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Patent 2797151 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2797151
(54) English Title: SYSTEME MODULAIRE D'ENTRAINEMENT AEROBIQUE INTERACTIF
(54) French Title: INTERACTIVE MODULAR AEROBIC TRAINING SYSTEM
Status: Deemed Abandoned and Beyond the Period of Reinstatement - Pending Response to Notice of Disregarded Communication
Bibliographic Data
(51) International Patent Classification (IPC):
  • A63B 69/00 (2006.01)
  • A63B 22/00 (2006.01)
  • A63B 24/00 (2006.01)
  • A63B 26/00 (2006.01)
  • A63B 69/20 (2006.01)
  • A63B 69/34 (2006.01)
  • G01S 01/70 (2006.01)
  • H04N 05/30 (2006.01)
(72) Inventors :
  • LAVALLEE, ERIC (Canada)
(73) Owners :
  • ERIC LAVALLEE
(71) Applicants :
  • ERIC LAVALLEE (Canada)
(74) Agent:
(74) Associate agent:
(45) Issued:
(22) Filed Date: 2012-10-26
(41) Open to Public Inspection: 2014-04-26
Availability of licence: N/A
Dedicated to the Public: N/A
(25) Language of filing: French

Patent Cooperation Treaty (PCT): No

(30) Application Priority Data: None

Abstracts

French Abstract


L'invention est un système modulaire de conditionnement physique intégrant
différents capteurs
qui communiquent les informations de force, de vitesse et de temps, via un
programme informatique
à un smartphone, propriété de l'utilisateur.
Toutes les informations des capteurs sont traduites en information utile à
l'application interactive
spécialement conçue et installée sur le smartphone de l'utilisateur. Cette
application donne à
l'utilisateur des fonctions diverses telles que des jeux, des routines
préprogrammées, des logiciels
de création musicale ou tout simplement des rapports d'entraînements.
Cette invention a pour but de stimuler les utilisateurs dans leurs
entraînements en les divertissant
et leur offrant des modules d'entraînements efficaces, accessibles,
sécuritaires, innovateurs et
extrêmement divertissants.
Elle est un ensemble de modules interactifs, complémentaires et numériquement
assistés.
Ces modules sont conçus afin de donner un grand nombre de routines et
d'objectifs
d'entrainement.
Pour cette raison, l'invention est une série d'objet et de procédés destinés
aux équipements multi-
fonctionnels interactifs d'activité physique.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.


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REVENDICATIONS
1. Un système, un procédé et un ensemble de modules d'entraînement physique
interconnectés
et complémentaires constitués de modules de frappe, de modules à bouger, de
modules pour
frapper et de modules adaptateurs;
Dont la constitution intègre des capteurs de données de pression,
d'accélération.
d'extension, de torsion, d'audio, de vidéos et de biométrie traités en
conjonction par sys-
tème informatique à multiples niveaux dont les différents modules peuvent
entrer en inter-
actions;
Dont les composantes informatiques desdits modules sont reliées à un appareil
de type
téléphone intelligent muni d'une application se connectant à un ou plusieurs
de ces modules
afin de créer une interaction entre ces derniers et l'utilisateur pendant
l'entraînement;
Dont ladite application est capable de gérer tous les capteurs reliés dans la
chaine de com-
posantes informatique qu'elle soit en série. en arborescences ou une
combinaison de ces
types de chaîne avec une application qui utilises une sélection préprogrammée
de capteurs
à chaque sous-application de chacune des centrales informatique des 'nodules
connectés à
l'application principale;
Dont il est possible d'utiliser plusieurs modules simultanément.
2. Un système d'entraînement de sport cardiovasculaire de frappe composé de
zones de frappes
et d'attrapes;
Dont ces zones sont principales ou secondaires;
Dont ces zones sont dotées de capteurs
Dont les zones de frappe et d'attrape sont fixées à une base solide;
Dont la combinaison d'une base et de la zone de frappe ou d'attrape forme une
section;
Dont ces sections sont interchangeables;
Dont un distributeur fait office de support;
Dont ce distributeur est fixé solidement;
Dont la base s'insère dans le distributeur;
Dont la base se fixe solidement au distributeur;
Dont un coussin protecteur est placé sur le distributeur;
Dont ce coussin est muni d'espaces;
Dont ces espaces laissent passer les zones de frappe ou d'attrape;
Dont le distributeur soutient les sections solidement;
Dont le distributeur se fixe au mur ou sur un module de soutien.
3. Un système tel en 2 composé en un assemblage d'un distributeur, d'une
enveloppe et de sec-
tions;
Dont les sections s'installent dans le distributeur à travers les espaces
prévus à cet effet ;
Dont l'enveloppe est pourvue d'espace afin de laisser passer les sections au
travers de
l'enveloppe;
Dont la variance de résistance localisée en temps réel est faite avec
l'utilisation d'énergies
pneurnatique ou hydraulique.
Dont le distributeur contient un collecteur qui répartit l'énergie pneumatique
ou hy-
draulique vers les composants avec des valves contrôlées électroniquement;
Dont les sections de frappe peuvent être frappées;
Dont les sections d'attrape peuvent être attrapées;
Dont les sections offrent des configurations de surfaces, de matériaux
absorbant les chocs,
de capteurs, de la position de ces derniers et de formes variés;
Dont les sections peuvent être interchangées indépendamment;
Dont les sections varient leurs résistances automatiquement;
Dont l'enveloppe est un coussin d'absorption placé par-dessus le distributeur
et sous les

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zones de frappe des sections;
Dont cette même enveloppe est munie de capteurs de pression et de capteurs
d'accélération
dispersée sur et sous le matériau absorbant les chocs.
4. Un coussin constitué de zones de frappe secondaires latérales contenant un
gel ou un ensem-
ble de couches de gels;
Dont une structure renforce le tout ;
Dont des espaces sont placés en travers;
Dont les espaces laissent passer d'autres composants;
Dont l'interaction demandée de l'utilisateur est de frapper ou de saisir les
zones latérales en
plus des zones frontales du coussin.
5. Un coussin tel en 3 constitué de zones de frappe secondaires latérales
contenant des coussins
pneumatiques ou hydraulique;
Dont les zones latérales contiennent une connexion ;
Dont la connexion est faite avec des boyaux ;
Dont la connexion se fait avec le collecteur;
Dont le collecteur contrôle la pression.
6. Un système de simulation d'attaques pour les sports de frappe constitué
d'une buse, d'un sys-
terne de contrôle de pression pneumatique et d'un système de détection de
proximité;
Dont la relâche d'air est activée électroniquement;
Dont la réaction demandée de l'utilisateur est de placer ses membres devant le
jet d'air lors
de l'éjection du jet d'air;
Dont cette réaction est mesurée.
7. Un système tel en 6 doté de buse dont la direction et la forme du jet
peuvent être changées
électroniquement;
Dont le contrôle de la direction se fait à l'aide d'un système de pistons
pneumatiques;
Dont le contrôle de forme est fait par un diaphragme.
8. Un système tel en 6 ou en 7 intégré à de l'équipement sportif;
Dont cet équipement est fait pour être frappé.
9. Un système tel en 1 et en 3.
10. Un système de bande élastique destiné à la musculation avec ensemble de
capteurs électron-
iques d'élongation et d'un système informatique équipé de capacité de
radiofréquence;
Dont les bandes et les poignées peuvent être modulaires et interchangeables;
Dont un composant extensible conducteur est placé en circuit en combinaison
avec la bande
élastique;
Dont ce composant est connecté au système informatique;
Dont ce composant change sa résistance en fonction de la tension appliquée;
Dont ce changement créé une information du courant appliqué en circuit sur le
composant.
11. Un système tel que défini en 10 dont le mécanisme de fixation fait glisser
les poignées et la
bande l'une dans l'autre par un rail fait de deux extrusions complémentaires;
Dont ce mécanisme est pourvu d'un dispositif de sécurisation;
Dont les bandes sont séparées des poignées;
Dont les bandes sont disponibles en plusieurs résistances;
Dont les bandes sont fixées aux extrusions des bandes:
Dont les bandes élastiques conductrices sont connectées aux points de contact
des extru-
sions des bandes;
Dont les extrusions des bandes possèdent des points de contact avec
l'extrusion complé-
mentaire de la poignée;
Dont le système est muni d'un système informatique connecté aux points de
contact.

53
12. Un système de bande élastique et de poignées combinant la résistance par
gravité;
Dont cette résistance est fixée à l'aide de poids supplémentaires;
Dont ces poids sont fixés aux poignées.
13. Un procédé de fabrication et d'adaptation d'équipements sportifs contrôlés
électroniquement
incluant un récepteurs et une pastille amovible complémentaire;
Dont la pastille intègre un système informatique;
Dont la pastille est équipée de capacités de radio-fréquence;
Dont la pastille est équipée d'une pile;
Dont la pastille est équipée de capteurs accélérométriques;
Dont la pastille est équipée de micro piézo;
Dont la pastille contient un connecteur femelle;
Dont le récepteur contient un connecteur mâle;
Dont le récepteur contient un ensemble de connexions universelles pour tous
capteurs de
l'équipement ;
Dont les capteurs sont équipés au bout de leurs fils de la connexion
universelle;
Dont les fiches des connecteurs universels sont reliées au connecteur
universel du récep-
teur;
Dont ces connecteurs universels sont reliés au connecteur mâle du récepteur.
14. Un procédé de repérage d'équipement assisté utilisant un signal à
pulsation lumineuse;
Dont un émetteur lumineux placé sur un équipement émet un code de pulsation
lumineuse;
Dont l'utilisation d'un système informatique équipé de caméra, d'écran et de
capacités
logicielles est requise;
Dont le système informatique gère simultanément une application et les données
de la
caméra vidéo;
Dont le récepteur vidéo capte la pulsation lumineuse;
Dont une application présente à l'écran la captation vidéo;
Dont cette application capte et interprète les signaux lumineux;
Dont cette application avertit l'usager de la présence du signal lumineux dans
le champ de
la caméra ;
Dont cette application présente à l'écran, au dessus du signal lumineux
correspondant, une
marque indiquant à l'utilisateur ou est situé l'équipement dans son champ de
vision.
15. Un système d'interactivité électronique qui s'intègre à une planche à
roulettes;
Dont l'intégration se fait en plaçant le système entre la planche et l'essieu
;
Dont le système est placé dans une structure solide;
Dont la dimension de la structure est similaire en longueur et en largeur des
plaques d'appui
de l'essieu auxquelles les vis de fixation s'insèrent;
Dont les trous dans le système sont placés selon la disposition standard des
planches à rou-
lettes et laissent passer les vis de fixation de longueur appropriée;
Dont les vis passe dans les trous de la planche, le système et dans l'essieu;
Dont la structure contient une la centrale informatique à capacité de radio
fréquence;
Dont cette centrale informatique est reliée aux capteurs contenus dans sa
structure.
16. Un système tel en 16 muni de caméras vidéo.
17. Un système de caméra vidéo pouvant être -fixé sous une planche à
roulettes;
Dont l'intégration se fait en plaçant le système entre la planche et l'essieu;
Dont la dimension de la structure du système est similaire en longueur et en
largeur des
plaques d'appui de l'essieu dans lesquels les vis de fixation s'insèrent;
Dont les trous dans la structure sont placés selon la disposition standard des
planches à
roulettes et laissent passer les vis de fixation de longueur appropriée;

54
Dont les vis passent dans les trous de la planche, dans ceux du système et
dans l'essieu;
Dont la structure contient une pile, un système de contrôle électronique, de
capacité de radi-
ofréquences et système de mémoire informatique;
Dont le système de mémoire informatique conserve les clips vidéos captés;
Dont il est possible d'accéder à la mémoire informatique.
18. Un système tel en 15 et en 16 munit d'un récepteur pouvant accueillir une
pastille tel que
décrit en 13.
19. Une boule rebondissante;
Dont la constitution est faite de deux demi-sphères qui s'assemblent;
Dont les demi-sphères sont creusées en leurs centres;
Dont dans ce centre, une centrale informatique est placée;
Dont la centrale contient une pile, des capteurs accélérométriques et un
microphone piézo;
Dont la centrale informatique est munie de capacité de radiofréquence;
Dont cette balle est munie d'une cheminée permettant le passage d'une tige;
Dont une tige contient un connecteur au bout;
Dont ce connecteur peut se brancher dans la centrale informatique.
20. Une lourde boule contenant une centrale informatique;
Dont les capteurs de pressions sont disposés sous et sa surface;
Dont la centrale contient une pile, des capteurs accélérométriques et un
microphone piézo;
Dont ta centrale informatique est munie de capacité de radiofréquence;
Dont cette balle est munie d'une cheminée permettant le passage d'une tige;
Dont cette tige contient un connecteur au bout;
Dont ce connecteur peut se brancher dans la centrale informatique.
21. Un système de surcharge fait d'une variation de constituant ;
Dont la taille ne varie pas;
Dont les constituants ont des niasses différentes;
Dont l'agrégation de constituants permet de créer des masses précises;
Dont ces constituants sont placés dans une capsule;
Dont la capsule est complémentaire à un réceptacle;
Dont ce réceptacle est placé sur un équipement sportif.
Dont ce réceptacle est connectable en série sur l'équipement.
22. Un gant de protection pour les sports de frappe;
Dont la constitution intègre des capteurs de pressions;
Dont un capteur de pression est placé sur la tranche de la main;
Dont un capteur de pression est placé dans la paume;
Dont un capteur de pression est placé sur le dos de la main ;
Dont un capteur de pression est placé sur le devant du poing;
Dont ces capteurs sont reliés à une centrale informatique;
Dont cette centrale est munie de capacité de radiofréquences.
23. Un gant tel en 22 équipé de réceptacle pour les capsules définies en 21.
24. Un gant en 22 ou en 23 équipés de capteurs accélérométriques de
différentes sensibilités;
Dont ce gant est équipé d'un micropiezo;
Dont ce gant est équipé d'un tissu conducteur;
Dont ce gant émet un courant dans le tissu conducteur;
Dont ce courant sont captés par les tissus conducteurs d'autres modules.
25. Un gant tel en 22, 23 ou 24 munis de capteur de flexion placé dans les
doigts ;
Dont ce gant est muni de capteurs de pression sur le bout des doigts;
Dont ces capteurs sont connectés a la centrale informatique.

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26. Un système tel que défini en 1, 2 et 3 ;
Dont le distributeur est configurable;
Dont le distributeur contient des réceptacles de section ;
Dont le réceptacle recroit et fixe la base de la section;
Dont les réceptacles se fixent entre eux ;
Dont cette fixation est faite de multiples composants;
Dont un composant est une forme géométrique;
Dont un composant est une barre de fer;
Dont un composant est un boulon;
Dont un composant est un disque de caoutchoucs percé ;
Dont un composant est un piston;
Dont un composant est un adaptateur d'angle des composants pour les joints des
com-
posants;
Dont les réceptacles sont munis de joints récepteurs auxquels se fixent les
joints des com-
posants.
Dont les configurations variées de composants permettent de créer des formes
différentes;
Dont cette forme est recouverte d'une enveloppe de forme adaptée;
Dont cette enveloppe protège l'utilisateur de la structure du distributeur.
27. Un système à frapper à toiles extensible;
Muni de poteaux soutenant des cylindres;
Dont ces cylindres sont munis de mécanisent d'enroulement;
Dont la toile est constituée de plusieurs composants
Dont un composant est du tissu conducteur ;
Dont un composant est du caoutchouc ;
Dont un composant est du gel ;
Dont un composant est du kevlar;
Dont un composant est un câble;
Dont un composant est un moteur;
Dont un composant est un système de connexion ;
Dont le tissu conducteur change de résistance électrique lorsqu'il est étiré;
Dont cette épaisseur varie sur la toile en fonction des zones de frappe
principales;
Dont ce caoutchouc est renforcé par des fibres de kevlar ;
Dont ce kevlar est disposé à créer des axes de tension;
Dont ces axes de tension se terminent par des points d'attache;
Dont les câbles sont fixés au point d'attache;
Dont les câbles sont enroulés autour d'un cylindre;
Dont cet enroulement crée une tension dans la toile.
28. Un système tel en 27 à surface de frappe adoucie;
Dont ces zones de frappe principales sont creusées;
Dont ce creux esr rempli d'un gel ;
29. Un système tel en 27 ou 28 interactif et automatique;
Dont les mécanismes d'enroulement sont activés par un moteur;
Dont ces moteurs sont contrôlés électroniquement ;
Dont la toile est équipée d'un réseau de capteurs;
Dont ce réseau contient des capteurs de pression ;
Dont ce réseau contient des capteurs accéléréromètres;
Dont ce réseau contient des capteurs de tensions localisés;
Dont ces capteurs sont reliés à un circuit intégré à la toile;

56
Dont ce circuit mène à un connecteur;
Dont ce connecteur se branche à la centrale informatique;
Dont la centrale informatique est équipée de radiofréquence;
Dont la radiofréquence permet une connexion à un ordinateur.
30. Un système tel en 27, 28 ou en 29 ajustable et inclinable;
Dont dont le poteau soutient un mécanisme de variation de hauteur ;
Dont ce mécanisme soutient un mécanisme de variation d'angle;
Dont ce mécanisme de variation de hauteur contient des moteurs;
Dont les moteurs activent des engrenages;
Dont un engrenage prend prise sur un poteau;
Dont un autre engrenage prend prise sur le mécanisme de variation d'angle;
Dont le mécanisme de variation d'angle soutient le cylindre;
Dont les moteurs sont contrôlés électroniquement.
31. Un dispositif d'appui de pied dynamique;
Dont l'utilisation se fait en conjonction avec les systèmes27, 29, ou 30 ;
Dont la fixation au système se fait par le bas des poteaux;
Dont la fixation est un ensemble;
Dont cet ensemble contient un câble;
Dont cet ensemble contient une base;
Dont cette base est attachée au câble;
Dont ce câble est attaché au poteau;
Dont cette base est antidérapante;
Dont cette base tient une plaque d'appui ;
Dont cette plaque d'appui peut être levée à une extrémité;
Dont ce mouvement est créé mécaniquement;
Dont cette plaque d'appui est fixée à la base;
Dont cette fixation est à une extrémité de la plaque;
Dont cette fixation est mobile;
Dont un mouvement en angle est créé;
Dont ce mouvement permet un appui du pied.
32. Un système tel en 29 en demi-cercle;
Dont la toile est pourvue d'anneaux complémentaires;
Dont les anneaux sont fixés;
Dont cette fixation est à l'arrière de la toile;
Dont cette fixation est intégrée au renforcement;
Dont la disposition des anneaux est faite entre les zones de frappes;
Dont ces anneaux retiennent des câbles;
Dont ces câbles passent par des poulies;
Dont ces câbles sont reliés à un mecanisme d'enroulement ;
Dont ce mécanisme d'enroulement est muni d'un dispositif de blocage;
Dont ce dispositif est contrôlé électroniquement;
Dont ce mécanisme d'enroulement est activé par un moteur;
Dont ce moteur est contrôlé électroniquement ;
Dont chaque mécanisme d'enroulement est indépendant ;
Dont les mouvements des moteurs créer une tension localisée;
Dont les poulies sont placées sur une cage en forme de demi-cercle;
Dont la cage est placée derrière la toile;
Dont les tensions localisées tirent la toile vers la cage;

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Dont la cage est placée sur une base:
Dont cette base retient le système.
33. Un système d'haltère multicomposant contenant une poignée; des surcharges
à surface et de
poids à mécanisme de blocage;
Dont la surcharge contient une surface de protection;
Dont cette surface protège la main
Dont cette surface est compressible;
Dont cette surface est munie d'une architecture de renforcement;
Dont la compressibilité est limitée par l'architecture de renforcement;
Dont cette surface est reliée à deux disques;
Dont ces disques s'insèrent dans les deux extrémités de la poignée;
Dont ces disques sont de lourdeur et de volume variable;
Dont les poids à mécanisme de blocage viennent se placer fermement sur les
extrémités de
la poignée;
Dont les poids à mécanisme de blocage sont de lourdeur et de volume variable;
Dont la combinaison de surcharges et de poids forme un ensemble de résistances
;
Dont ces résistances suivent une progression régulière.
34. Un système tel que défini en 33 dont la poignée contient une centrale
informatique;
Dont la centrale informatique contient des capacités de radiofréquence;
Dont la centrale contient des accéléromètres;
Dont la centrale contient des micros piézo;
Dont la poignée est munie d'une connexion de poignée;
Dont la surcharge est équipée d'une connexion qui s'insère dans la connexion
de poignée;
Dont la surface est dotée de capteur de flexion;
Dont la surface est dotée de capteur de pression ;
Dont les informations des capteurs de la surcharge sont transmises par la
connexion de
poignée à la centrale informatique.
35. Un système de transformation de gant de boxe en système interactif;
Dont le déploiement se fait par le placement d'une gaine sur le gant;
Dont cette gaine est élastique;
Dont la gaine adhère au gant par sa composition;
Dont sa composition est un ou plusieurs matériaux;
Dont un matériel est du caoutchouc ;
Dont un matériel est du vinyle;
Dont un matériel est de la colle;
Dont un matériel est du latex;
Dont cette gaine est munie de capteurs de pression;
Dont cette gaine est munie d'un capteur accélérométrique;
Dont cette gaine est reliée à une centrale informatique;
Dont la centrale contient une pile, des capteurs accélérométriques et un
microphone piézo;
Dont cette centrale informatique est placée au niveau du poignet.
36. Un coussin de frappe constitué de chambres pneumatiques indépendantes;
Dont l'ensemble des chambres constitue une zone de frappe;
Dont la forme des chambres est faite d'un renforcement;
Dont la résistance et la sensation sont modifiées par les formes
complémentaires des cham-
bres;
Dont une chambre principale contient un système de valves;
Dont une chambre principale est supportée par une chambre secondaire;

58
Dont une chambre secondaire est sous la forme d'un cone;
Dont une chambre secondaire contient un système de valves;
Dont la chambre principale est complémentaire à la chambre secondaire;
Dont les chambres sont placées dans une couche protectrice;
Dont l'ensemble des chambres et de la couche protectrice forme le coussin de
frappe;
Dont le volume du coussin de frappe est constant.
37. Un procédé de construction de coussin multi-couche;
Dont la fonction est d'absorber les chocs;
Dont la configuration de composant est multiple;
Dont les composants sont multiples;
Dont un composant est du gel;
Dont le gel est de différentes densités;
Dont un composant est le caoutchouc ;
Dont le caoutchouc est de différentes densités;
Dont un composant est le kevlar;
Dont un composant est du cuir;
Dont un composant est un coussin d'air;
Dont un composant est un coussin de gel;
Dont ces composants varient en épaisseurs;
Dont ces composants sont agencés;
Dont cet agencement est vertical ;
Dont cet agencement est horizontal ;
Dont cet agencement est en profondeur ;
Dont le résultat de cet agencement modifie l'absorbotion des chocs;
Dont cette modification crée une variation de résistance;
Dont ces résistances sont progressives;
Dont ces résistances sont calculées et nommées.
38. Un procédé tel en 37 interactifs;
Dont des composants électroniques sont ajoutés;
Dont un composant est un capteur de pression;
Dont un composant est un capteur d'accélération ;
Dont un composant est un capteur audio piézo;
Dont les composants se branchent sur un circuit;
Dont le circuit est relié à un connecteur;
Dont le connecteur se relie à un ordinateur;
Dont les composants électroniques sont agencés;
Dont cet agencement est horizontal;
Dont cet agencement est vertical;
Dont cet agencement est en profondeur;
Dont le résultat de cet agencement modifie la sensibilité des capteurs;
Dont cette modification crée une variation de résistance:
Dont ces résistances sont progressives;
Dont ces résistances sont calculées et nommées.
39. Un plastron d'entrainement par bande de résistance;
Dont le plastron est muni mécanisme d'enclenchement;
Dont le mécanisme reçoit une extrémité d'une bande;
Dont cette extrémité est fixée au plastron par ce mécanisme ;
Dont ces bandes sont fixées à un point d'attache;

59
Dont ce point d'attache est une poignée ou un gant;
Dont ce point d'attache est pris par la main ;
Dont les bandes offrent de la résistance aux mouvements de la main.
40. Un système d'adaptation d'équipement traditionnel de frappe tel un
punching bag ;
Dont le système s'enroule autour de l'équipement;
Dont le système est attaché sur lui-même;
Dont le système est formé d'une surface;
Dont cette surface est faite par le procédé tel en 37 ou 38;
Dont ce système inclut le procédé tel en 13;
Dont cette surface est renforcie.
41. Un système interactif de frappe sportive sous la forme d'un coussin
contenant un haut-par-
leur;
Dont le son est transmis aux couches d'absorptions des chocs;
Dont ce son est modulable en volume et en fréquences;
Dont ce son permet de localiser le coussin parmi d'autres.
42. Un coussin de frappe avec entrée d'air contrôlée dotée de la même forme
qu'un punching
bag traditionnel ;
Dont l'entrée et la sortie d'air sont munies d'une valve;
Dont la valve est contrôlée électroniquement;
Dont la variation du volume d'air est interactive;
Dont cette variation produit un changement de résistance;
Dont cette résistance varie sur de très courts moments et automatiquement.
43. Un système interactif de protection pour les sports de combat;
Dont un composant est une genouillère;
Dont un composant est un protège-coude;
.Dont un composant est un casque;
Dont un composant est un plastron ;
Dont un composant est un gant;
Dont chaque composant est muni de capteurs accélérométriques;
Dont chaque composant est muni de capteurs de pression;
Dont chaque composant est muni tissus conducteurs;
Dont chaque composant est indépendant;
Dont chaque composant peut être utilisé seul ou en série;
Dont chaque composant protège une partie du corps;
Dont chaque composant est équipé de système tel que défini en 13.
44. Un bouclier destiné à l'entrainement physique, notamment pour la boxe et
les arts martiaux ;
Dont une caméra vidéo permet une connexion à un ordinateur mobile;
Dont l'ordinateur mobile peut être fixé à l'arrière du bouclier;
Dont l'entraineur tenant le bouclier peut voir sur son ordinateur mobile la
captation vidéo.

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.


CA 02797151 2012-10-26
=
TITRE DE L'INVENTION
SYSTEME MODULAIRE D'ENTRAINEMENT AÉROB1QUE INTÉRACTIE
Par cette demande de brevet, l'inventeur confirme qu'il est en vérité et de
bonne foi, l'inventeur
de l'invention et de ses modules ici décrit.
INVENTEUR
ÉRIC LAVALLÉE
4477 BRÉ.',BEUE
MONTRÉAL (QUÉBEC) H2J 3K8
DÉFINITIONS
Ici placé dans un ordre de général à spécifique, des termes importants du
présent descriptif.
= SMARTPHONE
Téléphone intelligent, généralement à surface tactile possédant des capacités
de radiofréquences
activé par un système d'exploitation qui peut ètre de type i0S, Android,
Window mobile ou autre
système du genre.
= l'ABLETTE
Tablette informatique à surface tactile possédant une plus grande surface et
généralement une
plus grande puissance de traitement d'information qu'un smartphone. Aussi,
tout comme les
smartphones, ils possèdent des capacités WiFi, Bluetooth ou autre signal
similaire et sont activé
par un système d'exploitation de type i0S, Android, Window, Linux ou autre
système du genre.
= OPÉRATEURS
Les opérateurs sont les propriétaires de salles d'entrainements, généralement
les acquéreurs des
modules lourds qu'ils mettent à la disposition des membres de leurs clubs, les
utilisateurs.
= UTILISATEUR
Celui qui pratique de l'exercice physique avec les modules de l'invention.
Pour tirer parti de
l'invention, il doit avoir un smartphone et l'application conçue à cet effet
afin d'activer et con-
trôler le ou les modules qu'il veut utiliser.
= APPLICATION
Le mot application est ici utilisé dans le sens d'un programme informatique
destiné à une ou plu-

CA 02797151 2012-10-26
sieurs tâches, exécutable depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone.
Nonobstant la précédente, le mot application est utilisé dans le sens de
l'application d'une couche
de gel ou de colle. Dans ces contextes précis, l'indication est claire dans la
phrase exceptionnelle.
= MODULE
Un module est une pièce d'équipement de l'invention et peut être utilisé seul
ou avec d'autres
modules afin de générer des informations de mouvements, de force, de durée et
d'amplitude qui
seront transformés en information utile à l'application du smartphone de
l'utilisateur.
= CLASSES
Les modules sont divisés en deux classes qui s'adressent, à l'achat, à deux
groupes de consom-
mateurs. Les modules lourds sont destinés aux opérateurs et les modules Léger,
aux utilisateurs.
Dans les deux cas, ce sont les utilisateurs qui utilisent les modules. Dans le
premier cas, ce
sera sur les lieux du gymnase de l'opérateur et dans le deuxième.
l'utilisateur, propriétaire de
l'équipement, utilisera l'équipement où bon lui semble.
= SALLE D'ENTRAINEMENT
La salle d'entrainement, dans le contexte de cette demande de brevet est une
salle de type club
d'entrainement où un opérateur met à la disposition des équipements
d'entrainements à des utili-
sateurs, généralement après avoir perçue une cotisation de ceux-ci.
= CENTRALE INFORMATIQUE
Le terme centrale informatique est utilisé ici afin de décrire une
structure informatique inté-
grée à un module dont la fonction est de se connecter aux capteurs et de les
contrôler. Les cen-
trales contiennent généralement une pile, plusieurs sensibilités de capteurs
accéléromètres, un
composant piézo, un circuit, des puces et un connecteur.
= PASTILLE
La pastille est l'endroit où la centrale informatique est logée. Elle peut
être permanente ou amov-
ible. Elle s'insère dans un récepteur placé sur les modules de l'invention
créant une connexion
avec tout les capteurs des modules.
CONTEXTE DE L'INVENTION
L'invention est un système d'entraînement physique, généralement utilisé dans
un gymnase
public, utilisant des machines d'entraînement et y intègre une composition de
capteurs afin de la
rendre interactive.
Elle touche donc le marché des machines d'entrainements. Plus précisément des
machines
d'entraînements physiques interactives dotées de capacités de communication
avec des smart-
phones.
L'invention, dont le premier module de référence est le coussin de frappe,
propose à l'utilisateur
une session intéressante en lui donnant la chance d'être musicalement créatif
avec ses séances
d'aérobie et de musculation. L'utilisateur contrôle des boucles audio, en
frappant sur le coussin
d'entraînement à des endroits et de manière précise. Il peut aussi, de la même
manière, faire des
bruits d'instruments de percussion qu'il entendra dans ses écouteurs branchés
à son smartphone.
Il peut manier un personnage, détruire des murs virtuels et participer à
plusieurs jeux vidéo, seul
ou en groupe. en utilisant le coussin comme un contrôleur de jeu vidéo.
Le contrôle de la résistance du coussin de frappe et le rythme demandé par le
jeu ou la musique,
avec le tempo, offrent une séance d'entrainement de type aérobique ou
musculaire, selon ses
préférences.
Ce premier module peut être utilisé en combinaison avec d'autres modules afin
d'avoir une
variété dans les mouvements, dans les résistances et dans le moyen pour créer
une interaction
avec le système informatique et l'application. Par exemple, un gant, contenant
aussi des capteurs,
donnera un son différent s'il est frappé sur un mur que s'il est frappé sur le
premier module, le

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coussin de frappe standard.
Autre exemple, un utilisateur peut utiliser le module de balle rebondissante
avec les gants et aura
une interaction différente s'il attrape la balle de la main gauche ou la
droite, information déduct-
ible par l'application en analysant les données des gants et de la balle.
Chose impossible à faire
avec la balle seule.
Si le principe de marier les technologies et les équipements d'entraînement
n'est pas nouveau
et l'assemblage des équipements traditionnels avec les appareils de type
smartphone est déjà en
cours, leurs fonctions sont souvent limitées. Par exemple, plusieurs machines
d'entrainement sont
dotées d'écrans tactiles et ont des capacités de raccordements avec les
appareils de type smart-
phones. Leurs fonctions sont limitées au téléchargement des données
d'entraînements (vitesse,
durée, degré de résistances, etc.) et l'accès à la banque de chanson que
l'utilisateur a chargée dans
son smartphone. Il peut, avec cette interface, gérer l'écoute de sa musique
directement sur l'écran
de contrôle de l'appareil d'entrainement (tapis roulant, escalier, rameur,
etc.) avec une interaction
limité avec l'appareil lui même.
Aussi, ils peuvent avoir déjà leurs séances préprogrammées dans une clé
(systèmes proposés par
TLCIINOGYM) qui permet de s'installer à une machine d'entrainement
(écliptiques, steps, tapis
roulant, etc.), d'insérer la clé de type USB dans une fente sur la machine
pour que nos données
soient automatiquement prises en compte afin que la machine, et son logiciel
offrent une séance
d'entraînement adapté aux besoins et désirs de l'utilisateur.
Si ce système dans son ensemble est ingénieux, il a deux faiblesses. D'abord,
l'interactivité se
limite à un aspect pratique. De plus, il est difficile de configurer ses
séances d'entrainement à
l'avance dans les moments de transits.
L'invention est en synergie avec les nouvelles technologies mobiles de
l'information. Elle per-
met, de son téléphone portable de préparer ses séances d'entrainement à
l'avance, en s'en allant
au gym. Avec cette invention, il y a mille manière de rester motivé avec les
jeux, les programmes
créatifs musicaux, l'occasion de partager un entrainement avec d'autres
utilisateurs en plus des
nécessaires et classiques rapports d'entrainement présentant les statistiques
et progrès.
Aussi, il est possible pour les utilisateurs de créer des programmes
d'entrainements complets
et de les partager à d'autres utilisateurs que ce soit par courriel ou par
l'utilisation des réseaux
sociaux.
Certains coussins sont construits de manière à permettre aux utilisateurs de
frapper directement
sur les coussins sans gants de protection. Le coussin à faible ou moyenne
résistance est assez
doux pour absorber les chocs de coups de poing sur la surface afin de ne pas
blesser les os, la
peau et les jointures des mains lors d'un mouvement de frappe rigoureux de
l'utilisateur. A des
résistances plus élevées, l'invention via le smartphone recommande
l'utilisation des gants. Les
résistances offertes par le module standard sont destinées aux grands publics
qui veulent pratiquer
les sports de frappe avec les avantages aérobiques et de tonification sans les
risques de blessures.
Les modules F en gel à résistances fixes de niveau I à 3 leur sont aussi
destinés.
Les modules R, C de hautes performances ont des résistances plus élevées, ces
modules sont des-
tinés aux boxeurs et artistes martiaux qui veulent travailler leurs forces
brutes et leurs endurances.
Leurs utilisations sécuritaires demandent la même précaution que les
équipements traditionnels et
requièrent l'utilisation des gants, de jambières ou autres.
L'invention et ses modules ont aussi pour objectifs de rassembler les
utilisateurs lors de leurs
entraînements avec ses possibilités d'interactivité de groupe. Ils pourront,
dans le cas d'une
simulation de Tam-Tam japonais, sélectionner la sonorité de leurs instruments,
leurs volumes
tout comme celle des sons de leurs partenaires d'entraînement. Ils peuvent
entendre le jam d'une
perspective personnalisée.

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Ils ne sont pas obligés d'être côte à côte, un système intelligent de
synchronisation des sons per-
met de jouer en réseau, à la grandeur de la planète.
L'invention a pour objectif avoué de créer un système d'entrainement
passionnant, créatif et
d'une interactivité en constante évolution.
L'invention utilise une combinaison de capteurs afin d'avoir une information
adaptée à l'intention
de l'utilisateur. Le capteur de pression indique la force, les accéléromètres
informent sur la
vitesse, le piézo présente la qualité de l'impact avec les informations
sonores et finalement les
tensiomètres indique la déformation du module.
Ces capteurs sont reliés à une ou plusieurs centrales informatiques qui
prétraitent le signal en
fonction de l'objectif de l'application utilisée. Ex. Un jeu vidéo exigerait
une information de type
force de frappe, la centrale ne transmet qu'une indication de force, via le
capteur de pression, à
l'application de jeu vidéo à cet effet.
Les différents types de capteurs utilisés conjointement permettent une
interaction précise, rapide
et organique due à un algorithme de moyennes et de récupérations de données
sélectives.
LA LISTE DES COMPOSANTES PRINCIPALEMENT' UTILISÉES DANS LES MODULES.
Chacun des modules de l'invention possède une construction qui lui est propre.
Mais l'invention
dans son ensemble, utilise, dans chaque réalisation, plusieurs matériaux de
bases.
Voici une liste présentant ces matériaux. Si cela est pertinent, une courte
description accompa-
gne l'élément de la liste et si nécessaire, un numéro de modèle d'un composant
est placé à titre
d'exemple. Les examinateurs de ce présent brevet pourront s'y référer pour
voir les fonctions et
spécifiés du modèle de composants envisagés. Le choix de ces modèles est fait
de manière géné-
rale et à titre descriptif. Cette liste ne saurait limiter la portée de
l'invention relativement aux
exemples ici donnés.
LES MATÉRIAUX BRUTS
Caoutchouc
Les caoutchoucs sont utilisés pour recouvrir et renforcer les éléments des
modules. Aussi, ils sont
utilisés dans les tubes de raccordements, comme joints, comme chambre à air et
comme sépara-
teurs dans le système multicouche de l'invention.
Certains de ces caoutchoucs peuvent être vulcanisés.
Aussi, leurs propriétés extensibles sont utilisées dans la fabrication des
modules D et E.
Polymères
Les polymères offrent des options de remplacement du caoutchouc.
Gels
Les gels sous formes solides sont utilisés comme élément d'absorption des
chocs. Il est utilisé en
combinaison d'autres matériaux afin de créer une dispersion personnalisée.
Aluminium
Pour les structures, les panneaux de recouvrement des modules lourds. Sur les
poignées des mod-
ules Léger et dans les composantes des modules de supports AS.
Acier
Tout comme l'aluminium, l'acier est utilisé comme matériaux pour les
structures. Aussi, il peut
être utilisé dans le renforcement des sections.
Aussi, un disque d'acier est envisagé comme système hermétique lors de la
fabrication des sec-
tions.
Fibres de kevlar
La fibre de kevlar est utilisée afin de renforcir les matériaux sous pression
telles les sections et les
zones de frappe.
Aussi, en couche très mince, il peut être utilisé comme sous-couches dans le
système multi-

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couche.
Tissus élastiques
Les tissus élastiques sont utilisés dans la fabrication des modules de toiles
élastiques. Aussi des
bandes élastiques sont souvent intégrées. Certaines de ces bandes peuvent être
conductrices.
Tissus conducteurs
Des tissus conducteurs peuvent être utilisés afin de créer des circuits entre
les modules.
Cuirs
Le cuir peut être utilisé comme surface de recouvrement de luxe. Résistant et
de belle facture, il
offre néanmoins l'inconvénient d'éliminer certaines options de données brutes.
Néoprènes
Ces matériels sont utilisés comme éléments d'absorption d'impacts
supplémentaires, comme
matériel pour les prise telles les poignées des haltères.
LES COMPOSANTS ÉLECTRIQUES
Moteurs
Des moteurs électriques sont installés pour créer des tensions localisées à
l'aide de câble. Un
système d'engrenages, de courroies, de câbles peut distribuer l'énergie du
moteur à plusieurs élé-
ments.
Transformateurs
Des transformateurs dosent les courants au long de la (laine des composantes.
Valves pneumatiques
Des valves pneumatiques, généralement solénoïdes, contrôles l'énergie
pneumatique. Arrangés en
groupes, ils sont généralement placés sur le distributeur.
Amplificateurs
Un système d'amplification est placé lorsque des haut-parleurs sont intégrés
dans les sections.
Mécanisme de blocages
Des mécanismes de blocages activés électron iquement maintiennent certains
éléments mobiles en
place.
Fil
Un ensemble de fils relie chacune des composantes électroniques du module à la
centrale infor-
matique.
DEL
Les DEL sont utilisées pour des fins d'identification d'équipement ou
d'interactivité.
LES COMPOSANTES ÉLECTRONIQUES
Détecteurs de mouvements
Les détecteurs de mouvements viennent sous la forme d'une puce facilement
intégrable à un cir-
cuit imprimé. Selon les spécifiés des modèles, leurs sensibilités et leurs
orientations perceptibles
varient allant du 1/10 de g a plus de 500 g et d'un à six axes. Ex. commercial
: ADXL193
Détecteurs de pression mécaniques
La technologie envisagée est celle du film qui s'intègre parfaitement à la
fonction de l'invention
et se place souvent entre la couche de recouvrement et la surface de frappe
d'une section. Ex.
commercial : FlexiForce
Détecteurs de pression pneumatiques
Généralement piézo, ces transducteurs communiquent la pression reçue
électroniquement.
Détecteurs de proximité à infrarouge
L'ensemble d'un système de del infrarouge et d'un capteur vidéo sensible. Ils
sont généralement
intégrés au système de simulation d'attaque afin de déterminer si
l'utilisateur s'est mis en posi-
tion défensive.

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Détecteurs de flexion
Les détecteurs de flexion sont intégrés sur les bords de l'enveloppe et à
certains points de la toile.
Ex. commercial : SEN-08606.
Détecteurs d'étirement
Ce type de détecteur se trouve sous la forme de tissus ou de bandes
élastiques. Une fois étirées,
leurs résistances diminuent. En l'intégrant dans un circuit, il est facile de
déterminer l'étirement
en fonction de la résistance.
Caméras vidéo
Les caméras vidéo sont de type webcam. donc de petits formats et leurs
résolutions varient. Elles
peuvent être de basse résolution ou en haute définition.
Microphones piézo
Des microphones piézo très sensibles sont intégrés à l'équipements afin de
calculer, avec le son
des informations de frottement et d'impact des modules.
Piles
Des sources d'énergie portable, elles sont rechargeables et intégrées aux
centraux informatiques
des modules légers et des pastilles.
CPU
Un CPU est installé dans toutes les centrales informatiques du système. Avec
une planche de
circuit, il se connecte à tous les capteurs du module qu'il gère.
Câbles, fils et connecteurs
COMPOSANTES PNEUMATIQUES
Chambres à air
Les chambres à air sont constituées de caoutchouc ou de polymères souples
renforcis par une
structure de fibres qui forme la chambre selon les besoins.
Connecteurs de câbles
Des connecteurs sont constitués d'assemblage mâle-femelle et permette une
liaison facile entre
toutes les composantes.
Câbles pneumatiques
Un ensemble de câbles amène l'énergie pneumatique du compresseur à chaque
composante des
modules.
Connecteurs à loquets rapides
Où les connexions d'air sont temporaires, des connecteurs à loquet rapides
sont installés.
LISTE DES FIGURES
Fig. 1 : Vision d'ensemble des composantes principales et de l'interaction
généré par les systèmes
informatiques.
Fig. 2 : Vision d'ensemble de la totalité des modules illustrés du présent
brevet.
Fig. 3 : Vue des éléments distinctifs du coussin de frappe A, notamment son
aspect global, son
système de support de base et un plan rapproché de sa section.
Fig. 4 : Vue des éléments distinctifs du coussin de frappe B, notamment son
aspect global, son
système de simulation d'attaque et un plan rapproché de sa section à double
chambre à air.
Fig. 5: Une présentation de la structure de soutien du coussin de frappe B et
des connexions des
entrées d'air.
Fig. 6 : Une présentation générale des configurations des dift'érentes
configurations des zones de
frappe et d'attrape des sections.
Fig. 7: Une présentation des différents composants d'une enveloppe des modules
A, B et F.
Fig. 8: Une présentation du mur de frappe D et de ses modules auxiliaires les
modules AY, Bi et
BK.

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Fig. 9 : Le mur de frappe en demi-cercle E avec une vue de face, de haut et de
la toile présentant
les composants distinctifs.
Fig. 10 : Vue des éléments distinctifs du module F, notamment son visuel
global, son système de
fixation BF.
Fig. 11 : Descriptif de la construction multicouche impliqué dans la
fabrication des modules h,
AQ, BP et BO.
Fig. 12 : Vue du module AT, le bouclier et des pastilles et récepteurs des
modules G, Ai, BR, BS
et BQ
Fig. 13 : Vue des éléments distinctifs du module K.
Fig. 14 : Vue des boules I, J, AA, AG et du système de rechargement Y.
Fig. 15 : Vue des éléments distinctifs des modules BM, N. AE et BN.
Fig. 16 : Vue des modules R, s, T o et Q.
Fig. 17 : Visuel du système de bandes tensiométriques d'exercice AU, BB et BA.
Fig. 18 : Vue des éléments spécifiques du module BD, BI et P.
Fig. 1 9 : Vue des éléments de l'adaptateur de gant de boxe AL.
Fig. 20 : vue de l'armure U, l'ensemble des modules 0õP, R, S, T' AL, AU, BA.
BB, BD, BI
Fig. 21: Vue des simulations d'armes des modules AV, AX, BE, BG et BH.
Fig. 22 : Vue du coussin épais AO et de la version économique du module A, le
module AP.
Fig. 23 : Vue de l'adaptateur de panier de basketball BT.
Fig. 24 : Vue des adaptateurs de poires V, de raquette de tennis AI, de
moineau AH et de planche
à roulettes AK.
Fig. 25 : Vue du système modulaire d'adaptation pour mur W et de son
contrôleur X
Fig. 26 : Vue de côté de deux réalisations du module de réadaptation physique
AM.
Fig. 27: Exemple d'une courbe de fréquence MIDI obtenue par corrélation de
données brute des
différents types de capteurs.
DESCRIPTION PRÉCISE DE L'INVENTION
Un système d'entraînement constitué de plusieurs modules interdépendants basés
sur des capteurs
de mouvements, de pression, de forces et de résistances installées sur chacun
de ces modules
selon leurs formes et fonctions. Chacun de ces modules, une fois bougé par
l'utilisateur, produit
des sons, permet de jouer à des jeux, contrôle un personnage virtuel ou tout
simplement enreg-
istre les statistiques des entrainements en frappant, en lançant, en brassant
ou en percutant les
modules. Il peut aussi, dans bien des cas, faire la combinaison de deux
modules afin d'avoir une
interaction différente que s'ils étaient utilisés indépendamment. Aussi, un
seul module peut être
utilisé par plusieurs utilisateurs. P. ex. La balle de poids peut être lancée
d'un utilisateur à l'autre.
L'invention est basée sur un ensemble de systèmes informatiques fonctionnant
en synergie.
D'abord, les modules contiennent un ensemble de capteurs et une centrale
informatique qui con-
tient une source d'énergie et une antenne WiFi. Bluetooth ou autres.
Aussi, plusieurs de ces modules possèdent un port USB qui permet de recharger
la batterie du
module et mettre à jour la centrale informatique.
Pour des fins de simplicité, nous désignerons cet ensemble global lors de la
description de chaque
module sous le groupe de mots centrale informatique .
La conception modulaire de l'invention nécessite, pour une utilisation
normale, qu'il y ait au
minimum un utilisateur, un smartphone et un module complet de l'invention. Le
smartphone est
fourni par l'utilisateur et un logiciel spécialement conçu pour l'utilisation
des modules est installé
parmi les applications du smartphone.
Aussi, comme la plupart des applications sont directement reliées à la musique
ou les sons, une
paire d'écouteurs [fig. 11 102 est généralement utilisée et connectée au
smartphone par tous moy-

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ens disponibles afin d'avoir une expérience immersive.
CONNEXION DU TÉLÉPHONE AUX MODULES
Le smartphone se connecte aux modules par différentes méthodes.
Il est possible d'effectuer un balayage afin de déceler un code WiFi ou
Bluetooth dans les en-
virons du téléphone et sélectionner le bon parmi une liste créée, et proposée
à l'écran, par
l'application. Cette dernière étape est là afin de parer aux éventualités où
plusieurs modules sont
actifs dans les prémisses immédiates.
Une DEL peut être placée sur chaque module et cette lumière émet un code de
type morse, une
fois qu'il est activé dans une procédure de localisation, et peut être perçue
par la caméra du
smartphone pour diriger l'utilisateur vers l'équipement. Ce code distinctif
permet à l'application
de localiser un équipement spécifique lorsque plusieurs équipements sont
activés par différents
usagers.
Aussi, en frappant le smartphone sur l'équipement désiré, il est possible, en
comparant les don-
nées des accéléromètres et capteurs du module et ceux du smartphone, de voir
quel équipement
est frappé et ainsi sélectionné par l'utilisateur.
L'utilisateur peut réserver sa place et son temps d'utilisation des
équipements mis à leurs disposi-
tions par les opérateurs. Ce faisant, s'il est sur place et a confirmé sa
présence, il est averti de la
disponibilité de l'équipement et connecté automatiquement par la centrale
informatique à celui-ci.
Un système libère l'équipement de son usager si l'usager n'est pas présent.
Dans ce dernier cas, il
peut avertir le prochain usager sur la liste d'attente et ainsi maximiser
l'utilisation des modules.
Il y a deux classes de module dans la présente invention, les modules lourds
et les modules
légers.
La première classe est l'équipement lourd qui est caractérisé par une
construction robuste, d'un
ensemble de technologies qui engendre un coût élevé. De plus, on trouve des
équipements qui
nécessitent l'installation d'un système de compression d'air 110 ou de
liquides son installation
complexe en fait un équipement qui est destiné aux opérateurs de salles
d'entraînements. Un sys-
tème de distribution général d'air 109 transforme l'entrée d'air du
compresseur 113 en plusieurs
sorties secondaires 114 afin d'alimenter les différents modules.
Les modules lourds sont généralement munis d'une centrale informatique 107 de
types tablette
qui gère les très nombreux capteurs disposés dans ces gros modules.
De plus, cette tablette gère les valves de pression du distributeur, système
de canalisation et de
distribution de l'air ou des liquides comprimés.
Sa construction complexe et les quantités de capteurs, de valves et autres
éléments à gérer font
que la tablette est utilisée. En effet, la tablette libère les ressources du
smartphone de l'utilisateur
qui est occupé à faire fonctionner l'application et son contenu multimédia.
De plus, les modules lourds ne sont pas sans risques. Leurs valves, leurs
soupapes, leurs mécanis-
mes, leurs niveaux de pression doivent constamment être contrôlés, la tablette
fait ce rôle en tout
temps, même sans utilisateurs aux alentours. Les modules sont de construction
robuste et peuvent
encaisser bien des coups, mais sont aussi des pneumatiques, et contiennent
leurs parts de risque,
c'est pour cela que l'aspect sécurité est regardé attentivement dans la
conception des modules
pneumatiques avec l'installation de valves de sécurités tout au long de la
chaine des composants
sous pression.
De plus, si une utilisation est abusive pour les limites de constructions des
modules, la centrale
informatique informera l'application de l'utilisateur. Il recevra alors un
premier avertissement et
si la situation n'est pas corrigée par l'utilisateur, le module, se déactivera
et avertira l'opérateur
de la situation. Avant de pouvoir réutiliser les modules publics, il devra
avoir l'approbation de
l'opérateur. Cela afin que l'opérateur puisse discuter avec l'utilisateur
fautif, avec cette stratégie,

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l'opérateur pourra déterminer si l'utilisateur sera sécuritaire dans le futur.
Aussi, on peut reconnaitre les modules lourds à l'écran de référence 108 placé
généralement hors
de portée de bras de l'utilisateur, mais placé de façon à être vu par ce
dernier pendant sa séance
d'entrainement.
La deuxième classe est l'équipement léger qui est des équipements
complémentaires à
l'équipement lourd et est généralement transportable, facilement mis en
services et dans la
plupart du temps rechargeable. La centrale informatique des modules légers
differe qu'elle est de
plus petite taille et gère qu'un nombre limité de capteurs. Ce qui fait
qu'elle se branche directe-
ment sur le srnartphone de l'utilisateur sans passer par une tablette comme
dans les modules
lourds.
Dépendant de la classe du module ce sera le smartphone qui transformera les
informations des
différents capteurs et les traitera directement ou ce sera une tablette, ou
tout autre équipement
informatique du genre, qui gère les informations desdits capteurs et
transmettra l'information
spécifique 106 de l'application en cours.
L'invention est constituée de modules lourds et légers pouvant être utilisés
seuls ou ensemble.
Voici la totalité des modules de l'invention.
LISTE COMPLETE DES MODULES
La première classe, celle des modules lourds, contient les modules de A à H.
A. Le coussin de frappe standard
B. Le coussin de frappe haute performance
C. Le coussin de frappe configurable
D. Le mur de frappe à surface souple et extensible
E. Le mur de frappe à 180 degrés à surface souple et extensible.
F. Les coussins de frappe en gel.
G. L'adaptateur d'équipement traditionnel.
H. Le tapis de sol à perception multiple
Le module G est dans cette classe même si. en fait, sa taille est très
réduite, elle est faite de
manière à adapter de l'équipement traditionnel lourd tel un punching bag ,
un homme de bois
ou autres.
Dans la deuxième classe, il se trouve des modules de petite taille, utilisant
des technologies, des
matériaux et des méthodes de fabrications abordables, de l'ordre d'une
fourchette de prix, en
2011, sur les marchés nord-américains, de 35 $ à 2500 $.
Dans la classe des modules légers, il se trouve :
I. La balle de rebond
J. La balle de poids
K. Les minihaltères modulaires à surface frontale comprimable
L. Les gants de mouvements.
M. ABROGÉ
N. Le bâton-haltère rythmique
O. Les bracelets de molet/jambe/avant-bras/bras.
P. Les attaches de souliers
Q. Les bandeaux rythmiques
R. Les genouillères à pression
S. Les protège-coudes à pression
T. Les gants de frappe quadruple face
U. L'armure de frappe
V. Le pendentif de frappe.

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IO
W. La cible de gel indépendante
X. Les connecteurs de cible de gel
Y. Les chargeurs d'équipement
Z. Les supports
pour les minihaltères et modules à surfaces frontales comprimables.
AA. Les balles à écrasement
AB. Les poignées à résistances
AC. Les prises d'escalades rythmiques
AD. Les modules d'adaptation des équipements rotatifs
AE. Les modules d'équipement à poids variables en lamelles.
.AF. Les modules d'adaptations des vélos.
AG. Les sacs de pieds de type aki rythmiques.
AH. Les volants de badminton.
AI. Les raquettes de tennis rythmiques
Ai. Le miniadaptateur pour les petits équipements
AK. Les modules d'adaptations des planches à roulettes
AL. Les modules d'adaptation des gants de boxe traditionnels.
AM.Les modules de réadaptation physique.
AN. Les surcharges des modules L
AO. Les coussins de frappe en mousse à mémoire rapides.
AP. Les coussins de frappe minimal
AQ. Le tapis de projection
AR. La trampoline rythmique.
AS. Le module de support, d'extension ou de mouvements.
AT. Le bouclier rythmique
Ah. Courroies extensibles à tensiomètre actif
AV. Le couteau ballon.
AW. Le casque de protection
AX. La masse rythmique
AY. Ancrage de pied fiable à plateformes
AZ. Les capteurs de pouls
BA. Le plastron à bande de résistantes
BB. Le gant pour plastron à bande résistante.
BC. ABROGÉ
BD. Le harnais d'escalade
BE. L'adaptateur d'épée semi-rigide
BF. Le distributeur simple.
BG. Les nunchuks rythmiques
BU. Les variantes d'armes d'arts martiaux
BI. Les semelles de chaussure internes
BJ. Ancrage de pied fiable à bandeau.
BK. Ancrage de main fiable à bandeau.
BL. ABROGÉ.
BM. Le système de pressurisation des modules individuels
BN. Les palettes d'entrainement.
BO. Enveloppe d'adaptation pour les punching bag.
BP. Le mur souple à placer sur un vrai mur.
BQ. Les micromodules d'adaptations.

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Il
B.R. Pastilles informatiques.
BS. Pastille de batteries.
BT. L'adaptateur de panier de basketball.
BU. Le panier pour les modules I, J, AA et AG.
ZA. ZB, ZC, ZD, ZE, etc. Applications logicielles.

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DESCRIPTION DÉTAILLÉE DE L'INVENTION ET DE SES MODULES.
LA VUE D'ENSEMBLE
Le système complet (Fig. 1 et 21 de l'invention est constitué d'un ensemble de
modules interac-
tifs Routes les lettres] dotés de capteurs synchronisés à une application,
installés sur le smart-
phone 105 de l'utilisateur 103 ou sur une tablette 104.
L'application prend en considération les attributs des équipements disponibles
101/112 et propose
une série de routines sportives en conjonction avec les préférences et les
objectifs d'entraînement
de l'utilisateur à ce dernier.
L'application utilise les données des capteurs des modules afin de contrôler
un avatar, de vérifier
l'intensité d'un mouvement ou de capter la pression d'un coup afin d'être
interactive. Des jeux,
des routines d'entraînements, des défis et des combats virtuels sont proposés
aux utilisateurs afin
de conserver leurs motivations lors de la session.
Le point commun de ces modules est qu'ils sont dotés de systèmes de capteurs
relatifs à leurs
formes et fonctions et qu'une application universelle les relie.
Ils peuvent être utilisés seuls ou en de nombreuses configurations. Aussi un
usager peut
s'entraîner, seul ou en groupe, de manière collaborative ou en compétition.
Les modules sont divisés en ensembles référés à leurs fonctions principales.
En bref, ces fonctions sont :
I. d'être frappé IA, B, C, D, E, F, H, AQ, AT, BO, BP, V] ;
2. d'être mis en mouvement [I, J, AA, AG, K, AB, N, AE, BN, L, 0, Q, AI, AKI ;
3. d'être utilisé pour frapper [BE, BG, BH, AV, AX, AL, T] ;
4. d'exécuter un mouvement particulier IAR, AU, BT, AMI;
5. d'adapter un équipement existant IBR, AJ, BS, BQ, G, AE, AN, BN] ;
6. d'être un système de stockage ou d'entretienlY, Z];
7. d'être un module logiciel 1ZA, ZB, ZC, etc.].
Les modules sont présentés en groupes logiques de fonctions.
TISSUS CONDUCTEURS
Aussi, tous ces modules lourds, sauf le G, ainsi que les modules 130, BP,
peuvent être munis de
fibres conductrices dans l'enveloppe de recouvrements. Aussi, un système de
connexions relie les
fibres à la centrale informatique du module.
11 est aussi possible de mettre en contact deux modules afin d'extrapoler
d'autres informations
primaires à partir de ces informations de contact.
Aussi, à plus petite échelle, certains modules légers peuvent être équipés de
telles fibres, aussi
reliés à leurs centrales. Généralement, une telle modification est utile dans
les modules faits pour
frapper un autre module. Les modules K, L, M, N, Q, R, S, T, U, V, W, AA, AL,
AO, AP, AQ, AR,
AI', AV, AW, AX, BA, BB, 13E, 13G et BL peuvent tous être équipé de ce
matériel conducteur.
TISSUS D'IDENTIFICATION INFRAROUGE [non illustré]
Un tissu spécialement réflectif du spectre infrarouge peut être choisi pour la
confection des mod-
ules légers afin de faciliter la détection, lors de la simulation d'attaque,
de la position défensive
de l'utilisateur.
Cette détection se fait à l'aide d'un détecteur de proximité à l'infrarouge.
Ce tissu réflectif peut être installé de manière permanente ou collé à titre
d'adaptateur sur les
modules d'attaque tels les gants ou les simulations d'armes.
IDENTIFICATION EN RÉALITÉ AUGMENTÉE. [non illustré]
Aussi, pour des fins d'identification et de localisation, tous les modules
peuvent être munis d'une
DEL visible. Cette DEL est activée à une fréquence particulière, capable
d'être synchronisée à un
capteur vidéo. On entend ici un multiple compatible avec la fréquence vidéo à
1/30 sec, des flashs

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de durée relative seront nécessaires. R ex. 2 flashs à 1/1000 de seconde ne
seront pas perçus par
la caméra. Des fréquences de 1/15, eux le sont.
Il est donc possible d'avoir une procédure de sélection qui facilite la
localisation de l'équipement
désirée dans le gym et ceci, afin de maximiser le temps des utilisateurs. Ce
processus commence
par la sélection d'un équipement, par l'utilisateur, dans l'inventaire virtuel
de l'opérateur, dis-
ponible dans son gym. L'utilisateur y accède par l'application principale du
système. Elle lui
présente la totalité des équipements disponible dans le gym de l'opérateur.
L'utilisateur choisit
l'équipement parmi l'inventaire. Aussi, cette sélection peut être automatique.
L'application envoie un signal à l'équipement et l'active. Il lui donne une
cadence précise de
luminescence du DEIõ à la manière d'un code morse.
En pointant la caméra du smartphone dans le gym, l'application cherche dans
l'espace un tel scin-
tillement lumineux et rien d'autre. Il pourra ensuite diriger, à l'aide d'un
curseur qui se superpose
à l'image fournie par la caméra, vers l'équipement émetteur désiré.
Cette DEL est optionnelle, mais constitue, une fois installée sur le système,
une part intégrante de
ce dernier. Cette fonction est extrêmement appréciée dans les grands gyms où
différents équipe-
ments disponibles sont dispersés sur une grande surface.
CAMÉRAS DANS LES MODULES [non illustré]
Que ça soit avec une perche ou directement dans le module, des caméras peuvent
être intégrées
afin de saisir les utilisateurs en pleine action.
Ces caméras sont placées hors de portées des chocs.
Les caméras peuvent se placer au distributeur par le biais d'un pôle. Cette
caméra afin de max-
imiser la perception peut utiliser un format grand angle à l'aide d'une très
courte lentille. P. ex.
15mm de longueur focale.
Des caméras peuvent aussi être installées dans les minisections de simulation
d'attaques pneuma-
tiques, aux côtés du capteur de mouvement ou dans la fente, sur la buse du
système de simulation
d'attaque. Dans ce cas, elles sont sensibles aux infrarouges et sont utilisées
comme détecteur de
proximité.
Sur les petits modules, lorsque cela le permet et est utile, des caméras
peuvent y être intégrées.
Aussi, il est possible d'utiliser des caméras sensibles à l'infrarouge de
telle sorte qu'une option de
thermographie puisse indiquer la température du corps de l'utilisateur et
utiliser cette donnée afin
de maximiser l'entraînement..
Les informations de ces caméras peuvent être utilisées par le module ZX-2, qui
détermine la
silhouette virtuelle formée de toutes les informations des capteurs. Cette
silhouette est souvent le
contrôleur final des jeux vidéos proposés.
LE MODULE A
Pour rendre le module A fonctionnel, l'opérateur doit installer et relier un
compresseur d'air 110,
une arrivée d'air principale 113, un séparateur de l'entrée d'air principale
109 où les câbles
d'entrée d'air individuels 114 sont branchés.
Un utilisateur qui se procure un seul module A, B ou C de cette invention peut
le brancher direct-
ement sur le câble d'entrée d'air 114 individuel dans un compresseur.
Les zones où l'utilisateur doit frapper sont les sections et l'enveloppe.
Chacune de ces zones de
frappe est munie de capteurs d'accélération, de tension, de pressions
mécaniques et de pression
pneumatiques. C'est en activant ces capteurs que l'utilisateur fait réagir
l'application.
En A, une réalisation du coussin de frappe [fig. 31 301 standards est
constitué d'une envel-
oppe 302 grille de soutient renforcé qui entoure des sections 303 pour former
un contour dont les
zones latérales 304 sont munies de capteurs et sont des zones actives où
l'utilisateur peut frapper,
attraper, tirer, relâcher afin de produire une interaction avec l'application.
L'enveloppe 'fig. 71

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peut-être semi-rigide permanente ou dotée de chambre à air latéral (fig. 71
701, à liquides ou
à gélatine 702 dans les zones latérales. Dans les deux cas, des capteurs
d'accélération sont à
l'intérieur et une connexion à l'arrière transmet les informations des
capteurs vers le distributeur.
Un cerceau souple de renforcement 704 vient solidifier les zones latérales. Le
module A. B, C et
F contient trois composantes principales qui peuvent s'agencer en des formes
et configurations,
notamment, mais non limitatif, en ovale, en hexagones, octogones, carrés
réguliers ou étirés.
Aussi d'autres polygones peuvent être créés avec ces trois composantes que
sont la section, le
distributeur et l'enveloppe de section.
Le tube d'entrée d'air individuel 114 apporte l'air au distributeur 1fig. 51
501 qui, à l'aide des
récepteurs de section distribue l'air à chacune des sections via le connecteur
de sections. Dans la
vue de haut, on voit l'entrée d'air en haut du distributeur tout comme dans la
vue de face sans les
sections et la vue de face. En fait, vu la forme ovale du coussin de frappe A,
il est possibles de le
tourner de 180 degrés !fig. 31 305 pour que l'entrée d'air vienne du sol au
lieu du plafond, ceci
pour accommoder les différents besoins d'installations. Aussi, afin de varier
les entraînements il
est possible d'effectuer une rotation de 90 degrés afin de varier la surface
de frappe et de lui don-
ner une configuration en largeur 306 plutôt qu'en hauteur.
COUCHE SUPÉRIEURE DE RECOUVREMENT DU PNEUMATIQUE.
Dans les cas des modules A, B ou C, une couche supérieure de recouvrement en
gel peut être
placée entre le pneumatique et la couche de recouvrement. Cette couche
supérieure de gel pour
pneumatique est aussi équipée de capteurs de pressions mécaniques 308 et
d'accélérateurs 309
et se connecte à la section par une prise désignée dans la fente de section ou
directement dans la
section 311.
Elle peut être placée directement sur la zone de frappe par l'utilisateur et
elle se fixe sur l'anneau
supérieur de la section 310.
Elle a pour but d'augmenter le confort de l'utilisateur lors de ses impacts.
Aussi, elle peut être intégrée à une section directement lors de la production
et de manière perma-
nente.
COUCHE SUPÉRIEURE DE PRISE
Aussi, la zone de frappe d'une section peut être transformée en zone de prise.
Des sections !fig. 61, 601, 604 et 605 sont fabriquées avec une modification
et sont installées
dans le distributeur. La prise est permanente. On peut la frapper, mais ce
n'est pas sa fonction
première.
Cette prise offre une poigne, c'est-à-dire une protubérance résistante et
souple, faite en un en-
semble de couches et d'armature, doté de capteurs de pression,
d'accéléromètres, de capteurs de
torsions et de piézo stratégiquement placés selon les mêmes principes de
distribution d'énergie
par couches des autres sections et modules.
Dans son renforcement 603, le principe de tension est prise en compte et
protèges l'équipement
des abus par une construction relative à l'usage, dans ce cas-ci, la tension,
force principale.
Cette protubérance 602, si elle garde son architecture de capteurs, change en
forme selon
l'objectif d'entraînement.
Elle peut être une sphère sur une large tige, une face de rat ou une poignée
de porte.
L'essentiel est qu'elle soit résistante aux torsions et à la compression.
Aussi, une zone peut être en creux 606, former dans le coussin de frappe, qui,
dans ce cas, est
à double usage, celui d'être frappé sur la face inférieure 607 ou d'être
attrapé et tirer par la
fente 608 formée et renforcie.
LE MODULE F
Le module F [fig. 101 est une copie conforme visuelle du module A.

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Le module F est constitué de sections 1001, de l'enveloppe 1002 et de
distributeur 1003.
I,es sections du module ['Sont fait de gel à multicouches ou en bloc et
peuvent être à résistance
fixe ou variable. Dans l'enveloppe un système de renforcement 1009 est fait.
Les sections du module F 'fig. 61, comme le module A, peut être constitués
d'un seul ou d'un
ensemble de zones de résistance à l'intérieur de la zone de frappe 609, 610,
611 et 612. Ces deux
zones peuvent être de même densité ou pression. Aussi, afin d'avoir une
réponse précise, de den-
sité ou de pression différente 614, 615 afin de transférer les forces d'une
manière donnée.
Le module F. en gel, peut être doté de diaphragmes [fig. 101 1004 permettant
de varier la pres-
sion. Ce diaphragme est placé au fond de la section.
Un transducteur 1005 varie la pression exercée sur le diaphragme renforcé
gonflant le gel 1006 de
la section sur lequel l'utilisateur doit frapper 1007. Ce diaphragme peut être
relâché au moment
de l'impact afin de donner une absorption supplémentaire des chocs par la zone
de frappe par cor-
rélation logicielle de données des capteurs.
L'enveloppe de la version F remplace chacune des chambres pneumatiques
latérales 1008 de la
version A et remplace l'air par un gel.
Ici aussi, un renforcement 'fig. 61 616 de kevlar, d'acier ou de plastique
vient créer les formes
précises de chacun des coussins.
Dans le coussin 1', les capteurs de pressions pneumatiques sont remplacés par
une foule
d'accéléromètres 617 et de capteurs de pression mécanique 618. Les capteurs
mécaniques et les
accélérateurs sont disposés à plusieurs endroits dans le gel, à plus ou moins
grandes profondeurs.
Ils sont retenus par une grille 619 d'un renforcement robuste et extensible
placé, avant la coulée
du gel 620, dans l'enveloppe de caoutchouc. Leurs positions sont permanentes
et ne bouge que
quelque peu relativement au gel. Cette grille de renforcement garde les
capteurs dans leurs posi-
tions relatives sans être déplacée à long terme par les coups répétés de
l'utilisateur.
Aussi, afin de garder les accélérateurs en place, il est possible, pour ne pas
recourir à la grille
précédemment citée et de disposer plusieurs couches 621 de gel en insérant, à
chaque application,
un accélérateur ou un capteur de pression mécanique selon l'effet recherché.
Différentes densités de gel forment différentes résistances. L'utilisateur
peut placer différentes
sections afin d'avoir une configuration de coussins et de résistances qui lui
plait.
Dans cette réalisation, la disposition des sections permet à l'usager
d'utiliser chacune des parties
de son corps afin d'activer les sections. Il peut donc utiliser son coude et
son poing afin de faire des
combinaisons rapides.
Comme dans le module A, il peut frapper où bon lui semble. Il peut frapper sur
les zones de frappe,
sur l'enveloppe, sur les côtés de l'enveloppe. Aussi, s'il en est muni, il
peut frapper sur l'enveloppe
du distributeur. Chacun de ses coups sera transformé en information avant de
se transformer en
commande appropriée, via la centrale informatique du module à l'application.
Aussi, une autre réalisation choisie présente le module F en un seul et unique
bloc. Ce modèle est
à plus faible coût de fabrication. Les sections et le coussin forment un seul
bloc.
Cette version est munie d'une plaque à l'arrière qui permet la fixation
directement sur un mur ou
sur n'importe quel module AS.
LE MODULE BF
Le distributeur simple est un distributeur fait pour les modules F. 1fig.101
Une grille 1010, sur
laquelle les sections viennent se fixer, retient l'ensemble du module. Elle
peut être droite ou en
angles. elle peut être attachée à n'importe quel module AS ou fixée
directement sur un mur à
l'aide de fixation 1011 prévue à cet effet. Les points de fixations d'un tel
module sont placés. au
standard de l'industrie de la construction de la région où le module est en
marché, de façon à ce
qu'ils s'alignent avec la structure du mur, directement dans les poutrelles
1012 du mur. P. ex. 16

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16
pouces en Amérique du Nord.
Le module BE peut être muni de point de flexions permettant une
reconfiguration simple du mod-
ule. P. ex. pour donner une forme arrondie, le module BF à deux points de
flexion est utilisé.
Parce que fixée au distributeur par les sections, l'enveloppe suit la forme
voulue.
Des points d'ancrage dans la structure de l'enveloppe peuvent être utilisés
afin de faciliter la tor-
sion.
SECTION LUMINEUSE A RÉTROPROJECTION 111011 illustré]
Les sections peuvent être munies de projecteurs ou de lumières leur permettant
d'indiquer à
l'usager quels coussins frapper.
1.1 est possible aussi d'inclure un miniprojecteurs à l'intérieur de chacune
des sections afin de
projeter, sur la surface interne de la section, des images par
rétroprojection. Évidemment, dû aux
divergences lumineuses dans le gel, le résultat ne peut être en haute
définition. Ces rétroprojec-
tions proposent généralement des formes simples et par système de couleurs.
Cedit système peut avoir comme fonction de présenter à l'usager des commandes
d'entrainements, un mouvement à faire, une suggestion de routine ou autre.
Des DEL peuvent être placées et protégées entre les recouvrements multicouches
des sections.
Aussi, des indicateurs lumineux peuvent être placés en périphérie de chaque
section, directement
sur l'enveloppe. De façon à ce que la lumière soit perceptible, sans que les
DEL soient atteigna-
bles, derrière les sections des zones de frappe.
Dans les sections faites de gel, il est possible de placer les DEL entre deux
couches de gel ou
dans la grille de renforcement, tout comme les accélérateurs.
Cette réalisation demande que la couche de recouvrement soit translucide afin
que la lumière des
DEL, placées dans la section, soit vue.
SECTION MUNIE DE HAUT-PARLEUR
Aussi, l'installation d'un haut-parleur, est envisagée dans une autre
réalisation. Ce haut-parleur
est apte à produire de fort volume et est placé directement dans la section,
sous le gel. Il est situé
dans une cage qui le protège de la pression et transmet les ondes sonores aux
matériels absorbant
les chocs.
Cette procédure peut créer un effet sensoriel de vibrations aux sections et
aux zones de frappes
lorsqu'un coup est envoyé.
Aussi, elle inclut la possibilité d'émettre un son afin d'identifier une zone
de frappe ou de créer
un effet lorsque l'usager frappe ladite zone. Ce haut-parleur optionnel, sous-
entend l'installation,
dans la chaine électronique, d'un système d'amplification pour ce haut-
parleur.
Ce procédé peut être inclus dans les systèmes pneumatiques.
ÉCRAN DE RÉFÉRENCE
Un écran de référence 'fig. 1] 108 en haut permet à l'usager d'avoir des
informations complé-
mentaires à son entraînement tels l'énergie brulée, la durée, l'intensité, le
nom de sa routine et
d'autres informations pertinentes. Aussi, des jeux de combats, de mémoires,
des instructions ou
autres applications interactives peuvent être affichés.
Cet écran de référence est optionnel.
Ces informations peuvent être accédées par l'utilisateur via son smartphone ou
l'écran de la tab-
lette 107 du module. Le module F peut n'être pourvu d'aucune tablette. Le
smartphone activant
l'appareil au complet par radiofréquences. Dans la version A, la tablette est
fortement conseil-
lée afin d'avoir une performance optimale et une facilité d'entretien et de
diagnostic des com-
posantes. Les valves, les capteurs, les nombreux systèmes du module A doivent
être contrôlés
activement afin d'assurer la sécurité du système.
Aussi, une visière, présentent des éléments de réalité augmentée, qui présente
l'action à l'usager

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tout en lui laissant voir le coussin.
Cette visière peut se synchroniser à la toile par des marqueurs intégrés à
cette dernière, par un
calcul logiciel des données des capteurs de mouvement, par la cartographie du
module ZX2 ou
par une combinaison de ces dernières. Ce système peut-être indépendant ou une
extension du
sinartphone. Cette visière peut être fixée à un casque ou placée sur des
lunettes.
Aussi, le système du smartphone peut se connecter à une tablette, un
ordinateur ou une télévi-
sion dotés que capacité informatique afin d'être l'écran de référence. Un
support pouvant tenir la
tablette peut être installé sur les murs de la salle d'entraînement.
SYSTEME DE SIMULATION D'ATTAQUE
Un système optionnel 1fig.41 401 permet de simuler un coup de poing d'un
adversaire de manière
sécuritaire.
Ceci se fait par un jet d'air comprimé 402 dirigé sur l'utilisateur à l'aide
d'une buse 403, placé
dans le module.
Dans cette réalisation, l'utilisateur, doit bloquer le coup en approchant ses
poings 404 en position
défensive, à moins de 30 cm de la sortie du jet d'air, au-dessus d'un capteur
de proximité 405 à
infrarouges 406. La vitesse de réaction, fixée selon le niveau de difficulté
choisi, détermine si le
coup est bloqué.
Les jets d'airs sont activés par des valves branchées du collecteur. Les jets
peuvent varier en du-
rée et en intensité. Dans la première réalisation du distributeur, les espaces
de jet d'air sont placés
dans les triangles de fixation du module B.
LA CENTRALE INFORMATIQUE DU DISTRIBUTEUR
Le distributeur du module A contient un système de contrôle informatique et
une connexion pour
tablette. Cette connexion pour tablette peut être à l'aide d'un câble ou par
ondes. Le système
informatique, selon l'application et les préférences de l'utilisateur,
activera les soupapes du col-
lecteur afin de faire arriver l'air aux coussins de frappe et d'activer
différents mécanismes selon
les besoins du programme d'entrainement. Le CPU principal est en contact avec
chacun des cous-
sins et de l'ensemble de leurs capteurs et mécanismes via les câbles de
connexion. Le CPU du
distributeur donne des données brutes à la tablette qui transforme ces données
brutes en données
pertinentes à l'application en cours du téléphone de l'utilisateur. Cette
manière donne une rapidité
de traitement de l'information en limitant les sources d'informations.
ifig.271
Aussi, la sensibilité des réponses est exponentiellement précise grâce au
groupement logique.
Dans les tableaux des informations d'accélération 2701, de pression 2702 et de
distance 2703
parcourue. Les trois courbes sont légèrement différentes lors d'un coup de
poing brusque et re-
tenu enfoncé d'un usager dans une des sections.
1..,e CPU, par le biais d'instruction préprogrammée pour l'application
d'entrainement avec
séquenceur, pour faire de la musique, choisira ces informations et en fait un
amalgame 2704 qui
maximise l'interaction et la précision de la réponse du mouvement afin que le
signal final, le sig-
nal MIDI 2705 correspondent à l'utilisation d'un instrument (attaque, soutenir
la note et relâche).
La centrale informatique est le gestionnaire des données brutes des différents
capteurs et de leurs
alimentations. On entend par données brutes les informations du capteur après
avoir vu son signal
électrique numérisé par un convertisseur.
Généralement les modules lourds sont accompagnés d'une tablette de contrôle
connectée par un
fil ou par onde, au distributeur.
Cette tablette d'accompagnement est fixée au mur, près du module.
Aussi, il est possible, lorsqu'un grand nombre de capteurs est impliqués de
distribuer les informa-
tions des différents capteurs avec des minicentrale qui font le prétraitement
des données brutes
des capteurs.

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PROTOCOLES DE SÉCURITÉ
Dès qu'un module est défaillant, un signal est envoyé à l'interface de
l'opérateur 111 pour
l'informer de la situation.
Aussi. différents protocoles de sécurité vérifient les paramètres de pression
afin de s'assurer que
les pressions des différentes composantes pneumatiques sont dans leurs zones
d'utilisation sécuri-
taire. Ce faisant, le système s'assure que toutes les valves fonctionnent
correctement et qu'aucune
partie du module n'explose en cas de pression extrême due à une défaillance
mécanique ou une
utilisation abusive de 1 ' utilisateur.
Dans le cas d'une telle défaillance, la valve de sécurité est électriquement
ou mécaniquement
relâchée.
Ses routines de vérification sont inscrites dans le système primaire du
distributeur. On peut mettre
à jour ces routines de sécurité par le biais du système logiciel.
Le système logiciel est doté de plusieurs niveaux et contient plusieurs
fonctions. Il peut être
accédé par une application web, une application installée sur une tablette, un
smartphone ou un
ordinateur.
Aussi, des protocoles de sécurités sont établis en fonction des résultats
d'évaluation physiques de
l'utilisateur qui limitent les résistances en fonction des précédents
résultats.
VARIATION HYDROLIQUE
En lieux et places de l'énergie pneumatique, un système hydraulique vient
varier les résistances.
Selon les mêmes principes et de manière adaptée, un liquide remplace l'air qui
peut être clair ou
gélatineux, selon la résistance voulue.
Un tel système implique une source de pression hydraulique, deux approches
équipent ces deux
réalisations sont choisies.
La première exige l'installation d'un système de distribution similaire à la
version pneumatique.
C'est-à-dire une chaine de compresseurs, diviseurs et distributeurs.
La deuxième contient un ensemble de pistons qui sont assignés à chaque
section. Chaque piston,
lorsqu'il est compressé, ajoute de la pression dans la section et vice-versa.
Dans un tel système, une valve de remplissage permet de remplir le liquide
lors de l'installation
des composantes et se referme lors de l'activation.
Les pistons sont activés par un système électrique, mécanique ou à air
comprimé.
LES NIVEAUX D'ACCES LOGICIELS.
Le niveau 0 ZA du système logiciel permet au manufacturier d'obtenir de
l'information sur cha-
cun des modules branchés au système d'un opérateur via l'internet. Ce niveau
logiciel est suprau-
tilisateur et possède tous les droits et privilèges sur toutes les données
dans le système logiciel
complet. C'est l'accès illimité du manufacturier. Cc niveau est pour
l'entretien et la mise à niveau
des appareils au niveau logiciel et même des circuits intégrés (bios). Ce
niveau collecte les don-
nées d'utilisation et d'entretien afin de déterminer des manières optimales
d'utiliser l'équipement
et d'augmenter leurs durées de vie. R ex. Il indiquera à l'opérateur de faire
une rotation des sec-
tions pour que les coussins soient frappés de manière égale.
Le niveau 1 ZB permet d'ajuster l'appareil et de procéder à son installation.
C'est le niveau de
l'opérateur et tous les modules activés par l'opérateur seront accessibles par
lui via une applica-
tion web ou installé sur son ordinateur ou sur un serveur personnel. Le nombre
de modules con-
trôlé par ce niveau est illimité.
Le niveau 2 ZC est une version limitée du niveau I. C'est le niveau de
l'utilisateur unique pos-
sédant des modules. Avec ce niveau logiciel, l'utilisateur particulier peut
changer les paramètres
primaires et contrôler l'ensemble de son équipement comme le peut un
opérateur. Cependant, un
nombre limité de modules de certaines classes est permis. Aussi, le nombre
d'utilisateurs récur-

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reins par module est limité.
Le niveau 3 ZD est le niveau logiciel de l'utilisateur qui utilise un
équipement dont une licence
logicielle de niveau 1 ou 2 est déjà existante. Le niveau 3 contient toutes
les applications en
interaction avec l'utilisateur. Avec ces applications, l'utilisateur peut
modifier les paramètres de
résistance des modules dans les limites de la configuration des paramètres
primaires fixés par
l'opérateur.
Le niveau 4 ZE est une version limitée du niveau 3. Elle permet de se
familiariser avec les fonc-
tions du système et offre quelques possibilités d'essais dudit système.
CODE D'IDENTIFICATION D'ÉQUIPEMENT
Chaque module lourd peut être doté d'une identification unique imbriquée dans
le circuit de
chacun des distributeurs. Ce code est nécessaire afin d'obtenir une
interaction de l'utilisateur et
du module. Cette identification a pour but de rendre impossible la copie de
produits par d'autres
manufacturiers non licenciés. Aussi, ce code peut être utilisé aux fins
d'identification.
Ce code peut être dans une mémoire flash chargé avant d'être inclus dans le
circuit de chacun des
distributeurs ou intégré de manière logicielle lors de la mise en service.
Ce code d'identification peut être inclus de la même manière dans chacune des
sections pour les
mêmes raisons et fonctions.
Ce code peut aussi être inclus dans tous les modules à divers degrés.
LE MODULE B
Le module B (fig. 4 et fig.51 est le module fait pour utiliser une force brute
intense. Cette gamme
demande l'utilisation de gants 404 de protection afin de prévenir les
blessures.
Le système de section et le distributeur sont faits de façon plus résistante
afin de donner un effet
d'absorption des coups plus solide à l'usager. Généralement des boxeurs ou des
martialistes, les
utilisateurs du module B possèdent une force brute supérieure à l'usager
moyen. Le distribu-
teur 504 possède une grille 502 dans laquelle les sections 408 viennent
s'imbriquer parfaitement.
Cette grille peut être dotée de fente en forme de cylindre, de carrés ou
autres. Dans la réalisation
choisie, un système de grille avec des hexagones est présenté soutenu par des
triangles 503 sont
présentés.
La section, de forme identique à celle choisie, est insérée dans la grille de
soutient du distribu-
teur 411 et collé ou fixé au fond de la grille au moyen de boulons, d'un clip,
de colle, par friction,
par câble ou par enclenchement mécanique.
Grâce à ce procédé de fixation, la section est solidement liée au du
distributeur.
Le bout inférieur 412 de la section contient des connexions à l'ensemble des
composants élec-
troniques 414, pneumatiques 413, de la section du module. La zone de frappe
415 peut être
recouverte d'un matériel de recouvrement. En dessous de cette dernière, il se
trouve un système
de chambre à air indépendante. Dans cette réalisation, elle est limitée à deux
sous-sections : une
sous-section limitrophe 416 , qui encercle la sous-section centrale 417.
Chacune de ces sous-
sections contient un ensemble de capteurs accéléromètres 418 , de capteurs de
pression 419, de
connexion 413 au collecteur, de capteurs de pression pneumatique 421, de
système de lumière et
de système de projection indépendant d'une sous-section à l'autre.
Le collecteur doit donc fournir, dans cette réalisation, deux connexions d'air
par section. Aussi
elle peut être munie d'une seule connexion d'air et d'un système de soupape de
distribution di-
rectement intégrée à la section et contrôle électroniquement.
Dans toutes les sections et les sous-sections pneumatiques, une soupape de
relâche active 420
peut être ajoutée afin qu'à chaque coup, une partie de l'énergie soit évacuée
en air au moment de
l'impact de façon à ce que lesdits coups soient amortis légèrement de manière
active.
Chacune des sous-sections est formée d'un pneumatique moulé et renforci. Tout
comme dans les

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sections du module A/F, ce peut être avec du kevlar, de l'acier, de caoutchouc
ou de polymères.
Les sous-sections sont fixées au moyeu 423 par le biais de bagues 424 et
d'encoche 425 et main-
tiennent les sous-sections pneumatiques fermement et de manière hermétique.
Les pneumatiques
sont de formes complémentaires est les deux sous-sections interagissent et
distribuent l'énergie
d'un à l'autre lors des coups. En prenant toutes les données, les pneumatiques
sont configurés au
niveau de la pression et de la sensibilité des nombreux capteurs. Le moyeu est
fait d'un métal ou
d'un alliage solide. Le moyeu est constitué de trois parties : la colonne 426,
la tourelle 427 et les
joints. A l'intérieur de la colonne, les entrées d'air 413, les câbles de
connexions 428 se rendent
vers chacune des composantes électronique des sous-sections.
Les valves et les câbles connecteurs sont amenés, via des parties du moyeu,
hermétiquement
dans chacune des zones pneumatiques. Le centre pneumatique et la première
partie insérée à
l'extérieur de la bague formée par la colonne. La colonne et la partie
intérieure de l'anneau
s'installent à l'aide d'un collet, via la partie extérieure de la sous-section
centrale.
Des zones de pressions sont ainsi délimitées.
Ces sous-sections pneumatiques peuvent être constituées de subsections pour
raffiner la réponse
de la section de frappe.
Ensuite, dans cette réalisation, l'extérieur de l'anneau vient se fixer à
l'extérieur de la bague
formée par la tourelle. Une encoche dans la bague permet à la sous-section de
s'agripper grâce
à une extrusion à l'intérieur de l'anneau. Une bague de contour vient fixer
hermétiquement et
fermement le pneumatique de l'anneau.
Chacune de ses sous-sections peut être munie, afin de mieux contrôler les
réponses pneumatiques
et les formes des sous-sections, de câbles 429 qui peuvent se serrer, une fois
enlacés dans un sys-
tème d'anneaux fixés sur la face interne des sous-sections et contrôlés par un
système de blocage
et de moteurs 430. Selon les configurations des dits câbles de renforcements,
des actions supplé-
mentaires de compression et de formes pourront être effectués.
Cette bague de joint ainsi que celle placée sur la bague de la colonne sont
munies d'un arc de
même dimension latérale que la bague de joint. Ceci afin de couvrir, sous la
partie supérieure de
la bague de joint, la partie vide crée entre les deux points extrêmes de
tension.
Des capteurs de pressions pneumatiques sont fixés à différents points
stratégiques, dans cette
réalisation, la sous-section ronde est munie en cinq points. Au centre et en
X, ils sont placés
directement sous la surface intérieure du pneumatique dans des enveloppes
préformées lors de la
fabrication ou collées par la suite. Une grille de protection 431 peut
couvrir, au fond de la colonne
et de la tourelle, les différents mécanismes, valves et connecteurs, afin
d'éviter, en cas de défail-
lance critique, que le poing de l'utilisateur vienne frapper dans cesdits
éléments risquant de se
blesser ou d'endommager l'équipement.
Les fentes 411 qui reçoivent les sections 408 s'alignent à l'aide de prismes
qui permettent de
placer les fentes dans une configuration donnée. Ici, dans cette réalisation,
des prismes triangu-
laires 503 permettent de fixer les positions des fentes de sections de façon à
créer la configura-
tion standard.
Cet ensemble est inséré dans la cage 504 du distributeur qui retient cet
ensemble fermement.
La cage du distributeur contient des méthodes d'accès aisé aux composantes.
Cette méthode peut-
être par panneaux, par clapets ou par portes coulissantes.
A la fin de la configuration, une enveloppe de distributeur 508 vient couvrir
le tout
Cette enveloppe de distributeur permet, par un système de connecteurs,
d'installer un coussin
général de protection qui entourera le distributeur afin d'éviter que l'usager
ne frappe une surface
solide du distributeur et ne se blesse.
Le module A, B, C et F se fixe à n'importe quel module AS via le distributeur
qui contient un

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21
système de .fixation 517 expressément conçu à cet effet. Aussi, un système
permet de fixer direct-
ement un distributeur à un poteau, lui-même fixé au sol et au plafond
solidement.
Un système de câble et de poulie peut aussi animer le module et créer des
mouvements par ten-
sion et relâches.
Le moyeu est inséré dans la section à l'aide d'une combinaison de méthodes.
L'utilisation devis,
de caoutchouc, de guide de la section, de collets et de colle permet une
fixation permanente. A
l'arrière de la section, les connecteurs sont accessibles afin de brancher
chacune des sections sur
le distributeur.
Le reste du système est basé sur la même structure que le coussin A. On entend
ici la gestion des
entrées d'air, des capteurs, des processus de sécurité, de la gestion
informatique des ressources du
module et du lien avec la tablette et de l'utilisateur.
LE MODULE AS-MUR
Les installations au mur sont moins couteuses, et permette d'utiliser et
rentabiliser l'espace des
murs de la salle d'entrainement. Il est possible, ici aussi, à l'aide d'une
molette, d'une manivelle,
d'une vis de fixation ou d'un moteur 513 d'abaisser et de descendre le module
A, B, C, ou F afin
de l'ajuster à la hauteur désirée par l'utilisateur. Ce procédé peut être
manuel ou automatique par
le biais d'un système d'engrenage 512 ou de courroie. Un système de blocage
mécanique, par
friction ou pneumatique maintien le module une fois la hauteur désirée
atteinte.
L'amplitude de ce mouvement de haut en bas peut être variable, il suffit de
commander les tiges
guide secondaire 509 et principales 511 de la hauteur désirée.
Ce support se fixe au mur par le moyen de vis 510.
Le module AS offre une connexion du module à l'entrée d'air 117 et électrique
116 par le biais de
deux prises relatives 518 /519, une en haut et une en bas. Le passage des
câbles d'air se fait dans
l'un des tubes principal de soutien.
Le système de soutien 516 glisse sur les tiges et supporte le système de
connexion.
LE MODULE C [non illustré]
Le module C est un module, dont les composantes, les mêmes que le module B
peuvent être mod-
ifiés dans leurs dispositions générales. Chacune des fentes est modulaire et
peut être reconfigurée
avec des pièces supplémentaires de formes différentes. Généralement des
pyramides tronquées,
elles permettent de créer des courbes dans un assemblage personnalisé.
Ces formes particulières se fixent à chacune des fentes par vis, par colle ou
par frictions.
Une enveloppe est formée selon la configuration choisie.
Les barres aussi peuvent être en demi-cercle afin que la zone entre deux
points de jonction soit
hors de portée d'atteinte.
Aussi, un système de barres de différentes longueurs est fixé aux extrémités
des fentes, forment
ainsi une grille. Sur chacune des fentes, des points de jonction sont placés à
chaque coin (12
coins) du prisme hexagonal.
En plaçant une configuration précise de barre à certains points de jonction.
Les barres peuvent être munies d'angles afin de bien s'ancrer à chaque point
de jonction.
Un système de blocage maintient la structure dans la position désirée.
Les barres peuvent être munies d'angles mobiles afin d'accommoder différents
angles.
Ces barres peuvent être munies de mécanismes d'élongation et de contraction
afin d'avoir un
modèle qui permet une configuration choisie par l'utilisateur sans recourir à
un grand nombre de
pièces différentes.
Ces barres peuvent être munies de mécanismes d'élongation et de contraction
automatisée per-
mettant un mouvement dynamique du module.
Une enveloppe plus souple et épaisse est utilisée dans ce type de réalisation,
elle est munie de

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cercle de renforcement qui se fixe aux entrées de section. Aussi, les points
de jonction peuvent
être placés autour des enveloppes de section et pas nécessairement aux coins
afin de maximiser
les mouvements de contraction et d'extension des systèmes automatique.
Aux points de jonction, il est possible d'ajouter des rondelles de caoutchouc
qui peuvent être
placées entre chacun des points de jonction et des barres afin d'ajouter une
souplesse à la struc-
ture de la grille du distributeur.
Dans ce cas, des points de jonction sont aussi placés à chaque coin de
l'enveloppe de section
afin qu'une enveloppe inférieure vienne renforcir la structure et être le
dernier point de contact
lors d'un coup qui n'atteint pas la zone de frappe des sections. L'enveloppe
inférieure des cap-
teurs d'accélérations, de tension et de pression vient garnir l'enveloppe
inférieure afin de donner
d'autres sources de données en plus de protéger l'utilisateur.
Aussi, un système d'écailles peut bâtir une structure de sous-enveloppes
prenant appui l'un sur
l'autre dans le cas de structure dynamiquement animée. Ces écailles ont pour
principe d'avoir une
écaille supérieure supportée par des disques entourant chacune des sections.
Dans ce système,
l'écaille supérieure est toujours supportée, par les disques de chacune des
sections peu importe
s'il est en extension ou en contraction. Cette écaille supporte la couche
souple de l'enveloppe,
évitant qu'un poing qui n'atteint pas une zone de frappe vienne écraser
l'enveloppe du module
dynamique et toucher une des barres qui forme la structure du distributeur de
cette réalisation du
module C.
Une zone de frappe du module C, qu'il soit de type A ou de type B, peut être
constitué d'une ou
plusieurs sections. Une zone de frappe allongée peut être formée de deux
sections se superposant
afin de créer une forme de la zone de frappe idéale pour un coup de pied
latéral. Dans ce cas, une
section peut être une section inactive, sans connecteurs. Une seule section
contrôle la zone de
frappe.
Une enveloppe modulaire est aussi envisagée dans la deuxième réalisation. Elle
est constituée
d'une enveloppe souple, recouverte de gel et recouverte d'une autre enveloppe.
Des contours d'enveloppes, aussi munis de capteurs de pressions mécaniques,
d'accélérateurs, de
tensiomètres ou autres entoure l'enveloppes de du module BIC.
LE MODULE D
Le module D Ifig. 81 est une version à plat du système BPM. Le module DIE
offre la résistance
par la tension et exclut les composantes pneumatiques. Encore une fois, les
points d'impact sont
truffés de capteurs tels que les accéléromètres 801, les capteurs de pressions
mécaniques 802, des
tensiomètres 803 et des capteurs de torsion/plis 804.
Il est maintenu en place par des poteaux 814 fixés au plafond et au plancher.
Les systèmes de tension et de résistances sont ceux des forces mécaniques. La
combinaison de
tissus extensibles 805 ,de système d'enroulement 806. de système d'ancrage 807
et de moteurs
permet de varier la résistance des activités.
Un renforcement 808 fait d'une combinaison de caoutchouc, de polymère, d'acier
et de kevlars
permet de déterminer des résistances appropriées des zones de frappe et
d'extension du système
de mur souple. Une couche de recouvrement 809 rend la surface finale homogène.
Des poulies et des moteurs activent des systèmes d'enroulement de part et
d'autre du module afin
de créer une tension générale de la surface extensible 806.
Des cylindres complémentaires 810 offrent un point de rotation 811 et de
changement de hau-
teurs 812. La tablette 813 de contrôle peut être intégrée à ces cylindres.
Optionnellement, un système de moteurs et d'engrenages active des zones
spécifiques du mur
afin de créer des tensions localisées dépendant de la configuration des points
de tensions activés.
LE MODULE AY

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Ce système de contre résistance permet à un utilisateur de profiter pleinement
des possibilités
rotatives 815 du module D. Il est constitué, dans sa réalisation la plus
simple, de plateformes en
angles 816, d'une architecture de soutien des plateformes en cercle 817, de
bande élastique 819,
d'un système de connexion 820 intégré à un câble, une bande ou des chaînes qui
forme son sys-
tème d'ancrage pour la connexion aux pieds, dans les anneaux 807 placés au bas
des poteaux du
module D.
Ce système de connexion permet de régler la longueur des câbles, des bandes ou
des chaines de
façon à donner une position choisie vis-à-vis le module D.
La plaque de protection 819 peut être munie d'un élément d'adhésion et de
protection, tels des
disques de caoutchouc. placés à sa base. qui empêche l'architecture de soutien
de bouger et pro-
tège le plancher sur lequel il est posé.
LE MODULE Bi et BK
Les modules BJ/BK sont des bandes qui s'attachent aux points de fixations du
module D. Elles
sont dotées de la même technologie à tensiomètres que les bandes élastiques du
module AU. Le
module Bi est doté de sangle pour les poignets et les modules BK sont adaptés
pour les molets.
Les deux ont pour fonction de créer une résistance supplémentaire pendant
l'entrainement.
LE MODULE E
Cette réalisation du module E fig.91 contient une toile principale 904 munie
d'un système
d'anneaux connecteurs 901 solidement ancré derrière la toile principale.
Extensible. cette dern-
ière tend à s'avancer 902 vers l'avant du demi-cercle créé par la structure
903. Les anneaux for-
ment une grille 924 à l'arrière de la toile principale. En tirant sur chacun
des anneaux à l'aide de
câbles 905 connectés à des moteurs 906 et d'un système de blocage, il est
possible de déterminer
la configuration et la forme de la toile principale et de la disposition des
zones de frappe ainsi
que le la tension générale du module. La toile principale est munie de
capteurs de pression 918,
d'accéléromètres 919, de tensiomètres 920 et de torsiomètres 923 est installée
aux deux colonnes
externes. Aussi, une surface électrosensible 925 peut être ajoutée. Des câbles
dédiés 926 sont
dirigés vers la centrale informatique du module.
Ces colonnes sont munies de moteurs et peuvent tirer les côtés de la toile,
augmentant la tension
dans la toile et par le fait, augmenter l'intensité d'un entrainement.
La toile peut-être tirée et relâchée stratégiquement à différents points afin
d'avoir une configura-
tion dynamique.
Ces zones où les anneaux sont fixés peuvent être munies de disque de
renforcements 907 et de
coussins 908 distribuant la tension dans la toile et protégeant l'utilisateur
lorsqu'il frappe sur le
point précis où l'anneau est placé.
Tout comme dans le module D, le module E peut être muni d'un système de tige
et d'engrenage
permettant d'enrouler le tissu extensible dans les colones de soutien 909.
Dans cette réalisa-
tion un ensemble de moteurs 927 fait cette action. Deux gros moteurs 928
activent les parties
supérieures et inférieures renforcies 929 de la toile
La présente réalisation du module E contient, pour soutenir et créer la forme
du module, une cage
de soutien 910 recouverte par des coussins protecteurs 911. Ils protègent les
points d'ancrage
supérieurs et inférieurs de la toile. Longitunale, ils suivent l'arête de la
toile extensible. Ce cous-
sin, peut être en un seul bloc ou doté d'une structure multicouche. Il est
muni d'une fente qui lui
permet de s'insérer dans l'arête de la toile. Un système d'attache le fixe à
l'avant et l'arrière de la
toile.
D'autres coussins 912. cette fois-ci de chacun des côtés, protègent les
colones latéraux 913. A
l'arrière, d'autres colones 914 sont placées. Sur le dessus du module, une
toile ou un coussin 915
peut être placé à des fins esthétiques ou de protection.

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Un contrepoids 916 qui fixe le module E au sol de manière sécuritaire. Ce
contrepoids peut être
formé d'un ensemble de lamelle de caoutchouc, de système de poids en lamelle,
d'un ensemble
de contenants creux pouvant recevoir un ballast. Sous ce contrepoids, un tapis
de contact 917
maintient fermement le module sans risquer d'endommager le sol.
Dans le contrepoids, cinq guides 921 assurent la connexion avec des cinq
colones de la cage de
soutien. Aussi, un système de projection vidéo 922, suspendu au haut du module
peut être in-
stallé.
La cage est constituée, dans la présente réalisation, d'un seul bloc. Le
système, pour faciliter le
transport, peut être en morceaux pour un assemblage.
Dans ce cas, un système de pentures dans la structure morcelé permet au
déploiement facile de
même que la désinstallation. Aussi ce système permet un transport facile du
module E et aide, par
un système d'identification, à placer les bonnes pièces aux bons endroits lors
d'un démontage.
Un système de clips, de boulons, de fixations mécaniques fixe chacun des
morceaux de la grille
de soutien.
LE MODULE H
Le module ll est un petit tapis, doté d'une capacité d'absorption des chocs
élevés grâce à sa con-
struction multicouche à placement de capteurs [fig. 11].
Ces couches sont collées de façon à être fermes en extension, mais être molles
en pression.
C'est-à-dire que sur les x et les y, il y a peu de divergence de
positionnement et que sur les z, en
hauteur, la position finale du pied, divergera un peu plus lors de
l'application d'une force. Cet ef-
fet peut être obtenu de deux manières.
D'abord, la toile de recouvrement 1101 est épaisse et est fixée par de la
colle et un système
d'attache 1102 sur la surface intérieure et de bandes élastiques 1103 qui se
fixe à l'arrière du
module 1104.
Ce tapis est doté de capteurs de pression 1105, d'accélération 1106 et de
microphones piézo 1107.
Ils sont contrôlés et alimentés par une centrale informatique qui transmet les
informations à une
tablette, si disponibles ou directement sur le smartphone de l'usager.
Une demi-sphère 1108 faite de caoutchouc dense s'appuie sur un cône tronqué
1109 qui fait of-
fice de soutien et de zone de frappe secondaire.
Une grille de renforcement 1110 maintient les coussins de gel 1111 placé dans
le tapis, en zone
mitoyenne.
Une couche épaisse de caoutchouc inférieur 1112 fixe les bandes élastiques de
fixation. Une
couche antidérapante 1113 se colle au plancher.
Même si le module BP est fait pour cet usage, le module H peut être fixé au
mur et être frappé.
Dans ce cas, l'utilisateur sera averti et devra, pour utiliser ce module,
mettre des gants de protec-
tion, qu'il soit du système ou non.
LE MODULE AQ
Généralement de grande surface, il équipe les salles d'entraînement d'art
martial. Il est utilisé afin
d'amortir les chutes des adversaires lors des combats où la possibilité de
reverser l'ennemi est
incluse dans les règles.
Ce tapis de projections, constitué d'une fabrication traditionnelle des tapis
de gymnastiques ou
est constitué du système multicouche du module Il, mais placé sur une grande
surface.
LE MODULE BP
Le module BP et constitué tel le module AQ, mais avec une couche contenant un
coussin pneu-
matique 1114, une entrecouche de kevlar 1115, tin coussin de gel ou de
caoutchouc souple 1116.
Aussi, un système de deux demi-sphères 1117 vient supporter le cône tronqué de
la surface de
frappe secondaire. Un système de boulons 1118 tient les demi-sphères et le
cône ensemble. Une

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1.5
couche finale de caoutchouc épais 1119 retient les composants et protège le
mur.
Même si le module AQ est fait à cet effet, le module BP peut être placé sur le
sol pour une inter-
action variée. Dans ce cas, une routine contenant des gestes et des exercices
au sol est proposée.
l'utilisateur renforcit ses muscles pendant que l'application analyse les
points de pressions activés
et corrige ou récompense l'utilisateur en fonction de ses bévues ou
perforinances exceptionnelles.
LE MODULE BO
Le module BO et BP est d'une construction similaire minimaliste. Le module BO
s'enroule 1120
autour d'un punching bag traditionnel. Il est garni d'accéléromètres 1121, de
capteurs de pres-
sion 1122 mécaniques placés à des endroits stratégiques sur la surface. Le
module BO est muni
d'attaches 1123 qui lui permet de se .fixer solidement à un coussin de frappes
traditionnelles. Ce
système de fixation peut être un système de sangles, de loquet, de velcro ou
d'une combinaison
de ces systèmes. Aussi, le module BO peut être muni de pièces de soutiens et
de fixations supplé-
mentaires qui épousent la forme des deux extrémités du sac. Il est possible de
fixer le module BO
par des attaches à ces pièces de soutien.
Sur la couche de recouvrement 1125, des marques 1124 peuvent indiquer la
position de ces
capteurs. A l'arrière, une couche de caoutchouc 1126 adhère au punching bag
. Une mince
couche 1127 de gel, de néoprène ou de caoutchouc souple maintient les capteurs
en place.
Ce module peut être intégré de manière permanente à un punching bag lors de la
fabrication de
ce dernier. Aussi, il est possible d'intégrer une prise d'air comprimé et un
système automatique
d'éjection d'air du système des sections du module A ou B. Le coussin de
frappe, ainsi équipé
peut expulser de l'air au moment de l'impact afin d'assouplir le sac à ce
moment.
Le module BO peut être pourvu d'une couche supplémentaire afin de donner une
protection au
système. Cette couche de protection peut être en vinyle, en caoutchouc, en
néoprène ou autres.
Cette couche supplémentaire peut être changée facilement.
Le module BO peut être munis d'une centrale informatique intégré qui gère les
différents cap-
teurs et communique avec le smartphone de l'utilisateur.
Le module BO peut être utilisé en conjonction avec le module G.
LE MODULE AT
Le bouclier rythmique (fig. 121 est constitué d'un système multicouche 1206 de
gels, d'aérogel.
de mousse et de caoutchouc tel que décrit dans le module BP placé sur un cadre
1201, plein ou
non, doté de poignés 1203 et d'un bracelet 1202 qui se place autour de l'avant-
bras. Une autre
poignée 1205 peut être placée pour diriger le bouclier à deux mains.
Selon le degré de résistance voulue et lors de la fabrication, les couches
peuvent varier en nom-
bre, en position et en épaisseurs.
Aussi, il est possible d'ajouter une couche supplémentaire 1207 afin de
renforcir ou d'assouplir la
surface de choc. Cette couche supplémentaire petit être en un seul bloc, doté
de capteurs de pres-
sion mécaniques.
Des capteurs de pressions mécaniques sont placés stratégiquement sur la
surface en fonction des
zones de frappe, qu'ils soient indiqués sur la face avant du bouclier avec des
marques, ou non.
Ces marques peuvent être des formes (cercles, triangles, hexagones, etc.), des
couleurs, des lettres
ou des pictogrammes.
Aussi, s'il est doté d'une enveloppe translucide, des DEL peuvent être
installées sous les couches
de gels afin d'être activées pour indiquer à l'utilisateur quelle zone
frapper.
Ce module permet de placer une tablette fermement en place 1204, dans la
surface intérieure du
bouclier. Cet emplacement offre aussi une ouverture, couvert d'un plexiglas ou
non, laissant la
caméra de front 1208 avoir un accès à ce qui se passe devant le bouclier.
Une ou plusieurs caméras peuvent être instables sur le bouclier selon le même
principe et se con-

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necter à la centrale informatique du module, qu'il soit permanent ou sous
forme de récepteur de
pastille. Aussi, ces caméras peuvent être connectées à la tablette permettant
à la manoeuvre de
voir l'action à ravant tout en étant pleinement protégé.
Le module AT peut être appuyé sur les connecteurs du plastron BA par une tige
ou un système de
lamelles qui absorbent les chocs.
1...ES MODULES LÉGERS
Les modules légers peuvent être utilisés seuls ou en conjonction avec un
module lourd. Dans ce
cas, l'application de l'utilisateur utilise les informations des deux modules
afin d'offrir une inter-
action appropriée. Ce peut être un pointage, une information de dégâts
virtuels ou simplement des
informations brutes telles que la vitesse, les G développés, la pression
enregistrée, le moment du
contact ou autre information corrélé à l'aide des données primaires.
Aussi, ils peuvent être utilisés avec d'autres modules légers.
Les modules légers forment plusieurs ensembles. Certains modules sont dans
plusieurs ensemble
que ce soit par leurs fonctions ou grâce à des éléments qui lui sont ajoutés.
Le descriptif se situe
dans l'ensemble où la fonction est considérée comme principale.
LA CENTRALE INFORMATIQUE
Les modules légers possèdent aussi, placé à l'intérieur une centrale qui
contient un CPU, une
pile, un circuit, un capteur d'accélération, un piézo, un connecteur de
recharge et un connecteur
de série.
Aussi, la plupart des centrales sont équipées de système de transmission de
données.
Cet ensemble peut être fixe ou à pastille.
Pour faciliter la fabrication ou l'accessibilité, deux réalisations sont
envisagées.
La première crée la centrale informatique de manière à ce qu'elle puisse être
insérée de en per-
manence dans les modules et est rechargeable que lorsque le module est
connecté à un module de
recharge.
La deuxième crée une forme de pastille indépendante qui contient toutes les
composantes ci-haut
et se connecte, indépendamment, à un chargeur et le module munie d'un
récepteur de pastille. Un
tel module est muni d'un connecteur à la pastille sous la forme du récepteur
et le connecteur y
relit les capteurs répartis dans ce type de modules. De tels modules, dénués
de pastilles, réduisent
les coûts de construction et facilite les processus de recharges.
LES PASTILLES ET LES RÉCEPTEURS
Beaucoup de ces modules possèdent la possibilité d'être munis de récepteur de
pastille afin de
recevoir les pastilles par le biais du récepteur ifig. 121.
Ce système de pastille est optionnel et un tel système peut être intégré de
manière permanente.
Le système de pastilles permet deux choses, premièrement de réduire les frais
d'acquisition des
équipements et augmenter la facilité de recharges lorsque que les batteries
sont à plat. P. ex., un
utilisateur est passionné par le module de gants et épuise la batterie. Au
lieu de replacer le gant
sur la charge et devoir arrêter son entraînement, il suffit de changer la
pastille avec une autre,
rechargée.
LE MODULE G
Le module G est un ensemble d'un récepteur 1209 et d'une pastille 1210 qui
s'assemblent et se
collent n'importe quelle surface. A l'aide de capteurs d'accélération 1211 et
de micro piézo 1212,
est capable de déterminer si l'objet est frappé et à mesurer l'ampleur des
coups. Ce système est
la base du système de pastille et de récepteurs. Sa cavité 1213 fait résonner
les sons créés par les
impacts sur l'objet de sport.
LE MODULE Ai
Le miniadaptateur universel d'équipement et un système simple de récepteur et
de pastille qui

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s'installent en se collant, de manière ferme et permanente à de l'équipement
traditionnel.
P. ex. une planche à neige, un bâton de ski, un soulier.
Ici, la colle est une colle de type-résine semi-durcissante. La résine choisie
durcira à un niveau
qui ressemble à un caoutchouc dense, mais doté d'une certaine souplesse.
Ce faisant, cette résine s'agrippe de manière permanente à une grande variété
de surfaces, même
les inégales.
Des bagues permettent de placer le module A.1 sur des équipements tubulaires
de petits diamètres.
P. ex. des bâtons de ski, un bâton de golf, etc.
La pastille BR et les récepteurs Ai peuvent être de différentes grandeurs afin
d'accommoder les
besoins en énergies des modules ainsi connectés. La présente réalisation
envisage trois systèmes
de grandeurs 3 cm, 5 cm, 10 cm.
Chaque pastille BR contient un processeur. une pile, plusieurs accéléromètres,
un système de
connections pour le récepteur, une capacité de radiofréquence et un micro
piézo.
Il va sans dire que la variation de grandeur de pastille va aussi en
proportion de la taille de la pile
requise par le module ainsi mis sous tension.
Tous ces formats possèdent un connecteur universel ou s'insèrent dans le
récepteur, qui fait office
de convertisseur digital pour les capteurs qui y sont branchés. Dans les
réalisations des modules
qui suivent, pour des fins de simplicité, la taille des pastilles n'est pas
spécifiée.
Ce système de pastilles accepte deux types de pastille, la pastille complète
BR, ci-haut décrite, et
la pastille de charge BS qui ne contient pas de centrale informatique et a
pour utilité d'être ajouté
à une chaîne de modules qui contient déjà une telle centrale, mais a plusieurs
récepteurs vides.
L'utilisation de telles pastilles augmente l'autonomie de la chaine du module
ainsi connecté.
Aussi, le récepteur de pastille est muni d'un système de prise universelle.
Et tous les capteurs des modules légers sont munis d'une connexion pour cette
prise universelle et
s'y connectent.
LE MODULE BQ
Le module BQ est un ensemble de récepteur et de pastille de très petite taille
qui permet à cette
dernière de se coller sur n'importe quel équipement existant et de programmer
des commandes
pour interagir avec les applications du smartphone de manière personnalisée.
Ce système de pastille peut être installé sur les modules L, M, N, 0, P, Q, R,
S, T. U, V, AB, AC,
AD, AE, AF, AG, AK, AL, AM, AO, AP, AQ, AT, AV, AW, BA, BB, BD, BE, BG, BI,
Bi, BK,
BL.
LE MODULE K
Le module K (fig. 131 est constitué d'un ensemble de trois éléments. La
poignée 1301, les sphères
de poids 1302 et les surcharges à surface comprimable 1303.
La poignée contient une pile, un système informatique, des capteurs de
mouvements, des gy-
romètres, un piézo et un système de transmission par radiofréquence. La pile
peut être rechargée
par un système de fil, par connexion sur le support Z, par connecteurs de type
USB/FireWire ou
par induction, si équipée d'un tel système.
Les surcharges à surface comprimables se connectent en s'insérant dans la
poignée 1304. Lors
d'une telle installation, le connecteur mâle 1035 des surcharges est enligné à
un connecteur
femelle 1306 de la poignée, ce faisant, tous les capteurs de torsions 1307 et
de pression méca-
niques 1038, placés sur la surface de la surcharge sont connectés à la
centrale informatique de la
poignée. La surcharge est tenue en place par les sphères de poids
subséquemment instables. Les
sphères de poids se fixent solidement.
La surface de la surcharge protège la main de l'utilisateur. Sa structure est
capable de se com-
presser 1309 dans un ratio de 30 % de sa taille. Une architecture renforcit la
forme de quart de

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sphère de la surface comprimable.
L'utilisation de couches multiples de matériaux similaires aux autres modules
fait alterner des
couches de structures, d'absorption de chocs, de renforcement et d'enveloppe.
Cette structure est
ancrée solidement aux disques de surcharge 1310 de poids qui forme l'appui
d'un tel système
compressible.
Des capteurs de pression et de torsion sont installés dans la surface
compressible. Ces capteurs
sont connectés à la centrale informatique de la poignée par le connecteur
relatif placé sur la bague
de la poignée.
En plus de donner une résistance, cette surcharge permet de prendre appui pour
faire des tractions
avec le module en entier.
La combinaison de différents types de sphère de poids et de surcharges à
surface comprimable
offre un éventail de poids disponible. Dans l'illustration, il est présenté
une gradation en tiers.
Les trois sphères forment les divisions et les surcharges forment les unités.
Pour des .fins de simplicité, voici une gradation en quart, donc à quatre
niveaux de poids.
En gradation en quart, il est possible d'avoir 16 poids en gradation constante
de quatre sphères de
poids et trois surcharges. Ces poids sont ici représentés en kilogrammes. Les
proportions peuvent
être changées selon l'échelle de poids désiré.
Cet étalonnage permet, dans la réalisation choisie, d'avoir une gradation
régulière de 250
grammes en ayant des sphères de poids de 250 g (125 g ¨ 125g), de 500 g (250 g
¨ 250g), de
750 g (375 g ¨ 375g), de 1 kg (500 g ¨ 500g) et de surcharge de poids de I kg,
2 kg, 3 kg.
En supposant que la poignée pèse 500g, il est possible de couvrir de 750 g à
4.50 kg par seize
incréments réguliers de 250 g.
L'application aide l'utilisateur à choisir et assembler correctement les
composantes avec un code
de couleurs, de dessins ou de numéros.
Ce système peut être étendu et proportionné. Mathématiquement, ce rapport de
proportion se fait
au niveau des incréments de surcharge.
Ici, le poids des sphères représente le poids de la paire.
Po = poignée
Sp = sphères (une paire)
Su = surcharge
Po : X/2 ou 0.5
Dans le cas de la poignée, cet indice de proportion est l'idéal, il est
possible, dans les cas de petite
incrémentation, que la poignée soit plus lourde que cette proportion. Cela ne
nuit pas au système
d' incrémentation perceptiblement à cette échelle.
La gradation des sphères et des surcharges.
Sp 1 : X/4 ou 0.25
Sp 2 X/2 ou 0.50
Sp 3 : 3X/4 ou 0.75
Sp 4 :X ou 1
Sut :X ou 1
Su 2 :2X ou 2
Su 3 :3X ou 3
Su ... : ...X ou
Dans l'ordre cette gradation se conçoit comme ceci :
I. Po + Spl 0.75;
2. Po + Sp2 =1;
3. Po + Sp3 1.25;

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4. Po + Sp4 =1.5;
5. Po + Sul + Spl = 1.75;
6. Po + Sul + Sp2 = 2;
7. Po + Su 1 + Sp3 = 2.25 ;
8. Po + Su! + Sp4 = 2.5 ;
9. Po + Su2 + Spl = 2.75 ;
10. Po + Su2 + Sp2 = 3 ;
11. Po + Su2 Sp3 3.25;
12. Po Su2 + Sp4 =3.5;
13. Po + Su3 + Spl = 3.75;
14. Po + Su3 + Sp2 =4;
15. Po + Su3 + Sp3 =4.25:
16. Po + Su3 + Sp4 = 4.5.
Il est donc possible de choisir d'autre incrément en augmentant
proportionnellement les poids
de référence X dans les tableaux ci-haut. Le modèle pour femme, pour
débutants, pour hommes,
pour enthousiastes ou pour culturiste fonctionne sous le même système, mais
contient des charges
proportionnées. P. ex. 0.75 à 5 kg, 2 à 10 kg, 3 à 15 kg 5 à 25 kg, 10 à 50
kg.
Une configuration de huit composantes présente 16 gradations complètes.
Dépendant des objectifs de l'utilisateur, l'application donne des routines
adaptées en prenant un
point de résistance, généralement dans le premier tiers de la gradation. Ce
point de référence est
le point médian, qui au fil des séances, augmentera au rythme de
l'utilisateur. Aussi, la variance
entre ces gradations développera la musculature de l'utilisateur de manière
optimale.
Les routines peuvent être projetées sur un écran de référence via le
smartphone ou par une chaine
d'éléments. Ce processus peut être fait directement du smartphone ou avec la
combinaison d'un
autre élément tel qu'une NetTV, un ordinateur, un réseau d'ordinateurs et
d'écrans ou sur une
tablette.
Cette projection peut être un entraîneur virtuel qui effectue les routines à
l'écran. L'utilisateur n'a
qu'à imiter l'avatar afin de faire ces séances. Des informations
supplémentaires sont affichées par
le moyen d'une interface visuelle claire, agréable à l'oeil et configurable
selon ses préférences.
Il est possible d'interagir avec la projection, si le système en est muni,
directement en tapant sur
l'écran tactile. Dans le cas d'une NetTV ou un ordinateur relié à un écran
distant ou non tactile, le
contrôle de l'interface peut-être fait via le smartphone ou du module utilisé.
Ce système de projection est disponible pour tous les modules interactifs.
En effectuant des exercices cardio-vasculaires avec la gradation 2 ou 3,
suivie d'exercices courts
avec la gradation 14, l'utilisateur développe sa musculature.
L'utilisateur, selon son bilan d'athlète, choisit une configuration qui lui
permet de compléter
avec succès une routine déterminée. A titre d'exemple, l'utilisateur peu, s'il
désire augmenter
sa masse musculaire, placer son point de flexion au 5e du modèle culturiste
(10-50kg). Cette
routine représente, dans l'idéal, la 5e gradation (poignée + Sphère 4). Base à
partir de laquelle
l'utilisateur fixe son point de flexion. Ce point sera utilisé par
l'application afin de varier les poids
selon un plan d'entrainement.
Les routines d'entrainement, selon les objectifs de l'utilisateur font
alterner les épreuves de résist-
ance, de souplesse, de force et de cardiovasculaire en effectuant des
changements de poids et en
variant la durée et l'intensité de chaque séquence d'entrainement de la
séance.
En conséquence, le ratio des types de séquence d'entrainement et la durée
totale de la séance sont
balancés en fonction des objectifs par l'application
Les différents niveaux de proportions peuvent aussi être combinés. R ex. des
sphères de poids

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afin d'augmenter la gradation lors de routines particulières et lorsque
l'équipement disponible le
permet.
En exemple, prendre les Sp4 de femme et la combiner avec un Su 2 de la version
pour homme
pour un exercice de puissance maximale de durée minimum.
Aussi, il est possible de placer deux sphères de poids différentes afin de
créer un nouveau cen-
tre de gravité du module. Différente masse et combinaison de masses sont alors
possibles. Cette
disposition non équilibrée a pour objectif de renforcir les poignets.
LE MODULE AB
Les poignées à résistance variable sont un élément que l'on ajoute à une
poignée du module K
pour en faire un élément de musculation des muscles des doigts, situé dans
l'avant-bras.
Un système d'enroulement 1313 dans la sphère. constitué de deux demi-sphères,
fait varier la
résistance de deux ressorts 1314 placés sur deux mécanismes d'enroulement de
chaque côté. Ces
ressorts offrent une résistance opposée. En tournant chacun des mécanismes
d'enroulement, il est
possible de varier la tension.
Aussi, ce système est alimenté par la poignée 1301 via une connections sur la
surcharge qui, con-
nectée elle-même à la poignée et reçois les informations des capteurs du
module AB. Des cap-
teurs de pressions mécaniques 1312 sont installés sur la surface de la poignée
qui reçoit la paume.
Le système de connexion de ce module à la poignée est le même que celui des
sphères de poids
du module K.
LE MODULE
La balle de rebond est constitué d'une centrale informatique Ifig. 141 1402
placée dans la cham-
bre 1401 au centre de la balle. Des accéléromètres 1408 sont relié à cette
centrale. Une gaine
en caoutchouc est placée autour de la chambre. Un passage 1404 au centre
laisse passer une
tige 1405 dotée de connecteurs 1406 permettant une recharge de la pile, avec
le système de con-
nexion 1409 située dans la chambre de la balle.
Dans ce module, un microphone piézo 1407 est installé et capte les impacts
avec les variations
de volume. Cette information est traduite en informations brutes et combinés,
si désirés avec
d'autres informations d'autres modules lorsqu'ils sont en interactions. P.
ex., la balle rebondit sur
une zone de frappe du module A. L'application, qui active ici deux modules I
et A prend le infor-
mations brute de deux modules et fait une corrélation entre les données des
différents capteurs
pour déterminer les impacts entre les modules et les qualités ces impacts
(forces, vitesse, durée,
précision, etc.).
Une masse de rebonds 1410 de caoutchouc dense est entourée d'une couche de
protection 1412
aussi dense. Il est possible de placer des capteurs de pression 1411 entre ces
deux couches.
Elles peuvent être faites sous la forme de sphères régulières ou oblongues.
LE MODULE J
La boule de poids est semblable au module I en architecture. Sa masse de
rebonds est remplacée
par un élément dense offrant une résistance forte. Cette boule de poids est
faite pour être tenue,
lancée, frappée ou attrapée.
La constitution des couches de la balle s'imbrique l'une dans l'autre. Dans
l'ordre en partant
du centre : la chambre 1413; la masse primaire 1414, la masse secondaire 1415,
la sous-envel-
oppe 1416, la couche d'absorption primaire et la couche de recouvrement.
La balle de poids peut être de volumes différents et de densité différente
selon les niveaux.
Tout comme le module I, cette balle de poids peut être de différentes formes
telles que celle d'un
ballon de football, d'un polygone régulier (cube, dodécaèdre, pyramidal,
etc.).
Dans certaines formes, ce module peut-être équipé du récepteur et de pastille.
P. ex., une balle de poids d'un rayon de 30 cm est lancée sur les abdominaux
d'un boxeur.

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LE MODULE AA
Les balles à ébrasement sont des boules contenant un gel et une enveloppe
élastique que l'on
compresse. Cette balle est dotée d'une chambre au centre qui se connecte à un
tunnel qui laisse
passer le module de rechargement, le même que dans les modules I et J.
aussi, la chambre contient toutes les composantes des modules I et J.
Cette chambre est entourée d'une structure souple 1419 qui maintient les
compartiments de com-
pressions 1420 en place lors de l'action.
L'enveloppe finale 1421 est souple et extrêmement résistante à la compression.
Elle peut être con-
stituée de multiples couches minces.
Des capteurs de pression peuvent être installés sous ces couches.
LE MODULE AG
Le module AG est un sac de type Aki fait pour être maintenue en l'air à l'aide
de ses pieds. Le
concept de ce jeu repose sur le fait que le facteur de rebondissement de la
balle est très faible et
que cette dernière doit être assez légère pour qu'elle puisse être levée lors
des coups de pieds de
l'utilisateur.
Le module AG est constitué d'une chambre et un tunnel, similaire aux modules
I, J et AA.
Une série de couches de mousse à mémoire 1422, 1423, 1424 et 1425 qui entoure
le module.
Cet ensemble de mousse est recouvert d'une mince couche 1426 de latex, de
caoutchouc ou de
polymères ayant un grand facteur d'élasticité et de résistance à l'usure.
LE MODULE BM
Le module BM est une bombonne [fig. 151 1501 d'air comprimé rechargeable. Ces
capsules
pressurisées peuvent se recharger via le même accès aux compresseurs placé sur
le module de
support 1503 et amener l'air aux modules à pressurisation semi-variable. Cette
capsule peut être
munie d'un voyant qui indique lorsque la pression maximale est atteinte.
Le système de recharge est apte à stopper automatiquement l'apport d'air dans
un tel module
lorsque la capacité maximale de la capsule est atteinte.
Les composantes de tels modules possèdent un système de valves 1502 qui permet
d'emprisonner
et de relâcher l'air de manière automatique ou manuelle.
Cette capsule peut varier en grandeur dépendant du volume d'air requis.
Cette capsule peut être de types capsules de co2 et utiliser le même gaz.
Lors de la déconnexion, à la fin de l'entrainement, une valve relâche
automatiquement la pression
induite dans les modules gonflables. Le tout afin d'augmenter la durée de vie
de l'équipement qui
est équipé d'un tel système.
Ce système pneumatique est utilisé en conjonction avec des petits modules
munis de chambre
pneumatique dont la variation de pressions est ponctuelle, généralement au
début et à la fin d'un
entraînement.
Ce système de pressurisation suppose que des résistances pneumatiques sont
intégrées dans le
concept des modules sans pouvoir être directement reliées à une entrée d'air
comprimé en perma-
nence. R ex., il serait peu pratique d'avoir à brancher le couteau ballon AV à
un câble pour amen-
er l'air au module. Par conséquent, si un tel module est équipé de sous-
enveloppe pneumatiques,
il sera possible de gonfler son couteau ballon à l'aide du module de
pressurisation indépendant
BM.
Ce module peut être de type cartouche qui s'insère dans le module dépendant ou
peut être
branché de manière sporadique au module. Dans les deux cas, des valves
permettent d'insérer, de
conserver et de relâcher l'apport pneumatique. Ces valves peuvent être
contrôlées manuellement
à l'aide de boutons accessibles sur le module dépendant ou de manière
automatique, à l'aide de
valves électriquement contrôlé.

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LE MODULE N
Le module N est un haltère à surface comprimable. Son bâton 1504 est sous le
même système
que la poignée du module K, mais sous une forme plus longue. L'haltère en soi
est constitué,
du centre vers l'extérieur, de la bague d'enfilement 1505, de la surcharge
principale 1506, de la
masse centrale d'absorption 1507, de la sous-couche d'absorption 1508, de la
masse principale
d'absorption 1509 et de la couche de recouvrement 1510.
Dans la version à variation pneumatique, une chambre à air 1511 est placée
soit sur la surcharge
principale dans la masse centrale d'absorption. Cette chambre à air est reliée
à un connect-
eur 1512 sur la bague d'enfilement.
Sous la couche de recouvrement, des capteurs de pression mécaniques sont
installés.
Par ce connecteur, il est possible de gonfler la chambre à air et ainsi
augmenter le volume de
l'haltère et son degré de résistance à l'impact.
Aussi, il est facile de relâcher la pression, à l'aide d'une valve située sur
la bague d'enfilement.
Aussi, le système de récepteur et de pastille peut y être installé.
Aussi, un connecteur permet de brancher le poids compressible au bâton.
LE MODULE AE
Le module AE peut être en trois formes et a pour fonction de jouer à des jeux
ou suivre des en-
trainements de l'invention avec des haltères traditionnels, qu'ils soient à
une ou deux mains.
Dans sa première forme 1513, il est sous la forme de deux petits disques qui
s'insèrent, à chacune
des extrémités de l'haltère.
Dans sa deuxième forme, il est sous la forme d'un clip 1514 qui se fixe aux
haltères, à l'intérieur
ou à l'extérieur des lamelles de poids.
Dans sa troisième forme, il se combine à une poignée munie de capteurs de
pressions 1515 qui
indiquent, la pression de la main sur l'haltère, pendant la levée.
Aussi, le système de récepteur et de pastille peut y être installé.
LE MODULE BN
Ce module est une palette, de genre disques qui s'adapte à des haltères
traditionnels. Cette palette
se glisse, lors de la configuration de poids d'un tel haltère, avant la bague
de fixation 1516.
Le module BN, dans la réalisation choisie, est constitué d'un disque
d'ajustement 1517, d'un
disque de poids 1518. de capteurs de pression 1519 placé dans un disque de
caoutchouc 1510
formant un disque d'absorption de choc. Un autre anneau secondaire de charge
1521 et une
couche protectrice 1522 recouvrent le module. Ce module peut être placé sur un
ensemble
d'haltères traditionnel en combinaison avec les poids standard desdits
modèles. Aussi, une con-
nexion permet en chitine avec les modules AE.
LE MODULE L [non illustré]
Ce module est un simple gant doté d'un récepteur de pastille situé sur le
poignet. Il capte donc les
mouvements des mains.
LE MODULE R
Le module R est destiné à être placé aux genoux. Il absorbe les chocs du genou
sur toute surface
en plus de transmettre les informations de pressions [fig. 16) 1602 et de
mouvements relatifs
grâce à la pastille BQ 1604.
Toujours sur le même système multicouche 1601 les capteurs sont
stratégiquement placés.
Un système de connexion en chaine 1603 est disponible dans les deux dernières
versions desdits
modules. Il peut être aussi garnit d'accéléromètres 1607 et de piézo 1608 sous
le capteur de pres-
sion. Une coquille 1605 rigide peut y être fixée. Une bande élastique 1606,
pouvant être ajustée
par une bande velcro tient le module en place.
Ce module est idéal pour les gardiens de but qui veulent pratiquer leurs
mouvements de jambes

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lors de leurs séances dans un gym.
LE MODULE S
De la même architecture que R, le module S s'adapte à la morphologie du coude.
LE MODULE T
Les gants de frappe quadruple surfaces offrent une combinaison de capteurs de
pressions, placés à
des endroits stratégiques, dans la réalisation choisie, alignée, en rapport de
la main. : la tranche
de la main 1609, les jointures de la face du poing 1610, le dessus de la main
1611 et la paume de
la main 1612.
Des capteurs de torsions 1613 peuvent être installés de façon à déterminer si
la main est ouverte
ou fermée
Aussi, des capteurs de pression à grande sensibilité 1614 peuvent êtres placés
au bout des doigts.
L'utilisation de ce module permet de pratiquer un grand nombre de techniques
de frappe. P. ex.
avec la tranche de la main, avec la paume de la main, avec le bout des doigts
en trois gestes rapi-
des.
Ce module s'adresse au pratiquant d'art martial et permet de pratiquer ce
genre de coups.
Ce module contient le système BQ 1615.
Ces gants, selon la résistance choisie, varient en épaisseurs.
Le premier modèle, le plus mince permet d'être plus agile et est très
sensible.
Le dernier modèle, le plus épais demande une grande force afin d'être activé.
LE MODULE 0
Un système est constitué de bande large élastique 1616 qui se joint et enferme
solidement un
membre cylindrique tels un bras. un avant-bras, un motet ou une jambe. La
bande élastique est
munie de fibre conductrice 1617 connectée à la centrale et lorsqu'un muscle
prend du volume,
cette information est calculée.
Aussi, ce module peut être équipé du récepteur de pastille BQ.
LE MODULE Q
Les bandeaux rythmiques sont présentés sous la forme de bandeau, de bandana,
de casques ou
de masques auquel des capteurs sont installés. La fabrication envisagée couvre
trois types. Le
bandeau 1618 et le bandana 1619 sont légers et s'oublient presque tandis que
la casquette 1620
est tout en style. Ces réalisations ont pour objectifs de calculer les
mouvements de la tête, du cou
et dans une certaine mesure celle des épaules. Muni la pastille BQ, il est
aussi un des modules les
plus légers.
Des casques peuvent être adaptés, ils peuvent êtres souples tel un néoprène et
peuvent couvrir,
ou non, le visage, ce casque souple est couvert de capteurs de pressions qui
sont branchées à la
centrale informatique du module.
LE MODULE AU
le module AU est un ensemble de bandes élastiques que l'utilisateur doit
étirer. Généralement
offerts en ensemble de différentes résistances, ils peuvent être munis de
poignée permanente. Les
bandes varient en longueurs et en résistance élastique [fig. 171 1702.
Aussi, les poignées peuvent être amovibles 1701 et dotées de connecteurs
femelles 1703. Dans ce
cas, le module est en trois morceaux, les poignées amovibles, au nombre de
deux et une bandes
élastiques doté de connecteurs mâles.
Aussi, les bandes élastiques peuvent s'attacher par le moyen d'anneaux aux
poignées. Dans ce
cas, le récepteur de pastille se trouve dans l'élastique, peu importe la
position dans le sens de la
longueur. P. ex., le récepteur de pastille peut être placé au centre ou près
de l'anneau.
Le circuit de tissus conducteurs se joint au récepteur en fait une boucle
complète dans la bande
élastique.

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Dans tous les cas, un renforcement créer une base ou le récepteur est installé
afin de sécuriser sa
fixation à la bande et empêcher l'étirement de ladite bande de déformer le
récepteur de pastille ou
sa fixation.
Aussi, les bandes élastiques peuvent être en un seul tube, en plusieurs tubes,
en large bande
unique ou à plusieurs larges bandes.
Aussi, les bandes élastiques peuvent être attachées aux modules BB pour une
prise sans soucis.
Un sous-module permet d'enrouler le centre de la bande afin de raccourcir le
ruban lors de cer-
tains exercices.
Dans tous les cas, un support permet de tenir les bandes inutilisées. Une des
poignées contient
une centrale informatique, un connecteur de série ou un récepteur de pastille
BQ 1704. L'autre est
un simple connecteur entre les deux bandes.
Ce module inclus, dépendant si c'est une large bande élastique ou s'il
contient un ensemble de
cordon élastique d'un tissu extensible ou de cordons élastiques doté de
capacité de conductivité
électrique qui, une Ibis étiré, change leurs degrés de résistances
électriques.
Ce système de tissus ou de cordons est constitué de deux sections afin de
créer un circuit qui se
connecte sur la poignée contenant la centrale informatique.
Ce module est fabriqué selon le même concept que les bandes du module BA.
Il est possible d'attacher une bande à une fixation fixée sur un mur ou un
équipement 1711.
LE MODULE BA
Ce module est un plastron 1705 qui s'attache par le dos 1707 et contient sur
sa surface frontale,
donc sur le torse et le ventre, un ensemble de connecteurs 1706 muni de points
de contact 1712
qui permet d'attacher des bandes élastiques munies d'un circuit fait de bande
élastique conduc-
tive. Lors qu'elle est étirée, sa résistance descend. C'est donc en créant un
circuit dans les bandes
que la centrale informatique peut déterminer la distance desdites bandes
lorsqu'elles sont étirées.
Aussi, des capteurs de pressions 1709 peuvent être installés sur la surface du
plastron offrant des
informations de position des mains si elles sont placées, par l'utilisateur
lors de routines, sur ce
dernier.
Les connecteurs femelles des bandes reçoivent les bandes élastiques qui sont
constituées d'une
poignée, d'une bande élastique et d'un connecteur mâle.
L'utilisateur porte le plastron place les bandes dans les connecteurs selon
ses objectifs
d'entraînements.
Le plastron relie chaque connecteur à un central informatique ou un récepteur
de pastille 1708.
Dans le premier cas, le plastron peut être rechargé par un câble qui se
branche dans le plastron.
Dans le deuxième la pastille est rechargeable lorsque placée sur son socle.
Le plastron peut être muni de connecteurs qui permettent la création du module
U.
Ce module, par l'application, met en garde l'usager sur les dangers relatifs à
ce module et
l'exhorte à ne pas utiliser de module qui est trop avancé pour lui. Les
poignées, si elles ne sont
pas maîtrisées, peuvent se retourner dans la direction de l'usager s'ils sont
échappés.
L'application proposera donc des bandes faites pour développer sont endurance
et donc de faible
facteur de résistance ou proposera l'utilisation du module BB.
LE MODULE BB
Le module BB est une paire de gants qui possède un système de fixation qui
s'attache aux
poignées du module BA ou directement sur les connecteurs de bandes de ce
dernier. Ils évitent
donc la possibilité d'échapper la poignée. Ce système de fixation 1713 peut
être mécanique, par
bande, par connecteurs relatifs ou par clip.
Ce module peut être équipé du système de réception des modules AN 1710.
Aussi, il est possible. dans une réalisation choisie de remplacer le système
par un simple anneau

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qui maintient la bande élastique et le gant ensemble avec un crochet.
Cet anneau peut être fixé à un point précis de la bande par friction, par un
système mécanique ou
clip.
Ce module dans une autre réalisation est une réalisation du module L avec un
système de fixation
permettant la connexion aux bandes élastiques du module BA.
LE MODULE BD
Le harnais d'escalade est une adaptation dotée d'une centrale informatique
[fig. 181 1801 per-
manente ou du système de récepteur et de pastille BQ connecté à un élastique
1803, cousu sur
la bande où le système d'attache au câble d'escalade est installé. Cette bande
élastique forme un
circuit qui va et vient et est installé de manière à gaufrer la bande
lorsqu'aucune tension du sys-
tème d'attache n'est appliquée, place ainsi l'élastique conducteur en position
de repos. Lorsque la
bande est tendue, le tissu ou la fibre conductrice offrent des données de
résistance électrique qui
forment les données brutes captées par la centrale informatique.
Aussi, des bandes sensibles à la pression 1802 peuvent être intégrées à la
structure de façon à
capter des informations brutes lors des chutes de l'utilisateur en comparant
les données de pres-
sions aux données d'accélération, aux données temporelles et audios de la
pastille.
LE MODULE Bi
Une semelle 1804 de chaussure interne en gels multicouches dotés de capteurs
peut être insérée
dans un soulier et connectée au système informatique 1805 par le biais du
système de récepteur et
de pastille qui se fixe sur les lacets du soulier ou peut se coller sur le
côté intérieur ou le derrière
du mollet, endroit utilisé dans la présente réalisation.
LE MODULE P
Les attaches de souliers sont un ensemble plusieurs variations.
L'attache de la cheville 1806 qui se fixe aux souliers derrière ou sur le côté
du soulier avec un
clip 1807.
Le système à anneaux ouverts et rotatifs 1808 offre la possibilité de coincer
une centrale informa-
tique aux lacets des souliers par une procédure rotative automatique ou semi-
automatique.
Aussi, un système de capteurs de pressions mécaniques peut être installé par
le biais d'un assem-
blage en bande élastique 1809 à une semelle doté de capteurs 1810 de pressions
mécaniques.
Ce système est muni d'un récepteur de pastille 1811 qui intègre les
composantes informatiques
qui sont reliées aux capteurs par le moyen d'un circuit.
Les capteurs de pressions situées dans une semelle permettent, par exemple, de
jouer de la
claquette virtuelle en tapant sur le sol
aussi, en combinaison avec les détecteurs de mouvement, il est possible de
créer une foule de
routines.
LE MODULE AL
Le module d'adaptation des gants de boxe AL est une couche mince en latex,
caoutchouc ou de
polymères extensible (fig. 191 1901 qui se place sur le gant de boxe
traditionnel. Sur cette gaine,
un capteur de pression mécanique 1906 et un accéléromètre 1907 sont placés et
connectés à la
centrale informatique.
Des attaches 1903 permettent de retenir en place cette couche au niveau du
poignet avec un cer-
ceau d'adaptation 1904. Le système de fixation de la gaine est une mince bande
velcro, relié à la
gaine, qui se fixe très solidement après le poignet. Ce système est semi-
permanent. Un système
d'attache par cordon est situé à l'intérieur de la main, sur la paume du gant
[non illustré].
Aussi, une autre réalisation offre une configuration de type tuyau ou la gaine
d'adaptation est
déroulée 1902, à la manière d'un condom, sur le bout du gant de boxe.
Cette gaine peut être faite de matériaux conducteurs.

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Une centrale informatique 1905 se connecte sur cette gaine et ainsi, aux
capteurs de pression de
ladite gaine.
Tout comme dans les autres modules, la centrale informatique contient un ou
plusieurs capteurs
de mouvement, un piézo, une pile et un système de connections par onde telle
Bluetooth ou au-
tres.
Cette centrale informatique peut être placée de manière permanente à la gaine
ou au système de
fixation de la gaine.
Bien sûr ce système peut être intégré lors de la fabrication.
Aussi, le système de récepteur et de pastille peut y être installé 1905.
Une variation plus simple consiste à coller de manière permanente un disque
1908 contenant un
capteur de pression directement sur le gant. Le capteur de pression est
connecté par un fil 1909 à
un module BQ 1905.
LE MODULE U
Le module U ifig. 201 est la connections en chaîne des modules L, 0, P, Q. R.
S, T, AU, BA, BB,
BD et Bi dans le but de créer une armure ou un squelette de capteurs. La
connexion entre les dif-
férents modules peut se faire par bande élastique si le module U est complet
ou par assemblage
logiciel, dans le cas ou le module U ne l'est pas.
LE MODULE AV
Le couteau ballon est un simulateur d'arme blanche. Dépendant de l'arme
blanche désirée, le
module AV change et forme et en grandeur. P. ex., il peut être de la grandeur
d'un couteau ou
d'une épée.
Sa structure est faite d'une gaine épaisse de caoutchouc [fig. 211 2103 au
centre creux 2104
hermétique entouré d'une cage structurelle 2108 et d'une enveloppe de
recouvrement 2109. Le
centre creux est relié à une valve 2102 par un tube qui passe dans la bague de
connexion 2105.
Cette valve se connecte au module BM ou au module Z, donnant accès au
compresseur installé
sur les lieux.
Le module AV contient une poignée 2101 permanente identique au module K et qui
contient les
mêmes composantes en plus d'être connectée aux différents capteurs installés
dans le couteau AV
notamment des capteurs de pression mécanique 2106, des accélérateurs 2107 et
des capteurs de
torsions 2110.
Aussi, le couteau AV, dans une autre réalisation choisie, peut être
indépendant et s'ajouter à la
poignée du module K, à la place de la sphère. Une connexion qui s'insère dans
la prise de série
située dans la poignée du module K.
LE MODULE AX
Le module AX est une masse à longue poignée 2111 contenant une centrale
informatique, san-
gle 2115 et élément de poids compressible 2112 en caoutchouc. La poignée est
d'une longueur
permettant plusieurs prises en mains et de créer différentes résistances. Par
exemple, un utilisa-
teur peut prendre la poignée du bout, ce qui lui demanderait une plus grande
force au niveau des
poignets que s'il prenait la poignée tout juste sous le poids compressible.
Sa constitution contient les mêmes composants 2102, 2103, 2104, 2108, 2109
structurels du mod-
ule AV dans une forme différente.
Le bout de la masse est muni de capteurs de pressions 2114, d'accéléromètres
2113 et de gyromè-
tres 2116.
Cette masse, dans certaines mesures, peut être utilisée comme arme de
simulation de combat.
Évidemment, des procédures sont effectuées afin d'assurer la sécurité dans un
tel conflit vir-
tuel. L'application peut corréler des données telles que la forme physique, le
poids des masses
compressible et la vitesse des mouvements afin de déterminer si deux
utilisateurs risquent de se

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blesser lors d'un tel combat.
Aussi, le système de récepteur et de pastille 2117 peut y être installé.
LE MODULE BE
L'adaptateur d'épée semi-rigide est un système de simulation de combat de
style médiéval,
d'escrimes ou d'art martiaux.
Ce système propose une épée constituée d'une colonne principale 2118, d'une
colonne
d'absorption principale en caoutchouc dense 2119, une colonne de masse
d'arbsoption principale
en gel 2120, une enveloppe de masse un caoutchouc 2121 et une enveloppe finale
2122.
Entre les deux enveloppes, des capteurs de pressions 2124 sont placés sur la
lame de cette épée.
Aussi, le système de récepteur et de pastille peut y être installé.
LE MODULE BG
Les nunchuks rythmiques sont équipés de capteurs de pression 2129 placés sur
les bâtons et de
deux accélérateurs 2130 placés au bout des bâtons reliés à un récepteur de
pastille ou à une cent-
rale informatique.
Chaque bâton est formé d'une base 2125 soutenant une tige rigide 2126 est
entouré d'un tube de
caoutchouc 2127. Cet ensemble est lui-même encapsulé par une coquille
semirigide 2128.
Une chaîne 2131, une bande élastique ou un cordon vient attacher et connecter
les deux bâtons
ensemble. Un câble peut relier les deux éléments du module.
LE MODULE BH
Les principes du couteau ballon AV et du module BG sont utilisés dans des
contractions
représentatives d'armes d'arts martiaux traditionnels 2135.
LE MODULE AO
Une autre structure envisagée est un coussin AO constitué de plusieurs couches
épaisses de
mousse [fig. 221 2201 à mémoire rapide enveloppée de couches de recouvrement
2202 truffées de
capteurs accéléromètres 2203. Elle demande à l'utilisateur de frapper et
d'enfoncer, peu à peu, la
mousse.
Des capteurs de pressions 2204 sont placés sous la couche de recouvrement
finale 2205. Les cap-
teurs sont connectés à une centrale informatique qui les dirige, par fil ou
par onde à une tablette
ou un smartphone.
Ce module demande des actions de force explosive. de grande intensité sur une
courte période de
temps.
Si les coups sont répétés à un même endroit, cet endroit s'enfoncera.
L'utilisateur doit être én-
ergique puisqu'après chaque coup, la mousse veut reprendre sa position.
La masse de mousse peut aussi être d'un seul bloc.
Aussi, il est possible, lors de la construction de placer, a différents
endroits, des sections de
mousse plus résistante que d'autre afin de créer une surface de frappe
variable.
A la fin, la mousse revient à sa position initiale de manière naturelle.
Ce module peut être doté d'un système de pastille de gros volume, mais est
généralement branché
directement dans le mur.
Ce système peut être utilisé dans le cadre d'entrainement de sports de contact
tels le football
américain, le rugby ou le hockey.
LE MODULE AP
Les coussins de frappe minimaux au son des réalisations du module A de la
manière la plus
économique possible. Ils sont généralement de types grand public et leurs
degrés de résistance
sont faibles. Ils sont constitués aussi de sections simples 2206 qui se fixe à
l'arrière, dans un pan-
neau de soutient 2207. L'enveloppe 2208, se fixe en quatre points 2209 dans le
panneau et une
de ces fixations 2211 est munie d'une valve 2210 de type chambre à air de vélo
permettant de

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gonfler l'enveloppe ou les sections.
Chacune des sections est équipée de cette fixation à valve ainsi que d'une
prise de type USB à
quatre pins 2212.qui est reliée, à l'intérieur de la section par des fils, aux
capteurs accéléromè-
tres 2213 et de pression 2214. Aussi, des capteurs de pression 2216 latéraux
peuvent être placés.
Aussi, un capteur de pression pneumatique 2215 peut y être intégré.
Ce système peut-être équipé du système de récepteur et de pastille.
Ce module peut être utilisé modérément et une recompression du module devra
être faite
régulièrement.
Cette recompression peut se faire à l'aide d'une pompe à vélo, tout comme la
compression ini-
tiale.
L'utilisateur se connecte au module avec son smartphone.
Cette version du module est faite pour les congrès à titre de support
publicitaire ou par les par-
ticuliers qui ont un budget limité et veulent faire de l'aérobie avec le
module à la maison.
Ce module n'est pas fait pour être frappé avec force, il n'est donc pas
destiné aux boxeurs.
Le panneau de soutien du module est fixé au mur à l'aide d'un mécanisme de
ventouse, un sys-
tème de crochets et d'anneaux ou une base fixée au mur qui reçoit le panneau.
LE MODULE BT
Une couche (fig. 23) 2301 mince dotée de capteurs de pression mécanique 2302
placée
stratégiquement se colle sur la surface de rebond 2306 d'un panier de
basquetball où une cent-
rale informatique 2303 vient se placer sous la branche 2304 du panier et se
connecte à la couche
mince. Un élastique conducteur 2305 laisse passer le ballon et informe la
centrale informatique
lorsque le ballon passe, ce qui étire l'élastique conducteur, diminuant sa
résistance. Un accéléra-
teur 2307 peut aussi être placé sur le cerceau du panier.
Ce système peut être utilisé pour compter des points, mais aussi pour établir
des statistiques, des
corrélations de mouvements avec d'autres modules et d'autres utilisateurs.
LE MODULE BU [non illustré]
Ce module est semblable en points techniques avec le module BT, mais est sa
technologie est
intégrés à la construction. Aussi, la forme de sa surface de rebondissement,
la hauteur à laquelle il
est placé et le nombre de paniers intégré à une seule installation varient.
LE MODULE AR
La trampoline rythmique est une trampoline dotée de capteurs d'accélérations
2308 placés à dif-
férent endroit sous sa surface permettent de cartographier la position de
l'utilisateur.
Aussi, l'intégration de tissus conducteurs extensible 2309 permet de capturer
des informationde
flexion et d'étirement de la toile. Un micro piézo 2310 peut aussi être fixé
sur la structure 2312 et
connecté à la centrale informatique 2311 du module.
Cette toile peut être adaptée à une trampoline existante de tout format.
LE MODULE V
Le pendentif de frappe V est une poire contenant un pneumatique ifig. 241 2418
doté de capteurs
de mouvement 2401, de pression 2402 qui se connecte à une pastille 2407 placée
sur sa pointe
solide 2417.
Il peut être fixé directement au plafond à un câble 2403, ce qui occasionnera
un grand mouve-
ment de balancier, forçant ainsi l'utilisateur à bouger beaucoup.
Aussi, il peut être placé à la place d'une poire de boxe 2404 sur le système
d'un tel équipement.
Dans un tel cas, il est possible, afin de maximiser la réponse du module de
placer un module G
2405 sur la plaque de rebond 2406 d'un tel équipement et de les synchroniser.
De plus, il peut être placé sur une tige de métal 2408, généralement fixé sur
une base. Cette tige
de métal, d'une certaine souplesse, donnera un mouvement de retour lorsque
ledit coussin est

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frappé.
Et finalement, un système qui ensache permet de fixer ce module à deux bandes
élastiques 2409
qui peuvent être munies, ou non, de bande élastique conductrice qui permette
de calculer la ten-
sion appliquée et le mouvement du coussin dans une telle configuration. Une de
ces bandes se
fixe au plancher, l'autre au plafond à l'aide de socles vissé sur ces
surfaces. Aussi, il est possible
de placer des moteurs dans ces socles de façon à augmenter la résistance ou
déterminer la hauteur
du coussin. De telles bandes élastiques conductrices se connectent au module
ensaché au récep-
teur de pastille.
LE MODULE AH
Un volant de badminton 2410 est équipé d'une centrale informatique minimale,
d'un capteur de
mouvement, d'un piézo et d'une puce REID [non illustré].
LE MODULE Al
Les raquettes, qu'elle soit de tennis, de racquetball, de squash ou d'autres
sports de raquettes sont
construites sous le même principe. Une centrale informatique 2411 est installé
dans la poigné qui
contient des accéléromètres, un microphone piézo et une pile. Cette centrale
est connectée à une
série d'accéléromètres 2414, de gyromètres 2415 et de piézo 2416 placés dans
la raquette.
Une fibre conductrice est intégrée à la fabrication des câbles.
Toutes les informations de mouvements et d'impact sont compilées et envoyées à
l'application.
LE MODULE AK
Le module AK s'insère parfaitement à l'aide de vis et d'écrous de dimensions
adaptés entre
l'essieu et la planche 2412.
Il est de forme rectangulaire et les trous 2413 pour les vis sont configurés
aux standards de
l'industrie des planches à roulettes.
Un micro piézo est installé et capte les vibrations de l'essieu. A l'intérieur
un système de câblage
relie le tout au récepteur de pastilles.
L'utilisateur place les pastilles sur les deux modules AK et synchronise ces
derniers avec son
smartphone et l'application.
Le récepteur de pastille de ce module et le système de caméra possèdent un
système d'absorption
de choc qui réduit les impacts.
Une caméra 2419 peut y être intégrée afin de filmer le point de vue de
l'essieu ou acquérir une
autre source de donnée brute.
Cette caméra peut être choisie en fonction de l'effet désiré, soit de petite
résolution pour la ra-
pidité du système où de grande résolution pour une captation détaillée.
LE MODULE W
Le module W est un module qui transforme n'importe quel mur 'fig. 25i 2501 en
surface de
frappe.
Pour fixer ces modules au mur, il suffit de fixer la base 2502 par des vis.
L'utilisation d'une planche de bois 2509 permet une configuration plus libre.
Derrière chacune
des sections, un beigne 2512 aide à absorber les vibrations.
Ensuite, on insère la base 2503 de la surface de frappe 2504 dans la base du
module, brancher
cette dernière à d'autres avec le module X 2505. Aussi, une connexion en série
peut être faite.
Ce module reçoit les sections du module F dont des trous de vis au niveau du
collet 2510 pour les
vis de fixation 2511 sont faits.
Aussi, il est possible de fournir un coussin de mousse 2506 aux utilisateurs
et un emporte-
pièce 2507 afin que ceux-ci puissent dérouler une couche de protection et
cacher les fils de con-
nexion.
L'emporte-pièce permet une coupe précise aux formes des bases de section. Il
suffit de prendre

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les mesures et marquer la configuration des modules sur le coussin, placer
l'emporte-pièce sur le
coussin et frapper avec un marteau. Une découpe de la forme sera faite dans le
coussin.
LE MODULE X
Le module X est le contrôleur du module W et permet de connecteur 2514
l'application de la
tablette 2515 aux zones de frappe créées par l'assemblage de multiple module
W. Ce module est
constitué d'une centrale informatique branchée dans une prise murale sur
laquelle on connecte
2508 les fils de série 2513 des sections du module W.
LE MODULE AM
E.e système de réadaptation physique sous Ibrme d'appuis telles une marchette
'fig. 26] 2601, des
barres parallèles, etc.
Dans cette réalisation, celle d'une marchette, des roues 2602 à l'avant aident
à faire avancer la
structure et des pattes dotées de crampons 2603, qui immobilisent la structure
au sol lorsque
l'utilisateur prend appuis pour s'avancer. Aussi, un système de freinage 2604
et quatre roues 2605
peuvent équiper la marchette. Des capteurs de pression 2606 sont placés entre
la structure 2607 et
le crampon, et connectés à des fils qui se fixent sur la centrale informatique
2608, situés au centre
de la structure au niveau des hanches de l'utilisateur.
Cette centrale contient des capteurs de mouvements, un piézo et une pile.
Aussi, le système de
récepteur et de pastille peut y être installé. Des capteurs de pression 2609
sur les poignées compi-
lent les données d'appui de l'utilisateur.
Un système de moteur optionnel peut varier dynamiquement la résistance de
chacune des roues.
Ce moteur active un mécanisme de friction sur commande électrique. Ce système
de freinage
automatique peut être activé par solénoïdes.
LES MODULES NON-ILLUSTRES
Ici se trouvent les modules qui n'ayant aucune revendication, mais complète le
système modu-
laire de l'invention son décris afin de placer les éléments dans leurs
contextes.
LE MODULE AN [n'est pas illustré]
Ces modules sont présentés sous la forme de cylindre à bouts arrondis qui
s'insère dans les fentes
en les tubes de réception du module L.
Dans cette réalisation choisie, ils sont de différentes densités, mais leurs
grosseurs restent les
mêmes.
Ils peuvent être constitués de différents matériaux et combinés afin
d'atteindre les cibles précises
de poids. P. ex. 250 g, 500 g, 1 kg. Puisque le cylindre doit avoir un volume
X en tout temps, il
est fort possible que les composantes de lest aient un poids, selon le volume
X. qui n'est pas un
poids cible. Dans ce cas, ledit cylindre est constitué de plusieurs matériaux.
LE MODULE AW
Un casque de protection est adapté au système.
LE MODULE AZ
Un capteur de pouls est placé sur un bracelet et connecté à un récepteur de
pastille. Une pastille y
est insérée et entre en contact avec cette dernière.
LE MODULE BL
ABROGÉ _____
LE MODULE AD/AF [n'est pas illustré]
Le module AD et AF est un système qui s'accroche aux rayons d'un vélo.
Généralement par pastille, ce module est muni d'accélérateur qui calcule la
force centrifuge et la
vitesse de rotation.
Ce système communique avec le smartphone de l'utilisateur.
Aussi, il peut être branché en réseaux via le module ZX I.

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La différence entre AD et AF est la solidité du système de fixation. Le
premier fixe le récepteur
de la pastille de manière permanente et le deuxième est temporaire et peut
être enlevé et fixé à
l'aide du système de fixation.
LE MODULE Y [n'est pas illustré]
Les chargeurs d'équipements permettent de recharger les modules légers dotés
d'un système de
piles tel que les modules G. I, J, K, L, M. N, 0, P, Q, R, S, T, U, V, AA, AB,
AD, AE, AF, AG,
AH, Al, Ai, AK, AL, AM, AV, AW, AX, AY, AZ, BA, BB, BD, BE, BG, BH, BI, BI,
BK.
Ce module prend plusieurs formes qui sont adaptées à l'équipement. Aussi, ce
module peut
prendre la forme d'un support adapté à l'équipement à recharger afin que le
module rechargeable
s'imbrique parfaitement dans le module de recharge. Aussi, ce module permet de
recharger les
pastilles.
Une autre réalisation envisagée du module permet la recharge par induction,
éliminant du coup, le
besoin de connections physique entre le support et les modules à recharger.
Évidemment, dans ce
cas, des éléments permettant la recharge par induction sont intégrés aux
modules rechargeables.
LE MODULE Z (n'est pas illustré'
Le module Z est un support expressément construit pour entreposer et recharger
les éléments du
module K.
Il est stable, solide et se branche à une prise de courant mural. Les poids et
les modules y sont
installés dans des espaces correspondants qui permettent d'avoir une vue
d'ensembles de toutes
les composantes du module K.
Le module Z contient un espace fait pour recevoir un connecteur pour charger
les modules BM.
Ce faisant, il est doté de prise pneumatique.
11 peut être placé au sol ou fixé sur un mur.
Les supports sont fixés sur une grille à fixations rotatives qui permet de
placer l'angle désiré des
récepteurs des modules.
L'ENSEMBLE LOGICIEL [n'est pas illustré]
L'ensemble logiciel contient les modules ZA, ZB, ZC, ZD, ZE, etc. Ce sont les
applications
logicielles qui contrôlent les modules interactifs. Ces modules représentent
les niveaux logiciels
cités au début du présent descriptif.
ZA : le niveau 0 Suprautilisateur.
ZB : le niveau 1 Opérateur
ZC: le niveau 2 UtilisateurPossédant
ZD : le niveau 3 UtilisateurUsager
ZE: le niveau 4 UtilisateurEssayeur
De plus, des applications viennent s'ajouter par le biais d'un sous-système
d'exploitation du
système de l'invention. Ce faisant, il est possible de se procurer, à titre
d'utilisateur, des applica-
tions supplémentaires qui viennent s'intégrer aux modules ZC, ZD et ZE. Ces
modules logiciels
de bases ou supplémentaires peuvent offrir différents contenus.
Il est possible d'interagir avec l'application en activant le capteur d'un
module, via son smart-
phone ou par le biais d'un écran tactile.
Dans ce cas, le module ZG est la porte d'entrée et l'interface générale
permettant d'accéder à ces
modules logiciels complémentaires.
ZF. Mapping des capteurs
Un module permettant de faire un rnapping selon ses préférences des
dispositions des capteurs et
de leurs réactions. Il est possible d'inverser la position relative des
capteurs afin d'avoir à frap-
per le coussin du bas au lieu de celui de haut. L'utilisateur peut
reconfigurer la configuration par
défaut dans les limites imposées par l'opérateur. Cette configuration peut
être enregistrée pour

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une utilisation ultérieure ou remise à la configuration par défaut d'un simple
bouton. Ce module
est accessible via le module ZCi.
ZG. Interface d'accueil
L'interface d'accueil présente en un clin d'oeil les menus, les données
d'entrainements, les objec-
tifs et le niveau de l'utilisateur. Il est possible, pour accéder à ces
données, de devoir inscrire un
mot de passe et un code d'identification.
L'interface se modifie au fur et à mesure que l'utilisateur ajoute de nouveaux
modules logiciels
afin de les rendre accessibles directement ou par sous-menus. P. ex., les jeux
peuvent être re-
groupés dans le sous-menu Jeux de l'interface d'accueil.
ZH. Séquenceur interactif
Le séquenceur interactif est un système d'activation de boucles musicales
préprogrammé. Ces
boucles, dans la réalisation choisie de ce module. ont une durée de 12
mesures.
En effectuant une combinaison de mouvement précis ou en frappant sur les
surfaces de frappes
dans un enchainement déterminé, une des boucles, correspondantes à
l'enchaînement, est activée.
Un utilisateur a la possibilité d'orchestrer, en temps réel, une chanson
instrumentale ou non.
Le nombre de boucles et leurs positions relatives dépendent des arrangements
du compositeur.
Un logiciel est mis à la disposition des artistes électroniques afin de créer
des boucles qui peuvent
êtres utilisé par le système de l'invention.
Il est possible d'associer des combinaisons à des boucles par similarité. P.
ex., une boucle qui
donne la grosse caisse est un mouvement régulier sur une surface de frappe et
un rift de guitare
est une combinaison rapide de petits coups de poing.
Afin d'activer l'une ou l'autre des boucles, des informations de forces, de
durée, de vitesse peu-
vent être corrélées. P. ex. en tapant la même combinaison à différentes
forces, l'utilisateur actif
des pistes audio différentes, mais similaires. P. ex. L'utilisateur entend un
rift de guitare électrique
distortionnée en effectuant une combinaison de manière forte. En effectuant la
même combinai-
son, mais doucement, l'utilisateur entendra un rift de guitare acoustique sous
les mêmes bases
harmoniques.
Aussi, des notes peuvent être assignées à des gestes définis par la structure
du module. P. ex. Le
coussin du centre au niveau des yeux fait sonner la note do lorsqu'il est
frappé. Lever l'haltère
gauche fait sonner la note do.
Aussi un système logiciel peut faire un arpège sur une suite d'accord donné.
L'utilisateur fait
donc la musique en s'entraînant.
Z1. DJ dynamique
Le Di dynamique offre l'occasion à l'utilisateur d'influencer une musique de
sa banque de chan-
son à l'aide de ses mouvements.
Le 1)1 dynamique s'adapte à plusieurs types d'entrainement et intègre la
musique de la banque de
l'utilisateur dans un nombre de routines.
Elle met en relation le tempo, le moment
Une base de données offre des propositions de chansons suggérées par les
internantes et cherche
dans la banque de chanson de l'utilisateur s'il y a similitude. Une fois la
chanson choisie, la rou-
tine l'intègre à l'exercice choisi.
Par le biais de traitement numérique, il est possible d'accélérer ou de
ralentir la cadence globale
de la chanson. Ce procédé est fait, ou non, de manière à garder la tonalité
équivalente (plus lent
ne rend pas plus grave).
Lors de séances avec Di dynamique, il est possible d'entendre le clic
principal qui indique le
tempo. On peut activer ce clic avec chacun des modules à l'aide d'une
combinaison précise et le
fermer à l'aide de la même combinaison (un bref mouvement clair).

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La fixation du rythme du clic en pulsation par minute peut être établis par un
système logiciel qui
analyse la piste audio, par tapement successif à l'écoute, par référence dans
une base de données
externe ou par inscription manuelle, à l'aide d'un clavier numérique virtuel,
sur le smartphone ou
la tablette.
Plusieurs modes d'interactions sont possibles.
11 est possible de ralentir ou d'accélérer la musique si l'utilisateur bouge
en dehors des normes
établies par une routine. S'il ne bouge pas assez un module, si l'intensité de
ses mouvements
diminue, la musique ralentira jusqu'au moment, où, alerté par cette baisse de
rythme, l'utilisateur
accélérera la cadence. Une fois de retour dans la norme imposée, la musique
reprend sont rythme
en synchronisation avec le clic principal. Cette dernière transition peut être
faite par un accéléré.
Dans cette configuration, le rythme est une indication de soutien de
l'intérêt. Il n'est pas néces-
saire d'être totalement précis lors de l'exécution des routines, le critère
principal généralement
utilisé comme facteur de maintien du tempo est l'intensité de l'entraînement.
Dans ce cas, de
petits gestes faiblement exécutés sur chacun des temps ralentiront la musique
plus qu'une exécu-
tion énergique en syncope.
Il est possible d'avoir à faire une combinaison spécifique en gardant le
rythme afin que la mu-
sique garde sa cadence. Ces exercices s'apparentent à un kata et sont faits
par des passionnés.
Dans le cas où l'utilisateur fait la combinaison de manière régulière et
précise, la musique est
inaltérée ou améliorée par compression, égalisation ou autre procédé
d'amélioration de fichiers
audios. P. ex., un effet de hall (échos) vient créer une résonnance
progressive de la chanson à la
toute fin afin de souligner le caractère spécial de sa parfaite exécution.
Dans le cas où la combinaison est régulière, mais non précise (mauvaise zone
de frappe ou
mauvais gestes), la musique garde son rythme, mais un son de grincement, de
rétroaction ou tout
autre bruit distinctif indique à l'utilisateur que sa combinaison de zone de
frappe est erronée ou
que la courbe de mouvement de l'haltère est précipitée, selon le module
activé.
Ces dernières configurations utilisent généralement la banque de chanson de
l'utilisateur à travers
un lecteur virtuel branché au système de l'invention.
Si cette même combinaison de mouvement est exacte, mais mal rythmée, le rythme
de la musique
sera modifié afin de confondre l'utilisateur.
ZJ. Programmes d'entrainement
Les programmes d'entraînements sont l'occasion pour l'utilisateur d'avoir un
programme pré-
cis en fonction de ses objectifs. En établissant par exploration virtuelle, à
l'aide du réseau de
l'opérateur, la liste des équipements disponibles, les programmes
d'entraînements utilisent au
maximum ces équipements afin de réaliser les objectifs d'entrainement de
l'utilisateur en con-
struisant la séance avec les modules disponibles dans les prémices.
Aussi, il est possible pour l'utilisateur de changer des paramètres tels que
la durée et l'intensité de
chacun des entrainements ou de ses parties de manière précise (en changeant la
durée seulement)
ou globalement (en augmentant de 10 % tous les paramètres). Les programmes
d'entraînements
sont constitués d'une série de blocs de routines d'entrainement.
Les programmes d'entraînement tiennent en comptes les équipements disponibles
dans les
prémices de l'opérateur. Les programmes d'entraînement peuvent changer une
routine si
l'équipement nécessaire est pris par un autre usager. Il s'adapte afin que les
séances des usagers
soient maximisées et de réduire les temps d'attente des usagers.
Les programmes d'entraînements peuvent être suivis de manière individuelle ou
en groupes. Avec
la plupart des modules légers, il est possible de faire des séances d'aérobies
collectives où la vie
de chacun dépend de l'effort de tous.
ZK. Routines d'entrainement.

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1...es routines d'entrainements forment les programmes d'entrainement
généraux. Selon la condi-
tion physique de l'utilisateur, le module propose différentes routines dans
différentes catégories
d'objectifs d'entraînement.
Dans ce module, il est possible d'accéder directement à des routines précises
afin d'améliorer ses
perfbrmances ou de pratiquer une routine en débord d'une séance complète
d'entrainement.
ZL. Motivateur virtuel
Le motivateur virtuel est un système qui comprend une base de données afin
d'exprimer, de
manière colorée ou réservée, selon le choix de l'utilisateur, des messages
motivants. Non seule-
ment ces messages s'affichent pendant l'entrainement, ils peuvent s'afficher
la boite courriel
de l'utilisateur à tout moment afin de lui rappeler ses progrès et ainsi,
l'encourager à revenir et
continuer. Cette base de données est mises à jour constamment par les
suggestions choisies des
internantes.
Le motivateur virtuel offre aussi un jeu qui permet de fracasser un
qualificatif négatif pour laisser
apparaître un qualificatif positif. P. ex., ce jeu peut enchainer PARRESSEUX-
ACTIF, DISSIPPÉ-
DÉTERMINÉ, MALADE-SUPER FORME, etc.
ZM. Jeux de combat
Des jeux de combats permettent à plusieurs adversaires de s'affronter à l'aide
d'avatars dans des
paysages virtuels. Dépendant des modules utilisés, des possibilités de
contrôles globales des ava-
tars varient et s'adaptent.
Bien sûr, les jeux de combats acceptent la majorité des modules interactifs
pour contrôler l'avatar.
Aussi, ce contrôle est limité par les capteurs de chacun des modules ou
d'ensemble de modules
choisis. Ainsi, un utilisateur peut contrôler l'ensemble des mouvements de
l'avatar à l'aide du
module A. cependant, le module K donnera la possibilité d'avancer, de reculer
et de frapper
seulement. Un système d'équivalence permet d'utiliser à peu près n'importe
quels modules inter-
actifs comme contrôleur de jeux. Bien sûr, pour l'un et pour l'autre joueur,
ce sera l'intensité de
leurs entraînements qui déterminera le vainqueur.
Ces jeux de combats, dans la configuration réaliste, sont influencés avec les
données statistiques
et l'état de santé actuel de l'utilisateur. Cet état de santé est calculé par
le module ZW.
Cet état est comparé si deux joueurs de forme physique différente. P. ex. un
enfant contre son
père.
Un autre jeu de combat de type roche papier ciseaux offre une variante
intéressante. Le joueur
en affronte un autre via le module ZX. Trois gestes ou trois combinaisons
représentent les trois
options. Des rapports de force avec la même logique circulaire (1> 2 > 3> 1)
sont établis en trois
sous-groupes qui peuvent être identifiés par des nombres, des noms d'éléments
(C, Au, F, etc.),
des créatures ou toute autre allégorie en relation avec le cadre et les
préférences de l'interface.
Ici, dans la réalisation choisie, il y a le côté noir, le côté blanc et le
côté coloré. Des gestes, com-
binaisons et routines sont classés en noir, blanc ou rouge. Le but de
l'utilisateur est d'effectuer
une routine choisie dans l'une de ses couleurs de façon à contrer celle
choisie par son adversaire.
L'exécution de l'exercice, en fonction de son niveau, sera représentée par
l'avatar à l'écran, en
dégâts donnés à l'adversaire.
Les dégâts sont définis en mettant en relation le niveau de la routine, le
niveau de l'utilisateur
et la qualité de l'exécution. En prenant le total de ces ratios, un nombre de
points de dégâts est
établi.
Ce dégât est ensuite ajusté selon un ratio de rapport de force imposé par le
choix de vos couleurs.
N bat B, qui bat R. qui bat N
lorsque deux couleurs sont identiques, le rapport est de 1 : 1 dans
l'application du dégât est ef-
fectué.

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Lorsque deux couleurs sont différentes. Le rapport de force donne 10 % de
variances en avan-
tage à la couleur la plus forte et une variance négative de 10 % du total de
chacun des points de
dégâts. En résumé, dans cette réalisation, le rapport est de 110X/I00 :
90Y/100.
C'est donc dire qu'un utilisateur qui exécute sa routine choisie à 70 A) de
l'intensité choisie aura
un dégât de 70. Son adversaire, plus dégourdi, utilise 80 % de son potentiel,
crée 80 points de
dégâts. L'utilisateur a choisi sa routine dans le blanc et l'adversaire dans
le noir. L'adversaire
étant vainqueur, une ration de 110% est appliquée, lui donnant un dégât
général de 88.
L'utilisateur, le perdant se retrouvent avec une perte de 10 % du 70 de dégâts
à 63.
Cette fourchette de ratio de pourcentage peut être modifiée afin d'augmenter
les écarts et ce t'ai-
sain, le défi.
Ce combat de routines petit être joué seul, contre-soi ou avec d'autres
joueurs, avec un seul
équipement ou plusieurs, simultanément ou à tours de rôles.
ZN. Jeux du mur
Le jeu du mur permet d'utiliser un mur standard comme surface de frappe. En
gros, l'utilisateur'
doit détruire un mur virtuel. En activant les capteurs des modules ou en
frappant ce dernier avec
des modules conçus à cet effet, il met les briques en pièces. La force
appliquée par chaque coup
est calculée et enlevée aux points de vie du mur. Une fois ces points de vies
écoulés, le mur est
détruit.
Un autre jeu de mur propose à deux utilisateurs de combattre avec des
conditions de temps, de
quantité de dégât relative.
ZO. Jeux de répétitions
De courtes routines exercent la mémoire musculaire de l'usager. Présentées sur
un écran de
référence, ces routines demandent à l'usager de refaire les actions présentées
par un avatar, dans
un monde virtuel. Les équipements utilisés par l'utilisateur sont représentés
virtuellement
Un de ces jeux de répétitions, afin de soutenir l'attention de l'utilisateur,
propose de sauver un
avatar en danger. Le joueur devra soutenir une intensité d'entrainement afin
de sauver la pauvre
victime d'une situation dangereuse. Ces scénarios sont multiples et sont
relatifs à l'exercice. P.
ex. Le joueur doit soutenir un haltère devant lui à la hauteur de ses épaules
pendant une longue
durée. A l'écran, le héros tient le parechoc d'un train qui ne peut
s'arrêter... L'utilisateur ne doit
pas baisser les bras, il est le dernier espoir de tous.
ZR Jeux de casse-têtes et jeu-questionnaire
Des jeux de paterns, d'assemblage et de logique offrent des occasions de
calcul mental mêlé à
la musculation. P. ex. Des additions représentent le nombre de répétitions à
effectuer avec ces
haltères. Faites les bonds, et vous en serez quitte, faite en moins et vous
serez puits par des répéti-
tions supplémentaires.
Aussi des quiz proposent des jeux de choix de réponses particuliers. Une bonne
réponse donne
droits à une routine légère tandis qu'une mauvaise vous punit avec une routine
exigeante.
ZQ. Jeux de stabilité
Des jeux utilisent les caractéristiques d'extension de certains modules afin
de créer des jeux où
la résistance est mise en avant-plan. La torsion, la compression ou
l'élongation de tels modules
sont le but de ses jeux. R ex. avec le mur du module E se rétracte et
l'utilisateur doit pousser sur
le mur élastique et rester droit. Une modulation, rapide ou lente, de la
résistance peut être fait de
façon à ce que l'utilisateur doit calibrer sa résistance pour garder son
équilibre en fonction des
tensions présentées.
ZR. Jeux de force brute
Les jeux de forces brutes utilisent les poids de classe culturiste afin de
donner des jeux de levées
chronométrés et enregistrer.

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ZS. Jeux de chorégraphies
Des jeux impliquant la répétition de gestes court et successif avec une
présentation, geste par
geste, en temps réel. de la chorégraphie.
Ce module de chorégraphie utilise au maximum le module ZX2.
Évidemment, des jeux de danse virtuelle s'indiquent naturellement dans ce
module.
Un professeur de danse virtuel fait découvrir à l'utilisateur des pas de
danse. Dans différents
styles, l'utilisateur est jugé et des recommandations ainsi que des
répétitions de mouvements sont
prescrites afin d'améliorer constamment son style.
Aussi, un jeu offre à l'utilisateur de voler. Il offre des scénarios où une
créature volante doit sau-
ver sa peau. Fait expressément pour les modules K. il peut être adapté à
d'autres. En en corréla-
tion avec les mouvements des bras, l'utilisateur devra contrôler un avion, un
dragon ou un oiseau.
Dans cet exemple, l'utilisateur utilise les gants du module L et le module AN,
des surcharges
adaptables. L'utilisateur doit battre des ailes et maintiendra ses bras à un
niveau suffisamment
élevé avec une charge de 2 kg dans chaque main. Est-ce qu'il sera capable de
voler jusqu'à
l'île pour s'y poser ou se noiera-t-il dans le vaste océan?
ZT. Jeux d'endurances
Des jeux d'endurances plongent l'utilisateur dans une série d'exercices
représentée de manière
métaphorique. P. ex. un utilisateur qui doit faire 30 répétitions d'une levée
de ses haltères et voit
son avatar lever une chaudière d'un puits profond. A la fin des 30
répétitions, l'utilisateur aura
droit à une pause d'eau.
Une autre situation peut être un superhéros qui doit maintenir un avion dans
les airs en levant des
haltères lourd.
Aussi lors des séances d'aérobie en groupes, vous êtes un canon et vous devez,
avec vos haltères,
lever et baisser les bras afin de recharger et tirer du canon afin de défendre
la ville.
Aussi, un jeu collectif avec la balle, prend en avantage, le besoin de
proximité des accessoires
Bluetooth.
Ce jeu de patate chaude force les joueurs à courir dans un grand espace pour
se lancer une bombe
à tour de rôle. Un temps limite force le joueur avec la balle, à s'en
débarrasser au plus vite avant
qu'elle n'explose. Il devra la lancer en direction d'un autre joueur. Si le
joueur l'attrape, il sera
dans la même position, s'il ne l'attrape pas, elle explose, virtuellement, sur
le sol. Le joueur sera
blessé en fonction de la force du signal Bluetooth au moment de l'impact.
Et selon les règles et l'ordre des dégâts reçus par l'avatar, le joueur au
plus haut dégât doit repren-
dre la balle.
Les limites d'un tel jeu sont situées dans l'espace réel et s'adaptent à celle-
ci. Ce jeu peut être
joué dans une cour d'école, un terrain de jeu, un parc, un stationnement.
Si le joueur lance la balle dans une zone où ne se trouve aucun joueur, donc
aucun signal Blue-
tooth, il subira les dommages.
Dans ce jeu d'endurance, les joueurs peuvent reprendre des points de vie en
courant vite ou en
effectuant de courtes routines.
ZU. Jeux de souplesses
Des jeux de souplesses, en corrélation avec les attributs des modules
utilisés, sont offerts aux
joueurs par le biais de chorégraphies fluides et contrôlés, à mouvements de
pleine extension du
corps. Ces jeux s'apparentent fortement à des séances de yoga ou de Pilates.
Il est possible d'intégrer les mouvements de telles disciplines dans les
chorégraphies préprogram-
més. Aussi des routines de ballets pourraient être exécutées avec les modules
0, Q et L et cette
application.
ZV. Programmeur de séances

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Ce module permet de créer des routines d'entrainement à l'aide plusieurs
systèmes de création.
Pour créer des séances d'entrainement, le logiciel sous-divise la séance
d'entrainement en par-
tie. Dans l'ordre du petit au grand : le geste la combinaison; la routine; le
bloc et finalement la
séance d'entraînement.
En utilisant ces sous-sections et en les assemblant selon ses désirs, il est
possible de créer des
routines totalement personnalisées.
L'interface permet un assemblage aisé de ces éléments dans un système de bloc
s'intégrant les
uns dans les autres.
Aussi, des gestes peuvent être créés par l'utilisateur. Un système
d'enregistrement de mouve-
ment capte un geste de l'utilisateur pendant une période donnée. Le mouvement
est ensuite ajusté
et enregistré comme un geste. Ce geste peut être nommé et classé dans la
banque de geste de
l'utilisateur.
Aussi, une autre manière de créer des gestes est d'utiliser un pantin virtuel,
placé dans un gym
virtuel, afin de créer des gestes. En programmant la position successive des
membres du pantin et
des modules dans le temps, il est possible de créer des gestes. Ces gestes
sont enregistrés dans la
banque de gestes.
Une simulation peut présenter dans un environnement virtuel, le résultat de ce
programme
d'entraînement personnalisé dans une séquence vidéo. Cette séquence vidéo peut
être accélérée
de manière à avoir une vue d'ensemble du programme d'entrainement ainsi créé.
Des informa-
tions supplémentaires extrapolées peuvent être affichées à l'écran. Ces
informations peuvent être
le rythme cardiaque théorique, l'énergie dépensée, l'énergie produite, etc.
Une fois une routine d'entrainement créé, elle peut-être sauvegardée afin
d'être utilisé ultérieure-
ment ou partagé via le web.
Cette routine peut aussi être modifiée par la suite si l'auteur de ladite
routine le permet.
De plus lors de cette analyse virtuelle du programme d'entrainernents, il est
possible d'évaluer, en
fonction du niveau de santé de l'utilisateur si cette routine ne présente pas
de risques et émet une
indicatrice de niveau requis de formes physiques de l'utilisateur.
Aussi, après l'enregistrement d'un geste, une analyse logicielle met en
corrélation les charges et
les mouvements du geste avec les muscles utilisés. Des métadonnées peuvent
être inscrites afin
de décrire le résultat musculaire du geste. Ex. Exercice qui active les
deltoïdes. Selon les poids, la
durée et l'intensité du geste, il pourra être intégré à un programme
d'entrainement par un utilisa-
teur qui désire développer ses deltoïdes.
Z W. Analyste des données d'entrainement
Des fenêtres présentent agréablement l'ensemble des données statistiques
recueillies par
l'application. L'utilisateur peut naviguer et effectuer des recherches
spécifiques sur des
critères de recherches permis par l'ensemble de telle statistique. P. ex. les
dix derniers rapports
d'entrainements, la moyenne de ceux-ci, les prévisions de progressions, etc.
Ce module intègre aussi un outil de classification universelle qui présente,
sous la forme de
graphiques et de classes d'attribut, le portrait d'un avatar virtuel en
fonction des données
d'entrainement. Aussi il corrèle ses données afin de voir. C'est une manière
d'avoir en un clin
d'oeil son état de forme physique actuel et de le partager. R ex. Lors de sa
première séance, à
la suite des exercices d'évaluations, un utilisateur a choisi comme avatar un
cheval qui s'est
représenté sous la forme d'un âne puisque les statistiques initiales de
l'évaluation étaient faibles.
Cependant, au cours des mois qui ont suivi l'entraînement, l'utilisateur s'est
amélioré à bien des
niveaux et l'âne s'est peu à peu transformé en cheval de course musclé et
agile. Bien sûr, dans le
même ordre d'idées, l'utilisateur peut changer d'avatar qui peut être un chien
(un chihuahua devi-
ent un rottweiller), un dragon (un bébé dragon devient un dragon rouge), un
poison (une sardine

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devient un requin blanc), etc.
La transformation de l'avatar est hors de contrôle de l'utilisateur et est
faite en corrélant les don-
nées d'entrainement afin de déterminer les niveaux atteints dans chacune des
classes d'attribut de
l'avatar.
Ces attributs sont, dans la réalisation choisie de ce module logiciel,
constitués de :
1. l'endurance;
2. la force;
3. la souplesse,
4. la précision:
5. la rapidité.
Après avoir analysé les données desdits entraînements selon une procédure,
dans ce cas-ci, sur
un ensemble de 25 séances. l'application dicte les niveaux de chacun des
attributs sous forme de
pointages, qui peuvent être en pourcentages ou non.
A l'aide de ce graphique, les avatars, faits à cet effet, se modifient en
relation des niveaux
d'attribut atteint et maintenu par l'usager. L'absence prolongée du gym
activera une modification
négative relative de ce graphique, de ces données et par le fait même, de
l'apparence générale de
l'avatar.
Une possibilité est de calculer chaque quatre jours d'inactivité comme un zéro
et utilise les 24
dernières séances et ajoute un zéro pour la vingt-cinquième, réduisant
inévitablement la moyenne
globale de 4 %.
Ce système de moyenne et de relative apparence de l'avatar est fait de façon à
sensibiliser
l'utilisateur à la relation entre la fréquence de ses entraînements et son
apparence personnelle.
Un utilisateur qui favorise les exercices de puissances brutes augmentera ses
performances dans
la force et une femme qui fait des exercices de précision avec des poids
légers aura une silhouette
élancée et souple. En conséquence, même s'ils ont choisi un type d'avatar
similaire, dans ce cas,
encore l'exemple du cheval.
Le premier est un cheval musclé, large et massif qui représente un cheval de
travail tandis que
la deuxième est un cheval élancé, rapide et agile tels les chevaux arabes. Le
point à retenir est
que les avatars sont préprogrammés de façon à changer l'apparence en relation
avec les données
d'attributs.
A titre d'exemple, l'endurance peut être représentée par la posture du
personnage, la force par
la grosseur de ses muscles, la souplesse par une élongation globale de
l'avatar, la précision par
l'intensité du regard et la rapidité par le mouvement relatif des accessoires
de l'avatar tels les
vêtements, des colliers, des harnais ou même son poil. dans le cas du cheval,
sa crinière.
Ce résultat est mis à jour, via le web, si l'utilisateur le désire et ce
résultat agit sur l'icône person-
nelle représentative du réseau social interne du système de l'invention.
L'utilisateur peut présent-
er sur ses réseaux sociaux préférés cette icône représentative en créant un
lien ou l'intégrant à sa
page personnelle desdits réseaux.
Un ensemble d'options permet ensuite de partager, sur ces réseaux sociaux,
d'autres événements
tels que les statistiques dès ses entraînements ou ses réalisations
exceptionnelles. P. ex. le passage
à un autre niveau, la réussite d'une routine parfaite, etc.
Le module ZW contient un système qui corrèle la forme physique et les
équipements utilisés afin
que ceux-ci soient faits en minimisant les blessures. Ce module d'analyse de
base est utilisé cons-
tamment afin d'avertir l'usager s'il est trop ambitieux.
ZXl . Module de connexion MMO
Le module de connexion MMO est un ensemble de solutions logiciels qui
permettent la synchro-
nisation d'une utilisation mufti-usager. Elle détermine des stratégies de
compensations dans des

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cas ou une grande distance et le débit des communications empêche une réponse
dans les zones
de tolérances fixées. Une latence supérieure à 5 millisecondes enclenche la
stratégie de compen-
sation qui régularisera la situation.
ZX2. Module d'analyse combinatoire
Ce module logiciel est un algorithme de données ayant pour but, en fonction
des éléments
d'analyse, de situer l'utilisateur dans l'espace et de créer une silhouette
virtuelle, représentant ce
dernier. Cette silhouette peut varier en précision selon le nombre et les
fonctions des modules.
Cette silhouette finale est souvent utilisée par les modules logiciels
interactifs à titre de contrô-
leur.
Cette analyse combinatoire prend en considération l'ensemble des données
brutes des capteurs et,
selon leurs pertinences, permet de situer l'utilisateur dans l'espace.
Il est aussi évident que plus de modules sont pris en comptes, plus la
précision du module ZX2
augmente.
Des procédures de calibrations à multiple capteur sont constamment actives
pour augmenter la
précision aussi, un système informatique peut relativiser cette silhouette en
fonction des limites
physiques de l'utilisateur.
P. ex., un utilisateur est incapable de toucher ses orteils, mais lorsqu'il va
à la limite actuelle de sa
souplesse, la silhouette touchera, elle, ses orteils.
ZX3. Module d'équivalence
Le module d'équivalence est une grille qui représente l'ensemble des modules
et qui offre des
solutions d'équivalence entre les possibilités de captures et l'interaction
voulue.
Les modules logiciels tentent par tous les moyens possibles de créer des
équivalences entre les
modules selon le type de routines d'entraînement désiré.
C'est le dernier recours lorsque la disponibilité des équipements est limitée.
Aussi, ce module permet à deux utilisateurs d'utiliser deux modules différents
en jouant aux
mêmes jeux. P. ex. Une utilisatrice choisie le mode cardio avec un module A et
s'entraine, dans
un jeu de combat avec sa soeur, qui tient, dans ses mains, la version la plus
légère du module K.
même si elles sont sur deux modules différents, ils devront performer au
meilleur de leurs capac-
ités, l'une en frappant doucement sur les coussins et l'autre avec ces petits
haltères.
ZY. Module de connexion social
Ce module logiciel permet de partager, facilement avec ses réseaux sociaux,
ses performances,
des routines, des clips vidéos et des clips virtuels de ses performances.
Il possible d'initialiser ce module en insérant ses informations de connexion
sur les réseaux so-
ciaux qui synchroniseront ces données, de manière automatique, selon les
préférences de l'usager.
.ZZ. Logiciel de maintenance et D'opération.
Le logiciel de maintenance et d'opération contient une table de contrôle qui
permet de modifier
les paramètres opérateurs d'un module de l'invention. Il permet un accès
complet au module et
à ses composantes. Il peut activer des routines diagnostiques afin d'évaluer
l'intégrité du module
et de ses composantes. Ce logiciel donne un accès quasi illimité et permet
d'ajuster les limites
sécuritaires d'utilisation des modules en fonction des moeurs et tempéraments
de sa clientèle afin
de protéger l'équipement.
Ce module logiciel est généralement utilisé avec les modules lourds bien que
certains modules
Léger peuvent être calibrés ainsi.
Z-SDK Logiciel de développement
Le logiciel de développement pour les développeurs logiciels. Ce programme
permet de coder
rapidement avec les blocs de programmation relative à chacun des composantes
de l'invention
disponibles aux programmeurs.

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Aussi, une interface graphique qui représente la banque totale modules et
composantes de
l'invention permet de placer, dans un espace virtuel, ces composantes et de
programmer leurs
mouvements, sous le même système de pantin virtuel précédemment cité, afin de
déterminer la
commande correspondante à l'interaction désirant être programmé.
Ce module est mis à la disposition des programmeurs.
Il permet aussi, dans une autre fenêtre, d'avoir une simulation complète de
l'application comme
elle serait vue par un usager.
Aussi, dans l'espace virtuel d'essais, la gravité est prise en compte. Tous
les modules ont leurs
propriétés de poids, de compressions et de prise en mains. Évidemment, la
dureté des matériaux
est prise en compte.
Aussi. mis à la disposition des programmeurs, des utilisateurs virtuels variés
couvrant la palette
des niveaux de formes physiques. Ils auront accès à différents modèles qui
aiderons à déterminer
les limites sécuritaires des équipements en fonction de leur musculature,
masse osseuse, forme
générale, âge, vo2max, rythme cardiaque, etc.

Representative Drawing
A single figure which represents the drawing illustrating the invention.
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Application Not Reinstated by Deadline 2016-10-26
Deemed Abandoned - Failure to Respond to Maintenance Fee Notice 2015-10-26
Inactive: Correspondence - MF 2014-10-27
Maintenance Request Received 2014-10-24
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Application Published (Open to Public Inspection) 2014-04-26
Amendment Received - Voluntary Amendment 2013-10-25
Amendment Received - Voluntary Amendment 2013-10-25
Amendment Received - Voluntary Amendment 2013-10-25
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Inactive: IPC assigned 2013-02-04
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Inactive: Office letter 2012-12-11
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Application Received - Regular National 2012-12-11
Small Entity Declaration Determined Compliant 2012-10-26

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2015-10-26

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  • the late payment fee; or
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Patent fees are adjusted on the 1st of January every year. The amounts above are the current amounts if received by December 31 of the current year.
Please refer to the CIPO Patent Fees web page to see all current fee amounts.

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Document
Description 
Date
(yyyy-mm-dd) 
Number of pages   Size of Image (KB) 
Description 2012-10-25 50 3,675
Drawings 2012-10-25 25 742
Claims 2012-10-25 9 545
Abstract 2012-10-25 1 27
Representative drawing 2014-04-01 1 11
Filing Certificate (French) 2012-12-10 1 167
Notice: Maintenance Fee Reminder 2014-07-28 1 120
Notice: Maintenance Fee Reminder 2015-07-27 1 119
Courtesy - Abandonment Letter (Maintenance Fee) 2015-12-08 1 172
Second Notice: Maintenance Fee Reminder 2016-04-26 1 127
Notice: Maintenance Fee Reminder 2016-07-26 1 120
Correspondence 2012-12-10 1 21
Correspondence 2012-12-10 2 45
Fees 2014-10-23 1 22
Correspondence 2014-10-26 3 88