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DISPOSITIF D'APPLICATION D'UN FLUIDE SUR UNE ZONE A
TRAITER COMPRENANT UNE MINUTERIE
La présente invention se rapporte au domaine
de la délivrance d'un fluide contenu dans un aérosol et
maintenu dans un dispositif sous forme de boîtier.
La présente invention se rapporte plus
particulièrement à un dispositif permettant de contrôler
l'éjection du fluide à la sortie dudit dispositif et d'en
limiter son application à la seule zone à traiter et de
moduler son mode d'action et le temps de façon pré-établie
en fonction du type d'application à traiter.
Le dispositif selon l'invention est destiné
plus particulièrement, mais non exclusivement, à tous
traitements d'infections dermiques telles que des verrues,
cors, excroissances, et tâches brunes ou toute application
locale sur la peau, des muqueuses, des tissus ou toute
autre partie du corps humain ou animal, que ce soit sur le
plan médical, technique, ou cosmétique.
L'art antérieur connaît déjà de tels
dispositifs d'application de fluide.
On connaît par exemple du brevet US5098428 un
instrument cryochirurgical en contact avec un gaz
réfrigérant liquéfié contenu dans un récipient isolé
thermiquement. Lorsqu'on interrompt la mise à l'air libre
normal du récipient, la pression du gaz réfrigérant
liquéfié peut être augmenté dans le récipient au moyen d'un
ballonnet. Cette pression provoque la projection du gaz
réfrigérant liquéfié par la buse, jusqu'à ce que la mise à
l'air normal soit rétablie. En outre, cet instrument est
très sensible aux conditions d'utilisation (pression
atmosphérique, température) et à la quantité restante de
gaz liquéfié qui varie aux cours des utilisations
successives. Par conséquent, les caractéristiques du gaz
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projeté varient d'une utilisation à l'autre en termes de
pression, température et quantité.
Il est également proposé dans le brevet
US6296410 un dispositif destiné à administrer une certaine
quantité d'un agent réfrigérant liquide. Ce dispositif
comprend : un récipient servant à contenir l'agent
réfrigérant liquide ; une valve normalement fermée
raccordée audit récipient ; et un moyen d'actionnement
servant à ouvrir temporairement la valve, comprenant un
moyen de positionnement servant à placer en position au
moins une partie de l'élément d'administration, pour que
l'agent réfrigérant quittant la valve puisse atteindre
l'élément d'administration. Selon un premier mode de
réalisation, le moyen de positionnement comporte une
chambre qui est raccordée à la valve et dans laquelle est
introduit l'agent réfrigérant lors de l'actionnement de la
valve, cette chambre étant conçue pour recevoir au moins
une partie de l'élément d'administration. De par sa nature,
ce type de dispositif ne permet pas de contrôler la
quantité de gaz projetée et la durée d'application du gaz,
le temps d'utilisation étant extrêmement aléatoire et
variable d'un utilisateur à l'autre et également chez le
même utilisateur.
Les dispositifs de délivrance de l'art
antérieur présentent donc plusieurs inconvénients majeurs
en ce qu'ils ne permettent pas de contrôler précisément la
quantité de fluide et la durée d'application sur une zone à
traiter.
Or, dans le cas d'application d'un fluide
froid sur une zone de peau infectée à des fins
thérapeutiques ou cosmétiques, le non respect de la
posologie requise en termes de dosages et de temps
d'application contribue à rendre l'action du fluide
inefficace, voire à aggraver de façon illégitime la
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pathologie à traiter. Il est dans la nature de ces
applications d'être reconductibles à l'identique. Ceci
implique nécessairement de pouvoir contrôler précisément la
quantité de fluide projetée et sa durée d'application sur
la zone à traiter.
La présente invention entend remédier aux
inconvénients de l'art antérieur en proposant un dispositif
permettant de contrôler la délivrance d'un fluide et d'en
limiter son application à une quantité et une durée
préalablement déterminée.
Un tel dispositif présente l'avantage de
pouvoir être utilisé en toute sécurité par un utilisateur
autre qu'une personne issue du corps médical, l'utilisateur
ne disposant d'aucun contrôle direct sur la durée
d'application et la quantité de fluide à appliquer sur
ladite zone à traiter.
Pour ce faire, la présente invention concerne
un dispositif d'application d'un fluide sur une zone à
traiter, du type comprenant une réserve de fluide sous
forme d'un aérosol et des moyens pour déclencher la
libération du fluide de la réserve à travers une buse
d'éjection, la présente invention étant remarquable, dans
son acception la plus large, en ce que les moyens de
déclenchement de la libération du fluide sont couplés à un
système de minuterie contrôlant la durée de libération
dudit fluide.
Dans la présente demande, le système de
minuterie est de type mécanique comprenant un engrenage de
roues dentées.
Selon un premier mode de réalisation de
l'invention, le système de minuterie comprend une roue
dentée commandant le démarrage et l'arrêt de la minuterie,
le mouvement de la roue étant contrôlé par un bras de
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levier basculant solidaire desdits moyens de
déclenchement.
De préférence, ladite roue comprend une
nervure sensiblement circulaire, ladite nervure étant
pourvue sur sa périphérie extérieure d'une patte
permettant l'arrêt du bras de levier en mouvement le long
de la périphérie extérieure de ladite nervure.
Dans une configuration préférée, ladite roue
comprend une seconde nervure bloquant radialement le bras
de levier basculant, les première et seconde nervures
étant agencées de sorte à former un rail de guidage pour
le bras du levier basculant.
Il peut en outre être prévu que le système de
minuterie du dispositif d'application du fluide nécessite
un amorçage préalable. Pour ce faire, le bras du levier
basculant sera avantageusement déplacé vers une position
intermédiaire de blocage au moyen d'une manette de
réarmement solidaire de ladite came.
Pour une telle configuration, il pourra être
également prévu que la nervure comprend, sur sa périphérie
extérieure, une extension sensiblement radiale, ladite
extension permettant le maintien dudit bras du levier
basculant dans sa position de blocage préliminaire.
Selon un autre mode de réalisation de
l'invention, le système de minuterie est de type mécanique
comprenant un engrenage de roues dentées, lequel engrenage
comprend avantageusement au moins deux roues : une
première roue commandant le démarrage et l'arrêt de la
minuterie ; une deuxième roue commandant la libération ou
l'arrêt de la libération du fluide de la réserve vers la
buse d'éjection.
Avantageusement, ladite première roue est
actionnée par lesdits moyens de déclenchement par
l'intermédiaire d'un bras formant levier, ledit bras
formant levier étant articulé de sorte à passer d'une
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position abaissée sur ladite première roue à une position
relevée, et inversement.
Avantageusement, le système de minuterie
comprend des premiers moyens d'.arrêt de fonctionnement
5 portés par le bras formant levier, et destinés à agir sur
ledit premier engrenage. Selon une configuration
particulière de l'invention, lesdits moyens d'arrêt
consistent en un ergot disposé à l'une des extrêmités
dudit bras, ledit ergot étant configuré pour se loger dans
une lumière formée dans ladite première roue lorsque ledit
bras formant levier est en position abaissée.
Avantageusement, la première roue comprend des
seconds moyens d'arrêt portés par la première roue,
lesdits seconds moyens d'arrêt étant destiné à suppléer
lesdits premiers moyens d'arrêt portés par le bras formant
levier. On parlera par la suite de moyens d'arrêt de
sécurité. Ces moyens ont pour but de permettre de bloquer
le fonctionnement de la minuterie lorsque le temps
d'application dudit fluide est écoulé et ce
indépendamment, de toute action de l'utilisateur sur ledit
dispositif. La minuterie comportant de tels moyens d'arrêt
de sécurité a ainsi pour avantage d'éviter tout
dépassement d'application du fluide en cas d'une
activation continue ou prolongée des moyens de libération
du fluide se traduisant par le maintien en position
relevée du bras formant levier.
Selon un mode de réalisation particulier de
l'invention, les moyens d'arrêt de sécurité consistent en
un ergot dimensionné pour venir en contact avec le bras
formant levier lorsque ledit bras formant levier est en
position relevée.
Avantageusement, la première roue est
entraînée par un ressort de traction entourant une
troisième roue, ladite troisième roue étant en contact
avec la deuxième roue de sorte que, lorsque le bras
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formant levier est en position relevée, ladite première
roue est entraînée par la traction exercée par le ressort
sur ladite troisième roue.
Concernant la deuxième roue, celle-ci a pour
fonction de commander la libération ou l'arrêt de la
libération du fluide au moyen d'un bras de libération.
Pour ce faire, l'extrémité libre dudit bras porte des
moyens aptes à actionner l'ouverture ou la fermeture de la
buse d'éjection.
On comprendra mieux l'invention à l'aide de la
description, faite ci-après à titre purement explicatif,
d'un mode de réalisation de l'invention, en référence aux
figures annexées :
- la figure 1 illustre une vue en
perspective de la minuterie permettant la délivrance du
fluide par le dispositif de la délivrance de l'invention
selon une durée et une quantité déterminée, ladite
minuterie étant à l'arrêt ;
- la figure 2 illustre une vue de dessus
de la minuterie de la figure 1, ladite minuterie étant en
marche ;
- la figure 3 illustre une vue en coupe
de la buse d'éjection du dispositif d'application d'un
fluide selon l'invention ;
- la figure 4 illustre une vue partielle
du dispositif d'application d'un fluide selon l'invention,
et du bouton-pressoir associé ;
- la figure 5 illustre une vue déchirée
d'une face latérale d'un dispositif d'application d'un
fluide selon une variante de réalisation de l'invention ;
- les figures 6 et 7 illustrent des vues
déchirées de l'autre face latérale du dispositif de la
figure 5 ; et
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- la figure 8 illustre une vue détaillée
du système de déclenchement de la minuterie.
La description qui suit concerne un dispositif
permettant l'application d'une quantité définie d'un
fluide sur une zone de peau à traiter selon une durée
d'application déterminée, en vue de traiter des infections
dermiques.
Selon une réalisation, le fluide présente une
température d'ébullition inférieure ou égale à-20 C et
une chaleur latente de vaporisation inférieure ou égale à
200 kJ/kg. La combinaison particulière de ces deux
caractéristiques pour le fluide permet d'obtenir une
efficacité optimale pour les cryotraitements ou
cryoapplications considérés. En effet, la température
d'ébullition permet d'obtenir le froid nécessaire, et, la
relative faiblesse de la chaleur latente de vaporisation,
une évaporation rapide qui induit une bonne transmission
du froid sans risquer un écoulement de fluide en dehors de
la zone d'application. Par conséquent, l'utilisation du
fluide selon l'invention permet d'obtenir un froid sec
et intense, tout en limitant l'agressivité du traitement
sur la zone d'application. Dans un exemple de réalisation,
le fluide est un HFC de type 152A qui présente une
température d'ébullition de -24 C et une chaleur latente
de vaporisation égale à 160 kJ/kg.
La quantité et la durée d'application dudit
fluide sont définies selon l'usage auquel ledit dispositif
est destiné. Lorsqu'il s'agit d'un traitement de verrues,
le froid nécessaire étant intense, la zone est localisée
sur 3 à 10 millimètres de diamètre et de préférence de
l'ordre de 6 millimètres et le fluide sera avantageusement
éjecté pendant au moins une seconde sur ladite zone.
Lorsqu'il s'agira de traiter des tâches brunes, le froid
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nêcessaire étant moins intense, la zone est localisée sur
0.5 à 2 centimètres et de préférence de l'ordre de 1.5
centimètre, et le fluide sera avantageusement éjecté
pendant au moins une seconde sur ladite zone.
L'invention permet un pré réglage de la durée
d'application selon le type d'action désirée sur la peau
et selon le type de problème à résoudre. Ainsi, le niveau
d'effet demandé étant différent selon chaque problème, le
pré réglage offre à l'utilisateur une garantie et une
efficacité largement supérieures à une estimation
individuelle. En effet, c'est au travers de nombreux tests
multipliés sur de nombreux cas cliniques que ces pré
réglages sont établis.
Concernant l'application du fluide sur la
seule zone à traiter, celle-ci est obtenue par la
construction dudit dispositif, et plus particulièrement
par la forme et la configuration de la partie d'éjection
(buse d'éjection) dudit dispositif.
Le dispositif (1) d'application du fluide
selon l'invention est du type comprenant une réserve de
fluide sous forme d'un aérosol, lequel fluide est libéré à
travers une buse d'éjection sous l'action d'un bouton-
pressoir (40) illustré sur la figure 4. Un exemple de
configuration et de fonctionnement d'une buse d'éjection
selon l'invention sera décrit en détail plus loin.
Ledit dispositif (1) est remarquable en ce que
le bouton-pressoir (40) est couplé avec une minuterie
permettant de contrôler la durée de libération du fluide,
et donc la durée d'application dudit fluide sur la zone à
traiter.
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Les figures 1 et 2 illustrent une vue en
perspective d'une première configuration de la minuterie
(2) constituant ledit dispositif (1) selon l'invention,
ladite minuterie (2) étant respectivement à l'arrêt et en
fonctionnement.
Par le terme minuterie , on entend un
système de minuterie comprenant les éléments constituant
la minuterie elle-même, ainsi que les moyens mis en oeuvre
pour déclencher son fonctionnement et/ou provoquer son
arrêt.
Ladite minuterie (2), de type mécanique,
comprend un engrenage de roues dentées, parmi lesquelles :
- une première roue (3) actionnant le
démarrage et l'arrêt de la minuterie. Cette roue sera
nommée par la suite roue cycle .
- une seconde roue (4), par la suite nommé
roue came , actionnant la libération ou l'arrêt de la
libération du fluide par la buse d'éjection.
La roue cycle (3) est reliée au bouton-
pressoir (40) par l'intermédiaire d'un bras formant levier
(7) monté pivotant autour d'un axe de pivotement AA1 de
sorte à passer d'une position abaissée sur ladite roue
cycle (3) à une position relevée, et inversement.
Avantageusement, le bras formant levier (7)
comporte des moyens d'arrêt destinés à maintenir la roue
cycle (3) arrêtée. Selon un mode de réalisation avantageux
de l'invention, les moyens d'arrêt consistent en un ergot
(8) disposé à l'extrémité dudit bras (7), lequel ergot (8)
est configuré pour se loger dans une lumière (9) formée
dans la roue cycle (3).
Ainsi, lorsque ledit bras formant levier (7)
est en position abaissée et l'ergot (8) inséré dans la
lumière (9) de la roue cycle (3), la roue cycle (3) est
maintenue à l'arrêt.
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La roue came (4), quant à elle, actionne la
libération ou l'arrêt de la libération du fluide par
l'intermédiaire d'un bras de libération (10). Pour ce
5 faire, ledit bras de libération (10) présente une
extrémité solidaire à la roue came (4), l'autre extrémité
étant pourvue d'un champ magnétique, actionnant
l'ouverture ou la fermeture de la buse d'éjection.
L'actionnement de l'ouverture et de la fermeture de ladite
10 buse sera décrit plus loin.
Le fonctionnement de la minuterie (2) dudit
dispositif (1) est le suivant.
Le bras formant levier (7), lorsque maintenu
en position abaissée, bloque la roue cycle (3) au moyen de
l'ergot (8) dudit bras formant levier (7), ledit ergot
étant logé dans la lumière (9) de la roue cycle (3). La
minuterie (2) est alors en état d'arrêt, tous les
engrenages étant maintenus dans une position bloquée.
L'actionnement du bouton-pressoir (40)
déclenche le pivotement dudit bras formant levier (7)
lequel passe de sa position abaissée sur ladite roue cycle
(3) à une position relevée, de sorte que ledit ergot (8)
dudit bras formant levier (7) est déplacé hors de la
lumière (9).
N'étant plus retenue par ledit bras formant
levier (7), la roue cycle (3) est alors entraînée par une
roue d'entraînement (5) au moyen d'un ressort de traction
(non représenté). Pour ce faire, ledit ressort, fixé par
l'une de ses extrémités à la roue cycle (3), est monté
enroulé autour de ladite roue d'entraînement (5). Le
ressort est avantageusement enroulé de façon à disposer
d'une énergie permettant la délivrance au moins de dix
doses de fluide, soit dix traitements, un tour complet
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effectué par la roue cycle (3) correspondant à la
délivrance d'une dose de fluide.
De la même manière, la roue d'entraînement
(5), mis en mouvement sous l'action dudit ressort,
entraîne par cascade les autres roues constituant la
minuterie (2).
Avantageusement, ladite roue cycle (3) est en
contact, par l'intermédiaire d'une roue d'échappement (6)
et d'un pignon (11) monté sur l'axe de la roue
d'échappement (6), avec une *pièce métallique (12) apte à
osciller en réponse à une sollicitation de la roue cycle
(3). La fréquence d'oscillation de ladite pièce métallique
est liée à la forme et à la masse de la pièce métallique
elle-même, mais également à la forme de la roue
d'échappement (forme et nombres de dents). La pièce
métallique (12) a pour objet d'agir sur la vitesse de la
minuterie (2).
Parallèlement, entraînée par la roue
d'entraînement (5), la roue came (4) actionne au moyen de
la came (13) située sur ladite roue came (4) le bras de
libération (10) dudit fluide de façon à ouvrir puis
refermer la buse d'éjection dudit dispositif (1).
La course de la minuterie (2) se termine alors
soit par un repositionnement automatique de l'ergot (8) du
bras formant levier (7) dans la lumière (9) de ladite roue
cycle (3) (cas où l'utilisateur a actionné puis relâché le
bouton-pressoir avant la fin d'un cycle de traitement),
soit par le contact d'un ergot formé sur la roue contre le
bras formant levier (7) (cas où l'utilisateur exerce une
action en continue sur le bouton-pressoir).
En effet, dans l'hypothèse où l'utilisateur
effectuerait une action continue sur le bouton-pression
(40), maintenant ainsi en position levée l'extrémité dudit
bras formant levier (7), et par conséquent la minuterie
(2) dans un état permanent de fonctionnement jusqu'au
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relâchement de la pression sur le bouton-pressoir (40), la
minuterie (2) comporte avantageusement des moyens d'arrêt
secondaires de sécurité (non représentés). Lesdits moyens
d'arrêt de sécurité sont portés par la roue cycle (3).
Plus précisément, lesdits moyens d'arrêt de sécurité
consistent en un ergot formé sur la face de la roue cycle
(3) lequel est destiné à venir en contact avec ledit bras
formant levier (7) lorsque la roue cycle a effectué un
tour complet. Ledit ergot est disposé sur ladite roue
cycle (3) et est dimensionné pour que, lorsque ledit bras
formant levier (7) est maintenu en position relevée, ledit
ergot vient buter contre ce dernier.
Ainsi, quel que soit l'utilisation qui est
faite dudit dispositif (1), ce dernier est tel qu'une
seule dose ne peut être appliquée sur la zone à traiter
dès lors qu'une première pression (continue ou non) sur le
bouton-pressoir (40) a été réalisée, ladite dose étant
appliquée jusqu'au terme de la délivrance de la quantité
et du temps prédéterminés de fluide.
La figure 3 illustre une vue en coupe de la
buse d'éjection (22) équipant le dispositif (1)
d'application d'un fluide selon l'invention.
Ladite buse (22) est constituée par un corps
creux dans lequel est logée une enveloppe (23) définissant
une cavité (25) destinée à recevoir le fluide en
provenance d'une réserve (non représentée) au travers d'un
conduit (24). Avantageusement, la partie supérieure de
ladite enveloppe (23) est formée par un couvercle (28).
Ladite buse (22) comprend un conduit (26)
traversant de part et d'autre le corps de ladite buse (22)
et l'enveloppe (23) logée dans ladite buse (22).
Avantageusement, ledit conduit (26) est pourvu
d'une férule (29) tubulaire, l'une des extrémités de
ladite férule (29) débouchant de quelques millimètres dans
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la cavité (25), l'autre extrémité débouchant sur la tête
(27) d'éjection de ladite buse (22). Ladite férule (29)
présente un diamètre intérieur de 0,1 millimètre à 0,8
millimètre et de préférence de l'ordre de 0.3 millimètre,
et une longueur de 3 à 9 millimètres et de préférence de
l'ordre de 6 millimètres. De par ses dimensions, ladite
férule (29) assure le débit du jet et contribue, avec la
forme de la tête (27) d'éjection de ladite buse (22), à la
forme du jet du fluide. Ainsi, lorsque la zone de la tête
(27) d'éjection située autour et à proximité de l'orifice
de sortie de la férule (29) est de forme convexe, le jet
de fluide est fin, et lorsqu'elle est de forme concave, le
jet de fluide est large. Il est ainsi possible, en jouant
sur la forme de la tête (27) d'éjection de ladite buse
(22) et sur le diamètre intérieur de ladite férule (29)
d'adapter la forme du jet à l'infection à traiter. Il est
à noter que par terme jet , est entendu un mélange
gaz/liquide.
Un tiroir (30) est monté coulissant dans la
cavité (5) formée par l'enveloppe (23). Plus
particulièrement, ledit tiroir (30) est configuré pour
coulisser d'une position obturant l'extrémité de la férule
(29) (ou conduit 26) débouchant dans ladite cavité (25)
(position d'obturation) à une position laissant
l'extrémité de ladite férule (29) ouverte au fluide, et
inversement. L'obturation de ladite férule (29) est
assurée par un embout (31) en élastomère disposé sur la
face inférieure dudit tiroir (30) en contact avec ladite
férule (29) de sorte à assurer l'étanchéité.
Le coulissement dudit tiroir (30) est réalisé
sous l'action d'un champ magnétique commandé par la
minuterie précédemment décrite, ledit tiroir (30) étant
réalisé au moins en partie en un matériau magnétique. La
mise en place dudit tiroir (30) en position d'obturation
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est obtenue au moyen d'un ressort (32) disposé en partie
autour dudit tiroir (30).
Ainsi, lorsque ledit dispositif (1) est à
l'état de non fonctionnement, l'embout (31) en élastomère
dudit tiroir (30) est plaqué sur l'extrémité de la férule
(29) débouchant dans ladite cavité (25) au moyen dudit
ressort (32). Le fluide, en provenance de la réserve est
alors maintenu dans l'espacement formé entre l'enveloppe
(23) et ledit tiroir (30).
Sous l'action du champ magnétique disposé au-
dessus du couvercle (28), le tiroir (30) est déplacé de sa
position d'obturation jusqu'à sa position d'ouverture,
pour permettre l'évacuation par la férule (29) du fluide
maintenu prisonnier entre l'enveloppe (23) et le tiroir
(30). Le déplacement dudit tiroir (30) est arrêté par le
couvercle (28).
Lorsque l'aimant est retiré, ou placé à une
distance suffisante dudit couvercle (28), le ressort (32)
repousse le tiroir (30) en direction de la férule (29)
jusqu'à venir obturer à nouveau l'orifice de la férule
(29) par l'embout (31) en élastomère dudit tiroir (32).
Ledit dispositif (1) est muni en outre d'un
embout de protection (33).
Ledit embout de protection (33) a pour objet
d'établir une distance suffisante entre la zone à traiter
(peau) et la sortie du fluide froid. Ledit embout de
protection (33) a également pour objet d'éviter tout
contact de la tête (27) d'éjection de la buse (22) avec la
zone infectée à traiter. En effet, il est impératif
d'éviter de véhiculer sur les parties à traiter des
contagions par tout contact risquant d'entraîner un
renouvellement des pathologies censées être traitées ou de
développer d'autres pathologies par effet indirect. A cet
effet, ledit embout de protection (33) présente
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avantageusement une hauteur comprise entre 10 et 20
millimètres.
Par ailleurs, afin de libérer la pression de
gaz due à l'éjection du fluide, la paroi dudit embout de
5 protection (33) est pourvue d'une ou plusieurs ouvertures.
Lesdites ouvertures sont situées de préférence dans le
quart inférieur de la longueur dudit embout (33), ou tout
du moins dans le dernier tiers de la longueur dudit embout
(33). Le nombre desdites ouvertures sera choisi pour que
10 la vitesse du fluide au niveau des ouvertures soit
négligeable devant la vitesse d'éjection du fluide froid.
Avantageusement, ledit embout de protection
(33) est transparent afin de faciliter son positionnement
autour de la zone à traiter.
15 Par ailleurs, afin de respecter la forme du
jet à la sortie de la buse (22) d'éjection, ledit embout
de protection (33) est de forme tronconique ouverte vers
la zone à traiter.
Dans une configuration avantageuse de
l'invention, ledit dispositif (1) comporte en outre un
opercule (34) venant se fixer sur l'extrémité libre dudit
embout de protection (33).
Ledit opercule (34) est destiné à limiter la
zone sur laquelle le fluide est appliqué. Pour ce faire,
ledit opercule (34) comporte un orifice (35) qui, lorsque
ledit opercule (34) est fixé à l'extrémité dudit embout de
protection (33), est disposé dans l'axe d'éjection dudit
fluide. Pour le traitement des verrues, ledit orifice (35)
présente un diamètre de 5 à 10 millimètres et de
préférence de l'ordre de 6 millimètres. Pour le traitement
de tâches brunes, elle présente avantageusement un
diamètre de 10 à 20 millimètres et de préférence de
l'ordre de 15 millimètres.
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Avantageusement, ledit opercule (34) est
transparent afin de faciliter le positionnement de
l'orifice (35) face à la zone à traiter.
En rêférence aux figures 5 à 8, il est décrit
une variante de réalisation du dispositif d'application
d'un fluide (50) objet de la présente demande.
Ledit dispositif (50) est formé de deux demi-
coques (51, 52) encliquetées l'une sur l'autre, chacune
des demi-coques constituant une face latérale du
dispositif (50).
Dans l'exemple illustré, l'encliquetage est
réalisé au moyen de six languettes (53) réparties le long
du bord de la demi-coque (52), sur la face intérieure,
lesquelles languettes (53) sont destinées à être
respectivement reçues dans un logement (54) prévu et
positionné à cet effet sur la face intérieure de la coque
(51). Les logements (54) et les languettes (53) sont
configurés pour ne pas autoriser, ou que très
difficilement, le retrait desdites languettes une fois les
deux demi-coques encliquetêes.
Un récipient (65) constituant la réserve de
fluide est logé entre ces deux demi-coques (51, 52).
Ledit récipient (65) comprend une poche
intérieure et une pompe sertie qui, une fois enfoncée,
libère le gaz (non représentés). Le gaz choisi, en
l'occurrence le R152A, est injecté dans la poche et entre
les parois de la poche et du récipient, de sorte à créer,
avec l'air autour de la poche, une pression, entre les
parois, supérieure à la pression d'équilibre (ou pression
de vapeur saturante) du R152A dans la poche.
Le rapport de ces pressions sera déterminé en
fonction de la vitesse d'éjection du gaz souhaitée. On
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prendra soin d'éviter cependant que l'écart entre celles-
ci soit trop important afin d'éviter une diffusion de gaz
trop rapide. Ainsi, et préférentiellement, il sera prévu
un volume de 2,5 g (correspondant à une pression comprise
entre 6.2 bars à 7.6 bars à 20 C ) entre les parois de la
poche et du récipient et de 9 g (correspondant à une
pression comprise entre 8,0 et 9,5 bars à 20 C) à
l'intérieur de la poche, pour permettre la délivrance de
13 éjections de gaz, et donc de 13 doses de traitement,
avec une pression dans la poche allant de 7, 6 bars à la
première éjection jusqu'à 6,4 bars pour la 13ième
éjection.
Le récipient (65) est maintenu entre les demi-
coques (51, 52), dans une enveloppe de réception (60)
prévue à cet effet.
Ladite enveloppe (60) est montée pivotante sur
le bord de la semi-paroi de fond de la coque (52) autour
d'un axe transversal AAl.
La buse du dispositif (50) est constituée par
un gicleur (66) dont l'orifice de sortie présente
avantageusement un diamètre de 0,20 millimètre.
Les dimensions et la forme du gicleur (66)
sont choisies de façon permettre un contrôle du débit et
de la direction du gaz. Plus spécifiquement, les
dimensions du gicleur (66) sont établies en fonction du
gaz utilisé et de ses propriétés, ainsi que de la pression
maintenue dans la poche du récipient (65). L'objectif est
d'obtenir une éjection de gaz dans un temps très court, de
l'ordre de trois secondes, avec un niveau de
refroidissement sur la peau, aux environs de -5 , tel que
qu'un choc thermique est provoqué en quelques secondes (de
l'ordre de cinq secondes) sans douleur.
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Ledit dispositif (50) comprend en outre, comme
le dispositif précédemment dêcrit, un embout de protection
(67) transparent dont la paroi est pourvue d'ouvertures
(68) pour la libération de la pression du gaz, et dont
l'extrémité est pourvue d'un opercule (69).
Avantageusement, ces ouvertures (68) se
situent dans la moitié inférieure de l'embout (67) (c'est-
à-dire la moitié la plus proche de la peau lorsque ledit
embout est positionné contre la peau). Lesdites ouvertures
(68) sont dimensionnées et agencées de sorte à permettre
un échappement gazeux suffisamment important pour ne pas
créer de tourbillons à l'intérieur dudit embout (67)
pouvant dévier la trajectoire du jet.
Avantageusement, la longueur de l'embout de
protection (67) est fonction de la distance optimale entre
la sortie du gicleur (66) et la peau , soit de 33
millimètres : en dessous, la vitesse du fluide provoque
des projections du fluide sur les parois de l'embout de
protection, générant alors une perte de fluide ; au-
dessus, l'évaporation est trop importante.
La figure 5 illustre le dispositif (50) dont
la demi-coque (52) a été enlevée afin de montrer une
partie du système de déclenchement de la minuterie.
Le système de déclenchement de la minuterie
comprend une manette de réarmement (55) solidaire d'une
roue (56), par la suite nommée roue came . De même que
la roue came (24) du mode de réalisation précédemment
décrit, la roue came (56) a pour objet d'actionner la
libération ou l'arrêt de la libération du fluide. Cet
actionnement sera décrit plus loin.
Un ressort (58), destiné à fournir l'énergie
nécessaire pour délivrer une dose de fluide, est fixé,
enroulé, par l'une de ses extrémités à la roue came (56),
l'autre extrémité étant fixée sur la face (59) de la demi-
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coque (51) constituant la semi-paroi de fond du dispositif
(50). Il est maintenu entre la manette de réarmement (55)
et la roue came (56).
Les figures 6 et 7 illustrent le dispositif
(50) dont la demi-coque (51) a été enlevée afin de
montrer les moyens mis en oeuvre pour actionner la roue
came (56), et donc déclencher ou arrêter la libération du
f luide .
Lesdits moyens comprennent un levier
déclencheur et un levier bascule (61).
Le levier déclencheur est constitué par ladite
enveloppe (60), dont le mouvement de pivotement est
actionné au moyen d'un bouton déclencheur (63). Le levier
déclencheur sera par la suite numéroté 60
Le levier bascule (61) est agencé pour
présenter une extrémité (70) restant en contact avec la
roue came (56). Cette dernière présente ainsi une face sur
laquelle est montée la manette de réarmement (55), l'autre
face étant configurée pour recevoir l'extrémité de
frottement (70) du levier bascule (61).
La figure 8 illustre une vue de la face de la
roue came (56) destinée à recevoir l'extrémité (70) de
frottement du levier bascule (61). Pour ce faire, la roue
came (56) comprend une nervure de guidage (71) destinée à
guider, sur sa périphérie extérieure (72) le levier de
bascule (61). La périphérie extérieure (72) de la nervure
de guidage (71) est pourvue d'une extension (73)
constituant une patte de blocage pour le levier bascule
(61) lors du réarmement de la manette (55). Le blocage du
levier bascule (61) est effectué par la face (74) de
l'extension (73).
La roue came (56) comporte en outre une patte
d'arrêt (75) destinée à arrêter le levier bascule (61)
dans son mouvement, ladite patte d'arrêt (75) étant
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précédée d'un bossage (77). Le mouvement imposé au levier
bascule (61) par le bossage (77) entraîne l'arrêt de la
délivrance du fluide par l'intermédiaire de la pièce
formant crochet (63). L'arrêt du levier bascule (61) par
5 la patte d'arrêt (75) entraîne, quant à lui, le
verrouillage du levier déclencheur (60).
Avantageusement, la patte d'arrêt (75)
présente une forme en U.
Selon une configuration préférée, ladite roue
10 came (56) comporte une deuxième nervure (76) permettant de
maintenir et de guider le levier bascule (61) entre les
deux nervures (71, 76). Cette deuxième nervure (76) a pour
avantage de ne pas nécessiter l'effet ressort nécessaire
pour un levier bascule (61) lorsque la roue came (56) ne
15 comprend qu'une seule nervure (71).
Le levier basculant (61) est rendu solidaire
du levier déclencheur (60) par l'intermédiaire d'une pièce
formant crochet (62).
La minuterie associée à la roue came (56),
comprend six pièces lesquelles sont une platine, une
ancre, deux palourds et deux pignons.
Par ailleurs, il est bien entendu évident que
la manette de réarmement (55) et le bouton déclencheur
(63) sont agencés pour s'étendre à l'extérieur des demi-
coques (51, 52).
Le fonctionnement du système de délivrance du
fluide est le suivant.
Afin d'amorcer la minuterie, on tourne la
manette de réarmement (55), qui entraîne dans son
mouvement, la roue came (56). Ladite manette (55) est
tournée jusqu'à ce que le levier bascule (61) vienne se
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bloquer contre l'extension (73) constituant la patte de
blocage butée.
Dans le même temps, le ressort (58), maintenu
entre la manette de réarmement et la roue came, est
entraîné par le mouvement de la roue came (56),
s'enroulant sur lui-même.
De préférence, l'amorçage est réalisé en
tournant d'un demi tour la manette de réarmement (55).
Le dispositif d'application du fluide (50) est
alors prêt à être à l'emploi pour la délivrance d'une dose
de fluide définie pendant une durée de temps déterminée.
L'opération de délivrance du fluide est lancée
en poussant manuellement le bouton déclencheur (63) vers
le haut du dispositif (50), en direction de la buse. Dans
son mouvement, ledit bouton déclencheur (63) entraîne le
levier déclencheur formée par l'enveloppe (60) dans un
mouvement de pivotement en direction de la coque (52).
Dans son mouvement, le levier déclencheur (60) entraîne
l'abaissement de la pièce formant crochet (63), qui
soulève le levier bascule (61) pour permettre le passage
de l'extension (72). Le levier bascule (61) n'étant plus
en blocage avec la roue came (56), cette dernière est mise
en rotation sous l'action dudit ressort (58). La minuterie
est alors déclenchée.
Dans le même temps, le levier déclencheur
(60), en pivotant, vient appuyer le fond de la bonbonne,
donnant la course d'ouverture de la pompe sertie dans le
récipient (65), qui libère le gaz.
Le gaz est alors délivré jusqu'à ce que le
levier bascule (61) soit mis en contact avec le bossage
(77) prévue sur la roue came (56). La roue came (56)
poursuit son mouvement de rotation jusqu'à ce que le
levier bascule (61) atteigne la patte d'arrêt (75). Le
mouvement du levier déclencheur (60) est alors verrouillé.
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Afin de procéder à une nouvelle délivrance de
fluide, il sera procédé à nouveau à une étape de
réamorçage de la minuterie, le bras du levier basculant
(61) passant de sa position d'arrêt vers sa position
intermédiaire de blocage sous l'action en sens inverse de
la traction exercée par le ressort (58), et ainsi de
suite.
L'invention est décrite dans ce qui précède à
titre d'exemple. Il est entendu que l'homme du métier est
à même de réaliser différentes variantes de l'invention
sans pour autant sortir du cadre du brevet.
