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Patent 2791159 Summary

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Claims and Abstract availability

Any discrepancies in the text and image of the Claims and Abstract are due to differing posting times. Text of the Claims and Abstract are posted:

  • At the time the application is open to public inspection;
  • At the time of issue of the patent (grant).
(12) Patent Application: (11) CA 2791159
(54) English Title: FOOTWEAR WITH IMPROVED TIGHTENING ON THE UPPER
(54) French Title: CHAUSSURE A SERRAGE DE TIGE AMELIORE
Status: Dead
Bibliographic Data
(51) International Patent Classification (IPC):
  • A43B 5/04 (2006.01)
  • A43B 5/00 (2006.01)
  • A43B 23/00 (2006.01)
(72) Inventors :
  • DONNADIEU, THIERRY (France)
(73) Owners :
  • SALOMON S.A.S. (France)
(71) Applicants :
  • SALOMON S.A.S. (France)
(74) Agent: GOUDREAU GAGE DUBUC
(74) Associate agent:
(45) Issued:
(22) Filed Date: 2012-09-27
(41) Open to Public Inspection: 2013-04-10
Availability of licence: N/A
(25) Language of filing: French

Patent Cooperation Treaty (PCT): No

(30) Application Priority Data:
Application No. Country/Territory Date
11.03080 France 2011-10-10

Abstracts

French Abstract





Chaussure (1) comprenant un semelage externe (2) et une tige (3), la chaussure
(1)
s'étendant en longueur depuis un talon (4) jusqu'à une pointe (5), en largeur
entre une partie
latérale (6) et une partie médiale (7), et en hauteur depuis la semelage
externe (2) jusqu'à une
extrémité supérieure (12), la chaussure (1) présentant une ouverture de
chaussage (17), et
comprenant un renfort (40) qui fait partie de la tige (3) et dont la rigidité
est supérieure à celle
du reste de la tige, au moins dans la région du cou-de-pied, le renfort (40)
comprenant un bord
latéral (42) et/ou médial (43) qui s'étend sur une longueur réduite de la
chaussure (1) au moins
à l'aplomb du cou-de-pied, la chaussure comprenant un lien transversal (50)
prévu pour serrer
la zone de cou-de-pied, le lien (50) s'étendant de la partie latérale (6) à la
partie médiale (7).
Le lien (50) comprend une première subdivision (51) qui s'étend dans le sens
de la
longueur de la chaussure (1), selon une distance comprise entre 25 et 70% de
la longueur (L)
de celle-ci.

Claims

Note: Claims are shown in the official language in which they were submitted.



10

REVENDICATIONS

1- Chaussure (1) comprenant un semelage externe (2) et une tige (3), la
chaussure (1)
s'étendant en longueur depuis un talon (4) jusqu'à une pointe (5), en largeur
entre une partie
latérale (6) et une partie médiale (7), et en hauteur depuis la semelage
externe (2) jusqu'à une
extrémité supérieure (12), la chaussure (1) présentant une ouverture de
chaussage (17), et
comprenant un renfort (40) qui fait partie de la tige (3) et dont la rigidité
est supérieure à celle
du reste de la tige, au moins dans la région du cou-de-pied, le renfort (40)
comprenant un bord
latéral (42) et/ou médial (43) qui s'étend sur une longueur réduite de la
chaussure (1) au moins
à l'aplomb du cou-de-pied, la chaussure comprenant un lien transversal (50,
80) prévu pour
serrer la zone de cou-de-pied, le lien (50, 80) s'étendant de la partie
latérale (6) à la partie
médiale (7),
caractérisée par le fait que le lien (50, 80) comprend une première
subdivision (51, 81) qui
s'étend dans le sens de la longueur (L) de la chaussure (1), selon une
distance (1) comprise
entre 25 et 70% de la longueur (L) de celle-ci.
2- Chaussure (1) selon la revendication I, caractérisée par le fait que la
première
subdivision (51, 81) du lien (50, 80) s'étend depuis le tarse postérieur
jusqu'au métatarse.
3- Chaussure (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisée par le fait que
la première
subdivision (51) est médiale.
4- Chaussure (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisée par le fait que
la première
subdivision (81) est latérale.
5- Chaussure (1) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée par le
fait que la
première subdivision (51, 81) est solidarisée directement au renfort (40).
6- Chaussure (1) selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée par le
fait que le renfort
(40) est localisé à l'extérieur de la tige.
7-
Chaussure (1) selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisée par le fait
que le renfort
(40) comprend le bord latéral (42) et le bord médial (43).
8- Chaussure (1) selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée par le
fait que le lien
transversal (50, 80) comprend une première portion (55, 85), par le fait que
la première
subdivision (51, 81) fait partie de la première portion (55, 85), et par le
fait que la première
subdivision (51, 81) présente une forme générale triangulaire.
9- Chaussure (1) selon la revendication 8, caractérisée par le fait que la
première
subdivision (51, 81) comprend trois branches (61, 62, 63, 91, 92, 93).
10- Chaussure (1) selon la revendication 8 ou 9, caractérisée par le fait
qu'un bord arrière
(64) de la première subdivision (51, 91) forme, avec un plan (P) tangent au
semelage externe
(2), un angle (a) dont la valeur est comprise entre 35 et 70 degrés.
11- Chaussure (1) selon l'une des revendications 8 à 10, caractérisée par le
fait qu'un bord
avant (65) de la première subdivision (51, 81) forme, avec un plan (P) tangent
au semelage
externe (2), un angle (13) dont la valeur est comprise entre 60 et 85 degrés.



11
12- Chaussure (1) selon l'une des revendications 8 à 11, caractérisée par le
fait que le lien
transversal (50) comprend une deuxième portion (56, 86), ainsi qu'un moyen de
liaison (57)
prévu pour relier de façon amovible la deuxième portion (56, 86) à la première
portion
(55, 85).
13- Chaussure (1) selon la revendication 12, caractérisée par le fait que la
deuxième
portion (56, 86) comprend une bande (66) dont la largeur (W) est comprise
entre 5 et 20% de
la longueur (L) de la chaussure.
14- Chaussure (1) selon la revendication 12, caractérisée par le fait que le
lien (50, 80)
comprend deuxième subdivision qui s'étend dans le sens de la longueur de la
chaussure selon
une distance comprise entre 25 et 70% de la longueur de celle-ci.
15- Chaussure (1) selon l'une des revendications 1 à 14, caractérisée par le
fait qu'elle
comprend un rabat (25) prévu pour couvrir l'ouverture de chaussage (17).

Description

Note: Descriptions are shown in the official language in which they were submitted.


CA 02791159 2012-09-27
1
Chaussure à serrage de tige amélioré
L'invention se rapporte à une chaussure, notamment de sport, et concerne plus
particulièrement une chaussure destinée à la pratique du ski, de la marche
sportive, ou de
l'athlétisme.
Cette chaussure peut être utilisée dans des domaines tels que le ski de fond
ou de télémark,
la marche ou la course à plat ou en montagne, l'alpinisme ou encore le surf
sur neige, la
raquette à neige, le patin à roues, la planche à roues, le cyclisme, un sport
de balle, ou autre.
Une chaussure peut comprendre une tige basse ou une tige haute. Il est
généralement
souhaitable que le pied d'un utilisateur soit suffisamment maintenu. En effet,
un bon maintien
du pied dans la tige permet une meilleure utilisation.
Par exemple avec une chaussure souple, telle qu'utilisée pour la pratique du
ski de fond, un
maintien suffisant facilite la transmission d'informations sensorielles ou le
déroulement du
pied. Notamment au niveau du cou-de-pied, un dispositif de serrage de la tige
est destiné à
maintenir le pied d'un utilisateur.
Traditionnellement un dispositif de serrage comprend, d'une part, un lien ou
lacet et,
d'autre part, des liaisons du lacet à la tige. Ces liaisons sont matérialisées
par des passants,
associés à des parties ou quartiers latéral et médial de la tige. Le lacet
suit un chemin qui le
mène alternativement d'un quartier à l'autre. Ainsi il suffit de tirer sur le
lacet pour rapprocher
les quartiers et serrer la tige. Ensuite, le blocage du lacet maintient le
serrage.
Un problème devant être résolu par un bon dispositif de serrage est le
maintien du pied
dans la chaussure. En particulier dans la pratique du skating, c'est-à-dire du
ski de fond exercé
selon un pas de patineur, il est important de réaliser un maintien suffisant
du pied dans une
direction transversale de la chaussure. Cela permet une poussée transversale
plus précise.
C'est pourquoi il s'agit en d'autres termes d'éviter des mouvements
intempestifs du pied, dans
la chaussure, notamment au niveau du cou-de-pied.
En effet, lorsque le pied bouge dans la tige, au niveau du cou-de-pied ou
ailleurs, la
transmission d'informations sensorielles ou d'impulsions de conduite est moins
précise. En
conséquence les performances, notamment sportives, sont altérées. De plus des
mouvements
répétés du pied dans la tige se traduisent par des frottements qui créent des
traumatismes.
Afin d'améliorer la tenue du pied, il a été proposé de munir la chaussure d'un
renfort qui
fait partie de la tige et dont la rigidité est supérieure à celle du reste de
la tige, au moins dans
la région du cou-de-pied.
Un tel exemple est apporté par le document FR 2 923 362. Dans ce dernier, une
chaussure
comprend un dispositif de serrage traditionnel, c'est-à-dire avec un lacet et
des passants
agencés pour serrer la tige de manière réversible, mais aussi un renfort
rigide qui comprend un
bord latéral et/ou médial. Le renfort s'étend sur une longueur réduite de la
chaussure, au
moins à l'aplomb du cou-de-pied. La chaussure selon le document FR 2 923 362
comprend un
lien transversal prévu pour serrer la zone du cou-de-pied, lien qui s'étend de
la partie latérale à
la partie médiale. Le lien ajoute une force de serrage à celle exercée par le
dispositif. La

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2
conséquence est un maintien plus fort du pied au niveau du cou-de-pied et/ou
du métatarse.
Cela signifie que le pied est sollicité vers le semelage externe avec plus de
force.
Cependant il est apparu que, dans une chaussure selon le document FR 2 923
362, le
maintien et/ou le confort du pied est malgré tout parfois imparfait. En
particulier, au niveau du
tarse ou du métatarse, on observe encore des mouvements parasites du pied dans
la tige, en
direction transversale et/ou en direction verticale. Ces mouvements sont
source de fatigue
pour un utilisateur, car celui-ci doit exercer des efforts supplémentaires
pour transmettre des
impulsions. De manière plus large on peut dire que la transmission des
informations
sensorielles est imparfaite.
En d'autres termes il est encore souhaitable d'améliorer la tenue du pied dans
une
chaussure, c'est-à-dire la tenue transversale, ou la tenue verticale, ou
encore les deux à la fois.
C'est pourquoi l'un des buts de l'invention est l'amélioration du maintien du
pied dans la
chaussure ou, en d'autres termes, la réduction, voire la suppression, des
déplacements
intempestifs du pied dans la chaussure. Cela en direction transversale et/ou
verticale.
Un autre but de l'invention est de rendre la chaussure plus confortable, dans
le sens d'une
moindre fatigue de l'utilisateur, ceci aussi bien en mode statique qu'en mode
dynamique. Il est
en effet intéressant d'avoir des sensations agréables aussi bien à l'arrêt que
pendant des
mouvements, tels que ceux générés lors de la pratique du ski de fond, de la
marche, ou autre.
Un but encore de l'invention est d'optimiser la transmission d'impulsions de
conduite ou
d'informations sensorielles entre l'utilisateur et un élément extérieur à la
chaussure, comme le
sol ou un engin de sport.
Pour ce faire l'invention propose une chaussure comprenant un semelage externe
et une
tige, la chaussure s'étendant en longueur depuis un talon jusqu'à une pointe,
en largeur entre
une partie latérale et une partie médiale, et en hauteur depuis la semelage
externe jusqu'à une
extrémité supérieure, la chaussure présentant une ouverture de chaussage, et
comprenant un
renfort qui fait partie de la tige et dont la rigidité est supérieure à celle
du reste de la tige, au
moins dans la région du cou-de-pied, le renfort comprenant un bord latéral
et/ou médial qui
s'étend sur une longueur réduite de la chaussure au moins à l'aplomb du cou-de-
pied, la
chaussure comprenant un lien transversal prévu pour serrer la zone de cou-de-
pied, le lien
s'étendant de la partie latérale à la partie médiale.
La chaussure selon l'invention est caractérisée par le fait que le lien
comprend une première
subdivision qui s'étend dans le sens de la longueur de la chaussure, selon une
distance
comprise entre 25 et 70% de la longueur de celle-ci.
Bien entendu le lien transversal est mis en tension, et maintenu en tension de
manière
réversible, par tout moyen connu. Par exemple le lien transversal peut
comprendre une portion
latérale, une portion médiale, ainsi qu'un mécanisme de serrage réversible.
Il apparaît donc dans la chaussure de l'invention que le lien étend
longitudinalement
l'action du serrage transversal. De ce fait les pressions de tenue du pied
sont réparties sur une
plus grande longueur, en regard à la fois d'une subdivision du tarse et d'une
subdivision du

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métatarse. Cette répartition des pressions, dans le sens d'un accroissement en
longueur,
empêche ou limite fortement un effet de bascule du pied dans la tige, par
rapport à un axe
transversal. Cela signifie aussi que des soulèvements alternatifs du tarse
postérieur et du
métatarse sont empêchés ou très limités. Cet effet est obtenu par différence
vis-à-vis de l'art
antérieur, dans lequel un lien transversal plus étroit agit parfois comme un
axe de pivotement
du pied dans la tige.
Ainsi l'invention permet avantageusement un meilleur maintien du pied, ce qui
signifie
aussi une réduction, voire la suppression, de déplacement intempestifs du pied
dans la
chaussure. Les risques de traumatismes sont donc évités, voire totalement
supprimés.
Un autre avantage procuré par l'invention est celui d'un meilleur confort du
pied dans la
chaussure, notamment dans le sens d'une fatigue réduite de l'utilisateur, que
ce soit en mode
statique ou en mode dynamique.
L'invention permet encore avantageusement une meilleure transmission
d'impulsions de
conduite ou d'informations sensorielles entre l'utilisateur et un élément
extérieur à la
chaussure, comme le sol ou un engin de sport.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à
l'aide de la
description qui va suivre, en regard du dessin annexé illustrant, selon des
formes de réalisation
non limitatives, comment l'invention peut être réalisée, et dans lequel :
- la figure 1 est une vue en perspective avant d'une chaussure selon une
première forme
de réalisation de l'invention, qui montre une partie latérale, dans un cas où
le lien
transversal serre la tige,
- la figure 2 est une vue en perspective avant de la chaussure de la figure 1,
qui montre
une partie médiale, dans un cas où le lien transversal est ouvert,
- la figure 3 est une vue du côté médial de la chaussure de la figure 1,
- la figure 4 est une vue en perspective avant d'un renfort de la chaussure de
la figure 1,
- la figure 5 est une vue du côté latéral de la chaussure de la figure 1,
- la figure 6 est une vue en perspective avant d'une chaussure selon une
deuxième forme
de réalisation de l'invention, qui montre une partie médiale, dans un cas où
le lien
transversal est ouvert,
- la figure 7 est une vue en perspective avant de la chaussure de la figure 6,
qui montre
une partie latérale, dans un cas où le lien transversal serre la tige.
La première forme de réalisation qui va être décrite après concerne plus
spécialement des
chaussures pour la pratique du ski de fond, ou de télémark. Cependant
l'invention s'applique à
d'autres domaines tels que ceux évoqués avant.
La première forme est décrite ci-après à l'aide des figures 1 à 5.
Comme le montre la figure 1, une chaussure de ski de fond est 1 prévue pour
accueillir le
pied de l'utilisateur.

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De manière connue, la chaussure 1 comprend un semelage externe 2 et une tige
3. La
chaussure 1 s'étend en longueur depuis une extrémité arrière ou talon 4
jusqu'à une extrémité
avant ou pointe 5, et en largeur entre une partie latérale 6 et une partie
médiale 7.
Telle que représentée la tige 3 comprend une portion basse 10, prévue pour
entourer le
pied, ainsi qu'une portion haute 11, prévue pour entourer la cheville.
Cependant, il pourrait
être envisagé une tige comprenant seulement la portion basse.
Selon la première forme de réalisation décrite, la chaussure 1 s'étend en
hauteur depuis le
semelage externe 2 jusqu'à une extrémité supérieure 12, c'est-à-dire jusqu'à
l'extrémité libre
de la portion haute 11 ou de la tige 3.
La chaussure 1 est structurée pour permettre une bonne flexion de la jambe ou
un bon
déroulement du pied, ainsi que la transmission d'informations sensorielles ou
d'impulsions de
conduite. C'est pourquoi la tige 3 est relativement souple. Le semelage
externe quant à lui
peut être relativement rigide, ou bien plus souple.
Comme on le voit mieux sur la figure 2, la chaussure 1 comprend un quartier
latéral 15 et
un quartier médial 16. Les quartiers 15, 16 sont destinés à couvrir le pied
et, à ce titre, sont
respectivement des éléments constitutifs des parties latérale 6 et médiale 7.
Bien entendu les quartiers 15, 16 sont solidarisés au semelage externe par des
techniques
connues telles que le collage, la couture, ou tout équivalent. Les quartiers
15, 16 sont agencés
de façon que la chaussure 1 présente une ouverture de chaussage 17. Celle-ci
17 s'étend
depuis l'extrémité supérieure 12 vers l'extrémité avant 5. Du côté de
l'extrémité supérieure 12
l'ouverture 17 présente une subdivision supérieure 18 destinée à laisser
passer le pied, et aussi
à entourer la cheville après chaussage. Au niveau du cou-de-pied, entre
l'extrémité supérieure
12 et l'extrémité avant 5, l'ouverture 17 présente une subdivision inférieure
19 qui autorise
une variation de dimension de l'ouverture et du volume de chaussage. Bien
entendu, les
subdivisions supérieure 18 et inférieure 19 se prolongent l'une l'autre.
On remarque que le talon 4 correspond à l'extrémité arrière de la tige 3, mais
aussi par
extension à la partie de la tige située immédiatement au-dessus du semelage
externe, et à
l'aplomb de la subdivision supérieure 18 de l'ouverture 17. Le talon 4 de la
chaussure
enveloppe le talon de l'utilisateur.
On observe que la tige 3 comprend une languette 20. Cette dernière 20 est
disposée entre
les quartiers latéral 15 et médial 16, au niveau de la subdivision inférieure
19 de l'ouverture
17, pour donner à la tige 3 sa continuité. Cependant il pourrait être prévu de
ne pas utiliser de
languette. Dans ce cas les quartiers 15, 16 peuvent rester séparés ou se
superposer. Ou encore
un soufflet peut relier l'un à l'autre les quartiers.
En complément, et de manière non obligatoire, la chaussure 1 comprend un rabat
25 prévu
pour couvrir de manière réversible la subdivision inférieure 19 de l'ouverture
de chaussage
17. Le rabat 25 s'étend d'un quartier 15, 16 à l'autre, pour améliorer
l'étanchéité de la
chaussure.

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Selon la première forme de réalisation, le rabat 25 est solidarisé de manière
fixe au quartier
latéral 15. Le rabat 25 couvre l'ouverture de chaussage en étant rabattu sur
celle-ci et sur le
quartier médial 16. Même si ça n'est pas le cas ici, il peut être prévu une
fermeture réversible
qui permet de solidariser le rabat 25 aussi au quartier médial 16. Dans ce
cas, la fermeture
5 réversible comprend une glissière. Cependant, toute autre structure
pourrait être prévue pour
réaliser la fermeture. Par exemple une suite de bouton-pression.
La chaussure 1 comprend encore un dispositif de serrage 30, prévu pour réduire
l'ouverture
de manière réversible. En d'autres termes le dispositif de serrage 30 permet
de serrer la tige 3
de manière réversible.
Comme il est connu de l'homme du métier, le dispositif de serrage 30 comprend
par
exemple un premier lien 31, un deuxième lien 32, ainsi que des liaisons 33 des
liens à la tige
3. Bien entendu chaque lien chemine d'un quartier 15, 16 à l'autre au niveau
de la subdivision
inférieure 19. Cette structure permet d'exercer un serrage réversible de la
tige 3 vers le cou-
de-pied, au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17. Ainsi il
est possible
d'exercer un serrage sur le pied de l'utilisateur. Pour maintenir le serrage
du dispositif 30, et
donc de la tige 3, la chaussure 1 est munie d'un mécanisme de blocage rapide.
Ce dernier
n'est pas décrit en détail ici. On précise simplement que le mécanisme de
blocage rapide
permet aussi un déblocage rapide.
Il peut bien entendu être prévu tout autre moyen pour le maintien du serrage,
notamment de
supprimer le mécanisme de blocage et, à la place, réaliser un n ud.
Comme il découle de l'ensemble des figures 1 à 5, la chaussure 1 comprend un
renfort 40
qui fait partie de la tige et dont la rigidité est supérieure à celle du reste
de la tige 3 au moins
dans la région du cou-de-pied, le renfort 40 comprenant un dessous 41, un bord
latéral 42
et/ou un bord médial 43, le renfort 40 s'étendant à l'aplomb du pli de flexion
et/ou du cou-de-
pied. Le renfort 40 s'étend ici à l'extérieur de la structure de la tige, mais
il pourrait
alternativement s'étendre plus à l'intérieur de la structure. La chaussure
comprend également
un lien transversal 50 prévu pour serrer la zone du cou-de-pied, le lien 50
s'étendant de la
partie latérale 15 à la partie médiale 16, à l'extérieur du reste de la tige.
Bien entendu le dessous 41 du renfort 40 supporte le pied, directement ou
indirectement.
Par corollaire les bords latéral 42 et médial 43 sont en vis-à-vis de zones
latérale et médiale du
pied. En conséquence, compte-tenu des rigidités relatives du renfort 40 et de
la tige 3 dans la
région du cou-de-pied, ainsi que de la localisation du lien transversal 50, un
serrage de ce
dernier maintient le pied appuyé directement, ou indirectement, sur le dessous
41 et sur l'un
ou les deux bords 42, 43 du renfort. Cela assure la tenue du pied en direction
verticale et en
direction transversale.
En référence notamment à la figure 4, on observe que selon la première forme
de
réalisation de l'invention le renfort 40 comprend non seulement le dessous 41,
le bord latéral
42 et le bord médial 43, mais aussi un bord arrière 44. Plus précisément les
bords latéral 42,
arrière 44 et médial 43 se prolongent les uns les autres pour former une paroi
continue 45,
õ õ.¨

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6
laquelle s'étend depuis le talon 4 vers l'extrémité avant 5 de la chaussure.
Le bord latéral 42
présente un sommet latéral 46 et une extrémité avant 47. Par analogie le bord
médial 43
présente un sommet médial 48 et une extrémité avant 49. En conséquence, si on
la parcourt du
talon 4 vers l'extrémité avant 5, la paroi continue 45 s'élève pour
redescendre ensuite. En fait
les sommets latéral 46 et médial 48 sont situés à l'aplomb de la subdivision
supérieure 18 de
l'ouverture de chaussage 17. Cela permet un meilleur maintien transversal de
la cheville.
Toujours selon la première forme de réalisation de l'invention le dessous 41
s'étend depuis
le talon 4 vers l'extrémité avant 5 de la chaussure, au-delà des extrémités
avant latérale 47 et
médiale 49 des bords latéral 42 et médial 43 du renfort 40. En d'autres termes
les bords latéral
42 et médial 43 du renfort 40 s'étendent sur une longueur réduite de la
chaussure. Plus
précisément les bords latéral 42 et médial 43 s'étendent depuis le talon 4
jusqu'à l'aplomb du
cou-de-pied, c'est-à-dire à hauteur du dispositif de serrage 30. Il s'ensuit
que le talon et le cou-
de-pied de l'utilisateur sont accueillis dans une forme creuse rigide, celle
délimitée par le
dessous 41 et la paroi 45, et que l'extrémité avant du pied est accueillie sur
une portion plate
du renfort 40, celle en avant des bords latéral 42 et médial 43. En fait cette
portion plate
permet une flexion de l'avant du pied, ou un déroulement, notamment au niveau
des orteils.
On remarque que les bords latéral 42 et médial 43 sont sensiblement en regard
l'un de
l'autre ce qui, on le verra mieux après, facilite l'implantation du lien
transversal 50 sur la
chaussure.
Le renfort 40 est fabriqué à partir des matériaux et selon des procédés
connus. De
préférence le dessous 41 et les bords 42, 43, 44 forment une pièce monobloc.
Celle-ci peut
comprendre des fibres de matières synthétiques et/ou naturelles noyées dans
une matrice. Par
exemple des fibres de carbone et/ou de verre, imprégnées dans une résine
thermodurcissable
ou thermoformable, donnent au renfort 40 une grande rigidité. Il faut entendre
par là une
= 25 rigidité supérieure à celle du reste de la tige, notamment des
quartiers 15, 16.
Bien entendu il peut alternativement être prévu d'autres matériaux pour le
renfort 40, par
exemple une matière plastique chargée de particules et/ou de fibres coupées.
Dans ce cas le
renfort 40 est obtenu par moulage, par injection, ou tout procédé équivalent.
Selon l'invention, le lien transversal 50 comprend une première subdivision 51
qui s'étend
dans le sens de la longueur de la chaussure, selon une distance comprise entre
25 et 70% de la
longueur de celle-ci. Cet agencement correspond à une coopération étendue du
lien avec le
reste de la tige. De ce fait, la pression de serrage est répartie sur une plus
grande longueur. Il
s'ensuit avantageusement que le maintien du pied dans la chaussure est
meilleur. On observe
pas, ou seulement très peu, de mouvements intempestifs du pied dans la
chaussure. C'est
pourquoi ce sont à la fois le confort et la précision de conduite qui sont
améliorés.
Selon la première forme de réalisation décrite et de manière non limitative,
comme on peut
le voir sur la figure 3, la première subdivision 51 du lien 50 s'étend depuis
le tarse postérieur
jusqu'au métatarse. Le tarse postérieur correspond au talon du pied, tandis
que le métatarse
s'étend depuis le tarse jusqu'à la base des orteils. Cette étendue, qui
correspond à une distance

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comprise entre 50 et 70% de la longueur L de la chaussure 1, permet au lien 50
de serrer la
tige 3 en regard de la partie la plus rigide du pied, notamment en flexion. En
effet, le squelette
du pied limite fortement une flexion selon un axe transversal du métatarse par
rapport au
tarse. C'est pourquoi le maintien étendu longitudinalement du pied préserve ce
dernier de
sollicitations excessives, en ce qui concerne la flexion. En conséquence la
fatigue liée à
l'utilisation de la chaussure est réduite.
En parallèle on observe que le serrage du lien transversal 50 maintient le
rabat 25 en regard
de l'ouverture de chaussage 17, au niveau de la subdivision inférieure 19,
ainsi que sur le
quartier médial 16.
Selon la première forme de réalisation, la première subdivision 51 est
médiale. Cette
disposition favorise un serrage étendu de la partie médiale du pied. De ce
fait la transmission
d'impulsions de conduite est facilitée du côté médial du pied. Cette
possibilité améliore la
pratique du pas de patineur, notamment en ski de fond.
Il peut alternativement être prévu un agencement où la première subdivision 51
est latérale.
Dans ce cas la transmission d'efforts est améliorée du côté latéral du pied,
ce qui convient par
exemple en ski au freinage en chasse-neige.
Selon la première forme de réalisation à nouveau, la première subdivision 51
est solidarisée
directement au renfort 40. Cela optimise le serrage du pied vers le renfort
40, que ce soit du
côté médial, si la première subdivision 51 est médiale, ou que ce soit du côté
latéral, si la
première subdivision 51 est latérale.
Il apparaît que le renfort 40 est localisé à l'extérieur de la tige 3, pour un
meilleur confort
du pied. En effet, de ce fait des couches plus souples de la tige prennent
place entre le pied et
le renfort 40. Le renfort pourrait également être disposé plus à l'intérieur
de la tige 3, voire
complètement à l'intérieur, notamment si l'on privilégie la performance au
confort.
Afin de coopérer avec le renfort 40, le lien transversal 50 est structuré et
agencé pour être
serré de manière réversible entre les bords latéral 42 et médial 43. Comme le
montrent
l'ensemble des figures 1 à 5, le lien transversal 50 comprend par exemple une
première
portion 55 ou portion médiale, une deuxième portion 56 ou portion latérale,
ainsi qu'un
premier moyen de liaison amovible 57 des portions. Le lien transversal 50 est
solidarisé à au
moins une partie du renfort 40.
Selon la première forme de réalisation de l'invention, la première subdivision
51 du lien 50
fait partie de la première portion 55, et la première subdivision 51 présente
une forme générale
triangulaire. En fait la première subdivision 51 s'élargit dans un sens de
rapprochement du
semelage externe 2, c'est-à-dire en direction longitudinale, quand on la longe
depuis
l'ouverture 17 vers le semelage externe. Cela permet de répartir les pressions
de serrage sur
une plus grande longueur du côté médial du pied. Cette disposition est bien
adaptée à des
poussées transversales de la jambe, par exemple dans la pratique du pas de
patineur en ski de
fond.

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De manière non limitative la première subdivision 51 comprend trois branches,
à savoir
une branche arrière 61, une branche centrale 62, et une branche avant 63. Au
final les
branches 61, 62, 63 forment un faisceau qui s'élargit dans un sens de
rapprochement du
semelage externe 2, à la manière de haubans, pour une optimisation de la
répartition des
tensions. Le faisceau part de l'ouverture de chaussage 17 et s'évase en
direction du semelage
externe. Par voie de conséquence les pressions de serrage sont plus
équilibrées le long de la
première subdivision, et donc le maintien du pied est plus homogène le long du
tarse et du
métatarse.
Si un nombre de branches égal à trois est satisfaisant, non seulement pour
l'équilibrage des
tensions mais aussi pour donner à la subdivision 51 une bonne aptitude à
épouser les formes
des portions de tige qu'elle couvre, il peut en être prévu un nombre
différent. La première
subdivision 51 peut même présenter une surface continue, c'est-à-dire non
ajourée, ou encore
une structure ajourée, mais organisée autrement que par un assemblage de
branches.
Comme on le voit bien sur la figure 3, un bord arrière 64 de la première
subdivision 51
forme, avec un plan P tangent au semelage externe 2, un angle a dont la valeur
est comprise
entre 35 et 70 degrés. Le bord arrière 64 délimite la première subdivision 51,
et donc aussi la
branche arrière 61, à la fois vers l'arrière de la chaussure et dans un sens
d'éloignement du
semelage externe 2. Cette valeur de l'angle a amène la prolongation virtuelle
du bord arrière
64 à couper le plan P au niveau de l'extrémité arrière 4, voire à l'écart de
cette extrémité dans
un sens de recul. 11 s'ensuit avantageusement que le lien transversal 50 est
apte à serrer le tarse
postérieur, ou le talon du pied, dans un sens de rapprochement, c'est-à-dire
en direction, du
semelage externe 2 et/ou de la partie médiale 7.
On observe également qu'un bord avant 65 de la première subdivision 51 forme,
avec un
plan P tangent au semelage externe 2, un angle 3 dont la valeur est comprise
entre 60 et 85
degrés. Le bord avant 65 délimite la première subdivision 51, et donc aussi la
branche avant
63 vers l'avant de la chaussure. Cette valeur de l'angle 13 situe le bord
avant 65 au niveau du
métatarse, à proximité des articulations qui relient ce dernier aux orteils.
Il s'ensuit
avantageusement que le lien transversal 50 est apte à serrer le métatarse,
dans un sens de
rapprochement du semelage externe 2 et/ou de la partie médiale 7.
De l'autre côté de la première subdivision 51, comme on le voit bien sur la
figure 5, la
deuxième portion 56 du lien 50 comprend une bande 66 dont la largeur W est
comprise entre
5 et 20% de la longueur L de la chaussure. En combinaison avec la première
subdivision 51
évasée de la première portion 55, cette configuration de la deuxième portion
56 privilégie un
serrage plus fort du côté médial. Cela rend la chaussure plus adaptée à la
pratique du pas de
patineur.
De manière non limitative, la deuxième portion 56 est solidarisée directement
au renfort
40, en fait au bord latéral 42 du renfort.
En complément on précise que le moyen de liaison 57, des première 55 et
deuxième 56
portions, est par exemple constitué par un mécanisme de serrage à cliquet. Ce
dernier n'est pas

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détaillé ici, car bien connu de l'homme du métier. Le mécanisme de serrage 57
est solidarisé à
la deuxième portion 56 et, de ce fait, la première portion 55 comprend une
crémaillère 70.
Cette dernière joint les trois branches 61, 62, 63 de la première subdivision
51, pour une
meilleure transmission des efforts de serrage par le lien.
La deuxième forme de réalisation de l'invention est présentée ci-après à
l'aide des figures 6
et 7. Pour des raisons de commodité, les éléments communs avec la première
forme sont
désignés par les mêmes références. Ainsi seules les différences sont mises en
évidence.
On retrouve donc pour la deuxième forme une chaussure 1, qui comprend
notamment un
semelage externe 2, une tige 3, et un lien transversal 80.
Ce qui est spécifique à la deuxième forme, c'est l'agencement de ce lien 80.
Celui-ci
comprend à nouveau une première subdivision 81 qui s'étend dans le sens de la
longueur L de
la chaussure I, selon une distance / comprise entre 25 et 70% de la longueur L
de la
chaussure. Mais ici la première subdivision 81 est latérale.
Le lien 80 comprend une première portion 85, ou portion latérale, une deuxième
portion
86, ou portion médiale, ainsi qu'un moyen de liaison 87 des portions.
La première portion 85 comprend une branche arrière 91, une branche centrale
92, et une
branche avant 93. Le moyen de liaison 87 est solidarisé à la première portion
85. La deuxième
portion 86 est constituée d'une crémaillère, destinée à coopérer avec le moyen
de liaison 87.
Dans tous les cas l'invention est réalisée à partir de matériaux et selon des
techniques de
mise en uvre connus de l'homme du métier.
Bien entendu l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation ci-avant
décrites, et
comprend tous les équivalents techniques pouvant entrer dans la portée des
revendications qui
vont suivre.
En particulier dans tous les cas l'architecture d'un lien transversal peut
être inversée, dans
le sens où les spécificités liées à une partie latérale peuvent se retrouver
sur une partie médiale
et vice versa.
Aussi, les spécificités liées à l'une des parties latérale et médiale peuvent
se retrouver sur
chacune des parties. Par exemple, on peut prévoir que le lien comprend une
deuxième
subdivision, c'est-à-dire en plus de la première, qui s'étend dans le sens de
la longueur de la
chaussure selon une distance comprise entre 25 et 70% de la longueur de celle-
ci.

Representative Drawing
A single figure which represents the drawing illustrating the invention.
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Document
Description 
Date
(yyyy-mm-dd) 
Number of pages   Size of Image (KB) 
Abstract 2012-09-27 1 26
Drawings 2012-09-27 5 120
Representative Drawing 2013-04-15 1 16
Cover Page 2013-04-15 2 53
Description 2012-09-27 9 583
Claims 2012-09-27 2 86
Correspondence 2012-10-19 2 81
Assignment 2012-09-27 4 107