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Patent 2417420 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2417420
(54) English Title: ARTIFICIAL LURE IN THE SHAPE OF A REAL FISH WITH SOUND, LIGHT, MAGNETIC, ELECTROSTATIC AND ELECTRICAL EFFECTS AND WITH SCENT AND FLAVOUR
(54) French Title: LEURRE ARTIFICIEL DE PECHE AVEC EFFETS SONORES, LUMINEUX, MAGNETIQUES, ELECTROSTATIQUES, ELECTRIQUES, A EMISSION D'ODEURS ET DE SAVEURS AYANT UNE FORME REELLE DE POISSON EXISTANT
Status: Dead
Bibliographic Data
Abstracts

French Abstract



L'invention concerne un leurre artificiel pour la pêche destiné à reproduire
un poisson
réel, lors de sa traction dans l'eau. Ce leurre possède un réservoir contenant
un fluide
attractif avec saveur et odeur muni d'un dispositif de contrôle pour la
libération du fluide
dans une conduite permettant à l'eau de circuler lors de sa traction dans
l'eau, d'un
dispositif d'émission de bruit à l'aide d'un générateur d'impulsions basse
fréquences sur
une micro enceinte acoustique piézoélectrique, d'un dispositif d'émission de
lumière à
l'aide d'un générateur d'impulsions sur des diodes émettrices de lumière
couvrant le
spectre de l'infrarouge au bleu et violet lointain, d'un générateur
d'impulsions électriques
basses fréquences, d'un générateur d'impulsions magnétiques créant une
variation du
champ et d'une fonction de maintien d'une charge électrostatique.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.




REVENDICATIONS


Je revendique

1. Un leurre de pêche comprenant:
.cndot. une forme de poisson réelle montée sur un circuit imprimé multicouches
et
enrobée d'un plastique avec sections translucides;
.cndot. une lame translucide permettant au leurre de s'enfoncer lors de la
traction
dans l'eau avec anneau d'attache;
.cndot. des trous permettant l'attache de plusieurs trépieds d'hameçons sur le
circuit
imprimé;
.cndot. des couches successives de peintures offrant des colorations réelles
et
complémentaires de poissons réels;
.cndot. un dispositif d'émission d'odeur et de saveur contrôlé manuellement ou
automatiquement par un circuit électronique;
.cndot. un dispositif d'émission de lumières comprenant un balayage du spectre
visible et au-delà contrôlé par un circuit électronique permettant
l'intermittence des diodes émettrices de lumière;
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique contrôlé par un circuit
électronique;
.cndot. un dispositif de maintien d'une charge électrostatique à l'aide d'un
condensateur relié à la fonction du champ électrique;
.cndot. un dispositif de variation d'un champ magnétique;
.cndot. un dispositif d'émission de bruits et de vibrations contrôlé par un
circuit
électronique;
.cndot. un compartiment étanche pour les batteries;
.cndot. un compartiment d'interrupteurs permettant l'ouverture ou la fermeture
des
différentes fonctions.

2. Un leurre de pêche émettant des substances attractives de type odeur et
saveur:

.cndot. Un réservoir de remplissage à volonté composé d'une conduite
permettant à
l'eau de circuler muni d'un dispositif permettant le largage d'attracteur à
saveur et odorat;
.cndot. un ressort à étirement manuel ou contrôlé par un circuit électronique
avec effet
solénoïde permettant de libérer l'attracteur en fonction de l'étirement;
.cndot. deux tubes concentriques troués permettant de libérer un attracteur de
type
olfactif et/ou saveur par rotation manuelle ou automatique contrôlé par un
circuit électronique;



.cndot. un dispositif d'émission d'attracteur olfactif ou gustatif par effet
plongeur
faisant objet de valve ou de pompe à plongeur avec clapet de retenu genre
pompe aspirante foulante contrôlé par un circuit électronique;

Un leurre de pêche émettant des lumières à partir de diodes émettrices de
lumière
.cndot. un dispositif d'émission de lumière à partir de diodes émettrices de
lumière
de l'infrarouge à l'ultraviolet contrôlé par un circuit électronique
permettant
l'émission de divers diodes dans des zones du leurre tel que les yeux, les
ouïes, et le corps;
.cndot. un dispositif permettant le clignotement des diodes émettrices de
lumière en
séquence;
.cndot. un dispositif permettant le clignotement des diodes émettrices de
lumière
ensemble;
.cndot. un dispositif de contrôle du clignotement des diodes émettrices par un
circuit
électronique à fréquences variables.

Un leurre de pêche émettant un champ électrique:
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique dont les électrodes
sont reliées
directement au circuit imprimé;
.cndot. un dispositif d'émission d'un champ électrique à fréquence variable
contrôlé
par un circuit électronique;
.cndot. un circuit d'émission d'un champ électrique variant de 1 millivolt à 3
volts à
fréquence variable contrôlé par un circuit électronique.

Un leurre de pêche émettant un champ électrostatique:

.cndot. un dispositif d'émission d'une charge décroissante en fonction de la
conductivité du milieu relié au circuit d'émission du champ électrique;
.cndot. un dispositif de condensateur relié en parallèle au champ électrique
permettant
une décharge selon l'équation RC.



6 Un leurre de pêche faisant varier le champ magnétique:
.cndot. un dispositif de création d'un champ magnétique dans sa composante
horizontale;
.cndot. un dispositif de création d'un champ magnétique dans sa composante
verticale;
.cndot. un dispositif de création de ces champs par des bobines magnétiques à
effet de
champ avec noyaux de matière magnétisable;
.cndot. un dispositif d'interférence d'un champ induit par des bobines sur un
champ
en provenance d'un aimant permanent et du champ magnétique terrestre;
.cndot. un dispositif utilisant les Lois d'addition des champs magnétiques par
l'utilisation de plusieurs conducteurs sur des bobines à entrefer de matériel
magnétisable;
.cndot. un dispositif utilisant les Lois d'interférométrie magnétique;
.cndot. un dispositif utilisant le déplacement d'un aimant permanent causé par
le
mouvement du leurre causant une interaction avec le champ d'une bobine,
d'un autre aimant permanent , du champ de l'enceinte acoustique et du champ
magnétique terrestre.

7 Un leurre de pêche émettant des sons et vibrations
.cndot. un dispositif d'émission de sons à partir d'une micro enceinte
acoustique
piézoélectrique;
.cndot. un dispositif d'émission de sons à partir d'une micro enceinte
acoustique
piézocéramique;
.cndot. un dispositif d'émission de vibrations à partir d'une micro enceinte
acoustique
piézoélectrique ou piézocéramique relié mécaniquement au circuit imprimé
organe structurel du leurre;
.cndot. un dispositif d'émission de sons et vibrations de fréquences variables
de 1 Hz
à 15 Hz contrôlé par un circuit électronique;
.cndot. un circuit électronique à fréquences variables selon les besoins de
l'espèce,
des conditions qui prévalent et du besoin du client;

8 Un leurre de pêche possédant un circuit électronique
.cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit d'horloge
555;
.cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit d'horloge
double ou
quadruple du circuit 555;


.cndot. un dispositif de circuit électronique composé d'un circuit à décade
CMOS
avec plusieurs sorties;
.cndot. un circuit électronique dont la fréquence est ajustable par le
changement de
composantes passives;
.cndot. un circuit électronique dont le besoin en énergie peut être ajuster
par le
changement des transistors ou des interrupteurs transistorisés et des
résistances de limitation du courant ou par une autre source électromotrice;
.cndot. un dispositif de contrôle des fonctions par différents interrupteurs
permettant
l'opération de telle ou telles fonctions;
.cndot. un dispositif de contrôle électronique permettant toutes les fonctions
ci-haut
mentionnées;
.cndot. un dispositif d'intégration de tout le circuit sur .circuit imprimé
multicouches
faisant office d'élément structurel du leurre pouvant être assemblé par deux
demi-sections possédant un ensemble de cavités permettant l'intégration des
différentes composantes ou couler directement dans un moule possédant la
forme réelle d'un poisson;
.cndot. Un dispositif d'ajout d'oscillateurs additionnels.

9 Un leurre de pêche possédant une alimentation indépendante
.cndot. Un système de batteries intégrées au leurre par 4 à 5 piles boutons de
1,5
Volts chacune livrant une force électromotrice de 6.0 à 7,5 Volts ou d'une
pile
de 12 Volts tel qu'utilisé dans les démarreurs à distances ou de deux sources
distinctes;
.cndot. Un dispositif de recharge des piles à l'aide d'un chargeur à batterie
de 12
Volts ou de piles solaires afin d'éviter une disposition anti-environnementale
des dites piles;
.cndot. La localisation des piles disposées dans le leurre de façon à
conserver le
centre gravitationnel du leurre ou son balancement;
.cndot. un compartiment étanche afin d'éviter les désagréments de
l'introduction
d'eau.

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.


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MEMOIRE DESCRIPTIF
La constatation de la multitude des différents leurres sur le marché ainsi que
l'étude des
différents brevets antérieurs, américains et canadiens, m'indique que les
réactions aux
impressions multiples émanant du milieu sont extrêmement complexes et
difficiles à
analyser. Même la diversité des leurres pour une même espèce en démontre toute
la
plénitude. C'est d'ailleurs ce qui rend la pêche si attrayante, malgré
l'intelligence limité
du poisson (Intelligence de type instinctive) .Comme tout animal sauvage,
conscient ou
non, il agit avec extrême circonspection, étant toujours partagé entre l'état
prédation
et/ou victime. On peut tout de même admettre sans trop de difficulté que,
malgré les
apparences, tous ses sens sont en alerte. Cette invention se veut en quelque
sorte une
extension des sens utilisés par cette faune aquatique. Dans la multitude des
leurres sur le
marché, je peux affirmer, en m'appuyant sur la physiologie des poissons, que
lorsque l'un
d'eux se laisse prendre ce n'est pas la perspicacité qui le distingue.
Cette invention découle des études récentes en physiologie des espèces
aquatiques ainsi
que sur l'expérimentation et l'observation par trente années de pêche sportive
sur
différentes espèces, en différents lieux, cycles et périodes. Cette invention
se veut une
amélioration complexe, mais réalisable de nos jours, compte tenue de la
miniaturisation
de l'électronique et des commandes électriques aux différentes fonctions
conduisant à
l'utilisation de tous les sens dont les poissons sont pourvus.
Les sens mis en cause sont la vue, le sens cutané, l'audition, le sens de la
pression, ïe sens
vibratoire, l'odorat, le goût, le toucher, le sens électrique,
électromagnétique, magnétique
et finalement le sens bio-neurologique ou reflex spontané dans les périodes et
cycles
biologiques.
La vue
Comme chez les mammifères, on abserve des espèces dont la vue est excellente
et d'autres qui sont pratiquement aveugles. La truite et le saumon voient la
différence
entre des mouches fort semblables et d'ailleurs peuvent saisir, même hors de
l'eau, des
insectes minuscules. La lentille de l'oeil du poisson communément appelé
cristallin est
pratiquement sphérique et concentre donc les rayons visibles au maximum. Les
images se
forment au devant de la rétine, le poisson, par ce fait, s'approche de la
myopie. Ils ne
peuvent déformer leur cristallin; l'image est donc au point focal pour des
objets
rapprochés, mais l'accommodation permettant la vue à distance nécessite un
effort sur les
muscles lenticulaires . La rétine est constituée de cônes pour la perception
des couleurs et
de bâtonnets pour les contrastes et la quantité de lumière. Le mécanisme de
l'ceil réagit
aux conditions de lumière abondante et dans la pénombre. La vision des
couleurs est un
fait bien connu; la coloration dans le milieu aquatique et le marché des
leurres le
démontre. Par-contre, les couleurs tel que le rouge, l'orangé et le jaune sont
absorbées les
premières, suivi du vert, du bleu et finalement du violet qui pénètre le plus
profondément.
On peut prendre en exemple, l'invention canadienne CAI225845 datée du 25 Août
1987
de Monsieur Loren G. Hill sur la sélection de leurres en fonction de la
profondeur. Cette
pénétration varie rapidement lorsque les eaux sont troubles ou chargées. A
mesure que le
poisson s'enfonce, les objets lui deviennent invisibles. Pour un être
aquatique, à une

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certaine profondeur l'obscurité peut être complète alors que le soleil brille
encore à
l'horizon parce que les rayons étant trop obliques ne pénètrent plus dans
l'eau selon les
équations des Lois de la Réflexion et de la Réfraction de la lumière. Par
contre, le poisson
possède une vision binoculaire de 300 degrés qui favorise l'effet 3D ou de
profondeur de
champ et, de ce fait, distingue et localise tout de même les objets avec
grande précision.
Mon leurre possède donc une forme représentative d'un poisson réel possédant
les
couleurs réelles et/ou complémentaires du spécimen réel ou semblable pour
l'espèce
convoitée tout en possédant des diodes émettrices de lmmière couvrant le
spectre visible
et même au delà, dans l'infrarouge et du violet lointain. L'idée d'utiliser
une lumière dans
un leurre fut émise dès 1904, tel qu'indiqué au brevet américain No 757,077 de
F.B.
Whipple délivré le 12 avril 1904, ainsi qu'au brevet canadien de monsieur
William F.
Carlson délivré le 24 novembre 1959 portant le No CA587453. L,'idée de faire
clignoter
une lumière fut émise par R. L. Barton sur le brevet américain 2,002,135
délivré de 22
juillet 1930. La technologie modifia cette idée par l'incorporation de diodes
émettrices de
lumière tel qu'indiqué au brevet américain de Michael E . Northeutt No
3,940,868
délivré le 2 mars 1976. La technologie évolutive conduit à l'intégration de
transistors
( brevet américain No 3,308,569 d'Oscar Foellner et A1 en 1967 ) ,
l'utilisation des fibres
optiques ( brevet américain No 4,727,674 délivré à M. Garr le 1 mai 1988), de
circuits
électroniques intégrés qui émettent des impulsions aux différentes diodes (
LED ) tel que
décrit aux brevets américains de William E. Ray, No 4,175,348 émis le 27
novembre
1979 et à celui de Ursrey et al. portant le No 4,227,331 délivré le 14 octobre
1980. De
nos jours, les diodes émettrices de lumière couvrent un très large éventail du
spectre
visible, dans l'infra rouge et l'ultra violet et sont la base même des lasers
à serni-
conducteurs. Le brevet de Barbara A. Camer, délivré le 12 décembre 1989
portant le No
4,885,864 indique l'utilisation d'une diode infrarouge ea le brevet américain
de Bruce
A.Young No 5,758,450 utilise un laser à semi-conducteur dans un leurre de
pêche.
Plusieurs types de mécanismes furent utilisés pour déclencher de la lumière :
l'utilisation
de la phosphorescence tel qu'indiqué au brevet américain daté du 3 février
1976 de
James B. McCallum; la fluorescence et la chimiluminescence tel que décrit dans
plusieurs
brevets américains, en référence le brevet américain portant le No 5,190,366;
pàr
photoluminescence : irradier par l'ultraviolet, par le soleil , par lampes
flash tel
qu'indiqué dans le brevet américain délivré à James L. Dolph portant le No
5,388,039; la
piézoélectricité tel qu'indiqué au brevet canadien CA 2360862 déposé le 1
novembre
2001 par Cecil R. Spurgeon ; même la phosphorescence à l'aide d'un capsule
radio-active
de tritium indiqué au brevet américain No 4,741,120 délivré le 3 mai 1988 à
Albert
O.Cota et al.; par des images à l'aide de circuit à cristaux liquides indiqué
au brevet
américain du 26 décembre 1989 délivré à Johnnny H. Douglas et portant le No
4,888,904
et par simulation bioluminescence du brevet américain No 4,697,374 émis à R.A.
Simms
en date du 6 octobre 1987 ,...
Des dispositifs de déclenchement à interrupteur de mercure, à billes , à
batterie mobile,
par interrupteur à traction, par réaction chimique d'oxydo-réduction avec le
milieu ( pile à
l'eau de mer) , piles solaires, par génération d'électricité par déplacement
d'aimants, par
différence de potentiel en utilisant deux métaux différents, par circuit
magnétique, par la
force de 1 'eau, par électrolyse, par circuit électronique tel que le brevet
américain No
5,392,555 délivré à S.N. Tingey le 28 février 1995 qui utilisait un circuit
oscillateur LM
3909 pour faire clignoter une diode émettrice de lumière,...
L'analyse de tous ces dispositifs très intéressants m'a conduit plutôt à
l'utilisation d'un
circuit électronique simple, qui à l'aide d'un circuit d'horloge émet une
impulsion vers un

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circuit cascadeur qui engage des transistors permettant un passage du courant
requis aux
différentes fonctions complémentaires dont mon leurre sera pourvu .
La Forme et la couleur
Tel que mentionné précédemment, la forme sera de type réelle, par exemple,
pour le
brochet : une perchaude , un doré ou un appât connu du prédateur sera fabriqué
à partir de
la technologie numérique à l'aide d'un pantographe tridimensionnel ou des
techniques de
moulage tel que décrit dans les brevets américains délivré à Joseph R. Thom
portant le
numéro 4,108,955 délivré le 22 août 1978 ou le brevet américain émis à George
Kechriotis portant le numéro 6,012,248 émis le 11 janvier 2000 dans le but de
construire
un moule primaire.
La forme à toute son importance, puisque tel que décrit précédemment, la
lumière
ëclairante du soleil se perd rapidement et le poisson doit donc se fier à sa
vision
monoculaire, c'est à dire de voir dans deux directions, sans pouvoir faire le
point avec les
deux yeux sur le même objet en même temps, par contre le poisson peut le faire
de plus
loin car la vision 3D et les contrastes sont mis de la partie. La couleur du
leurre sera
produite à partir des technologies de peinture au fusil par masquage des zones
en couches
multiples et/ou par sérigraphie et s'inspirera de la méthode indiquée au
brevet américain
No 4,693,028 délivré à Loren G.Hil1 le 15 septembre 1987 et au brevet canadien
portant
le No CA 1225845 relatif aux conditions du milieu pour choisir la couleur du
leurre. Il est
à noter également que certains leurres possèdent un recouvrement par réflexion
et
diffraction des technologies holographiques. Une étude sera effectuée sur la
faisabilitë de
générer un moule avec recouvrement holographique en relief, afm de respecter
Ia texture
du poisson appât, ou par moulage en relief des peaux. Une émission de lumière
est
requise pour marier cette technologie puisqu'un hologramme ne fait que
réfléchir ,
réfracter ou diffracter la lumière reçue. Une étude sur les composés
thermochromiques
n'est pas exclue tel qu'indiqué au brevet américain No 5,222,3220 délivré à
Nels E.
Erickson le 29 juin 1993 ainsi que la technologie des couches diélectriques
tel que décrit
au brevet américain No 6,018,902 délivré à Clyde S. Gudermuth le 1 février
2000. Cette
technologie est maîtrisée dans les procédés de fabrication de miroirs
diélectriques pour
LASER...
Sans ignorer les selles â base de guanine composés sous la peau rendant leur
coloration
irisée.
Le son
Le son provient d'une impulsion sur un milieu tel que l'air, l'eau ou d'une
matière solide. En général, plus le milieu est dense, plus le son le traverse
facilement.
D'ailleurs, le bruit produit sur le fond d'une chaloupe ou: même celui des pas
sur une
berge (transmission de l'onde sonore ou d'une vibration du solide vers le
milieu liquide)
se communique facilement â l'eau. Les poissons fuient spontanément. L'eau
propage le
son merveilleusement et plus facilement que l'air. Les paissons comme le
brochet, le
doré, la truite, le barracuda, le requin,.... entendent fort bien et
réagissent avec une grande
vivacité.

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Les cyprinidés, sont particulièrement douées : ils entendent les vibrations de
1 Hz à
5000 Hz et distinguent les écarts d'un ton ou même d'un demi-ton. L'oreille du
poisson
comprend deux parties principales. Premièrement, une partie triangulaire :
l'utricule
portant trois tubulures servant à l'équilibre. L'autre partie est constituée
d'une appendice
inférieure ovale qui est le véritable centre de l'audition ( la saccule)et la
lagena ou petit
bourgeon qui ressemble à notre colimaçon. L'appareil auditif, bien que
rudimentaire en
comparaison du nôtre, n'indique pas sa surdité. Par contre, il faut noter que
nous sommes
dans un milieu beaucoup plus dense et plus conducteur des ondes sonores et que
cet
organe est relié avec la vessie, véritable caisse de résonance acoustique.
L'idée d'émettre des sons par un leurre est d'origine assez lointaine
également. En
preuve, le brevet américain No 726,020 de T.A. Bryan délivré le 21 avril 1903
traitant de
faire bouger la queue par un électroaimant ainsi qu'au brevet américain de
Samuel
J.Carnes du 20 août 1949 portant le No 2,577,229 émettait un son à partir d'un
vibrateur à
lame èa l'aide d'un électroaimant. De ce fait, mon leurre possède un
générateur
d'oscillation relié à une enceinte acoustique piézo-électrique émettant une
gamme
ajustable en basse fréquence du solide vers le milieu liquide selon l'espèce
convoitée.
Plusieurs brevets antérieurs ont traité de cette fonction, tel que le brevet
américain de 3.I.
Pankove portant le numéro 2,757,475 émis le 13 mai 1954 relatif à un
oscillateur
transformant le signal électrique à mécanique, le brevet américain 2,784,399
de T.P.
Smith qui déplaçait un diaphragme semblable à une enceinte acoustique, le
brevet
américain de Clifton J. Dugan No 4,583,313 émis le 22 avril 1986 utilise un
circuit
d'horloge 555 seul, le brevet américain de Gabriel S.F. l~uentes et al.
portant le No
4,805,339 relatif à une enceinte à plaque vibrante activée par un champ
magnétique aux
fréquences comprises entre 50 et 300 Hz., les brevets américains No 5,237,771
et
5,485,697 daté du 24 août 1993 et du 23 janvier 1996 respectivement de Teddie
G.
Watson et al. relatif à un oscillateur agissant sur un plongeur créant en même
temps un
mouvement, le brevet américain de Jaims N. Kim et al. délivré le 8 août 2000
portant le
numéro 6,098,331 qui émet plutôt une onde sinusoïdale à fréquence de 1,8KHz ou
entre
3KHz et 4,2 KHz , le brevet américain No 6,108,962 de Thomas J.Barron qui
possëde un
système amovible pour changer la fréquence en remplaçant différentes
composantes
ayant une émission programmée pour attirer ou repousser telle ou telles
espèces, le brevet
canadien de Michael Lucas et al portant le No CA 2,231,124 et américain
6,108,963 qui
utilise un champ électromécanique en faisant frapper une bille d'acier sur une
autre pièce
d'acier pour attirer ou repousser certaines espèces, le brevet américain US
6,192,617 B 1
d'Adolph L. Lyles qui utilise un microcontrôleur seul pour activer une
émission sonore et
des diodes émettrices de lumière, un moteur, une résistance pour chauffer une
plaquette
afin d'émettre l'odeur.
L'analyse des divers brevets pour émettre un son ou une vibration utilise
différentes
techniques tel que le choc mécanique de billes d'acier, le champ magnétique,
l'oscillateur
électronique sur une cellule piézoélectrique, une cellule solaire, un
vibrateur sur un
diaphragme, sur un marteau , un solénoïde, sur un diaphragme, mécanique par
turbine,
mécanique par ailettes sur roue dentelée ou autres, par hélices qui
s'entrechoquent, par
parties mobiles qui s'entrechoquent, par électrolyses,' pa~~ un aimant
permanent dans un
champ magnétique, par moteur tel que décrit au brevet américain No 3,841,012
délivré à
Christopher T. Maled le 15 octobre 1974, la mise en route de ces systèmes par
traction,
par interrupteur au mercure, par piézo-électricité, par billes d'acier, par
écoulement d'un
fluide gazeux tel que décrit au brevet No 3,309,811 délibéré à J.T. Wimer le
21 mars 1967
ou aqueux, . . .

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L'analyse de tous ces systèmes m'a conduit à l'utilisation d'une enceinte
acoustique
piézoélectrique et/ou céramique. Le brevet de référence américain porte le No
1,809,713
émis le 7 janvier 1927 émis à Walter Kühnert et al relatif au microphone.
Mes observations de pêche et en rive m'indiquent que la fréquence du battement
du coeur
est très appropriée et pique suffisamment la curiosité de différentes espèces
soit autour de
1 Hz à 15 Hz.
Le sens de la pression
Il nous est difficile d'imaginer en quoi consiste ce sens hien que ressentit
lors de descente
et de remontée trop rapide. Les poissons possèdent des organes qui
enregistrent les
variations de pression. La vessie natatoire des poissons est un stabilisateur
hydrostatique.
Certains poissons utilisent l'air dans leur vessie jouant en quelques sortes
un rôle de
ballast et compense par l'oval. Cet organe récepteur est sensible à la
pression. Certains
poissons possèdent même des osselets de Weber ( ensemble de petits os
similaire à
l'humain par laquelle la vessie communique avec l'oreille interne). Cet organe
agit
également sur l'ouïe et la rend particulièrement fine.
L'enceinte acoustique piézoélectrique, selon sa configuration, émet donc un
signal
détectable de pression pour un autre poisson. Cette vibration attire
l'attention dans un
banc de dorés ou autres espèces et émet un signal dissemblable au banc et, de
ce fait; est
perçue comme un étranger ( prédateur ou proie). La meilleure défense en ce
milieu est
l'attaque. L'invention de l'appeleur de poisson des brevets américains
3,414,873,
5,046,278 et 5,883,858 indiquent bien cette réalité.
Le sens vibratoire
Il nous est également difficile d'imaginer ce sens fournil; par la ligne
latérale. Ce système
est une spécialité des poissons. Il s'agit d'un système de canaux , dont le
plus évident est
celui qui court le long des flancs et qui s'ouvre par une série de pores
incrustées dans les
écailles. Le canal latéral se prolonge dans la tête par un petit nombre de
canaux, en
particulier le long des mâchoires et autour des yeux. Cet organe sensoriel
possède
plusieurs nerfs reliés au centre nerveux pouvant lui indiquer la position de
son corps dans
le milieu, sa position géographique, les obstacles et aux charges de type
électromagnétiques. Avant, pendant et après l'orage, les prédateurs sont en
quelques
sortes baignés dans un milieu magnétique et électrostatique chargé
positivement les
rendant très vivaces et agressifs faisant qu'ils rejoignent les zones à
décharge rapide tel
que la surface, les rives, les îles, les rochers, les troncs d'arbres,...
Certains pêcheurs
disent que le poisson est fouetté par l'orage.
C'est aussi grâce à ce système que le poisson ressent les mouvements de l'eau,
les
courants et les vibrations. C'est le toucher à distance. Certaines espèces
sans écailles
comme les salmonidés ont donc cet organe à fleur de peau. D'autres possèdent
des
cellules çilliées ou cupules sensibles en s'inclinant au gré des courants
provoquant de ce
fait une excitation du nerf pouvant même capter des pulsations d'un voisin
immédiat ( Le

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banc de poisson agissant comme un être unique) et, selon mes observations, les
pulsations
du coeur d'un autre poisson. D'autres possèdent des cellules appelëes ampoules
de
Lorenzini. Par exemple, le requin peut détecter un champ électrique généré par
une pile
de 1.5 Volts dont les deux pôles seraient distants d'environ 1.5 Kilomètre.
Beaucoup
d'autres espèces possêdent des cellules à caractère électromagnétique.
Certains brevets
traitent de ce sujet tels que le brevet canadien portant le numéro CA 2360862
de Cecil R.
Spurgeon déposé le 1 novembre 2001 relatif à l'émission d'un champ électrique
par le
principe piézoélectrique, le brevet américain No 4,625,447 de Beverly J.
Buchanan qui
utilise une cellule solaire qui transmet un champ électrique au leurre, le
brevet américain
No 4,970,808 émis à Lewis E. Massie le 20 novembre 1990 relatif au bruit
qu'émet un
court-circuit dans l'eau, le brevet américain 5,175,950 de Wyck R. Linder émis
le 5
janvier 1993 à l'effet d'émettre un champ électromagnétique autour du leurre,
la fonction
pouvant être programmer par un circuit ROM, le brevet américain émis à
Nicholas A.
Rodgers le 16 décembre 1997 portant le No 5,697,182 et le brevet canadien CA
2360862
rendu publique le 2 mai 2002.
Mon leurre possède un circuit émettant un champ électrique et un champ
magnétique. Le
voltage se doit d'être de 1 millivolts à 3 volts. La fréquence sera fixée
selon l'utilisation
et la conductivité du milieu et de l'effet recherché. Le brevet américain US
6,389,735 B1
indique bien l'effet du champ électrique sur les espèces.
Très peu d'études furent réalisées dans cette sphère d'activité et encore
moins pour le
champ magnétique, véritable sens de l'orientation chez plusieurs espèces
animales tel que
les troupeaux de mammifères, les oiseaux, les tortues, les insectes et les
poissons,...
Une légère motion sur ce phénomène est indiquée au brevet américain No
5,924,236
délivré à R. Preston le 20 juillet 1999 .Le champ magnétique terrestre varie
entre 20 et 50
micro-teslas. Les variations sont continues à toutes heures du jour selon : la
météo,
l'activité solaire, le lieu et bien d'autres choses inconnues de l'homme à ce
jour,... Il se
compose, en bref, d'une composante horizontale et d'une composante verticale.
Le fer, la
ferrite et certains autres métaux comme le nickel, le chrome et autres, étant
de meilleurs
conducteurs magnétiques que l'air, le corps des bobines devra donc en être
composé. La
bobine aura une dimension de 7 à 10 fois plus longue que son diamètre et
seront
enroulées par plusieurs spires ,jointives. Le champ magnétique autour de
plusieurs
conducteurs est égal â la somme des champs créés par chacun d'eux. L'induction
créée,
contrairement au champ électrique qui lui, se doit d'être rayonnant, est
plutôt de type
absorbant et interférent. La raison principale est que la densité du flux
magnétique est
fonction de l'ampérage, mais aussi du nombre de fils composant la spire. Par
les
équations, on peut tirer qu'une bobine composée de 750 spires jointives de 10
fils de très
faible diamètre avec un ampérage de 22 milliampères crée en son centre un flux
magnétique de 211 micro-teslas, soit de 4 à 10 fois celui du champ magnétique
terrestre.
Partant du principe qu'une faible variation de ce champ attire l'attention du
prédateur
dans la pénombre, on peut conclure dans le cadre de ce brevet que le but est
atteint. Il est
à noter également que la micro enceinte acoustique, munie d'un aimant
permanent,
participe à une orientation déterminée du champ à l'intérieur du leurre et la
transformation du pulse électrique en acoustique fait varier le champ
résultant et participe
à la variation mutuelle lorsque la bobine horizontale ou verticale entre en
action.
On peut également prendre en considération qu'un aimant permanent qui se
déplace
autour d'un conducteur émet une force électromotrice tel que démontré au
brevet
Américain 3,696,251 délivré à James David Last et al. le 3 octobre 1972.,De
plus, la
physique indique que deux aimants permanents de pôles semblables qui
s'approchent
l'une de l'autre par un mouvement provoqué ont une tendance à se repousser
l'un de

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l'autre et génère une variation du champ magnétique. La réciproque est
également vraie
et les champs s'additionnent alors. De même, un déplacement d'un aimant
permanent à
l'intérieur d'une bobine modifie Ia tension induite et son champ magnétique.
Mon leurre possède donc une telle fonction .
Le sens de l'Odorat et le Goûter
Les poissons, comme nous, sont dotés de ces deux sens. On ne parle pas
seulement d'un
unique sens chimique mais bel et bien d'un sens sensible aux fluides
corporels, aux
hormones, aux phéromones, à la salinité, à l'odeur des excrétions et/ou de
nournture,...
Il s'agit bien, chez eux aussi, de deux ordres de sensations, les organes
récepteurs sont
distincts. Le centre de l'odorat est logé dans la partie la plus antérieure du
cerveau au lobe
olfactif. Les espèces à l'odorat raffiné ont des narines à double ouverture,
dont un des
orifices est parfois porté au sommet d'un appendice, chaque narine s'ouvre
dans un vaste
organe olfactif formé de nombreuses lamelles.
Le brochet possède des fosses nasales presque sans replï.s mais :fermées sans
communication avec la bouche.
Quant au goût, il est chez l'humain localisé dans la bouche et surtout sur la
langue. Chez
les poissons, ils ont des bourgeons du goût sur les lèvres, sur les
barbillons, autour de la
bouche, sur la langue, sur la tête et même jusque prés de la queue pour les
espèces à peau
nue. Les poissons goûtent à distance, car ils baignent dans un liquide
(solvant) où les
substances à saveurs peuvent diffuser, se dissoudre, ce qui peut atteindre à
une certaine
distance les bourgeons sensoriels de l'animal.
Le requin peut détecter une goutte de sang diluée dans 100,000 litres d'eau.
Mon leurre possède un système à dissolution de saveur et d' odeur par
diffusion et
solubilisation lente. La matière plastique de recouvrement du leurre pourrait
également
posséder un goût et une odeur attractive.
Mon système, à priori, est un réservoir à remplissage selon le besoin relié à
une conduite
de passage de l'eau lors de la traînée du leurre. L'eau se heurte à des fibres
de plume
d'oiseaux enroulées autour d'un ressort faisant office de valve et lorsque ce
dernier est
étiré, il permet la libération d'une quantité faible et mesurée, d'un
attracteur à saveur
etlou à odeur . L'attracteur odoriférant et à saveur dilué dans une huile à
viscosité
contrôlée se laisse diluer lentement dans l'eau qui circule dans cette
conduite . Les
poissons goûtent souvent leurs aliments et rejettent ce qui ne leur convient
pas, Ainsi,
plusieurs sens interviennent conjointement ou successivement dans leurs choix
de
nourriture (C'est la façon de goûter dans ce milieu).
L'idée d'un leurre émettant une substance attractive c'est vue conférer le
brevet
américain No 1,993,990 le 7 mars 1933 à J. Catarau. Depuis cette époque,
plusieurs
brevets furent émis traitant des procédés d'émission d'odeur et de saveurs par
différentes
techniques tel que des chambres contenant des solides, des liquides, des
matériaux poreux
contenant l'attracteur, des dispositifs reliés à la ligne à péche, des
matières à dissolution
lente soluble à l'eau dans une chambre ou de recouvrement du leurre tel
qu'indiqué au
brevet américain No 4,875,305 délivré à J.O Bridges le 24 octobre 1989,
d'absorption par
immersion du leurre dans son entièreté, de bandes absorbantes de l'attracteur,
de système
mécanique de livraison de l'ariracteur, de microencapsulation sur polymère ou
gélatine
libérant l'attracteur par diffusion ou solubilisation lente tel qu'indiqué au
brevet
américain No 4,927,643 délivré à V.T. D'orazio et al. le 22 mai 1990, par
réservoirs
amovibles et confinements différents pour mélange, par ampoules
introduites,...

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Mon leurrE distincts s'appuie sur le brevet américains No 3,993,746 émis à
Myron A.
Beigler sur la composition d'attracteurs, le brevet délivré à John D. Hastings
portant le
numéro 4,589,223 relatif à la composition des plastiques de fabrication des
leurres, le
brevet No 4,704,286 émis à Daniel Rittschof et al. sur la composition
d'additifs
permettant une morsure plus longue, le brevet portant le numéro 4,826,691 émis
à John
A.Prochnow le 2 mai 1989 sur les polymères contenant des attracteurs, le
brevet du 22
mai 1990 délivré à Vincent T. D'Orazio et al sur la composition de polymère
contenant
un attracteur, le brevet de Robert G. Carver No 4,993,183 sur l'utilisation
d'huile de
bananes, le brevet américain No 5,185,164 pour la capture d'espèces par un
atiracteur
contenant des acides aminées émis le 9 février 1993, les brevets américains de
Solomon
Rosenblatt No 5,554,658 et 5,554,659 relatif à des procédés d'injection de
PVA, le brevet
émis le 9 septembre 1997 portant le numéro 5,664,362 relatif à déclencher le
réflexe de
morsure spontané, le brevet Américain No 5,664,363 émis le 9 septembre 1997 à
Alexander J. Keenan sur des polymères absorbants pour la recharge de
l'attracteur, de la
composition chimique d'attracteur relié au brevet américain No 5,827,551 émis
le 27
octobre 1998 à John A Prochnow, de la composition chimique des attracteurs au
brevet
Américain No 5,912,029 émis le 15 juin 1999 à James Spickelmire , le brevet
américain
US 6,269,586 B1 du 7 août 2001 délivré à Keith Jones relatif à un mélange
électrolyte
pour provoquer et maintenir la morsure et finalement 1e brevet américain de
J.B.
Sebastiani délivré le 2 juillet relatif à une valve à bille pour libérer une
substance
attractive à partir d'un réservoir.
Aucunes recherches sur les hormones et phéromones et l'émission d'ammoniaque
par les
ouïes n'est mentionnées dans les différentes compositions des attracteurs dans
ces
lectures plus qu'intéressantes.
Mon leurre se veut un leurre artificiel aux endroits où les appâts vivants
sont interdits et
l'avantage certain du leurre artificiel étant d'être récupérable et
réutilisable. Il se veut un
précurseur de recherches en milieu aquatique en utilisant les différentes
techniques
énumérées précédemment. Les différentes fonctions peuvent être activées ou
désactivées
au besoin à l'aide d'interrupteurs contrairement au brevet américain No
4,953,319 délivré
à J.M. Kasper et A1 le 4 septembre 1990 et au brevet américain No 4,823,497
délivré le
25 avril à K.W Pierce. Les composantes électroniques seront fixées selon le
besoin du
client. Les piles boutons pourraient être de types rechargeables afm d'éviter
la mauvaise
disposition des piles usagées pour l'environnement sans omettre le
rechargement par
cellules photovoltaïques. Ce leurre multifonctions n'existe pas tant aux USA
qu'au
Canada .
Mon leurre se différencie des leurres multifonctions nouvellement brevetés car
le circuit
électronique insérer commande toutes les fonctions : le spectre visible sera
couvert et
même plus, le son et les vibrations sont à base fréquence de 1 Hz à 15 Hz , le
champ
électrique est pulsé , le champ magnétique est une variation de champ et fait
partie d'une
fonction distincte de faible intensité , une charge électrostatique est
établie par un
condensateur en parallèle au champ électrique permettant une extension du
champ dans le
temps en fonction de la conductivité du milieu et la façon de libérer les
odeurs et saveurs
n'existe pas de cette manière. Une micro pompe pourrait être également insérée
rendant
l'émission d'odeur et de saveur automatique. L'ouverture du ressort ou du tube
troué
tournant peut également se mettre d'une façon autornatidue avec le circuit par
un
dispositif de type solénoïde. II est important d'indiquer que la quantité
d'attracteur délivré
doit être de très faible quantité afin d'éviter Ia saturation d'un secteur,
car la saturation
aveuglerait au lieu de diriger le prédateur vers le leurre. La forme est
réelle, les couleurs
sont réelles et/ou complémentaires ( l'utilisation des cou:(eurs
complémentaires annule le

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côté naturel de camouflage de l'espèce ) , la structure du leurre est un
circuit imprimé
rattachant l'entièreté du leurre ( un brevet Américain s'approche de cette
configuration et
porte le No 5,175,951 délivré à Russel L. Fruchey en date du 5 janvier 1993).
Ce leurre se
veut également un leurre sur commande spécifique. Les fréquences d'oscillation
pourront
donc être établies sur demande du client soient par le changement des
composantes
passives mais aussi des composantes actives ( oscillateurs, transistors,...)
DESCRIPTION DE L'INVENTION
Voici la description plus détaillée à l'aide des dessins annexés. En fig.l à 3
je décris le
processus de mise en solution de substances à saveur et odeur. Le réservoir
(1) sert à
contenir l'attracteur qui est ouvert par une conduite (5) composé d'un ressort
entouré
d'une plume d'oiseau enroulée (3) semblable au principe de la construction de
mouche ou
ceinturé d'une capuche perméable au solvant de l'attracteur possédant une
caractéristique
similaire par de longs fils tel qu'un coton ouaté qui laisse des fibres
s'emprisonnées entre
les spires du ressort (4) . L'étirement du ressort (7) permet au fluide
contenant l'attracteur
d'imbiber les fibres et le passage de l'eau dans la conduite entraîne
lentement l'huile
contenant l'attracteur lors de la traction du leurre dans le milieu par
l'orifice de sortie (2).
L'étirement du ressort peut se faire automatiquement par le circuit
électronique en
activant une solénoïde ( 1 S).
Le processus de libération de l'attracteur peut se faire également par deux
tubes
concentriques troués et, dépendamment de sa position libérera plus ou moins
d'attracteur
(8). Un bouton de positionnement (9) permet la position voulue. La rotation du
robinet (9)
peut se faire automatiquement par un processus similaire en activant un
solénoïde qui agit
sur un bras de positionnement .
Le processus de libération de l'attracteur peut se faire également par une
valve solénoïde
(11) activée également par un transistor agissant comme interrupteur commandé
par la
base de ce dernier. Ce plongeur (11) peut agir comme valve ou comme pompe
aspirante
foulante (25) à l'aide d'un jeux de clapets de retenu afm de doser la quantité
d'attracteur.
Une conduite d'équilibre des pressions est requise(14).
La quantité d'attracteurs émis ne doit pas saturer la baie ou le secteur, car
une saturation
du milieu annihilera cette fonction. Ainsi, on parle de très petit système de
pompage et les
solénoïdes ne sont donc pas très énergivore.
A la figure 4, une micro enceinte acoustique (20) est activée par un
transistor commandé
par sa base par le circuit séquenceur permettant l'émission sonore et la
vibration du
circuit imprimé dans son entièreté. Un piézocéramique (21) peut aussi faire
l'affaire. La
commande d'énergie peut être ajuster par le choix judicieux des transistors,
de la
résistance de limitation du courant et par une source de courant plus
puissante.
L'oscillateur est réglable par le changement du condensateur et de la
résistance reliée au

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circuit d'horloge 555. Mes observations sur le terrain m'indiquent qu'une
fréquence de
1Hz à 15 Hz est très attirante pour les poissons de notre territoire. Cette
fréquence peut
être ajustée par le changement des composantes appropriées selon la demande du
client.
A la figure 5, le même circuit séquenceur permet également la libération d'un
pulse
électrique commandé sur la base du transistor . Ce dernier peut également être
choisi
selon sa puissance ainsi que sa résistance de limitation et sa source
électromotrice. La
fréquence des pulses peut être réglée de la même manière . La cathode est
composée sur
la nageoire dorsale dans le processus du développement du circuit imprimé,
mais le
cuivre résiduaire composant la cathode sera traité afin de protéger ce dernier
de l'oxydo-
réduction du milieu. L'anode est branchée en juxtaposition avec l'hameçon du
ventre. Un
condensateur (30) est branché en parallèle avec les électrodes permettant une
décharge
plus continue et en fonction de la conductivité du milieu. Le voltage se doit
d'être entre 1
millivolts et 3 volts. Une résistance variable pourrait être insérée pour
permettre cet
ajustement. Le bloc énergie (32) peut être constituer de 4 à 5 piles boutons
de 1,5 Volts
ou d'une pile de 12 volts possédant une dimension similaire telle qu'utilisée
dans les
démarreurs à distance des voitures.
A la figure 5 A , le même circuit séquenceur est utilisé en actionnant un
transistor pour la
bobine horizontale (40) et un autre transistor pour la composante verticale
(41). Ces deux
transistors peuvent être actionnés séquentiellement ou simultanément. Les
composantes
peuvent être choisies en fonction de l'effet désiré et de la puissance
requise. Tel que
discuté précédemment , il ne s'agit pas d'émettre un champ malmétique, mais
plutôt
d'influencer et de créer une variation du champ autour et à l'intérieur du
leurre. Le
principe utilise la loi que le champ magnétique autour de plusieurs
conducteurs est égal à
la somme des champs créée par chacun d'eux permettant de ce fait de créer des
champs
relativement intenses avec des courants relativement faibles ainsi que la loi
de
l'interférence par l'utilisation des champs de l'aimant permanent, du champ
magnétique
terrestre ainsi que des champs générés par les deux bobines.
De plus, on peut utiliser le déplacement de petits aimants permanents (44) à
l'intérieur
d'une espace et ce mouvement de ces dernières crée une variation du champ
magnétique
tel qu'illustré à la section (42) . Le brevet américain 6,301,822 Bl émis le
16 octobre à
J.P. Zernov démontre la faisabilité d'un tel mouvement par-contre dans le cas
de ce
brevet il ne s'agit qu'émettre un bruit. Ou bien le déplacement d'un petit
aimant
permanent ceinturé par une bobine {43) générant une variation d'une tension
induite
exploitable tel qu'indiqué au brevet américain No 4,114,305 émis à A.M.
Wohlert le 19
septembre 1978, ou d'une variation de l'induction sur la dite bobine créant
une
fluctuation du champ magnétique tel qu'illustré à la figure (43). Ces
déplacements
peuvent être créés par le mouvement du leurre, par rotation d'un aimant relié
à un axe
relié à une hélice (45) ou ailette ou par des solénoïdes reliés au circuit
électronique ou à
un oscillateur indépendant ou l'un ou l'autre ou les deux à la fois.
A la figure 5 B , le même circuit séquenceur est utilisé et la commande sur la
base de
certains transistors peut être actionnée d'une façon séquentielle ou
simultanément selon
les besoins du client, de l'espèce convoitée, de la profondeur,... Lors
d'observations de
pêche, il apparaît certain que les yeux des poissons sont très réflectifs à la
lumière, une
diode émettrice jaune sera donc installée dans l'un des deux yeux et une diode
émettrice
blanche pour l'autre (50). D'ailleurs, plusieurs brevets antérïeurs démontrent
un tel

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positionnement de la lumière. Une diode émettrice verte dans la zone du
gouvernail de
profondeur (53) en plastique translucide laissera cette radiation s'échapper
du leurre. Une
diode émettrice rouge et/ou infrarouge sera positionnée dans Ia zone des ouïes
(51), ainsi
que des diodes émettrices de bleu, violet et violet lointain seront
positionnées dans la
zone corporelle (52).
A la figure 6, un circuit imprimé multicouches agissant comme élément
structurel
recevant toutes les composantes électroniques ainsi que les attaches pour les
hameçons
avec les trous appropriés pour relier les composantes physiques, mécaniques ,
électriques
et électroniques.
A la figure 7, le circuit électronique de base permettant l'alimentation de
toutes les
fonctions, les valeurs présentées ne sont que des exemples d'un circuit
fonctionnel.
Certaines composantes doivent être ajustées en fonction de la demande du
client. En bref,
il s'agit d'un circuit d'horloge dont la fréquence est ajustable par la
résistance de 47 K et
du condensateur d'un (1) microfarad. Cette oscillation esttransmise à un
circuit
séquenceur ici de 10 sorties activant les bases des transistors permettant le
passage de
l'électricité aux différentes fonctions. Deux sources de voltage peuvent donc
être
utilisées. Un deuxième oscillateur peut être ajouter selon certaines
spécifications ou pour
une activation des différentes composantes utilisant les solénoïdes.
A la figure 8, la forme du circuit imprimé épouse la forme réelle de l'espèce
convoitée et
représente l'aspect du leurre ici en noir et blanc.
A la figure 9, une représentation graphique des fonctions du leurre, la forme,
une
représentation noir et blanc des contrastes, l'aspect des saveurs et de
l'odorat, du bruit et
de la vibration, des lumières, du champ électrique et électrostatique, du
champ
magnétique et l'emplacement de piles.

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DESCI2IPTI~N DE,S DESSINS
Cette invention sera mieux décrite par les illustrations suivantes
Fig. 1 Cette figure démontre la structure du réservoir avec la valve ressort
activée
manuellement, un dispositif solénoïde peut être ajouter pour étirer le ressort
permettant à
l'attracteur d'être libérer dans la conduite.
Fig. 2 Cette figure démontre la structure du réservoir avec la valve manuelle
à
conduites concentriques, un dispositif solénoïde peut être ajouter afm de
créer la rotation
du tube permettant la libération de l'attracteur.
Fig. 3 Cette figure démontre la structure d'une valve solénoïde permettant la
libération de l'attracteur dans la conduite, le passage de l'eau entraînant ce
dernier. Le
dispositif à plongeur peut être coupler avec un jeux de clapets formant une
pompe
aspirante-foulante à piston.
Fig. 4 Cette figure démontre la fabrication du son et des vibrations.
Fig. 5 Cette figure démontre l'anode et la cathode pour l'émission d'un champ
électrique et du maintien d'une charge de type électrostatique à l'aide du
condensateur
qui libérera sa charge en fonction de la constante de conductivité du milieu.
Fig. SA Cette figure démontre la création des champs magnétiques à partir des
bobines, l'une horizontale et l'autre verticale et l'interféren:ce entre
l'aimant permanent
de l'enceinte acoustique et avec le champ magnétique terrestre. U:ne bobine de
création
du champ horizontal en (40), du champ vertical en (41), d'une variation de
champ
magnétique par le déplacement d'aimants permanents de type alternatif ou
rotatif en
phase ou opposition de phase par le mouvement du leurre ou provoqué (42), ou
par le
déplacement provoqué électroniquement et/ou par le mouvement du leurre d'un
aimant
permanent ceinturé d'une bobine générant une tension induite en phase ou
opposition de
phase ou alimentant une autre bobine dans le but de créer u.ne interférence
des champs
magnétiques à l'intérieur et à proximité du leurre.

CA 02417420 2003-O1-29
Fig. 5B Cette figure montre l'émission de lumière tel que le jaune et le blanc
aux
yeux, le rouge aux ouïes, le vert par la palette de profondeur en matière
translucide, le
bleu, le violet et le violet lointain dans la section corporelle.
Fig. 6 Cette figure démontre le circuit imprimé relatif au circuit
électronique du
leurre. Le circuit imprimé est de type multicouches. Ce circuit épouse la
forme réelle que
prend le leurre et s'inspire de la forme réelle du poisson appât.
Fig. 7 Cette figure démontre le circuit électronique de base.
Fig. 8 Cette figure démontre le leurre dans son aspect extérieur et des
différentes
configurations tel que la perchaude, le doré, l'achigan , le brochet...
Fig. 9 Dessin du leurre pour la page de présentation de la demande de brevet.

Representative Drawing
A single figure which represents the drawing illustrating the invention.
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Description 2003-01-29 13 993
Claims 2003-01-29 4 193
Cover Page 2004-07-05 1 48
Drawings 2003-01-29 8 281
Representative Drawing 2003-03-18 1 16
Correspondence 2003-02-26 1 14
Assignment 2003-01-29 2 128
Fees 2004-01-30 4 172
Prosecution-Amendment 2003-01-29 74 3,782
Correspondence 2005-01-06 1 24
Fees 2005-01-06 1 24
Correspondence 2006-10-20 1 19