à cylindres
statiques, l'utilisation d'eng~°enages p~ly camés peut êt~°e
retenue poua~ la c~nduite
du cylind~°e ~°oto~°, ou enco~°e de telle manière
d'annule~° la cc~nstaaace de la ~otati~n
de la pale p~ur la r°emplace~° pa~° des successives
accélératians et décélérati~ns. Il
en résultera des cylindre en ballon, ou encore rectangularisé, ou encore
finalement
asymétrique, de la même maniére que pour Ies machines de base à cylindre fixes
et
pales active.
Dans tous les agencements déjà donnés, l' on pourra augmenter d' avantage la
puissance et le degré de subtilïté de Ia machine en polycaant les engrenages
de
guidage, cette fois-ci sui plusieurs pa~°ties dy~amiques~ ~ la fois, Ia
somme de ces
polycamations introduisant des rapports des vitesses d'une variabilité
supérieure
~4

CA 02442351 2003-09-24
entre les éléments. En effet, comme nous l'avons montré aux, présentes, L'on
peut
redistribuer le mouvement de telle maniére que plus d'une partie soit
dynamique.
Par conséquent, ceci ouvre la possibilité à une polycamation des engrenages de
guidage de chacune de ces parties, de telle maniére de tirer le maximum de
puissance de ces machines.
L' exemple le plus frappant de cette possibilité nouvelle est celui de la
machine à
double support f xes, lorsque réalisée de la sorte. Ces mécaniques permettront
de
subtiliser non seulement les rapports dynamiques des éléments , mais aussi la
forme
goémétrico propulsive de ceux-ci .
Mufti cylindre
L'on sait que Wankle a été Ie premier à proposer ce type de cylindres, et que
beaucoup de pompes sont actuellement réalisés sur ce principe. L'on p~urra
aussi
étendre et compléter ces connaissances en montrant la possibilitë de mufti
cylindres
contigus, ou encore de multicylindre poly inductif, voir même dissymétriques,
lorsque réalisés par polycamation. (Fig. 4.0) Les pales et cylindre ainsi
réalisés
pourront avoir des courbures et des formes dissymétriques ~>ropice à Ieur
utilisation non seulement comme pompes, mais aussi, comme nous le verrons en
conclusion, comme propulseurs etc
uactrième p~crtie
Les généralisations diversifications combinatoires et dynamiques
Doubles ~cttriutions fonctionnelles
l~Tous avons vu jusqu'aux présentes que I'on pouvait étendre la notion de
birotativité à toutes les dynamiques possibles de machine et que certaines
d'entre
elles, comme par exemple les dynamiques à cylindre rotor, et à contrario,
étaient
même de façon naturelle birotative.
La dynamisation de cette partie, le cylindre aura été particulièrement
intéressante
puisqu' elle aura permis de réaliser les machines de façon birotative, sans
aucun
~5

CA 02442351 2003-09-24
élément surajouté , de même qu'elle aura permis de comprendre certains liens
souterrains entre Ies aspects rétrorotatifs et post rotatifs des machines
rotatives.
Ire plus, au point de vue de la capacité motrice, elle aura pea mis de
réaliser un type
de machine motrice en traction, par opposition aux machines motrices en
poussée,
lorsque réalisée par des dynamiques standard.
IJa dynamisation de nouveaux éléments de ces machines aura permis de rendre
plus
évidente la pertinence de Ia double fonction, et par la suite, utilisation de
certaines
parties.
11i~tamment et principadement, la dync~misc~ti~n du cylindre comme cylindre
rotor
poly inductif ou encore comme cylindre r~t~r r~tatif permcttru sa pr~pre
utilisartion comme pistou d $uu cylindre ~upérieu.
Cette configuration, tout autant lorsque le piston central est simplement
butoir, ou
encore lorsqu'il est rotationnel ou antirotationnel, permettront plusieurs
utilisations
de la machine tout à fait pertinentes. Parmi les principales, I' on peut
noter,
premiéreent la possibilité de réaliser les machine avec une
gérance des gaz de type deux temps, se servant de l'une des
parties compressives pour alimenter l'autre. Cette possibilité
sera des plus avantageuse puisque ces parties carter , n' étant
plus combinées aux parties motrices de la machine, ne
nécessiteront plus cxucun ajout d'huiles c~mbustible, ce qui est
actuellement un enjeu majeur en matière de moteurs deux
temps.
deuxièmement, Ia possibilité de se servir de l'une des partie
pour une fonction tout autre, comme par exemple, a) lorsque Ia
pale centrale est strictement rotative, de celle-ci comme
propulseur, turbine à eau, ou encore en b, lorsque la partie
extérieure, si elle est purement rotative, pourra servir e turbine,
de moteur électrique etc.
troisiémement, puisque chacune des parties est de dimension
plus petite que Ia suivante, de surcompresseur ou de machine de
captation des vapeurs
Par ailleurs, la réalisation de la machine en étagement permet aussi la
réalisation ,
cette fois-ci motrice , de l'une des partie , sous forme de Turbine
différentielle
composée , l'une des partie semant d'appui ~ la poussé de la partie
compressive
contigue.
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Les trois figurations les plus simples de ces combinaisons en: étagement sont
les
suivantes a) lorsque le cylindre rotor poly inductif, appuyée sur un piston
butoir
interne est lui-même piston d'un cylindre supérieur, b) lorsque le cylindre
rotor, en
complicité avec un piston rotationnel interne, est Iui-mème le piston d'un
cylindre
externe, et c) lorsque les cylindres rotor rotationnels sont successivement
les
pistons rotationnels des cylindres supérieurs.
C ompréhens ion
La réalisation par mono induction de l' art antérieur a compris le mouvement
de la
pale, par exemple d'une machine post rotative de piston triangulaire, comme
étant
un mouvement en double arc. ~r notre mécanique poly inductive a montré que
chacun de ces arcs est la réalisation, dans le temps, d'une rotation se
réalisant sur
un centre. Cette compréhension rend évidente que l'arc par exemple post
rotatif
décrit par une pièce en rapport à son intérieur est équivalent à un arc rétro
rotatif
pour une pièce extérieure.
C'est ce qui explique que le cylindre rotor d'une machine à Pale butoir
utïlise une
mécanique contraire à sa figure géométrique. Cette constatation est
essentielle.
L'on a monté en effet, ~z plusieu~°s endroits, les lacunes de chaque
classe de
machine, et l'on a à maints endroits signalé qu'alois drue le cylindre des une
est
défaillant, c'est la mécanique qui l'est chez les autr~°es, et que pas
conséquent,
l'idéal serait de tr°ouve~ dans une méme machine, mécanique et
cylind~~e opposés.
Voilà donc très exactement ce qui se passe ici.
IJn premier exemple de ces possibilités nous est donné de Ia façon suivante.
L'on se rappellera , lorsque nous avons réalisé , la réattribution par
cylindre rotor ,
que nous avons précisé le fait intéressant que le cylindre , à ce moment ,
recevait la
mécanique contraire à Ia figure. Par exemple, la mécanique d'une machine à
cylindre rotor de machine de figuration post rotative nécessitait une
mécanique
inverse de machine rétrorotaive.
~7

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Ides lors , il devient assez facile, selon Ia régla des rapports d'engrenage
et des coté
de déterminer de quelle machine rétrorotative, le cylindre rotor pourrait à
son tour
êire le piston. Ici il s'agira du moteur trrangularre. (Fig. 42, 43)
Iaans ces arrangements très flexibles, non seulement relative=ment au nombre
de
cylindres rotor-piston utilisés , mais aussi quant au nombre des cotés des
parties
sera non stricte, mais plutôt purement rele~tif 'à la poly induction employée
et.
Par exemple, à la fgure 48, l'on voit la séquence pour un tour de plusieurs
cylindres rotor pales mis en composition par superposition.
Comme on le notera à la fine de cet exposé, de tels arrangements seraient
susceptibles de produire adéquatement des turbines à chambres ouvertes avec
haut
taux de compression.
Par exemple , à la figure 44 , une poly induction de cinq de quatre , réalisé
extérieurement avec une figure adéquate , réalise, intérueurernent , une forme
post
inductive d'un piston de trois cotés tournant dans un cylindre de deux.
Il est intéressant de constater que la dynamiscation de lc~ ~°~glc des
cotés permet d'as
sauts et dérogations puisque, en son intérieur, comme la forme choisie est en
double arc et doit recevoir une piéce triangulaire comme axe-piston, cette
pièce
étant simplement rotationnelle.
A Ia figure 45 , l'on peut réalise la liberté de telles combinaisons puisque
le méme
assemblage extérieur , cette fois ci pourvu d'un cylindre interne carrée,
force au
contraire la réty°or°otartion d'un pale aussi triangulaire ,
cette fois à contrario.
En a et b, l'on aura donc un effet compresseur interne: puissant et en c un
effet
moteur puissant, alimenté par° l'extérieur.
Le nombre de figures de combinaisons étagées est presque illimité. Nous n'en
donnons ici que quelques exemples, notamment dans la f gure 46 en laquelle une
pale triangulaire est à la fois piston d' un cylindre carré et cylindre rotor
d' une pale
en deux cotés. Dans cette figure, la pale centrale est donc strictement
circulaire.
Finalement il est aussi important de faire remarquer que les utilisations de
parie bi
fonctionnelles sont aussi praticables, il va sans dire, a dans les
redistribution. A titre
d'exemple, la pale carrée de la machine peut aussi servir de cylindre à un
moteur
secondaire, interne de type triangulaire, ce qui produit un effet Ckokwise,
ici plus
périphérique. (Fig. 47, 48)
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~~lhSfl~iOjZS
Applications supplémentaires
En terminant cette divulgation il est pertinent de préciser cei°taines
application
spécifiques supplémentaires. Comme nous l'avons déjà e~.tionné à plusieurs
reprises dans nos travaux antérieurs, les applications premiérement visées par
nos
machines sont les moteurs pompes compresseurs, machines de captation à
chambres fermées
L'on doit évidemment entendre par la présente que toutes les pales cylindre
rotor
peuvent aussi être configurées à la maniére de pales à turbine à air , à eau ,
de
propulseur , et servir de la sorte d'éléments de turbines et autre appareils à
chambres fea~rnées ou non fermées .
Par exemple les superposition de machines permettront trés certainement,
dépendamment du sens d'entrée et de sortie de matières la réalisation de
centrifugeuse, turbo compresseurs, turbines pures, ou encore de machines
d'expansion des gaz.
Ensuite, par la capacité de réaliser la machine avec un pale centrale soit
fixe, soit
simplement rotative , permettra de réaliser la machines avec un entrée et une
sortie
de matiére centrale et transversale à la machine. ~fig. S0~
Ceci nous améne au point suivant qui consiste à dire que les parties de la
machine
peuvent être incurvêes de diverses matiére, ou modifiées , de telle sorte de
réaliser
des utilisation diverses , et notamment comme turbine à eau, à air
propulseurs,
éoliennes, manèges
En effet, l'on peut tout d'abord dessiner les pales de telle maniére qu'elle
captent
l'air, les compressions entre le éléments n'étant pas fermées, produisant
ainsi des
turbines à réaction engendrant un flux progressivement à la fois de l'avant
vers
l'arriére, mais condensé et compressé vers le haut.
L' on peut ensuite incurver la forme des pale et des cylindre rotor purement
rotationnels, à l'extérieur comme à l'intérieur de telle maniére que les
compression
des liquides en forcent les rejets dans le ses transversal, ou vers
l'extërieur
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Par ailleurs, si les extrémités des pales sont plut~t dessinées en fonction
d'un travail
de propulsion, leur polycamation permettra la réalisation de jet turbine ou
d'un
propulseur puissant.
Dernières méthodes de soutient de premie~° et dé second degrés
Méthodes de premier degré
La présente section a pour objet d'ajouter les dernières méthodes de soutient
des
parties dynamiques des machines de premier degré, ce qui complétera de façon
assez définitive le corpus mécanique de ces méthodes déj~. divulguées par nous-
mêmes et par l' art antérieur
L' on achèvera la réalisation des méthodes de soutient poss ibles de premier
degré
en ajoutant les deux dernières méthodes suivantes soit
- par mono induction d' engrenages pignons
La méthode de mono induction par engrenages pignon à été élaborée par nous
même dans le but de réaliser un guidage transversal des parties dynamiques
d'une
machine. Dans cette méthode, l' on dispose rotativement un vilebrequin dans la
machine et l' on installe de façon transversale au manchon de ce vilebrequin
un
axe rotatif auquel l'on fixe rigidement un engrenage de type engrenage pignon,
que l' on dira engrenage pignon d' induction. L' on couplera cet engrenage à
un
engrenage de support aussi de type à pignon, et que l'on nommera engrenage de
support pignon.
L'on munira ensuite soit l'engrenage d'induction, soit la partie opposée son
axe
support d'un excentrique, lequel excentrique sera couplé à la pale, par
exemple
d'une semi turbine différentielle (Fig. 49)

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Conclusion
Comme on l' a abondamment montré, les lacunes principales de l' art antérieur
en la
matière sont les suivantes
a) avoir disposé les pièces maîtres en pé~riphér"~e au lieu de les avoir
disposées au centre
b) avoir réalisé ces pièces maître en une seule et même pièce avec la
partie compressive, Ia pale, plutôt que de les avoir distingués
c) avoir réalisé les machines avec un seul encrage centré, soustrayant
par là même tout effort de poussëe rétrorotationnelle, se
transformant en effort latéral sur les pièces motrices
Ce qui a résulté en des machine à deux seuls axes de rotations, ne récupérant
pas
qu' une maigre quantité d' énergie, et un fort taux de frottement.
Les solutions de notre part, que l'on pourrait dire correctives, de premier
degré,
sont les deux principales suivantes
a) la modification points de couplage et des vitesses relatives des pièces
motrices et de compression par l'utilisation rationnelle d'engrenages
polycamés
b) l'utilisation de la technique d'engrenage cerceau, permettant à la pale
d'exercer un aspect rotationel offensive, en poussée
c) La réattribution des parties dans leur sens Moteur, par la réattribution
dite par Cylindre polyinductif / pale butoïr
d) La réalisation de la machine par semï transmission
Ces quatre solutions de premier degré permettraient, d'autant plus qu'elles
peuvent
être appliquées simultanément, de réaliser avantageusement ces machines tout
en
les conservant avec un niveau de pièces mécaniques Ie plus bas.
Par ailleurs, l'ensemble de notre propos vise plutôt à montrer, que, comme
pour le
moteur à piston, la tri rotationalité des éléments est la meilleure manière de
réaliser
des machines puissantes.
91

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Seule cette manière de concevoir les machines permet d'attribuer vraiment aux
parties mécaniques la versatilité qui permet de distinguer les maîtres parties
des
parties de lien, et par la suite, des patries compressives.
Comme dans les moteurs à pistons, seules ces parties peuvent au surplus
permettre
les ajustements des proportions qui tiennent compte de la compression optimale
et
de Ia nécessité de se plier correctement aux exigences de l'amorphie de la
poussée
explosive.
Les conceptions par observateur absolu et synthétique sont les seules à
déterminer
correctement les positionnements et fonctions correctes de éléments de ces
machines. L'ensemble de nos travaux montre en effet un modèle d'observation et
de compréhension des machines, par l'observateur absolu, qui permet de
distinguer, quelle qu'en soit la matérialisation, le type d'armature, les
pièces maître,
des pièces de lien, et des pièces compressives.
L'ensembles de nos travaux Montre que l'on peut réaliser cette tri et quadru
polaritë de faon équivalente en combinaisons d'induction étagées, juxtaposés ,
entrelacées, séparées de chaque coté , successives et ce dans toutes les
distributions que des machines puissent se présenteré
L'ensemble de nos travaux permet finalement d'avoir suffisamment subtilisé 1a
compréhension des système pour même dépasser le degré un sur un des rapports
de
pale et par Ies servi transmission appropriées, réaliser Ies exact rapports
permettant,
selon la compression optimale de réaliser la synthèse parfaite des aspects
orientationels et positionnels des ces machines.
Depuis plusieurs années l'inventeur demeure convaincu que, si l'on accepte une
plus grande complexité des moyens de support des parties d.e ces machines,
l'on
peut en réduire celle de l' appareillage des pistons. Ainsi, la pale d' une
machine
rotative peut remplacer trois, quatre, cinq pïstons. Mais le prix à payer, car
il en est
un, c'est que les parties maîtresses n'y soient pas, non. seulement aussi
simplifiées,
mais même encore plus simplifiées, que dans Ies machines à pistons. C' est
l' évidence, l' on doit, au surplus y contrôler l' orientation mécanisée de la
partie
compressive, ce qui se fait automatiquement dans le moteur à piston, par
simple
coulissement de celui-ci dans le cylindre. Les pionniers des machines
rotatives
n' ont pas accepté ce fait. Au contraire, ils ont même tenté de réaliser ces
machines,
dont la pale a pourtant un mouvement plus complexe, de fac~on encore plus
92

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simplifiée. Ce faisant, ils ont centré l'armature. L'effet est le même que si
de
chaque coté d'un moteur électrique l'on avait â la fois un positif et un
négatif. L'on
ne produirait aucune énergie rotationnelle. Ici, c'est l'énergie
rétrorotationelle de la
pale que est totalement annulée.
Le pari était fort audacieux, faïre plus simple avec du plus complexe. 'Voilâ
l'erreur de réalisation qu'il faut aussi corriger. Nous pensons que nos
travaux
prouvent que, même si l'on ne peut faire aussi simple que prévu, l'on peut
construire quand même ces machines , de façon assez simple pour que l'enjeu
économique en vaille la peine. En effet , puisque une pale de machine rotative
peut
remplacer quatre , cinq , six pistons et même plus, il est évident que les
quelques
pièces minimes à en assurer la poussée non seulement positionnelle, mais aussi
orientationnelle redonnent quand même ~, la machine toute sa pertinence.
Nous avons en effet prouvé hors de tout doute que le couple des machines
rotatives
peut être sinon plus puissant, ~ tout le mois équivalent â celui des machines
à
pistons. Nous pensons que le nombre de pièces, l'encombrement plus réduit, la
facilité de réaliser de systèmes de valves de ces machines permettra d'espérer
de
nouveaux développements futurs des plus intéressant et que nous souhaitons
pour
tous, de tout caeur.
Il est temps pour nous de conclure plusieurs années de travail de conception
et de
complétion des possibles machines motrices en générale et, particulièrement
rotatives.
La meilleure façon de réaliser cette conclusion est d'identifier au lecteur
les
principaux points pour lesquels notre travail non semble avoir été pertinent.
Parmi
les principaux, les trois premier suivants
a) avoir distingué les principaux types d'observation des pales de
machines rotatives, et avoir montré les diverses constructions
mécaniques en découlant, avec les défauts et qualités de chacune
b) avoir mis â jour les mauvaises conceptions de l'action planétaire
des machines rotatives, et les avoir corrigées par la méthode de
poly induction
93

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c) avoir mis à jour la dynamique fautive, pièces passives, pièces
actives, et l' avoir corrigé par les méthodes de dynamisation en
Clokwise et par birotativité
d) avoir mis à jour les bénéfices des accélérations décélérations des
parties et avoir montrer comment les réaliser de façon la plus
simple, soit par engrenages polycamés.
e) avoir suggéré un vaste éventail de méthodes permettant de mieux
assurer Ie support des pièces et précédé â une complétion de toutes
les méthodes de soutient possibles, dont certaines, notamment les
méthodes à cerceau, et par polycamation
f) avoir réalisé une meilleure compréhension des différences entre
les machines rétro rotative, post rotatives et bi rotatives
g) avoir montré des redistributions permettant les doubles utilisations
des machines
h) avoir procédé à l' élaboration de nouvelles machines de degré
supérieur ( moteurs Slinkys, â Cylindre rotor poly inductif , ~.
Pistons périphériques , Semi turbines différentielle , Anti turbines)
i) avoir précédé a une compréhension générale permettant de
comprendre ~:oute machine co e une seule et même machine,
englobant l' art antérieur , le corrigeant et le complétant, et
regroupant p dus de quatre milles possibilïtés
j) avoir réalisé une synthèse pouvant se révéler une aide synthétique
aux examinateurs Ieur permettant de classer toute nouvelle
demande de brevet dans I' un ou l' autre des genres, ainsi que d' en
apprécier la nouveauté réelle
k) avoir procédé â une meïlleure compréhension des effets
Compresseurs, Neutre, et Moteur, des machines de telle manière
de favoriser non seulement les machines neutre à pistons
conventionnelles, mais aussi , pour chaque utilisation envisagée,
94

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la machine la plus pertinente, et ainsi réaliser à la fois pouvoir et
économie d' énergie
1) avoir établi une richesses de machine permettant aux industriels et
industrieux d'enrichir l'ingénierie et de persévérer dans la
recherche de matériaux
m) avoir aidé a proposer des machines de type rotative ayant la
capacité de réaliser des gérance de ga.~, deux temps, standard et
diesel
Pour toute ces raisons, nous pensons avons mis complété le mouvement de
connaissance en la matière, les prédécesseurs de VJanl~le les ayant alignées
aléatoirement, V~ankle en ayant donnée une première synthèse stricte et
enserrée, et
nous-mêmes les ayant non seulement re-diversifiées de façon ordonnée par
appréciations et distinctions de natures, de degrés, de capacité, de
dynamique, de
fonctions, en y ajoutant des formes nouvelles, des combina~.sons de
réalisation
nouvelles, mais de plus leur ayant redonné leur perspective réelle, par
laquelle
nombre de développement tombés en désuétudes pourront reprendre de l' essor.
Nous pensons avoir en effet rassemblé et complété par rediversification
systématique et l'unification générale l'ensemble des ~GOnna.issances qui
peuvent
être réalisées â ces sujets au niveau de la connaissance fondamentale de base.
Nous
espérons que cet effort pourra être mis au service de la communauté des
scientifiques et des utilisateurs de toutes sortes. Ceci pourra permettre la
réalisation
de nombreuses nouvelles connaissances découlant des mises en application de
ces
machines, partant du coeur artificiel, en passant par la pompe et le moteur,
pour
possiblement récupérer les énergies des centrales nucléaïre ou des barrages
électrique, ou finalement simplement construire de nouveaux jeux et manèges
accélératifs.
En résumé, les étapes générales de tout savoir sont très sommairement les
suivantes.
1) La première consiste en une répertoriation classificatoire des objets
de ladite connaissance.

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2) La deuxième consiste en la capacité de compléter virtuellement ce
classement, et en la capacité, à partir de cette action, de réaliser une
synthése logique et fonctionnelle de ceux-ci.
3) La troisiéme consiste en la création d'une division antithétique
rationelle des objets
4) La quatriéme, est, à partir de cette premiére division, la
rediversification , cette fois-ci rationelle des éléments
5) La dernière est la réunification tripolaire ce ceux-ci, et laquelle est
montré que les objets antithétiques sont un même objet, cette fois-ci
surrationnel
Bien sur, il n'est pas dans l'horizon, lors de la divulgation d'une demande de
brevet
de créer des thèses philosophiques. Les derniers énoncés se veulent donc
qu'une
perspective par laquelle l'on pourra mieux situer notre travail par rapport à
l'art
antérieur.
Bans cette perspective, l' on peut dire que l' art antérieur a, avant
V~lankle, réalisé 1a
premiére étape de ce développement. Quant à Wankle, l' on peut dire qu' il a
réalisé
la seconde étape. Chez celui-ci cependant, rétrorotativité et post rotativité
sont
encore confondues, et les redistributions, soit par diverses mécaniques, soit
par
diverses formes de f gares, soit par diverses fores de rétattrï~utions des
éléments
sont à peu près inexistantes. Quant aux différentiations des aspects
Compressifs,
feutres et Il~oteurs des machines, nous pensons avoir contribué à réaliser les
étapes
subséquentes de la connaissance en ces sujets.
Nous pensons que ce faisant, nous avons réussi à montrer que ces machines
peuvent être réalisées de façon trés intéressante sous la fonme moteur, et que
l'on
peut vérifier l'égalité du couple de toute machine motrice.
Si tel est le cas, si en effet, le couple des machines motrices rotatives est
équivalent
à celui des machines à pistons, il deviendra évident que leur réalisation et
commercialisation pourra être intéressante, puisque leur grosseur, leurs
poids, leurs
facilité d'alimentation sont de beaucoup supérieures.
96

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Description sommaire des figures
La figure 1 montre les principales machines motrices rétro rotatives et post
rotatives de l' art antérieur.
La figure 2 montre l'ensemble des méthodes de soutien des parues dynamiques
des
machines motrices, formant le corpus mécanique de premier degré de celles-ci.
La figure 3.1 rend compte de l' art antérïeur des machines de premier degré,
dont
les pales ne sont pas libres mais totalement guidées mécaniquement. Cette f
gare
rend compte des figures et méthodes de soutient.
La figure 3.2 montre comment les figures primaires sont augmentées de degrés à
partir des précédés déjà commentés par l'inventeur.
La figure 3.3 montre les trois principales spécificités des machines de
premier
degré, relatives au mouvement de pale, d' excentrique et à l' encrage.
La figure 4.1 a) montre la structure compressive de la poly turbine, dont
i~ilson
( 1975) a été le premier à montrer la possibilité sans pouvoir en assurer
adéquatement le guidage .
En b de la méme figure, l' on peut constater figurativement les différences de
nature quant au cylindre de cette machine par rapport aux cylindres de
machines
rotatives de premier degré.
La figure 4.2 montre les lacunes des machines rotatives et les améliorations
des
cylindres qui ont permis de les corriger, rendant ces cylindres à teneur bi
rotative.
La figure 5.1 montre succinctement les principales méthodes permettant de
hausser
le degré des machines, les faisant passer de mono rotatïves ~. bi rotative.
La figure 5.2 montre, du même inventeur plusieurs types supplémentaires de
machines à parties compressives dont la course positionnelle et l' orientation
sont
toutes deux non circulaire ou réguliére.
97

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La figure 6 montre les principaux critéres comparatifs entre la poussée sur
les
parties compressives d'un moteur à piston, d'une machine post rotative et
d'une
machine rétrorotative.
La figure 7.1 montre les difficultés et les lacunes, au point de vue de la
poussée
latérale, ou rétrorotationnelle, dans les deux principales méthodes de
soutient de
l' art antérieur, attribuables à Wankle.
La figure 7.2 montre que l'excentrique est toujours forcé, dans une mécanique
de
type conventionne à travailler deux fois plus rapidement que la pale, ce qui
produit
un sur commandement constant de cette partie.
La figure 7.3 montre que même dans le moteur à piston, lorsque l'on descend en
deçà des du nombre minimal d' éléments constitutifs, la machine réalise encore
ses
capacité de type compressives, mais non pas ses capacités motrices.
La figure 8 fait un rappel de notre solution, dans une pe~°spe~tive
~°elative la
poussée que l'on a dite par engrenages polycamés.
La figure 9 met dans une perspective en rapport avec la poussëe notre solution
que
l' on a dite par étagement d' induction.
La figure 10 montre une réalisation par piston/cylindre rotor déjà présentée
par
l' inventeur, et qui permet de réduire la participation du piston rotatif à la
poussée,
et par conséquent de ses effets négatifs.
La figure 11.1 montre le processus géométrique de construction de la méthode
par
poly induction en a. En b, l'on y voit les raisons pour lesquelles ce type e
construction réalise, surtout si les inductions sont en dehors la pale, la
complète
participation positive de la surface de la pale à l'expansion.
La figure 11.3 rappelle, du méme inventeur la solution par engrenage cerceau,
pour en effectuer le commentaire sous l'angle de la poussée.
La figure 11.4 rappelle la méthode par semi transmission et montre son intérêt
du
point de vue de la poussée.
9~

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La figure 1 I.5 rappelle la figure numéro 82 de la premiére partie des
présentes,
nous montrons la possibilité d' attribuer des dynamiques à des parties fixes,
de
méme que la réalisation de mouvement de pale ckokwise.
La figure 1 I.6 rappelle 1a figure numéro 82 de la premiére partie des
présentes,
nous montrons la possibilité d' attribuer des dynamiques à des parties fixes,
de
même que la réalisation de mouvement de pale ckokwise.
La figure 11.7 résume les dernières figures, relatives à la poussée. Elle
montre
la régla générale qui consiste â, énoncer que le mouvement du vilebrequin est
circulaire, et que par conséquent, la poussée qui l' entraîne doit avoir des
vecteurs
vertical et un vecteur latéral.
La figure 12.1 montre met en relations les trois principaux types
d'observation de
la course de la pale d'une machine rotative.
La figure I2.3 montre comment les diverses méthodes de soutient ont été crées
à
partir de type d' observation différents, soit p~zr l 'exté~ieur°, far
l 'i~ctérieu~°, ou par
~bse~°vateur absolu, ou ~bse~v~teur synthétique.
La figure I3.1 démontre la pourquoi géométriques de ces apparentes
contradictions.
La figue 13.2 montre que les deux conceptions géométriques ressemblent fort à
celle du moteur standard, comparativement à celui à cylindre rotor. La f Bure
13.3.
montre les diverses avancement de la pale 100 d'une machine rotative standard,
par
rapport à son excentrique 101 . L'on voit que le retard de celle-ci est
notable. Par
conséquent, en plus du manque de poussée latérale, la machine souffre d'un
surcommandement de l' excentrique notable.
La figure 13.4 montre la vitesse relative d'un vilebrequin maître 101 de
machine
poly inductive. L'on y voit que celle-ci est relativement égale à celle de la
partie
compressive, la pale, et ce comme dans un moteur à pï~stons.
La figure 14 montre plus spécifiquement ce qui nous nommerons un mouvement
en Clokwise. Ce mouvement a été nommé mouvement en Clokwise parce que
semblablement à la dynamique d'une horloge.
99

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La figure 15.1 donne entre plus précisément dans la matière de la présente
invention. ~n y montre comment construire mécaniquement un mouvement
Clokwise.
La figure 15.2.1 montre qu' il suffira par la suite de relier rigidement le
cylindre ~
l' engrenage de lien, ou â l' axe central de rotation, pour compléter la
machine.
Le cylindre sera donc rétrorotationnel par rapport au mouvement Clokwise de la
pale.
La figure 15.2.2. montre la séquence des positions des pièces pour un tour de
la
machine.
La figure 15.2.3 montre nous aide â déterminer, dans la mécanique Clokwise,
exactement quelle pièce rotative exactement, le cylindre rotationnel remplace.
La figure 15.3 commente, dans une dynamique Clokwise de pale, le travail de la
totale surface de celle-ci lors de la poussée 131.
La figure 16.1 présente les principales qualités originales de cette machine,
sur
plusieurs plans, géométriques, mécaniques
La figure 16.2 montre que la même technique peut être appliquée â toutes les
formes primaires de machines rotatives et montre pour quelques unes , la
positon
séquentielle des éléments pour un tour de la machine.
La figure 17 montre la généralisation mëthodes de guidage des pales en
mouvement Clokwise.
La figure 18.1 que l'on utiliser, avec toutes les méthodes de guidage, la
méthode
par semi transmission pour inverser et contrôler le mouvement du cylindre.
La figure 19.1 résume les quatre principaux types de mécaniques bi inductif
A par poly induction
B par semi transmission inversive
C par semi transmission accélérative
D par bï mécanique dynamique l' un montante l' autre descendante
100

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La figure 19.2 montre la réalisation complête d'une machine rétrorotative â
mouvement Clokwise, non réalisée par poly induction, et ~. laquelle l'on
ajouté la
serai transmission accélérative.
La figure 20.1 montre l'application de la méthode en pale C'.lokwisc, pour le
cas de
cylindre fixes.
La figure 21. I montre que structure portant et structure rnotricc peuvent
aussi ne
pas être confondues. Dans celte figure en effet, l'on a une structure de
soutient
standard mono inductive sur un coté, ct une structure motrice sur l'autre
coté.
La figure 22 montre le type d' observation qui a pe ° s Ia tot:ale
réalisation de la
mécanique Clokwise.
La f gare 23 montre pour un tour Ia séquence d' e machine ~. mouvement
Clokwise de pale ~ quatre cotés.
La figure 24.1 montre pour tour la séquence d'une :machine ~. mouvement
Clokwise de pale â cinq cotés. Comme précéda ent, la machine pourra exploser
le méme nombre de fois que les faces de sa pale par tour.
La figure 24.2 montre les sin2ilitudes des machines postrotatives ~. mouvement
clokwise et rétrorotatives.
La figure 25 a) montre les difficultés de la méthode par engrenage
intermédiaire, et
montre comment faire passer la rr~achine de Compressive ~. I~Teutre, puis ~
Motrice.
La figure 26 montre, comment améliorer la méthode par engrenage cerceau
La figure 27 montre la méthode de poly maneton, réalisât avec une pale an deux
panics dont l' action de l' un par rapport â l' autre est latérale.
La figure 28 montre que pour réaliser, â la façon d'une machine à dynamique
Clokwise, une machine de type rétrorotative, l'on doit augmenter ne niveau
d' induction.
La f gare 29 montre une méthode cn pale Clokwise, et cylindre poly inductif
appliquée à une machine post rotative.
101

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La figure 30 montre les différentes maniêres de réattri~uer ct redynamiser les
parties d'une machine â piston, standard en a ) , orbital en b ) , par poly
manetons
en même sens en c ) , ct à contrario cn d ) , par cylindre rotor ~ axe f xc en
e ) et
par cylindre rotor poly inductif en f ) .
La figure 31a ) montre la seule distribution chc~ ~Vanklc que l'on d' Par
double
parties rotationnelles décentrées en cylindre unique o~. ~ double cylindre ,
La figure 31.b montre que cc qui semble être une redynamisation n'est en fait
qu' une rotation du moteur sur Iui-même et n' apporte aucune modification de
nature de quelque manière la machine
La f gare 32 montre les méthodes de support permettant c rendre la
distrïbution
par doubles parties rotationnelle fonctïonnelle au niveau moteur.
L' on a les méthodes par engrenages internes superposés en a) , par engrenage
talon
en b , et par engrenages internes juxtaposés en c )
La figure 33 monte la redistribution par cylindre poly-inductif / pale butoir
La f gare 34 montre la redistribution que l' on dira par ~'yli~adre ~~i~r p~ly
i~du~t
~aale r~tc~tio~nelle en anême se~zs.
La figure 35 reproduit une machine ~ cylindre circulaire ct pale â course
~lok~ise
rectiligne , telle que montrée ~ notre figure 11.3 .
La f gare 36 montre h. redistribution par Méthode par pale fixe au vilebrequin
La figure 37 montre la méthode par cylindre fies en périphérie
La f gare 3~ montre une redistributi~n par axe double augmentée par engrenages
polycamés.
La figure 39 montre la méthode par cylindre rotor poly inductif pale butoir,
augmentée par polycamation,
La figure 40 montre la possibilité dc mufti cylindres, circulaires, ou
circulaires et
poly inductif.
102

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La figure 41 rappelle la réalisation en poly maneton de second degré d'un
moteur
triangulaire. Dans cette réalisation, les deux éléments, pale et cylindre
rotor sont
guidées de façon poly inductive inversée. Le taux de compression de la machine
sera des plus pertinents.
La figure 42 montre que les inductions gouvernant la pale et le cylindre rotor
peuvent être diverses. Par exemple ici la pale à un mouvement en clol~wise
réalisé
par une poly induction sans vilebrequin maître et le cylindre poly inductif
est
contrôlé de façon mono inductive .
La figure 43 montre que la combinaison superposée de plusieurs machines, de
manière à centrifuger certaines matières est très réalisable.
La figure 44 montre que les figures d'utilisation de cylindre rotor avec
fonctions
dédoublées sont très variées au niveau des figures de cylindre mis en
relation, de
même qu'au nouveau du sens des rotation des systèmes mis en relations.
La figure 45 montre deux figures de machines réalisées avec un organe de
poussée
bi fonctionnel, similaire à celui de la figure 44. Cependant ic:i, l'usage
prévu de la
pale intérieur est Moteur, par conséquent.
La figure 46 donne un autre exemple de machine à cylindre rotor servant à la
fois
de pale.
La figure 47 montre par exemple que le cylindre rotor triangulaire tournant
rétrorotativement dans un cylindre carré de la machine, peut aussï servir de
cylindre
à un moteur secondaïre, interr~.e de type triangulaire,
L,a figure 48 montre une pale en mouvement Clokwise , pour laquelle un
cylindre
rotor agit rotativement à contrario , ce cylindre rotor étant lui-même le
pïston d' un
second cylindre , purement rotationnel.
La figure 49 montre Ia mono induction par engrenages pigna~ns.
La figure 50 montre les utilisations possibles des machines, dont les pales
peuvent
prendre plusieurs formes et accepter plusieurs matières.
La figure 51 fait un tableau récapitulatif très synthétique des principales
attribution et redistributions de premier, deuxième et troisième degré,
1 U3

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La figure 52 est un tableau récapitulatif des méthodes de correction et d'
élévation
de degré des machines de pre~~ier niveau ~ un niveau supérieur.
Description détaillée des figures
La figure 2 montre I'ensemble des méthodes de soutien des parties dynamiques
des
machines motrices, formant le corpus mécanique de premier degré de celles -ci.
Les méthodes comprennent
Croupe a ) - par mono induction ( ~Ia~lc )
- par engrenage intermédiaire ( (~nl~le
Croupe ~ ( présentées antérieurement par Ie même inventeur
104

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Groupe c) présentées aux présentes
- par mono induction d'engrenages pignon ( eaudoin )
- par maneton d' engrenage cerceau ~ eaudoin )
Les deux premiéres sont attribuables ~ Wani~le, et l'ensemble des méthodes
subséquentes au présent inventeur. L'on aura soin de consulter les travaux
antérieurs pour une meilleurs appréciation celles-cim
Les deux dernières méthodes sont présentées aux présentes et seront co entées
plus précisément à la figure 1 ~ , a et b )
I05

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La figure 3.1 rend compte de l' art antérieur des machines de premier degré,
dont
les pales ne sont pas libres mais totalement guidées mécaniquement. Cette
figure
rend compte des figures et méthodes de soutient. Nous y annotons le nombre
d' éléments constitutifs.
En a) , l'on a les figures à enc~>ignures arrondies , rectangularisées,
dissymétriques.
En b, l'on a les figures verticaüsées, horizontalïsées, sinuosidales,
rectangularisées,
et en ballon.
La figure 3.3 montre les trois principales spéci~cités des machines de premier
degré, relatives au mouvement de pale, d' excentrique et â l' encrage.
En c, l' on a un soutient de piéc;es de e mono inductif L' encrage centré , et
non
dynamique , conserve les rapports de poussée latérale inopérant , tout au long
de la
course. I~u point de vu latéral, le moteur demeure à son temps mort tout au
long de
sa course. S'ajoute ~, cela, un faible rapport de couple positionne) 10 .
La figure 4.1 a) montre la structure compressive de la poly tdag°bine,
dont ilson
106

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( 1975) a été le premier à montrer Ia possibilité sans pouvoir en assurer
adéquatement le guidage . L,a fBgure montre Ies deux principaux moments de la
course des pièces de la structure palique des polyturbines. L' on voit le
déplacement
et la déformation de la structure palique 12 dans Ie cylindre :,.
Alors en effet que la surface extérieur des pièces d'une machine post rotative
produit successivement des bombages vers l'extérieur 14, c~,lle d'une machine
rétro
rotative en produite vers I' intérieur 15 . Quant à la machine birotative, sa
course est
une synthése des deux premiéres et est ainsï sinusoïdale 16.
Quant à la machine de type post rotative, l' on peut noter un excés de
déplacement
latéral 23 nuisant au couple de la machine. I~a fi e idéale consisterait à
réduire
les bombages 24, sans réduire la portée, tout en augmentant I' aire des
chambres à
combustion.
Dans les deux cas, une partie des solutions permettant de réaliser ce cylindre
idéals,
passera par une course du positionnement des pales nc>n circulaire, ou encore
non
régulier circulairement 18, 19.
La figure 5.1 montre succinctement Ies principales méthodes permettant de
hausser
le degré des machines, les faisant passer de mono rotatives ~. bi rotative.
107

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Quant au moteur rotatif, si l~ ors oublie pour l' instant les contre poussées,
puisque la
pale ne travaille pas de façon r~guli~re comme dans les moteurs ~ pistons, l'
on peut
108

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~ tout le moins noter que le déplacement de la pale, suce l'excentrique
comporte
l' avantage suivant d' étendre la portée u couple vers l' extérieur 39, ce qui
est cn
soi positif. Cela ce fait cependant au détriment de l'angle dc couple qui a dc
la
difficulté â se construire 40.
Le moteur rotat~ dans son montage con-~entionnel, ne p~°oduit aucun e,
ffët laté~°al,
puisque comme nous le montts~°°crons plus abondamment, l'encrage
cent~~ lo~°s de
l'explosion ne se décentre pas, comme dans le cas des machines ~z pistons, en
coins
de descente.
Les deux principales méthodes de l'art antérieur, attrib~uable:~ ~. le sont
celle
que l' on dit de mono induction, et celle par engrenage intermédiaire.
Lcs deux méthodes sont issues cornrnc on le verra de compréhension différente
des
aspects géométrico dynamiques de la machine.
IJne dernière difficulté est la vitesse dc l' excentrique, supérieures ~ celle
de la pale.
La poussée est donc toujours en surcommandement.
109

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La poussés restrictive sur la pale, I' action unique de l' cxcsntrique, le
mauvais
angle ds couple st le surcommandemsnt ds l'excentrique sont autant ds
difficultés
qui rendent la machins st meilleurs machins compressive qu'un bon moteur.
La figure 7.~ montre que l'cxccniriqus est toujours forcé, dans une mécanique
dc
type conventionne à travailler deux fois plus rapidement que la pale, cs qui
produit
un sur commandement constant de cafta partie.
En a) la machins est à sa phase explosive. En b, cn cours de descente, la
pale, qui
n'a tourné qu'un huitiéms ds tour, doit forcer l'excentrique ~. sn tourner un
quart.
En c , cn cours de descente, la pals, qui n'a tourné qu'un quart de tour ,
doit forcer
l' excentrique à en tourner un demi.
Le manque d'éléments prive donc la machins du degré dc versatilité nécessaire
à
sa corrects réalisation sous forma motrice.
La figura 7.3 montra que mémc dans lc moteur à piston, lorsque l'on dcsccnd cn
deçà des du nombre minimal .'éléments constitutifs, la machins réalisa encore
ses
capacité de type compressives, mais non pas ses capacités rr~.otricss.
En a, l'on voit bien que la poussés verticale 49 du piston sc ~.~ransfert par
lc recours
à la bielle sn une poussé vsrticalo latérale 50 sur le vilebrequin.
110

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En b , dans le moteur à bielle coulissante, la bielle ne constitue plus qu'une
seule
pièce avec Ie piston. La machine est donc réduite aux tr~is éïéments suivants,
un
ensemble compressif, un vilebrequin, et un point d' encrage central.
La poussée latérale, comme dans le moteur rotatif à guïdage conventionnel est
totalement perdue 51.
La figure 8 fait un rappel de notre solution, dans une perspective relative la
p~ussée que l'on a dite par engrenages polycamés.
Nous avons montré à plusieurs reprises que Ia solution par engrenages
polycamés
amëliorait la courbure des cylindres. La présente a aussi pour effet de
montrer
qu'elle améliore aussi la poussé sur l'excentrique. Nous donnons ici l'exemple
le
plus simple, soit appliqué à un moteur rotatif a mono induction. Ici, la
polycamation des engrenages ~2 permet de positionner le point de couplage en
cours de descente, de façon plus antérieure 53, ce qui réduite pour autant
l'effet
arrière et allonge l'effet avant. En b, au contraire, lorsque la polycamation
se fait
par un positionnement des engrenages en sens inverse, l'explosion peut éire
faite en
retard, ce qui entraîne une explosion sur des pièces déjà plus latéralisée, ce
qui
permettra, de plus, à la pale de réaliser une vitesse avoisinant celle de
l'excentrïque
lors de la descente, retranchant ainsi le sur commandement de celle-ci
En c , nous proposons une figuration de l'effet sur la poussée de
l'utilisation
d'engrenages polycamés. Si nous comparons en effet le dessus de la pale à une
planche 54 disposée sur un pol.nt d'appui central 55, L'on vc>it que les
poussés y
sont contraires aux contre poussées, ce qui la garde en équilibre.
L'utilisation d'engrenages polycamés a exactement le même effet, dans ce type
d'exemple, que si l'on avait déplacé le point d'appui 56. Sous une poussé
égale,
représentant l'amorphie de l'explosion, 1a pale s'inclinera 5'é et produira
une action
rétrorotative, qui pourra s'ajouter à l'action rotative positionnelle de
l'excentrique.
La figure 9 met dans une perspective en rapp~rt avec la poussée notre-solution
que
l'on a dite par étagement d'induction. Dans ce type de montage, nous visons
essentiellement à réaliser des machines de second degré, qui auront
simultanément les qualités de réaliser un compression optimale, avec le
meilleur
couple possible, Ies mécaniques réalisant ces machines produisent donc des
pales
dont les course centrales, et non seulement des extrémités, sont poly
inductives. Par
exemple, ici dans le moteur triangulaire la, course du centre de pale à
l'image d'un
triangle inversé , alors que la course du centre de pale d'une machine post
rotative à
à la figure d'une ellipse.
111

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1!/Iais ces réalisations n'ont pas pour seul effet d'améliorer la forme des
cylindres,
Comme on peut le constater, puisque les parties motrices de ces machines ont
été
placées en cours de descente, les parties motrices forment t~~ angle
permettant de
réaliser un haut degré de couple. Déjà un tiers de leur descente, les
vilebrequins
étagés sont à demi cassé 5$, et leur angulation est en plein dans lc sens de
la
surface de la pale, ce qui surpasse même les moteurs à pistons.
Comme précédemment , si l' on compare la pale à une planche 54 disposée sur un
appui 55 , l'on pourra s'imaginer ici, qu'elle est disposée sur un appui
étagé, qui
s'affaïssera 56 sans résistance lors de la descente.
La figure 10 montre une réalisation par piston/cylindre rotor déjà présentée
par
l' inventeur, et qui permet de réduire la participation du piston rotatif à la
poussée,
et par conséquent de ses effets négatifs.
Toujours relativement à la question de la poussée sur les pales des machines
rotatives, l' une des solutions déj à soumises par l' inventeur ~. été de
réaliser un
niveau secondaire de maneton dans l'excentrique central des machines
rotatives,
pour y joindre bielles et pistons, qui seront ensuite glissés, à la manière
d'une
machine à cylindre rotor, du même inventeur, dans le piston, qui sera alors
simultanément cylindre. Cette action permettra non seulement de soustraire une
partie de la pale au déséquilibre orientationnel, mais ai:cssi df; prof ter
directement
de la rapidité de descente du vilebrequin 60. De plus, on notera que si les
manetons
sont de plus désaxés postérieurement-antérieurement, le sorr~met de montée du
piston cylindre rotatif ne sera pas identique à celui des pistons
conventionnels, d' où
des moments d'explosions retardés et un temps mort complet annulé.
Encore une fois, si l'on compare, tel qu'en b , le dessus de la. pale à une
planche 54
disposée sur un point d' appui central ~ 5 , en lesquelles les forces
antérieures et
postérieures annulent la rotation de selles-ci autour de son point d'appui,
l'on
produira cette fois-ci cette planche de façon incomplète au centre 62 , et on
la
complétera par une tierce partie, représentant la tête des pistons secondaires
. Cette
tierce partie sera la surface des pistons secondaires disposés dans les sous
cylindre
du cylindre rotor. Ce déséquilibre est d'autant plus inhérent au systéme si
les deux
axes sont au surplus successifs, ce qui se passe lorsque les deux manetons ne
sont
pas simultanément au sommet. Dés lors l' action, l' action décentrée de la
piéce
centrale 64 détruira l' équilibre de l' ensemble du système et forcera la
rotation de la
planche principale 65.
1~2

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La figure 1 1. l montre le processus géométrique de construction de la méthode
par
poly induction en a. En b, l' on y v~it les raisons pour lesquelles ce type de
construction réalise, surtout si les inductions sont en dehors la pale, la
complète
participation positive de la surface de la pale à l'expansion.
La méthode de poly induction trouve sa source dans une observation que l'on
dit ,
observation absolue, puisqu'elle est faite à partir d'un pièce rotative
tournant à la
vitesse moyenne de la pale, à l'extérieure de la machine.
Cette observation permet de constater qu' un point situé sur la pointe des
pales
effectue, dans le cas d' une machine standard deux rotations sur lui-même par
tour
et réalise la forme du cylindre 66. Par contre un point situé au milieu de la
ligne
des cotés réalise une course similaire, mais cette fois-ci en angle opposé à
1a
première 67. Ides points situés entre ces parties réalisent des doubles
rotations et
réalisent des figures similaires mais cette fois-ci obliques.
Ire plus, l'observation révèle une distance toujours égale 68 entre ces
courses en
dépit des variations de sens à contrario l' en de l' autre.
La figure 11.2 montre la mécanique du guidage par poly induction. L'on pourra
donc soutenir la machine par deux excentriques que l' on aura disposé en deux
endroits contraires de leur course, L' un au maximum de son lobe et l' autre à
son
minimum. L' on reliera la pale à ces eux excentriques. Le montage est ici
réalisé
avec deux excentriques en dehors de la pale, ce qui erg acce'~tue les
caractéristiques.
Si l'on poursuit notre comparaison de ce Type de montage, avec la surface
d'une
planche, disposée sur un point d'appui, l'on pourra simuler ce qui advient en
cours
de descente en montrant qu' il s' agit plutêt de deux étagement de planches SS
et
points d'appui ~4, dont l'ensemble supérieur se décentre, en cours de descente
70,
entrainant le décentrement simultané de l'échafaudage inférieur.
La figure 11.3 rappelle, du même inventeur la solution par engrenage cerceau,
pour en effectuer le commentaire sous l'angle de la poussée.
L' intérêt de cette méthode de soutient est des plus importants au point de
vue de la
poussée pur la raison principale suivante que dans celle-ci la contre poussé
des
méthodes par encrage centré est annulée d' elle-même par le double encrage e
celle-
113

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ci lors dc la descente. En effet, lors de Ia descente, la poussée antérieure
sur la pale,
produit, avec son double encrage , un effet de poussée en Ievier dur le
maneton du
vilebrequin.
Par ailleurs, la poussée postérieure, encrée ~ la fois sur l'engrenage, et sur
le
soutient central 72, ou le bassin de l'engrenage cerceau, produit un force de
poussée descendante annulant sa propre contre poussée. I,a poussée sur la pale
est
donc toujours positive, comme dans les moteurs ~ pistons.
C'est ce que l' on peut constatE;r dans l' imagerie présentée en b, ou les
poids ct
contre poids forcent la rétrorotation de la pale en cours de descente.
La figure I I.4 rappelle la méthode par serai transmission et montre son
intérét du
point de vue de la poussée.
Touj ours en gardant l' image dc la planche, l' on peut s' imaginer ici qu' il
s' agirait
de deux ensembles de planche, et que Ie poids délesté sur I' un augmenterait
la
déaxation de l'autre, ce qui produirait Ia rétrorotation autour du pivot
La figure 1 I.S rappelle la figure numéro ~2 dc la prciére partie des
présentes,
nous montrons la possibilité d'attribuer des dynamiques ~. des parties axes,
de
méme que la réalisation de mouvement de pale Clokwise.
L,a figure 1 I .6 rappelle la f gare numéro ~2 dc la prc~~ière partie des
présentes,
n~us montrons la possibilité d'attribuer des dynamiques â des parties fies, de
même que la réalisation dc mouvement de pale Clokwise.
114

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En a), l'on rappelle la solution par engrenages cerceau, en b) celle par
engrenages
polycamés, en c) par servi transmission, et en d) par combinaison étagée
d' inductions.
La figure I2.1 montre met en relations les trois principaux types
d'observation de
la course de Ia pale d'une machine rotative. L'on peut tout d'abord déterminer
un
type d'observation par l'extérieur 85. Cette observation mettra en évidence la
vitesse plus lente de Ia pale, que celle de son excentrique 8f~.
Une deuxième d'observation naît d'un point de vue sü:ué sur l'excentrique 87.
Cette observation révèle que la pale la rotation arrière par rapport ~.
l'excentrique
88.
Un troisiéme type d'observation que I'on no era par observateur absolu, est
construite. Elle réalise en effet L'observation d'un observateur que l'on
aurait
disposé sur une partie rotative; tournant â une vitesse relative égale â celle
de la
pale.
Cet observateur verrait nécessairement que ies pointes des pales tournent
parfaitement circulairement, par a°apport ~z lui-~raée. ~0 Il en
déduisait donc que le
ynouvement, en apparence en double boYnba~e de l'ext~°éinitP des pales,
lorsque
obse~°vé de l'extérieu~°, est en~~it l'addition et la
co~nb~inaison de deux ~rcouvernents
ci~culai~°es, l 'un maïtre, et l 'auty°e ~ta~é,
secondai~°e.
11~

CA 02442351 2003-09-04
La figure 12.3 montre comment les diverses méthodes de soutient ont été crées
à
partir de type d' observation différents, soit pas 1 'extér~eu~, pas l
'intérieur, ou par
observateur absolu, ou observateur synthétique. La figure montre en effet que
les
méthodes de soutien sont directement issues, chacune d'un type spécifique de
méthode d'observation.
En a ) l'on voit que l'observation par observateur fixe extérieur donne
nécessairement lieu à la méthode par mono induction, dont l'engrenage interne
a pour objet de réduire, justement, la vitesse de la pale.
En b ) l'on voit que l'observatîon par observateur situé sur le vilebrequin,
donne
pour sa part naissance à des méthodes de soutient telles par engrenage
intermédiaire, engrenage cerceau, engrenage central ,engrenage talon et ainsi
de
suïte, puisque ces méthodes visent plus spécifiquement à réaliser la
rétrorotation de
la pale.
En c) l'on voit que l'observation constructive réalisée à partie d'un point
circulaire
absolu, en rotation à la vitesse relative de la pale, donne lieu, comme on la
vu, à la
méthode par poly induction.
La figure 13.1 démontre la pourquoi géométriques de ces apparentes
contradictions. Cette différence tient au fait que si l'on réalise, à partir
d'une pièce
en rotation rapide 90, un mouvement planétaire rétrorotatif 91, plus ample,
mais
aussi plus lent en a) , l'on produira trés exactement la même fgure 95 que si
l'on
réalise une course rotative lente 92 , avec un mouvement planétaire
postrotatif 93
plus petit , et plus rapide.
Or même si les figures résultantes sont identiques,1es mécanisations de ces
figures
sont totalement différentes. Nous pensons que la forme anoteur est la plus
pertinentes est celles par paly iducti~r~. Nous pensons aussi que la forme
compressive la plus pertinent est la forme par réalisée à partir de toute
autre
méthode d' induction.
Ce raisonnement met en évidence qu' il est lacunaire de réaliser les machines
motrices sous Leur forme compressive. Nous montrerons plus loin, lors de nos
réattributions et redistributions que le l'excentrique maure des méthodes
compressives, est en réalité l'excentrique planétaïre de Ia méthode par poly
induction, et que la pale, en rétro rotation joue le rôle du vilebrequin
maître de cette
1If
. .. ., . -_ 4 ._; ~,.~. ~:. ,:_: _ . ~:~ ,.__ ., .v .-... . , . _-- j~-:,-, -
_ .~ ..,~ ~ . ~ ~__ _ . T _ - ~__

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même méthode. Ces constatations feront mieux comprendre les conceptions
lacunaires, basées sur l'expérience, qui ont fait naître ces machines.
La figue 13.2 montre que les deux conceptions ressemblent fort à celle du
moteur
standard, comparativement à celui à cylindre rotor. Dans le deux cas, en
effet, l'on
a pour ainsi dire disposé le vilebrequin en périphérie, et l' excentrique au
centre.
Dans le moteur rotatif, avec montage conventionnel, c'est un peu comme si le
vilebrequin étant confondu 95 avec la pale elle-même et tournait
rétrorotativement
autour de l' excentrique, sans que l' on puisse récupérer cette force.
De la même manière, dans le moteur à cylindre rotor, le vilebrequin est
confondu
avec le cylindre rotor. C' est un peu comme si la puissance devait partir du
centre,
pour monter en périphérie, puis redescendre au centre,, ce qui est contraire à
un bon
développement de la puissance.
La figure 13.3. montre les diverses avancement de la pale 100 d'une machine
rotative standard, par rapport ~ son excentrique 101 . L'on voit que le retard
de
celle-ci est notable. Par conséquent, en plus du manque de poussée latérale,
la
machine souffre d'un surcommandement de l'excentrique notable.
La figure 13.4 montre la vitesse relative d'un vilebrequin maître 101 de
machine
poly inductive. L'on y voit que celle-ci est relativement égale â celle de la
partie
compressive 100, Ia pale, et ce comme dans un moteur à pistons.
La figure 14 montre plus spécifiquement ce qui nous nommerons un mouvement
en Clokwise. Ce mouvement a été nommé mouvement en Clokwise parce que
semblablement à la dynamique d'une horloge, en b) en laquelle les aiguilles
tournent, mais Ies chiffres demeurent toujours verticaux, l'action de la pale
est
circulaire, positionellement 105, mais nul 106, dans son aspect rotationnel,
cela
étant observé par l' extérieur. Ce mouvement permettra par sa stabilité
orientationnelle, de capter, comme dans la machine à piston standard, toute
l'énergie de la poussée de l'explosion. Par ailleurs son absence de bielles,
et sa
propre rotativité lui conféreront certaines des qualités des pales de machines
rotatives. L'on trouve donc en a et en deux mouvement en Clokwise, l'un de
pale
triangulaire, et l' autre de pale à deux cotés.
La figure 15.1 donne entre plus précisément dans la matière de la présente
invention. ~n y montre comment construire mécaniquement un mouvement
Clokwise. La façon la plus simple consiste tout d'abord à monter rigidement
deux
117

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axes 1 I 0 dans le flanc de la machine. L' on montera ensuite rotativement sur
chacun
de ces axes un excentrique i 11, lequel excentrique sera muni d'un moyen de
contr~le, tel un engrenage de type externe 1 I2. L'on montera ensuite, au
centre de
la ligne unissant les deux premiers, un troisième axe 113, cette fois-ci
préférablement rotativement 114. L'on montera ensuite une pale 115 pourvue de
trois extrusions sur les excentriques de support déjà commentés, et cela aussi
de
telle manière que l'extrusion centrale laisse passer l'axe rotatif. L'on
fïxera ensuite
un engrenage de lien 116 à l'axe central, et ce, de telle manière que celui-ci
couple
indirectement les deux engrenages excentriques 117. I.,' on notera que cet
engrenage
pourrait aussi être de type interne, ou encore une chaîne.
La rotation de cet engrenage 117 entraînera la rotation simultanée des
engrenages
de pale 118, et par conséquent, celle-ci réaliser un mouvement en CIokVVise.
120
L'on notera que la pale pourrait au contraire être munï.e d'axes fixes I21,
insérés
rotativement dans des trous prévus à cet effet dans les excentriques 122 , ce
qui
assurerait une meilleure stabilité aux pièces, tel qu,on peut le constater
dans
l' encerclé
La figure 15.2.1 montre qu' il suffira par Ia suite de relier rigïdement le
cylindre à
l' engrenage de Iien I23, ou à l' axe central de rotation, pour compléter la
machine.
Le cylindre sera donc rétrorotationnel par rapport au mouvement Clokwise de la
pale. Ce mouvement rétrorotationnel compensera la perte du vilebrequin maître.
flous montrerons plus Ioin comment, par l'observation à partir des
excentriques, été
créée la courbure du cylindre. :La figure montre en ef~èt que pour créer une
machine complète à partir de ces pales en mouvement Clokwise, il faut , pour
les
machines post rotative, réaliser la machine avec un cylïndre monté
rétrorotativement dans celle-ci , c' est à dire en sens contraire du mouvement
en
Clokwise de la pale. Aussi simple que cela puisse paraitre, L'axe de cylindre
pourra
être reliée à l'engrenage de pale. l~Iais le cylindre pourra aussi être relié
directement à l' engrenage interne, si c' est cet engrenage que l' on aura
privilégié.
La figure 15.2.2. montre la séquence des positions des pièces pour un tour de
la
machine. En a, l'on voit que la pale est à sont plus haut niveau 125. En b,
elle
amorce sa descente, mais sans aucun changement orientationnel. Le cylindre est
actionné rétrorotativement et compense le changement de position de Ia pale,
et ce
de telle manière que ses courbures épousent toujours parfaitement la pale. En
c, la
pale a continué son mouvement en Clokwise, sans modification orientationnelle.
Cependant , encore une fois la rotation en sens inverse du cylindre complète
le
travail., et ce avec pour résultat que Ia compression s'est à nouveau formée
en
118

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celui-ci et la pale, permettant une seconde explosion 125 . En d, e, et f , le
mouvement se poursuit jusqu'à ce que les pièces retrouvent leur position
initiale.
Une autre explosion pourra avoir lieu en e). Ces figures rappellent les figure
82, et
83 de la première partie de ce travail, en lesquels, la pale à un mouvement
Clokwise poly inductif en 82, et simplement rotationnel en 83.
En observant de plus près la séquence, l'on peut aussi constater, que le
mouvement
en Clokwise du piston est en sens inverse de celui du cylindre, ici d'une
vitesse à
~°aison de deux fois supérieur. Il s'en suit que les parties aplaties
du cylindre font
rej oindre celles du piston, et participe à l' éloignement des pièces. L' on
imite par là,
la déconstruction plus rapide souvent remarquée par nous-même pour les
rétrorotatifs. Comme on le verra plus loin, d' ailleurs, une mécanique
ïdentique peut
être applicable à ces deux machines, ce qui montre le~,~rs liens intrinsèques,
l'un
étant presque le négatif de l' autre.
La figure 15.2.3 montre nous aide à déterminer, dans la mécanique Clokwise,
exactement quelle pièce rotative exactement, le cylindre rotationnel remplace.
L'application du mouvement Clokwise à une machine de type rétrorotative
permettra de donner une réponse à cette question. En effet le mouvement
Clokwise
s'applique aussi pour les machines rétrotrotatives, Cependant, ici , comme la
pale
reprend le mouvement des excentriques secondaires, et que ceux-ci étaient en
sens
c~ntraire de celle-ci, l'on devra compenser par un mouvement de cylindre dans
le
même sens 130. Cette constatation permet de comprendre que le cylindre
remplace
le mouvement des excentriques supérieurs et non du vilebrequin maître, ce qui
est
plus difficile à déterminer pour une redistribution de type post rotative,
puisque les
deux rotation sont dans le même sens.
L' on notera, ici, puisque le mouvement du cylindre doit être dans le même
sens que
celui des excentriques, que l'on pourra le produire assez facilement , par
exemple
par un engrenage central 140 relié à un engrenage de lien cette fois ci
décentré 141
. Ce couplage à l'engrenage de lien en sens inverse ramènera le tournage de
l'engrenage central dans le même sens que celui des excentriques 142, tel
qu'on
peut le constater dans l'encerclé
L' on parle donc à la fois de réattribution et de redistribution, et cela
selon la
méthode d' observation par l' absolu. L' on voit donc pourquoi ce type de
redistribution était impossible dans l'art antérieur.
La figure 15.3 commente, dans une dynamique Clokwise de pale, le travail de la
totale surface de celle-ci lors de la poussée 131. L'explosion ne développe
aucune
119

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force latérale. Son intelligence est amorphe, directionnellement, comme les
corps
qui tombent toujours vers le vas. Comme on l'a vu, la surface du piston
standard
cylindrique absorbe totalement la puissance de l'explosion et la
latéralisation de
cette force est faite par la bielle.
Nous avons donc constaté que ce mouvement, que nous avons nommé mouvement
Clokwise, qui se situerait entre celui du piston standard et celui de la pale,
puisqu' il
serait positionellement rotationnel, mais orientationnellement stable.
A ces considérations, il faut ajouter la poussée en sens inverse sur le
cylindre 132,
qui puisque celui-ci est relié mécaniquement à la pale, participent à
l'énergie totale.
Il est important de noter ici que l'ensemble demeure poly inductif, mais que
sa poly
induction est paxtagëe selon un découpage rendu possïble par l' observation
absolue.
La figure 16.1 présente les principales qualité originales de cette machines
Il est
en effet important de consacrer ici plus de temps à la divulgation de cette
réalisation qui selon nous réalisa à la fois plusieurs caractéristique
motorifiques
notables, dont sa simplicité , son couple, son absence d' accélérations
décélérations ,
son aspect I9~Ioteur et ainsi de suite.
L' on a en effet devant nous premiérement des machines dont la poussée sur les
pale sera sur la surface totale 150, ce qui est un net avantage sur les
machine
rotative pale rotationelle orientationellement.
Deuxiémement, il est important de noter d'absence d'accélération décélération
de
toutes les parties sans exception. I51 , ce qui est certes un apport
important, non
seulement en ce qui a trait aux moteurs à pistons, amis aussi aux moteurs
rotatifs,
Troisièmement, l'on notera. en cours de descente, u~le de cou lp e comparable
aux machines a pistons, 152 , ce que l' on ne retrouve dans aucune machine
rotative
Quatrièmement, l'on notera aussi une expansion rotative du coté du cylindre
153 ,
ce qui ajoutera à la puissance totale de la machine puisque la rotation du
cylindre
est réalisée en combinaison mécanique de celle de la pale
Cinquièmement, cette expansion rotative sera désaxée 1 ~4, ce qui augmentera
la
rotation du cylindre et du systëme.
120
. , ~ . ~ :. ... .. ,.,. , s~~.~n«k .~~ . . . . . _ _...

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Sixièmement, l'on notera un axe moteur puissant, qu'il s'agisse de l'axe
moteur du
cylindre 155, ou de celui de l'axe transversal.
Finalement, l' on notera le peu de pièces, et que dans le cas en lequel, l' on
désirerait
réaliser la machine en combinaison plus d'un cylindre, la possibilité de
relier les
engrenage des excentrique ensemble par une engrenage de cylindre interne
permettra de réaliser la machine avec u excentrique double activant les deux
pale.
Dans ce type de machine, des axes sont transversalement et fixement disposés
dans
les murs de Ia machine. Sur ces axes sont disposés rotativement deux
excentriques,
chacun d' eux étant munis d' un engrenage d' induction. Sur ces excentriques
est
disposés un piston de l'une des formes primaires de fart des rotatifs.
Cette pale comporte préférablement une extrusion en son Centre, permettant le
passage de l' axe central. Un axe central traverse la machine rotativement,
cet axe
étant muni d' un engrenage d' induction d' axe, et, d' autre part d' un
cylindre, de
forme aussi parmi les grandes formes rotatives. La disposition des éléments
reliée à
l' axe est bien entendu faite de telle manière que l' engrenage d' induction
de celui-ci
couple à la fois les deux engrenages d'induction, et simultanément, de telle
manière
que le piston et le cylindre soient couplés. Et ce de telle marnière bien
entendu que
le cylindre comprenne la pale
Comme on l'a déjà mentionné à plusieurs reprises, les couples en cours de
descente, des machines post rotatives est très faible en relation avec les
machines à
pistons et rétrorotative.
Or l'un des premiers aspects intéressants de Ia présente méthode dynamique
constate à traiter le piston, d'une certaine manière, avec un dynamique se
situant à
mi chemin de celle d'un piston conventionnel et d'un piston rotatif. Comme un
piston rotatif, en effet, la course descendante de celui-ci n'est pas
rectiligne, mais
courbée. D'autre part, comme un piston conventionnel, sa surface demeure
horizontale, et aucune rotation orientatïonelle n' est réalisée par celui-ci.
Les eîfets
sur le couple se font donc sentir. En effet, puisque l'on n'essaie pas, comme
c'est le
cas d'un piston rotatif, de la faire tourner, mais plutôt, comme pour un
piston
conventionnel de l'affaisser, Ia poussée sur cette élément sera plus
puissante. En
effet, si l' on ne considère que cet élëment, l' on verra qu l' angle d'
attaque. En mi
descente, est plus faible que dans le cas d'un moteur à pïston, et d'un moteur
rétro
rotatif, mais plus fort que dans le cas d'un moteur post rotatif.
121

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Mais , iI faut ajouter à ceci, d'autres paramètres, puisque en effet, la
détente n'est
pas constituée que par la seule poussée du piston , mais aussi par la poussé
en sens
contraire du cylindre. Cette double poussée à contrario est selon nous l'
idéal de la
motorisation. Nous montrerons plus abondamment plus loin des exemples de cette
notion appliquée aux machines à pistons et qui front mieux comprendre les
effet
que l' on dits, Compresseurs, Neutres, ou Moteurs, dans une machine.
Pour le moment, nous nous bornons simplement à souligner que cette action
antirotative du cylindre, est l'une des manières de plus que nous avons mises
de
l'avant pour permettre la réalisation bi rotative des machïnes. De toutes les
maniéres que l'on puisse la réaliser en effet, la birotativité tente de
profiter le la
pale sur toute sa longueur, et ce tout autant des effets rétro rotatifs que
post rotatifs.
D' autres points des plus intéressants sont à souligner à propos de cette
machine.
L' un d' eux est fiés certainement l' absence d' excentricité, l' absence d'
accélération
et décélération des parties. Il se passe ici comme sï l'ont avait réalisé de
façon
rotative le moteur à cylindres rotor.
Un autre point des plus pertinents sera fiés certainement le suivant. L' on
sait que,
comme nous l'avons souligné à maintes reprise, la puissance d'un moteur
rotatif
standard est de beaucoup diminuée par le nombre de trois fois supérieurs de
rotations du vilebrequin par rapport à sa pale.
Dans le moteur à poly induction, nous avons montré que l'on pouvait réaliser
ces
machines de telle manière que le vilebrequin principal tourne à raison de un
pour
un de sa pale, ce qui a augmenté la puissance de sortie pour autant.
Le ratio est ici encore supérieur. Si, en effet, l'on se sert de l'axe de
cylindre
comme axe moteur, la sortie du moteur passera de trois fois plus rapide que
celle de
la pale à deux fois plus lente, soit donc une vitesse dans un rapport de six
fois
inférieure. La puissance de cet axe sera donc de six fois supérieur.
L' on achèvera cette brève mise en valeur, par le double appui, limitant la
friction,
par l' idée que le cylindre peut à la fois servir de magnéto, pour encore par
celle que
le piston peut à la fois servir de valve dynamique. Finalement, l'on doit
ajouter que
comme dans le cas de toutes machines, les engrenage peuvent être polycamés de
telle maniére de réaliser des accélérations et décélérations de vitesse des
éléments,
permettant de réaliser des cylindres plus adéquat, diminuant de façon encore
plus
notable, l' incidence du temps mort et les excés de compressions.
122

CA 02442351 2003-09-04
L' ensemble de ces caractéristiques très différentes autant des machines à
pistons et
des machines rotatives nous permet de parler judicieusement de machines
Rotationnelles, par opposition à machine rotative. En effet, ici, aucune pièce
planétaire, uniquement et strictement des pièces en mouvement, et plus
particulièrement en contre mouvement.
La figure 16.2 montre que Ia même technique peut être appliquée à toutes les
formes primaires de machines rotatives et montre pour quelques unes , la
positon
séquentielle des éléments pour un tour de la machine.
La figure 17 montre la généralîsation mëthodes de guidage des pales en
mouvement Clokwise. Comme on pourra Ie constater, Ie mouvement Clokwise
garde la surface de la pale stable orientationellement. C'est ce qui est
observé de
l' extérieur. D'une observation située sur le vilebrequin, l' on s' apercevra
que la pale
est en rérorotation à exactement la même vitesse que celle du vilebrequin, ce
qui en
annule justement la partie orientationnelle.
L' on pourra donc, après ces constatations réaliser le mouvement Clokwise avec
toute l'ensemble des inductions déjà répertoriées par nous-même, en réalisant
la
spécification suivante, à l'effet que dans ce type de montage, les engrenages
de
support et d' induction doivent être dc n p~ur° un 160 .
En a, b, c, de la présente figure, l' on retrouve trois exemples de ces
montages, en a ,
l'on a construit Ie mouvement Clokwise par engrenage intermédiaire, en b par
engrenage cerceau, et en c par engrenage actif central.
Il s'agira, dans un deuxième temps de relier ces induction à inductions de
cylindre
dans le sens du montage avec engrenage intermédiaire , celui-ci sera faït en
doublé
et activera rétroactivement engrenage interne de cylindre , dans la cas du
montage à
engrenage cerceau , un engrenage central fixe qui sera couplé . Un engrenage
intermédiaire sera couplé à l' engrenage interne de pale.
Dernièrement, dans le cas du montage avec engrenage central dynamique, celui-
ci
doublé d'un engrenage pignon, qui sera couplé â un engrenage pignon qui ~. son
tour sera couplé à l'engrenage pignon de cylindre , un peu à la manière de la
méthode serai transmittive.
La figure 18.1 que l'on utiliser, avec toutes les méthodes de guidage, la
méthode
par serai transmission pour inverser et contrôler le mouvement du cylindre. En
a),
l' engrenage de support de la méthode par engrenage cerceau 170 , devra être
123

CA 02442351 2003-09-04
dynamisé rétroactivement pour réaliser pour réaliser une pale en Clokwise.
L'on
utilisera. donc une serai transmission à cet effet, en partant du vilebrequin.
Le
cylindre pourra être rattaché à l'engrenage de support inverse:, ou a son
engrenage
de serai transmission respectif.
La même stratégie s'applique en b, et c, puisque l'on doit dynamïser
rëtrorotativement les engrenages de support pour réaliser le mouvement
Clokwise
de la pale.
L'on notera que dans le cas des mécaniques Clokwise de type rétrorotative,
comme
il faudra imiter un rapetissement de l' engrenage de support, l' on devra l'
activer
post activement. De la même manière l' on devra. activer post activement comme
on I'a vu, l'on devra aussi activer post activement Ie cylindre. L'on
utilisera alors
entre l'excentrique et l'engrenage de cylindre et de support, une serai
transmission
accëlërativo-dëcëlérative, telle que l'on a déjà utilisée à plusieurs reprises
dans nos
travaux, pour unir Ies éléments.
La figure 19.1 résume les quatre principaux types de mécaniques bi inductif
t~ par poly induction
B par serai transmission inversive
CO par serai transmission accélërative
D par bi mécanique dynamique l' un montante l' autre descendante
La figure 19.2 montre Ia réalisation complète d'une machine rétrorotative à
mouvement Clokwise, non réalisé par poly induction, et à laquelle l'on ajouté
la
serai transmission accélérative.
La figure 20.1 montre l'application de la méthode en pale Clokwise, pour le
cas de
cylindre fixes. La méthode en Clokwise met en évidence la difficulté de
réaliser
une mécanique dont la poussée devrait être inégalement répartie sur Ia pale,
puisque comme on l' a dit, l' explosion est amorphe. Cependant, certains
constructeurs pourraient désirer ne pas utiliser la dynamique rotative du
cylindre et
conserver une réalisation de la machine avec un cylindre fixe.
Nous pensons que la méthode en Clokwise, de même que la méthode en poly
induction nous montre qu' il est possible de simplement réaliser un pale
amorphe
pour ainsi dire, et de reléguer à un autre plan , ou dimension, la conversion
de
l'aspect rotationnel de celle-ci.
124

CA 02442351 2003-09-04
La réalisation de cette machine Clokwise , pour ainsi dire virtuellement
conservera
les rapports de portance intacts 180. L'on produira donc une induction
portante. De
celle-ci, en se servant de l' engrenage d' induction comme nouvel engrenage de
support d'une induction cette fois-ci descendante, l'on réalisera un
induction, pour
ainsi dire descendante, Motrice, 181 , dans des rapports de un sur un.
La figure 21.I montre que structure portant et structure motrice peuvent aussi
ne
pas être confondues. Dans cette figure en effet, l'on a une structure de
soutient
standard mono inductive sur un coté I ~3, et une structure motrice sur l'
autre coté
I84 . Dans cette méthode, l'on réalise une induction montante, permettant de
préserver les ration nécessaires à la réalisation de la figure, mais, on
produit plutôt
une induction descendante réalisant plutôt les de ratio idéals orientationnel
et
positionnels de la pale. En effet, l' engrenage d' induction de la mécanique
portante
montante devient I' engrenage de support de la mécanique descendante. Pour Ie
moment nous établissons de cette dernière à un ratio à un pour un, à lumière
de la
méthode en Clokwise. Cependant, nous montrerons qu' ils doivent quelque peu
être
subtilisé selon les ratios de compression et de couple optimaux,
La figure 22 montre Ie type d'observation qui a permis la totale réalisation
de la
mécanique Clokwise. L' on suppose dans cette observation que l' on a isolé les
excentriques d'un méthode par poly induction, en en retranchant le
vilebrequin.
L'on suppose ensuite un observateur posté sur ces excentriques 190, pendant
leur
tournage simultané. L'on suppose ensuite une plaque tournante passant devant
ces
observateurs 191, qui pourront graver un sillage dans celle ci, à mesure
qu'elle
passe, et à mesure de leur propre mouvement. Dans Ia mesure oû la plaque
tourne
deux fois plus lentement qu' eux, les observateurs verront apparaître
progressivement sur la plaque la parfaite forme du cylindre recherchée 192.
C'est cette observation que l'on nommera observation par les excentriques.
La figure 23 montre pour un tour la séquence d'une xn.achine à mouverr~ent
Clokwise de pale à quatre cotés. L'on y constate que les explosions se font à
chaque quart de tour en Clokwise de la pale. Cette figuration est aussi
intéressante
puisqu'elle permettra de réaliser facilement la machine sous une forme de deux
temps, un rapprochement servant à l'explosion 200 et l'autre à l'échappement
201.
125

CA 02442351 2003-09-04
La figure 24.1 montre pour un tour la séquence d'une machine à mouvement
Clokwise de pale à cinq cotés. Comme précédemment, la machine pourra exploser
le même nombre de fois que Ies faces de sa pale par tour.
La figure 24.2 montre les similitudes des machines à mouvement clokwise et
rétrorotatives. La. figure montre en effet les liens ïntrinséques des machines
rétro et
post rotatives, la mécanique de la machine post rotativsv à piston
triangulaire en
Clokwise étant identique à celle de la machine rétrorotative standard. En
effet l'on
constate que, dans les deux cas, la réalisation de ces machines réalise des
explosions à tous les tiers de tours.
De plus, l' on réalise qu' ici la même mécanique à été utilisée, ce qui prouve
que la
dynamisation a muter la machine post rotative en une machine rétrorotative.
Cette
mutation a permis d'en augmenter Ie couple et d'en conserver Ia qualité
compressive.
La première de celles-ci montre que, comme dans les machines rétrorotatïves,
la
pale va rejoindre le vilebrequin et ne coure pas après lui 204 . Deuxiémement,
celle-ci va en sens inverse du vilebrequin, comme le cylindre va en sens
inverse de
la pale. Le moteur à donc un mouvement à contrario, ce qui est synonyme de
puissance.
pour ces raisons, nous voyons bien le caractére Hybride et A,ndrogine du
moteur à
dynamique Clokwise.
La figure 25 a) montre les difficultés de la mëthode par engrenage
intermédiaire, et
montre comment faire passer la machine de compressive à neutre. L'on y réalise
une première version de la Méthode par double support en miroir en a ).
En b) montre la logique de la structure de soutient dite à support par
élision. Dans
cette structure, le support inférieur de l' axe de l' engrenage d' induction
retranché
205. En conséquence, l'on supporte cet engrenage dans sa partie inférieure par
les
deux engrenages intermédiaires. La conséquence de cette réalisation est de
permettre à I' engrenage d' induction de pousser directement sur l' engrenage
intermédiaire Ions de la descente 206, rendant ainsi la force rotationelle de
celui-ci à
inférieur â sa force descendante. En effet , si le contact en poussée réelle
entre ce
deux engrenages n'est pas fait , le couplage de ceux-cî aura tendance à
déplacer
l'engrenage intermédiaire dans une course positionnelle cherchant à sortir du
système , dont en sens inverse de la rotation.
126

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Si la poussée est réalisée, la pale réalise alors un effet similaire à celui
de la bielle
e~. du piston dans un moteur à pistons. L'on notera que l'on pourra employer
d' autres moyens, par exemples en engrenage intermédïaire très peu polycamé,
qui
permettra cet appui qu' en cours de descente
En c ) l' on montre un montage par vilebrequin excentrique et vilebrequin
maître
chevauchés. Dans Ies figures précédentes, une partie du soutient de l'
engrenage
d'induction est retranchée, ce qui résultera en un cognement d'engrenages à
engrenages lors de l'explosion, se qui est plus difficilement réalisable dans
de gros
moteurs.
Dans la présente procédure, l'on dispose un premier vilebrequin 207secondaire
recevant rotativement la pale, munie de son engrenage d' induction.
L'on dispose ensuite un vilebrequin maître 20~, auquel l'on aura rattaché les
engrenages antërieurs et postérieur intermédiaire.
La pression sur le vilebrequin maître conservera l'engrenage postérieur en
contact
de poussée avec l'engrenage d'induction. Cette manière de faire permettra, au
haut
de la montée que les engrenages ne soient pas en cognement entre eux, puisque
aucune partie du support de l' axe de pale n' a été retranchée.
L'on notera que l'engrenage intermédiaire peut aussi être réalisé seul, et non
en
double. L'on aura en ce cas qu'à réalïser un technique de support réglant son
éloignement maximal des vilebrequin et des engrenages intermédiaire des
engrenages d'induction et de support.
La figure 26 montre, en a, comment améliorer Ia méthode par engrenage cerceau
. Dans cette induction, il s' agira simplement d' ajouter de déplacer les
engrenages
de façon décentree 209. Par ailleurs, si l'on veut réaliser la machine sans
réceptacle
d' engrenage cerceau, tel qu' erg b ) l' on pourra disposer un troisième
engrenage
agissant comme tenseur des deux premiers 210 .
La figure 27 montre la méthode de poly maneton, réalisée avec une pale an deux
parties dont l' action de l' un par rapport à l' autre est latérale. Dans
cette méthode, le
maneton supportant la pale 21 l, est poursuivi par un excentrique, ou un
second
maneton, de niveau inférieur 212. Par ailleurs la pale ~~naître 213 est
réalisée de telle
127

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manière à recevoir une pale secondaire 214 dont I' action sera latérale. Cette
pale
secondaire est muni d' un moyen tel, une bielle, une coulisse 215, permettant
de la
rattacher â l' excentrique secondaire.
La coulisse de la pale en annulera le mouvement montant et descendant ïssue de
son maneton, ce qui aura commet effet que la montée sera de cette pale sera
soumise à la montée de la pale maître 216 . Inversement, le maneton de la pale
secondaire lui induira le travail latéral, moins considérable que celui de la
pale
maître. Il se produira donc entre les deux pales un glissement latéral. 217 Le
dessin
d'ensemble de cette conjonction de pales permettra donc une forte montée et un
enfoncement restreint dans les encoignures. La figure ainsi crée aura non
seulement
de bons effet sur la compression, mais décentrera au surplus la poussée de
l'explosion, qui en cours de descente sera du coté offensif, et augmentera par
conséquent le couple.
La figure 28 montre que pour réaliser, à la façon d'une machine à dynamique
Clokwise, une machine de type rétrorotative, l' on doit augmenter ne niveau
d' induction. Dans la machine standard, celle-ci a été surmontée en produisant
deux
inductions étagées. Ici, comme les inductions sont séparées, et que l'une
d'elles
n'est que rotative, il est facile de la remonter d'un degré et de la rendre
poly
inductive. Par conséquent ici l'on construira le mouvement du cylindre de
telle
qu' il ne soit plus simplement circulaire, mais plutôt poly inductif. Comme on
le
montrera, I' action orbitale cylïndre, additionnée à l' action en Clokwise de
la pale
permettra de réaliser un haut taux de compression et de puissance. Pour ce
faire
disposera un excentrique central 220 dans le centre de la machine sur lequel
l' on
montera le cylindre 221, et prenant soin de dispose cet excentrique dans le
sens
opposé de celui de ou des excentriques de pale 222. De plus l' on réaliser les
serai
transmissions nécessaires à ce que les excentriques tournent en sens inverses.
223
La pale et le cylindre seront tous deux planétaires, mais avec des rotations
d' excentriques en sens inverse
Le fonctionnement de la machine sera le suivant. Lors de l'explosion, et de la
compression, le cylindre et la pale seront en mouvements contraires de
hauteur, ce
qui les rapprochera d'avantage 224, créant ainsi une forte compression. Lors
de
l'expansion, même si les tournages directionnels seront dans le même sens, les
tournages positionnels seront en sens inverses 226, se qui rapprochera les
parues
227 . Par conséquent, l'enfoncement de la pale dans les encoignures sera
réduite
228, exactement comme dans le cas de montages en superpositions. Le cylindre
sera bimécanique, et de second degré.
128

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Comme le mouvement en ~lol~vrise de Ia pale est Iui-même d'une certaine
manière
poly inductif, la somme de ces deux poly induction en juxtaposition permettra
de
réaliser la machine de la même avec la même forme de cylindre que dans la
machine de second degré déjà décrite par nous-mêmes.
Ici I'on couplera donc simplement à Taxe dc l'engrenage dynamique unissant les
deux excentriques un excentrique sur lequel l' on disposera Ie cylindre. L' on
prendra soin d'orienter cet excentrique de telle maniére qu iI soit en sens
inverse
des excentriques de pale. L'on montera le cylindre sur cet excentrique, ce
cylindre
étant muni d'un engrenage d'induction, qu l''on couplera à un engrenage de
support
dans le coté de la machine.
Lc fonctionnement de la machine sera le suivant. L'excentrique de cylindre
travaillera en contre sens des excentrique de pale, par conséquent, lorsque la
pale
sera à son plus haut niveau, le cylindre sera pour sa part à sont plus bas, ce
qui
assurera le rapprochement maximal des parsie.
hors de la descente, les excentriques seront à leur position Ie plus
rapprochées entre
eux. Par conséquent, la pale ne pourra enfoncer profondément les encoignures.
La figure 29 montre une méthode en pale Clokwïse, et cylindre poly inductif
appliquée à une machine post rotative. Ici l' on a utilisé une induction par
poly
induction 230 pour soutenir la pale en Clok~ise, et une mono induction 23 ï
pour le
cylindre , l' excentrique de cette seconde induction étant réalisé de façon
fixe 232
avec l'engrenage de lien ou l'axe de celui-ci. Les deux inductions sont donc
montées ici avec un minimum de piéces. La machine pourra dès lors être
construite
avec cylindre verticatisé ou horizontaliés , ce quï en permettra un
alimentation
dïesel.
La forme su cylindre sera donc idéale.
La figure 30 montre les différentes maniéres de réattribuer et redynamiser las
parties d' une machine à piston, standard en a ) , orbital en b ) , par poly
manetons
en même sens en c ) , et à confixario en d ) , par cylindre rotor à axe fixe
en e ) et
par cylindre rotor poly inductïf en f ) . Dans cette figure l'on voit en a que
les
cylindres de la machine standard sont fïxes et alïgnés, que son piston a une
action
rectiligne et son vilebrequin est muni de plusieurs manetons décentrés et a
une
action circulaire. L'on montre dc plus, dans cette figure, que l'on peut
distinguer
des machines à proéminence Compressive, Neutres ou Motrices
129

CA 02442351 2003-09-04
Cette mise en situation permet de mieux comprendre que pour des éléments
identiques, les figuration géométriques ou dynamiques différentes aboutissent
à des
ratio d'effort fort différents. De méme en est il des machines rotatives.
Dans la figuration orbitale, les attributions suivantes ont été faites. Les
manetons
sont alignés en un seul. Et les cylindres sont disposés angulairement.
Dans la figure standard, à polymaneton en cadrans opposés, il y a action
contraire
des pistons entre eux. La force réalisée entre les deux pistons est donc
intéressant,
l' expansion se faisant des deux cotés à la fois. Cette machine est classée
Motrice.
Dans Ia figure à poly maneton dans un méme cadran, il y a action
différentielle des
pistons. La pressïon est facilement réalisable entre les deux pistons. Au
contraire,
lorsque c'est elle qui actionne les deux pistons. Il y a une contre poussée
sur l'un
d' eux et la force produite n' est que Ia force résultante, différentielle. La
machïne
sera donc classé compressive.
Dans la figuration par cylindre rotor, le vilebrequin est fixe, reprësenté par
deux
axes. Les pistons ont une action circulaire, et les cylindres ont aussi une
action
circulaire, ces deux actions se réalisant avec des circularité de différentes
grosseurs
et centres. Cette machine st classée compressive.
Da la figure pax cylindre rotor avec vilebrequin post actif, le vilebrequin à
une
action post active, ce qui rend Ia course des pistons non circulaire mais poly
inductive . C~m~ee dans le cas précédent, u~te explosà~~a e~etre les pcarties
ace pr~duàt
qu'une force résultante, d'oû le classement de cette machine comme machine
c~mpressive.
Dans la figuration par cylindre rotor à action de vilebrequin rétrorotative,
le
vilebrequin est rétrorotatif et la course des pistons est elliptique, la
déconstruction
du systéme, comme pour les machines à poly manetons en cadrans opposés, se
fait
rapidement, et l' expansion des deux cotés. La machine est par conséquent
classée
Motrice.
La figure 31 a) montre la seule distribution chez ~Vanl~le que l'on dira Par
doubles
parties rotationnelles décentrées en cylindre unique ou à double cylindre,
Ici, l'on a plus d'excentrique, mais simplement deux axes fixes de rotation
240. Ces
axes purement rotationnels sont ici signifiés par le symbole en fléche
circulaire
130

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239. Le cylindre et Ia pale ont un mouvement purement rotationnel dc~~s le
méme
sens, que ce soit pour les machines rétrorotatives, ou post rotatives 241.
La figure 31.b montre que ce qui semble âtre une redynamisation n'est en fait
qu'une rotation du moteur sur lui-même et n'apporte aucune modification de
nature de quelque manière la machine
Comme on l' a vu, précédemment, les mécaniques de ~Vankle sont limitées à deux
décentres de rotation uniquement, soit le centre de l'excentrique central, et
le centre
de la pale. Le nombre de redistribution est donc d'autant petit, et chacune de
ces
redistribution comporte au surplus les lacune des machines standard, mono
inductives.
Dans la première redistribution, retranche de la mécanïque standard le
vilebrequin,
Il s' ensuit que le cylindre et la pale sont activées dans le même sens, tel
que montré
ena)
En b ) l' inventeur tente de réaliser la machine avec un explosion à tous les
quart de
tours. Le cylindre doit donc être activé dans le même sens que celui de la
pale, ce
qui est contraire à une action motrice, et réalise au contraire une action
compressive. Dans cette dynamique, la pale a encore les mêmes lacunes
orientationelle que dans les dynamiques standard. La pale doit agir
inégalement en
dépit d'une action amorphe de l'explosion. De plus l'inventeur ne donne aucune
explication mécanique qui permettrait de sortir des base de l'invention
relatives aux
observations géométriques déf cientes, ce qui nous force à croire que ce type
de
machine souffrent des même lacune mécanico dynamiques auxquelles nous
remédions de plusieurs manières.
'I'el que montré en c) Wankle agit comme s'il avait sirnplement tourné le
moteur
sur lui-même pendant sa rotation ïnterne. Cette éventualité m'apporte pas
plus, pour
une machine rotative, qu'il si l'on réalisait le même tournage pour un moteur
à
piston. Cela ne résout en rien la manière donc ion tournera ce moteur sur lui-
même.
Il faudra nécessairement un nouvel encrage. La structure éventuelle serait
lourde en
n' améliorerait aucun défauts interne de la machine.
Nous ne voyons donc pas quelle pourrait être la place d'une telle éventualité
dans
classement générai relatif à cet objet.
La figure 32 montre les méthodes de support permettant de rendre la
distribution
par doubles parties rotationnelle fonctionnelle au niveau moteur.
131

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L.,'on a les méthodes par engrc~aages internes superposés cn ~.) , par
engrenage talon
en b , et par engrenages internes ~u~apos~s en c
lr>ans l'ensemble des méthode dc soutient par le centre, les organes
mécaniques se
trouveraient soit dédoublée soit mêlées aux parties compressives.
Cependant, la méthode par poly induction, 2~5 par ces supports excentriques
vient
~, notre rescousse, l'on peut en effet soutenir le cylindre par poly
induction.
~..Tne analyse plus détaillée du soutient nécessaire révélera aussi quelque
chose de
tout ~ fait pertïnent aux~ia~t ~'e vus ~ lt2~~°e rle ~w type' tle a~~ta
it~~n. L'on
devra en effet faire réaliser au cylindre un mouvement dont la courbure sera
contraire ~. celle de la pale, ou de la figure choisie.
Cette constatation est des plus intéressante tout d'abors~ au niveau de la
connaissance de ces machines. Les machines ~ cylindre roto~P poly induction
sont
une nature androginique, puisqu'elles possédent la structure mécanique d'une
catégorie et la figuration da catégorie contraire.
~;n effet, l'on réalisera une sorte de symbiose des machines réirorotatives et
post
rotatives dans ce genre de distribution. ~h effet, une gouverne mécanique post
rotative devra être appliquée aux figure rétro rotatives et c gouverne
rétrorotative
aux figures post rotative,
X32

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L'on pourra donc réaliser des machines à figures rétros°otative à forte
compression
sans aucun ajout de piéce et des fgures post rotative à haute couple, là aussi
sans
ajouter de piéces,
Au niveau mécanique il faut aussi ajouter que L'explosion adviendra une cours
de
révolution des excentriques, et que a force agira en traction, :par opposition
à la
force en poussée agissant dans les machines standard. Mais les constatations
ne
sont pas que théoriques ou spéculatives. ~n a répété à maintes reprises, les
difficultés relatives à chacun des genres de machïne, et montré qu'iI sera
favorable
de retrouver Les contraires en une seule machine. flistorique~nent, en effet,
L' on peut
constater que le manque de compression dans les machines rétrorotatives, pour
un
excentrique normal, a été à ce point défaillant qu' elles n' ont pas été
produites.
Dans Ie cas des machines post rotatïves, c'est plutôt leur couple faible,
entraînant
surchauffe et usure prématuré des piéces qui en a presque généralisé
l'abandon.
Cette distribution à cylindre rotor permet de concilier les qualités
antithétiques des
machines en un seule machine., supportant les machins de f guration post
rotatives,
par une mécanique rétrorotative, et inversement, les machines de figuration
rétrorotatives par une mécanïque post rotative.
Il faut aussi noter d' autres caractéristiques supplémentaires, dont les deux
suivantes. Premiérement, l' explosion se fera en cours de révolution et non au
haut
de celles-ci, Deuxièmement, I~, force explosive sera tractive des moyens de
motricité et non par poussée, comme dans les machines conventionnelles
L,' on notera que le soutient de Ia pale est ici assuré par poly induction,
mais
pourrait tout aussi bien l' être par maneton et par une autre méthode d'
induction.
hernièrement, il faut noter que I' on montrera plus loin que partant de cette
redlStrlbutlon , l' on peut octroyer au cylindre une double fonction, de telle
manière
qu' il serve à la fois de carter de la machine, lorsque celle-ci sera montée
avec une
gérance des gai de type deux temps.
La figure 34 montre la redistribution que l' on dira par ~''ylind~e rotor poly
incluctif,
hale rotationnelle en même sea~s. Dans la présente figure, l' on a retranché
le
mouvement positionnel de la pale, ne Lui conservant qne son mouvement
orientationnel. Le cylindre pourrait n'étre que rotationnel, comme le cas de
la
redistribution en doubles axes fixes. Mais la machine ne produirait pas ou
d'énergie. Ici le cylindre demeure poly inductif, mais le rythme de sa poly
induction est accéléré 256 , ce qui permet de ne pas perdre la f guration
initiale.
133

CA 02442351 2003-09-24
L'axe 257 central pourra donc être produit en un seul morceau avec la pale
centrale.
Cette disposition sera certes d'un grand intérieur Iorsqve l'o~:~ entendra
réaliser la
machine par exemple sous forme de jet turbine, ou de propulseur à eau , la
pale
ayant à la fois une action de propulsion standard 258 , à laquelle s'ajoutera
une
qualité compressive 259 .
La figure 35 reproduit une machine à cylindre circulaire et pale à course
Clokwise
rectiligne , telle que montrée à notre figure 1.1.3 .
Dans cette machine, non seulement le mouvement de la pale est-elle en
Clokwise,
c'est-à-dire, invariable orïentationellement, pour un observateur extérieur,
maïs
aussi elle a un mouvement central positionne) rectiligne 260. Nous
représentons le
mouvement Clokwise par un signe comprenant un ensemble de petites lignes
parallèles formant un cercle 261. Cette machine est donc d'un degré supérieure
à la
solution par mouvement positionne) rotationnel Clokwïse standard.
L'on notera que, attendu Ia rectilignïté du mouvement positionne) de la pale,
le
cylindre pourra être activé dans un sens ou dans l'autre géométriquement 263 .
Cependant, au point de vue mécanique , si l'on tient compte de la volonté de
produire la machine soit de façon Compressive, soit de fa~con motrice, il
faudra
déterminer le sens de celle-ci correctement.
L'action purement rectiligne du positionnement de la pale aura pour
conséquence
une forme du cylindre veriicalisée 264, exactement comme lorsque l'on utilise
des
inductions étagées pour produire la machine. La machine sera donc très
puissante.
La figure 36 montre la redistribution par ïVléthode par pale fixe au
vilebrequin
Dans cette figure, nous avons au contraire, retranché tout le mouvement
orientationnel de la pale, et à 1a fois, nous avons réduïlt son mouvement
positionne)
à celui du maneton du vilebrequin, la fixant rigidement au vilebrequin 265. Le
mouvement du cylindre sera alors, comme on peut le constater, en Clokwïse 256
et
à la fois rectiligne 257.
La figure 37 montre la méthode par cylindre fixes en périphérie
L' un des apports de l' observation par l' absolu est certes d' avoir montré
que la
courbe réalise par la point dual pale de machine post inductive est une
combinaison
de deux courses circulaire. 258
134

CA 02442351 2003-09-24
Par conséquent, la pale d'une machine poly inductive, peut ëtre décharnée, et
par la
suite, se voir attribuer une fonction de soutient général de plusieurs pales à
la fois
259. Chaque extrémité produisant dans le temps des circonférences. dés lors
l'on
pourra munir chacune d' elle d' un axe activant l' excentrique d' une machine
poly
inductive périphérique.
LJn seule poly induction sera donc nécessaire pour construire correctement
plusieurs pales successivement. Bans le cas de méga machines, ceci permettra
de
réaliser des explosions plus petïtes mais en grand nombre, et dc limiter les
moyens
de support à très à peu de piéces. Il faut ajouter ici que l'on pourra
réaliser
l'induction maître de cette méga machine de l'une des maniéres décrites plus
haut,
ce qui permettra de réaliser la poussée de soutes les pales aux maximum.
La figure 38 montre une redistribution par axe double augmentée par engrenages
polycamés 260.
En a ) et en b ) , les engrenages de guidage des éléments ont été polycamés,
modifiant ainsi avantageusement les rapports de formes des figures des parties
En effet, lors la réalisation par exemple de jet turbines, de pompes et ainsi
de suite,
la forme dissymétrique des pales ou des cylindre augmentera considérablement
l' efficacité de ces machines ou pompes, non seulement par L' accélération des
matières lors des rejet, mais aussi par leur forme en écuelle, plus propïce à
la
correcte éjection de ceux-ci.
La figure 39 montre la méthode par cylindre rotor poly inductif pale butoir,
augmenté par polycamation, Il~ans cette réalisation, I' on a simplement
polycamé les
engrenages de support et d'induction du cylindre rotor. Le résultat est ,
comme
dans les machines standard , un réalïsation accélérative des parties dynamique
, ici
du cylindre rotor, modifiant avantageusement les rapports de poussée et la
forme du
cylindre de Ia machine. ~n retrouve trois types de cylindre déjà connus, soit
par
rectangularîsation en a) , en ballon, en b ) et dissymétrique en c) .
La figure 40 montre la possibilité de mufti cylindres, circulaires, ou
cîrculaires et
poly inductif
135

CA 02442351 2003-09-24
La figure 41 rappelle la réalisation en poly maneton de second degré d'un
moteur
triangulaire. Dans cette réalisation, les deux éléments, pale et cylindre
rotor sont
guidés de façon poly inductive inversée. Le taux de compression de la machine
sera
des plus pertinents.
La figure 42 montre que les inductions gouvernant la pale et le cylindre rotor
peuvent être diverses. Par exemple icï Ia pale a un mouvement en Clokwise
réalisé
par une poly induction sans vilebrequin maître 265 et le cylindre poly
inductif est
contrôlé de façon mono inductive 266 . Mais la figure met aussi en évidence la
double fonction qui peut être attribuée au cylindre rotor 267.. Celui-ci aura
alors une
double natu~°e, à la fois de cylindre, par sa paroi interne 268, et de
piston pale 269,
par sa paroi externe. En effet, Ia nature des deux machines intégrées en une
seule
est fort différente, et ceci est causé par le faït de la dispositi0on
dynamique
différente des éléments. En effet, dans la partie supérieure de la machine, le
cylindre est fixe et rigide. La vitesse de la pale est donc sévèrement réglée
par le
type de figuration choisie. Dans la partie intérieure de Ia machine, le
cylindre rotor
est en mouvement. Par conséquent, plusieurs cylindres et pales peuvent être
choisies, car les liaisons entre ces éléments seront dès lors dynamico-
relationelles.
Dans la présente figure, la machine complice est une machine à cylindre en
deux
parties, recevant un piston rotatif de trois cotés.
La figure 43 montre que la combinaison superposée de plusieurs machines, de
manière à centrifuger certaines matières est très réalisable. L'on voit ici le
déroulement pour un tour de chacune des montages suggërés. Chaque partie à son
centre de rotation propre, le plus haut correspondant à la pale en deux
parties, le
second à Ia pale cylindre triangulaire, et le plus bas à la pale cylindre
carré.
La figure 44 montre que les figures d'utilisation de cylindre rotor avec
fonction
dédoublées sont très variées. Par exemple ici, la surface extérieur du
cylindre rotor
réalise le piston d'une figure de cinq cotés dans un cylindre de quatre 270,
donc
post rotative. Par ailleurs, ce même élément, utilisé intérieurement comme
cylindre, réalise encore une fois une post inductive, mais cette fois-ci d'un
piston
de trois cotés tournant dans un cylindre de deux 271. Cette machine a une plus
forte
propension compressive. Cela est causé par la course, dans le même sens des
éléments. L' expansion de la pale intérieure 273, s' appui sur une pïèce
tournant elle-
même dans la même direction. Cependant l' on notera que si l' on arrive à
produire
l' explosion supérieur une fraction de seconde avant l' explosion intérieure,
l' on
formerait là un appui intéressant. Mais ces considération dynamiques et thermo
dynamiques sont trop précises pour les discuter ici.
136

CA 02442351 2003-09-24
La figure 45 montre deux figures de machines réalisées avec un organe de
poussëe
bi fonctionnel, similaire à celui de la figure 49. Cependant ici , l'usage
prévu de la
pale intérieure est Moteur. Par conséquent, toujours en ne se soumettant
qu'aux
relations dynamiques des parties , l' on a réalisé la machine , comme
précédemment
au niveau supérieur , en faisant voyager un cylindre rotor de cinq cotés dans
un
cylindre de quatre 275 . L' on a cependant tiré parti de la versatïlité des
arrangements possibles entre les niveaux, en produisant une machine
intérieure,
non seulement inverse au niveau de son type , puisqu'il s'agit ici d'une
machine
rétrorotative, mais aussi dont h. pale agira en sens inverse de son cylindre
276 . En
effet, l'on voit ici que le cylindre intérieur du cylindre rotor est de quatre
cotés et
que sa pale est de trois 277. L'on voit à la suite des figures, due la pale et
le
cylindre inférieur sont à contrario, et qu'ils développent par conséquent un
effet
Moteur.
L'effet a contrario s'ajoute d~nc â la ~~uverne post i~aductive du rot~r
cylindre,
pour une fguration pourtant d'une machine rétrorotative.
La cumulation de ces deux facteurs assurera à la machine une puissance
importante. Comme précédemment, le cylindre rotor et la pale pourront être
gouvernés par une induction dédoublée, en partit confondue. Par exemple, dans
le
cas d'une gouverne du cylindre rotor par poly induction, les engrenages
d'induction
du cylindre pourront servir d' engrenages de support de l' engrenage de pale.
L' on
pourra aussi agir par serai transmission et ainsi de suite.
Ici, comme la pale interne est strictement circulaire, elle pourra être
réalisée en un
seul morceau avec l' axe central. L' on parlera donc d' un axe pale. Encore
une fois,
cet arrangement pourra servir de bon moteur, mais aussï de bon propulseur, ou
turbine hydro électrique. Inversement, si les matiéres entrent par le centre,
comme
pour la machine précédente, l' on pourra s' en servir comme machin d'
expansion.
La figure 46 donne un autre exemple de machine à cylindre rotor servant à la
fois
de pale. Cette fois~ci le cylindre rotor est à la fois une pale de trois cotés
montée
280 poly inductivement dans un cylindre de trois cotés, et sert à la fois de
cylindre
à une pale de deux cotés 281, purement rotationnelle.
La figure 47 montre par exemple que le cylindre rotor triangulaire 284
tournant
rétrorotativement dans un cylindre carré 283 de la machine , peut aussi servir
de
137

CA 02442351 2003-09-24
cylindre à un moteur secondaire, interne de type triangulaire, ce qui produit
un
mouvement en Ckokwise de la pale 28~ , ici plus périphérique .
La figure 48 montre une pale en mouvement Clokwise 290 , pour laquelle un
cylindre rotor agit rotativement à contrario 291 , cc cylindre rotor étant lui-
même le
piston d'un second cylindre 292 , purement rotationnel 293 . L'on a donc ici
un
assemblage d'une distribution Clokwise 294, au centre, et en double axes 295,
en
périphérie.
L'on réalise donc un structure Motrice au centre, et une structure simplement
Compressive en périphérie, cette seconde structure ne pouvant servir que de
structure d' alimentation de la première lors de la réalisation de la machine
sous
forme deux temps. L' on notera en effet que comme la structure en simple axes
axes rotationnel ne produit des compression qu'à raison de une fois par tour
par
coté de pale, l'on a choisi ici une structure de six cotés de cylindre rotor
extérieur
296 , tournant dans un cylindre de cinq cotés. Il y aura donc une compression
extérieure, pour chaque compression intérieure 297.
En dernière analyse, il faut mentionner que cette figure est la réplique de la
figure
83 de la première partie de cet exposé, que l'on a commenté plus précisément,
â la
lumière des explications du présent exposé.
La figure 49 montre la mono induction par engrenages pignons. Dans ce type
d'induction, l'on a simplement remplacé les engrenages standard par des
engrenages pignon 298 . L' on pourra dès lors rattacher l' excentrique 299
directement ou indirectement à l' engrenage pignon d' induction, par le
recours d' un
axe 300 traversant le manchon du vilebrequin. Des lors ce type d'induction
pourra
soutenir certaines pièces de cei°taines machines, comme par exemple ici
de serai
turbine différentielle.
La figure 50 a précise certaines applications fort intéressantes issues de la
possibilité de rëaliser le cylindre ou la pale de façon seulement rotative ou
faxe
La figure montre en effet en a) les diverses utilisations qui peuvent être
faites des
machines, et cela en modifiant les surfaces des pales de telle manière de les
réaliser
sous formes de pales à eau, dc pale de turbines jet, etc. La f gare montre,
selon les
pales ou cylindre utilisés, les possibilités de réalisation de machines sous
forme de
parfaites turbines, propulseurs à eau, jets turbines, éoliennes voilées. En
effet,
plusieurs applications pourront être réalisées, en tenant compte de certaines
138

CA 02442351 2003-09-24
machines ici présentées et dont la surface extérieure est rotative. Cette
surface
pourra être dés lors les pales d'une turbine, des pales d'avion, une
génératrice.
Inversement lorsque ce sera les parties intérïeures qui seront en parfaite
rotation,
leur forme pourra être réalisée de telle maniére de réaliser des turbines, à
air,
comme a eau.
La figure montre que les mécaniques peuvent aussi se:rcur à d'autres
utilisations
motrices, par exemple le guidage de manéges accéléra décé~.ératlfs, ou encore
la
réalisation de caeurs artificiels, par exemple à l'aide d~; machines
rotationnelles.
La figure 51 fait un tableau récapitulatif trés synthétique des principales
attribution
et redistributions de premier, deuxième et troisiérr~e degré,
Comme précédemment , les mouvement purement rotationnels sont identifiées par
une fléche tournante, les éléments fixes par un carré noirci, I:es mouvements
poly
inductifs par une fléche en sinusoïde , les mouvement Clokwvise par des lignes
parallèles formant un cercle, les combinaisons d'induction par des double
fïéches
sinusoïdales .
La figure 52 est un tableau récapitulatif des méthodes de correction et d'
élévation
de degré des machines de premier niveau à un niveau supérieur.
La figure 53 est un tableau général de nos inventions en rapport avec l'art
antérieur,
sur les plans des cylindres, des méthodes de support de premier degré, des
méthodes correctives de second degré, des attributions, des distributions, des
dédoublement fonctionnels, des machines, compressives, neutres, Moteurs, des
machines standard , en mouvement en méme sens , en mouvement à contrario , des
machines de niveau supérieur
139

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Claims 2003-09-24 9 457
Description 2003-09-24 137 12,298
Drawings 2004-12-21 85 2,369
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Correspondence 2004-12-21 82 2,201
Correspondence 2005-02-01 1 23
Correspondence 2005-05-02 1 18
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Fees 2007-08-31 1 64