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Patent 2352977 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2352977
(54) English Title: CRANKSET DEVICE
(54) French Title: DISPOSITIF POUR PEDALIER
Status: Withdrawn
Bibliographic Data
(51) International Patent Classification (IPC):
  • B62M 1/36 (2013.01)
  • B62M 3/04 (2006.01)
(72) Inventors :
  • JACQUES, ANDRE (Canada)
(73) Owners :
  • JACQUES, ANDRE (Canada)
(71) Applicants :
  • JACQUES, ANDRE (Canada)
(74) Agent: NA
(74) Associate agent: NA
(45) Issued:
(86) PCT Filing Date: 1999-11-03
(87) Open to Public Inspection: 2000-05-18
Examination requested: 2001-05-03
Availability of licence: N/A
(25) Language of filing: French

Patent Cooperation Treaty (PCT): Yes
(86) PCT Filing Number: PCT/CA1999/001020
(87) International Publication Number: WO2000/027690
(85) National Entry: 2001-05-03

(30) Application Priority Data:
Application No. Country/Territory Date
2,253,014 Canada 1998-11-10

Abstracts

English Abstract

To understand the present invention, it is first necessary to understand thoroughly the following discovery concerning the calf when pressure is applied on the pedal: there are two optical illusions which mislead everyone (figures 21 and 22 represent a lower limb pressing on a pedal, (6) being the thigh, (11) the leg, A+B the foot and (1) the ankle). The first illusion (fig 21) is to believe that the calf (M) increases the pressure on the pedal. The second illusion (fig 22) is not to see the force M' which cancels the force M. The entire pressure on the pedal is derived from the thigh only, the calf contraction being merely loss of energy. The invention consists in replacing the pedal by a mechanism avoiding the use of the calf thereby doubling performance without loss of power.


French Abstract




Pour comprendre cette invention, il faut commencer par comprendre en
profondeur la découverte suivante qui concerne le mollet quand on appuie sur
une pédale, deux illusions d'optique trompant le monde entier (les fig 21 et
22 symbolisent un membre inférieur appuyant sur une pédale, (6) étant la
cuisse, (11) la jambe, A+B le pied et (1) la cheville). La 1ère illusion (fig
21) est de croire que le mollet (M) augmente la pression sur la pédale. La
deuxième illusion (fig 22) est de ne pas voir la force M' qui annule la force
M. La totalité de la pression sur la pédale provient de la cuisse seulement,
la contraction du mollet étant une perte d'énergie. L'invention consiste à
remplacer la pédale par un mécanisme permettant d'éviter l'usage du mollet ce
qui multiplie par deux le rendement sans perte de puissance.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.




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REVENDICATIONS

1- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), (extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied) est posé sur la
plateforme(21 fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil (2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle 8 variable, fig 76, 77 et 86), qui permets d'obtenir un
déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .theta. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cycle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par (arrière (fig 39), à
condition



135

que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:

1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied (111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme; dans le cas d'une
pédale,

2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,

3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme; (21, fig 44 et
46), soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (2.5, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,

4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon, ledit essieu (26, fig 44) ayant 5 centimètres
de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa




136

chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45), le talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou (27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste
place sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 88)
INCLUS les éléments techniques suivant:
T1- un essieu (109, fig 87) qui est constitué de la facon suivante:
a) la partie circulaire (b, fig 87) de l'essieu (109, fig 87) tourne librement
dans la
partie (b, fig 87) au bout de la manivelle qui contient des cylindres de
roulement
(108, fig 87) (appelé communément roulement à rouleaux)
b) la partie carrée de l'essieu (109, fig 87) s'introduit dans le trou carré à
l'avant de
la plateforme (21) situé sous la plateforme;
c) la partie rainurée (a) de l'essieu (109 fig 87) s'introduit dans la partie
rainurée(a)de la came dentée(104 fig 87), cela permettant:
i) de choisir le degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 87) par rapport
à la
came dentée (104 fig 87), et
ii) de rendre solidaires la came dentée (104 fig 87), l'essieu (109 fig 87) et
la
plateforme (21 fig 87) comme s'il s'agissait d'une seule pièce rigide,
T2- une roue circulaire dentée(103 fig 87 et 88) soudée au boitier du
pédalier, cette
roue ne pouvant pas tourner : c'est la chaîne (105 fig 87 et 88) qui fait le
tour




de cette roue (103 fig 87 et 88) quand le pédalier tourne;
T3- une came (104 fig 87 et 88) (évidemment non circulaire) ayant le même
nombre de
dents (donc même circonférence) que la roue circulaire dentée (103 fig 87 et
88),
la came (104 fig 87 et 88) et la roue circulaire dentée (103 fig 87 et 88)
étant reliées
entre elles par une chaîne de traction (105 fig 87 et 88) équipée d'un tenseur
de
chaîne à ressort (106, 107 fig 87 et 88), la position relative de la came (104
fig 87
et 88) par rapport à l'essieu (109 fig 87 et 88) étant choisie de façon à
obtenir les
valeurs numériques désirées pour l'angle variable (.theta., fig 76, 77et 86);
2- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), l'extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(2l, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied) est posé sur la
plateforme(21fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil(2,fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2,fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .theta. variable, fig 76, 77et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement l'articulation du
gros
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .theta. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la


131
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par l'arrière (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied (111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi


139
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon, ledit essieu (26, fig 44) ayant 5 centimètres
de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45) , le talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou (27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 86)
INCLUS les éléments techniques suivant:
T1-d'une pièce de forme irrégulière courbée (100 fig 86) faisant partie
intégrante de la
plateforme (21 fig 86), la partie du bas de cette pièce (100 fig 86) étant
montée sur
le côté intérieur de la plateforme (21 fig 86) en postion fixe; la partie du
haut de
cette pièce (100 fig 86) possédant une courbure telle que, quand la partie du
haut
fait du va et vient entre les roues (102 fig 86), on obtiens le degré
d'inclinaison
variable de la plateforme qu'on désire avoir (angle .THETA. fig 86 et fig 76);
comme la



140

partie du haut de la pièce (100 fig 86) touche toujours aux deux roues en même
temps, il est évident qu'elle est d'une largeur uniforme en ce qui concerne la
portion
de la pièce (100 fig 86) qui fait du va et vient entre les roues (102 fig 86);
T2-deux roues de 3 centimètres de rayon (102 fig 86) qui viennent s'appuyer
sur les
deux bordures de la pièce (100 fig 86), ces deux petites roues (102 fig 86)
étant
retenues ensemble par deux pièces rectangulaires (101 fig 86) situées de
chaque
côté des deux roues (102 fig 86) grâce à quatre axes de rotation (W fig 86,
deux de
chaque côté)), la pièce rectangulaire (101 fig 86) située entre le tube du
cadre du
vélo et les deux roues (102 fig 86) étant montée par son centre au tube du
vélo
grâce à un axe de rotation (Z fig 86), ce qui permet, à la pièce combinée
(101 et 102 fig 86) de tourner autour de l'axe (Z fig 86) quand le pédalier
tourne,
cela permettant de garder le contact de façon tangente (90 degrés) entre les
deux
roues (102 fig 86) et les deux bordures de la pièce (100 fig 86) sur
lesquelles
tournent les roues (102 fig 86).
3- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), l'extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied) est posé sur la
plateforme(21 fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil(2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .theta. variable, fig 76, 77et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),




141

ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .theta. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par l'arrière (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ce mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig 44)
comprenant:
i) un axe de rotation (59, fig 80) monté sur un collet installé en position
fixe autour du
tube horizontal du bas du cadre soutenant la roue arrière;
ii) d'une manivelle (53, fig 79 et 80), de même longueur que la manivelle du
pédalier
(112 fig 78) se déplaçant toujours parallèlement avec la manivelle du pédalier
(112
fig 78), cette manivelle (53, fig 79 et 80)) tournant librement surl'axe de
rotation (59 fig 80);
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied (111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une



142
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter (insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon, ledit essieu (26, fig 44) ayant 5 centimètres
de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45), le talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand (essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,



143
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou (27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne (ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 79)
INCLUS les éléments techniques suivant:
T1- une pièce horizontale (54 fig 78, 79) reliant les extrémités du haut de la
manivelle
(53 fig 79 et 80) et de la manivelle du pédalier,
T2- une pièce (55 fig 80) comportant un trou avec des dents s'insérant dans
l'axe (60
fig 80) avec des dents similaires à l'extrémité tournante de la manivelle
(53 fig 80); cette pièce (55 fig 80) est donc solidaire de la manivelle (53
fig 80)
et le trou comportant des dents (55 fig 80) permets de choisir l'angle entre
les
pièces (55 fig 80) et (53 fig 80), cet angle demeurant le même pendant la
rotation
du mécanisme;
T3- une pièce droite (57 fig 80) pouvant s'ajuster à la position désirée dans
la fente (ou
rainure) de la pièce (55, fig 80) au moyen d'un petit écrou qui traverse
l'élément
coulissant (57 fig 80) et la pièce (55 fig 80), ce qui permets de choisir la
longueur
de la pièce combinée (55 plus 57 fig 80);
T4- un axe de rotation fixe au bout de la pièce (57 fig 80) qui s'insère dans
le trou de
la pièce (56, fig 80);
T5- une pièce (58) pouvant s'ajuster à la longueur désirée d'une façon
similaire à la
pièce (55 fig 80) dans la fente (ou rainure) de la pièce (56, fig 80), ce qui
permets de
choisir la longueur de la pièce combinée (56 plus 58 fig 80);
T6- un axe de rotation fixe au bout de la pièce (58 fig 80) qui s'insère dans
un trou de
rotation fixe situé à l'arrière de la plateforme (21 fig 80).
4- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), (extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier



144

(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(done le pied) est posé sur la
plateforme(21 fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil(2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .theta. variable, fig 76, 77 et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle 8 (fig 76,
77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure sait continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par l'arriére (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ce mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig 44)
comprenant:
a) un axe de rotation (65, fig 81) monté sur un collet (64 fig 81) installé en
position



145

fixe autour du tube horizontal du bas du cadre soutenant la roue arrière;
b) d'une manivelle (66, fig 81), de même longueur que la manivelle du pédalier
(112 fig 78) qui tourne librement autour de l'axe de rotation (65 fig 81),
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:

1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied (111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme; dans le cas d'une
pédale,

2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,

3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,

4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon, ledit essieu (26, fig 44) ayant 5 centimètres
de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la



146

plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45),1e talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou (27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 81)
INCLUS les éléments techniques suivant:

T1- une came dentée (67 fig 81), donc non circulaire, qui est de même
circonférence
que la roue dentée circulaire (62 fig 81), les deux ayant le même nombre de
dents,
ladite came (67 fig 81) étant soudée sur l'extrémité intérieure de l'essieu
(65fig 81),
l'extrémité fixe de la manivelle (66 fig 81) étant soudée à l'extrémité
extérieure de
l'essieu (65 fig 81) de telle sorte que la came (67 fig 81), l'essieu (65 fig
81) et la
manivelle (66 fig 81) sont solidaires: quand la manivelle (66 fig 81) tourne,
la
came (67 fig 81) tourne avec la manivelle (66 fig 81), l'essieu (65 fig 81)
qui les
relie tournant librement dans le haut du collet (64 fig 81);

T2- une roue dentée (62) dont le centre coïncide avec l'axe de rotation du
pédalier, et
qui est solidaire (soudée à) la manivelle du pédalier,. la roue (62 fig 81)
tournant
avec la manivelle du pédalier (112 fig 78); la came dentée (67 fig 81) et la
roue
dentée (62 fig 81) sont activées en rotation par une chaîne de traction (63
fig 81)
qui les relie;



147


T3- une tige rigide (68 fig 81) dont une extrémité comporte un joint de
rotation
(70 fig 81) situé à l'arrière de la plateforme(21 fig 81) et du côté intérieur
et dont
l'autre extrémité comporte un autre joint de rotation (69 fig 81) situe à
l'extrémité
mobile de la manivelle (66 fig 81).
5- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), l'extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied) est posé sur la
plateforme(21 fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de (articulation du
gros
orteil(2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .THETA. variable, fig 76, 77et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.THETA.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .THETA. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38),


148

b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par (arrière (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ce mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig 44)
comprenant:
a) un axe de rotation (88 fig 84) monté sur un collet installé en position
fixe
autour du tube horizontal du bas du cadre soutenant la roue arrière;
b) d'une manivelle (87, fig 84), de même longueur que la manivelle du pédalier
(112 fig 78) qui tourne librement autour de l'axe de :rotation (88 fig 84),
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied (111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres. de l'arrière,
monté de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pled s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité



149


supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon , ledit essieu (26, fig 44) ayant 5
centimètres de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45), le talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la
plateforme(21, fig44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou (27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu {26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 84)
INCLUS les éléments techniques suivant:
T1- une pièce rigide (89 fig 84) comportant un coude ( en forme de L inversé
), la dite
pièce (89 fig 84) comportant 3 joints de rotation (90, 91 et 92 fig 84),
T2- une manivelle (85 fig 84) dont une extrémité tourne librement autour d'un
joint de
rotation (86 fig 84) coïncidant avec l'axe de la roue amère du vélo, mais


150
indépendamment de cet axe de rotation de la roue arrière du vélo (la rotation
de la
roue arrière du vélo n'ayant aucune influence sur le déplacement libre de la
manivelle
(85 fig 84)),
T3- le joint de rotation (90 fig 84) situé à l'extrémité de la pièce (89 fig
84) est monté sur
un axe de rotation situé à l'extrémité mobile de la manivelle (85 fig 84),
T4- le joint de rotation (92 fig 84) situé à l'autre extrémité de la pièce (89
fig 84) est
monté sur un axe de rotation situé à l'arrière de la plateforme (21 fig 84)
sur le côté
intérieur de la plateforme (21 fig 84),
T5- le joint de rotation (91 fig 84) situé sur le coude de la pièce (89 fig
84} est monté sur
un axe de rotation situé sur l'extémité mobile de la manivelle (87 fig 84)
T6- la position triangulaire exacte des 3 joints de rotation (90, 91 et 92 fig
84) sur
la pièce (89 fig 84) et la longueur de la manivelle (85 fig 84) étant choisies
de telle
sorte que, quand la manivelle (87 fig 84) fait un tour complet, la manivelle
(85 fig84)
ne fais pas un tour complet mais fait plutôt du va et vient (les angles
.alpha.1 et .alpha.2
fig 84) par rapport à la droit verticale imaginaire (V fig 84).
6- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), l'extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied) est posé sur la
plateforme(21fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil(2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .theta. variable, fig 76, 77et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros


151
orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .theta. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase Ascendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte par l'arrière (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied(111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon



152

ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon , ledit essieu (26, fig 44) ayant 5
centimètres de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu(26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45) , le talon
de la chaussure (28, fig 45) étant en contact avec la surface de la
plateforme(21, fig44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure. (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46) et parallèle à
(essieu (15, fig44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou(27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu(26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de L'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 85)




153

INCLUS les éléments techniques suivant:
T1- une pièce (93 fig 85 ) montée en position fixe le long du tube du bas du
cadre
supportant la roue arrière, cette pièce (93 fig 85) comportant une rainure à
l'intérieur de laquelle une roue (94 fig 85) peut tourner en faisant du va et
vient
le long de la rainure, ladite rainure étant en ligne droite,
T2- une tige rigide(95 fig 85), une extrémité de cette tige rigide (95 fig 85)
portant un
joint de rotation monté sur l'axe de rotation de la roue (94 fig 85), l'autre
extrémité
de la tige rigide(95 fig 85) portant un joint de rotation monté sur un axe de
rotation
(99 fig 85) situé à l'arrière de la plateforme (21 fig 85) du côté intérieur,
T3- une autre tige rigide (96 fig 85) dont une extrémité porte un joint de
rotation(97 fig 85) monté sur un axe de rotation fixe situé à l'avant de la
pièce(93 fig 85) juste avant le début de la rainure, l'autre extrémité
(mobile) de la
tige rigide (96 fig 85) portant aussi un joint de rotation (98 fig 85) monté
sur un
axe de rotation situé en position fixe sur la tige rigide (95 fig 85) au
centre
de la tige rigide (95 fig 85).

7- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant:
A) une plateforme (21, fig 44 et 46) supportant la totalité du dessous de la
chaussure
(donc du pied), un essieu (15, fig 44 et 46) étant monté sous la plateforme
(21,
fig 44 et 46), l'extrémité de cet essieu s'insérant au bout de la manivelle du
pédalier
(112, fig 44 et 46), là où la pédale qui a été enlevée se trouvait auparavant,
ledit
essieu (15, fig 44 et 46) éiant monté sous la plateforme(21, fig 44 et 46)
dans une
position telle que, quand la chaussure(donc le pied)est posé sur la
plateforme(21fig46),
l'axe dudit essieu (15 fig 46) est directement en dessous de l'articulation du
gros
orteil(2, fig 46) tout comme c'est aussi le cas avec une pédale
conventionnelle,
l'articulation du gros orteil (2, fig 7) devant être normallement placée
directement au
dessus de l'axe de rotation (l'essieu) de la pédale, quand le pied est en
position
horizontale par rapport au sol,
B) un mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig
44) par
rapport au sol (angle .theta. variable, fig 76, 77et 86), qui permets
d'obtenir un déplacement
de la plateforme (donc du pied) identique au déplacement normal du pied (angle
.theta.
variable fig 76) quand une pédale est utilisée correctement (l'articulation du
gros


154

orteil (2, fig 7) étant directement au dessus de l'axe de rotation(l'essieu)
de la pédale),
ledit mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21, fig
44)
permettant de choisir les valeurs numériques variables de l'angle .THETA. (fig
76, 77 et 86)
de telle façon que le talon de la chaussure soit continuellement en contact
avec la
plateforme (21, fig 44 et 46) pendant une rotation complète de 360 degrés du
pédalier, ce qui implique:
a) que la plateforme(21 fig 44) fournit automatiquement un support au talon de
la
chaussure pendant la phase DEScendante du cyle de pédalage, quand le cycliste
appuie sur la plateforme(21 fig 44) quand son pied descends par l'avant, à
partir
d'une position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le haut jusqu'à
une
position de manivelle(112 fig 44 et 46) verticale vers le bas (fig 38)
b) la plateforme fournit automatiquement la possibilité de tirer la plateforme
vers le
haut pendant la phase AScendante du cycle de pédalage, quand la manivelle
(112 fig 44 et 46) passe d'une position verticale vers le bas à une position
verticale
vers le haut quand la chaussure (le pied) remonte pair l'arrière (fig 39), à
condition
que la chaussure soit reliée à la plateforme par des éléments techniques
appropriés,
de façon à rendre possible la traction vers le haut sur la manivelle(112 fig
44 et 46),.
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied(111, fig 78)de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon



155

ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de (intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon , ledit essieu (26, fig 44) ayant 5
centimètres de
longueur; étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la. surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45) , le talon
de la chaussure(28, fig 45)étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme(21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou(27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-le mécanisme de contrôle du degré d'inclinaison de la plateforme (21 fig 83)





156

INCLUS les éléments techniques suivant:
T1- un collet (83 fig 83) entoure le tube du bas du cadre en position fixe, ce
collet (83
fig 83) étant d'une longueur égale à largeur de la came(78 fig 83)telle que
mesurée
le long du tube du bas du cadre,
T2- une came (non circulaire) (78 fig 83) portant une rainure sur sa
circonférence à
l'intérieur de laquelle tourne une roue (82 fig 83); cette came (78 fig 83)
étant
montée en position fixe sur le collet (83 fig 83),
T3- la roue (82 fig 83) tourne sur un axe constitué par la partie coudée du
bas de
la tige (81 fig 83), la partie coudée du haut de la tige (81 fig 83) étant en
sens
inverse de la partie coudée du bas (qui porte la roue (82 fig 83)), la partie
coudée
du haut de la tige (81 fig 83) s'insérant dans un axe de rotation (84 fig 83)
situé à
l'arrière de la plateforme(21 fig 83), la pièce coudée aux deux bouts (81 fig
83)
faisant du va et vient à l'intérieur d'un trou cylindrique situé sur le haut
de la
pièce (79 fig 83), ce trou cyclindrique étant solidaire de la pièce (79 fig
83),
cette pièce (79 fig 83) tournant autour de Taxe de rotation fixe (80 fig 83)
situé
à l'endroit approprié sur la came (78 fig 83), de façon à obtenir les valeurs
numériques désirées pour l'angle variable .THETA. (fig 76, 77 et 86).

8- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant une plateforme (21, fig 56)
supportant la totalité du dessous de la chaussure,
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied(111, fig 78)de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,





157

3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46), épousant le contour de la
chaussure
(fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en position
fixe, la courbure
de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la courbure de la
chaussure de façon
à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
soit
maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la portion de la
chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,
4-IL INCLUS un triangle rigide dont un côté (37, fig 56) est monté en position
fixe à
l'arrière de la plateforme (21, fig 56) sur le côté intérieur, l'autre côté
(38, fig 56) du
triangle rigide étant monté en position fixe au centre du côté intérieur de la
plateforme,
5-IL INCLUS une pièce rigide (40, fig 56) en forme de L dont la partie
verticale est
montée en position fixe à l'intersection des côtés du triangle rigide (37, 38-
fig 56),
6-IL INCLUS une pièce (39, fig 58) avec un trou, ladite pièce (39) tournant
librement
dans l'axe (15, fig 59)) du bout de manivelle du pédalier, là où se trouvait
auparavant
la pédale qui a été enlevée, la partie verticale de la pièce rigide (40, fig
56) en forme
de L s'insérant dans le trou de la dite pièce (39, fig58),
7-IL INCLUS un ressort à faible compression (41, fig 56) inséré le long de la
partie
verticale de la pièce rigide (40, fig 56) en forme de L, entre l'intersection
des
côtés (37, 38 fig 59) et le sommet du trou dans la pièce (39, fig 59), la
pièce (39,
fig 58) faisant du va et vient en coulissant le long de la partie verticale de
la pièce
rigide (40, fig 59) en forme de L, selon que le ressort se compresse (41, fig
59)
pendant la phase descendante (fig 38) ou se détends (41, fig 56) pendant la
phase
pendant la phase ascendante (fig 39),
8-IL INCLUS une chaussure (28, fig 45) comportant un trou (27, fig 45) dans le
talon, la partie horizontale de la pièce rigide (40, fig 56) venant s'insérer
dans le
le trou (27, fig 45) de ladite chaussure (28, fig 45), d'une façon telle que
le talon de la
chaussure (28, fig 45) est continuellement en contact avec la plateforme (21,
fig 56)
pendant la phase descendante (fig 38, 59 et 60) ET ascendante (fig 39, 56 et
57),




158

ledit trou(27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que la partie horizontale de
la pièce
rigide (40, fig 56) en forme de L, soit la même longueur et le même diamètre
(sauf en
ce qui concerne l'ouverture du trou), l'ouverture dudit trou (27, fig 45)
étant agrandie
en forme d'entonnoir de façon à faciliter l'insertion de la partie horizontale
de la pièce
rigide (40, fig 56) dans le trou (27, fig 45) quand le cycliste place sa
chaussure (28,
fig 45) sur la plateforme (21, fig 56).

9- Un DISPOSITIF POUR PÉDALIER comportant une plateforme (21, fig 72, 73, 74
et 75) supportant la totalité du dessous de la chaussure(donc du pied),
ledit DISPOSITIF POUR PÉDALIER étant CARACTÉRISÉ en ceci:
1-IL INCLUS un guide de positionnement arrière du pied(111, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur (le côté de la plateforme le plus près
du cadre du
vélo) de la plateforme (21, fig 78) à quelques centimètres de l'arrière, monté
de telle
façon que le talon de la chaussure puisse lui toucher, le pied s'enlevant par
un retrait du
côté extérieur de la plateforme (21, fig 44 et 46), comme dans le cas d'une
pédale,
2-IL INCLUS un guide de positionnement avant du pied (110, fig 78) de 3
centimètres
de hauteur situé sur le côté intérieur avant de la plateforme (21, fig 78),
ayant une
forme courbée et monté de telle façon que la partie de la chaussure contenant
le gros
orteil touche à ce guide sur une distance de quelques centimètres sur le côté
intérieur
avant de la chaussure et sur une distance de quelques centimètre sur l'avant
de la
chaussure, juste devant la partie de la chaussure contenant le gros orteil,
3-IL INCLUS une pièce rigide (25, fig 44 et 46 et 25, fig 75), épousant le
contour de
la chaussure (fig 44 et 46), montée sur le côté intérieur de la plateforme en
position
fixe, la courbure de cette pièce (25, fig 44 et 46) étant la même que la
courbure de la
chaussure de façon à ce que la chaussure, une fois en place sur la plateforme
(21, fig 44
et 46), soit maintenue en position fixe (le talon touchant la plateforme), la
portion de
la chaussure (28, fig 45) qui est en contact avec la pièce (25, fig 44 et 46)
étant celle
près de l'intersection de la chaussure et de la jambe sur une distance de 5
centimètres,
la pièce (25, fig 44 et 46) étant légèrement incurvée vers le haut à son
extrémité
supérieure pour faciliter l'insertion de la chaussure (28), la pièce (25, fig
44 et 45) ne
recouvrant pas le côté extérieur du pied de façon à ce que le retrait du pied
soit aussi
facile à effectuer que le retrait du pied par l'extérieur de sur une pédale,



159

4-IL INCLUS un essieu (26, fig 44) ET une chaussure (28, fig 45) comportant un
trou (27, fig 45) dans le talon , ledit essieu (26, fig 44) ayant 5
centimètres de
longueur, étant monté en position fixe sur le guide de positionnement arrière
du pied
(111, fig 78) parallèlement à la surface de la plateforme (21, fig 44 et 46)
et
parallèlement à l'essieu (15, fig 44 et 46) monté sous la plateforme (21, fig
44 et 46),
ledit essieu (26, fig 44) étant monté à une hauteur de la surface de la
plateforme (21, fig 44 et 46) choisie de telle façon que, quand le cycliste
positionne sa
chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46), ledit essieu (26,
fig 44 et 46)
puisse s'insérer dans le trou (27, fig 45) du talon de la chaussure (28, fig
45) , le talon
de la chaussure(28, fig 45)étant en contact avec la surface de la plateforme
(21, fig 44
et 46) quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) est complété,
c'est à dire
quand l'essieu (26, fig 46) est totalement inséré dans le trou (27, fig 45) de
la
chaussure (28, fig 45), l'axe dudit essieu (26, fig 46) étant situé exactement
en
dessous du joint de rotation de la cheville (1, fig 46) quand le pied est en
position
horizontale (fig 46), ce trou (27, fig 45) dans la chaussure (28, fig 45)
étant lui aussi
parallèle à la surface de la plateforme(21, fig 44 et 46) et parallèle à
l'essieu (15, fig 44
et 46 quand le positionnement de la chaussure (28, fig 45) sur la plateforme
(21,
fig 44 et 46) est complété (l'essieu (26, fig 46) étant totalement inséré dans
le trou(27,
fig 45)), ledit trou(27, fig 45) ayant les mêmes dimensions que l'essieu (26,
fig 44), soit
la même longueur et le même diamètre (sauf en ce qui concerne l'ouverture du
trou),
l'ouverture du trou (27, fig 45) étant agrandie en forme d'entonnoir de façon
à faciliter
l'insertion de l'essieu (26, fig 44 et 46) dans le trou (27, fig 45) quand le
cycliste place
sa chaussure (28, fig 45) sur la plateforme (21, fig 44 et 46),
5-IL INCLUS une pièce rigide en forme de Z déformé (fig 74) qui est montée en
position fixe sous la plateforme (21, fig 74) et est donc solidaire de la
plateforme,
6-Il INCLUS une base rectangulaire (50, fig 72 et 73), ladite base
rectangulaire
comportant 2 tiges rigides verticales (s1 et s2, fig 72 et 73) montées en
position
fixe à l'avant de la base rectangulaire (50, fig 72 et73), deux autres tiges
rigides
verticales (s3 et s4, fig 72 et 73) étant montées de façon similaire
immédiatement
à l'arrière de la plateforme, et encore deux autres (s5 et s6, fig 72 et 73)
étant montées
encore de façon similaire à l'arrière de la base rectangulaire (50, fig 72 et
73), chacune
de ces paires de tiges verticales (s1 + s2, s3 + s4, s5 + s6) portant à leur
extrémité




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du haut un axe de rotation horizontal sur lequel sont montées 2 roues
d'engrenage
en position fixes (44 et 47 pour s1 + s2, 46 et 48 pour s3 + s4, 51 et 52 pour
s5 +s6,
fig 73), chacune de ces paires de roues d'engrenages étant solidaires l'une de
l'autre
(elles tournent ensemble), une chaine de traction (ch47, fig 73) reliant
ensemble
les roues d'engrenage (47 et 52, fig 73), une autre chaine de traction (ch48,
fig 73) reliant ensemble les roues d'engrenage (48 et 51, fig 73), la roue
arrière du
vélo (symbolisée par la roue 49) tournant (toujours dans le même sens) quand
une
ou l'autre des deux roues d'engrenages (51 ou 52, fig 72 et 73) tourne, les
roues
d'engrenages (51 et 52, fig 72 et 73) tournant toujours dans le même sens,
7-IL INCLUS quatres tiges d'acier (t1, t2, t3 et t4, fig 72 et 73) montées
verticalement sur la base (50, fig 72 et 73) en position fixe (en position
rectangulaire
vues d'en haut, une tige à chaque coin d'un rectangle)
8-IN INCLUS une forme cubique en acier (vide à l'intérieur)(42, fig 72 et 73),
ladite forme cubique comportant 4 trous rectangulaires (un en haut, l'autre en
bas,
un autre sur l'avant et un dernier sur l'arrière) ainsi que 4 trous verticaux
sur les 4
coins allant de haut en bas verticalement, dans ces 4 trous s'insèrant les 4
tiges
d'acier (t1, t2, t3 et t4, fig 72 et 73), la forme cubique en acier (42, fig
72 et 73)
pouvant coulisser librement (de haut en bas et de bas en haut) le long des
quatres
tiges d'acier (t1, t2, t3 et t4, fig 72 et 73), la pièce en forme de Z déformé
fixée sous
la plateforme (21, fig 74) faisant du va et vient (de haut en bas et de bas en
haut)
à l'intérieur de la forme cubique en acier (42, fig 72 et 73) grâce aux 2
troux
rectangulaires percés en haut et en bas de la forme cubique en acier (42, fig
73), deux
ressorts (r1 et r2, fig 72) étant insérées dans les deux parties verticales de
la pièce
en forme de Z déformé fixé sous la plateforme (fig 74), ces deux ressorts (r1
et r2)
se comprimant et se détendant en alternance pendant que la pièce en forme de Z
déformé fixé sous la plateforme fait du va et vient de bas en haut et de haut
en bas à
l'intérieur de la forme cubique en acier (42, fig 72 et 73),
9-IL INCLUS une pièce en forme de T (43, fig 72) dont la partie verticale
porte
des dents d'embrayage pouvant s'insérer dans celles de la roue (44, fig 73),
la
portion horizontale de la pièce (43, fig 72) pouvant coulisser en un mouvement
de va et vient dans le trou sur le côté avant de la forme cubique (42, fig 72)
et porte
un ressort à compression (r3, fig 72) qui maintient la partie verticale de la




161

pièce (43, fig 72) appuyée sur le côté de la forme cubique (42, fig 72) quand
le bout
incliné de cette pièce (43, fig 72) n'est pas en contact avec la portion
inclinée de la
pièce déformée en forme de Z fixé sous la plateforme (fig 74),
10-IL INCLUS une pièce en forme de T (45, fig 72) dont la partie verticale
porte
des dents d'embrayage pouvant s'insérer dans celles de la roue (46, fig 73),
la
portion horizontale de la pièce (45, fig 72) pouvant coulisser en un mouvement
de va et vient dans le trou sur le côté arrière de la forme cubique (42, fig
72) et porte
un ressort à compression (r4, fig 72) qui maintient la partie verticale de la
pièce (45, fig 72) appuyée sur le côté de la forme cubique (42, fig 72) quand
le bout
incliné de cette pièce (45, fig 72) n'est pas en contact avec la portion
inclinée de la
pièce déformée en forme de Z fixé sous la plateforme (fig 74).

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.



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DISPC>SITIF POUR PÉDALIER
05 Ce qui sera immédiatement expliqué n'est pas la caractéristique
dominante de cette invention, mais cette explication trés simple
a l'avantage d'ouvrir l'esprit du lecteur au fait que "quelque
chose" de fondamentalement important a été totalement ignoré par
le cyclisme actuel. Par une chance incroyable, l'inventeur a
découvert qu'une erreur d'interprétation visuelle (une illusion
d'optique) a induit tout le monde en erreur et cela dure depuis
150 ans, depuis que les premiéres pédales ont étë utilisées sur
les bicyclettes ! Le texte qui va immédiatement suivre n'expli-
que pas la nature de cette illusion d'optique: celle-ci est trés
subtile et sera expliquée plus loin dans le document, seulement
aprés que des explications additionnelles auront été données.
LE PROBLEME: les côtes sont l'ennemi no :1 des cyclistes. Pour-
quoi est-il si épuisant de monter une cône en pédaïant debout ?
Existe t-il une solution à ce problème ? Est-il possible d'in-
venter quelque chose qui puisse DIVISER I?AR DEUX (au minimum)
l'énergie requise pour monter une côte ? Ce serait un miracle...
L'étonnante réponse est OUI, c'est possible ! (Nous verrons
pïus loin que cette invention permets aussi de diviser par deux
-au minimum- Ia consommation d'énergie sur terrain plat, quand
on l'utilise en position assis). Ci-dessous, nous discuterons
seulement de la position debout, en côte. Voir les fig 1, 2, 3
et 4. Comparons un cycliste qui monte unie côte en pédalant
debout avec une personne qui monte un escalier:
.,
C'EST INCROYABLEMENT REVELATEUIZ:
ET LOURD DE CC1NSEQUENCES...
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La fig 1 illustre 1a facon normale de monter un escalier: on
pose la talon sur la marche. La fig 2 il:Lustre la façon anar-
maie de monter un escalier: on pose seulement le bout du pied
05 sur la marche, le talon étant dans le vicie, ce qui oblige le
mollet â exercer une tension sur le talon égale â TROIS FOIS
le poids de la personne (évidemment, dans ie cas de la fig 1,
le mollet ne farce pas). Pourquoi TROIS FOIS, et non pas DEUX
ou QUATRE fois? Voir la fig 3: le rapport: A/B est de TROIS, ou
A est la distance entre l'articulation de' l'orteil (2) et
l'articulation de la cheville (1), et B est la distance entre
(1) et le point d'attache (3) du mollet (4) sur l'os du talon
(par l'intermédiaire du tendon d'Achille).
Tentez cette expérience: supposons que vous ayez un escalier
de 40 étages â monter; vous commencez par grimper les 40 éta-
ges en posant les talons sur les marches comme dans la fig 1:
vous étes fatigué, mais vous parvenez en haut. Le lendemain
(pour avoir le temps de récupérer l'énergie perdue), essayez
de monter ces 40 étages mais en montant comme dans la fig 2,
c'est-à-dire sur ïe bout des pieds, ce qu.i vous oblige â for-
cer continuellement des mollets avec une intensité égale â
TROTS FOIS votre poids. N.B.. faites-le dans les mémes condi-
tions d'expérimentation que le jour d'avant (il faut comparer
des pommes avec des pommes), c'est â-dire montez â la méme
vitesse que la veille et, entre deux étages, ne vous reposez
pas en posant les talons par terre. Selon vous, combien d'é-
tages pourrez vous monter, â dépense d'énergie égale avec le
jour d'avant? La limite qu'il est humainement IMPOSSIBLE de
dépasser est de VINGT étages (donc, LA MOITIE des 40 étages)!
SI vous parvenez â monter jusqu'au vingtiême étage en gardant
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les talons dans le vide, vous aurez dépensé BEAUCOUP PLUS
d'énergie que le jour d'avant quand vous avez monté les 40 éta-
ges normallement; donc, vous dépensez 2 FOiS PLUS d'énergie (au
05 minimum) en montant avec les talons dans le vide qu'en montant
normallement (les talons sur les marches): on peut dire, sans
risque de se tromper beaucoup, que la dépense réelle d'énergie
quand an monte avec les talons dans le vide est probablement
TROIS FOIS plus grande que quand on monte normallement !
Regardez la fig 4: elle illustre le pied d°un cycliste MONTANT
UNE CÖTE en pédalant en position DEBOUT. Cette position du pied
sur la pédale est celle recommandée par les experts: 1'articu-
lation des orteils repose sur l'axe de la pédale, tandis que LE
TALON EST DANS LE VIDE, ce qui oblige le mollet à forcer avec
une intensité égale à TROIS FOIS le poids du cycliste, COMME
DANS LE CAS DE LA FIG 2:
...monter une côte en pédalant debout est ANALOGUE
au fait de monter un escalier les talons DANS LE
VIDE: les figures 2 et 4 representent UN MEME
PHENOMENE...
En effet, le pied DESCENDS par rapport au cadre de la bicyclet-
te, mais, comme la bicyclette MONTE la ciite, le résultat net
est que 1e pied MONTE par rapport A LA COTE: c'est relatif,
comme dirait Albert Einstein...
LE MIRACLE: voici une affirmation fabuleuse: pour DIVISER PAR
DEUX (au minimum) la consommation d'énerifiie quand on monte une
côte en pédalant debout, il suffit de REMPLACER LES PEDALES par
"quelque chose" qui SUPPORTE LES TALONS, de facon â éviter
d'avoir â forcer avec les mollets, d'ôu une fabuleuse économie
d'énergie sans perte de puissance propulsive !
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Il n'y a pas de perte de puissance car la pression utilisée est
toujours égale AU POTDS du cycliste, peu importe que les talons
soient supportés ou non; c'est similaire avec les fig 1 et 2:
05 la pression sur la marche est toujours égale au poids de la
personne qui monte, peu importe que le talon soit sur la marche
ou dans le vide. Comment se fait-il que personne, en 250 ans de
cyclisme, n'a pense â remplacer les pédales par des plateformes
qui supportent tout le pied? A cause d'une ILLUSION D'OPTIQUE
qui se produit quand on regarde une jambe appuyer sur une péda-
le: cette illusion a induit tout le monde en erreur. Si quel -
qu'un aurait déjâ pensé â remplacer les pédales par des plate-
formes, il n'y aurait plus AUCUNE bicyclette â pédales sur
les routes; comme il y a SEULEMENT des vélos â pédales sur les
routes, on est force de conclure que personne n'y a pensé !
Cette illusion d'optique est extrémement subtile et sera expli-
quée seulement aprés que nous aurons donné des ïnformations ad-
tionnelles; pour l'instant, seule une briwe explication sera
donnée pour vous mettre "sur la piste", c'est â-dire pour vous
faire prendre conscience que cette illusion est réelle, qu'elle
EXISTE, sans toutefois l'expï.iquer dans :Les détails.
Essayez d'effacer totalement de votre esprit les fig 1 et 2,
c'est â-dire oubliez temporairement cette: comparaison(escalier/
cycliste pédalant debout) que nous venon:> de faire; mettez-vous
dans la peau de l'homme de la rue et concentrez-vous seulement
sur la fig 4 {le pied qui appuie sur la pédale): selon vous, ce
dessin est-il NORMAL? Bien sur que OUI: c'est l'image normale
QUI A ETE GRAVEE DANS NOTRE ESPRIT DANS hfOTRE ENFANCE, aussitôt
que, tout jeune, nous avons VU un cycliste pédaler pour la
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les talons dans le vide, vous


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premiére fois. La fig 4 illustre la position normale du pied
sur la pédale, celle recommandée par les experts: L'articula-
tion des orteils repose sur l'axe de la pédale et le talon est
05 dans Ie vide. Si vous ne parvenez pas â effacer de votre esprit
les fig 2 et 2 (les escaliers), demandez â une tierce personne
si elle trouve NORMALE la fig 4 (sans lui montrer les fig 1 et
2, évidemment): sa réponse va âtre assùrément "oui, Ia fig 4
est TRÉS NORMALE". LE MONDE ENTIER (sauf: l'inventeur), trouve
que la fig 4 représente une situation tout â fait NORMALE, et
cela inclut tous les experts en cyclisme. Evidemment, VOUS
SAVEZ que la fig 4 N'EST PAS normale car elle est l'équivalent
de la fig 2 qui N'EST PAS normale. VOUS SAVEZ maintenant que la
fig 4 N'EST PAS normale parce que vous avez fait LA COMPARAISON
î5 avec une DEUXIÉME observation totalement indépendante, CELLE DE
L'ESCALIER. Si vous ne faites pas une telle comparaison avec un
2iéme phénoméne, vous ne pourrez JAMAIS découvrir, pleinement
réaliser que la fig 4 N'EST PAS DU TOUT NORMALE: sans un deux-
iéme phénomène pour comparer, vous seriez TOTALEMENT CONVAINCU
que la fig 4 est NORMALE comme vous l'étes depuis votre tendre
enfance, et vous resteriez totalement convaincu TOUTE VOTRE VIE
parce que vous avez été INDUIT EN ERREUR depuis votre tendre
enfance par une ILLUSION D'OPTIQUE qui se produit quand on re-
garde une jambe appuyer sur une pédale ! C'est une illusion d'-
optique "héréditaire" qui s'est transmise de génération en géné-
ration jusqu'â aujourd'hui, cela ayant debuté il y a 150 ans
environ, aussitôt que les premiéres pédales ont été utilisées.
Un des buts de ce document est de dévoil<sr ce gaspillage épou-
vantable d'énergie qui est demeuré TOTAIiEMENT IGNORÉ depuis
un siécle et demi: incroyable, mais vrai
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I1 y a une énorme différence entre SE TROMPER (faire erreur) et
ÉTRE TROMPÉ contre notre volonté (ou étre INDUIT EN ERREUR)
par une illusion d'optique. AVANT de faire sa découverte de l'-
05 existence de cette illusion d'optique, l'inventeur était induit
en erreur COMME TOUT LE MONDE, comme les experts, les savants
et LES MILLIARDS d'individus qui ont fait du vélo ou simplement
VU un cycliste pédaler... Cela vous donne une idée de la PUISSAN-
CE que posséde cette illusion d'optique'. Vous savez maintenant
pourquoi personne n'a pensé auparavant â ce qui est contenu
dans le présent document: cette fameuse illusion d'optique a
créé un cercle vicieux puissant qui a totalement bloqué la com-
préhension du fonctionnement de la jambe quand on l'utilise
pour appuyer SUR UNE PÉDALE: cela a tenu le cyclisme EN ESCLA -
25 VAGE pendant tout ce temps...
Vous comprenez aussi pourquoi ïes inventions basées sur la
découverte de l'existence d'une illusion d'optique sont VRAI-
MENT révolutionnaires: c'est que ce type d'invention est TRES
RARE et LE SECRET SE PROTEGE TOUT SEUL a cause de L'EXISTENCE
MEME de l'illusion d'optique. Une illusion d'optique n'ira pas
vous dire qu'elle EST une illusion ! . vous devez LA RECOUVRIR
et cela ne peut arriver qu'UNE SEULE FOI;i. UN SEUL individu a
découvert que la terre TOURNAIT SUR ELLE--MÉMÉ, ce qui créait
une illusion d'optique: on avait L'IMPRE;iSION VISUELLE que le
soleil SE DÉPLACE dans le ciel en se levant â l'est et en se
couchant â l'ouest; PENDANT DES MLLLIERS D'ANNÉES, les plus
grands savants et des milliards d'individus ont été INDUITS en
erreur et cette illusion est demeuree NOrf-découverte. On est
DANS UNE SITUATION ANALOGUE avec l'invent.ion proposée ici.
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Vous vous posez sans doutes certaines questions du genre:
qu'arrive t-il avec cette invention SUR TERRAIN PLAT quand on
on pédale ASSIS? etc...N'ESSAYEZ PAS de répondre PAR VOUS-MÉMES
05 à ces questions car vous retomberiez dans le piége de l'illu-
sion d'optique que nous vouions justement dévoiler . ce serait
un cercle vicieux car, en tentant de juç~er PAR VOUS-MÉMES, vous
utiliseriez forcément des notions gravées dans votre esprit de-
puis l'enfance, notions que vous CROYEZ étre vraies alors que,
en réalité, ces notions sont FAUSSES !~! Pour l'instant, s.v.p.
contentez-vous des explications DE L'INV'ENTEUR et ayez L'ESPRIT
OUVERT !
On dit souvent: "une image vaut 1,000 mots"; or, il y a une
exception à cette règle: en effet, dans le cas d'une invention
découlant de la découverte de l'existence d'une illusion d'opti-
que, LE DESSIN de l'invention NOUS TROMPE VISUELLEMENT et nous
fait croire que l'invention est STUPIDE ou INUTILE ! On est
bien loin des 1,000 mots ! Quand on dit ~à une personne qu'on a
inventé quelque chose, quelle est la PREMIERS réaction de cette
personne? Elle veut tout de suite VOTR U:N DESSIN ! Et pourquoi?
Parce que c'est la facon la plus RAPIDE ~de satisfaire notre cu-
riosité naturelle ! Vous devinez aisément les conséquences
désastreuses dans le cas de l'invention proposée ici ! Et c'est
pourquoi j'ai dû, au tout début du document, CASSER LE CERCLE
VICIEUX en expliquant tout de suite LA Ct7MPARAISON escalier/cy-
cliste en côte qui annule temporairement les effets pervers de
l'illusion d'optique et ouvre l'esprit du lecteur au fait que
"quelque chose" de fondamental a été TOTALEMENT IGNORÉ par le
cyclisme actuel.
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Si vous NE CONNAISSEZ PAS cette COMPARAISON entre quelqu'un qui
monte un escalier et un cycliste montant une côte en pédalant
debout, et que vous REGARDEZ UN DESSIN d.e cette invention, vous
05 êtes automatiquement porté â croire que cette invention est
INUTILE car vous étes, SANS LE SAVOIR, induits en erreur par
cette illusion d'optique ! Un autre phénomène tout aussi étran-
ge va se produire quand les gens vont ESSAYER cette invention
pour la première fois: PHYSIQUEMENT, ils vont éprouver une DIMI-
NUTION FANTASTIQUE de la fatigue mais SANS COMPRENDRE POURQUOI,
c'est â-dire sans pouvoir l'expliquer ENf Y RÉFLÉCHISSANT . les
gens vont le constater 2~HYSIQUEMENT seulement '. I1 va falloir
DES ANNÉES pour changer "l'image" que lea gens ont du pêdalage
car cette illusion d'optique est trés vieille et est fortement
gravée dans notre esprit DANS L'ENFANCE '. Du point de vue
UTILITÉ de cette invention, le fait que les gens vont compren-
dre seulement physiquement (et non pas intellectuellement) est
SANS IMPORTANCE: les gens n'ont PAS BESCfIN de comprendre INTEL-
LECTUELLEMENT pour UTILISER l'invention; tout ce qui compte
pour eux, c'est que ça soit BEAUCOUP MOi:NS fatiguant â utiliser
qu'une bicyclette à pédales, que ça soit; SECURITAIRE (les pieds
ne glissent pas facilement comme avec de;s pédales car TOUT LE
PIED est supporté, et il n'est pas attaché: pratique en cas
d'arrêt brusque), et, pour ïes dames, FINI LES GROS MOLLETS (la
grande crainte des femmes): enfin UNE BELLE JAMBE... Les gens
n'essaient pas de savoir COMMENT de tel.c prodiges sont possi-
bles: ÇA FONCTIONNE et c'est tout ce qu'ils veulent savoir..:
Pourquoi est-il si difficile de découvr~.r l'existence d'une
illusion d'optique? Les gens n'essaient pas de VÉRIFIER
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si ce qu'ils VOIENT est VRAI: pourquoi le feraient-ils?
Pourquoi mettrait-on en doute ce dont on est CERTAIN visuelle-
ment? La plupart des gens croient SEULEMENT ce qu'ils VOIENT,
05 comme saint Thomas ! Or, pour avoir une chance de découvrir
quelque chose d'extraordinaire, il faut 'VÉRIFIER ce qui SEMBLE
évident, peu importe que cette "évidence apparente" soit de na-
ture OPTIQUE (le cas qui nous intéresse ici), de nature INTEL-
LECTUELLE (c'est le cas d'Einstein qui a douté de la véracité
de certains postulats de la physique classique), ou de nature
SPIRITUELLE (...on en reparlera...) !
Les gens remettent en cause ce dont ils DOUTENT
et non pas ce dont ils sont CERTAINS; pour
découvrir quelque chose, il :Faut faire
LE CONTRAIRE: analyser ce dont on est CERTAIN......
au cas où ce serait FAUX !!!!!
Une illusion d'optique n'ira pas vous d ire qu'ELLE EST une
illusion . il faut LA DÉCOUVRIR en COMPARANT ce qu'on voit avec
un autre phénomène visuel totalement indÉ~pendant: c'est la
seule facon d'y arriver. ET çA ARRIVE TRIS RAREMENT...
L'inventeur a découvert cette illusion d'optique de la jambe
PAR HASARD, grâce à un concours de circonstances exceptionnel !
C'est comme gagner le gros lot a la loterie: c'est trés rare
mais ça se produit parfois ! Les spécialistes du cyclisme ne se
sont pas trompés, dans le sens "faire erreur" par manque de ju-
gement: ils ont ÉTÉ TROMPÉS contre leur volonté, induits en
erreur MALGRE EUX par cette illusion d'optique de la jambe (que
nous définirons plus loin) de la même f ac;on que les plus grands
savants du monde, pendant des milliers d'années, ont été INDUITS
en erreur malgré eux par l'illusion d'opt:ique du soleil qui se
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déplace dans Ie ciel, jusqu'a ce qu'une personne découvre cette
illusion et tente (courageusement) d'expliquer â ces savants
que c'est 1a terre qui tourne sur elle-méme, Ie soleil ne se
05 déplacant pas. Ces savants ne l'ont pas crû, méme avec PREUVES
r
A L'APPUI . ils ont REFUSE de le croire (par orgueil). Tout
comme ces savants, VOUS NE CROIREZ PAS l'inventeur en ce qui
concerne l'illusion d'optique de la jambe; vous allez le croire
TRES PEU si vous vous contentez de lire le texte sans faire les
ZO 4 expériences proposées. EN EFFECTUANT ces expériences, vous
allez COMMENCER à croire l'inventeur et, en faisant l'essai du
prototype de l'invention, vous allez être OBLIGÉ de croire l'in-
venteur. VOILA quelle SERA votre réaction au reste de ce docu-
ment: C'EST CERTAIN, et je dis cela parce que ça a été MA réac-
tion (et pourtant JE SUIS L'INVENTEUR): .au début, j'avais de la
difficulté à croire ce que MOI-MÉME avait découvert ! J'y ai
crû TOTALEMENT seulement à l'essai du prototype ...C'EST CELA
la caractéristique dominante d'une invent ion VRAIMENT révolu-
tionnaire ! PLUS elle est révolutionnaire, MOINS les gens y
croient: ILS REFUSENT carrément d'y cro ire, méme AVEC DES PREU-
VES. II faut OBLIGER les gens à croire en leur rentrant DE
FORCE les informations dans la tête: pas facile le métier
d'ïnventeur!
Les explications qui vont maintenant suivre sont simplifiées au
maximum; les explications scientifiques complexes ont été volon-
tairement omises de facon â ce que Ie Iec;teur ne perde pas le
fil conducteur du document.
IMPORTANT: plus loin dans ce document, plusieurs MECANISMES
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sont décrits; certains d'entre eux ont plus de mérite créatif
que d'autres; certains mécanismes ont des avantages que d'autres
n'ont pas: c'est l'expérience acquise à l'usage qui déterminera
05 lequel de ces mécanismes sera commercialisé. Mais ces divers
mécanismes ont un point commun: ils accomplissent tous LA MEME
FONCTION, soit permettre d'EVITER LA CONTRACTION DES MOLLETS en
fournissant UN SUPPORT aux talons(directement ou indirectement).
Mais l'importance de l'actuel document NE PROVIENT PAS de ces
mêcanismes; LA PIERRE ANGULAIRE qui soutient tout ce document,
ce sont LES PREUVES {expérimentales et théoriques) que LA GON -
TRACTION DES MOLLETS NE PEUT PAS AUGMENTER LA PRESSION SUR LES
PÉDALES et que, par conséquent, il suffit de remplacer les pé-
dales par un mécanisme permettant d 'éviter la contraction des
mollets (en soutenant les talons), ce qui permets une trés gran-
de économie d'énergie SANS PERTE DE PRESSION de propulsion !
L'inventeur a fait une DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE concernant le
fonctionnement DE LA JAMBE quand on l'utilise pour appuyer sur
UNE PÉDALE: il a découvert que LE MONDE :ENTIER a été induit en
erreur par une ILLUSION D'OPTIQUE Iaissa:nt croire (faussement)
"que la contraction du mollet AUGMENTAIT la pression sur la pé-
dale" . C'EST GELA l'essentiel de l'actuel document et NON PAS
la douzaine de MÉCANISMES dêcrits â la fin; bien sûr, ces méca--
nismes sont importants, mais uniquement dans la mesure ôû ils
permettent d'utiliser efficacement le PRINCIPE de cette DÉCOU-
VERTE SCIENTIFIQUE. Ce sont LES PREUVES {expérimentales ET
théoriques) â l'effet que "ïa contraction du mollet NE PEUT PAS
augmenter la pression sur la pêdale" qui donnent une valeur
PROUVEE SCIENTIFIQUEMENT à ces mécanismes en PROUVANT qu'ils
permettent de DIVISER PAR DEUX la consommation d'énergie.
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TABLE DES MATIERES
Chapitre 1 . remarques additionnelles concernant la comparaison
ESCALIER/CYCLISTE EN CÖTE du début:
05 Chapitre 2 . le véritable rôle du mollet.
Chapitre 3 , deux aspects de l'invention:
-un aspect SPECTACULAIRE
-un aspect FANTASTIQUE {mais peu spectaculaire)
Chapitre 4 . comment LE MONDE ENTIER (incluant les experts)
interprète le pédalage.
Chapitre 5 . définition de l'ILLUSION D'OPTIQUE DE LA JAMBE.
Chapitre 6 . preuves EXPÉRIMENTALES de l'existence de l'illu
Sion d'optique de la jambe et du GASPILLAGE
D'ÉNERGIE que cette illusion provoque.
Chapitre 7 . comment cette illusion d'optique PRENDS
NAISSANCE dans notre esprit.
Chapitre 8 . analyse THEORIQUE du fonctionnement de la jambe
dans LE CAS PARTICULIER de :La pédale:
section 1: interprétation DU MONDE ENTIER (chap 4):
identification de la PREMIERE erreur.
section 2: interprétation DU MONDE ENTIER (chap 4):
identification de la DEUX7C~ME erreur.
section 3: preuve THÉORIQUE que le SCÉNARIO NO 2 est VRAT
section 4: la LOI UNIVERSELLE DU PEDALAGE prouvée
expérimentalement.
section 5: preuve théorique PAR L'ABSURDE que le
SCENARIO NO 1 est FAUX.
section 6: comparaison numérique entre LA PÉDALE et
cette invention.
section 7: la LOI UNIVERSELLE DES PÉDALIERS.
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section 8 . comment l'illusion D'OPTIQUE du mollet se
TRANSFORME en illusion MUSCULAIRE {et autres
sujets)
05 Ensuite suivront la description des MÉCANISMES, l'AGRÉGÉ et les
REVENDICATIONS.
CHAPITRE 1 . remarques additionnelles concernant la comparaison
ESGALIER/CYCLISTE EN COTE du début.
Voici une vêrité PLUS QU'ÉVIDENTE, mais qui sera tout de méme
trës utile plus loin dans le document.
Dans le cas des fig 1 et 2, la pression ;sur la marche est stric-
terrent égale AU POIDS de la personne qui monte l'escalier, PEU
IMPORTE que la personne monte les talons SUR les marches (fig 1)
ou HORS des marches (fig 2}; donc, voici cette vérité évidente:
dans le cas de la fig 2 (talons dans le vide),
la contraction forcée du mollet N'AUGMENTE PAS
la pression sur la marche (qui Ea t égale au
poids de la personne, comme dansa la fig 1).
Et on arrive à une vérité STMILAIRE et tout aussi évidente,
dans le cas d'un cycliste montant une côte en pédalant DEBOUT:
PEU IMPORTE que les talons soient NON supportés
(cas des pédales) ou SUPPORTES {comme dans le
cas de l'invention proposée ici}, la pression
pour ïa propulsion est toujours égale AU POIDS
du cycliste; donc, dans le cas de la pédale (fig 4},
la contraction forcée du mollet N'AUGMENTE PAS Ia
pression sur la pédale: LA TOTALITÉ de la pression
sur la pédale provient UNIQUEMENT DU POIDS du
cycliste.
L'inventeur a tenu â mentionner cette vérité ÉVIDENTE car, plus
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loin dans le document, nous prouverons une vérité similaire mais
NON évidente dans le cas de la position de pédalage ASSIS, c'est
à dire que, en position ASSIS, la TOTALI'.PÉ de la pression sur la
05 pédale provient UNIQUEMENT de la contraci~ion des muscles DE LA
CUISSE: la contraction forcée du mollet N'AUGMENTE PAS la pres-
Sion sur la pédale. L'inventeur veut tout: simplement expliquer
qu'il y a une PROFONDE SIMILITUDE entre la position DEBOUT et la
position ASSIS . que l'on pédale debout ou assis, la contraction
forcée du mollet N'AUGMENTE PAS la pression sur la pédale; or,
dans le cas de la position ASSIS, il se trouve que LE MONDE
ENTIER pense LE CONTRAIRE EXACT de ce que' je viens d'affirmer .
le monde entier est TOTALEMENT CONVAINCU que, en position ASSIS,
ia contraction du mollet AUGMENTE la pression sur la pédale,
alors que le monde entier sait très bien que, en position
DEBOUT, la contraction du mollet N'AUGMENfTE PAS la pression sur
la pédale °. VOICI LA CONTRADICTION: le monde entier sait trés
bien que, DEBOUT, la pression sur la pédale provient uniquement
DU POIDS du cycliste, le mollet NE CONTRIBUANT PAS â cette pres-
lion; par contre, ce méme MONDE ENTIER est TOTALEMENT CONVAINCU
DU CONTRAIRE en position ASSIS: 1e monde entier est convaincu
que, ASSIS, la contraction du mollet CONTRIBUE â AUGMENTER la
pression sur la pëdale alors que, en réalité, CELA EST FAUX .
nous allons prouver que, en position ASSIS, la contraction du
mollet NE PEUT PAS augmenter la pression sur la pédale; nous
allons expliquer que cette erreur DU MONDE ENTTER dans le cas
de la position ASSIS provient précisement de cette ILLUSION
D'OPTIQUE DE LA JAMBE. Donc, cette illusion d'optique se produit
SEULEMENT quand on regarde la jambe d'un cycliste pédaler en
position ASSIS: cette illusion NE SE PRODUIT PAS quand on regar-
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de la jambe d'un cycliste pédalant DEBOLfT !
Conclusion: l'ILLUSION D'OPTIQUE DE LA JrAMBE, que nous allons
définir plus loin, se produit SEULEMENT en position ASSIS.
05 CHAPITRE 2 . le véritable rôle du mollet:.
Nous avons déjà démontré que le mollet est INUTILE dans le cas
de la position de pédalage DEBOUT, grâce â la comparaison
ESCALIER/CYCLISTE EN COTE que vous ave2 lue au debut; nous al-
lons bientot PROUVER que le mollet est également INUTILE dans
10 la position ASSIS. Donc, LE MOLLET est TOTALEMENT INUTILE dans
le cyclisme "à pédales" puisque sa contraction NE PEUT PAS aug-
menter la pression sur la pédale et, en plus, le mollet est NUI-
SIBLE car il consomme une grande quantit.e d'ênergie inutilement
(nous verrons plus loin que les experts SOUS évaluent énormement
15 la consommation d'énergie du mollet: la consommation RÉELLE d'é-
nergie du mollet est QUATRE FOIS plus élevée que le chiffre
avancé par les spécialistes et nous le PROUVERONS).
Le mollet est inutile et nuisible dans LE CAS PARTICULIER des
PÉDALES; mais dans d'autres situations oü IL N'Y A PAS USAGE DE
PEDALES, le mollet est INDISPENSABLE: se tenir debout sans bou-
ger, marcher, courir.
Le mollet est indispensable pour GARDER L'ÉQUILIBRE quand on se
tient DEBOUT sans bouger: sans lui, NOUS TOMBERIONS PAR EN
AVANT. En effet, quand on se tient debout et immobile, aussitôt
que notre corps penche UN PEU vers l'avant, nos mollets se con-
tractent UN PEU (et pendant une fractian de seconde seulement)
. ,
en tirant LEGEREMENT sur les talons pour REDRESSER notre corps.
Ce processus A PEINE PERCEPTIBLE se poursuit continuellement;
C'EST CELA le VRAI rôle du mollet et ce processus requiert TRES
PEU d'énergie car le talon TOUCHE LE SOL: c'est pour cela qu'on
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peut se tenir debout et immobile pendant. trés longtemps SANS
S'EPUISER.
Dans le cas de LA MARCHE, le mollet sert â DEUX usages:
05 -comme dans le cas de l'immobilité debout, le mollet dépense UN
PEU d'énergie pour NOUS MAINTENIR EN EQUILTHRE,
-dans la marche, le mollet exerce aussi une LEGÉRE force PROPUL-
SIVE vers l'avant pour nous permettre D'AVANCER. Quand on mar-
che, le talon NE TOUCHE PAS au sol LA MOTTI~ du temps (la jam-
be à l'arriére) et c'est pendant que le talon ne touche PAS le
que le mollet force et exerce sa force propulsive vers l'avant
(toujours la jambe arrière); mais, POINT TR~S IMPORTANT, quand
le mollet de la jambe arriére force parce que le talon est en
l'air, 90% du poids du corps est supporté PAR L'AUTRE JAMBE (la
jambe en avant) dont le talon TOUCHE LE ;50L ' Donc, la force de
contraction du mollet requise pour nous :Faire avancer quand on
marche EST TRÉS FAIBLE. En effet, on peuit marcher plusieurs
kilomètres SANS S'EPUISER â condition quES LE TALON du pied en
avant TOUCHE LE SOL â chaque pas. Pour vous en convaincre, ten-
tez de parcourir plusieurs kilométres en marchant, mais en ne
mettant JAMAIS les talons par terre (en marchant continuelle-
ment sur le bout des pieds) . vous allez âtre COMPL~TEMENT
ÉPUISÉ au bout de quelques centaines de métres seulement ! (si-
tuation analogue au fait de monter 30 étages les talons SUR les
marches versus TRES PEU d'étages les talons DANS LE VIDE).
Donc, dans l'immobilité debout et dans 1a marche, la contrac-
fion du mollet est INDISPENSABLE et elle est UTILE puisqu'elle
remplit une fonction précise: nous permettre de GARDER L'EQUILI-
BRE et nous faire AVANCER. Donc, l'énergie dépensée PAR LE
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MOLLET quand on se tient debout ou qu'on marche est BTEN UTILI-
SÉE ~â remplir un rôle UTILE et la quantité d'énergie dépensée
est FAIBLE, CONTRAIREMENT AUX PÉDALES oû. la contraction du mol-
05 let ne remplit AUCUN rôle utile et dépense une TRES GRANDE quan-
tité d'énergie !
Dans la course à pied, l'effort demandé aux mollets est plus
grand que dans la marche, mais cet effort est UTILE car il per-
mets D'AUGMENTER notre vitesse (par rapport â la marche); dans
les marathons, le coureur prends BIEN SOIN de poser le talon
PAR TERRE (de la jambe AVANT qui supporte 90% du poids), ce qui
fait que la contraction du mollet de la jambe qui propulse vers
l'avant {la jambe ARRI~RE) est DE BEAUCOUP inférieure â 3 FOIS
LE POIDS du coureur (car la jambe ARRI~RE supporte SEULEMENT 10%
du poids du coureur: donc le mollet supporte 30% du poids du
coureur versus 300%-soit 20 FOIS PLUS-quand on monte un escalier
les talons dans le vide ou qu'on pédale debout car alors le mol-
let supporte 3 FOIS LE POIDS du coureur). Donc, dans la course,
TOUTE l'énergie dépensée par le mollet e;st BIEN utilisée à rem-
plir une fonction UTILE . nous permettre de nous déplacer PLUS
VITE que dans la marche et la quantité d'énergie dépensée par
les mollets est DIX FOIS plus petite que dans le pédalage
DEBOUT {le mollet ne remplissant AUCUN rôle UTILE dans le cas
de la pédale).
Donc, quand on se tient debout immobile, ïe VRAI rôle du mollet
est de nous éviter de tomber; quand on marche, le mollet dépen-
se UN PEU PLUS d'énergie et celle-ci est BIEN employée puisqu'ON
AVANCE; quand on court, le mollet dépense UN PEU PLUS d'énergie
que dans la marche, mais celle-ci est BIEN employée puisqu'on
avance PLUS VTTE que dans la marche. PAR CONTRE, quand on monte
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un escalier les talons DANS LE VIDE ou qu'on pédale DEBOUT, le
mollet accomplit un rôle INUTILE et NUISIBLE, inutile parce
qu'il n'aide pas à monter l'escalier ou la côte plus plus vite,
05 et nuisible parce qu'il consomme LA MOITIÉ (ou plus) de l'éner-
gie sans raison . du pur gaspillage...
CONCLUSION . le mollet n'est pas concu pour exercer des efforts
CONSIDERABLES (comme supporter 3 FOIS le poids) et
pendant de LONGUES périodes de temps, surtout quand
ca n'a AUCUNE utilité ! BIO-mécaniquement, le mol-
est visiblement conøu pour exercer de FAIBLES
efforts pendant de COURTES périodes de temps, com-
me dans l'immobilité debout, la marche et la
course.
Nous en avons terminé avec la position DEBOUT. Nous avons pris
comme exemples l'escalier, la côte, la marche et la course. On
peut grimper certaines côtes en pédalant ASSIS et, à l'inverse,
on peut devoir se lever pour pédaler DEBOUT sur terrain PLAT
parce qu'on a â lutter contre un fort vent de face par exemple.
Un peu de réflexion va vous faire comprendre que tout ce qui a
été expliqué â date sur la position DEBOUT s'applique d'une
maniére UNIVERSELLE.
Maintenant, les VRAIES surprises vont co~:nmencer en étudiant la
position de pédalage ASSIS, ce qui va nous permettre D'EXPLIQUER
l'illusion d'optique de la jambe. Les QUATRES EXPERIENCES avec
le pèse-personne, position assis, vont étre particuiiérement
importantes: TOUT va ~étre PROUVE EXPÉRIMENTALEMENT. Les deux
premières vont PROUVER l'existence réelle de l'illusion d'opti-
que de la jambe, et les deux derniéres vont PROUVER que cette
invention permets de DIVISER PAR DEUX (au minimum) la
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consommation d'énergie en position assis SANS PERTE DE PUISSAN-
CE comparé à un vélo â pédales.
CHAPITRE 3 . deux aspects de l'invention:
05 -l'aspect SPECTACULAIRE
-l'aspect FANTASTIQUE (mais peu spectaculaire)
L'aspect SPECTACULAIRE de cette invention consiste â faire l'ex-
...
perience de MONTER UNE COTE, pour ensuite remonter la méme côte
avec un vélo â pédales (1e lendemain seulement, histoire de
reprendre l'énergie perdue pour ne pas fausser la comparaison);
ou encore prendre 2 personnes de méme condition physique; la
premiére utilisant l'invention et la deuxiéme le vélo à pédales,
et leur faire grimper une côte donnée EN M~ME TEMPS: on note
tout de suite une ÉNORME différence entre: les deux ' Le fait
que la personne utilisant l'invention peut ACCÉLÉRER EN MONTANT
(d'une facon AISÉMENT perceptible VISUELLEMENT) est VRAIMENT
spectaculaire . c'est UNIQUE AU MONDE et ça SE REMARQUE !
L'aspect FANTASTIQUE (mais PEU spectaculaire), c'est la DIVISION
PAR DEUX (minimum) de la consommation d'énergie en position
ASSIS (donc SUR TERRAIN PLAT ia majorité du temps). Pourquoi cet
aspect est-il PEU spectaculaire ? Parce qu'on ne note pas de
différence RAPIDEMENT (par rapport aux pédales): il faut PLUS DE
TEMPS pour ressentir physiquement la différence par rapport aux
pédales. Notre rêservoir d'énergie humaine ayant une capacité
limitée, il faut maintenir une pression moyenne FAIBLE si on
veut pouvoir parcourir une distance appréciable . donc, il faut
parcourir une assez longue distance (ce qrsi requiert PLUS DE
TEMPS) pour ressentir physiquement une di:Ef érence NOTABLE (par
rapport aux pédales); donc, c'est PEU SPECTACULAIRE.
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Même si c'est PEU SPECTACULAIRE, ia div:ision PAR DEUX (minimum)
de ia consommation d'énergie en position ASSIS est FANTASTIQUE'
Et pourquoi donc? Parce que cela rends cette invention utile et
05 agréable A LA TOTALTTE de la population" et non pas seulement
â quelques groupes privilegi'és. La tota7Lité de la valeur de
cette invention provient UNIQUEMENT (ou presque) de la position
ASSIS, la contribution de l'économie d'énergie DANS LES CÖTES
étant NÉGLIGEABLE en comparaison {bien qu'étant SPECTACULAIRE).
10 Voici pourquoi. Le cycliste MOYEN évite les côtes; la trés gran-
de majorité du temps est passée SUR TERRAIN PLAT (assis): il n'y
a que les coureurs cyclistes et ies jeunes qui s'intéressent aux
côtes. S'il n'y avait AUCUNE économie d'énergie en position
ASSIS avec cette invention (donc, s'il y avait SEULEMENT l''éco-
15 norme d'énergie en position DEBOUT), seuls les coureurs et les
jeunes seraient intéressés par cette invention, et non pas L'EN-
SEMBLE de la population; donc, l'économie d'énergie en position
ASSIS est d'importance capitale pour ïntéresser LA TOTALITÉ de
la population (les femmes, les personnes agées...). Le cycliste
20 MOYEN veut simplement se rendre du point A au point B en d'epen-
saut le MINIMUM d'énergie {â puissance 'egale comparé aux péda-
les), soit pour LE PLAISIR ou PAR NÉCESSITÉ (ex: se rendre au
travail). Les PERSONNES AGEES et LES FEMMES vont être attirées
par cette êconomie d'énergie en position ASSIS: beaucoup d'entre
elles refusent d'utiliser le vélo parce qu'elles trouvent les
pédales épuisantes même sur terrain plat; les femmes vont étre
DOUBLEMENT attirées par le fait que cette invention empéche
d'avoir DE GROS MOLLETS DISGRACIEUX {une horreur pour les fem-
mes) en ÉLIMINANT l'usage des mollets ! {cet aspect est EXTRE-
MEMENT important du point de vue commercial ~ G' est évident) .
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Enfin, les personnes agées, les femmes, les enfants, les cou-
reurs, les "mountain bikers"...vont TOUS être attirés par l'as-
pect SECURITAIRE . contrairement aux pédales, les pieds NE PEU-
05 VENT PAS glisser avec cette invention; quand on passe dans un
trou ou sur une bosse (même petite) avec un vélo A PEDALES, nos
pieds ont tendance â glisser et cela risque de nous faire perdre
l'équilibre; l'invention proposée remplace les pédales par des
plateformes qui supportent TOUT LE PIED, ce qui donne une Ires
grande sécurité: les pieds NE PEUVENT PAS glisser bien qu'ils ne
soient PAS attachés; ces plateformes sont munies de GUIDES DE
POSITIONNEMENT du pied qui garantissent que le pied est automa-
tiquement CORRECTEMENT placé; comme ces guides sont placés sur
..
UN SEUL COTE de la plateforme, il est facile de poser RAPIDEMENT
le pied par terre en cas d'arrêt brusque, et le REpositionnement
CORRECT du pied pour repartir est tout aussi rapide, tout cela
se faisant sans avoir besain DE REGARDER, ce qui accroit encore
plus la sécurité.
,.
Donc, la SECURITE ACCRUE, le fait que les mollets CESSENT DE
GROSSIR DEMESUREMENT (pour les femmes), et, SURTOUT, la DIVISION
PAR DEUX (minimum) de la consommation d'anergie en position
ASSIS sont des élêments qui donnent un aspect FANTASTIQUE â cet-
te invention, bien que les 3 éléments cités soient PEU SPECTACU-
LAIRES en comparaison de l'expérience de monter une côte.
L'aspect FANTASTIQUE provient donc du fait que les 3 éléments
cites rendent cette invention TRES intéressante pour LA TOTALITE
de la population, tandis que l'aspect SPECTACULAIRE (grimper les
cotes) n'intéresse que les coureurs et les jeunes.
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Remarque: nous avons ici un problême de vocabulaire. En effet,
le mot PÉDALER s'applique specifiquement aux pédales elles-
mémes; si ON ENLEVE les pédales et on les remplace par ce qu'on
05 appelle PLATEFORMES dans ce document, il faudrait logiquement
employer un mot autre que "pédaler": le mot "plateformer" est
ridicule. Pour le moment, pour régler temporairement le problé-
me, nous allons continuer d'utiliser le mot PLATEFORME pour de-
signer "cette chose" qui remplace les pédales, et nous allons
continuer d'utiliser le mot PÉDALER pour désigner l'utilisation
des plateformes, faute de mieux, en attendant que les linguistes
réglent ce problême.
CHAPITRE 4 . comment LE MONDE ENTIER (incluant les experts)
interpréte le pédalage.
Aujourd'hui, cette interprétation est EXACTEMENT LA MEME pour
taus: les experts, l'homme de la rue, le coureur... Tous VISUALI-
SENT le fonctionnement de la jambe de la même Tacon, DANS LE CAS
PARTICULIER de son utilisation AVEC LA PEDALE. C'est cette in-
terprétation qui sera maintenant donnée; ensuite, nous PROUVE-
RONS que cette interprétation est FAUSSE et nous expliquerons
L'ILLUSION D'OPTIQUE qui a trompé tout l~e monde. Pour bien assi-
miler ce qui va suivre, essayez D'OUBLIE:R COMPLETEMENT tout ce
quia été précédemment expliqué; surtout cette comparaison
ESCALIER/CYCLISTE EN COTE (qui avait pour seul but de vous faire
comprendre que "quelque chose" d'important a été totalement
ignoré par le cyclisme actuel, sans PRÉC:IS~R ce que c'est).
Mettez-vous "dans la peau" de faut le monde: interprétez le pé-
dalage comme eux l'interprêtent visuellement. Voici donc cette
interprétation DU MONDE ENTIER.
La fïg 5 représente une jambe qui appuie sur une pédale en posi-
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tion assis. Ce dessin est-il NORMAL ? Bien sur que OUI: la posi-
fion du pied sur la pédale est celle recommandée par les ex-
parts, l'articulation des orteils reposant sur l'axe de la péda-
05 le, le talon étant DANS LE VIDE. Si on demande à tout le monde
(les experts, l'homme de la rue, les coureurs...) QUELS MUSCLES
produisent la pression sur la pédale, TC)US vont finir par répon-
dre LA MEME CHOSE après réflexion, et vont dire CECI:
"...la pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la premiére étant LA CUISSE et la
deuxième étant LE MOLLET, ces deux forces
S'ADDITIONNANT..."
Un EXPERT va apporter plus de précisions et dire ceci (voir les
(figures 6 et 7) . "...la pression sur Ia, pédale est constituée
i5 de DEUX forces qui S'ADDITIONNENT; la premiére provient de la
contraction des muscles DE LA CUISSE (5, fig 6) qui poussent
l'os de la cuisse (6) vers le bas, ce qu.i produit une premiere
pression (P1) sur la pédale. La DEUXIEME force sur la pédale
(P2, fig 7) provient de la contraction DU MOLLET (4) qui tire le
talon VERS LE HAUT, ce qui a tendance à faire tourner le pied
autour de LA CHEVILLE (1), cela produisant un déplacement VERS
LE BAS de l'articulation des orteils (2), ce qui produit une
DEUXI~ME pression (P2) sur la pédale. La pression TOTALE sur la
pédale est LA SOMME de la pression provenant DE LA CUISSE (P2)
plus la pression provenant DU MOLLET (P2)..."
Remarque: les muscles illustrés (5, fig 6 et 4, fig 7) sont
SYMBOLIQUES seulement; ce n'est pas la structure réelle des
muscles qui est illustrée. Par exemple, le mollet (4, fig 7)
est constitue des deux jumeaux et du sol~eaire (non illustrés);
quant au "muscle" (5, fig 6), il SYMBOLISE la poussée vers le
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bas de la cuisse; en réalité, la poussée vers le bas de la
cuisse est causée par DEUX muscles: LE GRAND FESSIER qui, en
se contractant, pousse directement l'os de la cuisse vers le
05 bas, et LE QUADRICEPS qui produit l'exte:nsion de la jambe:
comme le pied doit demeurer sur la pédale, cette extension de
la jambe produit un déplacement vers le lbas de la cuisse car
la pédale descends évidemment. Donc, ces deux muscles (fessier
et quadriceps) produisent un déplacement vers le bas de la
cuisse, et c'est cela qui est SYMBOLISÉ par le muscle 5, fig 6.
En ce qui concerne le présent document, nous n'avons pas a
nous préoccuper de ia structure musculai~°e RÉELLE car nous
faisons une étude purement MÉCANIQUE de 7La jambe: nous étudions
3 segments articulés (le pied, l'os de la jambe, et l'as de la
cuisse réunis ensemble par des points de rotation (les articu-
lations de la cheville et du genou}, en nous concentrant SUR UN
DÉTAIL PRECIS, soit d'étudier le rôle joue par LE MOLLET d'un
point de vue purement MÉCANIQUE. Tout cela va devenir très clair
dans votre esprit en lisant Ie document l.ui-méme.
CHAPITRE 5 . définition de L'ILLUSION D'OPTIQUE DE LA JAMBE.
Ce qui va suivre va vous donner un choc ! Au début, vous ne
croirez PAS l'inventeur, tout comme les grands savants n'ont pas
crû l'homme gui voulait leur expliquer que le soleil NE SE
D~PLACE PAS dans le ciel, que c'est une ILLUSION D'OPTIQUE !
Ils ont REFUSÉ de le croire, même AVEC PREUVES â l'appui ! Dans
notre cas, ce sont SURTOUT les experts en cyclisme qui vont
REFUSER d'y croire. En EFFECTUANT les quatres expériences propo-
Bées {avec ie pése-personne}, vous allez COMMENCER â y croire,
et EN ESSAYANT le prototype, vous allez être OBLIGÉ d'y croire!
Cette ILLUSION D'OPTIQUE est representée ;par la fig 7: ce qu'on
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VISUALISE sur la fig 7 N'EST PAS VRAI: e~n réalité, la pression
P2 est de ZÉRO car LE MOLLET, en se contractant, NE PEUT PAS
exercer de pression sur la pédale ! La TOTALITÉ de la pression
05 sur la pédale provient UNIQUEMENT de LA CUISSE (la force P1 sur
la fig 6) ! Et cette affirmation, que nous allons bientôt
PROUVER, est LE CONTRAIRE EXACT de ce que LE MONDE ENTIER pense!
C'est L'UTILISATION de la pédale qui OBLIGE le mollet â se con-
tracter, puisque le talon est DANS LE VIDE (non-supporté). Com-
10 me la contraction du mollet NE PEUT PAS augmenter la pression
sur la pédale (comme nous allons le prouver), cette contraction
du mollet est une PERTE PURE d'énergie; l'invention proposée ici
ÉLIMINE cette perte d'énergie en fournissant un support au
talon, SANS PERTE DE PRESSION pour la propulsion puisque la
15 TOTALITÉ de cette pression provient UNIQUEMENT de la cuisse !
Il y a une grande similitude entre la position de pédalage
DEBOUT et la position ASSIS; debout, la contraction du mollet
est de 3 fois LE POIDS du cycliste tandis que, assis, la con-
traction du mollet est de 3 fois LA PRESSION VERS LE BAS exercée
20 PAR LA CUISSE . la seule différence entra les deux positions
réside dans L'INTENSITÉ des forces en jeu.
Exprimée en mots, L'ILLUSION D'OPTIQUE qui trompe LE MONDE
ENTIER depuis au moins un siècle est .
"...le fait de croire que la contraction du mollet tire
25 le talon VERS LE HAUT, ce qui fait TOURNER le pied
autour de la cheville, ce qui produit un déplacement
VERS LE BAS du bout du pied, ce qui AUGMENTE LA
PRESSION SUR LA PÉDALE..."
i
Plus loin dans ce document, nous allons expliquer avec precision
POURQUOI les gens croient (faussement ) c:ela: en résumé, c'est
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â cause de la manière de fonctionner de notre esprit quand il
est question de PERCEPTION VISUELLE ! Ce qui caracterise forte-
ment cette invention, c'est le fait que les connaissances les
05 plus diverses sont impliquées, et non pas seulement les sciences
physiques et les mathématiques: il faut en effet tenir compte de
considérations PSYCHOLOGIQUES, BIO-mécaniques et de la "nature
humaine"; c'est LA SEULE FACON d'arriver â expliquer COMMENT des
milliards de personnes (même les savants) peuvent avoir été
INDUITES en erreur pendant trés longtemps. En méme temps, cela
démontre que les inventions basées sur la découverte d'une
illusion d'optique sont TRÉS RARES, ce qui leur donne une TRES
GRANDE VALEUR. L'illusion d'optique n'ira pas vous dire "qu'elle
EST" une illusion ! I1 faut LA DÉCOUVRIR ! En fait, la vérité
CACHÉE derriére l'illusion est parfaitement bien protogée contre
la découverte: un "agent de sécurité" empêche les intrus
d'ouvrir la porte, et cet agent est l'illusion d'optique elle-
meure !
Le prochain chapitre est RÉVÉLATEUR, car il PROUVE (expérimenta-
lement) l'existence RÉELLE de l'illusion d'optique de la jambe.
Plus loin, des preuves THÉORIQUES seront données, ce qui élimi-
nera définitivement tout doute de votre esprit.
CHAPITRE 6 . preuves EXPÉRIMENTALES de l'existence de
ï'illusion d'optique de la jambe et du
gaspillage d'énergie qu'elle provoque.
Nous allons PROUVER que LE MONDE ENTIER se trompe en effectuant
4 expériences d'une très grande simplicité ! Tout ce qu'il faut
comme matériel, c'est une chaise droite et un simple p'ese-
personne modéle portatif (ceux qu'on utilise habituellement
pour cannaitre notre poids).
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Assoyez-vous et posez UN SEUL pied (le droit par exemple) sur le
pése-personne {7, fig 8)); laissez le pied gauche par terre â
côté du pése-personne. NE TRICHEZ PAS: n'essayez pas de vous
05 créer des points d'appui avec vos mains {comme tirer sur les
bras de la chaise) et n'essayez pas d'appuyer avec votre corps
en vous penchant vers l'avant: restez droit sur la chaise et
appuyez AVEC LA JAMBE SEULEMENT. Il est important que vous ne
souleviez pas le pied gauche: il doit rester par terre (nous
sommes instinctivement portés à soulever le pied gauche SANS Y
PENSER: cela fausse les résultats). Répétez l'expérience
PLUSIEURS FOIS pour vous assurer d'obtenir des résultats
corrects. Nous allons effectuer deux tests {fig 8 et 9).
Fig 8: dans le premier test, le talon doit être SUR le pése
personne(7) de facon à ÉVITER la contraction du mollet. Vous
avez compris l'astuce utilisée: gxace au pèse-personne, on peut
MESURER la pression exercée par la jambe ! Donc, ici, le pése-
personne joue le rôle d'un prototype de :L'invention puisque le
talon est supporté.
Fig 9: dans le deuxième test, on place seulement LE BOUT DU PIED
sur le pése-personne(7), le talon étant DANS LE VIDE, ce qui
OBLIGE le mollet à se contracter. Ici, le pése-personne joue le
rôle d'une PÉDALE conventionnelle, avec :L'avantage qu'on peut
MESURER la pression obtenue !
Grace à ces deux tests simples, on peut MESURER LA DIFFÉRENCE
entre la pédale ordinaire et l'invention proposëe. Ne vous con-
tentez pas de LIRE l'expérience: EFFECTUEZ ces deux tests; ainsi
vous pourrez vérifier PHYSIQUEMENT que cette ILLUSION D'OPTIQUE
est une RÉALITÉ PHYSIQUE ! Vous allez être surpris des résultats
qui vont CONTREDIRE ce que pense LE MONDEï ENTIER, rien de moins!
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Les deux tests (fig 8 et 9} consistent â appuyer DE TOUTES VOS
FORCES sur le pèse-personne (7) AVEC LA JAMBE SEULEMENT et de
NOTER LA PRESSION obtenue. Geci est important: n'essayez pas de
05 donner un coup fort (rapide et brusque) vers le bas avec votre
jambe; il faut plutôt appuyer LENTEMENT et GRADUELLEMENT pour
faire augmenter la pression doucement jusqu'a sa valeur MAXTMUM,
et noter le résultat obtenu. La seule différence entre les deux
tests, c'est que le mollet ne force PAS :DU TOUT dans le ler test
(fig 8: c'est l'invention) et qu'il force BEAUCOUP dans le 2iéme
test (fig 9: la pedale). Evidemment, LA CUISSE force avec
LA MEME INTENSTTÉ dans les deux tests puisque vous appuyez DE
TOUTES VOS FORCES avec votre cuisse.
AVANT d'effectuer les deux tests, notez bien ceci: SI ce que LE
MONDE ENTIER pense EST VRAI, c'est-â-dire que
"...la pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la première étant LA CUi;SSE et la
deuxiéme étant LE MOLLET, ces deux forces
S'ADDITIONNANT..."
alors, dans ce cas, en effectuant les deux tests, vous devriez
normallement obtenir une pression PLUS G1~ANDE dans le DEUXIEME
test (fig 9) que dans le premier test (f:ig 8) parce que la
cuisse ET le mollet forcent TOUS DEUX dans le deuxième test
tandis que la cuisse SEULEMENT force dan: le premier test. Com-
me la cuisse force avec LA MÉMÉ intensitÉ~ dans les deux tests
(car on force AU MAXIMUM), alors, si le monde entier a raison,
il faudrait OBLIGATOIREMENT que la pression dans le DEUXIÉME
test soit PLUS GRANDE que la pression obitenue dans la premier
test parce que, dans le deuxiéme test, la pression du mollet
S'ADDITIONNE â celle de la cuisse.
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C'est ce que NOS YEUX semblent nous indiquer. VERIFIONS donc si
LE MONDE ENTIER a raison ou tard EN EFFECTUANT les 2 tests.
L'ÉTONNANTE REPONSE est que le monde eni:ier 5E TROMPE '
05 Même moi, QUI SUIS POURTANT L'INVENTEUR,. avait de la difficulté
ä CROIRE ce qu'indiquait l'échelle graduée du pése-personne !
Cela me semblait totalement loufoque, contraire aux lois natu -
relles, LE CONTRAIRE EXACT de ce que je croyais stre vrai VISU-
ELLEMENT comme tout le monde ! J'AI ALOF;S ÉTE OBLIGÉ D'ADMETTRE
QUE J'ÉTAIS TROMPE PAR UNE ILLUSION D'OPTIQUE, que ce que JE
VOYAIS avec mes yeux était FAUX ! Mais il restait â COMPRENDRE
le phénoméne et tenter de L'EXPLIQUER en termes SIMPLES: il m'a
fallu PLUSIEURS ANNEES pour compléter cette tâche. Quand ON
CONNAIT le contenu de l'actuel document, on conclut que tout
cela est relativement SIMPLE, mais POUR DECOUVRIR tout cela en
partant DE RIEN, il faut PLUSIEURS miracles . ce n'est PAS DU
TOUT évident...
L'inventeur a effectué ces deux tests des dizaines de fois et
il a TOUJOURS obtenu EXACTEMENT le même resultat, soit 54 livres
de pression dans CHACUN des deux tests:
La pression obtenue est EXACTEMENT la même,
PEU IMPORTE que le mollet FORCE (fig 9) ou
NE FORCE PAS (f ig 8) !
I1 y a UNE SEULE conclusion possible:
La contraction du mollet dans le DEUXIÉME
test (fig 9} N'AUGMENTE PAS la pression sur
le pèse-personne (donc LA PEDALE) !
Cette affirmation est le CONTRAIRE EXACT de ce que LE MONDE
ENTIER pense (ce monde entier étant CONVAINCU que la contraction
du mollet AUGMENTE la pression sur la pédale) !
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Donc, quand on pédale ASSIS avec un vélo â pédales convention -
nel, LA TOTALITÉ de la pression sur la pédale provient UNIQUE -
MENT de la contraction des muscles DE LA CUISSE . la contraction
05 forcée DU MOLLET est une PERTE PURE d'énergie, et cette perte
est ÉNORME, comme les deux prochains tests vont le démontrer !
CONCLUSION . la fig 7 représente une ILLUSION D'OPTIQUE
La pression P2 est de ZÉRO .'cette pression
N'EXISTE PAS, c'est une ILLUSION !
10 IMPORTANT . ce N'EST PAS un hasard si la pression est EXACTEMENT
la même (54 livres) dans ies DEUX tests, â la livre px'es !
Cela PROUVE que LA TOTALITE de la pression provîent UNTQUEMENT
de LA CUISSE; en effet, si on force AU MAXIMUM de LA CUISSE dans
CHACUN des deux tests alors, forcément, L'INTENSITÉ de la force
15 est LA MEME dans chaque test (le MAXTMUM du premier test est
EGAL au MAXIMUM du deuxième test, évidemment) . Dans le cas per-
sonnel de l'inventeur, ce MAXIMUM est de 54 livres; mais ce
chiffre peut varier selon la condition physique particulière de
la personne effectuant les tests. Mais une chose est CERTAINE .
20 si vous obtenez disons 38 livres dans le premier test, vous
devriez obtenir EXACTEMENT 38 livres dans le deuxième test
A CONDITION d'effectuer CORRECTEMENT les deux tests (sans vous
créer des points d'appui avec vos bras, Ean n'appuyant pas avec
votre corps en vous penchant vers l'avant: et, SURTOUT, en lais-
25 sent le pied gauche PAR TERRE).
Nous allons maintenant faire DEUX AUTRES expériences similaires
pour vérifier EXPERIMENTALEMENT qu'il y a~ bel et bien DIVISION
PAR DEUX (environ) de la consommation d'Éinergie en position
ASSIS, cela SANS PERTE DE PRESSION pour l.a propulsion (i.e. a
30 PUISSANCE EGALE avec un vélo â pédales ordinaire), quand on
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remplace les pédales par cette invention. Vous allez vivre PHY-
SIQUEMENT cette différence qui est ÉNORME '. Ces deux tests res-
semblent beaucoup aux deux tests précédents sauf qu'il faut les
05 effectuer avec plus de précautions pour ne pas fausser les
résultats.
Prenez les mémes precautïons que dans les deux tests précédents:
ne vous créez pas de poïnt d'appui avec vos bras, ne vous
penchez pas vers l'avant pour appuyer avec votre corps et, sur-
tout, laissez le pied gauche PAR TERRE (nous sommes instinctive-
ment portés â le soulever sans nous en rendre compte, ce qui
fausse les résultats). I1 faut prendre la précaution addition -
pelle suivante: dans les deux tests, il Ea t INDISPENSABLE que la
jambe soit PERPENDICULAIRE {90 degrés) au pése-persone(7) comme
illustré par les fig 10 et 21. Si le pése:-personne a tendance â
glïsser vers l'avant, mettez un objet lourd devant.
Dans ces deux tests, il s'agit d'obtenir GRADUELLEMENT la pres-
sïon MAXIMUM comme dans les deux tests prëcédents, mais le but
visé est DE MAINTENIR cette pression maximum LE PLUS LONGTEMPS
POSSIBLE et de noter votre NIVEAU DE FATIGUE quand vous avez le
talon SUR le pêse-personne (fig 10: c'est: l'invention ) COMPARÉ
A votre niveau de fatigue quand le talon est DANS LE VIDE
(fig 11: la pédale ordinaire). Vous devez.. gardez la pression
maximum CONSTANTE pendant tout le temps dU test: si par exemple
vous avez obtenu 38 livres dans les deux tests précédents, vous
devrez MAINTENIR ce 38 livres tout le temps du test, sans jamais
que la pression descende SOUS ce chiffre de 38 livres. Répétez
ces tests plusieurs fois pour étre certain des résultats.
Ces deux tests de consommation d'énergie (par mesure du NIVEAU
DE FATIGUE) vont vous donner des résultats ressemblant a ceci:
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PREMIER TEST (talon SUR le pése-personne, fig 20) . ici, le mol-
let NE CONSOMME PAS d'énergie car il ne se contracte pas, ce qui
est l'équivalent de l'invention.
05 Resultat obtenu par l'inventeur:
a) il a pu MAINTENIR pendant 90 secondes une pression MAXIMUM
de 54 livres,
b) au bout de 45 secondes environ aprés le début du test, il
commence~â ressentir une légére douleur musculaire â la
cuisse,
c) 90 secondes aprés le début du test, cette douleur musculaire
devient difficile â supporter,
d) l'inventeur arréte le test, mais il note que son rythme car-
diaque N'A PAS augmentê de façon appréciable et il n'est PAS
25 essouflê; SEULE LA DOULEUR â la cuisse l'a conduit à arrêter
le test, ET NON PAS LA FATIGUE dûe à une grande consommation
d'énergie: sans cette douleur, l'inventeur aurait pu MAINTE-
NIR la pression MAXIMUM de 54 livres 1,~LUS LONGTEMPS que 90
secondes...
DEUXI~ME TEST (talon DANS LE VIDE, fig 1.L) . ici, le mollet DOIT
se contracter avec une intensité de 3 FOIS 54 livres, soit 162
livres; le mollet dépense ENORMEMENT d'énergie. Ce test est
l'équivalent de LA PEDALE üABITUELLE.
Résultat obtenu par l'inventeur:
a) dans LES PREMIÉRES SECONDES du test, 7.'inventeur réalise
tout de suite qu'il est TRES difficils~ D'ATTEINDRE la pres-
Sion MAXIMUM de 54 livres (ce qui a ét:é TR~S FACILE dans le
premier test!),
b} au bout d'environ 30 secondes aprés avoir réussi â ATTEINDRE
et MAINTENIR ce 54 livres, l'inventeur constate une grande
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raideur DU MOLLET: il commence â tes:>entir une douleur au
TENDON D'ACHILLE (qui relie le molles; au talon),
c) 45 secondes après avoir réussi à ATTEINDRE et MAINTENIR ce
05 54 livres, la douleur A LA CUISSE s'ajoute â celle du tendon
d'Achille; l'inventeur réalise que son rythme cardïaque com-
mence â augmenter DE FACON NOTABLE et; que sa respiration
devient plus rapide; la jambe au complet COMMENCE A TREMBLER,
d) au bout de 60 secondes aptes avoir rÉ:ussi .à ATTEINDRE et
MAINTENIR ce 54 livres, l'inventeur est TOTALEMENT INCAPABLE
de MAINTENIR la pression MAXIMUM de 54 livres: la pression
BAISSE RAPIDEMENT...
LA COMPARAISON ENTRE LES RÉSULTATS DE CES 2 TESTS permets
d'affirmer sans risque d'erreur que 1a consommation d'énergie
est DEUX FOIS plus grande (environ) dans le deuxiéme test que
dans le premier test, le 2ieme test étant LA PEDALE et le
premier test étant l'invention proposée.
DONC, quand on utilise l'invention en position ASSIS, il y a
DIVISION PAR DEUX (environ) de la consommation d'énergie comparé
au vélo à pédales, SANS PERTE DE PUISSANCE (car la pression
obtenue est LA MEME dans les deux tests, soit 54 livres ) !
Les beaux jours de la "royale pédale°' sont
terminés; cette invention rends RIDICULE la
pédale actuelle, tout comme 1a pédale a rendu
ridicule la draisienne (trotinette) il y a
150 ans: â chacun son tour... C'EST LE PROGRES!
Ceci termine les preuves EXPÉRIMENTALES; plus loin dans le docu-
ment, les preuves THÉORIQUES seront donnnes. Mais tout d'abord,
il est nécessaire d'expliquer COMMENT cette ILLUSION D'OPTIQUE
de la jambe prends naissance dans notre esprit: INTÉRESSANT !!!
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WO 04127694 PCT/CA99/01024
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CHAPITRE 7 . comment cette illusion d'optique prends naissance
dans notre esprit...
Quels sont les facteurs qui causent cette illusion? Comment se
05 fait-il que cette illusion soit si PUISSANTE? En effet, depuis
150 ans, des MILLIARDS de personnes ont cté induites en erreur,
incluant les plus grands savants.
Concentrez-vous sur la fig 12; QUE VOYEZ--VOUS? Vous allez répon-
dre que vous voyez UNE boite: vous ne voyez QU'UNE SEULE boite
et pourtant il y en a DEUX ! Vous avez vu
-soit la boite DU HAUT (8), dont vous voyez LE DESSOUS (10)
(partie du haut de la fig 13)
-soit la boite DU BAS (9), dont vous voys:z LE DESSUS (10)
(partie du bas de la fig 13)
Il est IMPOSSIBLE de voir LES DEUX boites. EN M~ME TEMPS !
Cela provient du fait que notre esprit a une puissance LIMITÉE !
Si c'était un ordinateur qui analyserait la fig 12, il répon -
drait instantannément qu'il y a DEUX boites, prodige dont notre
esprit est incapable. Notre esprit traite les deux boites COMME
SI elles étaient totalement INDÉPENDANTES l'une de l'autre; or,
ces deux boites DÉPENDENT l'une de l'autre puisque la partie
hachurée (10) sur la fig 12 est, EN MÉMÉ TEMPS, le dessous de
la boite du haut (8) ET le dessus de la boite du bas (9}. C'est
cette DÉPENDANCE entre les deux boites qui EMPECHE notre esprit
de les voir toutes les deux EN M~ME TEMPS, la partie hachurée
(10) étant COMMUNE aux deux boites. S'il y a DEUX parties hachu-
rées(10) comme dans les deux boites SÉPARÉES de la fig 13, il
est évident qu'ON PEUT voir les deux boites EN MÉMÉ TEMPS.
QUEL RAPPORT avec l'illusion d'optique de la jambe ?
Ce rapport est DIRECT et RÉVÉLATEUR...
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La fig 24 représente la jambe d'un cycliste pédalant assis.
Faisons une ANALOGIE avec la fig 22:
-nous dirons que la cuisse joue le rôle de la boite du haut (8),
05 -que la partie de la jambe contenant LE 1MOLLET joue le rôle de
la boite du bas (9),
-et que le genou joue le rôle de la partie hachurée (20).
Revenons maintenant â l'interprétation qtze LE MONDE ENTIER fait
du pédalage (chapitre 4) .
"...la pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la premiére étant LA CUISSE et la
deuxiéme étant LE MOLLET, ces deux forces
S'ADDITIONNANT..."
Quand on demande aux gens (même aux experts) DE QUELS MUSCLES
15 provient la pression sur la pédale, que font ces gens ? Ils
REGARDENT la fig l4 et, AUTOMATIQUEMENT, l'esprit de ces gens
fonctionne EXACTEMENT comme dans le cas des deux boites de la
fig 12 . ils tentent d'analyser le fonctionnement de la cuisse
EN PREMIER et ENSUITE le fonctionnement du mollet (ou vice
20 versa), mais NON PAS de la cuisse ET du mollet EN MÉME TEMPS,
car notre esprit est INCAPABLE de le faire, tout comme il est
INCAPABLE de VOIR les deux boites de la f.ig 12 EN MÉMÉ TEMPS!
Donc, notre esprit analyse SÉPAREMENT le :fonctionnement de la
cuisse et du mollet, et ADDITIONNE les deux résultats comme si
25 ces résultats d'analyse étaient INDÉPENDANTS l'un de l'autre !
Cela est absolument ANALOGUE au fait que nous ne voyons pas
voir EN MEME TEMPS les deux boites (fig 22) â cause de l'axis -
tence de la partie hachurée (10) qui est COMMUNE aux deux
boites (qui RELIE les deux boites). I1 en va de méme DU GENOU
30 qui RELTE ensemble cuisse et mollet, étant. une partie COMMUNE.
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Le genou joue un rôle ANALOGUE à celui de la partie hachurêe
(10) reliant ensemble les deux boites {fig 12).
Voici donc une rêvélation extraordinaire:
05 LE GENOU nous EMP~CHE d'analyser EN M~ME TEMPS
la cuisse ET le mollet, tout comme la partie
hachurée {10) nous EMP~CHE de voir EN M~ME TEMPS
les deux boites {fig 12).
Evidemment, ce n'est qu'une simple ANALC>GIE: dans le cas des
deux boites il est question de perception VISUELLE, tandis que
dans le cas de la jambe il est question DE LA FAÇON d'en analy-
ser le fonctionnement. Mais l'analogie est bonne parce que le
r
RESULTAT est le même: dans les deux cas, on ne peut pas VOIR
(ANALYSER) les deux boites {la cuisse ET le moilet) EN MEME
TEMPS parce que les deux parties constituantes possèdent une
partie COMMUNE, la partie hachurée {le genou), qui les RELIE
ensemble. Tout cela est très subtil. Plus loin, nous allons
PROUVER SCIENTIFIQUEMENT ceci: que c'est L'EXISTENCE MÉME du
GENOU qui CAUSE l'illusion d'optique de JLa jambe ! Pour l'ins-
tant, nous allons nous contenter d'énoncer quelque chose de tres
profond, qui mérite qu'an médite dessus (quand vous aurez com-
pris la totalité de ce document-ci):
LE GENOU, qui pourtant RELIE ENSEMBLE la cuisse
ET le mollet, nous OBLIGE â les analyser INDEPENDAMMENT
JL'un de l'autre, COMME SI la cuisse et le mollet
N'ETAIENT PAS reliées ensemble !
LE GENOU remplit deux rôles CONTRADICTOIRES:
a) il RELIE PHYSIQUEMENT la cuisse et le mollet
b) il nous OBLIGE à considérer la cuisse et le mollet comme
étant NON reliés, pour fin D'ANALYSE comme expliqué ci-haut!
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LE GENOU, qui RELIE ces deux parties, nous oblige à les analyser
comme si elles étaient NON reliées: vraiment BIZARRE...
Pour être plus précis, on pourrait dire que le genou remplit
05 SEULEMENT le rôle de la liaison PHYSIQUE; .l'autre rôle est
IMAGINAIRE et est créé par la faiblesse de notre esprit humain!
Ce n'est pas le genou qui est BIZARRE mais plutôt le fonction-
nement de notre esprit !
DONC, notre esprit analyse SEPAREMENT le fonctionnement de la
cuisse et du mollet et ADDITIONNE les deux résultats, ce qui
donne l'interprétation que LE MONDE ENTIER fait du pédalage:
"...la pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la premiére étant la cuisse et la
deuxiéme étant le mollet, ces cieux forces
S'ADDITIONNANT..."
Cette interprétation DU MONDE ENTIER présuppose donc QUE LE
GENOU N'EXISTE PAS, dans le sens qu'il n'a aucune influence sur
la pression exercée sur la pédale ' Cette. interprétation est
aussi l'affirmation que "LE TOUT est LA SOMME des parties
za constituantes" . cela est vrai de deux choses totalement
INDÉPENDANTES l'une de l'autre, mais FAUX quand il existe une
partie COMMUNE aux deux choses. Voir les fig 15 et 16.
Fig 15 . LA SOMME des surfaces des cercles A et B est êgale â la
surface du cercle C, les cercles A et B ne posse'ciant
pas de partie commune;
Fig 16 , la surface du cercle C' est PLUS PETITE que la surface
du cercle C (fig 15) parce que lsss cercles A et B
possédent UNE PARTIE COMMUNE (hachuree).
LE TOUT ÉGALE LA SOMME DES PARTIES seulement sur la fig 15 et
non pas sur la fig 16. La page suivante est RÉVÉLATRTCE...
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L'interprétation DU MONDE ENTIER présuppose que LE TOUT EST EGAL
A LA SOMME DES PARTIES, c'est-à-dire que; la pression TOTALE sur
la pédale est LA SOMME de la pression provenant de la cuisse
05 PLUS la pression provenant du mollet (comme sur la fig 15, par
analogie): cette interprétation présuppose donc qu'il n'y a PAS
de parTt~ commune, QUE LE GENOU N'EXISTE PAS ! Comme le genou
EXISTE, cette interprétation DU MONDE ENTIER est FAUSSE !
CONCLUSION .
La pression totale sur ia pédale N'EST PAS
égale â la SOMME de la pression de la cuisse
plus celle du mollet.
Pour obtenir une analyse CORRECTE du fonctionnement de la jambe,
il faut absolument TENIR COMPTE de l'articulation DU GENOU, qui
est la partie COMMUNE â la cuisse et au mollet (qui les relie).
Une analyse CORRECTE va nous donner un résultat confirmant que
le tout N'EST PAS égal â la somme des parties. Évidemment, une
analyse correcte du fonctionnement du membre inférieur doit
l'étudier en UN SEUL morceau (pied, jambe et cuisse reliés par
les articulations de la cheville et du genou); une telle analyse
ne doit pas se faire VISUELLEMENT . elïe doit être THÉORIQUE et
SCIENTIFIQUE, et c'est cela que nous ferons au prochain chapitre
(qui est divisé en 8 sections).
Remarque: dans l'interprétation DU MONDE ENTIER (donc la
fausse) la personne faisant l'analyse du fonctionnement de la
jambe NE SE RENDS PAS COMPTE qu'elle coupe (mentallement) le
membre inférieur en deux parties distinctes (la cuisse et le
mollet) par une sorte de "chirurgie intellectuelle" ! Cette
personne PENSE tenir compte de l'existenc;e du genou alors que,
en réalité, cette personne IGNORE l'existence du genou '
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CHAPITRE 8 , analyse THÉORIQUE du fonctionnement de la jambe
dans le CAS PARTICULIER de la PÉDALE.
(Ce chapitre est divisé en 8 SECTIONS)
05 SECTION 1 . identification de la PREMTER.E ERREUR contenue dans
l'interprétation DU MONDE ENTIER (chapitre 4).
Cette interprêtation contient DEUX erreurs. Dans cette section
on discute de la PREMIERS, la DEUXIEME étant le sujet de la
SECTION 2. De retour à l'interprétation DU MONDE ENTIER (cha -
pitre 4) .
"...Ia pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la premiére étant LA CUISSE et la
deuxiéme étant LE MOLLET, ces deux forces
S'ADDITIONNANT..."
Cette interprétation DU MONDE ENTIER est donc LA SOMME des
forces P1 (fig 6} ET P2 (fig 7}. Pour que la force P2 (fig 7)
EXISTE RÉELLEMENT, il faudrait que la CHEVILLE (1) soit
MAINTENUE EN PLACE, qu°elle ne bouge pas: la cheville doit être
UN POINT D'APPUI. Seul l'os de la jambe (21) peut maintenir la
cheville (1) en place et, pour cela, il y a UNE SEULE possibili-
te: une pression VERS LE BAS doit s'exercer le long de l'os de
la jambe (12) et cette pression ne peut iatre exercée que PAR LA
CUISSE (le genou étant l'intermédiaire pour le transfer de cette
pression). Donc, la fig 7 SUPPOSE nécess<~irement que la pression
provenant DE LA CUISSE (donc la pression P1 de la fig 6) SERT A
FAIRE DE LA CHEVILLE (1) UN POINT D'APPUI . c'est INDISPENSABLE
pour que la pression P2 EXISTE. Le problö:me est le suivant: EN
MEME TEMPS, la fig 6 indique que la pression P1 provenant DE LA"
CUISSE sert â APPUYER SUR LA PÉDALE. Donc:, l'interprétation DU
MONDE ENTIER attribue un DOUBLE USAGE â J.a pression provenant
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DE LA CUISSE car la fig 6 indique que P1 sert â APPUYER SUR LA
PEDALE et la fig 7 implique que P1 sert â FAIRE DE LA CHEVILLE
UN POINT D'APPUI ! Le DOUBLE RÖLE est évident. Or, un principe
05 fondamental de physique dit que
UNE FORCE DONNÉEne peut avoir
QU'UN SEUL usage.
La PREMIERE erreur dans l'interprétation DU MONDE ENTIER est
donc d'attribuer un DOUBLE USAGE â la force P1 provenant DE LA
20 CUISSE. I1 y a DEUX scénarios possible:, et UN SEUL de ces deux
scénarios est vrai, l'autre étant forcÉment faux. Et nous allons
constates Ia chose bizarre suivante: le~ scénario qui SEMBLE faux
VISUELLEMENT est celui qui est VRAI, tandis que le scénario qui
SEMBLE vrai VISUELLEMENT est celui qui est FAUX (le monde â
15 l'envers en quelque sorte) !
Voici donc les deux scénarios possibles:
SCENARIO NO 1 .
La pression P1 provenant DE LA CUISSE sert â FAIRE DE LA CHEVIL-
LE UN POINT D'APPUI, comme le suppose la fig 7. Dans ce cas,
20 comme P1 ne peut avoir QU'UN SEUL usage,, P1 ne peut pas EN MÉME
TEMPS ëtre utilisée pour APPUYER SUR LA PÉDALE comme l'indique
la fig 6. Donc, ce premier scénario implique que P2 EXISTE (que
la fig 7 représente la réalité) et que 7.a fig 6 est FAUSSE. Ce
SCENARIO NO I est donc que
25 LA TOTALITÉ de la pression, sur la pédale
provient UNIQUEMENT de la contraction DU
MOLLET, la contribution DE LA CUISSE
étant de ZERO.
SCENARIO NO 2 .
30 La pression P1 provenant DE LA CUISSE sert â APPUYER SUR LA
SUBSTITUTE SHEET (RULE 26)


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PÉDALE, comme l'indique la fig 6. Dans ce cas, comme la pression
P2 ne peut avoir QU'UN SEUL usage, P1 ne peut pas EN MEME TEMPS
étre utilisée pour FAIRE DE LA CHEVILLE UN POINT D'APPUI comme
05 le suppose la fig 7. Donc, ce deuxiéme s cenario implique que P2
N'EXISTE PAS (que la fig 7 est FAUSSE) et que la fig 6 est
VRAIE. Ce SCÉNARIO NO 2 est donc que
LA TOTALITÉ de la pression sur la pédale
provient UNIQUEMENT de la contraction DE
LA CUISSE, la contribution DU MOLLET
étant de ZÉRO.
DONC,
SCÉNARIO NO 1: si la fig 7 est VRAIE, alors la fig 6 est FAUSSE.
SCÉNARIO NO 2: si la fig 6 est VRAIE; alors la fig 7 est FAUSSE.
UN SEUL de ces deux scénarios est vrai, mais lequel ?
RÉSUMONS la démarche intellectuelle que nous venons d'effectuer
pour que tout soit parfaitement clair dans votre esprit:
L'interprétation DU MONDE ENTIER suppose que les fig 6 et 7 sont
TOUTES LES DEUX VRAIES et que les fig 6 et 7 S'ADDITIONNENT.
Nous venons de mettre en évidence Ia PREMIERE erreur dans cette
interprétation DU MONDE ENTIER, qui consiste â attribuer
UN DOUBLE USAGE à la pression provenant de la cuisse. Donc, si
nous apportons UNE CORRECTION â cette ini~erprétation DU MONDE
ENTIER pour ÉLIMINER cette PREMIÉRE erreur (en attribuant UN
SEUL usage possible â la cuisse), nous obtenons LES DEUX
SCÉNARIOS que nous venons de définir, et UN SEUL est vrai.
VISUELLEMENT, la fig 7 SEMBLE vraie: c'es;t L'ILLUSION D'OPTTQUE
dont nous parlons depuis le debut. Si la fig 7 est VRAIE, alors
le SCÉNARIO NO 1 est VRAT. Or, EXPÉRIMENTALEMENT, les deux pre-
miers tests du pése-personne ont PROUVÉ grue c'est le SCÉNARIO
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NO 2 qui est VRAI. DONC, il y a une CONTRADTCTION:
-Le scénario no 1 SEMBLE vrai V:CSUELLEMENT
-Le scénario no 2 EST vrai EXPERIMENTALEMENT
05 Or, UN SEUL scénario peut être vrai, et c'est le no 2 car c'est
PROUVE expérimentalement. Donc, le scénario no l est FAUX bien
qu'il SEMBLE vrai VISUELLEMENT: c'est le mystére de L'ILLUSION
D'OPTIQUE qui n'est pas encore éclairci; ce mystére sera résolu
â la section suivante '
qui expliquera la DEUXTEME erreur dans
l'interprétation DU MONDE ENTIER.
J
Le SCENARIO NO 1 (Ie faux scénario) semble vrai VISUELLEMENT;
en plus, COMBLE DE MALHEUR, il semble AUSSI 'être vrai THÉORIQUE-
MENT, comme nous allons maintenant le démontrer !
Nous allons maintenant suivre les étapes suivantes .
-faire la démonstration THÉORIQUE du SCÉNARIO NO 1. Cette démons
tration ne sera PAS correcte, bien qu'e:Lle va sembler l'âtre;
en effet, cette démonstration va INCLURE la DEUXIEME erreur .
tentez de découvrir par vous-mémes la nature de cette 2ième
erreur (...pas facile '). Cette DEUXIöME erreur est la CLÉ
MAITRESSE de tout le document...
-nous allons EXPLIQUER cette DEUXIEME erreur â la SECTION NO 2.
Cela va permettre de PROUVER THÉORIQUEMENT que le SCÉNARIO NO 1
est FAUX, bien qu'il SEMBLE vrai VISUELLEMENT (en plus de sem-
bien vrai THÉpRIQUEMENT quand on IGNORE la DEUXIöME erreur !).
-enfin, nous démontrerons THÉORIQUEMENT que le SCÉNARIO NO 2 est
le VRAI par deux méthodes différentes, pour ne laisser aucun
doute dans votre esprit. Nous avons d~jâ demontré EXPÉRIMENTA-
LEMENT que le SCÉNARIO NO 2 est le VRAI scénario, grâce aux
deux premiéres expériences reâliseés avec le pêne-personne,
en position ASSIS.
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Ici, nous allons simplifier au maximum les choses en
r
SCHEMATiSANT la cuisse, la jambe, le pied et la pédale.
Dans tous les exemples donnés (pour TOUT le document), nous
05 allons supposer que LA CUISSE exerce une force VERS LE BAS
constante de 20 livres . c'est l'hypoth~se de départ. Volontai-
rement, nous utilisons toujours la position de manivelle telle
que la cuisse et la jambe sont perpendiculaires l'un à l'autre,
cette position particulière étant celle qui SIMPLIFIE le plus
les démonstrations. Le but visé ici est de SIMPLIFIER les choses
AU MAXIMUM car nous voulons expliquer des PRINCIPES de base.
N'importe quel scientifique va comprendre aisément que ce qui
est vrai pour un angle de 90 degrés entre la cuisse et la jambe
est également vrai pour TOUTES les autres positions de manivelle
(il est inutile de démontrer ce qui est ÉVIDENT pour un savant}.
Démonstration THEORIQUE du SCÉNARIO NO 1. .
EN PLUS de sembler vrai VISUELLEMENT, ce. scénario no 1 semble
AUSSI être vrai THÉORIQUEMENT ! La démonstration qui va suivre
va INCLURE la DEUXIEME erreur, que vous devez tenter de décou-
vrir par vous-mêmes (bonne chance !}; nous expliquerons la
nature de cette DEUXIÉME erreur à la SECTION NO 2 seulement.
Pour cette démonstration, nous allons utiliser les fig 17, 18
19 et 20 seulement.
Ce SCENARIO N0 1. semble vrai VISUELLEMENT. En effet, quand vous
regardez la fig 17, que visualisez-vous ? Vous commencez par
voir une cuisse (5} qui, en forcant, pousse l'os de la cuisse(6)
VERS LE BAS; grâce à l'articulation du genou {13), vous visuali-
sez que cette force (C=20 lbs) produite épar la cuisse est trans-
mise vers le bas LE LONG DE L'OS DE LA JiAMBE {11) jusque sur la
cheville (1) pour en faire UN POINT D'APPUI en la maintenant en
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place; ce POINT D'APPUI(1) permets AU MOLLET(4}, en se contrac -
tant, de tirer l'os du talon {12) VERS :LE HAUT, ce qui a tendan-
ce â faire TOURNER le pied autour de la cheville {1), ce qui
05 pousse l'articulation des orteils {2) VERS LE BAS, ce qui crée
finalement la pression sur la pédale {P} ! VOILA ce que tout le
monde VISUALISE, et cela SEMBLE bien étre véridique !
Supposons donc que cela soit vrai, et calculons la pression sur
pédale ainsi créée par la contraction DCf MOLLET.
La fig 18 reprends la fig 17 en la schea~atisant: les os sont
représentes par des lignes do ues et les muscles ne sont pas
symbolisés. Les fig 19 et 20 représentent les résultats de nos
"visualisations" ci-haut mentionnées. La fig 19 ïSOLE la jambe
et la fig 20 ISOLE le pied.
-La farce de traction du mollet sur le talon est désignes par M,
-la pression DE l'articulation des orteils(2) SUR la pédale est
désignes par P (fig 17}. La RÉACTION de P est P', qui est la
pousses DE la pédale SUR l'articulation des orteils; P est donc
dirigée VERS LE BAS et P' VERS LE HAUT.
-On a A/B=3 (aucune unité de mesure n'est utilisée car seul le
RATIO de A sur B nous intéresse),
-sur les fig 18 et 19, la force C de 20 :Livres est la pression
(dirigée vers le bas) DE l'os de la cuisse (6) SUR l'articula-
tion du genou (13); sur la f ig 20, la force F=20 livres est
la poussée de 20 livres DE i'os de la jambe (21) SUR la chevil-
le (1); sur la fig 19 la force F' de 20 livres est LA RÉACTION
de ia force F, soit la pousse DE la cheville {1) SUR l'os de
la jambe (11). Sur la fig 18, les forces. F et F' NE SONT PAS
illustrées car elles s'annulent l'une l'autre.
Maintenant, de retour à la fig 20...
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Fig 20: il doit y avoir équilibre de TRANSLATION et de
ROTATION par rapport â la cheville (1).
TRANSLATION . M + P' _ F = 20 ïivres
05 ROTATION . M.B = P'.A ; comme B=1 et A=3,
naus obtenons M=15 livres et P'=5 livres.
Vérifions â nouveau ces résultats, mais par rapport aux deux
autres points de référence, soit a) le talon et b) l'axe de la
pédale.
10 a) par rapport au talon
TRANSLATION . M + P' _ F = 20 livres
ROTATION . P'.(A + B) _ F.B ; comme B=1 et A=3,
nous obtenons encore M=15 livres et P'=5 livres comme ci-haut.
b) par rapport â l'axe de la pédale .
15 TRANSLATION . M + P' _ F = 20 livres
ROTATION . M.(A + B) _ F.A ; comme B=1 et A=3,
nous obtenons encore M=15 livres et P'=5 livres comme dans les
deux exemples ci-haut.
DONC, en plus de sembler âtre vrai VISUELLEMENT,
20 le SCÉNARIO NO 1 semble AUSSI âtre vrai EN THEORIE
comme nous venons de le démontrer !
Donc, il y a une ERREUR â quelque part dans ces 3 démonstrations
théoriques puisque nous avons prouvé EXP~:RIMENTALEMENT que le
SCENARIO NO i est FAUX, grâce aux deux
pz-emiéres expériences
25 avec le pèse-personne '. Cette erreur est la DEUXTÉME erreur
contenue dans l'interprétation DU MONDE ENTIER.
RESUMONS . l'interprétation DU MONDE ENTIER est
"...la pression sur la pédale provient de DEUX
sources, la premiére étant LA CUISSE, et la
30 deuxiâme étant LE MOLLET, ces deux forces S'ADDITIONNANT..."
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Dans cette interprétation DU MONDE ENTI1ER, il y a 2 erreurs .
,,
-la PREMIERE erreur est de donner une DOUBLE usage â la force
r
dirigee vers le bas provenant de la cuisse, c'est-à-dire
05 prétendre que cette force sert EN MEME TEMPS
2-â appuyer sur la pédale ET
2-~ faire de la cheville un point: d'appui (ce qui permets
AU MOLLET d'exercer LUI AUSSI Ltne force sur la pédale)
Naus avons expliqué qu'un DOUBLE usage est impossible,
20 puisqu'une UNE FORCE DONNÉE ne peut avoir QU'UN SEUL usage.
-la DEUXIEME erreur est expliquée à la section suivante.
SECTION 2 . identification de la DEUXIEME erreur dans
l'interprét;ation DU MONDE ENTIER.
EXPLTCATION DU MYSTERE QUI GARDE LE CYCLISME
15 EN ESCLAVAGE DEPUIS 150 ANS !
La fig 22 est une reprise de la fig 18 avec les valeurs
numériques P'=5 livres et M=15 livres telles que calculées a la
SECTION 1; évidemment, la 2iéme erreur es t présente.
La fig 22 est 1a fig 21 CORRIGÉE pour tenir compte de la 2ieme
20 erreur et ainsi représenter LA RÉALITÉ !
Voici la DEUXIEME erreur contenue dans la fig 21 . UNE FORCE A
ÉTÉ TOTALEMENT OUBLIÉE, et c'est LA FORCE; M' DIRIGÉE VERS LE BAS
QUI PART DU GENOU (cette force est illustrée sur la fig 22) !
Un muscle comme LE MOLLET est attaché aux: DEUX extrémités .
25 2-I1 y a le point d'attache DU BAS du mollet qui le relie au
talon par le tendon d'Achille: le mollet, en se contractant,
tire ie talon VERS LE HAUT (c'est la force M}.
2-I1 y a ie point d'attache DU HAUT du :mollet qui le relie
AU GENOU: le mollet, en se contractant, tire le genou
30 VERS LE BAS (c'est la force oubliee M'}.
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QUESTION FONDAMENTALE ENTRE TOUTES:
POURQUOI, dans nos 3 calculs pr cédants (SECTION 1),
avons nous COMPLETEMENT OUBLIE .le point d'attache
05 DU HAUT du mollet (la force M' dirigée VERS LE BAS) ?
Et remarquez que PERSONNE SUR TERRE n'a tenu compte de cette
force M' ! En effet, si quelqu'un aurait déjà découvert cette
DEUXIÉME erreur, la
pedale aurait été abandonnée DEPUIS
LONGTEMPS et REMPLACÉE par l'invention proposés ici . il n'y
aurait plus AUCUN vélo Ä PÉDALES sur les routes! Comme ii y a
SEULEMENT des vélos ä PÉDALES sur les routes, on est bien
OBLIGÉ de conclure que personne n'a découvert cette DEUXIÉME
erreur...INCROYABLE MAIS VRAI ! Cela donne une idée de la
PUISSANCE de L'ILLUSLON D'OPTIQUE que ce document explique t
POURQUOI donc cette force M' a t-elle été COMPLÉTEMENT OUBLIÉE?
CE N'EST PAS LOGIQUE ! En effet, si, dans nos 3 calculs précé-
dents, nous TENONS COMPTE de la traction du mollet SUR LE TALON,
il serait alors tout a fait LOGIQUE de TENIR COMPTE AUSSI de la
traction du mollet SUR LE GENOU {car le mollet est attaché aux
DEUX extrémites) ! Alors POURQUOI ne l'avons nous pas fait ?
La réponse â cette simple quéstion est L'ÉPINE DORSALE de tout;
ce document...GRAVEZ CETTE RÉPONSE EN LETTRES D'OR .
Quand nous REGARDONS une jambe appuyer snzr une '
pedale, nous
avons tendance â visualiser SEULEMENT les forces qui tendent a
créer UN MOUVEMENT, un déplacement perceptible VISUELLEMENT, Si
une force donnée ne crée PAS de mouvement: perceptible VISUELLE-
MENT, notre esprit IGNORE cette force et c'est exactement ce qui
se produit dans le cas de la force M' pointant VERS LE BAS et
qui part DU GENOU (fig 22) , la force M' ne crée aucun MOUVEMENT
perceptïble VISUELLEMENT et NOS YEUX L'IGNORENT TOTALEMENT...
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Quand vous REGARDEZ la fig 17, vous pervevez VISUELLEMENT que la
contraction de la cuisse (5) tends Ä DÉPLACER l'os de la cuisse
(6) vers le bas: donc vous percevez VISUELLEMENT la contraction
05 des muscles de la cuisse. Vous percevez VISUELLEMENT la traction
du mollet sur LE TALON car elle tends Ä DÉPLACER le talon VERS
LE HAUT (encore DU MOUVEMENT). De méme, nous percevons VISUELLE-
MENT la pression du bout du pied sur la pédale pour Z raisons:
a) la traction du mollet sur le talon tends à FAIRE TOURNER
le pied autour de la cheville (2), ce qui tends Ä DÉPLACER
l'articulation des orteils (2) VERS I~E BAS;
b) la pression de l'articulation des orteils (2) sur la pédale
tends A DÉPLACER la pédale VERS LE BAS, ce qui fait AVANCER
la bïcyclette.
Les expressions "DÉPLACER", "FAIRE TOURNER" que nous venons
d'utiliser abondamment sont synonymes DE MOUVEMENT: nos yeux
percoivent SEULEMENT les forces tendant .â créer DU MOUVEMENT
VOICI LA RÉPONSE A NOTRE QUESTTON FONDAMENTALE
La traction DU HAUT du mollet sur l~E GENOU (M' fig 22)
ne crée AUCUN MOUVEMENT perceptible VISUELLEMENT; nous
ne percevons pas VISUELLEMENT cettsa force M':
NOS YEUX L'IGNORENT TOTALEMENT
VOICI LE MYSTERE DU CYCLISME VIEUX DE 150 ANS .
(fig 22) . les forces M et M' S'ANNULENT mutuellement, ce qui
fait que la force C(_20 lbs) provenant DE LA CUISSE a une ligne
d'action DIRIGÉE DIRECTEMENT sur l'axe de la pédale. Donc, la
TOTALITÉ de la pression sur la pédale provient UNIQUEMENT de la
CUTSSE, la contraction DU MOLLET ne pradu.isant AUCUNE pression
ADDITIONNELLE sur la pédale.
Voici maintenent l'explication claire de L'ILLUSION D'OPTIQUE .
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Si NOS YEUX ne perçoivent PAS la force M', alors on croit
faussement que la farce M (que l'on perçoit visuellement)
permets D'AUGMENTER la pression sur la pédale en faisant
05 tourner le pied autour de la cheville: c'est le mystére
de L'ILLUSION D'OPTIQUE, causé par la DIEUXIEME erreur dans
l'interprétation DU MONDE ENTIER, cette deuxième erreur
consistant à NE PAS percevoir visuellement la force M'; cette
DEUXIEME erreur nous porte à croire (faussement) que la force
C(=20 lbs) provenant de la cuisse a une LIGNE D'ACTION dirigée
DIRECTEMENT le long de l'os de la jambe pour faire de la
cheville (1) UN POINT D'APPUI permettant la contraction du
mollet ! Si on AJOUTE la PREMIERE erreur à ce (faux) raisonne-
ment (qui est de donner un DOUBLE usage à la force C), on
obtient exactement l'interprétation que LE MONDE ENTTER fait
du pédalage, interprétation qui est évidemment fausse et qui se
détaille ainsi:
"...la pression vers le bas provenant de la cuisse (C=20 lbs)
sert â DEUX usages:
1-CRÉER UNE PRESSION de 20 lbs sur la pédale, ET
2-faire de la cheville UN POINT D'APPUI, ce qui
permets AU MOLLET d'exercer une pression ADDITIONNELLE
sur la pédale en faisant tourner les pied autour de la
cheville,
, la pression TOTALE sur la pédale étant egale A LA SOMME
de la pression provenant de la cuisse PLUS celle provenant
du mollet..."
Cela est évidemment FAUX , comme nous l'avons clairement
demontre
LE MYSTÉRE EST RESOLU !
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Ici, nous allons tenter de vous convaincre VISUELLEMENT que la
TOTALITÉ de la pression sur la pédale provient UNIQUEMENT de LA
CUTSSE, la mollet NE POUVANT PAS contribuer â cette pression !
05 Evidemment, nous allons supposer que la DEUXI~ME erreur est
corrigée, c'est-â-dire que nous dirons que vous percevez
VISUELLEMENT l'existence de la force M'(fig 22) tirant VERS LE
BAS sur le genou (force provenant de la contraction du mollet).
Pour un scientifique de haut niveau, ce qui suit va paraitre
20 élémentaire au point d'en être presque stupide ! MAIS N'OUBLIEZ
PAS CECI: ces choses "élémentaires" ont été TOTALEMENT OUBLIÉES
par LE MONDE ENTIER ! Aurait-ce été totalement ignoré justement
parce que c'est si simple, si élémentaire? Les scientifiques
ont souvent tendance â chercher des réponses ~ leurs questions
15 dans les choses COMPLEXES, en SUPPOSANT qu'il n'y a rien a
découvrir dans les choses élémentaires: EN GÉNÉRAL cela est vrai,
mais ca ne l'est plus quand une vérité FLEMENTAIRE est CACHÉE
par une ILLUSION D'OPTIQUE '.
Les fig 23, 24, 25 et 26 font "évoluer" une jambe en la schéma-
20 tisant. Fig 23: l'os de la cuisse est symbolisé par la poutre
(6) qui peut tourner grace au joint (17) qui symbolise l'articu-
lation de la hanche; la piéce rigide triangulaire (14) joue le
rôle de la jambe, le petit triangle (25) symbolisant l'axe de
la pédale. Quand les muscles de la cuisse (5) se contractent,
25 l'os de la cuisse (6) est poussé vers les bas, ce qui crée la
pression sur la pédale (15). I1 est évident VISUELLEMENT que la
poussée vers le bas exercée par la cuisse (C=P') a UNE LIGNE
D'ACTION dirigé directement sur l'axe de la pédale, les forces
C {pousseé vers le bas) et P'(poussée vers le haut DE la pédale
30 SUR la piëce 24) ayant UNE MEME ligne d'action (C=P').
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Faisons "évoluer" la fig 23 pour qu'elle ressemble UN PEU plus
r
a une vraie jambe: DECOUPONS la pièce rigide triangulaire (14)
pour en faire une pièce rigide en forme de L (I6, fig 24):
05 cette pièce en L ne comporte pas de cheville, étant faites d'un
seul morceau. Dans ce cas, il est ENCORE évident VISUELLEMENT
que la poussée vers le bas de la cuisse (C) a aussi UNE LIGNE
D'ACTION dirigée DIRECTEMENT sur l'axe de la pédale {15), C et
P' ayant une méme ligne d'action (C-P'). Notez bien que, dans
le cas de la fig 24, il n'y a AUCUN MATÉRIAU entre la pédale(25)
et le genou (13) car nous avons enlevé cette matiére par le
découpage de la piéce triangulaire (14, fig 23). Sur la fig 24
la LIGNE D'ACTION des forces C et P' est donc DANS LE VIDE.
IMPORTANT: mettez-vous un instant dans la peau de l'homme de la
25 rue; POUR LUI, dans le cas de la fig 24,, 1a pression vers le
bas de la cuisse {C) serait plutot dirigée le long de la partie
VERTICALE de la piece en L {16) qui symbolise l'os de la jambe
parce que, pour l'homme de la rue, une force ne peut se propager
que dans un milieu MATERIEL, et non pas dans le vide ~ LES YEUX
de l'homme de la rue ne réalisent pas qu'une force PEUT se
propager dans le vide, A CONDITION que les POINTS D'APPLICATIONS
des forces,soient situes DANS un milieu matériel, l'articula -
tion du genou (23) et l'axe de la pédale (15) étant les points
d'applications MATÉRIELS des forces C et P'. En continuant de
faire "évoluer" ainsi la jambe, nous assistons A LA NAISSANCE
GRADUELLE de l'illusion d'optique dont nous parlons depuis le
debut
Continuons donc de faire "évoluer" notre jambe en remplagant la
piece rigide en L (16) de la fig 24 par un ENSEMBLE de pi.êces
ÉQUIVALENT comme sur la fig 25, soit les
pieces 1S, 29 et 20.
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Les pieces rigides (19 et 20) sont re:Li és ensemble par un
joint d'articulation (1} qui symbolise la cheville, la piéce
(20) symbolisant le pied et la piéce {19) symbolisant l'os de
05 la jambe; une corde (non-extensible) (18) joue le rôle du mol-
let, une extrémité de cette corde étant reliée au talon (comme
le mollet l'est par le tendon d'Achill.e}, l'autre extremité de
la corde étant reliée au genou (comme le mollet). Cet ensemble
de 3 piéces {18, I9 et 20) est donc abrsolument RIGIDE quand les
muscles de la cuisse {5) poussent l'os de la cuisse (6) vers le
bas, grâce â la NON-extensibilité de la corde {18). Donc, le
rôle joué par cet ensemble de piéces (I8, 19 et 20} est absolu-
ment analogue au rôle joué par la piéce rigide en L {1b) de la
fig 24. Donc, pour un scientifique, il est EVIDENT {comme dans
le cas de la fig 24} que la LIGNE D'AC'TION des forces C et P'
est encore dirigés directement sur l'axe de la pédale en passant
par l'articulation du genou {13}, comme l'indique la fig 25. I1
sait aussi que la corde {I8) SUPPORTE 1:1NE TENSION égale â trois
fuis (environ) l'intensité de la force P'(!C) à cause de
l'existence du joint articule {1) qui joue le rôle de la che -
ville. Mais que-pensera l'homme de la rue {le NON-scientifique)?
il sera ENCORE PLUS convaincu qu'avant que la pression vers le
bas exercée par la cuisse (C} a une LIGNE D'ACTION dirigée di-
rectement VERS LE BAS le long de l'os c!e la jambe {symbolisé
par la piece 19) comme dans le cas de la fig 21 car, pour
l'homme de la rue:
-une force doit se propager DANS un milieu MATERIEL,
-il est trompé VISUELLEMENT par la présence de la cheville {I),
SES YEUX lui faisant croire que la force sert â faire de la
cheville (1) UN POINT D'APPUI, ses yeux confondant la notion
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de "point d'appui" avec la notion de "force de COMPRESSION" de
la cheville.
-Par contre, l'homme de la rue sait trés bien que la corde {18)
05 ne peut pas AUGMENTER la pression sur :La pédale car une corde
ne peut pas exercer une force de CONTRACTION, une corde ne
pouvant pas SE RACCOURCIR comme un muscle qui se contracte.
Passons maintenant â une derniére étape "d'évolution" de notre
"jambe": remplacons la corde (18) par un muscle, LE MOLLET {4,
fig 26). Pour une scientifique, il devrait être EVIDENT
(a cau-
se des nombreuses preuves données avant dans ce document} que,
dans le cas de la fig 26, la LIGNE D'ACTION de la force C est
ENCORE dirig é DIRECTEMENT sur l'axe de la pédale(15) comme
dans le cas des fig 25, 24 et 23, mais avec une importante
nuance: le mollet (4) joué exactement LE MEME RÖLE que la corde
(18, fig 25), c'est-â-dire qu'il SUPPORTE UNE TENSTON égale â
trois fois (environ} l'intensifs de la force P' (=C). Sur la
fig 25, la corde (18) sert à MAINTENIR la longueur (K) de facon
â MAINTENIR l'angle de 90 degres entre le pied et la jambe: la
corde ne doit pas S'ETIRER comme le ferait un élastique, de
facon â RENDRE POSSIBLE l'exercice de la pression C sur l'axe
de la
pedale, cette corde servant â rendre RIGIDE la structure
de l'ensemble des pieces 19 et 20, de facon â obtenir un résul-
tat semblable à celui de la fig 24 (ou 23). I1 en va de même
avec le mollet (4) de la fig 26 . le mollet doit permettre de
MAINTENIR la longueur (K) et, pour cela, le corps humain doit
DÉPENSER DE L'ÉNERGIE pour simplement EVI'PER que le mollet
S'ALLONGE {ou s'etire comme un élastique) de facon â MAINTENIR
l'angle de 90 degrés entre le pied et Ia jambe. CECI EST IMPOR-
TANT: comme nous l'avons déjâ prouvé auparavant dans ce docu -
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ment, la contraction du mollet ne peut pas AUGMENTER la pres -
sion sur la pedale; ie mollet doit OBLIGATOIREMENT depenser de
l'énergie UNIQUEMENT â cause du fait que le talon n'est pas
05 supporté, est DANS LE VIDE: si de l'énergie additionnelle est
dépensée au cours du pédalage pour RACCOURCIR uu peu le mollet,
cela est uniquement une question de confort, histoire de
dégourdir un peu le mollet, mais ce plus grand confort se fait
au depends d'une depense additionnelle d'énergie TOUT A FAIT
INUTILE en autant que L'AUGMENTATION de pression sur la pédale
est concernés. Un muscle n'est pas une corde; un muscle doit
consommer de l'énergie simplement pour M,AINTENTR sa longueur.
A ce stade final de "l'évolution" de notre "jambe" {fig 26},
l'homme de la rue est ABSOLUMENT CONVAINCU que la force (C}
I5 provenant de la cuisse a une LIGNE D'ACTION dirigée vers le bas
Ie long de L'OS DE LA JAMBE pour faire de la cheville UN POINT
D'APPUI, ce qui lui fait croire (faussement) que, grace à ce
point d'appui, le mollet peut, en se contractant, tirer le
talon vers ie haut, cela faisant tourner l'os du pied autour de
la cheville, ce qui AUGMENTE la pression sur la pédale (nous
avons défia demontré que cela est impossible} ! CELA, C'EST
L'ILLUSION D'OPTIQUE DU MOLLET. La vérité, comme nous venons de
l'expliquer, est que la ligne d'action de C est dirig é DIRECTE-
MENR SUR l'axe de la pédale et que le mollet dépense SEULEMENT
l'énergie NÉCESSAIRE pour MAINTENIR la longueur K (fig 26} de
facon à MAINTENIR â 90 degres (environ, tout dépendant du
confort desire} l'angle entre le pied et :La jambe, de façon â
rendre le pédalage simplement POSSIBLE! Nt3us allons maintenant
expliquer que le mollet NE PEUT PAS depenser d'é-nergie SUP~~L
MENTAIRE pour SE RACCOURCIR (avflir une longueur IHFERIEURE a K)
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INDÉPENDAMMENT de l'INTENSITÉ de la fort:e C (de la cuisse) car,
dans ce cas, la cuisse SE SOL3LEVERAIT, l.es
equilibres de rflta-
tion et de translation des forces n'~tartt plus maintenus.
05 Ce qui ea suivre est F~NDA,MENTAL; nflus aillons anticiper un peu
le contenu de la prochaine SECTIf~l3 3, cru nous allons de~'montrer
leS c~. ~q~atiflnS SülvanteS { vflir f ig L~ )
1- C=P', c'est-â-d~.re que la pression sur la p'edale fP') est
Tt~~~JE3EJRS égale â la poussee vers le bas de la cuisse tC ) ( la
lt3 TOTALITÉ de la pression sur la pédale provient ~~N1Q(iElviENT de la
cuisse, Le mollet ne pouvant pas g contribuer);
~- M=3. P' , c' est-â-dire que la contra-etio-r~ dit ~co3:Iet est de
3 fois l' intensite de P' , le rap-port des distance-s P~~1~ étant
~ J; ici, le Mollet n-e fait due SOPP~O-RTER UNE TENSIOP1, cette
15 tensi.fln étant D-ETERMINEE PAR l' Lnte~tsité -d-e P' (et non l' inv-esse-
).
Donc, 1-es ~r-eeements se pr~oc~uisent d-~r~s S'ordre suivant: 1-a
contra-ction -de la c~:isse ( C ) D-ÉTERMINE 1 ' intens it~ -d-e P' , e-t
ENS-T3¿TE la cor~tracti.on d-u mollet (Mj e-st DETERMIPFÉE P-ï~R
1' ir~te-r-rsitée de P' { 3 fois P' ) . C'est ~,~r SEULE sequ-e-rrc-e de-s
~C3 e-~r-erreme-nts possi:bl-e. Evudemme-nt, LE MOPFDE E1~TIER do-n:~-e F~US~E-

MENT une -a-utr-e saque-nce d'-évé-ne~rents, -so~:t q-u-e 1-a co-ntractio n
de ha -cuisee {C) ET la cc-ntractiov d-u mo-1:1-et (M) S'~A-DDITTCI~N-ENT
pour DÉTERMINER 1' in-t~e-nsi té d-e 1~ pre-ss.ic.~ -sur la -géda-~:e (~P'
En com-b i:n-a-nt -ensemb l-e c-e-s 2 éq-u-a t ions (-en. é l im i r a-n t P '
) , o-n
25 obti-e-nt M = 3C ; -e-n réecriv-a-nt ce-tt-e- -éq-ua-tic-w ~e-n t-e-rmes
D'~CCROIS-SEM-E-NTS, c'-e-st-~-dir-e- M = 3. ( ~ C ) , il devien-t alor-s-
r
ÉVIDENT q~u' il -est IM-POSSIBLE pour le- -molle-t d'-agir S~E-UL ( iwde---
pend-a~mment d-e- la- v-aleu-r de- C); -au-trame-nt dit, si pa-r -e~-emple~
-a- u~n momen-t don-ne-C=2C liv-re-s, a3:ors -M- doit 'âtre- de- 6d liv~r-e-s-
: ,
30 si vous tente-z D'~AUGM-ENTE-R la v-aleu-r de--M -à 63 1w-r-es
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ss
(donc ~ M=3 livres) SANS augmenter la valeur de C à 21 livres
(donc en gardant C a 20 Livres, et non 21 livres), c'est votre
cuisse QUI SE SOULEVERAIT aussitct que vous tenteriez de DEPAS-
05 SER la valeur de 60 livres pour M: IL EST IMPOSSIBLE d'augmenter
la valeur de M au delâ de 60 livres si vous n'augmentez pas la
la valeur de C du tiers de cette augmentation de M (A C~~ M/3)!
On en déduit LA LOI LTP:IVERSELLE DU PEDAL.AGE qui sera demontrée
expérimentalement â la SECTION 4:
"Chaque AUGMENTATION de la force de contraction du mollet (f~ M)
doit (pour pouvoir étre POSSIBLE) âtre OBLIGATOIREMEP7T accom-
pagnée EPi MEME TEMPS d' une AUGMEr:TATIO:: de la force de contrac-
fion DE LA CUISSE ( A C ) égale au tien s de L~ M. Si A C=0 ( si on
n'augmente PAS la valeur de C), alors, dans ee cas, il est im-
possible D'AUGMENTER la force de contraction du mollet (Q M-=0)
pour tenter D'AUGMENTER la pression sur la pédale car, dans ce
cas, il n'y aurait plus équilibre DE ROTATION comme nous le
verrons a la section suivante (SECTION 3). DONC, la TOTALITÉ
de la pression sur la pédale ne peut venir QUE DE LA CUISSE, '
le mollet NE POUVANT PAS y cdntrib~aer. Si on AUGMENTE la
valear de C a 21 ïbs ( ~ C=1 lb ) , alors , dans ce cas , ~ MT3 lbs,
mais L'AUGMEP;TATION de la pression SUR LA PÉDALE (L1P')
provient U~:IQUEMEP;T du ~C ( car A C= ~ P' ) , donc DE LA CUISSE
et non pas du mollet ".
Cette LOI TJNIVERSELLE DU PÉDALAGE est tout simplement le
SCEP:ARIC PJO 2 (le vrai) exprimé en LOI SCIENTIFIQUE...
SECTION 3 . preuve THÉORIQUE que le SCÉNARIO hT0 2 est VRAI.
La fig 2? reprends la fig 22 (qui illustre le scénario ro 2).
Evidem.~nent, ce scénario affirme que LA Tp97ALITÉ de la pression
3D sur la g Jale provient UP:IQUEMEhTT de la contraction DE LA CUISSE
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et çue le mollet P:E PEUT PAS contribuer a cette pression.
Ih doit y avoir équilibre de TRANSLATION et de ROTATIOPJ.
Fig 27 . dans le cas de la TRANSLATION, l'équilibre est
05 vident; en effet, C=P' et M=M' en intensité, et la ligne
d'action des forces est la méme dans les deux cas.
I1 ne reste qu'a vérifier l'équilibre de ROTATION.
Nous pouvons choisir n'importa quel point de réf rence mais, en
choisissant LA CHEVILLE (1), ies équations sont simplifiées au
maximum (le lecteur pourrait REvérifier lui-méme l'équilibre de
rotation en faisant Ies calculs par rapport ä D'AUTRES points
de référence).
Donc, par rapport â 1a cheville (1), il faut:
ROTATION vers la gauche = ROTATION vars 1a droite
(C.sin~C).L + (M.cosr3).B - (M'.sin~).L t (P'.cosoC).A EQ-1
Comme M'= M et P'= C, l'équation EQ-1 devient, en réarrangeant
les termes:
C.(L.sin "~ - A.cos ~ ) _ M.(L.sin ~ - B.cos~3 ) EQ-2
Or, A/L = tg d = sin ~t/cos x ; donc, L. sin oC - A. cos d = 0, ce
qui est la partie GAUCHE de EQ-2.
On a aussi B/L - tg~ = sin~/cos~ ; donc
L.sin ~ - B.cos ~ = 0, ce qui est la partie DROITE de EQ-2.
Donc, on obtient (équation EQ-2) C.0 = DZ.O, ou 0=0.
I1 y a donc bel et bien équilibre de ROTA9'ION.
Le SCÉNARIO NO 2 est VRAI.
A partir de la fig 27, ~n ISOLE l'os de la. jambe (fig 28) et on
ISOLE le pied (fig 29}.
La force F (fig 29) est la farce de compression de la
cheville (1) ; la force F' (fig 28) est la REACTION de la force
F (qui est l'ACTIOPd} ; en effet, F est la poussée DE l'os de la
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jambe SUR la cheville, et F' est la paussee DE la cheville SUR
l'os de la jambe (Ies forces F et F' ne sont PAS illustrâes sur
Ia f ig 2? car elles s ' ann ulent .;~u tuellenaent ) .
C5 Fig 28 : C . cas oC + M' . cas. - F' { 9'RAr;SLATIO~: ) EQ-3
Fig ~9: F.A - {M.cas~).(A + B) (ROTATION autour de Y) EQ-4
Ici, il est questions de quelque chose de BTOLOCIQUE, des
MUSCLES: donc, nous allons suppcser quelque chose de raisonna -
ble, c'est à dire que cas d =cas ~ - Z (en tait, la précision
1C des calculs n'est videmment pas le but visé ici . nous voulons
simplement expliquer des principes généraux).
EQ-3 devient: C + M' - F' et EQ-4 devient F==.M/3 (car A=3.B);
eliminons F {au F') de EQ-3 et EQ-4 {car F=F') et nous obtenons
C + M' - 4. M/3 ; comme M'=M, nous obt~na~as finalement:
i5 M = 3.C
Cette 2q~aatian est IDENTIQUE â celle obtenue â la fin de la
pr cédante section (SECTION 2); s.v.p. rs:lire Ia fin de la
SECTTON 2. D'aprés cette équation finale (M=3.C), le mollet ne
peut pas se contracter SEUL, independamment de la farce de
2C Ca.~.traction de la cuisse (C) . Le mollet raa fait que SUPPORTER
la tension {égale â 3.C) qui Iui est IMPOSÉE PAR Ia contraction
DE LA CUISSE . le mollet joue un rôle ABSOLUMENT IDEP:TIQUE a
celui de LA CORDE de la fig 25, SAUF QUE le corps humain doit
DÉPENSER DE L' h~EROIE
pour que le mollet, en se raidissant,
25 puisse MAINTENIR Ia longueur K (fig 26), pour éviter qu'il
s'étire comme un eiastiqae {pcur MAIP:TENI:R l'angle entre le
pied et Ia jambe â la valeur désirée). Mais la farce de contrac-
tion du mollet {M) PEUT e~tre augmentée SEULEMENT SI la force
de contraction DE LA CUISSE (C) est elle aussi augmentée EN
30 MEME TEMPS da tiers de cet te v aleur { l~ C= ,p M/3 ) : dans ce cas ;
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l'AUGMENTATION de la pression SUR LA PEI)ALE (/~ P') provient
UNIQUEMENT de L'AUGMENTATION de contraction DE LA CUISSE car,
comme P'=C, on a aussi ~ P'= ~C. LE MOLLET P:E PEUT DONC PAS
05 CONTRIBUER ä LA PRESSION SUR LA PLDALE .
Une AUGMEPdTATION de la force de contraction DU MOLLET
(p M) est toujours CAUSES PAR une AUGMENTATION de la
contraction DE LA CUISSE (/~ C), et c'est ce ~ C qui
CAUSE l'augmentation de la pression SUR LA PÉDALE .
1Q CE Pi'EST PAS le,~ M qui CAUSE l'augmentation de
pression sur la pédale...
CONCLUSIOP: . le SCÉNARIO no 2 est le VRAI scénario. La TOTALITÉ
de la pression sur la pédale provient UNIQUEMEP:T de la contrac-
tion DE LA CUISSE, le mollet NE POUVA:;T PAS y contribuer . le
15 mollet ne fait qse SUPPORTER une tension égale ~ TROIS FOIS la
pression sur la pédale, simplement pour RENDRE le pédalage
POSSIBLE (pour MAINTENIR l'angle entre le pied et la jambe a la
valeur désirée). QUEL GASPILLAGE D'ûhTERGIE, causé par le simple
fai t que le talon es t DANS LE VIDE av ec ene pédale, ces pédales
20 continuant d'être utilisées â cause de l'ILLUSIJN D'OPTIQUE que
"le mollet AUGMENTE la pression sur la pédale en tirant la
talon vers le haut"...
SECTION 4 . la LOI UNIVERSELLE DU PÉDALAGE
prouvée
EXPÉRIMENTALEMENT.
25 Cette loi est essentiellement le SCÉrtARIO ro 2, le VRAI.
Ici, nous déduirons cette loi en xefl chissant en termes
D'ACCROISSEMENTS ou de variations mathématiques {que l'on
désigne par le symbole ~ x); â partir d'une EvP~RIENCE tres
simple, nous ferons nos déductions TI:ÉOR3:QUEMENT en supposant
30 (dans notre esprit) qua LE POIDS de la jambe est i~:UL (=0).
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Certains peuvent prétendre que, dés le c~ part, l'expérience est
faussée parce que le poids de la jambe n est PAS nul! Je dis
que cela est sans importance puisque, comme on p2dale avec DEUX
05 jambes, les poids des jambes S'ANNULEhTT (situation analogue â
deux enfants de méme poids s2 balancent â chaque bout d'une
planche supportée en son centre-la balan;coire de notre enfance).
Dans l'expérience qui va suivre, on fait abstraction du poids
de la jambe (dans notre esprit) simplement parce qu'or. fait
20 notre raisonnement avec UNE SEULE jambe, et non pas les deux
jambes simultanément.
Exgerience: assoyez-vous sur une bicyclette ~ pédales et appli-
quez les freins pour l'empocher d'avancer. Cardez le pied gauche
par terre et placez le pied droit sur la pédale de droite, cette
15 derniére étant en position éleveé, votre cuisse étant â l'hori-
zontale (évidemment, c'est l'articulatio:n des orteils qui doit
étre sur l'axe de la p2dale); faites abstraction ;dans votre
esprit) du poids de votre jambe droite: imaginez-vous que son
poids est rul. Comme on suppose que le poids de la jambe est de
20 ZERO, il n'y a donc aucune pression ssr :La pédale et la contrac-
tion de votre mollet est de ZERO. Maintenant, tentez DE CRÉER
une pression réelle sur la pédale UNIQUEMEhTT en exercent une
force de contraction avec LE MOLLET, c'est-â-dire que vous
n'appliquez AUCUNE pression avec LA CUISf>E (C=0); c'est evidem-
25 ment TMPOSSTBLE car, dés que vous essayez;, c'est LA CUISSE qui
w
tends A SE SOULEVER, la pressipn sur la pédale demeurant ~ ZERO!
(En fait, il est impossible D'OBTEP:IR une contraction du mollet
si vous ne contractez pas EN MLME TEMPS i.es muscles qui poussent
la cuisse vers le bas !). Pour réussir ä CREER une pression sur
30 la p2dale, vous devez OBLICATOIP,EMENT pousser vers 12 has avec
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UNE CONTP,ACTION des muscles DE LA CUISSE . COrJCLUSIOr; : la
TOTALITÉ de la pression sur la pedale pravient UNIQUEMENT
de LA CUISSE, le mollet PtE POUVAP;T PAS y contribuer.
05 Ici, un petit malin pourrait dire:"si on veut que la contrac-
tion du molïet CRÉE une pression sar la pédale, ii suffit que
la poussée vers le bas de la cuisse ser~ae â faire de la cheville
UN POIr;T D'APPUI". C'est cela qu'on est instinctivement porté
â penser car c'est cela '~
q,.i semble vrai: c est le SCENAR~O no 2,
celui qui SEMBLE vrai VISUELLEME~:T, etant celui de L'ILLUSION
D'OPTIQUE; or nous avora prouvé que ce soen ;r io no 1 est fs.ux} .
Maintenant, reprenez la méme expéri2ncemnais en refléchissant
en termes de VARIATIONS mat:~ematiq~,~es ( ~~x } . Toujours dans la
méme position sur votre vélo, avec les fï-eins appliquas pour
25 l'empécher d'avancer, supposez que vous exercez une pression
vers le bas avec votre cuisse de 20 livrsa: selon les quations
d montrées â la SECTION J, ia pression sur la pédale est de
livres ~P'=20) et la contraction du mollet est de EO livres
(M=~.C}; â partir da cette position, tentez D'AUGME~:TER la con-
2tJ traction de votre mollet à ~3 livres SANS AUGMENTER la contrac-
tion de votre cuisse (C demeùre â 20 livres}: il est IMPOSSIBLE
que vous puissiez AUGMENTER la contraction de votre mollet a
63 livres car c'est LA CUISSE qui se SOULEVÉ des que vous tentez
de REPASSER le chiffre de 60 livres avec votre mollet ' Pour
réussir ~t AUGMEhTTER la valeur de M a 63 livres, vous DEVEZ en
A
meure temps AUGMENTER la valeur de C â 22 livres . dans ce cas,
la nouvelle pression sur la pédale est de 22 livres et la nou-
velte contraction de la cuisse est AUSSI de 22 livres et, donc,
on peut affirmer que la TOTALITÉ de la pression sur la pédale
provient UNIQUEME:;T de la cuisse (P'~C=22}, le mollet ne faisant
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que SUPPORTER une tension (M-63 lbs) qui lui est IMPOSÉE PAR
la pouss é vers le bas de la cuisse.
On en déduit la LOI UNIVERSELLE DU PÉDALAGE:
05 "Toute AUGMEATTATIOri de la contraction da mollet ( ~ M)
doit OBLIGATOIREMENT âtre accompagn~:e d'une AUGMENTATION
de la contraction de la cuisse ( ~ C) pour âtre CAPABLE
de créer une AUGMENTATION de pression sur la pédale (A P').
Donc, l'AUGMENTATION de Ia pression sur la pédale ainsi
produite (p P') provient UNIQUEMENT de l'AUGMENTATION de la
contractien DE LA CUISSE (A C). L'AUGMEriTATION de la
contraction du mollet (j~ M) est INDISPEhTSABLE pour rendre
le pédalage POSSTBLE parce que les pédales maintiennent
INUTILEMENT les talons dans le vide. C'est L'IPiTEriSITÉ de
25 la pression sur la pédaïe (P') qui DTERMINE l'intensité
de Ia contraction du mollet (M) et NC;N PAS L'INVERSE.
La contraction du mollet M est une C;)NSÉQUEPiCE
de la preSSlc n û'vlr la pédale et r~o~~ pas LA CAUSE de cette
pression. La pression totale sur la pédale est
DÉTERMIPiÉE uniquemen t par l'intensit~~ de la contraction
DE LA CUISSE..."
SECTION 5: preuve th érrique PAR L'ABSURDE. que le
SCENARIO NO 1 est FAUX.
Voir la f ig 22 . vous avez compris que LA, CLDU MYSTÉRE
consistait â découvrir que, vISUELLEMEPiT, on IGNORE TOTALEMENT
3a force M' (la traction DU mollet SUR le genou) car cette
farce ne produit aucun MOUVEMENT perceptible VISUELLEMEPiT (tout
cela a ét2 clairement expliqué au début de la SECTION 2).
Cela étant clair, nous allons SUPPOSER une chose AESURDE: que
le point d'attache DU HAUT du mollet est situé A L'EXT~RIEUR de
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la jambe, LE BAS du mollet restant attaché au talon ! Voir
fig 3C , qui est simplement une reprise de la fig 26, SAUF QUE
le point d'attache DU HAUT du mollet est le point (y) situe AU
05 PLAFOND (fig 3fl) tandis que ce point d'attache est 12 genou (I3)
dans le cas de la fig Z6. La fig 32 est une schématisation de
la fig 30. (7) est le pése-personne sur lequel appui le bo~,zt du
pied. La fig 32 isole la jambe (2I), et la fig 33 isole le pied.
Fig 33: F est la pressicn DE l'os de la ,jambe SUR Ia cheville
IO (I) et F' (fig 32) est la REACTION de F, soir la pression DE la
cheville SUR l'os dd la jambe. Les forces F et F' ne sont PAS
illustrées sur la fig 32 car elles s'annulent mutuellement.
LE POIPJT IMPORTANT est le suivant: la force de traction DU
mollet SUR le genou (M', fig22) PJ'EST PA;> illustrée sur les
25 fig 31 et 32 â cause de notre hypothése ABSURDE: le point
d'attache de M' est situé AU PLAFOND (y, fig 30).
REMARQUEZ CECI: les fig 3I, 32 et 33 sont: EXACTEMEPJT LES MEMES
que les fig 38, 29 et 20, ces 3 derniére.~ ayant servi â faire
les calculs démontrant que le SC~NARIO no 1 SEMBLAIT 2tre VRAI
20 THEORIQUEMEPJT en plus de SEMBLER âtre vrai VISUELLEMEPiT (c'était
l'illusion d'optique); ces câlcuis ont été effectués ü la fin
de la SECTIOrJ I du chapitre 8: nous n'avons donc pas besoin de
refaire ces calculs. CECI EST IMPORTArJT: SI le haut du mollet
était attache A L'EXTÉRIEUR de la jambe (au plafond), alors les
25 calculs effectués a la fin de la SECTIOPJ 1 du chapitre 8
seraient EXACTS, ne contiendraient aucune erreur . le SCEPJARIC
nc I serait alors VRAI ! Mais comme Ie mollet N'EST PAS attaché
A L'EXTÉRIEUR de la jambe (tant relie~au ~ v
genou, evidemment "
oa est forcr~ de conclure que c'est LE CONTRAIRE qui est vrai et
30 que, par cons~quer.t, LE SCE:JARIO NO I est FAUX '
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DONC, le scénario no 1 est FAUX et ie sc,enario no 2 est VRAI.
Vous devriez âtre convaincu â ce stade-ci, aprés toutes les
preuves EXPÉRIMENTALES et THÉORIQUES qui ont été données.
05 SECTION 6 . comparaison numérique entre la pédale et
cette invention-ci.
LA PEDAL.E L'INVENTION
l'ERREUR la VÉRITÉ
(ce que le (~scânario 2)
monde entier
pense)
Pression vers le bas (C)
exerc é par la cuisse . 20 lbs 20 lbs 20 lbs
Campression sur la
cheville (F = M + P') . 20 lbs 80 lbs 20 lb
Contraction du .,.ollet(M): 25 lbs 50 lbs 0 lb
Pression sur la pédale
provenant -de ia cuisse . 20 lbs 20 lbs ZO lbs
+ , +
-du mollet . 5 lbs 0 lbs 0 lbs
2fl -TOTAL . 25 lbs 20 lbs 20 lbs
Les 2 premiéres collones cï-haut concernent LA PÉDALE et 1a
3ieme concerne l'invention proposée. La deuxiéme collons est LA
VÉRITÉ concernant LA PÉDALE, et la PREMTERE collons CONTIENT
Ses DEUX erreurs que nous avons expliquées ;sections 1 et 2 du
chap 8) puisque la premiers collons est L'IP:TERPRÉTATION DU
~IOhtDE ENTIER ( qui est FAUSSE ) ; pour donnG:r une valeur r:UMÉRIQUE
â cette interprétatio n fausse du monde entier, il faut donc
partir des calculs de la fin de la SECTIOI': 2 , chap 8 (qui
INCLUENT la DEUXI~ME erreur -qui consiste ~ NE PAS VISUALISER
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la force M') et AJOUTER la PREMIERS erreur qui consiste â
donner un DOUBLE USAGE â la force C dirigée vers le bas
provenant de la cuisse. Les calculs à la fin de la SECTIOr: 3 du
05 chapitre $ donnaient .".:=15 lbs, P'=5 lbs et F=20 lbs, et ces
calculs supposaient çue la force C=20 lbs est dirigée le long
de l'os de ia jambe et sert~4 faire de l.a cheville UN POINT
D'APPUI (la COMPRESSION d2 la cheville étant la force F=20 lbs).
AJOUTOPiS la PREMIERS erreur qui consiste à supposer que la
10 force C=20 lbs sert AUSSI (le DOUBLE usas,;e) à APPUYER SUR LA
PEDALE. Donc, selon cette IhrTERPRETATIOhT (fausse) d~.x MONDE
ENTIER, la pression TOTALE sur la pédale est co~tposée de la
force P'=5 lbs provenant du mollet PLUS celle provenant de la
cuisse (donc 20 lbs), pour un total de 25, 1bs (2ere cellcne).
25 LE MOhIDE ENTIER (premiéra collone) SOUS-évalue ENORMEMEr;T les
dommages causas par l'utilisation des pédales:
-avec la pédale, la compression RÉELLE (cellcne 2) de la
cheville est de $0 livres comparé â 20 lbs (ccllene 2): c'est
QUATRE FOIS PLUS '. L'invention (collcne 2) raméne cette ccm-
20 pression â 20 li~~res (grace â l'élimination de l'usage du
mollet); donc, cette ir.vanticn permets de DIVISER PAR QUATRE
la compression sur la cheville, ce qui eat formidable pour les
personnes agées.
-LE MONDE E:~:TIER panse que la contraction DU MOLLET est de
25 seuleme:~t ~:5 lbs(collcne 1); EhT RÉALITÉ, cette compression est
da CO lbs, soit QUATRE FOIS PLUS ! Heureusement, l'invention
ramena a ZERO la contraction du mollet, ce quï repr sente une
~canomie d'énergie FABULEUSE, et cela SANS PERTE DE PRESSIO~:
POUR LA PROPULSIOhT car ie mollet NE PEUT PAS contribuer â la
30 pression sur la pédala, comr,;e nous l'avons amplement démontré!
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SECTIOPI 7: la LOI UI~TIVERSELLE DES PÉDALIERS '.
La loi ~~niversalle du PÉDALAGE précédemment deinontrée concernait
LE MOLLET. La loi universelle des PÉDALIERS que nous allons
05 maintenant expliquer est beaucoup plus générale et permets
de comprendre une autre ERREUR GRAVE qui a cours actuellement
en cyclisme, et qui brouille complétemen~t les cartes, â savoir
que le PÉDALIER est souvent associé (â tard; â un MOTEUR alors
que c' est simplement une TRAP:SMISSIO~: ' :;t nous allons
vair que cela a de graves conséquences. tette LOI UNIVERSELLE
DES PÉDALIERS est associée û une DEUXIEME illusion d'c
p..iqu~
Actuellement, il y a DEUX illusions d'cpt:ique qui tiennent le
cyclisme en esclavage; vo~as connaissez la premiére, qui concer-
ne LE MOLLET. La DEUXIEME est l'illusion d'optique DU PÉDALIER
25 qui concerne le cyclisme EN GÉPiÉRAL et vient AMPLIFIER l'effet
dévastateur de l'illusion d'optique DU MOLLET, car ces deux
illusions sont DÉPENDANTES l'une de l'autre et S'AMPLIFIEPiT
MUTUELLEMEriT en spirale inflationniste, ce qui bloque complète-
ment la VRAI comprehensicn de ce signifie VRAIMEPiT le mot
PÉDALER : En effet, nous allons voir que, en considérant la
jambe AVEC le pédalier, la PRûMILRE illusion fait f aussemer.t
croire que le moil~t, en se contractant, ,AUGMENTE la pression
sur la pédale et la DEUXIEME illusion fait faussement croire
que la PUISSANCE de la bicyclette est AUGMENT~E parce que le
nouveau PÉDALIER posséda une manivelle AL1~ONGÉE . cette deuxiéme
illusion consiste â NE PAS visualiser q~ae,, si on alfange la
manivelle, le D~PLACEMENT de l'axe de 1a pédale est PLUS COURT,
ce qui ANNULE l'effet de son allongement . la PUISSANCE de la
bicyclette reste LA MÉMÉ ' C'est ce que nous allons waintenant
3fl d montrer. ATTENDLZ VOUS ä DE FORTES SURPz:ISES...
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fil
Si nous pouvons nous permettre l'analogi.e suivante, nous dirons
que la loi universelle du PÉDALAGE est !.'équivalent de la théo-
rie de la relati°,rité RESTREINTE, et la loi universelle des
05 PÉDALIERS est l'éqsivalent de la théorie de la relativité
G~N~RALE ! Effectivement, ces 2 lois du cyclisme auront un
impact PUISSANT, actant que la théorie de la relativité en a eu
dans la physique !
INCROYABLE MAIS VRAI: les examinateurs de brevets (dos scienti-
figues pourtant trés compétents) accordant des brevets pour des
inventions STUPIDES qui n'améliorent RIEN DU TOUT {sauf EN APPA-
RENCE, visuellement parlant), comme nous allons le démontrer
avec un exemple caractéristique ! L'inventeur a en sa posses-
lion des DIZAINES de brevets ACCORDÉS {patent granted) en
25 cyclisme et TOUS ont été accordés parce les examinateurs de
brevets ont ETE INDUITS en erreur (donc .contre leur volonté)
par la TRES GRANDE PUISSANCE de cette DEUXI~ME illusion
d'optique qui se produit quand on REGARD, un pédalier, illusion
qui nous fait croire faussement que la p~sdalier est UP: MOTEUR,
çu'il peut fournir de l'anergie PAR LUI--MEME !
Ici, nous allons donner Uri S~UL exemple . une invention qui a
été brevetée dans PLUSIEURS pays (8 pays;), ce qui signifie que
HUIT examinateurs dc brevets ont TOUS éta induits en erreur,
INDÉPENDAMMENT les uns des autres '
Nous allons voir que les deux illusions (celle DU MOLLET et
celle du PÉDALIER) ont un EFFET CONTRAIR~.. En effet, l'illusion
DU MOLLET fait croire que LE MECANISME de NOT.°,E invention est
INUTILE quand on le REGARDE, et l'illusion DU P~DALIER faït
croire que que l'invention brevetée dans 8 pays ast trés
UTILE parce qu'elle propose ~ane manivelle: ALLONGÉE '.
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En réalits, c'est LE CONTRAIRE qui est vrai . le r:écanisme de
notre invention est TRES utile (bien qu'il SEMELE inutile tTISU-
ELLEMENT), et le pëdalier à r;aniv211a allongée-fig 35-est TOTA-
05 LEMEPiT inutile bien qu'il SEMBLE utile :'ISUELLEMENT ! Le :~cnde
â l'envers en quelque sorte...
La fig 35 est tirée du brevet JENTSCHMAhTN DE, A, 3,242,142
(2983). Les examinateurs qui ont accorde ce brevet ont été
induits en erreur par l'illusion d'optique DU PÉDALIER qui leur
a fait croire que le pédalier est LE MOTIEUR, qu'il peut fournir
de l'énergie supplémentaire PAR LUI-MEME, simplement en
allongeant la manivelle ! La vérité est que LE PÉDALIER est une
partie de la TRANSMISSIC:T ; le pédalier ~~e peut remplir qu'UN
SEUL rôle, soit de TRANSMETTRE à la roue l'énergie reçue DU
MOTEUR, qui est HUMAIN. Le pédalier est :oimplement UN INTERME-
DIAIRE qui TRANSFERE l'énergie REDUE DU moteur humain n 1a roue
arrière. Que le pédalier soit rond, carrE:, ovale, â déplacement
vertical, â allongement de manivelle... tout ce que vous vou3rez,
il peut TRANSMETTRE â la roue SEULEMEhTT 1'~nergie çu'il REÇOIT
du r~.oteur ! "C' EST ~VIDEr;T" direz-vous ; ET BIEN :';0:d ' Ce N' EST
PAS vident, et en voici la preuve, qui va voas surprendre au
plus haut point ! Fig 35 . la pédale est fixée â un bout d'une
piéce rigide en forme d2 L (la giece H); l'autre hout de cette
piêce en forme de L glisse dans ure fente le long du tube verti-
cal du cadre du vélo. Le résultat est que l'axe de la pédale
suit une trajectoire (T1) ayant la forme d'un 0 (un peu comme
un oeuf ou une sorte d'ellipse), tandis qu'avec un pédalier
circuïaire habituel (donc à mani~,relle de :Longueur fixe), la
trajectoire est un CERCLE (T2). L2 hut :'I;iUEL évident d2 ce me-
canisme est d'ALLONGER la longaeur EFFECT7:vE de la manivelle
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pendant la phase la plus efficace du cycle de pédalage (quand
le pied descends par 'avant) et de RACt:OURCIR la manivelle
quand le pied remonte par l'arriere. Le "raisonnement" suivi
05 par cet inventeur est simple: si la mani~,relle est effectivement
PLUS LONGUE quand le pied descends par L'avant, alors L'EFFET
DE LEVIER est AUGMENTE, ce qui devrait P,UGMENTER la PUISSANCE
par rapport au pédalier circulaire ("l'esffet de levier" est la
LONGUEUR de ia manivelle MULTIPLIÉ par l.a FORCE perpendiculaire
â cette manivelle). IL EST EXACT de dire que l'effet de levier
est augmenté, mais il est FAUX de dire que la PUISSANCE AUGMENTE
parce que nos YEUX publient de VOIR autre chose: on ne perçoit
pas VISUELLEMENT que, si on ALLONGE la manivelle, alors le
DÉPLACEMENT de l'axe de la pédale est PLUS COURT, ce qui ANNULE
l'effet de l'allongement de la manivelle: le TRAVAIL fourni NE
VARIE PAS et, donc, la PUISSANCE n2 varie pas (le TRAVAIL étant
le produit d'une FORCE par un DÉPLACEMENT dans la direction de
cette force), en prenant une base de comparaison identique,
c'est â-dira que le travail fourni PAR L.A JAMBE ne varie pas.
Encore une fois, le pédalier est la TRA:~JSMISSIOPi. Si le MOTEUR
(la jambe) FOURNI ~à la transmission (le ;pédalier) une certaine
quantité de TRAVAIL (d'énergie} dans un .certain intervalle de
temps (donc une certaine PUISSANCE), LA ;SEULE CHOSE que la
TRANSMISSION (le p~édaZier) peut faire, c'est de TRANSMETTRE
cette puissance â la roue arrière .; le pi~dalier n'est pas une
SOURCE d'énergie: seul LE MOTEUR (la jam3~e) FOURPdI de l'énergie.
Le fait D'ALLONGER la manivelle NE FERA I?AS VARIER la PUISSANCE
fournie PAR la jambe parce qu'une TRANSM:CSSICN ne peut pas
AJOUTER de paissance. Si vous voulez AUGMENTEP, la puissance de
votre automobiïe, il vous faudra AUGMENTIsa la puissance
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DU MOTEUR: MODIFIER la TD,âNSMISSION ne v~a rien .changer
Dans le cas PARTICULIER d'un moteur HUMAIN:
a) il peut âtre possible d'AUGMENTER la :°UISSANCE si la
05 MODIFICATIOPt apportée la TRANSMISSIOr; (le pédalier)
permets d'utiliser de rJOUVEAUX muscle;s gui n'staient PAS
utilisés AVANT la MODIFICATION de la itransmissicn. I1 est
2vident çue ni le mécanisme de la fig 3~ ni C21ü1. da la
fig 35 ne permettent d'utiliser de P;OIIVEAUX muscles,
20 comparé au pédalier circulaire habitu~:l . ces mécanismes ne
ne permettent donc pas une AUGMENTATION de puissance.
b) par contre, iI est possible d'augment:er LE RENDEMENT
ÉNERGITIQUE du moteur HUMAIN s~ ON DEC:OUVRE qu'un muscle
donné (le mollet) ne fournit AUCUPJ TRAVAIL (il n'augmente
15 pas la pression sur 1a pédale) et, dortc, il dépense de
l' énergie INUTILEMENT en se contr actartt : il suf.f it D' ÉLIMINER
L'USAGE d2 ce muscle inutile (CE QUE E'AIT le mécanisme de la
fig 3~, et ce que NE FAIT PAS celui da; la fig 35 car le talon
demeure dans la vide), ce gui AUGMENTE le RENDEMENT ENERGI-
20 TIQUE du moteur hamain. C'est l'~quiya,lent de diminuer la
consommation d'essence d'in moteur (en éliminant une fuite
par exemple) qui developpe une puissance donnée: la puissance
demeure la méme, mais LE RENDEMErtT ÉNERGITIQUE augmente.
Nous allons maintenant expliquer tout cela VISUELLEMENT, en
25 expliquant L'ILLUSION D'OPTIQUE DU PED.ALIER.
TOUTE l'énergie de propulsion ne pe~,zt venir gue DU MOTEUR, et
le pédalier ne fait que TRANSMETTRE l'énergie QU'IL RE~OIfi de ce
moteur, donc de la jambe. Or, nous avens amplement prouvé que
LE MOLLET est IPiUTILE . donc, la TOTALITÉ de l'Énergie de pro-
30 pulsion ne peut provenir QUE DE LA CUISSE. La fig 35 schematise
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une jambe appuyant sur un pédalier circulaire possédant une
manivelle de longueur M1 . la caisse(6) (le seul moteur, la
mollet étant inutile) pousse vers le basa en décrivant l'angle
05 ~ , passant DE lû position en. ligne pleine .ä la position en
ligne hachurée. LA SEULE chose qui chan=Je sur la fig 37, c'est
LA LONGUEUR de la manivelle qui passe a M2. La force de poussée
vers le bas DE LA CUISSE (6) est supposs:e LA MEME dans les deux
figures 36 et 37, et l'angle C'3 est LE ~IÉME aussi; donc, LE
20 TRAVAIL (ou l'énergie) FOURNIE PAR la cuisse (LE SEUL moteur,
le mollet étant inutile) est EYACTEMENT LE MÉMÉ dans les deux
figures. Dorc, chac~an des deux pédaliers REçOIT exactement LA
MEME quantité de TRAVAIL (ou d'énergie): chacun de ces deux
pédaliers est une TRANSMISSION, et r~e fa.it que TRANSMETTRE â la
15 roue arriére l'énergie QU'IL REÇOIT de la cuisse, qui est LA
MÉMÉ dans les deux cas, par hypothése.
Remarquez-vous quelque chose de spécial? Qu'est-ce qui fait
AVANCER la bicyclette? Le DEPLAC~MENT de l'axe de la pédale: si
la p~:daie ne bouge pas, la bicyclette n'avance pas !
20 i,'ISUALISE2-VOUS que la D~PLACEMEw;T de l'axe de la pédale EST
PLUS GRAPiD dans le Caû d2 la fig 35 (l'arc C1) que dans le cas
de la fig 37 (l'arc C2) pour UN MÉME TRAVAIL fourni par le
moteur (la cuisse seule) ? Le fait D'ALLONGER la manivelle
DIMINUE le DEPLACEME:~:T de la pédale ! (L'ALLOr:GEMENT de la
25 manivelle sur la fig 37 a été énormement exagéré pour qu'or.
puisse bien VISUALISER la différence de longueur entre les
arc de cercle C2 et C2). IL EST EBACT de dire que L'EFFET DE
LEVIER (la force sur la pédale multiplie par la longueur de
la manivelle) est PLUS GRAND dans le cas de la fig 37, mais cet
30 effet EST AF:NULE par un déplacement PLUS COURT de l'axe de la
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pedaie, de telle sorte que le travail FOURNI ä la roue arrière
par les deux pèdaliers est EXACTEME:~;T LE MEME. Et il faut
forcement qu'il en soit ainsi car les deux pédaliers (qui sont
05 deux TRANSMISSIONS) rec~oiver.t EXACTEMErJT la méme quantité
d'énergie (de travail) de LA CUISSE (qui est le seul moteur, le
mollet étant inutile) par hypothése (l'a:ngie B et la poussée
vers le bas de la cuisse étant les mémes dans les deux figures).
Donc, PEU IMPORTE LA LOP7GUEUR DE LA MANIVELLE, le travail FOURr;I
ä la roue arriére NE VARIE PAS, et ce travail FOURNI ~ la roue
arrière est TOUJOURS GAL au travail que le pédalier REçOIT DU
MOTEUR (la cuisse seule) (en ignorant les pertes par friction:
ici, on discute de THÉORIE, evidemment). C'EST LOGIQUE ET
INCONTOURNABLE...
L'inventeur du mécanisme de la fig 35 et les examinateurs de
brevets qui ont accorde ce brevet ont commis l'erreur de se
fier A LEURS YEUX SEULEMENT ' Quand on REGARDE ~ane ,jambe
appuyer sur une manivelle de pédalier qui est ALLONGÉE, notre
esprit a tendance â percevoir SEULEMENT ce qui est TR~ S apparent
VISUELLEMEriT, c'est-â-dire uniquement la :manivelle ALLONGES,
donc L'EFFET DE LEVIER PLUS GRAND. Nos yeux perçoivent le
STATIQUE (ce qui ne bouge pas) et non pas ie DYNAMIQUE (ce qui
BOUGE, soit ie DÉPLACEMENT de la pédale): nos yeux ne VISUALI-
SENT PAS le DÉPLACEME~tT PLUS COURT de l' a;~ce de la psdale quand
la manivelle est ALLONGÉE '. C'EST CELA l'illusion d°optique du
pédalier. Pour prendre une analogie amusante, disons que nos
yeux voient une pomme tomber d'un arbre: c:n conclut que c'est
la pomme qui se dirige VERS la terre, mais. on ne visualise PAS
que la terre AUSSI se déplace VERS la pomme car ce déplacement
3i3 est infinitésimal (en plus, l'observateur se déplace AVEC la
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terre, ce qui l'~mp~che de percevoir sors déplacement). Pour
VISUALISER le déplacement PLUS COURT de ï'axe de la pëdale
quand la manivelle est ALLONGÉE, il faudrait que l'observateur
05 visualise DEUM hicycïettes SIMULTANÉMEhTT, la première avec une
manivelle de longueur normale, et une autre avec une manivelle
ALLONGÉE, et il faudrait ç~se l'ebservate:ur soit EXTRÉMEMEPiT....
observateur !
Fig 3~ . le mécanisme supportant l'arriére de la plateforme {21)
n'est pas illustrë {cela sera discuté plus tard en détails);
en ayant rempïacé la pédale par une plateforme permettant de
soutenir le talon, la contracticn du mollet est élimin2e, ce
qui AUGMENTE le rendement énergitique du moteur SANS DERTE DE
PRESSIOri puisque le mollet NE CONTRIBUE PAS à cette pression:
on dépense MOI::S d'énergie pour obtenir UNE M~ME pression. Donc
la plateforme est UTILE bien que ce mécanisme SEMELE inutile
VISUELLEMENT . en effet, pour l'homme de la rue qui pensa que
le mollet CONTRIBUE ~ la pression sur la g~dale, l'impression
premiére qu'il a de cette platefarme est qu'elle EMPECHE d'uti-
liser LE MOLLET et que cela sa traduit dcnc par UNE PERTE DE
PRESSION ! Er. plus, l'homme de la rue ne perr~oit pas de (faux)
EFFET DE LEVIER qui est sspposÉ "augmenter la puissance",
comme dans le cas de la fig 35! Donc, la plateforme de notre
invention semble TOTALEMEPJT INUTILE et m~âme P;UISIELE {sic)
pour l'homme de la rue (et méme l'expert) qui IGNORE le contenu
du document que vous lisez présentement.
Dans le cas de la fig 35 (manivelle aïlongée), l'homme de la
rue croit VISUELLEMEr;T que cette invention est TRES utile alors
qu'elle est TOTALEMENT INUTILE. la MODIFJLCATIOr; du pédalier,
q~si consiste â ALLONGER la :manivelle, ne modifie ABSOLUMENT PAS
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i,
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7=
le rendement énergitiq~ae d~ moteur humain car, AVANT comme
APRES la modification, le mollet ET la cuisse continuent de
'forcer' DE LA MEME FACOhT: le mollet continue de se contracter
05 INUTILEMENT. Donc, cette MODIFICATION au pédalier n'apporte
AUCUNE amélioration: elle est tout â fait INUTILE bien qu'elle
SEMBLE trés utile VISUELLEMENT â cause d.e L'ILLUSIOP: D'OPTIQUE
DU PEDALIER. COaCLUSTO:~:
Fig 3~: pour ceux qui IGNOREP:T le contenrx de l'actuel document,
20 cette piateforme qui supporte le talon SEMELE inutile
(et méme nuisible) VISUELLEMENT « cause de L'ILLUSION
D'OPTIQUE DU MOLLET. La vérité est qu'elle est EXTRÉME-
MENT UTILE !
Fig 35: pour ceux gui IGNORENT le contenu de l'actuel document,
15 ce mécanisme SEMBLE trés utile Vï:SUELLEMEP;T â cause de
L'ILLUSION D'OPTIQUE DU PEDALIER. La vérité est que ce
mécanisme "genial" est TOTALEMEhTf INUTILE t
Une MODIFICATION d'un pÉdalier, peu importe la nature de cette
modification, doit, pour apporter une REELLE amélioration,
20 MODIFIER L'USAGE des muscles DU MOTEUR humain; cela peut se
faire de deux façons:
1-en permettant L'USAGE de muscles qui n'étaient PAS employés
auparavant (AVANT la modification du pédalier): dans ce cas,
ce serait un apport d'énergie ADDITIOP:NIELLE, ou une augmenta-
25 ticn de PUISSANCE.
2-en ELIMINANT l'usage de muscles
qui sont PEU utiles (de rende-
ment énergitique faible) ou carrément INUTILES (comme LE MOL-
LET): dans ce cas, il y a augmentation du RENDEMEP;T ENERGITI-
QUE, et non pas de ~a PUISSANCE.
30 C'EST LOGIQUE ET INCCP:TOURrJABLE...
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I1 y a de quoi faim VRAIMENT réflechir les experts '
Et dire que beaucoup d'experts en cyclisme S'ACHARNEP;T à tenter
D'AMÉLIORER le "rendement" du mollet, un rendement qui est
05 TOTALEMEPiT INEXISTANT, ~ane pure illusion ' Ils tentent d' AM~-
LIORER quelque qui devrait être ÉLIMINÉ : Est-ce dramatique ou
comique ? A vous de j~ager... Et qae dire de tous les efforts
déployés pour tenter de créer "LE pédaliE:r de l'an 2,000", en
croyant faussement que le pédalier est Utd MOTEUR, qu'il peut
20 fournir de l'énergie PAR LUI-MEME ? Ça, C:'EST tragique...
r
LOI UNIVERSELLE DES PÉDALIERS .
"Un pédalier n'est pas UN MOTEUR: ur. pédalier est une partie de
LA TRANSMISSIORT, un INTERMÉDIAIRE entre le MOTEUR (la cuisse,
qui FOURNIT l'énergie) et la roue arriére (qui RE~CIT cette
15 énergie) . le pédalier ne peut pas AJOUTER de l'énergie PAR
LUI-MEME. En conséquence, l'énergie FOURNIE PAR la moteur (la
cuisse seule) est toujours ÉGALE à l'énergie REÇUE PAR la roue
arriére (en oubliant les pertes par friction), et cela PEU
IMPORTE LA CONCEPTION' TECHNIQUE DU P~DALIER {la transmission)
20 qui est seulement un intermédiaire qui T:RAhTSFERE l'énergie DU
moteur ä 1a roue arriére.
Donc, gour apporter une RÉELLE amélioration, une MODIFICATION
a un pédalier doit obligatoirement MODIF:CER DIRECTEMENT l'usage
DES MUSCLES DU MOTEUR , soit:
25 -en permettant l'usage de muscles qui n's:taient PAS ou PEU
utilisês AVANT la modification du gédal9er, ce qui corresponds
~ une augmentation de PUISSANCE disponible,
-en ÉLIMINANT l'usage de muscles dont le rendement énergitique
est FAIBLE cu hrUL (comme dans le cas du mollet, qui NE PEUT
30 PAS contribuer à la pression sur la péda.le).
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Peu importe son apparence VISUELLE, si ~ce pédalier NE MODIFIE
PAS directement L'USAGE des muscles du moteur, IL EST INUTILE "
Cette LOI UNTVERSELLE DES PÉDALIERS est extrémement pratique
05 car elle permets, AU PREMIER COUP D'OEIL, de dire si un
nouveau pédalier apporte une REELLE amélioration, sans avoir â
faire d'analyse technique poussée ! S'iLs avaient connu cette
LOI UNIVERSELLE DES PEDALIERS, les exam~Lnateurs auraient immé-
diatement rejeté l'invention de la fig a5 car il aurait été
ÉVIDENT que cette invention NE MODIFIE PAS l'usage que l'on fait
des MUSCLES de la jambe, COMPARE ~A un pédalier CIRCULAIRE
conventionnel: les muscles de la cuisse et le mollet continuent
d'être utilisés de la même facon, il n'y a pas ADDITION de
muscles qui n'étaient pas utilisés auparavant, ni ÉLIMINATION
de muscles inutiles (comme le mollet), ni amélioration ÉVIDENTE
du rendement énergitique des muscles DEJä utilisés '. Cette
invention (fig 35) est INUTILE.
PAR CONTRE, si on applique cette même LOI UNIVERSELLE DES
PÉDALIERS au mécanisme de notre invention (fig 34) qui fait
2D essentiellement une chose: SUPPORTER LE 'TALON de facon à éviter
l'usage du mollet (le mécanisme qui supporte l'arrière de la
plateforme (21) n'est pas illustré pour ;simplifier le dessin),
alors IL EST EVIDENT que la plateforme ÉIGIMINE L'USAGE d'un
muscle INUTILE, le mollet, ce qui AUGMEN'.PE BEAUCOUP le rendement
énergitique du moteur: donc, notre inveni:ion est TRöS UTILE
Cette LOI est UNIVERSELLE; pour la démoni:rer, nous avons utilisé
le CAS PARTICULIER d'un allongement de manivelle; mais cette
LOI s'applique â tous les types de pédalier: â déplacement
vertical, elliptique, carré, triangulaire...tout ce que vous
voudrez.
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Cette LOI s'applique â TOUS les organes :DE LA TRANSMISSION, le
pédalier n'etant QU'UNE PARTIE de cette derniére.
La definition de L'ILLUSION D'OPTIQUE DU PÉDALIER que nous
05 venons de donner, c'est â-dire "...NE PAS VISUALISER que
L'ALLONGEMENT de la manivelle produit un déplacement PLUS COURT
de l'axe de 1a pédale..." était en fait l7N CAS PARTICULIER de
L'ILLUSION D'OPTIQUE DU PÉDALIER. Nous pourrions GÉNERALiSER
cette définition â TOUS les types de pédaliers (elliptique,
vertical, etc.) en disant que c'est "...le fait d'âtre trompé
VISUELLEMENT par L'APPARENCE du pédalier qui nous porte a
penser que le pédalier peut être une 50URCE D'ÉNERGIE..."
CONCLUSION (cas particulier d'un ALLONGEHiENT de manivelle):
En REGARDANT une jambe appuyer sur un pédalier ayant une mani-
velle ALLONGÉE par un mécanïsme quelconque, DEUX illusions
d'optique nous trompent . l'illusion DU NfOLLET qui nous fait
croire que la contraction du mollet AUGMENTE la pression sur ia
pédale, et l'illusion DU PöDALIER qui nous fait croire que la
manivelle ALLONGÉE augmente LA PUISSANCE de la bicyclette, tout
cela étant TOTALEMENT FAUX. En plus ces deux illusions sont
DÉPENDANTES l'une de l'autre et S'AMPLIFIENT mutuellement en
spirale inflationniste ! . en effet, L'ALLONGEMENT de la mani-
velle nous fait faussement croire que la "contribution du
mollet" â la pression sur la pédale est ENCORE PLUS efficace
A CAUSE précisement de cet ALLONGEMENT de manivelle ~ TOUT CELA
EST TOTALEMENT FAUX !
A cause de ces DEUX illusions d'optique, le cyclisme actuel
est tenu en esclavage et FAIT FAUSSE ROUTE '
Et dire que les experts du cyclisme sont convaincus que le vélo
actuel est PRESQUE PARFAIT ! QUELLE TRAGEIDIE !
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SECTION 8 . comment l'illusion d'OPTIQUE du mollet se transforme
en illusion MUSCULAIRE (et autres sujets).
Pourquoi l'illusion d'optique du mollet est-elle si PUISSANTE?
05 Avant les pédales, c'était la draisienne: 2 roues et une poutre
de bais horizontale sur laquelle on s'assoyait, et l'engin êtait
propulsé en marchant ou en courant, comme une trotinette, en
posant les pieds alternativement sur le ;sol. Ensuite, quelqu'un
eu l'idée d'utiliser DES PEDALES. Donc, :l'introduction des péda-
les a été considérée comme une innovation MAJEURE, et c'était
vrai, mais PAR RAPPORT A LA DRAISIENNE SEULEMENT: s'ils avaient
connu notre invention A CE MOMENT LA, le:? pédales auraient été
considerées comme une STUPIDITÉ (ce qu'eaLles sont'.). Les gens
étaient EUPHORIQUES; ils étaient tellement heureux de disposer
de pédales, le changement par rapport â 7.a draisienne était si
RADICAL qu'ils ont pensé que JAMAIS PLUS ces extraordinaires
pédales ne pourraient étre remplacées par quelque chose de mieux
dans l'avenir ! Donc, DES LE DÉPART, il y a plus de 100 ans, ii
était admis par tous que les pédales étaient PARFAITES pour
être utilisées par la jambe humaine; et c'est tellement vrai que
PERSONNE, dans les 150 années suivantes, n'a eu l'idee de tenter
de remplacer les pédales par autre chose...A cette euphorie
initiale, il faut AJOUTER l'illusion d'optique du mollet elle-
..
meure qui EXISTAIT DEJA quand ies premières pédales on été utili-
sées pour créer la bicyclette; en effet, les premières pédales
ont été inventées il y a des MILLIERS D'ANNÉES: donc, l'illusion
d'optique du mollet existe depuis des MILLIERS D'ANNÉES, ce qui
explique sa grande puissance .
Regardez quelqu'un marcher sur la rue: il pose les talons PAR
TERRE à chaque pas, car c'est la facon normale de marcher.
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On remarquerait immédiatement quelqu'un qui marcherait continu-
eilement sur le bout des pieds, sans jamais poser les talons par
terre, et on ne manquerait pas l'occasion de lui faire remarquer
05 que sa facon de marcher s'est PAS norma3.e ! Méme chose pour
monter un escalier: il est NORMAL de po.cer les talons SUR les
marches et NON normal de poser seulement. le bout du pied sur la
marche, le talon dans le vide. Alors POURQUOI les gens trouvent-
ils tact à fait NORMAL de PEDALER les ta.ions DANS LE VIDE ?
VOUS CONNAISSEZ LA REPONSE...
Cette IMAGE de quelqu'un qui pédale d'une facon soit-disant
"normale" (le bout du pied sur la pédale) a été gravée, incrus-
tée dans notre esprit DANS NOTRE TENDRE :ENFANCE , car nous
avons tous vu des cyclistes pédaler quand nous étions enfants.
Quand un jeune enfant voit quelque chose pour la premiêre fois,
cela reste fortement gravé dans son esprit pour la vie.
L'illusion d'optique du mollet est une i:Llusi.on qui s'est trans-
mise intacte de génêration en gênération: LE TEMPS a beaucoup
contribué â la puissance de cette illusion.
Comme si tout cela n'était pas suffisant pour expliquer la
puissance de cette illusion, il faut AJOL1TER un autre facteur
important, une illusion MUSCULAIRE (cetts~ expression est de
mon invention), que nous définirons ainsi.:
"c'est avoir l'impression PHYSIQUE (mmscuiaire) qu'un
muscle donné joue un certain rQle quand, en réalité,
il remplit UN AUTRE ROLE"
Autrement dit, la réalité contredit ce qu'on ressent PHYSIQUE-
MENT quand on UTILISE ce muscle. Une illusion musculaire n'est
pas "pensée": on ne reflechit pas, on ne pense pas intellectu-
ellement: c'est une impression PHYSIQUE, musculaire PURE.
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C'est le MUSCLE LUI-M~ME qui semble nous convaincre qu'il
remplit un certain réle bien déterminé quand, dans la réalité,
il accomplit une autre fonction.
05 Quand on REGARDE une AUTRE personne pédaler, le mollet produit
une illusion D'OPTIQUE sur celui qui REGARDE; pour celui qui
PEDALE, qui "force du mollet"
cette illusion d'optique du
mollet SE TRANSFORME en illusion MUSCULAIRE:
-celui qui REGARDE: l'illusion D'OPTIQUE donne l'impression que
le mollet DU CYCLISTE QU'IL REGARDE produit
une pression sur la ;pédale.
-celui qui PÉDALE: le fait de FORCER DU i!~OLLET semble lui indi-
quer PHYSIQUEMENT que le mollet PRODUIT UNE
PRESSION sur la pédale.
15 Dans les 2 cas, c'est EXACTEMENT LA MEME ILLUSION, mais PERçUE
d'une facon différente, selon qu'on REGARDE ou qu'on PÉDALE!
Quelle importance tout cela a t-il? C'esi: un point MAJEUR per-
mettant d'expliquer pourquoi cette illusion du mollet est si
puissante. En effet, nous avons TOUS monté sur une bicyclett e
20 dans notre jeunesse et nous avons tous été fortement influencé
par cette illusion d'optique du mollet qui s'est TRANSFORMÉE en
illusion MUSCULAIRE aussitôt que nous avons tenté de GRIMPER
notre premiére côte raide, sans y parvenir et complétement
essouflé: EN GRIMPANT, vous étiez ABSOLUMENT CONVAINCU que vos
25 mollets servaient â AUGMENTER la pression sur les pédales
puisque c'est le message que vos mollets i~UX-MÉMES vous
envoyaient EN VOUS ÉPUISANT et en RENFORÇANT l'illusion D'OPTI-
QUE sur le mollet que vous aviez DEJA à l"esprit (subconscient)
depuis longtemps, depuis la première fois que vous avez VU quel-
30 qu'un pédaler (donc três tôt dans l'enfanc;e) ~
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L'illusion MUSCULAIRE du mollet est beaucoup plus puissante que
l'illusion D'OPTIQUE du mollet; si, par exemple, vous vous
cassez une jambe (ce qui est trés doulou:reux), vous vous en
05 souviendrez trés longtemps, sûrement beaucoup plus longtemps
que si vous aviez VU quelqu'un d'autre se casser une jambe:
quand on souffre PHYSIQUEMENT (comme dan;~ le cas d'un grand
effort du mollet), l'effet sur notre esprit est beaucoup plus
puissant qu'une simple perception VISUELhE.
Nous avons TOUS été TRÉS FORTEMENT influs:ncé depuis notre tendre
enfance par les DEUX aspects de LA MEME illusion du mollet
(l'aspect OPTIQUE et l'aspect MUSCULAIRE), ces deux aspects
S'AMPLIFIANT l'un et l'autre en spirale i.nflationiste.
Et voila ce qui explique LA PUISSANCE NORME de cette illusion,
et, par conséquent, pourquoi DES MILLIARDS de personnes depuis
150 ans N'ONT PAS découvert l'existence de cette illusion
Aprés tout le serieux des pages précédentes, nous avons bien
besoin de nous détendre un peu; ce qui suis fait "comique" mais
c'est AUSSI "sérieux". Monsieur X porte une prothése â une jambe
â partir du genou; supposons qu'il décide volontairement de se
faire amputer L'AUTRE jambe àu niveau du genou et de porter
une deuxiéme prothese: il y aurait â cela une bonne nouvelle et
une mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvel:Le serait qu'il aurait
de la difficulté à se tenir debout, n'ayant plus de mollets; la
bonne nouvelle serait qu'il dépenserait DhUX FOIS moins d'éner-
gie pour pédaler car, comme le dit la LOI UNIVERSELLE DU P1EDALA-
GE, toute la pression sur la pédale provient uniquement de la
cuisse, le mollet n'y contribuant pas. Le monde cycliste â deux
choix possibles face â ce gaspillage d'éne:rgie que la LOI UNI -
VERSELLE DU PEDALAGE dénonce:
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1-que tous les cyclistes se fassent amputer volontairement les
deux jambes au niveau du genou et se fassent installer des
prothéses, tout en continuant d'utiliser DES PÉDALES,
O5 OU
2-garder nos jambes INTACTES et simplement REMPLACER les
pédales par notre invention (qui fournit un support au talon).
La premiére solution consiste donc â se debarasser du probléme
en se faisant enlever les mollets: cela ~equivaut â ACCÉLÉRER la
théorie de l'évolution de Darwin ! Si cette théorie est vraie,
il suffirait d'attendre quelques millian;s d'années de fagon a
ce que la jambe "évolue" en se débarassant graduellement du
mollet par étapes successives, de façon ~i ce que la jambe
"s'adapte graduellement â son environnemE~nt" qui est la bicy-
clette ä PÉDALES ! N'est-il pas préférabae de faire L'INVERSE
de cela, c'est-â-dire faire en sorte que l'homme ADAPTE SA
PROPRE CRÉATION (la bicyclette â pédales) à SON environnement
qui est ia jambe ACTUELLE (avec mollet !), simplement en REMPLA-
ÇANT ces pédales par notre invention (les platefarmes supportant
les talons)? L'HOMOPLATEFORMUS est donc l'homme AVEC MOLLETS;
selon DARWIN, il deviendra, dans x millions d'années, un
HOMOPEDALUS (un homme SANS motets): IL AURA ÉVOLUE...
Ceci est hors contexte, mais ~a va nous permettre de nous chan-
ger les idées en préparation de ce qui va suivre. En rapport
avec cette théorie de l'évolution, on peut se poser des ques-
tions bizarres, comme par exemple:
-les organismes VIVANTS sont-ils influencés dans leur évolution
UNIQUEMENT par la création NATURELLE qui l'environne ou sont-
ils également influencés par la création DE L'HOMME LUI-MÉMÉ?
Par exemple, un organisme peut-il s'adapi:er ä LA POLLUTION
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créée PAR L'HOMME? Si la bicyclette demeure inchangée (AVEC
pédales) pendant des millions d'années,. cela aura t-il une
influence sur l'évolution de 1a jambe î' Si oui, alors il y a
05 fort â parier que "l'évolution" du mollet se fera dans le sens
d'un renforcissement des mollets (ils vont devenir ÉNORMES)
plutot que dans le sens de L'ÉLIMINATION des mollets, ce qui
sera fort peu apprecié de ces dames !
-Si l'humanité vient à manquer d'eau douce, devra t-elle atten-
dre que notre organisme "évolue" de façon à ce que dernier
finisse par étre capable de boire de l'eau SALÉE (POUAH!)?
Ou l'eau salsa "évoluera" t-elle pour finalement devenir de
l'eau potable? (espérons que cela ne prenne pas trop de
temps!).
Il est faux de prétendre que seule la matiére VIVANTE évolue;
en effet, la matière TNERTE évolue constamment au coeur des
étoiles par réactions nucléaires (1'hydr~ogène se transforme
en hélium, etc.) . I1 y a une chose toutefois qui n'ÉVOLUE
PAS DU TOUT: L'ESPRIT DE L'HOMME (car cers derniers ne font que
s'entretuer: l'homme l'auto-détruit). On est forcé de conclure
que, comme l'esprit humain n'évolue pas, il n'est PAS matériel!
SEUL un DIEU CRÉATEUR peut faire ÉVOLUER (dans le bon sens)
l'esprit de l'homme: il faut toutefois LtJI DEMANDER !
Laissons ia cette discussion qui risque cïe nous amener trop
loin de notre invention (mais IL Y A effesctivement un rapport
entre les deux, et c'est pour cela que j''ai effleuré le sujet).
I1 y a des gens NÉGATIFS qui font TOUT pour discréditer l'effort
inventif. Quelqu'un m'a dit: "...tu perd:; ton temps avec ton
invention; une entreprise vient de mettrez sur le marché une
bicyclette ä PÉDALES équipée d'un petit moteur électrique com-
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plémentaire et d'une batterie: quand on pédale et qu'on n'utili-
se pas le moteur, celui-ci se transformE: en dynamo pour rechar-
ger la batterie. UNE PARTTE de l'énergiE: dépensée pour pédaler
05 est utilisée pour recharger la batterie". Ma réponse a été .
"Sï cette bicyclette utilise DES PEDALEf9, alors CHAQUE Kwatt/
heure d'énergie stockée dans ia batterie' nécessite une dépense
d'énergie humaine DEUX fois plus élevée pour PRODUIRE ce Kwatt/
heure: DEUX Kwatt/heure d'énergie HUMAINE sont requis pour pro-
duire UN SEUL Kwatt/heure d'énergie élecarique stockée, simple-
ment parce que DES P~DALES sont utilisées, ce qui oblige les
mollets à forcer (inutilement): C'EST DU GASPILLAGE! Et il en
va de méme DU RESTE de l'snergïe DE PÉDALAGE qui sert à faire
AVANCER la bicyclette: elle est deux fois plus élevée qu'il est
nécessaire: ENCORE DU GASPILLAGE ". L'id.éal serait d'utiliser
les deux concepts en méme temps: utiliser les plateformes de
notre invention, ET utiliser ce moteur avec sa batterie: de
cette fanon, la quantité d'énergie humaine requise pour rechar-
ger la batterie serait DIVISÉE PAR DEUX, et le RENDEMENT ENERGI-
TIQUE du PEDALAGE LUI-MEME serait MULTIPLIÉ PAR DEUX également.
Notre invention est une invéntion DE BASE qui n'empeche pas les
inventions COMPLÉMENTAIRES! Un coup parti, pourquoi ne pas rem-
pïacer ce moteur électrique par un énorme moteur à essence ?
OU on veut faire de l'EXERCICE physique, OU on veut faire de la
motocyclette ! Quand une personne achete une bicyclette, c'est
qu'eïle veut faire de l'exercice physique dans le silence et
une personne achete une moto pour des raisons différentes: il
ne faut pas mélanger les concepts pour tenter de discréditer
une invention! Une chose est CERTAINE: en autant que les
véhicules â propulsion HUMAINE sont conccarnés, il est STUPIDE
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de dépenser DEUX FOIS plus d'énergie humaine que necessaire
quand cela pourrait étre ÉVITE en utilisant les plateformes de
notre invention !
05 Une autre personne NÉGATIVE a avancé l'A:RGUMENT DU POIDS .
" ..si tu remplaces les pédales par ces ;plateformes et le
r _
mecanisme qui les actionnent, ca va ETRE PLUS LOURD...".
Supposons (en exagérant) que la bicyclette passe de 20 livres a
25 livres si on remplace les pédales par notre invention: c'est
10 une augmentation du poids DE LA BICYCLET'.PE de 25% ; et cela est
INSIGNIFIANT comparé â une augmentation <iu rendement énergitique
de 200%; en plus, ce 25% CACHE quelque chose! En effet, la bicy-
clette roule t-elle SEULE, SANS LE CYCLI:>TE ? Nan bien sûr: il
faut tenir compte du poids du cycliste Erf PLUS de celui de la
15 bicyclette; l'énergie humaine que vous dépensez font avancer
la bicyclette ET VOUS AUSSI ! Supposons 9~ue vous pesez 150 B-
ores et que la bicyclette pesa 25 livres, le poids TOTAL est
de 175 livres; donc l'invention (5 livres de plus, en exagé-
rant) ajoute SEULEMENT 5/175 ou 2.8% seulement et NON PAS 25%
20 comme calcule ci-haut. 2.8% d'augmentation de poids est un prix
INFINITESIMAL â
payer pour unie "aubaine" de 200% d'augmentation
du rendement énergitique obtenu grâce â l'elimination de l'usage
du mollet ! Le raisonnement est similaire EN COTE: vous montez
la côte AVEC votre bicyclette (si vous décidez de rester au bas
25 de la côte et dites â votre bicyclette: "monte toute seule", je
croirais alors que votre santé mentaïe est déficiente) !
Les cyclistes (sauf les jeunes peut-âtre) passent 95% du temps
SUR TERRAIN PLAT: ils fuient les côtes. Or, sur terrain plat,
on n'a pas a lutter contre LA GRAVITATION" mais seulement contre
30 L'INERTIE DE MASSE, selon la formule de NEWTON F=m.a oû m est
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la masse et a est l'ac élération. Sur terrain plat, une augmen-
tation de poids est encore MOINS significative que dans une
cote; sur le plat, le poids est une mesure de la MASSE. Selon
05 F=m. a, plus la masse est élevée, plus l'accélération est faible
pour une force F donnée. Donc, sur terrain plat, l'augmentation
de poids affecte seulement votre niveau D'ACCÉLERATION . vous
mettez un peu plus DE TEMPS pour atteindre une vitesse donnée;
c'est le seul désavantage; si l'augmentation de poids est de
2.8%, alors Ie temps supplémentaire requis pour atteindre une
vitesse donnée ne se remarque PAS DU TOU'P ! Le seul sport ou le
POIDS de la bicyclette est important, ce sont dans les courses
D'ACCÉLERATION de courte durée en circuii~ fermé comme au Japon!
CONTRAIREMENT à ce que l'on croit, LE PO~.DS des vélos est SANS
importance pour les courses de LONGUE durée, comme le TOUR DE
FRANCE ! En effet, sur de longues distances, les pertes d'ACCE-
LERATION sont ELIMINEES grâce au fait qui: L'ENERGIE SE CONSERVE:
plus un vélo est LOURD, plus son énergie cinetique 1/2m.v est
ÉLEVÉE car m est plus grand, si bien que la bicyclette peut
parcourir une plus grande distance que la bicyclette légëre
avant de s'arréter quand les deux cyclistes qu'on compare
cessent de pédaler: quand à la VITESSE MOYENNE qui détermine
l'issue de la course, la bicyclette lourde n'est PAS DU TOUT
désavantagée s'il s'agit d'une course longue distance; et c'est
pareil pour les côtes: le cyliste du vélo plus lourd dépense
plus d'énergie que le cycliste du vélo léger, MAIS, une fois
rendu EN HAUT de Ia côte, L'ÉNERGIE POTEN9'IELLE du vélo lourd
est PLUS élevée; c'est de l'énergie EN RÉSERVE que le cycliste
utilisera pour COMPENSER sa plus grande dÉ:pense d'énergie pour
monter la côte. L'ENERGIE SE CONSERVE
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Donc, cet ARGUMENT DU POIDS est insignij:iant.
Alors POURQUOI toute cette publicité autour des vélos SUPER
légers ? Pour 2 raisons: parce qu'il y ~~ DE L'ARGENT ä FAIRE et
05 parce que les experts en cyclisme n'ont RIEN D'AUTRE Ä FAIRE !
L'opinion générale dans l'industrie, c'est que la bicyclette
actuelle est PRESQUE PARFAITE, et qu'IL N'Y A PLUS de possibi-
lité de prog>~es D'IMPORTANCE MAJEURE possible (l'actuel docu-
ment va les étonner AU PLUS HAUT POINT!), sauf dans les détails
comme améliorer l'aérodynamisme, ajouter des suspensions... et
RÉDUIRE LE POIDS grâce â de nouveaux matérsavx~ L'argument
DU POIDS est spécialement intéressant du point de vue commer-
cial. La premiére reaction qu'une dame a eu en voyant le proto-
type de mon invention a été: "votre invention fait-elle PERDRE
DU POIDS?" ; les gens se préoccupent de plus en plus de Ieur
poids corporel car ils y sont poussés par. ia publicité (les
mannequins super minces, l'homme svelte...) et ils font aisé-
ment l'association d'idées avec le terme bicyclette LÉGERE .
tout ce qui est LEGER intéresse les gens. Cet amour démesuré
des gens pour ie L~GER permets aux manufacturiers d'exiger des
prix DÉMESURÉMENT ÉLEVES pour leurs vélos "super légers": UNE
VRAIE MINE D'OR !
Nous avons fait ensemble une étude THÉORIQUE du fonctionnement
de la jambe dans les pages précédentes par des calculs d'équili-
bre de translation et de rotation; nous avons ainsi démontré
théoriquement les DEUX erreurs contenues dans l'interprétation
DU MONDE ENTIER, nous avons prouvé que le scénario no 1 est
faux, et que le scénario no 2 est vrai de deux façons (une
preuve normale et une preuve par l'absurde). Une question
nous vient tout naturellement â l'esprit:
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De telles études théoriques sur le fonctionnement de la jambe
n'ont-elles pas été déjâ faites dans le passé par des experts
en cyclisme et des bia-mécaniciens ? Sûrement. Alors il y a
05 UNE SEULE explication possible: lis N'ONT PAS découvert LA
VÉRITÉ expliquée dans l'actuel document car, s'ils auraient
découvert cette vérité, IL N'Y AURAIT PLUS UNE SEULE BICYCLETTE
"A PÉDALES" SUR LES ROUTES ! Et il n'y a QUE des bicyclettes
ä PÉDALES sur les routes! Donc, cela PROUVE l'effet extrêmement
PUISSANT de la COMBINAISON des TROIS illusians, soit .
1-l'illusion d'OPTIQUE du mollet,
2-l'illusion MUSCULAIRE du mollet,
3-l'illusion d'optique DES PÉDALIERS,
ces trois types d'illusions s'influencanit mutuellement en
spirale infiationiste . cela tient le cyclisme actuel EN
ESCLAVAGE; LE CYCLISME FAIT FAUSSE ROUTE !
LA TRANSMISSION (le pédalier) des vélos ~i pédales actuels NE
CONVIENT PAS pour le type particulier de MOTEUR utilisé (le
membre inférieur): AVEC UN MOTEUR ROLLS-F;OYCE, ON N'UTILISE
PAS UNE TRANSMISSION DE WOLKSWAGEN !
Le présent document est une source d'eau fraiche et bien
r i
oxygenee se deversant dans un océan pollué par des pédales
" â déclenchement automatique ", des pédaliers qu'an prends
pour des moteurs, l'argument du poids qui est d'importance
mineure, des techniques spéciales "en dandinette" pour
monter les côtes, etc....
OUI, l'actuel document est le plus important papier sur
le cyclisme des 100 dernières annees, et remets en cause
LES FONDEMENTS MEMES de cette industrie !
BONNE ROUTE au futurs utilisateurs de cette invention !
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Comme vous avez pu le constater, l'explication de notre
découverte scientifique concernant LE MOLLET implique des
considérations de toutes natures, comme le rôle joué par
05 la perception VISUELLE, la façon dont notre ESPRIT fonc-
tionne, des calculs scientifiques de forces, etc.. II
existe également un autre facteur de nature PSYCHOLOGIQUE
impliquant LA NATURE HUMAINE qui permets de répondre a la
question posée page précédente (88) à savoir: "De telles
études théoriques sur le fonctionnement de la jambe n'ont-
elles pas été déjà faites dans le passé par des experts én
cyclisme et des bio-mécaniciens?" Sûrement. Mais notre fac-
Leur de nature PSYCHOLOGIQUE va permettre de comprendre
pourquoi ils n'ont PAS découvert la vérité expliquée dans
l'actuel document.
Nous allons baptiser ce facteur psychologique Vanité
Intellectuelle Inconsciente, une maladie que nous désignerons
par VII.
Cette VII est INCONSCIENTE car les gens N'E SAVENT PAS qu'ils
en sont atteïnts, ce qui élimine la possibilité de guérison:
c'est donc une maladie INCURäBLE ! Plus les gens sont instruits,
plus leur niveau de VII est élevé; et si vous dites â ces gens
instruits qu'ils sont atteints de VII, ils ne vous croiront
pas...à cause de la maladie elle--même...qui les empéche de
découvrir...qu'ils sont malades . CERCLE 'VICIEUX INFERNAL !
Quel rapport cela a t-il avec les inventions en général et la
nôtre en partïCUlier ? IL EST DIRECT ! Cet te VII BLOQUE LE
PROGRES TECHNIQUE en dressant un mur de ciment psychologique
(presque impossible â défoncer) entre l'inventeur et ceux â
qui cet inventeur s'adresse: la communicaition devient DIFFICILE
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dans le cas des inventions en général sa (presque) IMPOSSIBLE
dans le cas des inventions impliquant des ILLUSIONS D'OPTIQUES,
comme nous allons ie voir.
05 Normallement, une maladie de l'esprit fait D'ABORD souffrir le
malade lui-méme. Le probléme avec cette: VII, c'est que CE N'EST
PAS celui qui est atteint par la maladie qui souffre . ce sont
LES INVENTEURS qui souffrent de cette vanité inutile !
Quelle est l'origine de cette maladie?
10 Pouvez-vous calculer la valeur de X dans l'équation suivante
en 2 secondes, sans ordinateur, en utilisant seulement votre
esprit humain?
16
15 X = \e + r~ + ~ ~~ ~ r~ , Gt. A
~=o r~.=c~
J'en suis incapable personnellement, évidemment, ainsi que
vous. Pourquoi? Parce que notre esprit Ea t d'une PUISSANCE
20 LIMITÉE. Notre esprit LIMITÉ nous empêche de découvrir que
nous avons...un esprit LIMITÉ '.!! Le ré;;ultat est que les
gens croient (INCONSCIEMMENT) que la puissance de notre
esprit est SANS LIMITES, qu'il suffit ds: le "développer" en
quelque sorte en utilisant plus efficacement les cellules du
25 cerveau...; cela finit par produire de la VII, tout cela se
faisant au comptes-gouttes, lentement, aiu fil des années, dans
un processus CUMULATIF, d'une maniére Il~fconsciente: les gens
ne s'en rendent pas compte du tout ! Plus une personne étudie
' longtemps dans une spécialité donnée, plus elle se persuade
30 ELLE-MEME (et INconsciemment) qu'elle est de plus en plus
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INFAILLIBLE dans sa spécialité (car les connaissances S'ACCU-
MULENT), et que, s'il y avait encore quelque chose â découvrir
dans son domaine, elle parviendrait bien â faire elle-méme
05 cette découverte un jour... Ce processus "d'auto-conviction
INCONSCIENTE" s'amplifie en intensité avec les années bien que
la personne ne donne PAS DU TOUT l'impr~assion "de se prendre
au sérieux", ne montrant absolument aucun signe extérieur de
vanité. Cette VII, c'est comme une ILLUSION D'OPTIQUE . dans
les deux cas, il est impossible d'en découvrir l'existence
PAR NOUS-MEMES, cela devant nous âtre RE;VÉLÉ par un AGENT
EXTERIEUR !
Nous sommes TOUS atteints par cette VII à des degrés divers
(incluant moi-méme !), SANS LE RÉALISER. Le résultat pervers
est le suivant: si un inventeur indépendant propose â un
expert d'étudier une invention dans sa propre spécialité, cet
r
expert va IMMEDIATEMENT jeter un coup d'oeil sur les dessins
car une image est senne valoir 10,000 mots et c'est la facon
LA PLUS RAPIDE de satisfaire sa curiositié; si les dessins
comprennent une ILLUSION D'OPTIQUE, l'expert étant trompé sans
savoir, il va avoir tendance â NE PAS vouloir LIRE les explica-
tions ÉCRITES de l'inventeur pour DEUX ratinons:
1-il est convaincu que cette invention es;t SANS VALEUR â cause
évidemment de l'existence de l'illusion. d'optique,
ET
2-la perversité de la VII agit: son INCONSCTENT lui indique
"qu'il sait déjà tout" ce qu'il est possible de conna~tre
dans sa spécialité, et que ce n'est certainement pas un
"petit inventeur indépendant" (qui n'est PAS expert en son
domaine) qui pourrait lui APPRENDRE que:lque chose de NOUVEAU!
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VOILA le message INconscient véhiculé par cette VII, et cet
expert ne se rends compte de RIEN DU TOUT, ne montrant AUCUN
signe d'une quelconque vanité, semblant persuadé CONSCIEMMENT
05 qu'il est OUVERT ~ toute idée NOUVELLE ! Quel paradoxe ! Le
conscient et l'INconscient se CONTREDISENT, le conscient
étant ouvert â la nouveauté et l'INconscient BLOQUANT le
processus d'ouverture au progrés !
Donc, l'expert NE LIT PAS les explications ECRTTES de l'inven-
teur et rejette automatiquement une invention qui pourrait
faire progresser l'humanité; ainsi LA VICTIME (de la VII) EST
L'INVENTEUR et, par ricochet, I'humaniyâ entière si l'inventeur
se décourage face â cet échec APPARENT. Cet échec APPARENT peut
se transformer en VICTOIRE si l'inventeur est AVERTI D'AVANCE
des réactions possibles de l'expert en ce qui concerne les
illusions d'optiques et cette fameuse VI:I; si l'inventeur est
averti, il SAIT que cet échec apparent est en réalité une
victoire car le rejet par l'expert PROUVE L'EXISTENCE de
l'illusion d'optique présente dans les dessins, cela CRÉANT le
POTENTIEL FABULEUX associé â ce type d'invention, les inventions
basées sur la découverte d'une illusion .d'optique étant TRÉS
RARES ! Ce qui implique que l'inventeur ~3evrait ÉCLATER DE JOIE
en apprenant LE REJET de son invention par l'expert . situation
plutot bizarre qui semble défier la logique, n'est_ce-pas ?
Dans le cas des inventions (ou des découvertes) n'impliquant PAS
d'illusions d'optiques, les rejets par legs experts semblent
indiquer l'existence d'un phénomëne CACHÉ', qui semble étre
notre Vanite Itellectuelle Inconsciente ! Ca semble avoir été
le cas avec la THÉORIE DE LA RELATIVITÉ RESTREINTE d'Einstein:
en effet, TOUS les physiciens â qui Albert Einstein a expédié
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son document ont REJETÉ la théorie (une vingtaine de physiciens).
La maladie de l'expert, la VII, l'empêche de comprendre que cet
inventeur indépendant non-expert dans scon domaine, bien que
05 doté LUI AUSSI d'un esprit d'une puissance TRÉS LIMITÉE, posséde
l'avantage d'un esprit FRAIS ET DISPOS, tandis que l'esprit de
l'expert est NOYÉ DANS LES DETAILS SUPERFTCIELS; l'inventeur est
plutot UN AVENTURIER dans la spécialité de l'expert et perçoit
le domaine d'étude DANS SA GENERALITE, ce qui lui permets de
3.0 déceler LES FAILLES DANS LA STRUCTURES :beaucoup plus facilement
que l'expert. Analogie: si un gratte-ciel de 100 étages penche
et risque de tomber â cause d'un affais<~ment du sol, une person-
ne DANS le gratte-ciel occupée â étudier la qualité du ciment
(c'est l'expert) a peu de chance de percevoir l'inclinaison du
15 building, tandis qu'une personne AU LOIrt voyant LA TOTALITÉ du
gratte-ciel peut arriver à percevoir le danger d'inclinaison
(la personne au loin est l'inventeur): L'inventeur S'ÉLOIGNE
du domaine étudié pour le voir dans SA TOTALITÉ, tandis que
l'expert se noit dans les détails A L'INTERIEUR du domaine
2ü étudië! Voici une application pratique de cela: dans le cas de
notre invention, pour RÉALISER que quelque chose de FONDAMENTA-
LEMENT ERRONÉ existe dans le cyclisme, il faut S'ELOIGNER du
cyclisme pour VISUALISER la situation dans sa généralitê, et
cela débute par l'étude du fonctionnemenit de la jambe SANS la
25 bicyclette, en observant comment les gen:; MARCHENT, COURRENT
et MONTENT LES ESCALTERS . voila ce qui :'appelle S'ÉLOIGNER
du cyclisme ! Les experts en cyclisme, quand â eux, étudient
le cyclisme AVEC Ia bicyclette en priorité, ce qui semble
logique à première vue: quel expert
pourrait bien avoir 1 idée
30 "bizarre" d'étudier le cyclisme SANS la bicyclette ?
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Pour découvrir que quelque chose ne fonctionne pas dans la
conception des bicyclettes, il faut S'ÉLOIGNER de la bicyclette
et se concentrer sur LE MOTEUR (qui est le membre inférieur) et
05 l'étudier pour CE QU'IL EST: un moteur UNIVERSEL qui sert AUSSI
â marcher, courrir et monter des escaliers; or, fait important,
seul LE PÉDALAGE implique l'emploi d'une TRANSMISSION (le péda-
lier) et NON PAS la marche, la course et les escaliers; on de-
couvre ainsi cette transmission posséde un défaut de conception
(la pédale) qui ne convient pas pour ce genre de moteur UNIVER-
SEL {le membre inférieur) et qu'il est :LMPOSSIBLE de faire cette
découverte de l'inutilité du mollet si on étudie SEULEMENT l'in-
teraction entre le membre intérieur ET 7.e vélo (à cause des
illusions d'optiques et musculaires) SArfS tenir compte des
autres aspects de l'universalité du moteur {marche, course et
escaliers).
I1 est possible que beaucoup de spécialistes en cyclismes,
surtout ceux souffrant de VII en phase terminale (!),
décident de NE PAS étudier le membre inférieur dans son
universalité pour les raisons suivantes:
2-le fonctionnement du membre inférieur ;semble tellement
ÉLÉMENTAIRE et ÉVIDENT VISUELLEMENT que, s'il y avait
encore quelque chose de FONDAMENTALEMENT important
à découvrir, cela SAUTERAIT AUX YEUX !
2S 2-comme on ne peut pas MODIFIER le membru inférieur (saut
par chirurgie !), â quoi bon l'êtudier ?
Donc, les experts étudient ce qu'ils PEUVENT modifier, soit
la bicyclette ELLE-MEME, en EXCLUANT le membre inférieur, ce
qui tends â leur faire croire que LE PÉDALIER est UN MOTEUR .
L'ILLUSION D'OPTIQUE DES PÉDALIERS {page 77) vient de naitre!
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Pour terminer cette SECTION 8, i1 y a LE DESSERT, et il est
SUCCULENT: la cerise sur le sundea !
En effet, EN PLUS de la MULTIPLICATION :pAR DEUX du rendement
05 énergitique (au minimum) que Ia platefo:rme de notre invention
produit grâce â l'élimination de l'usage du mollet, cette même
plateforme permets AUSSI d'obtenir une I?UISSANCE DOUBLES: un
vrai miracle ! On peut donc avoir une rE~ndement énergitique
doublé ET une puissance doublée '. COMMENT un tel prodige est-il
10 possible ? En utilisant activement LES DEUX phases du cycle de
pédalage ! La fig 38 symbolise la phase DESCENDANTE pour un pé-
dalier circulaire habituel: la pédale(15) est POUSSÉE VERS LE
BAS passant Du point mort du haut (HI) AU point mort du bas(LO};
c'est cette phase DESCENDANTE qui a été notre sujet depuis le
25 début de l'actuel document, et nous avons tiré la conclusion
qu'il fallait remplacer la pédale par une plateforme supportant
le talon de facon â éviter la contraction du mollet, ce qui
permets de DOUBLER le rendement énergitique. La fig 39 symbolise
1a phase ASCENDANTE du cycle, quand la pÉ~dale(15) passe DU point
20 mort du bas (LO) AU paint mort du haut (HI); cette phase peut
ètre active SEULEMENT si le bout du pied est ATTACHE â la
péda-
le, évidemment. Voir 1a fig 40; cette figure illustre la jambe
d'un cycliste dont le bout du pied (l'art:iculation des orteils
sur l'axe de la pédale) est attaché à la pédale par une cour-
25 roie(24), ce qui lui permets de TIRER Ia pédale VERS LE HAUT,
cette force propulsive S'AJOUTANT à la poussée VERS LE BAS de
l'autre jambe: les DEUX jambes servent donc â la propulsion
SIMULTANÉMENT. Pendant cette phase ASCENDANTE (fig 40), les
deux principaux muscles utilisés sont:
30 1-le JAMHIER ANTÉRIEUR schématisé par l'item (23), qui est
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le fléchisseur du pied ou, si vous préférez, le muscle qui sert
A RELEVER le bout du pied; c'est le musccle ANTAGONTSTE du mol-
let (4, fig 41): le mollet (4) et le jambier antérieur (23)
05 remplissent des rôles CONTRAIRES, le mollet servant â pousser
le bout du pied vers LE BAS et le jambier antérieur servant â
le déplacer vers LE HAUT.
2-le PSOAS-ILIAQUE symbolise par l'item (22) fig 40 est celui
qui sert â RELEVER la cuisse; c'est le muscle ANTAGONISTE des
muscles fessiers (5, fig 41): les fessiers (5) et le psoas-
iliaque(22) remplissent des rôles CONTRAIRES, les fessiers
servant â pousser la cuisse vers LE B,~S et le psoas-iliaque
servant â déplacer la cuisse vers LE 1HAUT.
Le psoas-iliaque (22) est un muscle puissant en deux portions,
25 l'une née de la face antérieure de la collons vertébrale (pa-
roi postérieure de l'abdomen), l'autre de la partie antérieure
du bassin (aile iliaque) avec tendon commun sur le fémur (l'os
de ia cuisse); une résultat INTERESSANT est le suivant:
SI on utilise le psoas-iliaque AU MAXIMUM pour
TIRER LA PEDALE VERS LE HAUT (fig 40), cela â
tendance à renforcer Ies muscles abdominaux,
donc DIMINUER LE TOUR DE TAILLE !
Toutefois, il y a une ÉNORME DIFFICULTE avec le concept clas
Bique de la fig 40, c'est-à-dire avec l'emploi d'une courroie
pour attacher le pied à la pédale et, pour bien comprendre le
probléme, il faut se rappeler nos conclusions concernant la
phase DESCENDANTE (le role INUTILE du mollet) et comprendre
que , pour la phase ASCENDANTE, le jambier antérieur (23) est
TOTALEMENT INUTILE pour AUGMENTER la traction VERS LE HAUT sur
la pédale, la TOTALITE de cette TRACTION VERS LE HAUT ne
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pouvant provenir QUE DU PSOAS ILIAQUE 1,22).
La fig 42 symbolise une jambe appuyant sur une pédale pendant
la phase DESCENDANTE, seuls les muscle:. utilisés pendant cette
05 premiére partie du cycle étant symboli:~és (le mollet 4 et les
fessiers 5); on a aussi A/B =3 (comme saur la f ig 17).
La fig 43 symbolise une jambe tirant lai pédale vers le haut
pendant la phase ASCENDANTE, grâce â la. courroie (24), seuls
les muscles utilisés pendant cette deuxième partie du cycle
étant symbolisés (le jambier antérieur 23 et le psoas-iliaque
22); on a aussi A/D =3, A étant la distance entre le point de
rotation de la cheville (1) et l'axe de la pédale, et D étant
la distance entre la cheville (1) et le point d'attache moyen
du tendon du jambier antérieur (23) sur l'os du pied.
La fig 41 est simplement une combinaison des fig 42 et 43.
CECT EST IMPORTANT:
-dans le cas de la fig 42, nous avons amplement prouvé:
i) que le mollet (4) était INUTILE pour AUGMENTER
la pression sur la pédale et, donc, dépensait
de l'énergie inutilement; nous avons résolu ce
problème de perte d'ênergie en remplaçant la
pédale par une plateforme soutenant le talon
de facon â éliminer l'usage du mollet
ii) que LA TOTALITÉ de la pression sur la pêdale ne
provient QUE DE LA CUISSE (5)
-dans le cas de la fig 43, la situation est ABSOLUMENT
SIMILAIRE, mais INVERSEE:
i) le jambier antérieur (23) est INUTILE pour AUGMENTER
la traction VERS LE HAUT sur la, pédale et, donc,
DEPENSE DE L'ENERGIE INUTILEMEIVfT.
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ii) la TOTALITÉ de la traction vers le haut sur
la pédale ne peut provenir QUE DU PSOAS-ILIAQUE (22).
Nous ne donnerons pas cette preuve dans .le cas de la fig 43
05 puisque cette '
preuve a DEJA été faite dans le document prêcé-
dent, mais INVERSEE (celle du mollet, fic_~ 42); un
peu de
reflexion va suffire à vous faire comprendre que les fig 42 et
43 représentent EXACTEMENT le même phenomene, mais INVERSÉ.
Si nous referions LA MEME demonstration INVERSÉE â partir de la
fig 43, nous parierions de L'ILLUSION D'OPTIQUE du JAMBIER
ANTERIEUR (23) au lieu de l'ILLUSION D'OP'TIQUE du MOLLET etc.
II est inutile de refaire une telle démonstration, et ce serait
trop long.
Remarquez ceci: Ie rapport des distances A/D=3 de la fig 43 est
LE MEME que le rapport des distances A/B=3 de la fig 42, ce qui
veut dire que le jambier antérieur (23) dépense INUTTLEMENT la
MOITIÉ (environ) du total de l'énergie pendant la phase ASCEN-
DANTE, tout comme le mollet (4) de Ia fig 42 dépense INUTILEMENT
la MOITIÉ (environ) du total de l'énergie ;pendant la phase DES-
CENDANTE. Dans Ie cas de la fig 42, la plateforme soutenant le
talon est LA SOLUTION pour éliminer la peri~e d'energie du
mollet. Nous allons voir plus loin UN MIRACLE se produire .
nous allons voir qu'il est possible, grâce â une LÉGERE MODIFI-
CATION apportée à notre plateforme, D'ÉLIMINER L'USAGE DU JAM-
HIER ANTERIEUR, ce qui permets de DOUBLER le rendement énergiti-
que de la phase ASCENDANTE et, en méme temps, DE DOUBLER LA
PUTSSANCE disponible car LES DEUX jambes travaillent EN M~ME
TEMPS. Avant de procéder à cette explication technique, il faut
mentionner ceci: la tension MAXIMALE que le JAMBIER ANTÉRIEUR
23
( ) peut supporter est TRES FAIBLE, compare AU MOLLET.
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Le mollet peut aisement supporter TROIS FOIS votre poids (donc
des CENTAINES de livres) tandis que le ,jambier antérieur a
BEAUCOUP DE DIFFICULTÉ â supporter une tension de 30 ou 40
05 livres; pour vous en convaincre, tentez de soulever un poids de
40 livres avec le bout du pied: TRES DII?FICILE. Une conclusion
EXTREMEMENT INTÉRESSANTE est la suivantE~:
Le PSOAS-ILIAQUE (22), le muscT_e qui sert â relever
la cuisse est TRES PUISSANT. Or, le fait que le
20 JAMBIER ANTÉRIEUR (23) ne peut supporter qu'une
tension maximale FAIBLE (disons 30 livres) apporte
UNE LIMITATION à la force MAXIMALE vers le haut que
le PSOAS-ILIAQUE peut, exercer ' En clair, l'USAGE
du jambier antérieur (dans le cas de la courroie,
15 fig 40) EMPECHE le psoas-iliaque d'étre utilisé
a
A SA PLEINE PUISSANCE, et cela , EN PLUS de la perte
inutile d'énergie crée par l'us;age du jambier anté-
rieur lui-méme !
COMPRENEZ BIEN CECI: dans le cas de la f:ig 42, si la poussée
20 vers le bas de la cuisse (5) est de 100 :livres, le mollet DOIT
supporter une tension de 300 livres et lE: mollet EST CAPABLE de
supporter une telle tension. Dans le cas de la fig 43, si le
jambier anterieur(23) peut supporter une tension MAXIMUM de
30 livres, cela LIMITE A 10 LIVRES la ter.~sion que le psoas-ili-
25 aque(22) peut exercer, ce qui est INSIGNIFIANT: le psoas-
iliaque POURRAIT exercer une tension de plusieurs centaines de
de livres s'il n'y avait pas cette limitation IMPOSÉE PAR
l'usage du jambier anterieur(23). Et c'est EXACTEMENT ce que
fera la modification de notre plateforme: ÉLIMINER L'USAGE du
30 jambier antérieur, ce qui permettra d'utiliser AU MAXIMUM le
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psoas-iïiaque. La modification â notre plateforme, que nous
expliquerons bientôt, permettra donc:
1- de DOUBLER le RENDEMENT ÉNERGITIQUE de la phase
05 ASCENDANTE, en ÉLIMINANT L'USAGE du jambier antérieur(23),
2-cette élimination de l'usage du jambier antérieur(23)
permettra d'utiliser le PSOAS-ILIAQUE (22) â sa PUISSANCE
MAXIMUM (ce qui n'était PAS LE CAS avec la courroïe de la
f ig 40 ) .
(N. B.: Fig 42: comme A/B=3, la contraction du mollet (4) DOIT
étre de TROIS FOIS la poussée vers le bras de la cuisse (5):
comme nous l'avons demontré, c'est la poussêe vers le bas de
la cuisse QUI DÉTERMINE l'intensité de :La contaction du mollet.
ET NON L'INVERSE. Dans le cas de la fig 43, la situation est
similaire, mais inversée: si la traction vers le haut exercée
par le psoas-iliaque(22) est de 10 livrfa, le jambier antérieur
DOIT supporter une tension de TROIS FOI:> ce chiffre, soit 30
livres; c'est l'intensité de la traction vers le haut exercée
par le psoas-iliaque(22) QUI DÉTERMINE T_'intensité de la tension
supportée par le jambier antérieur(23) F:T NON L'INVERSE, avec
cette différence que si LE MAXIMUM que l.e jambier antérieur
peut supporter est de 30 livres, cela LI:MiTE A 10 LIVRES la
traction vers le haut qui peut étre exerces par le psoas-ilia-
que !).
CECI EST FABULEUX:
Si on considére LA TOTALITÉ du cycle, soit la phase descendante
ET la phase ascendante, nous avons:
a) phase descendante: le RENDEMENT ÉNERGITIQUE est DOUBLÉ grace
â l'élimination de l'usage du mollet; en plus, il y a la
SÉCURITÉ que les plateformes apportent, car les pieds peuvent
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difficilement glisser; en plus, il y a l'aspect ESTHETIQUE:
FINI LES GROS MOLLETS pour les dames !
b) phase ascendante: le RENDEMENT ENERGITIQUE est DOUBLE grace
05 a L'ELIMINATION DE L'USAGE du jambier antérieur; le psoas-
iliaque peut étre utilise ä SA PLEINE PUISSANCE, ce qui
permets de REDUIRE LE TOUR DE TAILLE '.
L'usage DES DEUX jambes SIMULTANÉMENT permets de DOUBLER LA
PUISSANCE DISPONIBLE ! I1 y a donc multiplication PAR DEUX
du rendement énergitique (économie d'énergie) pour les DEUX
phases, descendante ET ascendante, PLUS une PUISSANCE DOUBLÉE !
QUI DIT MIEUX ? I1 reste â expliquer QUELLE MODIFICATION il faut
apporter â la platefarme pour ÉLIMINER :L'USAGE du jambier
antérieur (23). C'EST INCROYABLEMENT SIIKPLE !
Voir fig 44,45,46. I1 faut tout d'abord préciser que l'ARRTERE
de la plateforme (21) suit une trajectoire PREDETERMINEE dans
l'espace, cette trajectoire étant defin:ie PAR le(s) mécanismes}
(car il y a PLUSIEURS mécanismes possibles) qui soutient (nent)
l'arrière de la plateforme; il y a aussi des mécanismes ~u la
plateforme est soutenue et guidée PAR L''AVANT. Sur la fig 44,
aucun mécanisme particulier n'est illusi:ré pour simplifier le
dessin. C'est le pied DROIT qui est illustré.
Sur la plateforme (21) de la fig 44, 2 pièces ont été ajoutées:
1-un petit essieu (26) est fixé â l'horizontale sur le côté de
la plateforme, cet essieu pouvant être' enlevé par le cycliste
s'il ne veux pas utiliser la chaussure: spéciale requise. Cette
chaussure, comme le montre la figure 9'.5, dispose D'UN TROU
dans le talon(27}, l'ouverture de ce trou étant agrandie en
entonnoir pour faciliter l'insertion èle l'essieu (26) sans
avoir~â regarder (habitude quï s'acqui.ert avec la pratique}.
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Le dessin de la coupe du pied (fig 46) fait clairement
comprendre que l'axe de rotation de .la cheville (1) doit
âtre sur la méme ligne d'action que :L'axe de l'essieu (26),
05 c'est-â-dire â la verticale par rapport â la surface de la
plateforme(l'angle de 90 degres illustré); il est évident
que, dans ce cas, l'effort de contraction demande au jambier
antérieur (23) est (presque} TOTALEMENT ÉLIMINE pendant la
phase ASCENDANTE, quand le psoas-iliaique (22) TIRE la piate-
forme VERS LE HAUT ! Si on utilise cent essieu (26) en combi-
naison avec la chaussure spéciale (28.) disposant d'un trou
(27) ou l'essieu pénètre, alors, dans ce cas, ON N'A PAS BE-
SOIN de la pièce 25.
2-Cette pièce(25) peut s'enlever si le cycliste désire utiliser
seulement l'essieu (26) et la chaussure spéciale (28).
Cette pièce (25) est fixée sur le côté de la plateforme (21),
et vient recouvrir l'intersection du ;pied et de la jambe tel
qu'illustré; elle est bien rembourrée (pour le confort) et
permets de MAINTENTR la TOTALITÉ du pied EN CONTACT avec la
plateforme (21), ce qui permets D'ÉVITER la CONTRACTION du
jambier antérieur(23) pendant la phase ASCENDANTE quand le
psoas-iliaque(22) TIRE la platefarme 1;21) VERS LE HAUT. A
noter que la piéce (25) recouvre seulE:ment le côté GAUCHE
et le dessus du pied (près de la jambEa): le côté droit est
OUVERT, ce qui permets l'insertion facile du pied, sans avoir
â regarder (avec un peu de pratique}, et le pied est TOUJOURS
correctement positionné, AUTOMATIQUEMENT !
Sur terrain plat, la force MOYENNE exercée par le psoas-iliaque
est FAIBLE, pour une LONGUE randonnée (on ne veut pas s'épuiser)
ce qui permets d'utiliser ces 2 mécanismes EN TOUT CONFORT ~!!!
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DESCRIPTION DES MECANISMES.
La serie de mécanismes que nous allons maintenant décrire
sont forts différents les uns des autres, mais ils accom
05 plissent tous LES MMES FONCTTONS, soit: .
-éliminer l'usage du MOLLET (4, fig 42)
et/ou
-éliminer l'usage du JAMBIER ANTÉRIEUR. (23, fig 43), ce qui
permets l'usage MAXIMUM du PSOAS-ILIAQUE (22, fig 43).
I1 nous faut commencer par faire une mise au point: nous allons
expliquer que nos mécanismes vont IGNORER quelque chose; En
effet, nous allons IGNORER la composante HORIZONTALE de la
force sur la pédale, et tenir compte SEULEMENT de la composan-
te VERTICALE. Voir les fig 47 et 48. Dans les 2 cas, le mollet
et le jambier antérieur ne sont PAS illustrés, puisque la
TOTALITE de la pression sur la pédale n<~ peut provenir que DE
LA CUISSE. La fig 47 illustre la première partie (angle w 1)
de la phase DEScendante, quand ia pédalE: va DU point mort du
haut A la position de manivelle â l'horizontale. La force
resultante F1 sur la pédale provient de.. forces f1 et f2: la
force HORIZONTALE f1 provient de la contraction du quadriceps
(QA), et la force VERTICALE f2 provient de la contraction du
fessier (5). Idealement, SI le cycliste utilise ses muscles
1
a la perfection,
-la composante VERTICALE f2 devrait âtre de ZÉRO au
point mort du haut, et augmenter graduellement
jusqu'à atteindre une valeur MAXIMUM quand la
manivelle est ~ l'horizontale,
-la composante HORIZONTALE f1 devrait être MAXIMUM
au point mort du haut et diminuer graduellement
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jusqu'â ZERO quand la manivelle est dans la
position horizontale.
De méme, dans la deuxieme portion de l.a phase descendante
05 (l'angle U.~ 2, fig 48 ), le fessier (5) joue le méme rôle
que dans la première portion, soit de créer la force VER-
TICALE f2. Par contre, la pédale est poussée VERS L'ARRIERE(f3)
par la contraction du jarret (JA) qui est composé de 4 muscles,
soit le demi-membraneux, le demi-tendineux, le biceps crural et
le couturier; l'effet combine de f3 et f2 produit la force
résultante F2 sur la
pedale. Idéalement, SI le cyclist e
utilise ses muscles â la perfection pendant cette deuxième
portion du cycle, alors
-la force VERTICALE f2 devrait étre â sa valeur
MAXIMUM quand la manivelle est ~~ l'horizontale et
devrait diminuer graduellement d'intensité jusqu'à
étre â ZERO quand la manivelle est au point mort
du bas,
-la force HORIZONTALE f3 devrait âtre de ZERO quand
la manivelle est à I'horizontale~ et augmenter
graduellement d'intensité jusqu'à une valeur
MAXIMUM quand la manivelle est au point mort du bas.
Remarquez que TOUTES ces forces (f1, f2 et f3 qui produisent
les résultantes F1 et F2) proviennent SEiULEMENT de la CUISSE.
Notre invention NE MODIFIE PAS l'usage des muscles DE LA
CUISSE: en conséquence, nous n'avons pas besoin de nous
préoccuper de ces forces produites sur la
pédale PAR LA
CUISSE; la SEULE chose dont nous allons tenir compte dans la
description des mécanismes qui va suivre, c'est L'EFFET de
L'ELIMINATION de l'usage du MOLLET et/ou du JAMBIER
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ANTÉRIEUR (cet effet étant un effet VERTICAL surtout, car le
mollet pousse le bout du pied vers LE BAS, et le jambier
antérieur tire le bout du pied vers LE HAUT). Toutefois,
05 dans le cas du mécanisme décrivant un pédalier VERTICAL,
nous DEVRONS tenir compte des forces HORIZONTALES f2 et f3,
mais ce sera LA SEULE exception: pour tous les autres mécanis-
mes, nous ignorerons les forces HORIZONTALES f1 et f3. De
tous nos mécanismes, SEUL le mécanisme a3 déplacement VERTICAL
du pied MODIFIE l'usage des muscles MOTiâURS {de la CUISSE),
r
en ELIMINANT l'usage du jarret (JA) et du QUADRICEPS (QA)
La fig 44 â déjà permis d'expliquer deus; facons d'éliminer
l'usage du jambier antérieur {23, fig 4:,.) grave à la pièce
(26) et/ou la piece (25) qui permettent de MAINTENIR le pied
EN CONTACT avec la plateforme (21), ce q;ui fait que SEUL le
psoas-iliaque (22, fig 43) est utilisé pour tirer la plate-
forme vers le haut quand le pied remonte par l'arriére pendant
la phase ascendante du cycle.
Nous allons maintenant expliquer d'autres concepts possibles.
Veillez notez DEUX points importants. PR:EMIEREMENT, les mécanis-
mes illustrés sont LOIN D'ETRE PARAITS du point de vue
TECHNIQUE; la conception "technique" a été limitée au STRICT
MINIMUM de facon à ne pas SURcharger les dessins inutilement de
détails inutiles: voyez plutôt ces mecanismes comme étant des
illustrations de PRINCIPES GÉNÉRAUX (les conceptions TECHNIQUES
pour un PRINCIPE donné pouvant varier presque à l'infini).
DEUXIEMEMENT, un point FONDAMENTAL: l'importance de l'actuel
document NE PROVIENT PAS de ces mécanismes; la PIERRE ANGULAIRE
qui soutient ce document, ce sont LES PREUVES (expérimentales
et théoriques) que LA CONTRACTION DU MOLLET NE PEUT PAS AUGMEN-
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nos
TER LA PRESSION SUR LA PÉDALE et, inversement, que LA CONTRAC-
TION DU JAMBIER ANTÉRIEUR NE PEUT PAS AUGMENTER LA TRACTION VERS
LE HAUT SUR LA PÉDALE (avec le bout du pied attaché par une
05 courroie â la pédale), pendant les pha:>es DEScendante et AScen-
dantes du cycle de pédalage. C'EST CELA l'essentiel de l'actuel
document, et NON PAS les mécanismes; lea mécanismes permettent
seulement D'UTILISER EFFICACEMENT cette DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE
(L'INUTILITE du MOLLET et du JAMBIER AN'TERIEUR quand on emploie
des pédales); si quelqu'un NE CONNAIT PAS cette DECOUVERTE
SCIENTIFIQUE, alors, à ses yeux, ces mécanismes SEMBLENT INUTI-
LES ! C'est cette découverte scientifique qui DONNE UNE VALEUR
prouvee scientifiquement AUX mécanismes, ET NON L'INVERSE: les
mécanismes décrits ont une grande valeur économique uniquement
ä CAUSE DE cette découverte scientifique sur L'INUTILITÉ du
MOLLET et du JAMBIER ANTÉRIEUR (dans l'utilisation de pédales).
Voici ces autres concepts généraux possibles.
La fig 49 illustre un appareil simple ç~ui permets d'éliminer
l'usage du jambier anterieur (23, fig 40) quand le psoas-ilia-
que (22, fig 40) tire la pédale vers le haut, grâce a la cour-
roie (24, fig 40) qui attache le bout du pied a la pedale.
Voir la fig 49; cet appareil est constitue d'une corde NON ex-
tensible (évidemment) (29} dont une extrémité est fixée a un
anneau (30) qui est fixé sur le dessus d.e la chaussure à
l'avant, cette corde (29) se séparant en deux parties dont
l'extrémité va se fixer à deux autres anneaux (30) qui sont
situés de chaque côté du genou sur l'articulation; de ces deux
anneaux partent 3 laniëres de cuir, deux d'entres elles (31,32)
se placant sur le dessus du genou et la troisiéme (33} derriére
le genou comme le montre la fig 49 ; il est évident que, quand
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Ia cuisse tire la pédale vers le haut, c'est CETTE CORDE (29)
qui SUPPORTE LA TENSION au lieu du JAMBIER ANTERIEUR, d'ou
l'économie d'énergie.
05 La fig 50 illustre le méme appareil avE~c la différence que le
bas de la corde (29) est attaché par un anneau (30) A L'ARRIERE
de Ia chaussure; le but évident est que' cette corde(29) permets
de supporter la tension qui devrait normallement étre supportée
par le mollet: LA CORDE REMPLACE LE MOLLET, d'ou
ï0 l'économie d'énergie.
I1 va de soi que l'utilisation de cet appareil nécessiterait
l'emploi d'une chaussure spéciale sur laquelle l'anneau (30)
est solidement fixé â l'avant et/ou à l'arriére de la chaussure.
On peut égaiement douter de la valeur commerciale d'un tel
15 appareil, les gens le trouvant plutôt encombrant ! Ici, cet
exemple d'appareil simple à plutôt été donné simplement poux
faire comprendre qu'il est POSSIBLE (théoriquement) de diminuer
CONSIDÉRABLEMENT la consommation d'énergie simplement AVEC UN
BOUT DE CORDE ! (La fig 51 illustre l'appareil isolé).
20 Le prochain concept (fig 53 ) ressemble à une sorte de "botte
de plâtre" du genre que l'on utilise pour que nos fractures
aient le temps de se réparer (et que tous s'empressent de
signer!). Ce concept est donc une botte TRES RIGIDE, en deux
parties (34 et 35) reliées par des joinits de rotation (36) et
25 qui permets, en se refermant sur le pied et le bas de la jambe
(fig 52 ), de "souder" la cheville (1) :~i bien que cette der-
niera ne peut plus remplir son rôle, c'esst-à-dire qu'il n'est
plus possible DE BOUGER le pied; il est évident que cette
"bottine" permets {en théorie) d'éviter la contraction du mol-
30 let pendant la phase DEScendante et permets aussi d'eviter la
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contraction du jambier antérieur pendant la phase AScendante si
une courroie (24) est utilisée. Evidemm,ent, on peut douter du
potentiel commercial d'une telle bottine, tout comme dans le
05 cas de notre appareil "bout de corde" décrit auparavant ! Le
but visé par la description de cette bottine est simplement de
faire comprendre qu'il est POSSIBLE (du moins en théorie} de
diminuer CONSIDERABLEMENT la consommation d'énergie (et doubler
la puissance disponible en utilisant le;s deux jambes en méme
la temps) au moyen de concepts TRES SIMPLES (bien qu'encombrant),
comme un "bout de corde" et une bottine rigide !
Voir la fig 54; on pourrait penser qu'i7_ est possible d'éviter
la contraction du mollet (4) en placant le pied sur la pédale
(15) de telle facon que l'articulation de Ia cheville (1) soit
15 exactement AU DESSUS (â la distance +di) de l'axe de la pédale
(15) (l'angle de 90° }; le problëme ici, c'est que cette posi-
tion du pied est vite douloureuse (l'arche du pied est trés
sensible) et, SURTOUT, c'est une position d'equilibre INSTABLE!
En effet, si vous n'utilisez PAS DU TOUT votre mollet (4) ni
20 votre jambier anterieur (23), il suffit que la cheville (1} se
déplace UN PEU à gauche de l'axe de la pédale (I5) pour que
le bout du pied se dirige droit vers le ;sol, l'angle de 90~
n'etant plus maintenu, ce qui vous obliges à contracter le
jambier antérieur (23) pour redresser le pied; il en va de méme
25 si 1a cheville se déplace UN PEU â droite: de l'axe pédale (15):
le talon pique vers le sol, ce qui vous oblige â contracter le
mollet (4) pour redresser le pied. C'est L'EXISTENCE de la
distance(+di) qui CAUSE le probleme d'équilibre INSTABLE, cette
distance(+di) étant la distance verticale: entre l'axe cheville
30 (1) et l'axe pédale (15); Ie signe + devant le symbole di (+di)
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signifie simplement que l'axe cheville (1) est AU DESSUS de
l'axe pédale (15}, et c'est précisement: cela qui CAUSE l'équi-
libre INSTABLE. Est-il possible, pour la phase DEScendante,
05 d'éliminer ces deux problémes, c'est-â-dire
1-NE PAS utiliser l'arche du pied (comme dans le cas
de la fig 54 ), ce qu'il est DOULOUREUX de faire,
2-obtenir un équilibre STABLE {+di égale â ZERO)?
La réponse est OUI. En ce qui concerne le probleme no 1, il
suffit simplement d'utiliser une plateforme(21) qui supporte
TOUT le pied, comme le montre la fig 55. Pour le problerne no 2,
il est possible d'obtenir un équilibre :STABLE en positionnant
la piateforme (21} de telle facon que:
a) l'axe de rotation de la cheville (1} se situe exactement
EN DESSOUS de l'axe de rotation (T_5, là oû était la péda-
le, avant qu'on la remplace par la plateforme); ici, la
distance di est NÉGATIVE (-di), cep qui permets un
équilibre STABLE (mais SEULEMENT pour la phas e
DEScendante, quand la cuisse pousse VERS LE BAS): c'est
Ie fait que la cheville (1} se situe EN DESSOUS de l'axe
de rotation (15) qui DONNE l'équilibre STABLE (comparé a
la situation de la fig 54 qui etait INSTABLE-car la
distance di était positive (+di)).
b) LE POIDS de la plateforme situé A GAUCHE du point(15}
devrait être le méme que LE POIDS ,de la plateforme
situe A DROITE du point (15}, de f;~con à ce que la plate-
forme puisse SE MAINTENIR â 1'hori:,ontale a vide, par
gravite.
Evidemment, dans cette conception, la plateforme N'EST PAS
guideé dans l'espace: elle peut tourner I;IBREMENT autour de
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l'axe de rotation(15) et est maintenue en place par gravité;
la plateforme est retenue par I'arriére par la pièce (37} et
par l'avant par la pièce (38); les piéces 37 et 38 sont solidai-
05 res de la plateforme (21) et se rejoignent au point de
rotation (15). I1 est difficile de dire pour l'instant si un
tel déplacement LIBRE de la plateforme est avantageux ou non:
seule l'expérimentation pourrait répondre â la question. Aussi,
avec un tel concept, on serait en droit de se poser certaines
questions comme par exemple "y a t-il danger que le bout du
pied heurte le sol ?°' (on pourrait régl~ar ce probiéme en
concevant une bicyclette avec un pédali~ar SURélevé, ou en uti-
lisant des manivelles plus courtes) ou encore "ce concept
permets-il d'éliminer TOTALEMENT la coni~raction du mollet, ou
seulement PARTIELLEMENT?". Mais une chose est certaine: ce
concept, TEL QU'ILLUSTRE PAR LA FIG 55 , ne PERMETS PAS
d'utiliser efficacement la phase AScendante (quand le pied
remonte par l'arri.ère, en utilisant la pièce 26 de la fig 44
et en utilisant une chaussure spéciale (28) avec un trou (27)
dans le talon -fig 45}; en effet, un peu. de réflexion suffit
pour comprendre que, en phase AScendante, il y a équilibre
INSTABLE si la piece (26) situé dans le trou (27) de la
chaussure (fig 55 ) se situe SOUS l'axe de rotation (15)
quand le psoas-iliaque tire la cuisse VERS LE HAUT; pour avoir
un équilibre STABLE pendant la phase Ascendante, il faudrait
que l'axe (26) se situe AU DESSUS de l'a:xe (15) quand la cuis-
se tire vers le haut.
Le prochain concept est simplement une A3KELIORATION du mécanis-
me que nous venons de decrire (fig 55 ): cette amélioration
permets d'utiliser efficacement la phase Ascendante, en élimi-
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nant l'usage du jambier anterieur, ce Gui permets d'utiliser Ie
psoas-iliaque â son plein potentiel.
Les fig 56 a 60 illustrent le même meca.nisme, Ia fig 56 pendant
05 la phase AScendante et Ia fig 59 pendant la phase DEScendante.
Fig 56 . la piéce triangulaire (37,38) est fixèé sur le côté de
la plateforme (21); au sommet de ce triangle est fixée une tige
en forme de L(40), la partie verticale de cette piéce en L cou-
lissant â l'interieur d'un ressort à faible compression(41) et
la partie horizontale de cette pièce en L s'introduisant dans
dans le trou (27) du talon de la chaussure (voir fig 44; 45).
La partie verticale de la pièce 40 coulisse â l'interieur du
trou de la piéce (39) qui est fixée au bout de la manivelle
la oû était la pédale qu'on a enlevée (15) (la fig 58 montre
la piéce 39 isolée). Le fonctionnement .est élémentaire:
-pendant la phase ASCENDANTE (fig 56 ), le ressort N'EST PAS
comprimé de telle sorte que l'axe de l.a portion horizontale
de la piéce (40) COòNCIDE EXACTEMENT avec l'axe de rotation
du bout de la manivelle (15) dans lequel est inséré l'axe de
la pièce(39); il y a donc équilibre STABLE et le psoas-iliaque
(qui tire la cuisse vers le haut) peut étre utilisé à son
plein potentiel puisque l'équiïibre STABLE ainsi obtenu
permets l'élimination de l'usage du jannbier antérieur (si
l'axe horizontal de la piéce 40 était :situe SOUS l'axe de
l'ex-pédale l5, l'équilibre serait INSt:able, ce qui nécessite-
rait une certaine contraction du jambiE:r antérieur et/ou du
mollet pour garder le pied dans la position requise car Ia
traction vers ïe haut par le psoas-iliaque aurait tendance â
DEPLACER l'axe de 40 à gauche ou à droite de l'axe 15, â cause
de l'équilibre INStable);
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-pendant la phase DEScendante (fig 59 ;), le ressort (41) se
comprime totalement (étant de f cible résistance) aussitôt
que 1a cuisse commence ~ pousser vers le bas. Voir la fig 60:
05 an voit clairement que l'axe de rotation DE LA CHEVILLE (1)
se situe SOUS l'axe de rotation du bout de la manivelle (15),
ce qui donne un équilibre STABLE pour cette phase DEScendante,
.,-
ce qui permets D'ELIMINER L'USAGE DU MOLLET car l'axe de ia
cheville (1) est TOUJOURS maintenu exactement SOUS l'axe (15)
PAR la pression vers le bas ELLE-MEME (si l'axe de la cheville
(1) était AU-DESSUS de l'axe (15) pendant la phase DEScendante,
alors la poussée VERS LE BAS de la cuisse aurait tendance â
faire dévier l'axe (1) â gauche ou â droite de ï'axe (15), ce
qui nécessiterait une contraction du jambier antérieur ou du
mollet pour ramener le pied â la position requise, comme cela
a été clairment expliqué par la fig 54;1.
Le mécanisme que nous venons de décrire explique seulement un
i r
concept GENERAL, la technique illustrée étant plus qu'élémen
taire. Notre intention ici est d'illustrer des concepts de na
tore GENERALE et de garder la TECHNIQUE â sa plus simple expres
sion, de f acon â ne pas compliquer inutilement les dessins (com-
me vous le savez, la technique ELLE-MÉME peut-etre améliorée
presque Ä L'INFINI, pour un concept général donné: mieux vaut
s'en tenir aux PRINCIPES et oublier la TECHNIQUE ').
Le prochain concept implique un déplacement VERTICAL
du pied, c'est-â-dire que le pied descends â la verti-
cale et suit EXACTEMENT LA MÉME trajectoire pour remonter,
contrairement au pédalier circulaire habituel ou la trajectoire
de remontée du pied par l'arriére (la phase Ascendante) n'est
evidemment PAS LA MEME que la trajectoire de descente par l'a-
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vant (la phase DEScendante). Encore unes fois, la TECHNIQUE va
étre limitée â sa plus simple expression.
IMPORTANT: nous vous demandons un effort special de concentra-
05 tion sur ce qui va suivre car cette discussion du pedalier
VERTICAL (versus le CIRCULAIRE habituel) est peut être UNE
clé fondamentale qui va permettre de CHOISIR le concept final
qui sera commercialisé.
Dans l'explication qui va suivre, nous .allons considerer que
a) l'usage DU MOLLET a été ÉLIMINÉ grâce â l'emploi d'une
PLATEFORME au lieu d'une PÉDALE,
b) que l'usage DU JAMBLER ANTERIEUR a été ÉLIMINÉ grâce au
concept de la fig 44, par l'emploi d~ss pieces 25 et/ou 26,
ce qui permets d'utiliser le PSOAS-I3~IAQUE (le muscle qui
reléve la cuisse) â sa pleine puissance.
Donc, nous supposerons que les DEUX phas es du cycle de pédala-
ge, soit la phase DEScendante et AScendante, sont utilisées
efficacement dans l'explication qui va suivre; nous n'aurons
plus â nous préoccuper du MOLLET ou du ,:TAMBIER ANTERIEUR car
notre discussion va porter UNIQUEMENT sur les muscles MOTEURS,
soit ceux DE LA CUISSE (il y en a plusieurs, mais nous allons
nous preoccuper des 4 principaux, soit Le FESSIER, le QUADRI-
CEPS le JARRET et le PSOAS-ILIAQUE).
La fig 61 illustre les 4 muscles moteurs. de la cuisse que nous
allons étudier, sait le FESSIER (5) qui sert â pousser la cuis-
se VERS LE BAS, le PSOAS-TLIAQUE (22) qu~,e l'on voit partielle-
ment seulement et qui sert â RELEVER la cuisse (voir la fig 40
pour une meilleure vision du psoas-iliaque, qui est en deux
parties), le QUADRICEPS (QA) qui pousse le pied vers L'AVANT
(donc un extenseur de la jambe). et le JARRET (JA) qui pousse
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i,
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le pied vers L'ARRIERE (donc un fléchisseur de la jambe). La
fig 62 est un agrandissement du genou, et la fig 63 explique
visuellement comment le quadriceps, en se contractant, fait
05 TOURNER l'os de la jambe (11} autour ds; l'articulation du
genou (13), ce qui pousse le pied vers l'avant, et comment
le jarret fait la méme chose mais vers l'arriére.
Pour SIMPLIFIER les choses, comme ON IGNORE le mollet
et le jambier antérieur, ces muscles ne sont PAS illustrés
20 sur ie 4 figures 64, 65, 66 et 67, et LE PIED n'a plus
besoin d'être illustré: sur ces 4 figures, nous considérerons
donc que la cheville (1) coincïde avec l'axe de rotation de
la pédale (25)(lâ oû elle se trouvait avant d'étre enlevée).
(Ici, on a un probléme de vocabulaire: :Le mot PÉDALIER implique
15 l'utilisation de PÉDALES, par définition; or, nous n'avons pas
encore baptisé cette "chose" consistant en une PLATEFORME
se déplacent en cercle au bout d'une manivelle (le mot PLATE-
FORMIER est ridicule); donc, faute de mieux, nous emploierons
le mot PEDALTER pour le désigner, même si les pédales ont ete
20 enlevées pour faire place â des plateformes).
Ce que l'on va étudier ici,, c'est L'EFFET sur L'UTILISATION
des muscles MOTEURS de la CUISSE {fessier, quadriceps, jarret,
et psoas-iliaque) d'une MODIFICATION de la TRAJECTOIRE suivie
par la cheville, en passant d'une trajectoire CTRCULAIRE (le
25 pédalier habituel) â une trajectoire VERTICALE (le nouveau
concept technique que nous allons introduire}. Pour cela,
nous allons tenir compte d'une CARACTERI;STIQUE TMPORTANTE
propres aux muscles, soit de DEPENSER de l'énergie même si
cette dépense d'énergie ne s'accompagne IPAS d'un TRAVAIL
30 mécanique effectivement PRODUIT, soit un DÉPLACEMENT dans LA
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tt5
DIRECTION de cette force (un TRAVAIL au sens Newtonnien est
le produit d'une FORCE par un DÉPLACEMENT dans la direction
de cette force); par exemple, si vous appuyez trés fort sur le
05 dessus d'une table avec votre main, il y a production de
CHALEUR (vos muscles s'échauffent ainsi que le dessus de la
table), mais il n'y a pas de TRAVATL mécanique produit car
la table ne bauge pas. Ce qui nous intéresse en priorité,
c'est que la bicyclette AVANCE, ce qui implique que le pédalier
doit TOURNER; donc, POUR NOUS, toute dépense d'énergie muscu-
laine qui n'est pas accompagnée d'un DÉPLACEMENT de la mani-
velle est une PERTE PURE d'énergie. Donc, si en étudiant les
4 figures 64, 65, 66 et 67 , on découvre des situations oû
certains muscles dépensent de l'énergie SANS PRODUIRE DE DEPLA-
CEMENT, et si on peut ÉLIMINER ces situations en passant d'une
trajectoire CIRCULAIRE â une trajectoire VERTTCALE, alors on
AUGMENTE le RENDEMENT ENERGITIQUE du moteur; et cela est parfai-
terrent en accord avec la LOT UNIVERSELL7E DES PÉDALIERS (section
7, chapitre 8) qui stipule (entre autres choses) "...qu'une
MODIFICATION à un pédalier-ici, c'est le passage DE circulaire
ä vertical-pour apporter une RÉELLE amélioration, doit MODIFIER
L'USAGE des muscles du MOTEUR.... en AUGMENTANT le RENDEMENT
ÉNERGITIQUE des muscles D~JA utilisés..,."
Sur les 4 figures 64 , 65, 66 et 67 , SEULS les muscles qui
sont EFFECTIVEMENT utilisés sont schémai:ises, pour CHACUNE
des 4 portions (de 90 degrés chacune) du cycle complet (ici,
rappelez-vous que nous utilisons des plateformes AVEC les
pièces 25 et/ou 26 de la fig 44, ce qui permets d 'éliminer
l'usage du molet et du jambier antêrieur et rendre efficace
le cycle complet, phase Ascendante INCLI:ISE).
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La fig 64 illustre le premier 90 degres du cycle, quand l'axe
15 (lâ où la pédale était auparavant) passe du point mort du
haut jusqu'a la position horizontale de: la manivelle. Le QUA-
05 DRIGEPS (QA), en se contractant, fait tourner l'os de la jambe
(11) autour de l'articulation du genou (13), ce qui pousse le
le pied vers l'avant et produit la force; HORIZONTALE f1. En
meure temps, le FESSIER (5), en se contractant, pousse l'os de
la cuisse (6) vers le bas, ce qui produit la force VERTICALE f2.
La force F1 est la force RÉSULTANTE (des composantes f l et f2).
S.V.P. PORTEZ UNE ATTENTION SPECIALE ä CE QUI VA SUTVRE:
Etudions attentivement ce premier angle de 90 degres et considé-
rons la position DE D~PART , soit la manivelle en position
VERTICALE au point mort du haut: dans cette position, la force
VERTICALE f2, SI ELLE EST PRODUITE, n'est D'AUCUNE UTILITE car
sa ligne d'action passe par le centre du pédalier: cette force
ne peut produire aucun effet de levier; donc, IDÉALEMENT, au
POINT MORT DU HAUT, le cycliste NE DEVRACT PAS tenter d'appuyer
vers le bas avec le FESSIER(5) car ce serait de l'énergie dépen-
sée inutilement puisque la force f2 qui E:n résulterait ne pour-
rait pas produire de DEPLACEMENT. Donc, toujours IDÉALEMENT,
c'est--à-dire dans le cas d'un cycliste ayant le PARFAIT contrôle
de sa musculature, ce cycliste DEVRAIT faire passer la force
de contraction du FESSIER (5) d'une valeur Z~RO au point mort
du haut jusqu'a une valeur MAXIMUM quand. la manivelle est â
l'horizontale: donc, augmentation GRADUELLE de la force de
contraction du fessier (5) â mesure que le pied descends, en
partant de ZERO au point mort du haut. Toujour IDÉALEMENT, le
cycliste parfait DEVRAIT contracter le QUADRICEPS (QA) au
MAXIMUM quand la manivelle est VERTICALE (au point de départ)
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car, dans cette position, l'effet de levier du QUADRICEPS est
MAXIMUM car la ligne d'action de la force HORIZONTALE f1 (pro-
duite par le quadriceps) est PERPENDICU:GAIRE â la manivelle, ce
05 qui produit un DÉPLACEMENT de cette derniére et, donc, l'énergie
de contraction du quadriceps est UTILE. Donc, IDÉALEMENT, la
force de contraction du QUADRICEPS devrait être â son MAXIMUM
au point mort du haut et DTMINUER GRADUELLEMENT à mesure que le
pied descends jusqu'â une valeur de ZERO quand la manivelle est
â l'horizontale. Pour résumer, IDEALEMEPtT:
a) le FESSIER (5) devrait avoir une force de contraction
de ZÉRO au point mort du haut (manivelle verticale) et
atteindre GRADUELLEMENT une valeur MAXIMUM quand la
manivelle est horizontale;
b) le QUADRICEPS(QA), pendant ce temps, devrait faire
LE CONTRAIRE de ce que fait le FESSIER, c'est-â-dire
avoir une force de contraction MAXIMUM au point mort
du haut (manivelle verticale) et diminuer GRADUELLEMENT
d'intensité pour atteindre la valeur ZÉRO quand la
manivelle est horizontale.
Ces deux situations IDÉALES sont représentées par les fig 68
et 69, oû SEULS les muscles qui DEVRAIENT ~étre utilisés sont
schématisés. Cela c'est L°IDEAL, la PERFIECTION, en supposant
que le cycliste CONTRÖLE PARFAITEMENT l'usage des muscles de
son corps ! Pour cela, il faudrait que l'esprit du cycliste
soit CAPABLE, au point mort du haut, de commander au fessier
de NE PAS se contracter, et, EN MÉME TEM~'S, commander au
quadriceps de se contracter au maximum; Elnsuite, l'esprit du
cycliste devrait commander au quadriceps de DIMINUER graduelle-
ment sa contraction â mesure que le pieds: descends et, EN MEME
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TEMPS, commander au fessier D'AUGMENTE;R graduellement sa
contraction â mesure que le pied descends. L'ESPRIT HUMAIN EST
INCAPABLE D'ACCOMPLIR UN TEL PRODIGE . il faudrait remplacer
Q5 l'esprit humain par un ordinateur !
La conclusion PRATIQUE est la suivante:
i) les gens (même les coureurs, mais dans une moindre
mesure) POUSSENT VERS LE BAS avec LE FESSIER quand
la manivelle est au point mort du haut {ä LA VERTI-
CALE), ce qui représente UNE DEPENSE INUTILE
D'ÉNERGIE car cela ne produit aucun DÉPLACEMENT
de la manivelle (aucun TRAVAIL mécanique),
ii) de méme, quand la manivelle est ä L'HORIZONTALE,
les gens (même les coureurs, mais d'une fanon
moins accentuée) CONTINUENT de pousser le pied
VERS L'AVANT en contractant :Le QUADRICEPS: cela
est aussi une PURE PERTE D'ÉNERGIE car cela ne
r
produit aucun DÉPLACEMENT de la manivelle.
VOILA LA RÉALITÉ. Or, la bonne nouvelle,, c'est que le concept
simple de pédalier à déplacement VERTICAL, qui va étre expli-
qué bientôt, ÉLIMINE ces pertes d'énerg~.e '
La fig 65 illustre les muscles utilise:c pendant le 2ieme
angle de 90 degres (~u 2) quand la manivelle passe DE la
position horizontale ä la verticale, au point mort du bas.
Le fessier (5), en se contractant, produit la force VERTI-
CALE f2 , et le jarret (JA), en se contractant produit la
force HORIZONTALE f3 dirigée vers l'arriére. IDÉALEMENT, si
notre cycliste a le contrôle parfait de ses muscles:
a) f2 (produite par le fessier 5) devrait étre MAXIMUM
quand la manivelle est horizontale, et devrait
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diminuer graduellement d'intensité jusqu'a la
ZÉRO au point mort du bas,
b) inversement, f3 (produite par le jarret JA) devrait
06 âtre de ZÉRO quand 1a manivelle est horizontale et
augmenter graduellement d'intensité jusqu'a un
MAXIMUM au point mort du bas.
Cet IDEAL est représenté par les fig 69 et 70.
Ca, c'est L'IDÉAL; en réalité, les cyclistes continuent
de contracter le jarret quand la manivelle est horizontale
et continuent de pousser vers le bas avE~c le fessier quand
la manivelle est au point mort du bas: cela, c'est uns
dépense INUTILE d'énergie car cela ne produit PAS de DÉPLA-
CEMENT de la manivelle ! Le pédalier VEF;TICAL élimine cette
l5 perte d'Lnergie !
La fig 66 illustre le 3ième angle de 90 degres ( w 3}. Ici,
c'est le PSOAS-ILIAQUE{22) qui produit la force VERTICALE f4
dirigée VERS LE HAUT, et le jarret (JA) produit la force
HORIZONTALE f3 dirigée vers l'arriére, la force F3 étant la
r
RESULTANTE des deux composantes f3 et f4. IDEALEMENT,
a) f4 DEVRAIT passer de ZÉRO au point mort du bas
à une valeur MAXIMUM quand la manivelle est
horizontale, et
b) f3 DEVRAIT, idéalement, passer d'une valeur
26 MAXIMUM au point du bas ~â une valeur de ZÉRO
quand la manivelle est horizontale.
Cet IDÉAL est représenté par les fig 70 est 72.
Ca, c'est L'IDÉAL, et vous savez, bien sur, que ce n'est PAS
de cette facon que les cyclistes utilisent leurs muscles dans
la réalité, ce qui occasionne une dépense INUTILE d'énergie.
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i,
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Enfin, la fig 67 iiuustre le 4ième angle de 90 degres (u=4).
La force f4 dirigêe vers le haut est produite par le psoas-
iliaque(22) et la force horizontale fl, dirigée vers l'avant,
05 est produite par le quadriceps {QA). IDEALEMENT toujours,
a) f4 devrait être MAXIMUM quand la manivelle est
horizontale, et devrait diminuer graduellement
jusqu'a ZÉRO au point mort du haut, et
b) f1 devrait être de ZÉRO quand la manivelle est
horizontale et atteindre une valeur MAXIMUM au
point mort du haut.
Les fig 71 et 68 représentent cet IDEAL dans l'usage
des muscles, cet idêal étant évidemment IMPOSSIBLE
â atteindre (du moins pour un pédalier t:IRCULAIRE) ! Cet
IDÉAL, pour un pédalier circulaire, se résume ainsï:
-fig 68 {point mort du haut): seul le quadriceps (QA) est
utilisé (en ajoutant les autres muscles qui POUSSENT LE
PIED VERS L'AVANT, s'il y en a ) pour produire la force f1;
dans un tel cas, il faudrait que le pied soit ATTACHÉ â la
pédale par une courroie ou autre chose, ce que le cycliste
de tous les jours n'aime pas car ca peut étre encombrant
et dangereux: ii faut en effet pouvoir poser le pied par
terre RAPIDEMENT en cas d'arrét brusque et le REpositionne-
ment du pied pour repartir {sans regarder) est difficile.
-fig 69 (manivelle â l'horizontale vers :l'avant): seul le
fessier (5) est utilise (en ajoutant le:, autres muscles qui
poussent la cuisse VERS LE BAS, s'il y Ean a) pour produire
la force f2;
-fig 70 (point mort du bas): seul le jarret (JA) est utilisé
(en ajoutant les autres muscles qui poussent le pied VERS
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L'ARRIERE, s'il y en a} pour produire la force f3; cela
implique que le pied doit étre attaché â ia pédale d'une
quelcanque f aon, avec les inconvenients que cela comporte.
05 -fig 71 (manivelle â l'horizontale vers l'arriére}: seuï le
muscle psoas-iliaque (22) est utilisé (en ajoutant les
autres muscles servant ä RELEVER LA CUISSE, s'il y en a)
pour produire la force f4. Il faut évidemment que le pied
soit attaché â la pédale.
Ces 4 figures reprêsentent donc UN IDÉAL â atteindre dans
l'utilisation des muscles, ce qui est irnpossible car aucun
cycliste n'est capable d'un tel prodige de contrôle musculaire.
Encore une fois, les cyclistes n'utilisent PAS leurs muscles
selon L'IDEAL expliqué, ce qui occasionne d'énormes pertes
d'énergie (car aucun DÉPLACEMENT n'est produit), cela étant
une caractéristique fondamentale des MUfiCLES, soit de dépenser
parfois de l'énergie SANS produire de DÉPLACEMENT MECANIQUE, ce
qui n'est D'AUCUNE UTILITÉ pour faire AVANCER le vélo ! Notre
pédalier VERTICAL va ELIMINER ces perte~~ d'énergie, ce qui
produira une AUGMENTATION du rendement é~nergitique de
l'ensemble DU MOTEUR (la cuisse SEULEMENT), cela S'AJOUTANT
aux économies d'énergie DEJA réalisées grâce â l'élimination
des muscles ne faisant PAS partie du MOTEUR, soit le MOLLET
et le JAMBIER ANTÉRIEUR par l'usage de PLATEFORMES (au lieu
de pédales) et du concept de la fig 44 (les piëces 25 et 26)
qui permets d'utiliser le psoas-iliaque a sa pleine puissance,
d'oû une PUISSANCE potentielle DOUBLÉE, les DEUX jambes étant
utilisées SIMULTANEMENT (phase DEScendante ET AScendante)!
Avant de décrire notre mécanisme â déplacement VERTICAL, il
faut d'abord discuter de la notion de DEGRÉ DE LEVIER.
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Voir les fig h z~ , L~G ,rt C~ et r1 1 ; le degré de levier du FESSIER
(5, fig(~~ ) est de 3, celui du PSOAS-ILIAQUE {22, fig'~t ) est
aussi de 3, celui du QUADRICEPS (QA, fig ~~) est de 15 et celui
05 du JARRET (JA, fig~'io) est aussi de 15 (les chiffres 3 et 15
ne représentent qu'une ESTIMATION VISUELLE APPROXIMATIVE, mais
le fait demeure que le degré de levier de QA et de JA est
BEAUCOUP plus grand que le degré de levier du fessier et du
psoas-iliaque). Fig fc~j: la fléche F5 représente à la fois
20 L'INTENSITÉ et la DIRECTION de 1a force de contraction du
fessier (5); cette force F5 a deux composantes:
-la force HORIZONTALE (fh) qui est une force de compression
de la hanche,
-la force VERTICALE (f2) qui sert â appuyer sur la pédale:
15 VISUELLEMENT, cette force est d'environ UN TIERS de
l'intensite de F5; on dit dont que le i)EGRÉ DE LEVIER
du fessier (5) est de 3; autrement dit, pour OBTENIR
une force f2 de 1 livre, il faut que F5 soit de 3 livres.
Fig ''j~ : par un raisonnement similaire, on dit que le DEGRÉ
20 DE LEVIER du psoas-iliaque (22) est aussi de 3.
Fig (~g . le quadriceps (QA), en se contractant, fait tourner
l'os de la jambe (12) autour du point de rotation du genou (13),
ce qui crée la force de poussée vers l'avant du pied {f1);
comme le rapport des distances D11/dq est de 25 environ, la
25 force de contraction du quadriceps (fq) doit être de 15 FOIS
la force f1 que l'on désire obtenir: si on veut obtenir une
intensïte de f1 de 2 livres, il faut que fq soit de 15 livres;
on dit que le DEGRÉ DE LEVIER du quadriceps est de 15 environ.
Fig ""jp: par un raisonnement similaire, ~on dit que le DEGRÉ
30 DE LEVIER du jarret (JA) est aussi de 15 car le rapport des
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distances D11/dj est aussi de 15.
Vair les fig (o ~Z , 'l O°
-D11 est la distance entre le point de rotation de la cheville
05 (1) et le point de rotation du genou (1;3),
-dq est la distance entre le point (13) et le point d'attache
{Q) du tendon du quadriceps (QA) sur le: genou,
-dj est la distance entre le point (13) et le point d'attache
(J) du tendon du jarret (JA) sur l'os de la jambe.
CECI EST IMPORTANT: l'expérimentation a démontré que l'énergie
TOTALE depensée par un muscle est composé de DEUX portions:
a) une portion qui dépends de LA TENSION' supportée par le
muscle, sans tenir compte du degré de contraction du
muscle (son raccourcissement),
b) une portion qui depends du RACOURCISSEMENT du muscle,
c'est-â-dire du degré de TRAVAIL MÉCA:KIQUE (déplacement)
qu'il produit.
La portion a) est DE LOIN la plus importante; â toute fin
pratique, on peut dire que la quantité d'énergie dépensée
par un muscle est proportionnelle à LA TENSION qu'il supporte,
peu importe son degré de racourcissement (le déplacement);
et un peu de raisonnement va vous faire aisément comprendre
ceci: si on a une certaine quantité d'énergie a dépenser,
mieux vaut MAXIMISER l'usage des muscles ayant un faible
DEGRÉ DE LEVIER (le fessier (5) et le psoas-iliaque (22) qui
un degre de levier de TROTS), et MINIMISER l'usage des muscles
qui ont un fort DEGRÉ DE LEVIER (le quadriceps(QA) et le jarret
{JA) qui ont un degré de levier de 15). Ce faisant, on augmente
le RENDEMENT ENERGITIQUE du moteur! Le pédalier VERTICAL permets
de faire cela en MINIMISANT l'usage du jarret et du quadriceps,
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cette économie d'énergie S'AJOUTANT â celle expliqueé auparavant.
Voici ce en quoi consiste ce pédalier â. déplacement VERTICAL.
Le concept que nous allons expliquer est un des plus simples
05 que l'on puisse imaginer et, encore une fois, le but visé ici
n'est pas d'avoir LA TECHNIQUE parfaite (qui peut en soi étre
améliorée â l'infini), mais seulement d'expliquer qu'il est
POSSIBLE d'obtenir, grâce â un déplacement VERTICAL du pied,
un mouvement DE ROTATION CONTINU, c'est-â-dire ne comportant
pas DE POINTS MORTS(comme dans le cas du pédalier CIRCULAIRE),
et cela en utilisant les DEUX phases (quand le pied descends
ET quand ïe pied remonte). Apres la description du mecanisme
lui-meure, nous allons reexpliquer les economies d'energie.
Les fig "~°~ ,'-l 3 , "( ~ et '"1 ~ illustrent un mécanisme
rudimen-
taire, actionné par un seul pied, et qui permets de taire
tourner une roue (49} TOUJOURS DANS LE MEME SENS, peu importe
que le pied monte ou descende; la fig '1''~, illustre la phase
descendante (quand le pied descends), la fig '"1 3 illustre la
fig "j°~..mais vue par en haut, la fig '1 ~ illustre la phase
ascendante (quand le pied monte): 1a phase ascendante est
active grâce aux pièces 25 èt/ou 26 ajoutées â la plateforme,
comme l'a déjâ expliquée la fig 44. La figtl ~ illustre la
plateforme spéciale (21) qui est utilisée: la piéce illustrée
en forme de z sous la plateforme elle-méme est faites d'un seul
morceau et est solidaire de la plateforme, cette piéce en z
s' insérant dans la piece 42, fig ~~. . Fig ~°;~ : la piéce en z
porte 2 ressorts (r1 et r2), le ressort .r2 se comprimant quand
le pied pousse vers le bas; quand le pied tire vers le haut
(fig '1~ ), le ressort r2 se détends et le ressort r1 se compri-
3L3 me. La piéce 42 va de haut en bas quand :Le pied descends (figi~, }
,~..;, ..~ , ~ :; . a
s.d b.t~ ~ti ~. 9r : ~ â ~': ti L_,. .~.J s~ r ~. ...
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et de bas en haut quand le pied remonte (fig 1~): quand le pied
descends, Ia piece en forme de T (45) est poussée vers la droite
par la portion inclinée de la piéce en forme de Z; les dents de
05 la piece 45 embrayent avec les dents de la roue 46, ce qui fait
tourner la roue 46 dans Ie sens indiqué; une roue 48 portant une
chaine (ch 48) est solidaire de la roue 46 et tourne avec elle,
ce qui entrains la roue 49. La piéce 42 coulisse en descendant
et en remontant Ie long de 4 tiges (t1, t2, t3 et t4) qui sont
fixees a la base 50 (voir fig'l3 ) .
La fig '1 5 illustre ce qui se passe quand le pied tire vers le
haut grâce aux piéces 25 et/ou 26 ajoutÉés à la plateforme (21)
selon le concept de la fig 44: le ressort r1 se comprime, le
ressort r2 se détends, se qui entrains vers le haut la piéce
en forme de Z fixée sous la piateforme, cela poussant la piéce
en forme de T (43) VERS LA GAUCHE, l'embrayage se faisant alors
avec la roue dentée 44; comme la piece 42 se déplace VERS LE
HAUT le long des 4 tiges (t1 a t4), cela fait tourner la roue
44 dans le sens indiqué, ce qui fait tourner 1a roue 47 (qui
est solidaire de la roue 44), la draine (ch 47) faisant alors
tourner la roue 52 (voir fig'l'3 ), ce qui entrains la roue 49
dans ie sens indiqué. Les ressorts 43 et r4 servent â garder les
pieces 43 et 45 en contact avec la piéce 42 quand elles ne sont
pas embrayées avec la roue (44 ou 46) correspondante.
Remarquez ceci:
-que le pied POUSSE VERS LE BAS (fig"~~.) ou TIRE VERS LE HAUT
(fig"15 ), la roue arrière 49 (qui symbolise la roue arri~re
d'une bicyclette) tourne TOUJOURS DANS LE M~ME SENS,
-dans le cas d'un pédalier CIRCULAIRE, il y a 2 POINTS MORTS,
celui du haut et celui du bas; au point mort du haut, la
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contraction du fessier est une dépense d'énergie INUTILE car
la ligne d'action de la force passe par le centre du péda-
lier, ce qui ne produit AUCUN effet de levier sur la manivel-
05 le. Similairement, au point mort du bas, la contraction du
psoas-iliaque (qui tire le pied vers le haut) n'a AUCUN effet
de levier sur la manivelle. Le pédalier VERTICAL décrit ici
n'a AUCUN POINT MORT '. En effet, L'EFFET DE LEVIER est
TOUJOURS MAXIMUM car la force dirigée VERS LE BAS (fig'1~ ) ou
VERS LE HAUT(fig'~5) est TOUJOURS PERPENDICULAIRE (tangente)
aux roues 44 et 46. Donc, le FESSIER (pour la poussèe vers le
bas et LE PSOAS-ILIAQUE (pour la traction vers le haut) ont
tous deux un RENDEMENT ÉNERGITIQUE parfait: il N'Y A PLUS de
contraction musculaire SANS déplacement mécanique, comme c'est
le cas avec un pédalier circulaire !
-l'usage des muscles déplacant le pied ,i4 L'HORIZONTALE, soit
le JARRET et le QUADRICEPS, est éliminé totalement, ce qui
est excellent car ces muscles ont un DEGRÉ DE LEVIER de 15;
l'énergie économïsée ainsi peut étre utilisée pour actionner
le FESSIER et le PSOAS-ILIAQUE qui ont un DEGRÉ DE LEVIER
de 3 seulement, d'où une augmentation du rendement '.
(cela s'ajoutant évidemment à l'économ:ie d'énergie déjâ
réalisée par l'élimination de l'usage du MOLLET et du
JAMBIER ANTERIEUR, comme expliqué au debut}.
Voila pour le mécanisme â déplacement VI~RTICAL du pied.
Le but qui était visé ici n'était pas de décrire LE concept
PARFAIT de MÉCANISME ~ déplacement vertical, c'est-â-dire
celui avec la TECHNIQUE parfaite; on pourrait en effet
décrire presque une infinitê de concept:; TECHNIQUES qui
accompliraient le même resultat que celui que nous venons de
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décrire. Nous voulions ïci simplement expliquer un PRINCIPE,
â l'effet qu'il est (techniquement) POSSIBLE d'obtenir un
mouvement de rotation CONTINU de la roue (49) toujours DANS
05 LE MEME SENS, peu importe que le pied monte ou descendes,
et SANS POINTS MORTS.
I1 semble que le mécanisme â déplacement VERTICAL ne soit pas
pour un avenir immédiat pour Ia simple raison que les gens
AIMENT (ou sont habitués) au pédalier CIRCULAIRE. La série de
1Q mécanismes que nous allons maintenant décrire utilisent le
principe du déplacement CIRCULATRE du pied, les dessins de
ces mécanismes étant explicites en eux-mémes.
La fig 76 illustre le pédalier circulaire habituel, 1e cyclis
te pédalant selon la façon recommandée par les experts, c'est
15 â-dire avec l'articulation des orteils posée sur l'axe de la
pedaie. L'angle ~ est l'angle d'inclinaison du dessous du
pied par rapport au sol; on remarque que cet angle AUGMENTE
CONSIDERAHLEMENT quand le pied remonte par l'arriére. Les 8
mécanismes que nous allons maintenant décrire supportent la
20 plateforme et guident celle-ci de facon ~à ce que cet angle
AUGMENTE quand le pied remonte par l'arriére, exactement comme
pour le pédalier circulaire habituel; ainsi, l'utilisateur de
cette invention ne remarquera AUCUNE DIF7FÉRENCE par rapport au
pédalier circulaire, sauf pour une chose: iI n'aura plus â
25 "forcer des mollets" puisque le talon esi~ continuellement en
contact avec l'arrière de la plateforme, qùi est supporté!
La fig 78 illustre l'ensemble du mécanisme (Ies 2 pieds); la
fig 79 illustre seulement le pied gauche; la fig 80 illustre
le mécanisme de la fig 79 DECOMPOSE, et 3.a fig 77 illustre
30 LE DÉPLACEMENT des différentes piéces pour un tour complet de
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360 degrés: on voit trés nettement que l'angle ~ AUGMENTE quand
le pied remonte par i'arriére.
Fig 80: la piéce 57 peut se placer à la position désireé à
05 l'intérieur de la fente de la pièce 55, ce qui fait que la
pièce combinée 57 ET 55 est de longueur ajustable; il en va
de méme des pièces 58 et 56. Fig 79: les piéces 55+57 et
58+56 sont réunis par l'axe de rotation libre 61; mais l'axe
de rotation 60 est FIXE . en effet, l'axe en forme de trou
étoile de la piéce 55 (fig 80) s'ins ire ä LA POSITION DÉSIRÉE
dans l'étoile de l'axe 60, ce qui permets de contrôler L'angle
entre la pièce 53 et la pièce 55+57, et cet angle RESTE CONSTANT
une fois choisi. Le but visé par la longueur AJUSTABLE des piè-
ces 56+58 et 55+57, ainsi que par le contrôle de l'angle entre
les pièces 53 et 55+57 est de permettre de CHOISIR l'angle
d'inciinaison du dessous du pied par rapport au sol que le
cycliste DÉSIRE AVOIR (pour le confort) selon la taille de la
personne. A remarquer que la longueur de la piéce horizontale
54 est choisie de facon à ce que la pièce 53 soit toujours
PARALLELE â la manivelle du pédalier; l'axe de rotation du
bas de la piêce 53, sait 59, se fait grâce â un support fixe
au tube du bas du cadre (fig 79).
Fig 81: dans ce concept, la plateforme 2:1 est fixée par l'avant
â l'axe de rotation 15, ôu était la pédale auparavant. Une
pièce 64 est fixée au tube du bas du cadre et constitue un axe
de rotation libre pour l'essieu 65 qui relie ensemble la mani-
velle 66 et la came dentée 67: cette came 67 tourne AVEC la
manivelle 66; cette came 67 est DE M~ME C;IRCONFERENCE que la
roue 62 qui est SOLIDAIRE de la manivelle: avant .
la roue 62 et la came 67 ont le même nombre de dents et sont
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reliees par la chaine 63; le haut de la manivelle 66 est reliée
â la tige 68 par un point de rotation libre 69, et l'avant de
tige 68 est reliée â l'arriére de la plateforme par un point de
05 rotation libre 70. La TENSION DE TRACTION est TOUJOURS dans LE
HAS de la chaine: la tension de traction dans la portion DU
HAUT de la chaine est toujours de ZÉRO; dans 1a position de
manivelle illustrée, la portion du haut de la chaine n'est pas
pendante à cause de la position de la came 67, mais pour les
autres positions de manivelle, la portion du haut de la chaine
devient pendante. La forme de la came, sa position (par rapport
â la piece 66), et la longueur de la tige 68 sont choisies de
facon â obtenir un angle d'inclinaison du pied par rapport au
sol (l'angle (~ , fig 76) qui AUGMENTE quand le pied remonte
par l'arriére.
Fig 82: la plateforme 22 est fixée au haut de la manivelle du
pédalier 15
( ) par l'avant. La manivelle arriére 73 est fixée
par un axe de rotation libre 72 â la piéce 72 qui est fixée au
tube du bas du cadre. La manivelle du pédalier et la manivelle
73 sont toujours PARALLELES et reliées par le haut grâce à la
piéce horizontale 74 et aux deux axes de rotation libres 15 et
75. IMPORTANT: la came 76 est solidaire de la manivelle 73
(?6 et 73 sont en fait comme UNE SEULE PIÉCE}. Une petite roue
77 est fixée sur le côté de la plateforme, â l'arriere, et
cette roue 77 tourne SUR LA CIRCONFÉRENCE (la bordure) de la
came 76 quand la manivelle 73 se déplace. La forme de la came
76, sa position FIXE (par rapport â la manivelle 73) sont
choisis de facon â obtenir un angle d'inclinaison du pied par
rapport au sol (l'angle Ct3 , fig 76) qui AUGMENTE quand le
pied remonte par l'arriére.
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Fig 83: la came 78 est (fixée au tube du bas du cadre par le
support 83: cette came NE BOUGE PAS et contient une rainure
incrustrée sur sa circonfLSrence dans laçue7.le se prom'ene la
05 petite roue 82 quand le pédalier tourne. La piéce 79 se dé-
place toujours PARALLÉLEMENT â la manivelle du pédalier, son
axe de rotation libre étant 80; une petite tige coudée aux
deux bouts (en sens inverse) 82 fait du va et vient â P inté
rieur du tube qui est fixé au haut de la piéce 79: la piéce 81
porte la petite roue 82 sur le coude du bas, le coude du haut
s'insérant dans l'arrière de la plateforme par l'axe de rota-
tion libre 84. La forme de la rainure de la came 78 et sa posi-
tion sur le tube du bas du cadre sont choisies de Tacon â ob-
tenir un angle d'inclinaison du pied par rapport au sol (l'an-
gle l~ , fig 76) qui AUGMENTE quand le pied remonte par l'arrié-
re.
Fig 84: une tige 85 possède un axe de rotation LIBRE 86 situé
sur l'axe de rotation de la roue arriére. IMPORTANT: cette tige
85 ne fait JAMAIS de rotation complète (:360 degres) car elle
fait du va et vient selon les angles o(1 et o~°~ par rapport
la verticale V: son déplacement MAXIMUM est donc oC t + c.X~'~, ,
La tige 87 est fixéé au tube du bas du cadre par 1e point de
rotation libre 88: cette tige 87 fait une: rotation compléta de
360 degrés pour un tour complet de pédalier. La tige 87 est
toujours PARALLELE â la manivelle du pédalier, mais pas la
tige 85. Le haut des tiges 85 et 87 sont reliées à la piece
coudée 89 par les points de rotation libres 90 et 91. Le
troisiéme point de rotation 92 de la piéce coudée 89 est fixé
â l'arriére de ïa plateforme 21. La longueur des tiges 85 et 87
ainsi que la forme de la piéce coudee 89 sont choisies de
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facon a ce que l'angle d'inclinaison du pied par rapport au sôl
(angle ~ , fig 76) AUGMENTE quand le pied remonte par l'arriére.
Fig 85: une pièce 93 comportant une rainure est fixée au tube du
05 bas du cadre; â l'interieur de cette rainure, une roue 94 fait
du va et vient; à cette roue 94 est fixée une tige 95 dont
l'autre bout est fixé â l'arriére de la plateforme 21 par le
point de rotation libre 99; â peu prës au centre de cette tige
95 est fixé le point de rotation du haut 98 de la tige 96, le
20 bas de cette tige 96 étant fixé à l'avant de la piéce 93 par le
point de rotation libre 97. La tige 96, étant toujours parallé-
le ~à la manivelle du pédalier, décrit un tour complet de 360
degrés par tour de pédalier. La longueur de la tige 95 ainsi
que l'emplacement (sur la tige 95) du point de rotation 98 sont
25 choisis de~telle façon que l'angle d'inc:linaison du pied par
rapport au sol (l'angle B , fig 76) AUGMENTE quand le pied
remonte par l'arriére.
Fig 86: la piéce courbée rigide 100 est fixée â 1a plateforme
21, 21 et 200 faisant comme une seule pi.éce, l'avant de la
20 plateforme étant fixée à l'axe de la manivelle, là oü était
la pédale auparavant (15). La portion courbée du haut de la
100 s'insêre ENTRE deux roues 102 qui viennent s'appuyer sur
les côtés de la pièce 100, ces deux roues 102 tournant autour
de deux axes w qui retiennent ensemble les 2 piéces parallèles
25 et rectangulaires I01; la pièce 101, située entre le tube du
cadre du vélo et les deux roues 102, tourne librement (par son
centre) autour de l'axe z qui traverse le tube du cadre (sur
le dessin en haut à gauche, seul le côté droit est illustré,
tandis que sur le dessin à droite, les deux côtés sont illus-
30 trés, l'axe z reliant en méme temps Ies deux côtés). Sur les
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deux autres dessins, il est évident que l'angle d'inclinaison
du pied par rapport au sol (l'angle ~i ) AUGMENTE quand le pied
remonte par l'arriére, ce qui est le but visé, selon la fig 76.
05 Fïg 87-88: le cote gauche seul est illustré. Une roue 103 est
installée de facon FIXE, stationnaire (soudée) sur le boitier
de l'axe du pédalier . cette roue NE TOtIRNE PAS, car c'est la
chaine 105 qui fait le tour de cette roue quand ie pedalier
tourne. La portion CARRÉE de l'essieu 109 s'insére dans le
trou CARRÉ 109 situé â l'avant de la plateforme 21, la portion
(b) de ce même essieu s'insérant dans la portion (b) du bout
de la manivelle (qui contient des roulements cyclindriques);
la portion (a) de ce méme essieu s'ins~re dans la portion (a)
de la came 104 et, grâce aux RAINURES de la portion (a), cet
essieu est SOLIDAIRE de la came 104; donc, la came 104, l'essieu
et la plateforme 21 SONT TOUS SOLIDAIRES et forment COMME UNE
SEULE PIECE, les rainures de la portion (a) de l'essieu permet-
tant DE CHOISIR la position RELATIVE de la plateforme 21 par
rapport â la came 104, ce qui permets DE CHOISIR la valeur
numerique de l'angle (~ quand le pied remonte par l'arriere
(selon ia fig 76); il est évident que la circonférence de la
came 104 doit être la méme que la circon:~érence de la roue
FIXE 103, les deux ayant le même nombre de dents. La pression
sur la plateforme se faisant ä L'ARRIERE par le talon, il est
évident que LA TENSION (de traction) sur la chaine 105 se fait
TOUJOURS dans la portion DU BAS de la chaine, la tension dans
ia portion du haut de la chaine 105 étant: toujours NULLE:
c'est la raison de l'existence du tenseur de chaine 106 a
ressort 107. La FORME de la came 104 ainsi que sa position
RELATIVE par rapport a la plateforme 21 (controlée par les
SUBSTITUTS SHEET (RUILE 26)


CA 02352977 2001-05-03
WO 00/27690 PCT/CA99/01020
133
rainures de Ia portion (a) de l'essieu) permettent d'obtenir
une augmentation de l'angle (j quand le pied remonte par
05 l'arriere (selon l'explication de la fig 76).
Nous avons utilisé le CAS PARTICULIER du CYCLISME pour
r
expliquer L'INUTILITE du MOLLET et du JAMi3IER ANTÉRIEUR
quand on utilise DES PÉDALES; il est évident qu'on
peut
aPPliquer ces résultats d'une façon UNIVERSELLE à TOUT
ce qui utilise des PÉDALES (pédalo, exerciseur stationnaire,
avion â pédale! etc...), en remplacant ces
pedales par un
mecanisme approprié â chaque cas particulier.
SUBSTITUTE SHEET (RU:LE 26)

Representative Drawing
A single figure which represents the drawing illustrating the invention.
Administrative Status

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Administrative Status

Title Date
Forecasted Issue Date Unavailable
(86) PCT Filing Date 1999-11-03
(87) PCT Publication Date 2000-05-18
(85) National Entry 2001-05-03
Examination Requested 2001-05-03
Withdrawn Application 2005-11-15

Abandonment History

Abandonment Date Reason Reinstatement Date
2005-08-29 FAILURE TO PAY FINAL FEE

Payment History

Fee Type Anniversary Year Due Date Amount Paid Paid Date
Request for Examination $200.00 2001-05-03
Application Fee $150.00 2001-05-03
Maintenance Fee - Application - New Act 2 2001-11-05 $50.00 2001-05-03
Maintenance Fee - Application - New Act 3 2002-11-04 $50.00 2002-10-21
Maintenance Fee - Application - New Act 4 2003-11-03 $50.00 2003-10-14
Maintenance Fee - Application - New Act 5 2004-11-03 $100.00 2004-10-14
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Document
Description 
Date
(yyyy-mm-dd) 
Number of pages   Size of Image (KB) 
Representative Drawing 2001-09-12 1 7
Drawings 2001-05-03 36 917
Representative Drawing 2005-02-25 1 9
Abstract 2001-05-03 1 78
Claims 2001-05-03 28 1,888
Description 2001-05-03 133 6,845
Cover Page 2001-09-19 1 39
Claims 2004-04-01 10 486
Drawings 2004-04-01 37 923
Assignment 2001-05-03 5 202
PCT 2001-05-03 36 1,597
Correspondence 2003-10-29 1 8
Prosecution-Amendment 2003-07-09 3 95
Fees 2003-10-14 1 68
Fees 2002-10-21 1 39
Prosecution-Amendment 2004-10-14 12 611
Correspondence 2003-11-24 1 27
Prosecution-Amendment 2004-04-01 16 611
Prosecution-Amendment 2004-01-08 5 304
Correspondence 2004-04-15 1 10
Prosecution-Amendment 2005-08-19 7 368
Correspondence 2005-11-15 1 18
Correspondence 2005-11-17 1 13