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EXTRACTEUR CHIRURGICAL
Domaine technique de l'invention
L'invention a pour objet un appareil destiné à être utilisé en chirurgie
et, plus spécifiquement encore, en laparoscopie pour extraire du corps d'un
patient la vésicule biliaire ou tout autre organe ou élément d'une dimension
non négligeable durant une opération.
Brève description de l'art antérieur
II existe de nombreux brevets décrivant des extracteurs conçus pour
retirer des calculs, tissus ou autres éléments du corps d'un patient durant
une chirurgie. Ä titres d'exemples non limitatifs, on peut cires les brevets
américains suivants
4.807.626 (1989) McGIRR
5.147.371 (1992) WASHINGTON
5.788.709 (1998) RIEK et al
Certains de ces extracteurs connus sont spécialement adaptés pour
un usage percutané dans des organes vasculaires tels que le foie ou les reins
ou pour une laparoscopie (voir les brevets WASHINGTON et RIEK et al).
2 o II existe aussi des brevets décrivant des extracteurs à usage médical
mais non chirurgical. Ä titre d'exemple non limitatif de tels brevets, on peut
citer le brevet américain suivant qui décrit un extracteur conçu pour retirer
des impactions fécales dans le rectum d'un patient
5.730.726 (1998) KLINGENSTEIN
II existe enfin de nombreux brevets décrivant des appareils connus
sous le nom de « rétracteurs chirurgicaux », qui sont utilisés pour séparer
ou écarter les parties d'un organe ou du corps d'un patient durant une
chirurgie, notamment une laparoscopie. Ä titre d'exemples non limitatifs de
tels brevets, on peut citer les brevets américains suivants
5.275.610 (1994) COOK INC.
5.339.803 ( 1994) MAYZELS et al
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5.656.012 (1997) U.S. SURGICAL CORP.
Si tous ces brevets décrivent des appareils dont la structure et/ou
l'usage peuvent être considérés comme a priori similaires à celui de
l'appareil
selon l'invention, aucun ne décrit ou ne suggère un extracteur chirurgical
spécialement conçu pour être utilisé en laparoscopie et qui, de par sa
structure, permet de
1- ne s'ouvrir que d'un côté seulement de son axe principal, en
vue d'attraper et de saisir avec plus de précision l'organe à
extraire;
2- appliquer une force de compression importante sur l'organe à
extraire après qu'il ait été saisi de façon à l'écraser, le broyer
si besoin et ainsi en réduire la taille; et
3- avoir un tube interne ouvert donnant non seulement un accès
à la zone d'extraction mais également un accès à l'organe sais
en vue de le disséquer et de l'aspirer.
Résumé de l'invention
L'objet de l'invention est donc un appareil ci-après appelé « extracteur
chirurgical », qui est destiné à être utilisé pour extraire un organe du corps
d'un patient durant une opération et qui, de par sa structure, répond aux
trois besoins ci-dessus listés, ce qui lui permet d'être utilisé notamment en
laparoscopie pour extraire par un tube de diamètre restreint (un centimètre
ou moins) des organes de dimensions non négligeables et, en fait, très
supérieures à celles de simples calculs ou tissus. Ä titre d'exemple non
limitatif de tel organe de taille non négligeable, on peut citer la vésicule
biliaire.
L'extracteur chirurgical selon l'invention est caractérisé en ce qu'il
comprend
un premier tube creux ci-après appelé « glissoire », cette glissoire
3 o ayant un axe longitudinal rectiligne et une section constante, une
première
extrémité ouverte et une seconde extrémité, et une longue ouverture radiale
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proche de la seconde extrémité, cette ouverture radiale s'étendant sur plus
de la moitié de la section de la glissoire; et
un second tube creux ci-après appelé « poussoir », monté de façon
coulissante sur la glissoire.
Plusieurs tiges flexibles ci-après appelées « lanières » s'étendent dans
le prolongement du poussoir. Chacune de ces lanières a un premier bout fixé
de façon rigide au poussoir et un second bout connecté de façon rigide à la
glissoire à proximité de la seconde extrémité de celle-ci. Ces lanières sont
réparties au-dessus de l'ouverture radiale de la glissoire.
l0 Des moyens sont également prévus pour appliquer une pression sur
le poussoir de façon à
dans un premier temps, déplacer le poussoir sur une distance
de course donnée depuis une position de repos vers une position d'ouverture
plus proche de la seconde extrémité de la glissoire, ceci amenant les lanières
à se bomber et s'ouvrir en pétales au-dessus de l'ouverture radiale pour
ainsi permettre de saisir dans une direction radiale donnée un organe à
extraire du corps d'un patient, et
dans un deuxième temps, ramener le poussoir de sa position
d'ouverture à sa position de repos tout en forçant, si besoin est, sur les
2 o lanières pour les débourber et ainsi écraser l'organe saisi par celles-ci
en vue
de permettre à cet organe de passer dans la glissoire et d'étre extrait de
celle-ci au niveau de la première extrémité ouverte.
Les moyens ci-dessus mentionnés pour appliquer une pression sur le
poussoir sont de préférence constitués par des poignées respectivement
fixées à la glissoire et au poussoir près de la première extrémité ouverte. En
éloignant la poignée du poussoir de celle de la glissoire, on amène le
poussoir en position d'ouverture. On notera ici que les lanières, de par leur
disposition, s'écartent au-dessus de l'ouverture et peuvent donc être
orientées dans la direction radiale ci-dessus évoquée pour permettre une
3 o saisie « directionnelle » de l'organe à extraire. Après la saisie, en
rapprochant les deux poignées tout en les serrant si besoin est, on ramène
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le poussoir en position de repos et on écrase l'organe pris dans les lanières.
Si l'écrasement ainsi effectué n'est pas suffisant pour permettre l'extraction
de l'organe, on peut insérer un couteau dans la glissoire du fait qu'elle soit
creuse et ouverte à sa première extrémité, et venir découper ou broyer
l'organe en parties plus petites capables d'être extraites par la glissoire.
Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, l'extracteur
chirurgical peut incorporer une mèche s'étendant sur toute la longueur de
la glissoire au sein de celle-ci, pour broyer et extraire l'organe saisi.
Cette
mèche peut être entraînée en rotation par un moteur disposé à proximité de
la première extrémité ouverture de la glissoire.
Si besoin est, une sortie radiale peut être prévue près de cette
première extrémité ouverte de la glissoire, en vue de raccorder un dispositif
de section sous vide.
Selon un autre mode de réalisation préféré de l'invention, une
enveloppe dite « d'étanchéité » pourvue d'une fente radiale peut être
disposée sur le poussoir et les lanières de façon à couvrir au minimum
l'ouverture radiale et la seconde extrémité de la glissoire. La fente de
l'enveloppe est disposée de façon à se trouver au-dessus de l'ouverture.
Lorsque le poussoir est déplacé en position d'ouverture, les lanières en se
2o bombant ouvrent la fente et permettent donc la saisie de l'organe qui se
trouve alors inséré dans l'enveloppe. Lors du retour du poussoir en position
du repos, l'enveloppe se rétracte avec les lanières et éviter que l'organe ou
des parties broyées ne s'échappent dans le corps du patient.
L'invention et ses avantages ressortiront mieux à la lecture de la
description non limitative qui va suivre de plusieurs modes de réalisation
préférés de celle-ci, faite en se référant aux dessins annexés.
Avantageusement, une autre bague peut être montée de façon
coulissante sur le poussoir pour maintenir l'enveloppe et permettre à
l'opérateur de la faire glisser dans un sens ou dans l'autre en fonction des
3 o besoins.
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Brève description des dessins
La figure 1 est une vue en perspective d'un extracteur chirurgical
selon un premier mode de réalisation de l'invention, cet extracteur étant
illustré en position « fermée », qui est la position utilisée lors de
5 l'introduction dans le corps du patient et lors de son retrait après usage;
la figure 2 est une vue analogue à la figure 1, montrant l'extracteur
en position « ouverte », lorsqu'il est prét pour l'extraction d'un organe;
la figure 3 est une vue en perspective du poussoir de l'extracteur
illustré sur les figures 1 et 2;
la figure 4 est une vue en perspective de la glissoire de l'extracteur
illustré sur les figures 1 et 2;
la figure 5 est une vue en perspective d'un extracteur chirurgical
selon un second mode de réalisation de l'invention, cet extracteur étant
illustré en position ouverte et équipé d'une mèche et d'un moteur pour
faciliter l'extraction de l'organe à extraire;
les figures 6 et 7 sont des vues de dessus en positions ouverte et
fermée de la tête d'un extracteur chirurgical selon l'invention, pourvue d'une
enveloppe de recouvrement;
la figure 8 est une vue en perspective d'une extrémité chirurgicale
2o selon un troisième mode de réalisation de l'invention, cet extracteur étant
pourvu d'une enveloppe de recouvrement illustrée en pointillé;
la figure 9 est une vue en perspective du poussoir de l'extracteur
illustré sur la figure 8; et
la figure 10 est une vue en perspective couchée de la glissoire de
l'extracteur illustrée sur la figure 8.
II convient de mentionner que les proportions utilisées dans les
dessins ne sont pas nécessairement représentatives des dimensions réelles
de l'extracteur chirurgical. Ces proportions ont été utilisées uniquement dans
le but de rendre les dessins plus clairs. Pour évaluer les dimensions réelles
3 o de l'extracteur selon l'invention, le lecteur est prié de se référer à ce
qui est
indiqué dans la description qui suit. II convient aussi de mentionner que,
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dans les dessins, les mêmes références numériques ont été utilisées pour
identifier les mêmes éléments structuraux, et ce quel que soit le mode de
réalisation illustré.
Description de plusieurs modes de réalisation préférés de l'invention
L'extracteur chirurgical 1 selon l'invention tel qu'illustré dans les
dessins annexés comprend deux éléments structuraux de base.
Le premier de ces éléments est un premier tube creux 3 ci-après
appelé « glissoire », fait en un métal ou une matière plastique rigide
lo biocompatible. La glissoire 3 a un axe longitudinal rectiligne et une
section
constante. Elle a aussi une première extrémité ouverte 5 et une seconde
extrémité 7 qui peut être ouverte ou fermée au choix. Dans les modes de
réalisation illustrés sur les figures 1 à 7, cette seconde extrémité 7 est
fermée. Dans le mode de réalisation illustré sur les figures 8 à 10, elle est
ouverte. La glissoire 3 a enfin une longue ouverture radiale 1 1 proche de la
seconde extrémité 7, et qui s'étend sur plus de la moitié de la section de la
glissoire 3.
Avantageusement, la glissoire 3 a une longueur comprise entre 40 et
50 cm, et un diamètre inférieur à 2 cm. Ce diamètre est de préférence de
l'ordre de 1 cm. Son ouverture radiale a alors une longueur comprise entre
15 et 25 cm. Cette ouverture radiale a de préférence 20 cm de long.
Le second des éléments structuraux de base de l'extracteur 1 est un
second tube creux 15 ci-après appelé « poussoir » qui est façonné et
dimensionné pour être monté de façon coulissante sur la glissoire 3. Le
poussoir 15 est également fait en métal ou matière plastique biocompatible.
Plusieurs tiges flexibles 17 ci-après appelés « lanières » s'étendent
dans le prolongement du poussoir. Chacune de ces lanières a un premier
bout 19 fixé de façon rigide au poussoir 15 et un second bout 21 connecté
de façon rigide à la glissoire 3 à proximité de la seconde extrémité 7 de
3 o celle-ci. Ces lanières 17 dont le nombre peut varier en fonction des
besoins
(voir, à titre de comparaison, les figures 2 et 5) sont répartis au-dessus de
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l'ouverture radiale 1 1 de la glissoire 3.
Tel qu'illustré sur toutes les figures, les lanières font de préférence
partie intégrante du poussoir. Leurs seconds bouts 21 peuvent être soudés
directement à même la seconde extrémité 7 de la glissoire (voir figures 3
à 5) ou être intégraux à une bague 23 qui est elle-même fixée rigidement à
même la seconde extrémité de la glissoire (voir figures 1 et 2).
Selon une caractéristique importante de l'invention, des moyens sont
prévus pour appliquer une pression sur le poussoir de façori à
dans un premier temps, déplacer le poussoir 15 sur une distance de
1o course de l'ordre de 4 à 8 cm (de préférence 5,5 cm) depuis une position de
repos (voir figure 1 ) vers une position d'ouverture (voir figures 2 et 5)
plus
proche de la seconde extrémité 7 de la glissoire 3, ceci amenant les lanières
17 à se bomber et s'ouvrir en pétales au-dessus de l'ouverture radiale 15
pour ainsi permettre de saisir dans une direction radiale donnée « D » un
organe à extraire du corps d'un patient, et
dans un deuxième temps, ramener le poussoir 15 de sa position
d'ouverture (voir figures 2 et 5) à sa position de repos (voir figure 1 ) tout
en forçant, si besoin est, sur les lanières 17 pour les débourber et ainsi
écraser l'organe saisi par celles-ci en vue de permettre à cet organe de
2o passer dans la glissoire 3 et d'être extrait par la première extrémité
ouverte
5 de celle-ci.
Dans les modes de réalisation illustrés, les moyens en question pour
appliquer une pression sur le poussoir sont de préférence constitués par des
poignées 25, 27 respectivement fixées à la même glissoire 3 et le poussoir
15 près de la première extrémité ouverte. En éloignant la poignée 27 du
poussoir 15 de celle 25 de la glissoire 3, on amène le poussoir 15 en
position d'ouverture. On notera ici que les lanières 17, de par leur
disposition, s'écartent au-dessus de l'ouverture et peuvent donc être
orientées dans la direction radiale « D » pour ainsi permettre une saisie
3 0 « directionnelle » de l'organe à extraire. Après la saisie, en rapprochant
les
deux poignées 25, 27 tout en les serrant si besoin est, on ramène le
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poussoir 15 en position de repos et on écrase l'organe pris dans les lanières
17. Si l'écrasement ainsi effectué n'est pas suffisant pour permettre
l'extraction de l'organe, on peut insérer un couteau (non illustré) dans la
glissoire du fait qu'elle soit creuse et ouverte à sa première extrémité 5. On
peut alors, depuis l'extrémité 5, venir découper ou broyer l'organe en parties
plus petites capables d'être extraites par la glissoire 5.
Pour permettre un bon déplacement axial du poussoir 15 sur la
glissoire 3, un système de guidage peut être prévu. Ce système est de
préférence constitué d'au moins une fente axiale 29 prévue dans le poussoir
1o et dans laquelle vient s'insérer une tige de guidage 31 s'étendant
radialement depuis la surface de la glissoire 3.
Dans le mode de réalisation préféré de l'invention illustré sur la figure
5, l'extracteur chirurgical 1 peut incorporer une mèche 33 s'étendant sur
toute la longueur de la glissoire 3 au sein de celle-ci, pour broyer et
extraire
l'organe saisi. Cette mèche 33 est entraînée en rotation par un moteur 35
disposé à proximité de la première extrémité ouverte 5 de la glissoire.
Si besoin est, une sortie radiale supplémentaire 37 (voir figures 4 et
5) peut être prévue près de la première extrémité ouverte 5 de la glissoire
3, en vue de raccorder un dispositif de section sous vide.
2o Tel qu'il est illustré sur les figures 6 et 7, une enveloppe 39 dite
d'étanchéité » pourvue d'une fente radiale 41 peut être disposée sur le
poussoir 15 et les lanières 17 de façon à couvrir au minimum l'ouverture
radiale . 1 1 et la seconde extrémité 7 de la glissoire 3. La fente de
l'enveloppe est disposée de façon à se trouver au-dessus de l'ouverture.
Lorsque le poussoir 15 est déplacé en position d'ouverture (voir figure 7),
les lanières 17 en se bombant ouvrent la fente 41 et permettent donc la
saisie de l'organe qui se trouve alors inséré dans l'enveloppe 39. Lors du
retour du poussoir en position du repos (voir figure 6), l'enveloppe 39 se
rétracte avec les lanières et éviter que l'organe ou des parties broyées ne
3 o s'échappent dans le corps du patient.
Si besoin est, l'extracteur peut comprendre des crochets 43 reliant
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les lanières 17 les plus proches de la fente 41 à même les rebords latéraux
de celle-ci tel qu'illustré sur la figure 7. Ceci permet d'assurer une bonne
ouverture de la fente 41 lorsque le poussoir 15 est déplacé en position
d'ouverture et une bonne fermeture hermétique de la fente 41 lorsque le
poussoir 15 est ramené en position de repos.
Un bouchon 45 (voir figures 1 et 2) peut également être prévu pour
fermer la première extrémité ouverte 5 lorsque requis.
Comme on peut maintenant mieux l'apprécier, l'extracteur chirurgical
1 selon l'invention est particulièrement bien adapté pour un usage en
l0 laparoscopie. De par sa structure, il ne s'ouvre que d'un côté seulement de
son axe principal, et ce dans la direction D, en vue d'attraper et de saisir
avec plus de précision l'organe à extraire. Grâce aux moyens 25, 27 pour
appliquer une pression, l'utilisateur peut appliquer une force de compression
importante sur l'organe à extraire après qu'il ait été saisi de façon à
l'écraser, le broyer si besoin et ainsi en réduire la taille. Enfin, il a
l'avantage
d'avoir un tube interne 3 ouvert donnant non seulement un accès à la zone
d'extraction mais également un accès à l'organe en vue de le disséquer et
de l'aspirer.
Tel qu'il est illustré sur les figures 8 à 10, l'extracteur chirurgical 1
peut être équipé d'une lanière supplémentaire 47 ayant un premier bout 49
fixé de façon rigide au poussoir 15 sous les premiers bouts 19 des autres
lanières 17, et un second bout libre 51 à l'extrémité arrondie, qui passe
dans la bague 23 retenant les seconds bouts des autres lanières. Cette
lanière supplémentaire 47 est conçue pour s'insérer et glisser dans une fente
longitudinale 53 et une entaille 55 prévues dans la glissoire 3 sous
l'ouverture radiale 1 1 et dans la seconde extrémité 7 de celle-ci.
L'ajout de cette lanière supplémentaire 47 dont le bout libre 51 (ou
l'extrémité distale) se retrouve libre, a pour but de maintenir l'extrémité
distale de l'enveloppe 39 à sa place lors du déplacement du poussoir 15. Tel
3 0 qu'illustré sur la figure 10, cette lanière supplémentaire 47 passe
librement
dans la rainure 55 qui définit une ouverture entre la glissoire et le poussoir
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et se déplace donc avec ce dernier sans se courber.
Une autre bague 57 est également montée de façon coulissante sur
le corps du poussoir 15. Cette autre bague 57 sert de support de fixation
pour l'enveloppe 39 et permet à l'opérateur de tirer sur cette enveloppe ou
5 la repousser à volonté (voir figure 8).
II va de soi que de nombreuses modifications pourraient être
apportées aux modes de réalisation préférentiels qui viennent d'être décrits.
Ainsi, par exemple, un système mécanique tel qu'un levier manuel ou un
piston électrique ou pneumatique, pourrait être utilisé comme autres moyens
l0 pour appliquer une pression sur le poussoir.
