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WO 2014/135775
PCT/FR2014/050450
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DISPOSITIF D'ASPIRATEUR CONÇU APTE A L'ASPIRATION D'AIR ET DE
LIQUIDE SUR UNE SURFACE PLANE, ET LAME DE RACLAGE POUR UN TEL
DISPOSITIF.
La présente invention a pour objet un dispositif
d'aspirateur, conçu apte à l'aspiration d'air et de liquide sur
une surface plane, et plus particulièrement partie active dudit
dispositif d'aspirateur, destinée à être déplacée sur ladite
surface.
La présente invention concerne plus particulièrement le
domaine des raclettes de nettoyage de surfaces planes telles que
des surfaces vitrées, utilisant l'aspiration pour éliminer l'eau
résiduelles de nettoyage.
La présente invention n'est toutefois pas limitée à cet
usage et peut très bien être appliquée au nettoyage d'autres
surfaces que des surfaces vitrées.
D'autre part, la partie active du dispositif d'aspirateur
selon l'invention, peut être associée sur ledit dispositif à des
moyens annexes de traitement de la surface à nettoyer, que ce
soit des moyens de nettoyage comme une lingette par exemple,
et/ou de moyens de projection de liquide de nettoyage ou de
vapeur.
Ces raclettes comportent généralement une lame de raclage
souple, associée à un moyen d'aspiration actif au niveau du bord
inférieur de ladite lame. On connaît déjà de tels appareils de
nettoyage, et notamment ceux décrits dans le W02010018312 par
exemple, ou le document W02009086891.
L'aspiration peut être réalisée de différentes manières
comme par exemple entre deux lames formant une embouchure
d'aspiration, ou bien au travers d'une lingette textile disposée
sous une lame de raclage et dans laquelle est recueillie l'eau
résiduelle.
L'opération de raclage consiste à déplacer la raclette
sur la surface plane dans une succession de mouvements plus ou
moins rectilignes, de préférence du haut vers le bas lorsque
ladite surface est verticale. Quel que soit l'appareil
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considéré, l'utilisateur est toujours confronté au même problème
la subsistance d'une marque d'eau résiduelle à l'extrémité de la
trajectoire de la raclette. Ceci est essentiellement dû au fait
que l'angle que forme la lame de raclage avec la surface plane
n'est pas constant mais qu'il augmente, et que de ce fait
l'embouchure par laquelle l'aspiration est réalisée n'est pas de
forme optimale.
Ainsi, comme cela est visible sur la figure 1 annexée,
dans le cas d'une embouchure A faite de deux lames B et C
formant entre elles un angle pour se rejoindre sur une ligne de
contact avec la surface S à traiter, la déformation des lames B
et C lors de leur application contre ladite surface S provoque
le retrait de la lame B en regard de la surface S, par rapport à
l'autre lame C, et cet écart va générer en bout de trajectoire
un léger filet d'eau F qui ne sera pas aspiré. Plus la pression
sera importante, plus la déformation le sera et plus le filet
d'eau le sera également.
D'autre part, lors de l'application contre la surface à
traiter, les deux lames B et C se déforment et se rapprochent ce
qui restreint les capacités d'aspiration, et ce qui nécessite de
créer sur le bord de la lame qui entre en contact en premier
avec le liquide résiduel, des crans, non représentés, autorisant
le passage dudit liquide.
Par ailleurs, dans le cas de deux lames, on observe une
perte d'aspiration aux extrémités de l'espace qui sépare les
deux lames.
De même, dans le cas d'une lingette de recueil de liquide
résiduel, lorsqu'en fin de trajectoire on décolle l'appareil de
la paroi plane, la lingette laisse une trace même minime, et
malgré la réalisation d'une aspiration au travers de celle-ci.
On connaît également des raclettes qui comportent une
seule lame percés de canaux qui débouchent en arrière de l'arête
de raclage, et qui sont destinés à l'évacuation de l'eau sous
l'effet d'une dépression. Une telle raclette est décrite dans le
document EP 0 422 977, où les canaux sont prolongés par des
tuyaux. L'inconvénient de ce type de raclette, outre le fait que
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les canaux peuvent aisément s'encrasser, est que par effet de
capillarité, l'eau a tendance à s'agripper aux parois des
canaux, en sorte de nécessiter une forte dépression, et donc une
motorisation plus importante avec toutes les conséquences liées
à cela, à savoir plus forte consommation, poids plus important
etc _
La présente invention a pour but de remédier aux divers
inconvénients précités, en proposant un dispositif d'aspirateur
permettant de nettoyer une surface plane en laissant le moins de
traces possible, quel que soit le sens dans lequel le mouvement
est donné.
Le dispositif d'aspirateur, selon l'invention, conçu apte
à l'aspiration d'air et de liquide sur une surface plane, et
plus particulièrement la partie active de type lame de raclage
destinée à être déplacée sur ladite surface, se caractérise en
ce que ladite partie active se présente sous la forme d'une
seule lame, réalisée dans un matériau souple ou semi rigide,
destinée à être déplacée dans un sens contre ladite surface
plane, et qui comporte une cavité interne connectée à un moyen
de réalisation de ladite aspiration d'air et de liquide, et
délimitée, au niveau de la partie distale de ladite lame, en
arrière de l'arête destinée à être déplacée sur ladite surface,
par deux parois faisant entre elles un angle et qui se
rejoignent au niveau de ladite arête, la paroi destinée à être
présentée en premier vers ladite surface à racler lors d'une
opération de raclage, présentant, le long et à proximité de
ladite arête, une multiplicité de trous qui débouchent dans
ladite cavité.
La présente invention a également pour objet un
dispositif d'aspirateur, selon l'invention, conçu apte à
l'aspiration d'air et de liquide sur une surface plane, et plus
particulièrement la partie active de type lame de raclage
destinée à être déplacée sur ladite surface, qui se caractérise
en ce que ladite partie active se présente sous la forme de deux
lames réalisées dans un matériau souple ou semi rigide,
disposées en sorte faire entre elles un angle et se rejoindre
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selon une arête au niveau de laquelle elles sont solidarisées
par collage, soudage ou autre, pour ne former qu'une seule lame
destinée à être déplacée dans un sens contre ladite surface
plane, et en ce qu'elle comporte une cavité interne issue du
positionnement en angle et de la solidarisation d'une desdites
deux lames l'une par rapport à l'autre, ladite cavité étant
connectée à un moyen de réalisation de ladite aspiration d'air
et de liquide, et en ce que la lame, de l'une desdites deux
lames, destinée à être présentée en premier vers ladite surface
à racler lors d'une opération de raclage, présente, le long et à
proximité de ladite arête, une multiplicité de trous qui
débouchent dans ladite cavité.
Selon une variante, quel que soit le mode de réalisation
considéré, la partie active de type lame de raclage comporte,
sur chacune des deux lames ou parois, de part et d'autre et à
proximité de l'arête, une multiplicité de trous qui débouchent
dans la cavité.
Une telle variante permet et racler et d'aspirer lors
d'un raclage effectué dans les deux sens de déplacement de la
partie active sur la surface à racler.
Quel que soit le mode de réalisation, la lame de raclage
ne comporte pas de canaux ou tubes susceptibles de se boucher ou
de limiter les capacités d'aspiration.
Selon une caractéristique additionnelle du dispositif
d'aspirateur selon l'invention, les trous présentent chacun du
côté extérieur un chanfrein.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, la cavité est munie
de moyens de renfort qui s'étendent entre les deux parois ou
lames, garantissant son non écrasement.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, les moyens de renfort
consistent en des éléments rapportés, engagés entre les deux
parois ou lames.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, les éléments de
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renfort rapportés se présentent sous la forme d'au moins une
pièce comprenant une multiplicité de parois parallèles destinées
chacune à s'étendre entre les deux parois ou lames, et toutes
reliées par au moins un longeron.
5 De
manière avantageuse, cette pièce est réalisée dans un
matériau plus rigide que celui dont sont faites les parois ou
lames, en sorte de faciliter sa mise en place entre ces
derniers.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, la pièce incorpore
des moyens anti-retour, conçus apte à piéger l'eau résiduelle
issue de l'aspiration.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, chacun des moyens
anti-retour consiste en un canal tronconique permettant la
communication entre un trou de la multiplicité de trous, et la
cavité interne connectée à au moyen de réalisation de
l'aspiration d'air et de liquide.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, l'extrémité libre de
la lame, destinée à être déplacée au contact de la surface plane
à traiter, présente une bande plate vers laquelle convergent les
deux pans de ladite lame, tandis que le pan qui fait face à la
partie de ladite surface plane à traiter, présente un redan
faisant un angle avec ladite bande, ledit redan étant prolongé
d'une portion de paroi oblique par rapport au plan général de la
lame, et dans laquelle portion sont localisés les trous.
Selon une autre caractéristique additionnelle du
dispositif d'aspirateur selon l'invention, les trous sont
réalisés dans le bord distal de la paroi ou lame destinée à être
tournée vers la surface à racler, et sont séparés deux à deux
par une bande de matière qui présente du côté distal une
extrémité de forme sensiblement triangulaire, dont la pointe
constitue le point de rattachement à l'autre paroi ou lame.
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La présente invention a également pour objet une lame de
raclage pour un dispositif aspirateur te que défini
précédemment.
Les avantages et les caractéristiques du dispositif
d'aspirateur selon l'invention, ressortiront plus clairement de
la description qui suit et qui se rapporte au dessin annexé,
lequel en représente plusieurs modes de réalisation non
limitatifs.
Dans le dessin annexé :
- la figure 1 représente une vue schématique partielle en
coupe d'une partie d'un dispositif d'aspirateur de type connu.
- la figure 2 représente une vue schématique partielle en
perspective d'une partie d'un dispositif d'aspirateur selon
l'invention.
- la figure 3 représente une vue schématique partielle en
perspective de la même partie sous un autre angle.
- la figure 4 représente une vue schématique partielle en
perspective de la même partie sous un autre angle.
- les figures 5a et 5b représente des vues schématiques
partielles en perspective de variantes de la même partie.
- la figure 6 représente une vue schématique partielle de
la même partie en cours d'utilisation.
- les figures 7 et 8 représentent des vues schématiques
partielles en perspective d'un mode de réalisation préférentiel
de la même partie.
- la figure 9 représente une vue schématique partielle de
la même partie en cours d'utilisation.
- la figure 10 représente une vue schématique partielle
en perspective d'une partie du même dispositif d'aspirateur,
dans un mode de réalisation particulier.
- la figure 11 représente une vue schématique partielle
en perspective et en éclaté de la même partie du même dispositif
d'aspirateur, dans un autre mode de réalisation particulier.
- la figure 12 représente une vue schématique partielle
en coupe de la même partie dans un autre mode de réalisation
particulier.
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La présente invention concerne un dispositif
d'aspirateur, non représenté, conçu apte à l'aspiration d'air et
de liquide sur une surface plane, dont on peut voir sur les
figures 2, 3 et 4, la partie active 1 destinée à être déplacée
sur ladite surface.
Cette partie active 1 consiste en une lame de raclage de
conception particulière, réalisée dans un matériau souple ou
semi rigide.
Dans le mode de réalisation représenté, la lame 1
présente une section transversale en forme globale de coin, ou
de sifflet, qui comporte deux pans, et notamment un pan 2
faisant face à la partie de la surface plane à racler, et un pan
3 de l'autre côté.
Son extrémité libre 4, destinée à être déplacée au
contact de la surface plane à traiter, présente une bande plate
40, vers laquelle convergent les pans 2 et 3, et qui est
sensiblement perpendiculaire au plan général de la lame 1. Alors
que le pan 3 est plan, le pan 2 présente un profil particulier,
à savoir que la jonction de la bande plate 40 avec le pan 2 est
réalisée au travers d'un redan 20 dont le plan fait un angle, de
préférence fermé, avec le plan de la bande 40 pour former une
arête 21, ce redan 20 étant prolongé par une paroi oblique 22
dans laquelle sont pratiqués des trous 23, visibles sur les
figures 2 et 3.
La bande 40 résulte de l'épaisseur de la lame 1 à son
extrémité libre 4, qui donne à cette dernière la tenue
nécessaire à la réalisation raclage par le redan 20.
Les trous 23 sont alignés le long et en arrière de
l'arête 21, et débouchent dans une cavité 10 interne à la lame 1
visible sur la figure 3, cette cavité 10 étant en liaison avec
des moyens de création d'une dépression, non représentés. Ces
trous 23 sont destinés à l'aspiration de l'eau résiduelle raclée
par le redan 20, et plus particulièrement son arête 21.
La paroi 22 est inclinée par rapport au plan général de
la lame 1, cette inclinaison est destinée à permettre que les
trous 23 soient orientés en sorte de d'obtenir une aspiration
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optimale, aussi l'angle d'inclinaison pourra être choisi en
fonction de plusieurs paramètres, comme par exemple la
flexibilité de la lame 1, permise par les caractéristiques de la
matière utilisée.
La cavité 10 forme, immédiatement en arrière des trous
23, un élargissement qui libère le passage et évite de ralentir
le débit d'air suite à l'effet de capillarité de l'eau sur les
parois.
On notera que la cavité 10 comporte des renforts 11
s'étendant entre les parois 24 et 30 qui forment les deux pans,
respectivement 2 et 3, en sorte d'éviter, lors d'une opération
de raclage l'écrasement de la cavité 10.
Comme on peut le voir plus précisément sur la figure 2,
les trous 23 présentent du côté extérieur un chanfrein 25, ce
qui permet d'éliminer les angles susceptibles de retenir l'eau
par effet de capillarité.
En utilisation, le redan 20 racle l'eau résiduelle qui
est aspirée par les trous 23. L'aspiration demeure optimale,
quel que soit l'état de déformation de la lame 1.
On notera que la forme du redan 20 peut présenter des
profils différents, que ce soit au niveau de son angle, ou bien
de sa découpe en sorte que son arête de raclage soit prolongée
d'une extension 26 dont l'extrémité est de section arrondie
comme cela est visible sur la figure 5a, ou qui peut comporter
plusieurs extensions 27 parallèles ou sensiblement parallèles
dont les extrémités constituent autant d'arêtes, comme cela est
visible sur la figure 5b, en sorte de créer plusieurs niveaux
successifs de raclage, le choix de ces variantes pouvant être
fonction de l'application à laquelle est destinée la lame 1.
En référence maintenant à la figure 6 on peut voir que,
de manière schématique, lors de l'utilisation de la raclette,
même si le chanfrein 25 des trous 23 permet de limiter l'effet
capillarité, de l'eau E peut stagner sur la paroi 24, entre deux
trous 23 successifs, et il peut en résulter la subsistance de
traces d'eau sur la surface nettoyée.
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Aussi, pour pallier cet inconvénient, il est proposé un
mode préférentiel de réalisation, représenté sur les figures 7
et 8.
Sur ces figures, on peut voir que les trous 23 sont
séparés deux à deux par une bande de matière 29, qui fait partie
de la paroi 24, et qui présente au niveau de sa jonction avec la
paroi 30, une forme de pointe dirigée vers l'arête 21, et le
chanfrein 25 des orifices des trous 23 se prolonge sur la bande
de matière 29.
En référence à la figure 9, on peut voir qu'il ne
subsiste aucune aspérité susceptible retenir l'eau.
Ce mode de réalisation permet un nettoyage quasiment
parfait. En outre, du fait du résultat obtenu, il est possible
de réduire la puissance d'aspiration nécessaire, ce qui permet
de réduire le poids l'appareil, ce qui rend son utilisation
encore plus aisée lorsqu'il s'agit d'un appareil à main tel
qu'une raclette par exemple.
Du point de vue fabrication de ce mode de réalisation,
les parois 24 et 30 peuvent venir de moulage en une seule pièce,
mais préférablement, elles constituent deux lames assemblées par
collage ou soudage.
Selon un mode réalisation particulier, les renforts 11
sont rapportés dans la lame 1, c'est-à-dire, comme cela est
visible sur la figure 10, qu'ils sont liés entre eux pour former
une pièce amovible 5, destinée à être introduite dans une
enveloppe constituée des parois 24 et 30, non visibles.
Les renforts 11 sont disposés parallèlement les uns aux
autres, sont reliés par des longerons 50, représentés en traits
discontinus, et délimitent deux-à-deux un espace 51.
On notera la présence de renforts 11' de dimensions
réduites, au nombre de deux entre deux renforts 11 successifs,
chacun destiné à être intercalé entre deux trous 23.
Une telle construction permet avantageusement de
simplifier la construction de la lame 1, et notamment le moule
permettant sa fabrication.
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Ainsi, en référence maintenant à la figure 11, on peut
voir une pièce 5, comprenant deux longerons 50 et des renforts
11, sur le point d'être assemblée au corps d'une lame 1, en
étant introduite entre les parois 24 et 30 de celle-ci, dans une
5 cavité 12 prévue à cet effet.
De plus cela permet éventuellement que cette pièce 5 soit
réalisée dans un matériau aux propriétés différentes, notamment
de rigidité.
En référence maintenant à la figure 12, on peut voir dans
10 une variante, une lame 1 plus complexe, qui comporte un
dispositif anti-retour de l'eau résiduelle aspirée. Ainsi,
chacun des trous 23 communiquent avec un, espace 51 au travers
d'un élément anti-retour constitué d'un canal tronconique 52
pratiqué dans la pièce 5, et dont l'orifice le plus grand 53
s'ouvre sur le trou 23 et est de diamètre sensiblement égal,
tandis que son orifice le plus petit 54 s'ouvre dans une paroi
55 sur l'espace 51.
On comprendra que l'eau résiduelle aspirée se trouve
ainsi piégée dans les espaces 51 et ne peut pas retraverser les
canaux 52.
