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Procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise,
objet électronique mettant en uvre ledit procédé et
système associés
L'invention concerne un procédé d'aide à
l'utilisation d'un dispositif d'assise, ledit procédé
étant mis en uvre par un objet électronique distant
communiquant avantageusement avec ledit dispositif
d'assise. Ledit procédé peut être employé pour tous types
d'usage et préférentiellement mais non limitativement,
dans le cadre de la mise en place de protocoles de
rééducation et/ou de renforcement musculaire.
A titre d'exemple d'application préférée mais non
limitatif, l'invention sera décrite au travers d'une
application en lien avec un tabouret pendulaire dynamique
permettant une contraction isométrique des groupes
musculaires des membres inférieurs et de la ceinture
abdominale en position assise.
Dans le monde, des dizaines, voire centaines, de
millions de personnes travaillent et passent leurs
journées assises dans un siège devant un bureau. Dans le
domaine des sièges ou similaires, tels que les tabourets
ou plus généralement des dispositifs d'assise, les sièges
de bureau sont bien souvent conçus, de telle sorte que le
corps de la personne assise devant le bureau, soit pris
en charge dans une position assise idéale dans laquelle
les contraintes anatomiques sont évitées pour garantir le
confort de l'utilisateur. Ces sièges sont généralement
constitués d'un piètement portant une assise et un
dossier, le dossier pouvant être articulé au piètement
avec un moyen de rappel pour améliorer le confort du
siège. Toutefois, de tels sièges de bureau présentent
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l'inconvénient de ne pas solliciter les muscles des
jambes et du dos, de sorte que les utilisateurs de ces
sièges risquent une dégénérescence des muscles spinaux et
des dommages vertébraux, telle que, par exemple, l'usure
des disques due à une mauvaise posture. Pour pallier à
ces inconvénients, afin d'avoir une bonne posture,
certains travailleurs sédentaires ont pris le parti
d'utiliser un ballon Pezzie par exemple. De tels
ballons Pezzie permettent à un utilisateur de s'asseoir
dessus et de faire travailler les muscles des jambes et
du dos. Toutefois, un tel ballon Pezzie s'avèrent
être particulièrement encombrant et donc inadapté pour
une utilisation dans un bureau notamment.
De nombreux dispositifs de gymnastique ont également
été développés, tels que, par exemple, le vélo, la presse
ou encore le rameur, permettant de faire travailler les
muscles des jambes et les muscles abdominaux. Cependant,
de tels dispositifs présentent l'inconvénient, outre le
fait qu'ils ne peuvent pas être utilisés dans un bureau,
de nécessiter des mouvements limitant l'usage desdits
dispositifs, soit par un manque de mobilité de
l'utilisateur, soit par un manque de place. En variante,
pour notamment pallier au manque de place, des appareils
de types électrostimulation, permettant une contraction
isométrique des muscles des jambes et des muscles
abdominaux, peuvent être utilisés. Toutefois, ils sont
difficiles à mettre en uvre notamment dans un bureau, la
mise en place des électrodes nécessitant de se dévêtir.
Afin de remédier à tous ou partie des inconvénients
précédemment mentionnés, nombreux sièges ou tabourets
dits dynamiques ont d'ores et déjà imaginés, tels que,
par exemple, ceux décrits en lien avec les documents de
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brevets allemands DE 2314717 et DE 19533558 notamment. La
demande de brevet allemand DE 2314717 décrit un siège
comportant deux rotules munies de ressorts dans lequel
l'utilisateur est en équilibre instable, de sorte qu'il
puisse revenir dans une position normale au moyen d'une
déviation latérale par un jeu de jambes actif. La demande
de brevet allemand DE 19533558 décrit, quant à elle, un
siège actif dynamique comportant un pied qui présente une
surface de base courbe, à concavité tournée vers le haut,
pour permettre un mouvement de basculement, une colonne
solidaire du pied et une assise montée en un point
d'appui à l'extrémité supérieure de ladite colonne. La
surface de base courbe du pied repose directement sur le
sol et présente une courbure sphérique dans au moins une
zone partielle. L'assise est montée en son point d'appui
de manière à pouvoir s'incliner de tout côté. Ledit point
d'appui est soit situé en dessous du centre de courbure
de la surface de base, soit réglable à l'intérieur d'une
plage de hauteur dont la limite inférieure est située en
dessous du centre de courbure et dont la limite
supérieure est située en dessus du centre de courbure.
L'assise est montée sur un élément de liaison constitué
par un élément élastique, formant ressort et prenant
appui sur un support solidaire de l'extrémité supérieure
de la colonne. De tels dispositifs, décrits par exemple
en lien avec les documents de brevets allemands DE
2314717 et DE 19533558, présentent l'inconvénient d'être
encombrant et de ne pas permettre une contraction
isométrique des groupes musculaires des membres
inférieurs notamment.
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En proposant un tabouret pendulaire dynamique, de
conception simple et peu onéreuse, tel que divulgué dans
le document W02014/174227, permettant en outre une
contraction isométrique des groupes musculaires des
membres inférieurs et de la ceinture abdominale en
position assise, un grand nombre d'inconvénients
précédemment décrits ont été supprimés. En effet,
contrairement aux dispositifs précédents, un tel
dispositif présente un encombrement très faible
permettant une utilisation ponctuelle, en remplacement
d'un siège de bureau classique, ou une utilisation
continue.
Un tel tabouret pendulaire dynamique, selon un mode
de réalisation non limitatif, et son fonctionnement sont
décrits notamment en lien avec les figures 1 et 2. Ledit
tabouret T comporte un pied 1, une colonne solidaire 2
dudit pied 1 et une assise 3 solidaire de l'extrémité
supérieure de ladite colonne 2. Ladite colonne 2 peut
avantageusement consister en une colonne télescopique
comportant une partie inférieure 2a solidaire d'un pied
sphérique 1, présentant éventuellement un diamètre
inférieur ou égal à vingt centimètres, et une partie
supérieure 2b dont l'extrémité libre est munie d'une
articulation 9 comportant trois degrés de liberté et
solidaire de la face inférieure de l'assise 3. A titre
d'exemple, selon les figures 1 et 2, la colonne peut être
constituée de deux tubes de section circulaire, un
premier tube formant la partie inférieure 2a munie à son
extrémité inférieure d'une tige filetée 4 s'étendant
coaxialement audit tube, et un second tube formant la
partie supérieure 2b, ledit second tube présentant un
diamètre externe tout juste inférieur au diamètre
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intérieur du tube de la partie inférieure, de sorte que
la partie supérieure 2b puisse coulisser dans la partie
inférieure 2a. Un tel coulissement permet notamment de
pouvoir régler la longueur de la colonne en fonction de
5 la morphologie de l'utilisateur et/ou de la difficulté
recherchée dans le cadre du travail sur les muscles des
membres inférieurs.
Le pied sphérique 1 peut avantageusement être obtenu
dans un matériau antidérapant et, de préférence, dans un
élastomère, afin d'éviter que le tabouret T ne glisse sur
des sols lisses, tels que sur du carrelage par exemple.
Par ailleurs, le pied sphérique 1 peut comporter une
douille 6 s'étendant radialement et munie d'un filetage
interne 7 coopérant avec une tige filetée 4 solidaire de
l'extrémité inférieure de la partie inférieure de la
colonne. De plus, l'assise 3 présente une forme
sensiblement parallélépipédique dont la largeur est
sensiblement égale à la largeur du bassin d'une personne
de poids moyen. La partie supérieure de ladite assise 3
peut comporter une couche résiliente 8 permettant
d'améliorer le confort de l'utilisateur. Ladite assise
est articulée à l'extrémité supérieure de la partie
supérieure 2b de la colonne 2 par l'articulation 9. Dans
cet exemple de réalisation, ladite articulation 9
consiste dans une articulation à rotule comportant un
siège 10 solidaire de la face inférieure de l'assise 3,
dans sa partie centrale, et recevant une rotule 11
solidaire de l'extrémité libre supérieure de la partie
supérieure 2b de la colonne 2. De manière avantageuse, le
siège 10 de l'articulation 9 peut être solidarisé à
l'assise 3 par une tige filetée 12 solidaire dudit siège
10 et coopérant avec un pas de vis 13 pratiqué dans
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ladite assise 3. Ainsi, l'assise 3 peut être changée
rapidement, en fonction des préférences de l'utilisateur
notamment.
Comme mentionné précédemment, le fonctionnement du
tabouret T est décrit en référence à la figure 2.
L'utilisateur règle préalablement la longueur de la
colonne 2, en fonction de sa morphologie notamment, puis
il place l'assise 3 sous ses fesses, le pied 1 étant en
appui sur le sol. De cette manière, la colonne 2 peut
former un angle compris entre 30 et 90 avec un plan
horizontal formé par le sol, ledit angle dépendant de la
taille de l'utilisateur et de la longueur choisie de
ladite colonne 2. Ainsi, lorsque l'utilisateur a pris
place sur le tabouret T, plus l'angle de la colonne avec
le plan horizontal est faible, plus le travail des
groupes musculaires des membres inférieurs est grand.
Dans cette position d'utilisation, le tabouret provoque
alors une contraction musculaire isométrique des muscles
jumeaux, ischions-jambiers, quadriceps, fessiers, dorsaux
lombaires et absidiaux. La contraction musculaire
isométrique est réalisée par un travail de proprioception
et d'équilibration de l'utilisateur qui compense
l'instabilité du tabouret. En effet, l'articulation de
l'assise 3 sur la colonne 2 et l'unique point d'appui du
pied sphérique 1 procurent une inclinaison latérale,
avant et arrière obligeant l'utilisateur à avoir une
position stable dans laquelle la ligne des épaules est
parallèle avec celle du bassin, un appui sur les pieds
provoquant la contraction isométrique des muscles des
membres inférieurs et un appui fessier instable compensé
par la proprioception et la contraction des muscles
lombaires et abdominaux.
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Accessoirement, il est prévu que la colonne 2 et/ou
l'assise dudit tabouret T puissent comporter un capteur
de position (non représenté sur les figures 1 ou 2), tel
qu'un accéléromètre par exemple, connecté à un moyen de
communication sans fil, tel qu'un transmetteur Bluetooth,
Wifi ou similaire. De cette manière, la position de la
colonne 2 et/ou de l'assise 3 pourra être transmise à un
objet électronique distant, comme par exemple un
téléphone portable intelligent (également connu sous la
dénomination anglo-saxonne Smartphone ), une tablette
informatique (également connue sous la dénomination
anglo-saxonne Digital Tablet ), et/ou un ordinateur
personnel. L'objet électronique peut avantageusement
comporter un programme d'ordinateur permettant de
provoquer l'affichage de la position courante de la
colonne 2 et/ou de l'assise 3 par rapport à une position
idéale prédéterminée.
Comme précisé précédemment, le tabouret T peut être
avantageusement agencé pour permettre la contraction
isométrique des groupes musculaires des membres
inférieurs et de la ceinture abdominale en position
assise. Ainsi, le tabouret est particulièrement utile et
utilisable au sein de bureaux, mais est également
exploitable dans des programmes de rééducation physique
et/ou de renforcement musculaire. Toutefois, bien
qu'offrant un outil, sous la forme d'un dispositif
d'assise particulier, adapté pour mettre en place des
protocoles de rééducation ou de renforcement, le tabouret
pendulaire, à l'instar de tous les dispositifs d'assise
précédemment mentionnés, présente un certain nombre
d'inconvénients. En effet, nombreux sont les utilisateurs
d'un dispositif d'assise qui, après avoir pris position
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sur ledit dispositif d'assise, ne connaissent pas les
exercices et/ou mouvements, dont l'amplitude, la vitesse
et la répétabilité sont prédéterminées pour répondre à
des contraintes particulières et viser un objectif de
développement musculaire et/ou de rééducation
fonctionnelle. Il est ainsi nécessaire, voire dans
certains cas obligatoire, de recourir à un superviseur,
un thérapeute, tel que par exemple un kinésithérapeute,
ou encore un coach ou entraîneur sportif pour apprendre,
voire approfondir au besoin, les enchaînements adaptés.
Par ailleurs, il peut s'avérer relativement ingrat à la
longue de s'asseoir sur un tabouret, ou plus généralement
tout dispositif d'assise prévu pour des protocoles de
rééducation et/ou renforcement parfois répétitifs et
lassants. Lorsqu'il s'agit de s'exercer seul, c'est-à-
dire en toute autonomie sans l'aide d'un accompagnateur,
les utilisateurs ont bien souvent des difficultés pour
s'investir et puiser tout d'abord la stimulation et
l'énergie nécessaire de s'entraîner, mais également pour
adhérer à un protocole d'entraînement complet et le
répéter régulièrement. Enfin, lorsque les utilisateurs
emploient de manière impropre le dispositif d'assise, ils
peuvent ne pas atteindre leur l'objectif et finalement se
lasser de l'outil par manque de perception d'un
progression dans leur pratique et finissent par se
décourager.
L'invention permet de répondre à tout ou partie des
inconvénients soulevés par les solutions connues.
Parmi les nombreux avantages apportés par un procédé
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme
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à l'invention, nous pouvons mentionner que celui-ci
permet :
- de proposer un procédé permettant une
exploitation appropriée d'un
dispositif
d'assise, plus particulièrement d'un tabouret
dynamique pendulaire, en optimisant toutes les
possibilités offertes par ledit dispositif
d'assise ;
- d'apporter une solution efficace pour créer
l'adhésion régulière et profitable d'un
dispositif d'assise, améliorant le bénéfice en
stimulant le patient et/ou l'utilisateur, sans
avoir besoin de recourir à un thérapeute ou
coach sportif, en proposant une aide à
l'utilisation du dispositif ludique et
récréative;
- de tirer le meilleur profit des dispositifs
d'assise d'ores et déjà employés aujourd'hui,
en privilégiant l'autonomie de son utilisateur.
A cette fin, il est notamment prévu un procédé d'aide
à l'utilisation d'un dispositif d'assise, ledit
dispositif comportant un pied sphérique, une assise, un
corps coopérant solidairement en une première extrémité
avec ledit pied et en une deuxième extrémité avec
l'assise, un capteur de mesure de position coopérant
solidairement avec ledit dispositif, ledit procédé étant
mis en uvre par une unité de traitement d'un objet
électronique distant, l'objet électronique distant
comprenant en outre des moyens de sortie et des moyens de
communication assurant une communication avec ledit
dispositif d'assise. Ledit procédé comporte :
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- une étape pour décoder un message de position du
dispositif d'assise pendulaire, ledit message étant
réceptionné par les moyens de communication de
l'objet électronique distant et véhiculant des
5 données de position, et pour en extraire la teneur
desdits données de position,
- une étape pour déclencher l'affichage, par les
moyens de sortie, d'un premier indicateur traduisant
lesdites données de position extraites.
10 Pour s'assurer d'une utilisation appropriée du dispositif
d'assise par l'utilisateur en lui imposant des objectifs
cibles, un procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention comporte en outre une
étape pour élaborer des données de position de référence
déterminée traduisant une cible à atteindre et une étape
subséquente pour déclencher l'affichage, par les moyens
de sortie, d'un deuxième indicateur traduisant lesdites
données de position de référence.
Afin de susciter l'adhésion de l'utilisateur à un
protocole de rééducation thérapeutique et/ou de
renforcement musculaire, les premier et/ou deuxième
indicateurs, affichés par les moyens de sortie
conformément à un procédé d'aide à l'utilisation d'un
dispositif d'assise conforme à l'invention, peuvent
consister en des premier et/ou deuxième avatars.
Pour permettre à un utilisateur de reproduire des
exercices et/ou de mouvements, dont l'amplitude, la
vitesse et la répétabilité sont prédéterminées pour
répondre à des contraintes particulières et viser un
objectif de développement musculaire et/ou de rééducation
fonctionnelle, un procédé d'aide à l'utilisation d'un
dispositif d'assise peut être mis en uvre itérativement.
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En outre, l'étape pour élaborer des données de position
de référence d'un tel procédé peut élaborer des valeurs
de données de position différentes de celles élaborées
lors de l'itération précédente.
Avantageusement mais non limitativement, les valeurs
des données de position de référence d'un procédé
conforme à l'invention peuvent être déterminées selon une
fonction ou un scénario tenant compte des valeurs des
données de position de référence précédentes.
En variante ou en complément, les valeurs des données
de position de référence d'un procédé conforme à
l'invention peuvent être déterminées à partir d'une liste
de valeurs de positions de référence ordonnée et
prédéterminée.
Pour permettre à l'utilisateur d'un dispositif
d'assise d'observer sa progression dans l'emploi d'un tel
dispositif, un procédé d'aide à l'utilisation de ce
dernier conforme à l'information peut comporter en outre
une étape pour comptabiliser les occurrences, lors
desquelles les valeurs des données de position extraites
du dispositif et des données de position de référence
sont sensiblement identiques.
Préférentiellement mais non limitativement, un
procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise
conforme à l'invention peut comprendre en outre une étape
pour déclencher l'affichage, par les moyens de sortie de
l'objet électronique, de la valeur courante du compteur
d'occurrences.
Afin de permettre une personnalisation du procédé
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme
à l'invention et d'améliorer l'adhésion d'un utilisateur
audit procédé, ce dernier peut également comprendre une
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étape, préalable à l'affichage du premier ou deuxième
indicateur, pour sélectionner, parmi une pluralité de
représentations graphiques déterminées, une première
représentation graphique, dès dissemblance des valeurs
respectives entre les données de position extraites et
les données de position de référence, et/ou une deuxième
représentation graphique, dès concordance des valeurs
respectives entre les données de position extraites et
les données de position de référence.
En variante ou en complément, afin d'accroître les
possibilités d'emploi dudit dispositif d'assise, ce
dernier peut comporter en outre un capteur de mesure de
pression exercée suivant un axe traversant le corps
depuis l'assise vers le pied sphérique. Selon cet
agencement particulier, un procédé d'aide à l'utilisation
d'un dispositif d'assise peut comprendre en outre :
- une étape pour décoder un message de de pression
relative audit dispositif d'assise pendulaire, ledit
message étant réceptionné par les moyens de
communication de l'objet électronique distant et
véhiculant des données de pression, et pour en
extraire la teneur desdites données de pression,
- une étape pour mettre en uvre un traitement
déterminé en réponse à une donnée de pression
supérieure à un seuil déterminé.
A titre d'exemple préféré mais non limitatif, le
traitement déterminé d'un procédé conforme à l'invention
peut consister en une étape pour élaborer une commande de
validation d'un menu graphique restitué par les moyens de
sortie de l'objet électronique.
En variante ou en complément, afin de faciliter
l'utilisation dudit dispositif d'assise, ce dernier peut
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comporter ou coopérer avec un accessoire support sous la
forme d'un bâton, ledit accessoire comportant un capteur
de mesure de position délivrant des données de position
accessoire transmises dans le message de position
conjointement avec les données de position du corps du
dispositif. Selon cet agencement spécifique, l'étape pour
décoder un message de position d'un procédé conforme à
l'invention peut consister en outre à extraire dudit
message les valeurs des données de position accessoire.
Par ailleurs, ledit
procédé peut comporter une étape
pour déclencher l'affichage, par les moyens de sortie,
d'un troisième indicateur traduisant lesdites données de
position accessoire.
Selon un deuxième objet, quelle que soit la variante
de réalisation d'un procédé d'aide conforme à
l'invention, et afin d'adapter un objet électronique
communicant pour qu'il puisse mettre en uvre un tel
procédé, l'invention concerne un produit programme
d'ordinateur comportant une pluralité d'instructions de
programme qui, lorsqu'elles sont :
- préalablement enregistrées dans une mémoire de
programmes d'un objet électronique, comportant en
outre une unité de traitement, des moyens de
communication assurant une communication avec un
dispositif d'assise distant, des moyens de sortie,
ladite mémoire de programmes, les moyens de
communication et les moyens de restitution coopérant
avec ladite unité de traitement ;
- exécutées ou interprétées par ladite unité de
traitement,
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provoquent la mise en uvre d'un procédé d'aide à
l'utilisation dudit dispositif d'assise conforme au
premier objet de l'invention.
Selon un troisième objet, l'invention concerne, en
outre, un objet électronique comportant une unité de
traitement, une mémoire de programmes, des moyens de
communication assurant une communication de proximité
avec un dispositif d'assise distant, des moyens de
restitution, ladite mémoire de programmes, lesdits moyens
de communication et lesdits moyens de restitution
coopérant avec ladite unité de traitement. Pour qu'un
objet électronique puisse garantir une aide à
l'utilisation d'un dispositif d'assise, la mémoire de
programmes d'un tel objet électronique comporte les
instructions d'un produit programme d'ordinateur conforme
au deuxième objet de l'invention.
Enfin, selon un quatrième objet, l'invention concerne
un système d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise comportant ledit dispositif d'assise, un objet
électronique distant en communication avec ledit
dispositif d'assise, ledit objet électronique étant
conforme au troisième objet de l'invention, c'est-à-dire
mettant en uvre un procédé d'aide à l'utilisation du
dispositif d'assise conforme à ladite invention.
En variante ou en complément, un système conforme à
l'invention peut comporter en outre un accessoire support
sous la forme d'un bâton coopérant avec ledit dispositif
d'assise. Selon cet agencement particulier, l'objet
électronique conforme à l'invention également, peut
comporter dans sa mémoire de programmes, les instructions
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d'un produit programme d'ordinateur conforme à
l'invention, permettant audit objet d'exploiter les
données transmises par ledit accessoire via ledit
dispositif d'assise.
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D'autres caractéristiques et avantages apparaîtront
plus clairement à la lecture de la description qui suit
et à l'examen des figures qui l'accompagnent parmi
lesquelles :
10 - la figure 1, précédemment décrite, illustre une vue
en coupe longitudinale d'un mode de réalisation
préféré mais non limitatif d'un dispositif d'assise
connu, sous la forme d'un tabouret pendulaire
dynamique ;
15 - la figure 2, précédemment décrite, schématise une
vue en perspective d'un utilisateur prenant
position sur un dispositif d'assise connu, sous la
forme d'un tabouret pendulaire dynamique ;
- la figure 3 présente une description graphique d'un
premier mode de réalisation d'un système d'aide à
l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme à
l'invention ;
- la figure 4 décrit schématiquement un exemple de
moyens de sortie, sous la forme d'une interface
graphique, de l'objet électronique d'un système
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise
conforme à l'invention ;
- la figure 5 illustre un organigramme simplifié d'un
procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention ;
- la figure 6 présente une description graphique d'un
deuxième mode de réalisation d'un système d'aide à
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l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme à
l'invention.
Les figures 3 et 6 présentent des descriptions
graphiques de premier et deuxième modes de réalisation
d'un système d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention, comportant notamment un
dispositif d'assise et un objet électronique distant
coopérant avec ledit dispositif d'assise.
Un dispositif d'assise pendulaire conforme à
l'invention s'apparente à un dispositif d'assise connu.
Ainsi, un tel dispositif d'assise comporte un pied 1,
avantageusement sphérique. Comme mentionné précédemment,
la présence d'un tel pied 1 permet au dispositif d'assise
de créer une instabilité, contraignant l'utilisateur d'un
tel dispositif d'assise à effectuer un travail de
proprioception et d'équilibration, permettant finalement
de réaliser des exercices relatifs à la contraction
musculaire isométrique, pouvant être l'objet de protocole
de rééducation physique et/ou de renforcement musculaire.
En outre, ledit dispositif d'assise comprend une assise
3, sur laquelle peut prendre place un utilisateur dudit
dispositif. Par ailleurs, le dispositif d'assise comporte
également un corps coopérant solidairement en une
première extrémité avec ledit pied 1 et en une deuxième
extrémité avec l'assise 3. A titre d'exemple
d'application préférée mais non limitatif, un tel
dispositif d'assise pendulaire peut consister en un
tabouret dynamique pendulaire, tel que, par exemple,
celui décrit en lien avec les figures 1 et 2 ou encore
celui présent au sein du système décrit en lien avec les
figures 3 et 6. Selon cet exemple préféré, conformément
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aux figures 1, 2, 3 et 6, le corps dudit dispositif
d'assise peut consister en une colonne 2, avantageusement
télescopique, ladite colonne 2 comportant une partie
inférieure 2a solidaire du pied sphérique 1 et une partie
supérieure 2b dont l'extrémité libre est munie d'une
articulation 9 comportant trois degrés de liberté et
solidaire de la face inférieure de l'assise 3.
L'invention ne saurait toutefois être limitée à ce seul
exemple d'application : elle peut être employée en lien
avec tous dispositifs d'assise, tel que ceux précédemment
mentionnés conformément à l'Etat de la Technique,
comportant un pied sphérique, une assise et un corps,
coopérant en chacune de ses extrémités avec ledit pied et
l'assise, permettant alors de créer une instabilité pour
l'utilisateur prenant place sur ledit dispositif.
Conformément aux figures 3 et 6, le dispositif
d'assise comporte également un capteur de mesure 23, 24
de position coopérant solidairement avec ledit
dispositif. Préférentiellement mais non limitativement,
un tel capteur de mesure de position peut comporter un
accéléromètre ou encore un gyromètre. Au sens de
l'invention et dans tout le document, la position du
dispositif d'assise est définie comme la position dudit
dispositif par rapport à une surface horizontale
prédéfinie, comme par exemple le sol, dans un référentiel
terrestre ou inertiel dans un repère en deux ou trois
dimensions. Dans tout le document également, le terme
position pourra éventuellement être remplacé par
inclinaison ou accélération. Aussi, un tel capteur de
mesure de position peut avantageusement coopérer ou
communiquer avec une unité de traitement d'un objet
électronique distant 50 et lui délivrer ou transmettre un
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message ou signal de position. Un tel message ou signal
de position peut avantageusement comporter deux types
d'informations, à savoir une mesure continue de position
ou une détection de position. Selon un premier mode de
réalisation, le capteur de mesure de position peut ainsi
coopérer selon une liaison mécanique encastrement, c'est-
à-dire être avantageusement fixé, avec ledit dispositif,
plus particulièrement sur le corps dudit dispositif.
Selon l'exemple d'application préféré, décrit en lien
avec la figure 4, un tel capteur de mesure de position
23, 24 peut avantageusement être placé sur et/ou dans la
colonne télescopique 2. Selon un premier exemple, ledit
capteur de mesure de position 23 peut être fixé sur ou
dans l'articulation 9, assurant la coopération entre
l'assise 3 et la colonne télescopique 2. En variante ou
en complément, selon un deuxième exemple, ledit capteur
de mesure de position 24 peut avantageusement être
positionné sur ou dans la partie inférieure 2a de la
colonne télescopique 2, aux abords du pied sphérique 1.
L'invention ne saurait être limitée toutefois à ces
seules variantes. Un tel capteur de mesure de position
peut avantageusement coopérer avec et être fixé sur
n'importe quel élément dudit dispositif, le
positionnement d'un tel capteur dépendant de la fonction
désirée. L'invention peut également prévoir l'emploi
concomitant d'une pluralité de capteurs de mesure de
position.
Comme d'ores et déjà mentionné, l'invention concerne,
selon un premier objet, un procédé d'aide à l'utilisation
d'un dispositif d'assise pendulaire. Un tel procédé
permet notamment d'améliorer le temps, la technicité, la
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facilité et le suivi d'utilisation dudit dispositif
d'assise, sans avoir besoin de recourir à l'aide d'un
accompagnateur spécialisé, tel qu'un thérapeute ou un
coach sportif.
Un tel procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise est avantageusement mis en uvre d'un objet
électronique distant 50 dudit dispositif d'assise, ledit
objet étant avantageusement communicant. A titre
d'exemples d'application préférée mais non limitatifs, un
tel objet électronique 50 peut consister en un téléphone
intelligent, une tablette informatique et/ou un
ordinateur personnel. Plus précisément,
l'objet
électronique 50 comporte une unité de traitement (non
représentée sur les figures), consistant en un ou
plusieurs microcontrôleurs ou microprocesseurs, chargés
de mettre en uvre ledit procédé d'aide à l'utilisation
d'un dispositif d'assise ou tout autre traitement sur des
données, comme par exemple des données de position
préalablement transmises par un dispositif d'assise.
L'objet électronique 50 comporte en outre une mémoire de
programmes (non représentée sur les figures), ladite
mémoire coopérant avantageusement avec l'unité de
traitement au moyen de bus de communication internes ou
par couplage, agencée pour comporter, sous la forme d'un
produit programme d'ordinateur préalablement chargé au
sein de ladite mémoire, un procédé d'aide à l'utilisation
d'un dispositif d'assise conforme à l'invention. Lesdites
données peuvent avantageusement être, pour toutes ou
parties, enregistrées sur une ou plusieurs mémoires de
données (non représentées sur les figures), généralement
électriquement effaçables et inscriptibles. La mémoire de
données peut avantageusement coopérer avec l'unité de
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traitement au moyen de bus de communication internes
et/ou ne former qu'une seule et même entité avec la
mémoire de programmes préalablement mentionnée.
Par ailleurs, l'objet électronique 50 comprend des
5 moyens de sortie 30 coopérant avantageusement avec
l'unité de traitement au moyen de bus de communication
internes. De tels moyens de sortie 30 permettent in fine
de délivrer et/ou de restituer à un utilisateur du
dispositif d'assise un rendu ou une représentation
10 graphique de données de position notamment,
préférentiellement mais non limitativement en deux ou
trois dimensions. Une telle représentation graphique
peut, avantageusement et préalablement à son affichage,
être paramétrée, afin que soient automatiquement ou
15 manuellement sélectionnées, par exemple la couleur, la
taille et/ou la forme d'une telle représentation.
L'invention ne saurait toutefois être limitée à ces seuls
paramétrages. Aussi, à titre d'exemples non limitatifs,
de tels moyens de sortie 30 peuvent avantageusement
20 consister en une interface homme-machine ou interface
graphique, un écran, éventuellement tactile, ou tout
autre moyen équivalent adapté pour afficher ladite
représentation graphique.
De plus, afin de réceptionner des données du monde
extérieur et plus particulièrement d'un dispositif
d'assise, un objet électronique 50 comporte des moyens de
communication (non représentés sur les figures) avec
l'extérieur, assurant une communication, éventuellement
de proximité, avec ledit dispositif d'assise distant,
lesdits moyens de communication coopérant également avec
l'unité de traitement au moyen de bus de communication
internes. Lesdits moyens de communication peuvent ainsi
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assurer une communication, éventuellement filaire ou sans
fil, par exemple lorsque les moyens de communication
émettent une communication sans fil, en mettant en uvre
des protocoles de communication WiFi ou Bluetooth, à
destination de tout dispositif distant, comme par
exemple, le dispositif d'assise pendulaire, à condition
que ce dernier soit à portée de communication. Par
l'intermédiaire desdits moyens de communication, l'objet
électronique 50, ou plus précisément son unité de
traitement, peut émettre et/ou recevoir des messages ou
signaux, ci-après dénommés messages par mesure de
simplification, éventuellement de position, à destination
ou en provenance d'un dispositif d'assise pendulaire
positionné à portée de communication.
En outre, pour que l'objet électronique 50 puisse
fonctionner en totale autonomie, ce dernier peut
comporter avantageusement une source d'énergie électrique
propre (non représentée sur les figures), sous la forme
d'un ou plusieurs condensateurs préalablement chargés et
aptes à délivrer l'énergie électrique suffisante pour
permettre le fonctionnement de l'objet électronique. La
capacité à pouvoir fonctionner d'un objet électronique
est directement liée à la capacité énergétique restante
et disponible dudit objet électronique.
La figure 6 schématise notamment un organigramme
simplifié d'un mode de réalisation d'un procédé 100
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise.
Selon la figure 6, le procédé 100 d'aide à
l'utilisation d'un tel dispositif d'assise,
avantageusement mis en uvre par un objet électronique
50, comporte tout d'abord une étape pour décoder 110 un
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message M de position du dispositif d'assise pendulaire,
ledit message M étant réceptionné par les moyens de
communication de l'objet électronique distant 50. Ledit
message M de position peut ainsi comporter plusieurs
champs informatifs, tels qu'un identifiant du dispositif
d'assise, une ou plusieurs données de position dont la ou
les valeurs désignent la mesure de position en temps réel
du dispositif d'assise, c'est-à-dire la position dudit
dispositif par rapport à une surface horizontale
prédéfinie sur laquelle le dispositif est employé, comme
par exemple le sol, dans un référentiel terrestre ou
inertiel, des accélérations et/ou des inclinaisons dudit
dispositif d'assise selon le ou les capteurs de mesure de
position exploités. Par la suite et par mesure de
simplification, nous nommerons de telles données
données de position . L'étape 110 consiste in fin à
obtenir la ou les valeurs des données de position
extraites.
Ensuite, l'objet électronique 50 comportant des
moyens de sortie 30, tels qu'à titre d'exemple non
limitatif une interface homme-machine, tel qu'un écran ou
tout autre moyen équivalent, à un utilisateur dudit objet
et/ou dispositif, lesdits moyens de sortie coopérant avec
l'unité de traitement dudit objet électronique 50, un
procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention comporte une étape
subséquente 120 pour déclencher l'affichage, par les
moyens de sortie 30, d'un premier indicateur 31
traduisant lesdites données de position extraites.
L'affichage d'un tel premier indicateur peut
avantageusement s'effectuer en deux ou trois dimensions
et consiste principalement en l'affichage d'un objet
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virtuel dont les paramètres peuvent être définis ou
prédéterminés. La représentation graphique d'un tel
premier indicateur dépend généralement d'un grand nombre
de facteurs, notamment et à titre d'exemples non
limitatifs, de l'utilisateur du dispositif d'assise, des
éléments paramétrables sur les moyens de sortie, etc.
Ainsi, préalablement à l'étape 120 d'affichage d'un tel
premier indicateur, un procédé 100 conforme à l'invention
peut éventuellement comprendre une étape de configuration
des paramètres respectifs desdits moyens de sortie,
notamment et éventuellement de la représentation
graphique d'un tel premier indicateur, notamment mais non
limitativement la forme, la texture ou encore la palette
de couleurs utilisées. Un exemple non limitatif
d'affichage d'un premier indicateur 31 par les moyens de
sortie 30 est décrit en lien avec la figure 4. Selon cet
exemple, dans lequel les moyens de sortie 30 consiste
avantageusement en un écran d'un téléphone portable
intelligent ou d'une tablette informatique, le premier
indicateur 31 représentant la position du dispositif,
consiste en un cercle blanc, empli de points noirs,
délimité par un trait noir dans un repère en deux
dimensions.
Pour s'assurer du bon emploi du dispositif d'assise
par l'utilisateur en lui imposant des objectifs cibles de
position(s) et/ou de mouvement(s), selon la figure 6, un
procédé 100 d'aide à l'utilisateur d'un dispositif
d'assise comporte en outre une étape pour élaborer 130
des données de position de référence déterminée
traduisant un objectif de déplacement ou une cible à
atteindre. Selon un premier exemple, une telle étape 130
peut avantageusement consister en le calcul ou la
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construction de valeurs de données de position, au moyen
d'un algorithme prédéfini, dépendant de caractéristiques,
pouvant être préalablement définies, éventuellement
inhérentes à l'utilisateur, comme par exemple, non
limitativement, la morphologie, l'état physique ou
l'expérience vis-à-vis de l'emploi d'un tel dispositif
d'assise de l'utilisateur. En variante ou en complément,
une telle étape 130 pour élaborer des données de position
de référence peut consister à sélectionner lesdites
valeurs de données de position, parmi une liste de
valeurs de positions de référence ordonnée et
prédéterminée. Avantageusement, une telle étape 130 pour
élaborer des données de position de référence peut être
également mise en uvre parallèlement, antérieurement ou
postérieurement à l'étape pour décoder 110 un message M
de position et extraire des données de position, émanant
du dispositif d'assise.
Ensuite, l'objet électronique 50 comportant des
moyens de sortie 30, tels qu'à titre d'exemple non
limitatif une interface homme-machine, tel qu'un écran ou
tout autre moyen équivalent, à un utilisateur dudit objet
et/ou dispositif, lesdits moyens de sortie coopérant avec
l'unité de traitement dudit objet électronique 50, un
procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention comporte une étape
subséquente 140 pour déclencher l'affichage, par les
moyens de sortie 30 d'un deuxième indicateur 32
traduisant lesdites données de position de référence. A
l'instar du premier indicateur, l'affichage d'un tel
deuxième indicateur peut avantageusement s'effectuer en
deux ou trois dimensions et consiste principalement en
l'affichage d'un objet virtuel dont les paramètres
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peuvent être définis ou prédéterminés. La représentation
graphique d'un tel deuxième indicateur dépend, elle
aussi, généralement d'un grand nombre de facteurs. Ainsi,
préalablement à l'étape 140 d'affichage d'un tel deuxième
5 indicateur, un procédé 100 conforme à l'invention peut
éventuellement comprendre une étape de configuration des
paramètres de la représentation graphique dudit deuxième
indicateur, notamment mais non limitativement la forme,
la texture ou encore la palette de couleurs utilisées. Un
10 exemple non limitatif d'affichage d'un deuxième
indicateur 32 par les moyens de sortie 30 est décrit en
lien avec la figure 4. Selon cet exemple, dans lequel les
moyens de sortie 30 consiste avantageusement en un écran
d'un téléphone portable intelligent ou d'une tablette
15 informatique, le deuxième indicateur représentant la
position de référence consiste en un cercle blanc, empli
de traits diagonaux noirs, délimité par un trait noir
dans un repère en deux dimensions.
Préférentiellement, comme décrit en lien avec
20 l'exemple selon la figure 4, les étapes 120 et 140 pour
déclencher les affichages respectifs des premier et
deuxième indicateurs sont mis en uvre concomitamment, et
ce, afin de pouvoir comparer les premier et deuxième
indicateurs représentant respectivement les données de
25 position réelles du dispositif d'assise et les données de
position de référence, c'est-à-dire l'objectif, pour
notamment donner la possibilité à l'utilisateur d'évaluer
l'effort et/ou la marge de progression à fournir pour
atteindre son but. L'affichage simultané des premier et
deuxième indicateurs offre aussi un caractère ludique à
une série d'exercices, atténuant les caractères ennuyants
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et laborieux de ces derniers pour un utilisateur du
dispositif d'assise.
Afin de maximiser l'adhésion de l'utilisateur à un
protocole de rééducation thérapeutique et/ou de
renforcement musculaire et renforcer le côté ludique des
sessions de rééducation et/ou de renforcement qui peuvent
s'avérer, dans bien des cas, rébarbatives, il peut être
nécessaire d'apporter des éléments ludiques à l'affichage
des premier et/ou deuxième indicateurs de position
respectivement extraites et de référence. Outre leur côté
ludique, de tels éléments ou indicateurs on un effet
immédiat sur l'attitude de l'utilisateur et provoque chez
ce dernier une utilisation optimale de son dispositif,
qu'il ne pouvait atteindre qu'en requérant au suivi d'un
professionnel. Pour ce faire, les premier et/ou deuxième
indicateurs affichés par un procédé d'aide à
l'utilisation conforme à l'invention
peuvent
éventuellement consister en des premier et/ou deuxième
avatars. Dans tout le document et au sens de l'invention,
la notion d' avatar est définie comme l'apparence
prise par un individu dans un environnement graphique
informatique, ou plus généralement la représentation
graphique d'un individu ou objet virtuel prédéfini en
deux ou trois dimensions. En variante, selon ce mode de
réalisation particulier, l'invention prévoit ainsi qu'un
procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un dispositif
conforme à l'invention puisse comporter une étape,
préalable à la première utilisation dudit dispositif,
pour configurer automatiquement les premier et/ou
deuxième indicateurs de position, par le choix d'un ou
plusieurs aspects particuliers de l'avatar, tel que, par
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exemple, lorsque l'avatar est un être humain, le genre de
l'avatar, la couleur des cheveux ou de la peau de
dernier, les vêtements portés par l'avatar, etc.
Comme précisé précédemment, les protocoles de
rééducation physique et/ou de renforcement musculaire
consistent généralement en un ou plusieurs enchaînements,
comprenant notamment des exercices et/ou des mouvements,
dont l'amplitude, la vitesse et la répétabilité sont
prédéterminées pour répondre à des contraintes
particulières et viser un objectif de développement
musculaire ou de rééducation fonctionnelle. Pour répondre
à de tels protocoles, il est prévu qu'un procédé 100
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme
à l'invention puisse être mis en uvre itérativement. Il
est possible, pour un utilisateur d'un dispositif
d'assise, de réaliser une ou plusieurs séries
d'exercices, en présence ou non d'un accompagnateur
spécialisé, tout en ayant la certitude, tout du moins, un
grand degré de confiance, quant à la bonne réalisation
des différents enchaînements. Lors de l'emploi d'un tel
traitement itératif, l'étape 130 pour élaborer des
données de position de référence peut élaborer des
valeurs de données de position différentes de celles
élaborées lors de l'itération précédente. A l'instar des
exemples d'élaboration précédemment décrits, l'étape pour
élaborer 130 des valeurs de données de position
différentes de celles élaborées lors de l'itération
précédente peut être mises en uvre par plusieurs
traitements.
Selon une première variante, lesdites valeurs des
données de position de référence peuvent être déterminées
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selon une fonction ou un scénario tenant compte des
valeurs des données de position précédentes. L'emploi
d'une telle fonction ou d'un tel scénario au regard
d'autres possibles, peut avantageusement dépendre des
caractéristiques inhérentes à l'utilisateur, comme par
exemple sa morphologie, son état physique, son expérience
vis-à-vis de l'emploi d'un tel dispositif d'assise ou
encore et finalement la difficulté du travail recherché.
A titre d'exemple non limitatif, dans le cadre d'une
séance de rééducation physique, selon les muscles à
rééduquer ou renforcer, un scénario basé sur une série
d'exercices de mouvements en S ou en 8 peut
éventuellement être envisagé. Ainsi, pour réaliser
lesdits mouvements, un procédé 100 d'aide conforme à
l'invention peut comporter une étape préalable pour
configurer une fonction ou un scénario, ladite étape
consistant à interpréter une consigne de l'utilisateur ou
superviseur, saisie ou consignée via une interface
d'entrée coopérant avec l'unité de traitement de l'objet
électronique, comme par exemple un clavier ou une souris.
Une telle consigne consiste à sélectionner manuellement,
c'est-à-dire éventuellement par l'utilisateur ou un
superviseur, ou encore automatiquement, parmi une
pluralité de scénarios ou fonctions dans une base de
données inscrite éventuellement dans la mémoire de
données de l'objet électronique mettant en uvre ledit
procédé, un scénario ou une fonction envisagée.
En variante ou en complément, les valeurs des données
de position de référence peuvent être déterminées à
partir d'une liste de valeurs de positions de référence
ordonnée et prédéterminée. Ainsi, l'étape 130 pour
élaborer des données de position de référence consiste à
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choisir ou à sélectionner, dans une base de données
éventuellement inscrite dans la mémoire de données de
l'objet électronique mettant en uvre ledit procédé, sous
la forme éventuelle d'une liste de valeurs de positions
de référence existantes, des données de position de
référence. Le choix de telles données de position de
référence pourra être réalisé en utilisant les
caractéristiques inhérentes à l'utilisateur, comme par
exemple sa morphologie, son état physique, son expérience
vis-à-vis de l'emploi d'un tel dispositif d'assise ou
encore finalement la difficulté du travail recherché.
L'invention prévoit en complément, de pourvoir
accroître encore la motivation d'un utilisateur d'un
dispositif d'assise ou du superviseur d'un tel
utilisateur et ainsi pérenniser l'adhésion dudit
utilisateur à son dispositif et aider celui-ci à
améliorer ses performances.
Aussi, un procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un
dispositif d'assise conforme à l'invention, lorsque ledit
procédé est mis en uvre itérativement, peut
avantageusement et également comporter une étape 150 pour
comptabiliser les occurrences, lors desquelles les
valeurs des données de position extraites d'un message de
position émis par le dispositif et les valeurs des
données de position de référence sont sensiblement
identiques. Pour ce faire, l'étape 150 pour comptabiliser
les occurrences peut avantageusement comporter une étape
préalable pour comparer les valeurs des données de
position émanant du dispositif et les valeurs des données
de position de référence. Eventuellement, l'étape 150
pour comptabiliser les occurrences peut avantageusement
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comporter une étape préalable pour initialiser la valeur
du compteur d'occurrences à zéro. Lorsque lesdites
valeurs sont sensiblement identiques, l'étape 150 pour
comptabiliser les occurrences peut avantageusement
5 comporter une étape subséquente pour incrémenter d'une
unité la valeur courante du compteur d'occurrences et
ensuite inscrire ladite valeur courante du compteur
d'occurrences, au sein de la mémoire de données de
l'objet électronique mettant en uvre ledit procédé 100.
10 L'invention ne saurait toutefois être limitée à ce seul
exemple de réalisation : il pourrait être éventuellement
prévu de configurer, avant utilisation du dispositif
d'assise, la valeur courante du compteur d'occurrences à
une valeur cible, en inscrivant ladite valeur au sein de
15 la mémoire de données. Selon ce mode de réalisation,
Lorsque lesdites valeurs de données comparées sont
sensiblement identiques, l'étape 150 pour comptabiliser
les occurrences pourrait alors comporter une étape
subséquente pour décrémenter d'une unité la valeur
20 courante du compteur d'occurrences et ensuite inscrire
ladite valeur courante du compteur d'occurrences, au sein
de la mémoire de données de l'objet électronique mettant
en uvre ledit procédé 100. La séance de rééducation ou
de renforcement, ou plus particulièrement la série
25 d'exercices, pourrait être considérée comme clôturée
lorsque la valeur courante d'occurrences est égale à
zéro.
En complément, pour insister sur les performances ou
progrès d'un utilisateur d'un dispositif d'assise et
30 accroître sa motivation, à la suite de l'étape 150 pour
comptabiliser les occurrences précédemment décrite, un
procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un dispositif
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d'assise conforme à l'invention peut comprendre une étape
subséquente 160 pour déclencher l'affichage, par les
moyens de sortie 30 de l'objet électronique 50, de la
valeur courante du compteur d'occurrences. Une telle
étape d'affichage de la valeur courante du compteur
d'occurrences peut être mise en uvre à la demande de
l'utilisateur ou de son superviseur, ou à chaque fois que
le compteur d'occurrences est mouvementée. En outre,
l'affichage de la valeur courante d'un tel compteur
d'occurrences peut avantageusement être configuré ou
paramétré manuellement ou automatiquement, à l'instar des
premier et deuxième indicateurs précédemment décrits.
En variante ou en complément, pour augmenter les
facultés récréatives et ludiques d'un procédé d'aide à
l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme à
l'invention et ainsi améliorer le gain d'une telle
utilisation, ledit procédé 100 peut comprendre également
une étape, préalable à l'affichage du premier ou deuxième
indicateur 31, 32, pour sélectionner, parmi une pluralité
de représentations graphiques déterminées, une première
représentation graphique, dès dissemblance des valeurs
respectives entre les données de position extraites et
les données de position de référence, et/ou une deuxième
représentation graphique, dès concordance desdites
valeurs. Les représentations graphiques peuvent être
avantageusement sélectionnées au préalable manuellement,
c'est-à-dire éventuellement par l'utilisateur ou un
superviseur, ou encore automatiquement, dans une base de
données éventuellement inscrite dans la mémoire de
données de l'objet électronique mettant en uvre ledit
procédé. De telles représentations graphiques peuvent
être paramétrées et/ou paramétrables, que ce soit par
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exemple au niveau de la couleur, la taille ou la forme
d'une telle représentation. Préalablement à cette étape,
comme d'ores et déjà mentionné, ledit procédé 100 peut
également comporter des étapes préalables pour configurer
automatiquement les représentations respectives des
premier et/ou deuxième indicateurs de position.
Pour décupler les possibilités offertes par un
dispositif d'assise, ce dernier peut comporter également
un capteur 24 de mesure de pression exercée suivant un
axe traversant le corps depuis l'assise vers le pied
sphérique, ledit capteur de mesure coopérant
solidairement avec ledit dispositif. Aussi, un tel
capteur de mesure de pression peut avantageusement
coopérer ou communiquer avec une unité de traitement d'un
objet électronique distant 50 et lui délivrer ou
transmettre un message ou signal relatif, par exemple à
un seuil de pression exercé sur le sol par un dispositif
d'assise, lorsqu'un utilisateur a pris place sur ledit
dispositif. Un tel message ou signal relatif à la
pression peut avantageusement comporter deux types
d'informations, à savoir une mesure continue de pression
ou une détection d'un seuil de pression atteint. Lorsque
le capteur délivre une information relative à une mesure
continue, un telle information peut ainsi permettre de
déterminer le temps d'utilisation actif dudit dispositif
d'assise. Préférentiellement mais non limitativement, un
tel capteur de mesure de position peut comporter un
piézomètre. Selon un premier mode de réalisation, le
capteur de mesure de position peut ainsi coopérer selon
une liaison mécanique encastrement, c'est-à-dire être
avantageusement fixé, avec ledit dispositif. Selon
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l'exemple d'application préféré, décrit en lien avec la
figure 3, un tel capteur de mesure adapté pour détecter
une pression et/ou un différentiel soudain de pression
peut avantageusement être placé sur et/ou dans le pied
sphérique 1.
Lorsqu'un tel capteur de mesure de pression est
présent, un procédé 100 d'aide à l'utilisation d'un tel
dispositif d'assise, avantageusement mis en uvre par un
objet électronique 50, peut également comprendre une
étape pour décoder un message M' de pression relative
audit dispositif d'assise pendulaire, ledit message étant
réceptionné par les moyens de communication de l'objet
électronique distant 50. Ledit message M' de pression
relative audit dispositif peut ainsi comporter plusieurs
champs informatifs, parmi lesquels une ou plusieurs
données de pression dont la ou les valeurs désignent la
pression courante exercée suivant un axe traversant le
corps depuis l'assise vers le pied sphérique en temps
réel du dispositif d'assise, éventuellement sur le sol
et/ou un différentiel soudain de pression. L'étape
consiste in fine à obtenir la valeur dudit différentiel
soudain de pression extraite ou plus généralement la ou
les valeurs des données de pression extraites.
Une fois les données de pression extraites, le
procédé 100 conforme à l'invention peut en outre
comporter une étape pour mettre en uvre un traitement
déterminé en réponse à une ou plusieurs données de
pression délivrant une pression supérieure à un seuil
déterminé. Un tel seuil peut être au préalable
sélectionné parmi une pluralité de seuils prédéterminés
dans une liste inscrite au sein de la mémoire de données
d'un objet électronique 50. Pour assurer la mise en uvre
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d'un traitement déterminé, le procédé peut en outre
comprendre une étape préalable pour comparer la valeur
des données issues de pression extraites à celle du seuil
prédéterminé et vérifier si ladite pression mesurée est
supérieure ou égale au seuil prédéterminé. L'invention
prévoit en outre que le traitement peut être sélectionné
en fonction des valeurs des données de pression et dudit
seuil atteint en comparaison. A titre d'exemple préféré
mais non limitatif, le traitement déterminé peut
consister en une étape pour élaborer une commande de
validation d'un menu graphique restitué par les moyens de
sortie 30 de l'objet électronique 50. L'invention ne
saurait toutefois être limitée à ce seul type de
traitement.
En variante ou complément, une fois les données de
position extraites, l'invention prévoit que le procédé
100 conforme à l'invention puisse en outre comporter une
étape pour mettre en uvre un deuxième traitement
déterminé en réponse à une valeur de données de position
supérieure à celle d'un deuxième seuil déterminé. A titre
d'exemple préféré mais non limitatif, lorsque la position
mesurée est relative à une valeur d'inclinaison, le
deuxième traitement déterminé peut consister en une étape
pour élaborer une commande de déroulement d'un menu
graphique restitué par les moyens de sortie 30 de l'objet
électronique 50. L'invention ne saurait toutefois être
limitée à ce seul type de deuxième traitement.
Ainsi que présenté par le deuxième mode de
réalisation d'un système d'aide à l'utilisation d'un
dispositif d'assise conforme à l'invention décrit en lien
avec la figure 6, ce dernier peut avantageusement
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comporter ou coopérer avec un ou plusieurs accessoires
supports sous la forme, par exemple, d'un bâton 26. La
présence d'un ou plusieurs bâtons 26 s'avèrent dans
certains cas utiles, puisqu'ils permettent d'aider
5 l'équilibration latérale, d'améliorer l'amplitude des
mouvements et d'augmenter le nombre d'exercices
réalisables par l'utilisateur et finalement de globaliser
le renforcement musculaire d'un utilisateur par
l'enchaînement d'exercices sollicitant également le haut
10 du corps. Le ou les bâtons 26 peuvent avantageusement
être constitués d'un matériau les rendant plus ou moins
flexibles, garantissant ainsi la création de réactions
d'appuis et une meilleure souplesse d'utilisation.
Préférentiellement, le ou lesdits bâtons 26 peuvent
15 avantageusement comporter un corps sous la forme d'un
tube, un moyen de préhension, sous la forme d'une
poignée, coopérant avec une première extrémité dudit
corps et un pied ou balle d'appui coopérant avec l'autre
extrémité dudit corps.
20 A l'instar dudit dispositif d'assise, pour pouvoir
assurer une meilleure utilisation dudit accessoire
support, ce dernier peut comporter un capteur 27 de
mesure de position délivrant des données de position
accessoire transmises dans le message de position M
25 conjointement avec les données de position du corps du
dispositif ou plus généralement du dispositif en tant que
tel. Aussi, un tel capteur de mesure de position peut
avantageusement coopérer ou communiquer avec l'unité de
traitement d'un dispositif d'assise. La position ainsi
30 mesurée de l'accessoire et traduite en données de
position accessoire peut consister en deux types
d'informations, à savoir une mesure continue de position
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de l'accessoire ou une détection de position de
l'accessoire. Préférentiellement mais non limitativement,
un tel capteur de mesure de position accessoire peut
comporter un accéléromètre ou encore un gyromètre. Selon
un premier mode de réalisation, le capteur de mesure de
position peut ainsi coopérer selon une liaison mécanique
encastrement, c'est-à-dire être avantageusement fixé,
avec ledit accessoire, plus particulièrement sur le corps
dudit accessoire. Selon l'exemple d'application préféré,
décrit en lien avec la figure 6, un tel capteur 27 de
mesure de position accessoire peut avantageusement être
placé sur et/ou dans le corps dudit bâton 26.
Lorsque le dispositif d'assise comporte ou coopère
avec un accessoire support sous la forme d'un bâton 26,
ledit accessoire comportant un capteur 27 de mesure de
position accessoire, l'étape pour décoder un message M de
position d'un procédé 100 conforme à l'invention, mis en
uvre par l'unité de traitement d'un objet électronique
50 peut consister en outre à extraire dudit message les
valeurs des données de position accessoire. Selon cet
agencement particulier, ledit message M de position peut
ainsi comporter plusieurs champs informatifs relatifs à
l'accessoire support 26, tels qu'un identifiant dudit
accessoire support, des données de position accessoire
dont les valeurs désignent la mesure de position en temps
réel dudit accessoire support, c'est-à-dire la position
dudit accessoire par rapport à une surface horizontale
prédéfinie sur laquelle le dispositif et l'accessoire
sont employés, comme par exemple le sol, dans un
référentiel terrestre ou inertiel, des accélérations
et/ou des inclinaisons dudit accessoire support selon le
ou les capteurs de mesure de position accessoire
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exploités. Par la suite et par mesure de simplification,
nous nommerons de telles données données de position
accessoire . L'étape 110 consiste in fine à obtenir les
valeurs des données de position accessoire extraites,
concomitamment à celles des données de position du
dispositif en tant que tel.
L'objet électronique 50 comportant des moyens de
sortie 30, tels qu'à titre d'exemple non limitatif une
interface homme-machine, tel qu'un écran ou tout autre
moyen équivalent, à un utilisateur dudit objet et/ou
dispositif, lesdits moyens de sortie coopérant avec
l'unité de traitement dudit objet électronique 50, un
procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise
conforme à l'invention comporte une étape subséquente
pour déclencher l'affichage, par les moyens de sortie 30,
d'un troisième indicateur (non représenté sur la figure
4) traduisant lesdites données de position accessoire. A
l'instar des premier et deuxième indicateurs, l'affichage
d'un tel troisième indicateur peut avantageusement
s'effectuer en deux ou trois dimensions et consister
principalement en l'affichage d'un objet virtuel dont les
paramètres peuvent être définis ou prédéterminés. Ainsi,
préalablement à l'étape d'affichage d'un tel troisième
indicateur, un procédé 100 conforme à l'invention peut
éventuellement comprendre une étape de configuration des
paramètres de la représentation graphique d'un tel
troisième indicateur, notamment mais non limitativement
la forme, la texture ou encore la palette de couleurs
utilisées.
Quelle que soit la configuration d'un procédé 100
d'aide à l'utilisation d'un dispositif d'assise conforme
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à l'invention, ledit procédé 100 étant conforme à
l'invention, un mode d'adaptation préférée d'un objet
électronique communicant, tel que celui décrit
précédemment, consiste à enregistrer ou télécharger en
mémoire de programmes, un produit programme d'ordinateur
P comportant une pluralité d'instructions de programme
qui, lorsqu'elles sont exécutées ou interprétées par
l'unité de traitement dudit objet électronique provoquent
la mise en uvre dudit procédé 100 d'aide à l'utilisation
dudit dispositif d'assise conforme à l'invention.
Ainsi que mentionné précédemment, l'invention
concerne également un système d'aide à l'utilisation d'un
dispositif d'assise pendulaire. Deux modes de réalisation
préférés mais non limitatifs sont notamment décrits en
lien avec les figures 3 et 6, ledit dispositif d'assise
étant avantageusement sous la forme d'un tabouret
pendulaire dynamique.
Selon la figure 3, un système 200 d'aide à
l'utilisation d'un dispositif d'assise pendulaire
conforme à l'invention peut comporter ledit dispositif
d'assise, un objet électronique distant 50 comportant des
moyens de communication assurant une communication avec
ledit dispositif d'assise, éventuellement filaire ou sans
fil, dans ce dernier cas, selon des protocoles de
communication WiFi ou Bluetooth. Ledit objet électronique
est ainsi conforme à l'invention, c'est-à-dire qu'il
comporte en outre dans sa mémoire de programmes, un
produit programme d'ordinateur P, permettant la mise en
uvre d'un procédé d'aide à l'utilisation d'un dispositif
d'assise conforme à l'invention.
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En variante ou en complément, conformément au
deuxième mode de réalisation décrit en lien avec la
figure 6, un tel système 200 peut en outre comporter un
accessoire support sous la forme d'un bâton 26 coopérant
avec ledit dispositif d'assise et pour lequel l'objet
électronique 50 comporte dans la mémoire de programmes,
les instructions d'un produit programme d'ordinateur
conforme à l'invention.
L'invention a été décrite lors de son utilisation
et/ou application en lien avec un tabouret pendulaire,
dédié notamment à la mise en place de protocoles de
rééducation et/ou de renforcement musculaire. Elle peut
également être mise en uvre pour tous autres dispositifs
dédiés, de par leurs caractéristiques structurelles, à la
mise en place de protocoles de rééducation et/ou de
renforcement musculaire.
D'autres modifications peuvent être envisagées sans
sortir du cadre de la présente invention définie par les
revendications ci-annexées.
