Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.
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La présente invention a pour objet une nouvelle méthode
d'épilation cutanée permanente par application d'un courant électrique
à la base d'un poil à éliminer.
L'invention a également pour objet un nouvel appareil
sp~cialement con~cu pour mettre en oeuvre cette nouvelle méthode
d'épilation.
Il est connu que pour retirer et éliminer de facon
permanente un poil cutanét il suffit de détruire la racine de ce poil,
appelée "papille", qui est la partie vivante du poil située au fond du
follicule où le poil se trouve logé.
Plusieurs appareils dits d"'électrolyse" ou de "thermolyse",
sont actuellement disponibles sur le marché et couramment utilisés,
notamment par les électrolystes pour appliquer un courant électrique à
la base d'un poil à éliminer de facon à en détruire la papille et
ainsi procéder à une épilation cutanée permanente de personnes
désireuses de se débarasser, de préférence en une seule séance, de
poils corporels disgracieux.
Les appareils de ce type, tels que ceux décrits, par exemple
dans les brevets canadiens nos 1.017.807; 1.142.599 et 1.248.594,
comprennent un filament conducteur (appelé "électrode") relié à un
générateur de courant. Le filament est concu pour être inséré dans
chacun des follicules où sont logés les poils à éliminer. Une fois le
filament inséré, le générateur de courant est activé pour appliquer,
via le filament, un courant à la base du poil de facon à en détruire
la papille. En pratique, la destruction de la papille doit se faire
avec un minimum de destruction des tissus avoisinants et avec, bien
sûr, un minimum de douleur. La douleur ressentie par le patient lors
du passage des courants électriques dont l'appareil d'épilation est la
source est jusqu'à un certain point inévitable. Tel que pr~cédemment
indiqué, celle-ci doit toutefois etre réduite au minimum.
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Tous les appareils d'épilation permanente actuellement
disponibles sur le marché, utilisent des générateurs de courant
produisant soit un courant direct (DC), ci-après appelé "galvanique",
soit un courant alternatif de haute fréquence typiquement égale à
13.56 MHz, ci-après appelé "HF", soit les deux.
Afin de mieux comprendre non seulement l'invention mais
également les techniques actuellement utilisées et de là mieux en
apprécier les diférences f~n~mentales~ il convient de présenter
i~m~ tement les dessins anne~és. Sur ces ~e~.~ins:
- les figs 1 a à 1 d sont des courbes d'intensité de courant
en fonction du temps, illustrant de façon schématique diverses façons
connues d'appliquer, sous la forme de "séquences", des courants
galvaniques et HF au cours d'un même traitement;
- la fig. 2 est une courbe d'intensité de courant en
fonction du temps, illustrant la façon dont, selon l'invention,
diverses "catégories" de courant HF peuvent être appliquées sous la
forme de séquences au cours d'un même traitement;
- les figs 3, 4 et 5 sont des courbes d'intensité de courant
en fonction du temps, illustrant la façon dont, selon l'invention, des
courants galvaniques et HF peuvent être combinés et respectivement
modulés en vue d'une application sous la forme de séquences au cours
d'un même traitement;
- la fig. 6 est une représentation du boîtier de contrôle
d'un appareil "Blend" selon un mode de réaliation préféré de
l'invention; et
- la fig. 7 est un schéma bloc du fonctionnement logique de
l'appareil "blend" dont le boîtier est illustré sur la fig. 6.
L'application d'un courant galvanique, connue sous le nom
d"'électrolyse", permet de produire de la soude caustique (NaOH) à
l'intérieur des follicules pileux, dans l'intention de détruire les
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papilles des poils. Le courant galvanique ayant la propriété de passer
aux endroits de moindre résistance électrique, il passe en priorité au
fond du follicule où se trouve la papille, les tissus vivants ayant en
effet une plus grande conductibilité électrique en raison de la
présence d'humidité et d'électrolytes. Moins de courant passe dans la
partie supérieure du follicule qui contient une plus grande quantité
de graisses et de cellules mortes et a donc une résistance électrique
plus élevée.
L'électrolyse, i.e. l'application d'un courant galvanique,
est une méthode efficace ne conduisant qu'à un faible taux d'échec. En
outre, lorsqu'elle est bien employée, il est rare d'obtenir une
repousse, ce qui est avantageux. Cependant, la durée du traitement de
chaque follicule est relativement élevée et dépend essentiellement de
la grosseur du poil à traiter. La quantité de soude requise pour
détruire la papille d'un gros poil est plus grande que celle requise
pour détruire celle d'un poil plus petit. Or, la quantité de soude
produite dépend de l'intensité du courant et du temps de passage de
celui-ci. Le temps de passage du courant peut donc être réduit si
l'intensité du courant est ~ Qntée, et vice versa. Le seuil de
tolérance du patient à la douleur causée par le courant galvanique
constitue toutefois une limite à ne jamais dépasser en termes
d'intensité des courants galvaniques employés, et détermine ainsi les
durées requises de traitement.
Il convient de mentioner ici que l'unité de mesure
présentement employée en électrolyse est ie U.L. (Units of Lye). Un
U.L. équivaut à l'énergie d'un courant de 0.1 mA appliqué pour une
période d'une seconde. En pratique, un gros poil, par e~ernple,
requiert entre 50 et 60 U.L., soit, par exemple, un courant de 0.4 mA
durant 13 secondes, ce qui est relativement long.
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Une méthode d'épilation plus récente consiste à appliquer un
courant alternatif de haute fréquence (HF) pour chauffer la soude
et/ou directement détruire les papilles des follicules par action
thermique. Cette autre méthode qui est connue sous le nom
de "thermolyse" a un net avantage sur l'électrolyse: la durée de
traitement est plus courte.
Il est connu que l'épilation par thermolyse peut s'effectuer
de trois façons différentes, ~ lon le type de courant HF utilisé.
Ainsi, tel qu'illustré sur la fig. 2 des dessins, on peut utiliser des
courants HF de basse intensité et de longue durée (méthode dite
"lente", de quelques secondes), des courants HF de moyenne intensité
et de courte durée (méthode dite "flash", de quelques dixièmes de
secondes) ettou des courants HF de haute intensité et de très courte
durée (méthode dite "Super-Flash", de quelques centièmes de
secondes).
Par un effet physique nommé "effet de pointe", le courant HF
agit d'abord à l'e~trémité du filament et donc au fond du follicule
avant de remonter graduellement vers la surface de la peau au fur et à
mesure que la dessication se propage le long du filament, ceci
entraînant aussi une variation du profil de la résistance électrique
du follicule. Bien que souhaitable, un tel effet peut amener à une
brûlure de la surface de la peau lorsque le dosage de l'énergie HF
appliquée est incorrect. Il est donc important de soigneusement doser
l'énergie appliquée, ce qui peut parfois s'avérer délicat.
Un autre désavantage associé à la thermolyse est son très
faible rayon d'action. Si les pRpilles des très gros poils ou de ceux
dont le follicule est courbé sont totalement ou partiellement
inaccessibles au filament, la destruction est incomplète et la
repousse du poil est q~ im~nt certaine. En outre, cette repousse
peut être multiple ou grossière.
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Une plus récente technique connue 30US le nom de "Blend"
consiste à employer simultanément ou individuellement des courants de
type galvanique et HF, tou~ours dans le but de détruire la racine des
poils de la peau et ainsi de permettre l'e~traction de ceux-ci de
façon définitive. Le "Blend" permet de profiter du temps de traitement
plus court normalement associé à la thermolyse (en méthode lente) tout
en conservant les avantages de l'électrolyse. Le résultat est une
méthode relativemnt rapide et très efficace en terme d'absence de
l~ous~es.
Il subsiste toutefois deu~ désavantages ma~eurs à cette
dernière méthode: le premier est retié à la douteur que subit le
patient, et le second à la difficulté d'opération des appareils
existants en termes de réglage des courants des deux types. Ces
problèmes sont eux-memes reliés à la façon dont l'appareil d'épilation
est utilisé et donc à la connaissance de celui-ci. L'épilation de
poils de différentes ~lo~eurs (U.L. différents) par l'utilisation des
techniques de "Blend" sur les différentes régions du corps qui sont
souvent de sensibilité variable, est une opération relativement
comple~e qui requiert des connaissances solides de la part des
électrolystes, en vue d'obtenir un traitement à la fois efficace et
confortable.
Les appareils d'épilation actuellement connus utilisent l'un
des deux ou les deu~ types de courants ci des~s mentionés (galvanique
et l~), et ce indépendamment ou simultanément (voir fig. l), avec des
intensités et des durées propres, par le biais d'une ou de plusieurs
électrodes conductrices ou filaments insérés dans les follicules de la
peau. Les intensités et les durées de passage des courants galvanique
et/ou 1~ sont habituellement réglées à l'aide de quatre controles
distincts. Deux p~dales et/ou un clrcuit électronique de contrôle
constituent le mode habituel de lancement de ces courants, qui ont
alors chacun une
~ A
.,
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_
intensité et une durée fixes pour chaque insertion. ~e réglage des
paramètres des courants dépend de la grosseur des poils et de la
sensibilité du patient dans la région du corps traité. En moyenne,
entre 5 et 15 secondes de traitement "Blend" sont requis pour chaque
poil.
~ e façon à accélérer le travail d'épilation, surtout dans le
cas des gros poils où les temps de traitement sont longs, il est bien
sûr souhaitable de travailler avec des courants de relativement grande
intensité permettant des épilations relativement rapides. La plupart
des appareils existants sont "programmés" de façon à travailler de
cette façon pour être le plus efficace possible, avec l'inconvénient
majeur qui en résulte, à savoir d'être très douloureux pour le patient
lors du passage du ou des courant(s) électrique(s).
Tel que précédemment indiqué, l'effet du courant électrique
sur la racine du poil dépend de sa durée et de son intensité. Une
épilation permanente e~ige un minimur,l d'énergie pour accomplir la
destruction de la racine, empêchant la repousse du poil. Si lténergie
transmise est insuffisante, il y aura repousse du poil, car la
destruction de la racine de celui-ci n'est pas complète. ~e plus, tel
qu'également indiqué ci-dessus, la destruction de la racine du poil
doit se faire avec une destruction minimale des tissus avoisinants,
pouvant éventuellement résulter en une brûlure et/ou une cicatrice à
la surface de la peau. La manipulation des appareils et des filaments
ou aiguilles utilisés comme électrodes doit donc être soigneusement
effectuée pour minimiser les effets indésirables, tout en obtenant une
épilation définitive. A ce sujet, on peut noter que le seuil de
tolérance ~ la douleur est différent pour chaque patient; un patient
insensible pourra ainsi bénéficier d'une épilation plus rapide.
Com~e toutes les méthodes connues du même type telles que
précédemment décrite, la méthode d'épilation selon l'invention
:2 ;~ ~ 1 6 9~
-- 7 --
consiste essentiellement à insérer un filament conducteur
i.e. une (électrode) dans le follicule de chaque poil à
éliminer et à appliquer, à l'aide de ce filament, des
courants galvaniques et HF d'intensités données soit
séparément soit simultanément en combinaison au follicule
5 du poil pour détruire la racine de celui-ci par
électrolyse, thermolyse ou les deux. La méthode selon
l'invention se distingue toutefois des méthodes connues en
ce que l'intensité de chacun des courants appliqués au
follicule est modulée durant la durée de l'application
10 lors d'une même insertion du filament pour ainsi permettre
une épilation définitive tout en réduisant la douleur
perçue par le patient. D'un point de vue pratique, ladite
"modulation" consiste en l'application dudit courant à
différentes intensités pendant différentes périodes durant
15 ladite insertion dans le but de permettre ainsi une
épilation permanente tout en réduisant la douleur perçue
par le patient.
Selon un premier mode de réalisation de
l'invention, la méthode est exclusivement
20 "électrolytique". Seul un courant galvanique est appliqué
et bien sûr modulé en intensité en cours d'application.
Il est connu que certains appareils
d'électrolyse existants sont pourvus de moyens assurant
une montée graduelle du courant galvanique lors de chaque
25 application (voir brevet canadien no. 1.248.594).
L'existence d'une telle rampe au début et dans certains
cas à la fin de chaque application de courant n'a
toutefois rien d'analogue à une "modulation" telle qu'on
l'entend ici. En effet, dans ce cas, l'intensité prévue
30 du courant galvanique appliqué demeure essentiellement
constante une fois que la rampe a atteint son sommet.
Selon un second mode de réalisation de
l'invention, la méthode est exclusivement "thermolytique".
~: A
' ~'
- 7a _ ~ 93
Seul un courant HF est appliqué et bien sûr modulé en
cours d'application.
Là encore, il est connu que certains appareils
de thermolyse existants permettent une répétition de
l'application d'un courant HF au cours d'un même
5 traitement, soit sous la forme d'impulsion identique (voir
fig. ld), soit sous la forme d'impusions proportionnelles,
la première étant par exemple, systématiquement égale à
75% de la seconde (voir fig. lc). Cette répétition et
variation d'intensité dans une seule proportionnalité
10 pr~gr~6e
/
~/
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\
i~..,
n'équivaut toutefois pas à une "modulation" tel qu'on l'entend ici
dans la mesure où, dans tous les appareils connus, le courant ~F dont
l'application est ainsi répétée est toujours de mê~e catégorie et de
même intensité égale ou de mêmes intensités proportionnelles,
celles-ci une fois choisies et ajustées, demeurant toujours
constantes.
Contrairement à cette technique connue, la "modulation" dont
il est fait usage dans la méthode selon l'invention, consiste en
l'application de plusieurs intensités ou "catégories" de courant HF,
en superposition ou les unes à la suite des autres et durant une m~me
insertion,(voir figs 2, 3 et 4).
Selon un troisième mode de réalisation de l'invention,
lequel mode est encore plus intéressant que les deux autres, la
méthode est de type "Blend" et comprend l'application de courants à la
fois galvanique et HF dont un au moins des deux est modulé en
intensité. Cette application peut inclure une succession programmée
(séquences) de courants galvanique et HF au cours de chaque
traitement. Dans ce dernier cas, l'intensité de chaque courant
successivement appliqué est également modulée. La durée d'application
de chacun des types de courants est variable et peut être ajustée à
volonté entre 0.01 et 8 secondes par exemple pour les trois catégories
de courants HF, et entre 0.1 et 20 secondes pour le courant galvanique
et cela pour chacune des séquences successives du même traitement dont
le nombre peut être par exernple égal à 9 ou plus (voir fig. 4) mais
est de préférence égal à 6 (voir fig. 5).
Là encore, il est connu que certains appareils existants de
type "Blend" permettent d'appliquer un courant galvanique en
combinaison avec une seule catégorie de courant HF durant une même
insertion (voir fig. la à ld). La méthode selon l'invention diffère
toutefois de cette technique connue en ce qu'elle utilise,
indifféremment et au besoin, des combinaisons de courants HF de vasse
intensité (longue durée), de moyenne intensité (courte durée ou Flash)
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et de haute intensité (très courte durée, ou Super-Flash) (figs 2, 3
et 4). Il y a donc "modulation" de l'intensité du courant HF appliqué
au cours d'une même insertion, en fonction des besoins.
Selon l'invention, l'intensité du courant galvanique
appliqué simultanément au courant HF peut aussi être modulée dans le
temps. Ce courant peut être constant, croissant ou décroissant, et
continu ou non.
Il est bien sûr admis que certains appareils existants
permettent l'application de courants HF plus d'une fois lors de la
même insertion, à l'aide de pédales par exemple (voir fig. ld). Avec
ces appareils, un réajustement manuel des paramètres de traitement est
toujours possible, mais il requiert l'intervention manuelle de
l'opérateur lors de l'insertion et du traitement ce qui rend la chose
tout à fait inintéressante, et à la limite dangeureuse.
La méthode selon l'invention améliore considérablement les
méthodes traditionnelles d'épilation par application indépendante ou
simultanée de courants galvanique et/ou HF. La modulation des courants
galvanique et HF utilisés dans la méthode selon l'invention permet
effectivement de réduire considérablement la douleur ressentie par les
patients lors du passage des courants électriques, et ce sans aucune
perte d'efficacité en terme d'élimination permanente des poils.
La m~dulation de courant(s) utilisée dans le cadre de la
présente invention peut être effectuée de façon continue à l'aide d'un
circuit analogique, ou bien de façon discrète. Dans ce dernier cas,
l'application du ou des courants de diverses intensités s'effectue en
discontinu selon une suite de "séquences" dont la durée varie
typiquement d'une fraction de seconde à plusieurs secondes. Le courant
appliqué lors de chaque séquence peut être d'intensité différente ou
identique à celles des séquences précédentes (voir fig. 4). La durée
et l'intensité de chacun des deux types de courants est ajustable et
programmable de façon indépendante. Une séquence donnée transmet des
courants soit de même type (galvanique seul ou HF seul), soit des
courants de types diférents (galvanique et HF combinés). La polarité
des courants galvaniques peut de plus être soit identique, soit
- lO - 20 1 1 693
alternée. Les courants des deux types sont donc envoyés
simultanément (superposés) ou séquentiellement, les uns à
la suite des autres.
Tel que précédemment indiqué, l'invention
propose également un nouvel appareil d'épilation
5 permanente spécialement con~cu pour mettre en oeuvre la
méthode selon l'invention telle que décrite ci-dessus.
L'appareil selon l'invention qui comprend:
- un filament conducteur destiné à être inséré
dans le follicule de chaque poil à éliminer d'un patient;
- au moins un générateur de courant relié au
filament;
- des moyens premiers de contrôle pour ajuster
à volonté l'intensité du courant sortant du générateur; et
- des seconds moyens de contrôle pour ajuster à
15 volonté la durée du courant généré appliqué au filament
et, de là, au follicule du poil de facon à s'assurer de
détruire la racine de celui-ci;
est caractérisé en ce qu'il comprend en outre:
- des troisièmes moyens de contrôle reliés au
20 moins auxdits premiers moyens de contrôle pour modifier
l'ajustement de ceux-ci selon un programme prédéterminé de
facon à moduler le courant généré durant la durée d'appli-
cation dudit courant au follicule lors d'une même
insertion et ainsi réduire la douleur perçue par le
25 patient. La encore, ladite modulation consiste en
l'application dudit courant à différentes intensités
pendant différentes périodes durant ladite insertion dans
le but de permettre ainsi une épilation permanente tout en
réduisant la douleur percue par le patient.
Selon un mode de réalisation particulier
préféré, les troisièmes moyens de contrôle sont également
reliés aux seconds moyens de contrôle de fa~on à ce que la
durée totale d'application du courant et l'intensité
moyenne de celui-ci soient adjustées l'une à l'autre pour
- lOa _ 201 1 693
s'assurer "automatiquement" de la destruction permanente
de la racine du poil par application d'une quantité
d'énergie suffisante en terme de U.L.
L'appareil selon l'invention peut s'appliquer à
l'électrolyse uniquement, auquel cas il induit un
5 générateur de courant galvanique. Il peut également
s'appliquer à la thermolyse seule, auquel cas il inclut un
générateur de courant HF. Il peut enfin
30 /
i
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s'appliquer aux deux, auquel cas il inclut à la fois un générateur de
courant HF et un de courant galvanique reliés au même filament en vue
d'une application successive ou simultanée des deux courants, l'un et
l'autre de ces deux courants étant bien sûr contrôlés en intensité et
durée par les premiers et seconds moyens de contrôle via les
troisièmes moyens de contrôle.
L'appareil selon l'invention est donc indépendant du type de
courant utilisé. Il est également indépendant du type de filament ou
électrode utilisé. Ainsi, on peut utiliser à volonté une simple
aiguille telle qu'illustr~e dans les brevets canadiens nos 1.142..599
et 1.248.594 ou une pince incluant une telle aiguille telle
qu'illustrée par exemple dans le brevet canadien no 1.261.004. On
pourrait même utiliser si désiré une simple pince sans aiguille,
telles que celles décrites par exemple dans les brevets canadiens nos
1.017.807; 1.190.602 et 1.144.990. On doit donc comprendre ci-après
que les mots "filaments conducteurs" et toute référence faite à
l "'insertion" de tels filaments incluent, dans le cadre de la présente
invention, les pinces et pinces à aiguilles utilisées dans ce domaine
à la place desdits filaments.
~ e préférence, les premiers et troisièmes moyens de contrôle
sont conçus et programmés pour moduler de façon discrète le courant
appliqué au filament selon une suite de séquences de durée variant
d'une fraction de seconde à plusieurs secondes, le courant appliqué
durant chaque séquence successive étant d'intensité constante, cette
intensité étant elle-même identique aux intensités des séquences
précédentes, ou différentes de celles-ci.
La programmation desdits moyens de contrôle peut
avantageusement être effectué de façon permanente. Ainsi, par exemple,
quatre programmes peuvent être intégrés à l'appareil lui permettant de
transr.lettre des courants électriques de "forme" programmée faisant
usage des deux types de courants en vue d'effectuer l'épilation avec
des propriétés accrues d'efficacité en terme de temps et de qualité
de travail, ainsi qu'une réduction de la douleur du sujet associée à
une telle opération, le tout ef~ectué avec une grande simplicité
d'utilisation de l'appareil. Le premier program~e peut s'appliquer aux
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-
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poils fins, le second aux poils moyens, le troisième aux poils gros et
le quatrième aux poils très gros.
Par simple affichage de l'énergie totale requise (i.e. le
nombre désiré de U.L.) en fonction de la grosseur du poil à éliminer,
des moyens de sélection intégrés à l'électronique de l'appareil
choisissent le programme requis intégré. L'intensité et la durée des
courants émis (i.e. la puissance respective des 2 types de courants)
sont alors ajustables en fonction de la sensibilité du patient et de
la zone du corps pour ainsi varier le temps d'épilation.
Les séquences des courants de chaque type peuvent être
visualisées indépen~mm~nt, étape par étape, lors du programme
séquentiel et modifiées (reprogrammées) par l'utilisateur de
l'appareil à l'aide d'une fonction de prograrnmation intégrée.
Un mode de réalisation préféré de l'appareil selon
l'invention va maintenant être décrit en détail en se réf~rant
notamment aux figs 6 et 7 de façon à faciliter la compréhension de
l'invention, sans pour autant en limiter la portée juridique telle que
définie dans les revendications annexées.
Description de l'appareil illustré sur les figs 6 et 7
L'appareil dont le bo~tier de contrôle et le circuit interne
sont illustrés sont les figs 6 et 7 a les fonctions et accessoires
suivants:
. un petit satellite en plastique (non illustré) rnonté à
l'extrémité d'un long fil de façon à pouvoir être aisément placé à
portée de vue de l'opérateur lorsque celui-ci travaille pour lui
permettre de visualiser le passage du courant, ce satellite étant muni
de deux diodes de couleur (une diode verte indiquant le passage du
courant galvanique et une diode rouge indiquant le passage du courant
E~),
. un hy~L~.,ètre de structure standard, incluant une
électrode de masse et une électrode rnanuelle (non illustrées),
destiné à évaluer l'hydratation de la peau. Une lecture est donn~e sur
un affichage approprié (1) en appuyant sur une touche (2). Cette
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-
-13-
lecture peut être utilisée comme référence pour fixer le montant
d'énergie requise et de là choisir un des programmes de la mémoire à
l'aide des moyens de sélection électronique intégré à l'appareil pour
modifier la puissance électrique transmise au patient, la puissance
devant être graduellement augmentée pour une peau sèche et réduite
pour une peau hydratée. Un test de sensibilité au courant galvanique
est mise en route en appuyant sur la touche (3). Le filament (ou
électrode) branché à la prise (36) ou (37) est inséré dans le
follicule pendant qu'une masse ~ranchée dans la prise (11) est tenue à
la main par le patient. Le courant galvanique est graduellement
augmenté jusqu'au seuil de tolérance du patient. La valeur du courant
affichée sert alors de référence à l'électrolyse pour la suite du
traitement:
. une horloge visualisée par un affichage (6) destinée
exclusivement à l'opérateur pour lui permettre de surveiller le tepms
d'un traitement en appuyant sur les touches (4) correspondant à 15,
30, 45 et 60 minutes. La fonction "Truetime" activée par la touche (5)
suspend le décompte de l'horloge lorsque l'opérateur n'utilise pas son
appareil (durant plus de 45 secondes) et repart celle-ci
automatiquement dès la reprise du travail. Ceci permet à l'opérateur
de connaître son temps réel de travail sur le patient;
. un bip audio, i.e. un signal sonore, confirmant le passage
des courants et la fin des traitements minutés. Le signal sonore
peut être supprimé en pressant sur une touche (7),
. une possibilité d'inversion des polarités des sorties
électriques galvaniques en mode anaphorèse - touche (~) - ou
cataphorèse - touche (9) -. Ces deux modes sont utilisés avec un
rouleau métallique (non illustré) dont le fil d'alimentation est
insérable dans une prise (10) prévue à cet effet. Ces modes de mise en
oeuvre qui exigent également l'utilisation de l'électrode de mas ~
insérée dans la prise (11), servent, essentiellement à rétablir le pH
de la peau;
2011693
'_
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. une pédale (non illustrée) à double usage, permettant de
lancer ou de stopper le passage des courants électriques selon l'état
du mode utilisé (actif ou inactif). Le mode pédale est activé et
désactivé en appuyant sur une touche (13) prévue à cet effet. De
faon générale, en mode actif, la pédale lancera les courants; en mode
inactif, elle sera utilisée pour inte~ e ceux-ci, en cas de
douleur par exemple;
. une minuterie automatique et ajustable pour retarder
l'application du courant pendant une certaine période de temps
- prédéterminée après détection du fait que l'électrode ou filament est
entré contact avec la peau. Ce délai appelé ("sensor") a pour but de
permettre de compléter les délicates opérations dlinsertion de
l'électrode. L'affichage du délai choisi est donné en (14), celui-ci
pouvant varier de 0.5 à 4 secondes et être ajusté au besoin en
appuyant sur les touches (15);
. des moyens électroniques intégrés à l'appareil pour
assurer une montée et descente graduelle du courant galvanique (DC).
Le courant DC peut être ajusté pour monter graduellement en intensité
durant environ 0.5 seconde après que le délai accordé pour l'insertion
se soit écoulé (voir fig. 5). Les rampes peuvent être obtenues par
une combinaison de programmation et de pièces électroniques connues
(voir, par exemple, le brevet canadien no 1.248.594);
. un affichage de l'énergie transmise au patient sur un
cadran (16). Cet affichage donne la valeur sélectionnée de la
puissance multiplié par le temps de passage du courant galvanique
donnés en U.L. (Units of Lye);
. des touches permettant de choisir le type de courant
transmis en priorité, soit galvanique en premier (touche 17), soit
E~ premier (touche 18), soit encore E~ répété (touche 19);
. des touches permettant de ~asser, en mode manuel, soit en
mode Blend (touche 32), soit en mode ~lectrolyse (touche 33), soit en
mode thermolyse (touche 34). TJne fois le mode choisi, la durée et
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-
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l'intensité du ou des deux types de courants est ajustable, et ce de
façon indépendante. L'intensité du courant galvanique qui varie entre
~ et 1.00 mA est affichée en (20) et peut être ajustée par pas de 0.05
mA au moyen des touches fléchées (21). La durée du courant galvanique
qui varie entre 0 et 20 sec est affichée en (22) et peut être ajustée
par pas de 0.1 sec en dec,à de 1 sec et par pas de 0.5 sec ensuite, au
moyen des touches fléchées (23). L'intensité du courant HF qui varie
entre 0 et 30, est affichée en (24) et peut être ajustée par pas de 1
au moyen des touches fléchées (25). La durée du courant HF qui varie
entre 0 et 8 sec, est affichée en (26) et peut être ajustée par pas de
0.01 sec en dec,à de 0.1 sec, par pas de 0.1 sec entre 0.1 et 1 sec, et
par pas de 0.5 sec ensuite, au moyen des touches (27).
Les touches (21) et (23) per~ettant d'ajuster l'intensité et
la durée du courant galvanique font bien sûr partie intégrante des
"premiers et seconds moyens de contrôle" auxquels il a été fait
référence préc~Ymment dans 1'énoncé de 1'idée créatrice de
l'invention. De même, les touches (25) et (27) permettant d'ajuster
l'intensité et la durée du courant HF font partie intégrante de ces
mêmes "premiers et seconds moyens de contrôle".
Quatre programmes intégrés à l'appareil électronique, ces
programmes étant classés de la faon suivante: 2rog 1 (touche 28) pour
les poils fins; Prog 2 (touche 29) pour les poils moyens; Prog 3
(touche 30) pour les poils gros; et Prog 4 (touche 31) pour les poils
très gros. Ces programmes et les éléments structurels permettant leur
entrée en mémoire et leur application au contrôle de l'intensité et
durée des courants appliqués en cours de traitement font bien sûr
partie intégrante des "troisièmes moyens de contrôle" mentionnés
pr~c~demment, les touches assurent leur sélection constituant bien sûr
les "moyens de sélection" égalernent mentionnés précéde7nment.
. En mode programmé i.e. en ayant choisi un des quatre
programmes ci-dessus mentionné par appui sur I'une des touches (28),
(29), (30) ou (31), le choix de la durée et de l'intensité de chacun
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des deux types de courants ne sont pas ajustables de facon
indépendante. Les programmes offerts sont considérés comme optimaux
pour les cas correspondants de poils fins, moyens, gros ou très gros.
Selon la sensibilité du patient, l'intensité moyenne des courants
galvaniques et HF peut toutefois être ajustée en appuyant sur les
touches flèchées (21). Les touches flèchées (21) permettent à elles
seules de varier l'intensité et donc la durée des insertions en
permettant l'accès à deux niveaux supérieurs et à deux niveaux
inférieurs en fonction de la sensibilité du patient, et ce pour chacun
des programmes Blend Prog 1, Prog 2, Prog 3 et Prog 4. Cinq programmes
sont donc accessibles à partir de chacune des touches (28, 29, 30 et
31) correspondant à une grosseur de poil donnée, lorsque les touches
flèchées (21) sont employés pour tenir compte de la sensibilité du
patient en répartissant une énergie donnée sur une plus ou ~oins
longue durée d'insertion.
. une possibilité pour l'opérateur de créer sa propre
séquence de courants en activant le mode de programmation et, une fois
cette activation effectuée, en remplacant (jusqu'à une nouvelle mise
sous tension de l'appareil) les paramètres du programme 4. Pour
activer le mode de programmation, l'opérateur doit successivement
appuyer sur les touches Blend (32), Prog 4 (31) et Memo (35). La
fenêtre "séquence" (40) s'illumine alors et montre sucessivement les
chiffres 1 à 6, le passage d'un chiffre à l'autre s'effectuant par
pression sucessive de la touche memo (35) jusqu'à la fin du défilement
des six séquences disponibles (dans le cas où l'appareil est bien sûr
limité à ce nombre m~ximllm de séquences). A cha~ue séquence, les
paramètres des courants doivent être ajustés aux valeurs souhaitées,
et ce à l'aide des touches fléchées (21, 23, 27 et 25). Les affichages
(20, 22, 24 et 26) et les pas disponibles sont les mêmes que dans le
mode manuel, sauf pour la durée du courant ~C qui varie par pas de 0.1
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seconde en de~cà de 1.0 sec et par pas de 0.5 sec ensuite. L'intensité
du courant galvanique affichée en (20), laquelle varie entre 0 et 1.00
mA, est ajustée par les touches (21) par pas de 0.05 mA. La durée de
courant galvanique affichée en (22) et qui varie entre 0 et 20 sec.,
est ajustée par les touches (23) par pas de 0.1 sec en deçà de 1 sec.,
et par pas de 0.5 sec ensuite. L'intensité du courant HF affichée en
(24) et qui varie entre 0 et 30 est ajustée par les touches (25) par
pas de 1. La durée du courant HF affichée en (26) et qui varie entre 0
et 8 sec. est ajustée par les boutons (27) par pas de 0.01 sec. en
de~à de 0.1 sec, par pas de 0.1 sec. entre 0.1 et 1 sec, et par pas de
0.5 sec. ensuite.
Deux électrodes ou filaments (non montrés) peuvent être
branchés dans des prises ou sorties (36,37). La sortie active est
sélectionnée par un commutateur (38).
Bien entendu, l'appareil inclut également un commutateur
principal (39). En outre, tel qu'on le voit sur la fig. 6, de nombreux
petits voyants (LEDs) sont prévus à côté de la plupart des
touches pour visualiser leur activation.
De ~ ription du fonctionnement de l'appareil illustré sur les figures 6
et 7
L'appareil ci-dessus décrit peut fonctionner selon quinze
modes d'opération différents, en fonction des besoins. Ces quinze
modes d'opération qui dépendent des fonctions choisies à 1'aide des
touches du bo~tier illustré sur la fig. 6 peuvent aisément se
comprendre à l'aide du schéma bloc de la fig. 7.
Mode 1: La thermolyse seule est choisie (mode manuel) en appuyant
sur la touche (34). L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
pédale (13) est employée pour lancer le courant ~F. La durée affichée
en (26) et l'intensité affichée en (24) du courant HF doivent être
ajustées avec les touches (27,25).
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Mode 2: La thermolyse seule est choisie (mode manuel) en appuyant
sur la touche (34). L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
durée de délai d'insertion, égalernent appelée "delay sensor" est
affichée en (14) et ajustée par la touche (15), est ernployée pour
lancer le courant HF. La durée affichée en (26) et l'intensité
affichée en (24) du courant HF doivent être ajustées avec les touches
(27, 25). La pedale (13) est disponible pour arrêter le courant.
~ode 3: Un "Blend" est choisi (mode manuel) en appuyant sur la
touche (32). L'utilisation de l'horloge (5) est facultative. La
fonction accessoire "delay sensor" (14) est employée pour lancer le
courant galvanique. La pédale (13) est employée pour lancer le
courant HF. La durée affichée en (26) et l'intensité affichée (24) du
courant HF doivent être ajustées avec les touches (27, 25). La durée
affichée en (22) et l'intensité affichée (20) du courant galvanique
doivent également être ajustées avec les touches (23, 21).
~Iode 4: Un "Blend" est choisi (mode manuel) et le bouton "galvanique
premier" (17) appuyé. L'utilisation de l'horloge (6) est facultative.
La fonction accessoire "delay sensor" (14) est ernployée pour lancer le
courant galvanique. L'appareil lance le courant HF à la fin de
l'application du courant galvanique. La durée affichée en (26) et
l'intensité affichée en (24) du courant HF doivent être ajustées avec
les touches (27, 25). La durée affichée en (22) et l'intensité
affichée en (20) du courant galvanique doivent être ajustées avec les
touches (23, 21). La pédale (13) est disponible pour arrêter les
courants.
~lode 5: Un "blend" est choisi (mode rnanuel) et le bouton I~F prernier
(1~) appuyé. L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
fonction accessoire "delay sensor" (14) est employée pour lancer le
courant ~alvanique.
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'_
,9
L'appareil lance le courant HF au début de l'application du courant
galvanique. La durée affichée en (2~) et l'intensité affichée (24) du
courant HF doivent être ajustées avec les touches (27, 25). La durée
affichée en (22) et l'intensité affichée en (20) du courant galvanique
doivent également être ajustées avec les touches (23, 21). La pédale
(13) est disponible pour arrêter les courants.
r~ode 6: Un "Blend" est choisi (mode manuel) et la touche "HF repeat"
(19) appuyée. L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
touche "delay sensor" (14) est employée pour lancer le courant
galvanique. L'appareil lance le courant HF deux fois. Au de~but de la
durée du galvanique avec 75% de l'intensité affichée, et a la fin avec
100% de l'intensité affichée en (24). La durée affichée en (26) et
l'intensité affichée en (24) du courant HF doivent être ajustées avec
les touches (27, 25). La durée affichée en (22) et l'intensité
affichée en (20) du courant galvanique doivent être ajustées avec les
touches (23, 21). La pédale (13) est disponible pour arrêter les
courants.
~Iodes 7, 8, 9, 10: Un "Blend" est désiré et l'une des touches (2~,
29, 30 et 31) est appuyée (mode programmé). L'utilisation de l'horloge
(6) est facultative. La fonction accessoire "delay sensor" (14) est
employée pour lancer les séquences programées de courants galvaniques
et HF. Les valeurs des paramètres ne peuvent être changées
indép~n~m~nt. La touche intensité (21) permet d'augmenter ou de
diminuer la douleur ressentie en fonction de la sensibilité du sujet
en accédant à deux niveaux supérieurs ou deux niveaux inférieurs de
séquences progammées à cet effet. L'appareil lance le courant
galvanique autant de fois que le programme le requiert (cinq séquences
dans le cas illustré sur la fig. 5), chaque fois avec l'intensité et
la durée programmées. La pédale (13) est disponible pour arrêter les
courants.
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.Iode 11: Un "Blend" est choisi en appuyant la touche (32) et une
progral~mation est requise par appui successif sur les touches Prog 4
(31) et Mémo (35) (mode programnable). L'utilisation de 1 'horloge (6)
est facul tative. La fonction accessoire "delay sensor" (14) est
empl oyée pour lancer 1 es séquences programmées de courants gal vanique
et HF. Les valeurs des paramètres peuvent être changées
indépen~l~rr~nt, et ce, sur chacune des six séquences disponibles pour
la création d'un nouveau programme. La touche Prog 4 (31) ne sert que
d'accès à la mémoire activée par la touche (35), dans laquelle
1 'opérateur peut entrer son prograr~ne. Sur chacune des six séquences
disponibles, la durée affichée en (26) et l'intensité affichée en (24)
du courant HF doivent être ajustées avec les touches (27, 25). La
durée affichée en (22) et l'intensité affichée en (20) du courant
galvanique doivent aussi être ajustées avec les touches (23,21). Une
nouvelle pression de la touche memo (35) donne accès au réglage des
paramètres de la deuxième séquence, et ainsi de suite. L'appareil
retourne automatiquement à son mode de fonctionement (toujours en mode
programmable) après la sixième séquence. Ensuite, l'appareil lance le
courant galvanique autant de fois que le programme le requiert (cinq
séquences dans le cas de la fig. 5), chaque fois avec l'intensité et
la durée programmées, et chaque fois avec une rampe montante ou
descendante, selon le cas. L'appareil lance également le courant ~IF
autant de fois que le programme le requiert (4 séquences dans le cas
de la fig. 5), chaque fois avec 1 'intensité et la durée programnées.
La pédale (13) est disponible pour arrêter les courants.
Mode 12: L'électrolyse seule est choisie (mode manuel ) en appuyant
sur la touche (33). L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
fonction accessoire "delay sensor" (14) est employée pour lancer le
courant galvanique. La durée affichée en (22) et 1 'intensité affichée
en (20) du courant galvanique doivent être ajustées avec les touches
(23, 21 ). La pédale (13) est disponible pour arrêter les courants.
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Mode 13: L'électrolyse seule est désirée (mode manuel) en appuyant
sur la touche (33). L'utilisation de l'horloge (6) est facultative. La
pédale (13) est employée pour lancer le courant galvanique. La durée
affichée en (22) et l'intensité affichée en (20) du courant galvanique
doivent être ajustées avec les touches (23, 2I).
Mode 14: L'anaphorèse est choisie (m~de manuel) en appuyant sur la
touche (8). L'utilisation de l'horloge (6) est facultative.
L'intensité affichée en (20) du courant galvanique doit être ajustée
avec les touches (21). La pe'dale (13) est disponible pour arrêter le
courant.
~Iode 15: La cataphorèse est choisie (mode manuel) en appuyant sur la
touche (9). L'utilisation de l'horloge (5) est facultative.
L'intensité affichée en (20) du courant galvanique doit être ajustée
avec les touches (21). La pédale (13) est disponible pour arrêter les
courants.
Comme on peut donc maintenant le comprendre, la présente
invention consiste es ~ ntiellement à envoyer séquentiellement ou
simultanément un ou des courant(s) de divers types et de différentes
catégories en modulant (i.e. variant) l'intensité de chaque type par
programmation ou tout autre moyen physique.
Comme on peut également le comprendre, les diverses
fonctions et "moyens de contrôle" ci-dessus mentionnés peuvent être
"incorporés" à un microproces ~ur contrôlé par les touches de c~nmande
du boîtier et relié au(x) générateur(x) de courant et aux électrodes.
La valeur du courant de sortie peut être survei 1 lée p~r le
microprocesseur et un filtre RC peut être prévu pour protéger le
courant galvanique des interférence du courant HF.
