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La présente invention concerne un ensemble de
maquillage résultant de l'association d'un récipient de
produit de maquillage tel que du fard à paupières, du fard
à joues ou un anticernes et d'un applicateur amovible por-
tant un organe de maquillage permettant de prélever le fard
contenu dans le récipient, de la transporter et de l'étaler
sur le revêtement cutané.
Un ensemble de maquillage de ce genre a déjà été
décrit dans la demande de brevet français 81-03922. L'ap-
plicateur de maquillage amovible de cet ensemble porte unchapeau se vissant sur le col fileté du récipient de fard
liquide. L'organe de maquillage équipant l'applicateur
est constitué par une spatule en caoutchouc souple de forme
plate allongée en matière souple élastiquement déformable,
dans la paroi de la spatule sont pratiquées deux cavités
constituant chacune un réservoir où le fard liquide est
maintenu par capillarité. Le col fileté du récipient de
fard liquide se prolonge intérieurement par un doigt de
gant dont le fond est percé par un orifice dans lequel
pénetre la spatule de maquillage. La spatule est pourvue
d'un bourrelet annulaire qui est serré contre le rebord de
l'orifice pour assurer sa fermeture étanche, lorsque l'ap-
plicateur est vissé sur le goulot du récipient.
Dans ce mode de réalisation, le bord de l'orifice
de sortie ne peut pas constituer une lèvre d'essorage pour
la spatule de maquillage, c'est-à-dire une lèvre à bord
mince qui enserrerait étroitement le profil plat de la
spatule et qui, en conséquence, aurait la configuration
d'un cercle aplati en ellipse. En effet, la spatule de
maquillage ne pourrait pas dans ce cas tourner à l'inté-
rieur de la lèvre d'essorage, au moment du vissage. Or, il
est souvent désirable de doter les r~cipients de fard, d'une
lèvre d'essorage permettant de chasser l'excès de produit
prélev~ par l'organe de maquillage.
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La présente invention a donc pour but de réaliser
un ensemble de maquillage dont 1'organe de maquillage, en
raison de son profil non cylindrique à directrice circulaire,
ne puisse pas tourner à l'intérieur de la lèvre d'essorage,
le bourrelet annulaire de l'organe de maquillage pouvant
cependant être serré contre la lèvre d'essorage pour assurer
l'étanchéité du récipient en position fermée, soit par
vissage soit par encliquetage de l'applicateur sur le col
du récipient.
Pour résoudre de problème, on prévoit selon llin-
vention, que l'applicateur soit composé de deux éléments
assemblés de façon que l'un d'entre eux puisse avoir un
mouvement relatif par rapport à l'autre. Dans une première
variante de l'invention, les deux éléments de l'applicateur
peuvent avoir un mouvement relatif de rotation et l'élément
de l'applicateur qui ne porte pas l'organe de maquillage
comporte, de préférence, des moyens de vissage permettant
sa fixation sur le col fileté du récipient. De ce fait, à
la fermeture du récipient, l'élément qui porte l'organe de
maquillage peut être enfoncé à l'intérieur du récipient
sans être entrainé en rotation par l'élément supérieur, et
le bourrelet annulaire d'étanchéité dont est doté l'organe
de maquillage ou l'applicateur peut être ainsi serré contre
la lèvre d'essorage. Dans une deuxième variante préférée
de l'invention, les deux éléments de l'applicateur peuvent
avoir entre eux un mouvement relatif de translation, et
l'élément supérieur de l'applicateur, qui ne porte pas
l'organe de maquillage, est fixé par encliquetage à l'inté-
rieur du col du récipient. Un organe élastique est inséré
entre les deux éléments précités, de fa,con que lors de
l'encliquetage de l'élément supérieur, ledit organe élasti-
que se trouve comprimé et permette le serrage ~lastique
nécessaire à une bonne étanchéité du bourrelet annulaire
contre la lèvre d'essorage.
La présente invention a donc pour objet un en-
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semble de maquillage comportant, d'une part, un récipient
de fard fluide comportant un col et, d'autre part, un
applicateur amovible traversant ledit col et se terminant
par un organe de maquillage qui permet de prélever le fard
dans ledit récipient, de le transporter et de l'étaler sur
la surface à maquiller, l'organe de maquillage bouchant,de
façon sensiblement étanche un orifice de sortie du réci-
pient, à la fermeture dudit récipient au moyen de l'appli-
cateur, ledit orifice de sortie étant bordé d'une lèvre
d'essorage enserrant l'organe de maquillage, ledit organe
ayant une section transversale non circulaire, qui l'empêche
de tourner à l'intérieur de sa lèvre d'essorage, caractérisé
par le fait que l'applicateur comporte deux éléments emboi-
tés l'un dans l'autre et reliés entre eux de facon que l'un
puisse avoir un mouvement relatif par rapport à l'autre,
celui des deux éléments qui ne porte pas l'organe de ma-
quillage, étant pourvu de moyens assurant sa fixation
amovible sur la paroi du col du récipient.
' On préfère que l'applicateur ou l'organe de ma-
quillage présente un bourrelet annulaire d'étanchéité venant
en appui sur la base de la lèvre d'essorage, à la fermeture
du récipient.
Le r~cipient de fard contient avantageusement un
fard liquide notamment un fard à paupières, un fard à joues
ou un anti-cernes.
Dans une réalisation avantagéuse de l'organe de
maquillage, la partie active de ce dernier se présente sous
` la forme d'une spatule de forme plate allongée. La spatule
précitée est traversée de part en part par au moins une
cavité qui constitue un réservoir où le fard liquide est
maintenu par capillarité. L'organe de maquillage est
réalisé en une matière souple ~lastiquement d~formable, par
exemple en caoutchouc naturel ou synthétique.
Dans une première variante de l'invention, les
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deux éléments emboités de l'applicateur sont reliés par une
articulation cylindrique, leur permettant un mouvement
relatif de rotation autour de leur axe commun.
Dans cette variante, on préfère que celui des
deux éléments emboités, qui ne porte pas l'organe de ma-
quillage, soit doté d'un chapeau se vissant sur le col
fileté du récipient. L'articulation cylindrique peut être
constituée au moyen, d'une part, d'une gorge périphérique
pratiquée sur celui des deux éléments qui est emboité dans
l'autre et, d'autre part, d'un jonc continu ou discontinu
ménagé sur l'autre élément récepteur creux, jonc qui s'en-
gage à l'intérieur de la gorge périphérique précitée.
Pour empêcher que l'élément de l'applicateur, qui
porte l'organe de maquillage, puisse être entraîné en rota-
tion par l'autre élément, à la fermeture du récipientl
l'élément considéré a une section droite non circulaire
l'empêchant de tourner à l'intérieur du col du récipient.
Dans une seconde variante plus particulièrement
préférée de l'invention, les deux éléments emboités de
l'applicateur sont liés entre eux avec une possibilité de
translation l'un par rapport à l'autre suivant leur axe
commun, celui d~es deux éléments qui ne porte pas l'organe
de maquillage étant pourvu de moyens permettant son encli-
quetage à l'intérieur du col du récipient.
Dans cette seconde variante, un organe élastique,
tel qu'un tampon de mousse plastique, est inséré entre les
deux éléments de l'applicateur, a l'intérieur de celui des
deux éléments emboités qui reçoit l'autre, c'est-à-dire,
de préférence, l'élément qui ne porte pas l'organe de ma-
quillage. A la fermeture du récipient, lorsque l'élémentcreux , qui ne porte pas l'organe de maquillage, est encli-
queté a l'intérieur du col du récipient, l'organe élastique
précité est comprimé de fac,on ~ serrer élastiquement le
bourrelet annulaire d'étanché~t~ de l'organe de maquillage
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contre la lèvre d'essorage.
Avantageusement, l'élément qui ne porte pas l'or-
gane de maquillage comporte, comme moyens d'encliquetage,
au moins un cliquet venu de moulage avec ledit élément,
ledit cliquet étant poussé radialement vers l'extérieur par
l'organe élastique précité et étant destiné à se loger ~
l'intérieur d'une ouverture pratiquée dans la paroi du col
du récipient. L'élément de l'applicateur, qui porte l'or-
gane de maquillage, a avantageusement une section droite non
circulaire l'empêchant de tourner à l'intérieur du col du
récipient.
La lèvre d'essorage de l'organe de maquillage est,
de préférence, constituée par le fond percé d'un doigt de
gant disposé à l'intérieur du corps du récipient, dans le
prolongement du col dudit récipient.
Pour mieux faire comprendre l'objet de la présente
invention, on va en décrire ci-après à titre d'exemple pure-
ment illustratif et non limitatif, deux modes de réalisation
représentés sur le dessin annexé :
Sur ce dessin :
- la figure 1 est une coupe axiale d'un ensemble
dé maquillage selon la première variante de l'invention,
- la figure 2 est une coupe transversale selon
II-II de la figure 1 ,
- la figure 3 est une coupe axiale selon III-III
de la figure 4, d'un ensemble de maquillage selon la seconde
variante de l'invention,
- - la figure 4 est une coupe axiale selon IV-IV de
la figure 3,
- la figure 5, première planche du dessin, est une
coupe transversale selon V-V de la figure 4, et
- la figure 6, première planche, est une coupe
transversale selon VI-VI de la figure 4.
En se référant au dessin, on voit que l'on a
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~' :
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désigné par 1, un ensemble utilisable pour le maquillage des
paupières.
L'ensemble de maquillage l résulte de 1'associa-
tiGn d'un applicateur 2 à un récipient 3 contenant un fard
liquide à paupières. Le col fileté 4 et le corps 5 du
récipient ont une section ovale, sauf toutefois dans la
partie filetée du col 4 qui est cylindrique, la coupe axiale
de la figure 1 passant par le grand axe dudit ovale. Le col
fileté 4 se prolonge à l'intérieur du corps 5 du récipient
par un doigt de gant 6, dans le fond 7 duquel est pratiqué
un orifice de sortie.
L'applicateur 2 porte un organe de maquillage lO
servant ~ prélever le fard liquide du corps 3 du récipient,
à le transporter puis à l'étaler sur les paupières. L'or-
gane de maquillage lO est venu de moulage , il est en caout-
chouc souple naturel ou synthétique. La partie active de
l'organe de màquillage 10 consiste en une spatule 11 de
forme plate allongée. Deux cavités circulaires 12 traver-
sent de part en part la spatule ll au voisinage de son
extrémité libre arrondie. Chaque cavité 12 est dimension-
n~e de façon qu'une fois chargée en fard liquide, le,liquide
prélevé soit maintenu par capillarité à l'intérieur de la
cavité, pendant le trajet de la spatule depuis le r~cipient
~ jusqu'aux paupières à maquiller, le liquide y étant alors
appliqué par une légère pression exercée sur la spatule 11.
Un organe de maquillage 10 de ce genre est décrit de fa,con
détaillée dans la demande de brevet français ~ 81-03922
déposée le 27 février 1981.
Au maquillage, lorsque l'applicateur 2 est extrait
du récipient 3, la lèvre périphérique 8, qui borde l'orifice
de sortie du doigt de gant 6 exerce une action d'essorage,
c'est-à-dire permet de chasser l'excès de fard liquide pré-
levé par la spatule 11 , la lèvre d'essorage 8 épouse étroi-
tement la paroi de la spatule 11, lorsque le récipient 3
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est fermé , ainsi qu'il est visible sur la figure 2 du
dessin, la section de la lèvre d'essorage 8 a la forme d'un
cercle aplati en ellipse, ce qui interdit toute rotation de
la spatule 11 à l'intérieur de la lèvre d'essorage 8,
Un bourrelet annulaire 13 venu de matière avec la
spatule 11 vient en appui sur la lèvre d'essorage 8, ~ la
fermeture du récipient 3, pour assurer le bouchage étanche
de l'orifice de sortie délimité par ladite lèvre d'essorage.
L'applicateur de maquillage 2 est constitué de
deux éléments emboités 20, 30 sensiblement coaxiaux, reliés
entre eux par une articulation cylindrique leur permettant
un mouvement relatif de rotation autour de leur axe commun.
L'~lémént 20 a la forme d'une tige dans l'une des extrémit~s
de laquelle est sertie la queue 14 de l'organe de maquillage
10. L'autre extrémité de l'élément 20 est emboitée a l'in-
térieur de l'élément creux 30. L'articulation cylindrique
liant les deux éléments 20 et 30 est constituée, d'une part,
par une gorge périphérique 21 ménagée sur l'élément 20 et,
d'autre part, par un jonc 31 qui est prévu en relief sur la
paroi latérale intérieure de l'élément creux 30 et qui
coopère avec la gorge périphérique 21.
La section de l'élément 20 est de forme ovale, de
sorte que l'élément 20 ne peut pas tourner à l'intérieur du
col fileté 4 également de forme ovale. Par contre, l'élé-
ment creux 30 est de forme cylindrique et peut, en consé-
quence, pivoter autour de son axe à l'intérieur du col
fileté 4,
L'élément creux 30 est surmonté d'un chapeau 32
venu de matière avec ledit élément, dont la jupe cylindri-
que 33 porte un filetage intérieur destiné à coopérer avecle filetage extérieur du col 4 du récipient.
Le bouchage du récipient 3 au moyen de l'applica-
teur 2 qui vient d'~tre d~crit, s'effectue comme suit :
l'applicateur 2 convenablement orienté est enfoncé ~ l'in-
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térieur du col fileté 4 de façon que la spatule 11 pénètre
à l'intérieur de l'orifice délimité par la lèvre d'essorage
8 ce mouvement est poursuivi jusqu'au moment où le bourre-
let annulaire 13 de l'organe de maquillage 10 vient en
appui contre la lèvre d'essorage 8, on visse alors le
chapeau 32 sur le col fileté 4 du récipient, ce qui provoque
l'enfoncement de l'élément creux 30 et donc de l'élément 20,
et l'écrasement du bourrelet 13 contre le bord supérieur de
la lèvre d'essorage 8 et, par suite, la fermeture étanche
du récipient 3. Pendant le vissage, le mouvement de rota-
tion imprimé à l'élément creux 30 n'est pas transmis à
l'élément 20, étant donné que le jonc intérieur 31 de
l'élément 30 peut tourner à l'intérieur de la gorge péri-
phérique 21 qui le reçoit et que l'élément 20, du fait de
son profil ovale, ne peut pas tourner à l'intérieur du col
fileté 4.
En se référant aux figures 3 à 6 du dessin, on
voit que l'on a représenté la seconde variante d'un ensemble
de maquillage selon l'invention.
Cet ensemble résulte également de l'assoclation
d'un applicateur 40 portant un organe de maquillage 10 en
tous points analogue à celui de la figure 1, avec un réci-
pient de fard liquide 50 dont le col 51 et le corps 52 ont
un profil ovale. Deux ouvertures rectangulaires S3, diamé-
tralement opposées, sont pratiquées sur la paroi du col 51
au voisinage de son extrémité supérieure. Le col 51 se
prolonge à l'intérieur du corps 52 du récipient de fard
liquide par un doigt de gant 54 de section ovale dont le
fond est percé d'un orifice destiné à être bouché de fa~con
étanche par l'organe de maquillage 10. L'orrifice précité
est bordé par une lèvre d'essorage 55 de section ovale qui
enserre étroitement la spatule 11 de l'organe de maquillage
10.
L'applicateur amovible 40 est constitué de deux
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éléments emboités 60, 70 sensiblement coaxiaux, assemblés
entre eux de façon que l'un puisse avoir un mouvement limi-
té de translation par rapport à l'autre suivant leur axe
commun. Dans l'une des extrémités de l'élément 60 de
l'applicateur, est sertie la queue 14 de l'organe de ma-
quillage 10. L'élément 60 a la forme d'une tige comportant
deux parties de profil différent, l'une cylindrique, l'autre
ovale, la partie cylindrique étant disposée du côté de
l'organe de maquillage 10, la partie ovale a une section
qui croît en direction de l'extrémité de l'élément 60, qui
est opposée à l'organe de maquillage 10. En raison de sa
partie ovale, l'élément 60 de l'applicateur ne peut pas
tourner à l'intérieur du col 51 du récipient. Du côté
opposé à l'organe de maquillage 10, l'élément 60 de
l'applicateur se termine par un rétreint 62 également de
section ovale. Deux ergots 63 sont prévus en relief sur
l'extrémité du rétreint 62 , ils sont disposés selon le
grand axe du profil ovale du rétreint 62.
L'élément 60 de l'applicateur s'emboite par son
rétreint 62 à l'intérieur de l'élément creux 70 également
de section ovale. L'élément creux 70 comporte intérieure-
ment deux dents 72 opposées disposées selon le grand axe de
l'ovale. L'élément creux 70 peut coulisser sur le rétreint
62, sans possibilité de rotation par rapport à celui-ci,
depuis une position où il vient sensiblement en appui contre
l'épaulement annulaire 64 (figure 3) jusqu'à une position
où les deux dents 72 de l'élément creux 70 viennent en butée
contre les deux ergots 63 de l'élément 60.
A l'intérieur de l'élément creux 70 est inséré un
tampon de mousse plastique 80 formant ressort venant en appui,
d'une part, contre l'extrémité du rétreint 62 de l'élément
60 et, d'autre part, contre une pointe intérieure 73 venue
de matière avec l'élément creux 70.
Deux cliquets 74 sont ménagés sur la paroi latérale
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de l'élément creux 70. Ils sont venus de matière avec
l'élément creux 70 ils comportent une protubérance 74a
reliëe par une lamelle 74_ à la paroi de l'élément creux
le plan de symétrie des deux cliquets 74 passe par le
petit axe du profil ovale de ''élément creux 70. Le tampon
de mousse plastique 80 est inséré entre les deux lamelles
74_ des deux cliquets 74 qui ont ainsi tendance à s'écarter
l'un de l'autre sous l'action du ressort formé par ledit
tampon.
La fermeture du récipient de fard liquide à pau-
pi~res au moyen de l'applicateur 60 s'effectue comme suit:
l'applicateur 60 convenablement orienté est enfoncé à l'in-
térieur du col 51 du récipient de facon que la spatule 11
de l'organe de maquillage vienne boucher l'orifice délimité
par la lèvre d'essorage 55. Au cours de cet enfoncement,
il se produit un escamotage des deux cliquets qui viennent
comprimer le tampon de mousse plastique 80, ce qui permet
de les faire pénétrer à l'intérieur du col 51 cette man-
. oeuvre est poursuivie jusqu'au moment où les protubérances
74a, sous l'action du tampon de mousse 80 comprimé viennent
se loger dans les deux ouvertures rectangulaires 53 du col
du récipient. L'applicateur se trouve alors fixé à l'inté-
rieur du récipient. Dans cette position, le tampon de
mousse plastique 80 est comprimé axialement entre les deux
éléments 60 et 70 de l'applicateur d'où une action de serra-
ge élastique du bourrelet annulaire 13 de l'organe de ma-
quillage 10 contre la lèvre d'essorage 55 le récipient de
,
fard liquide est alors hermétiquement bouché. Pour ex-
traire l'applicateur 60 hors du récipient, l'utilisateur
appuie sur les deux protubérances 74a des deux cliquets de
fa~on à les rapprocher à l'encontre de l'action exercée par
le ressort 80 et les faire pénétrer à l'intérieur du col du
récipient, en tirant vers le haut l'applicateur 60, ce der-
nier peut alors être extrait sans difficulté hors du réci-
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pient de fard liquide.
Dans cette seconde variante, on observe que letampon de mousse plastique 80 a une doubie fonction : d'une
part, il tend à pousser les deux cliquets 74 dans leur
position d'encliquetage à l'intérieur des deux ouvertures
rectangulaires 53 du col du récipient d'autre partj à la
fermeture du récipient, il comprime élastiquement le
bourrelet annulaire 13 de l'organe de maquillage contre la
lèvre d'essorage 55 pour assurer l'étanchéité requise. On
obtient également, dans ce cas, un bouchage étanche du
récipient de fard liquide au moyen de l'organe de maquilla-
ge 10 sans faire tourner ledit organe à l'intérieur de la
lèvre d'essorage 55.
Il est bien entendu que les deux modes de réalisa-
tion ci-dessus décrits ne sont aucunement limitatifs et
pourront donner lieu à toutes modifications désirables sans
sortir pour cela du cadre de l'invention.
