Sélection de la langue

Search

Sommaire du brevet 1154234 

Énoncé de désistement de responsabilité concernant l'information provenant de tiers

Une partie des informations de ce site Web a été fournie par des sources externes. Le gouvernement du Canada n'assume aucune responsabilité concernant la précision, l'actualité ou la fiabilité des informations fournies par les sources externes. Les utilisateurs qui désirent employer cette information devraient consulter directement la source des informations. Le contenu fourni par les sources externes n'est pas assujetti aux exigences sur les langues officielles, la protection des renseignements personnels et l'accessibilité.

Disponibilité de l'Abrégé et des Revendications

L'apparition de différences dans le texte et l'image des Revendications et de l'Abrégé dépend du moment auquel le document est publié. Les textes des Revendications et de l'Abrégé sont affichés :

  • lorsque la demande peut être examinée par le public;
  • lorsque le brevet est émis (délivrance).
(12) Brevet: (11) CA 1154234
(21) Numéro de la demande: 1154234
(54) Titre français: PROCESS FOR PURIFYING SOLUTIONS CONTAINING ALKALINE CARBONATES, SULFATES, HYDROXIDES OR EVENTUALLY HYDROGEN CARBONATES, AND AT LEAST ONE OF VANADIUM, URANIUM OR MOLYBDENUM METALS
(54) Titre anglais: PROCEDE DE PURIFICATION DE SOLUTIONS CONTENANT DES CARBONATE, SULFATE, HYDROXYDE OU EVENTUELLEMENT HYDROGENOCARBONATE ALCALINS AINSI QUE L'UN AU MOINS DES METAUX VANADIUM, URANIUM, MOLYBDENE
Statut: Durée expirée - après l'octroi
Données bibliographiques
(51) Classification internationale des brevets (CIB):
  • C22B 34/34 (2006.01)
  • C01D 1/32 (2006.01)
  • C01G 39/06 (2006.01)
(72) Inventeurs :
  • MAUREL, PIERRE (France)
  • NICOLAS, FRANCOIS (France)
(73) Titulaires :
  • ALUMINIUM PECHINEY
(71) Demandeurs :
  • ALUMINIUM PECHINEY (France)
(74) Agent: ROBIC, ROBIC & ASSOCIES/ASSOCIATES
(74) Co-agent:
(45) Délivré: 1983-09-27
(22) Date de dépôt: 1981-04-01
Licence disponible: S.O.
Cédé au domaine public: S.O.
(25) Langue des documents déposés: Français

Traité de coopération en matière de brevets (PCT): Non

(30) Données de priorité de la demande:
Numéro de la demande Pays / territoire Date
80 07 877 (France) 1980-04-02

Abrégés

Abrégé français


PRECIS DE LA DIVULGATION:
Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses contenant des carbonate, sulfate, hydroxyde ou
hydrogénocarbonate alcalins ainsi que, principalement,
l'un au moins des métaux appartenant au groupe constitué
par le vanadium, l'uranium et le molybdène, sous la forme de
sels alcalins et des impuretés minérales et/ou organiques.
Les solutions qui proviennent d'un cycle d'attaque de minerais,
sont prélevées après l'extraction du métal recherche sous
la forme d'un concentre. Selon l'invention, on caustifie
les solutions précitées par addition d'une quantité adéquate
de chaux en transformant le carbonate présent en hydroxyde
alcalin, on sépare un premier précipité de la liqueur riche
en hydroxyde alcalin, on concentre ladite liqueur jusqu'à
l'obtention d'une teneur en hydroxyde alcalin au plus égale
à 50 % pour provoquer l'obtention d'un deuxième précipité
forme de molybdate et de sulfate alcalins que l'on solubilise
dans une liqueur aqueuse de recyclage. Cette liqueur de
redissolution est ensuite traitée par des ions sulfures, puis
acidifiée à un pH inférieur à 4,5 pour précipiter quantitative-
ment le molybdène, que l'on sépare de la liqueur-mère, lave et
sèche en vue de l'utiliser comme source de molybdène.


Revendications

Note : Les revendications sont présentées dans la langue officielle dans laquelle elles ont été soumises.


Les réalisations de l'invention, au sujet desquelles
un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué,
sont définies comme il suit:
1. Procédé d'extraction du molybdène des solutions
aqueuses à épurer contenant des carbonate, sulfate, hydroxyde
ou hydrogénocarbonate alcalins, ainsi que, principalement,
l'un au moins des métaux appartenant au groupe constitué par
le vanadium, l'uranium et le molybdène, sous la forme de
sels alcalins, ainsi que des impuretés minérales et/ou organi-
ques, lesdites solutions étant traitées à une température au
plus égale à l'ébullition par de la chaux, pour transformer
le carbonate alcalin en hydroxyde et précipiter les sels de
calcium insolubles formés, puis à séparer et à laver le
premier précipite contenant pour l'essentiel du carbonate de
calcium, d'une liqueur qui s'est enrichie en hydroxyde alcalin
que l'on concentre par évaporation en même temps que la liqueur
de lavage du premier précipité, jusqu'à obtenir une teneur
en hydroxyde alcalin au plus égale à 50 % pour provoquer l'ob-
tention d'un deuxième précipité qui est séparé de la liqueur-
mère correspondante, caractérisé en ce que le deuxième pré-
cipité, formé d'un mélange de molybdate et de sulfate alcalin,
est solubilisé dans une liqueur aqueuse de redissolution puis,
la liqueur aqueuse ainsi obtenue est traitée au moyen d'une
quantité d'ions sulfures voisine de la stoéchiométrie, et
acidifiée jusqu'à un pH inférieur à 4,5, afin de précipiter
quantitativement le molybdène, puis ce précipite est séparé
d'une liqueur-mère contenant pour l'essentiel du sulfate
alcalin, est lavé au moyen d'eau en joignant la liqueur de
lavage à la liqueur-mère précitée et séché en formant un gâteau
constitué par le sulfure de molybdène.
2. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
18

aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé en
ce que les carbonate, sulfate, hydroxyde et/ou hydrogénocar-
bonate alcalins sont ceux de sodium, de potassium et d'am-
monium.
3. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé en
ce que la liqueur aqueuse de redissolution du deuxième précipité
de molybdate et sulfate alcalin est de l'eau.
4. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé en
ce que la liqueur aqueuse de redissolution du deuxième
précipité de molybdate et sulfate alcalin est une liqueur de
recyclage renfermant du sulfate alcalin.
5. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé
en ce que la liqueur aqueuse de redissolution du deuxième
précipite de molybdate et sulfate alcalin est constituée par
un mélange d'eau et d'une liqueur de recyclage renfermant du
sulfate alcalin.
6. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé en
ce que le deuxième précipité constitué de molybdate et sulfate
alcalin est lave avant d'être redissous, au moyen d'une partie
de la liqueur provenant de la redissolution dudit précipité.
7. Procédé d'extraction du molybdène de solutions
aqueuses à épurer selon la revendication 1, caractérisé en
ce que la liqueur aqueuse provenant de la redissolution du
deuxième précipité, et après addition d'une quantité d'ions
sulfures sensiblement stoéchiométriques, est acidifiée par
introduction lente d'acide sulfurique jusqu'à l'obtention d'un
pH compris entre 1,7 et 1,8.
19

Description

Note : Les descriptions sont présentées dans la langue officielle dans laquelle elles ont été soumises.


Z~
La présente invention concerne un procedé de puri-
fication de solutions contenant des carbonate, sulfate,
hydroxyde ou de l'hydrogénocarbonate alcalinsr ainsi que
l'un au moins des metaux, vanad:ium, uranium et molybd~ne.
Dans le brevet fran~ais n 2 404 601 du 30 Septembre
1977, la Dem~nderesse a decrit Ull procéde d'epuration de
solutions contenant des carbona~e, sulfate, hydroxyde ou hydro-
genocarbonate de sodium et l'un au moins des metaux appa.rtenant
au groupe constitue par le vanadium, l'uranium et le molybdène
sous la forme de sel de sodium.
Ces solutions provenaient d'un cycle d'attaque d'un
minerai uranifère ou vanadifere contenant comme impurete par-
ticulière du molybdène, après precipitation et séparation du
métal à valorise7~selon une méthode connue.
~ Ainsi, dans le cas d'un minerai uranifère, par
exemple, le ~inerai étant attaque par une liqueur de carbonate
et/ou bicarbonate de sodium, l'uran:ium solubilisé, present
dans la liqueur après attaque, était usuellement précipité
sous forme d'uranate de sodium. Cet u:ranate de sodium pouvait
8tre transformé:
- soit en uranate d'ammonium cristallisé par une
transposition sulfoammonique, qui consistait ~ t.raiter l'ura-
nate de sodium par une solution de sulfate d'ammonium,
- soit en peroxyde d'uranium par redissolution sul-
furique et précipitation par introduction d'eau oxygénée.
S Quel que soit le mode de precipitation et de sépara-
tion de l'uranium, par exemple sous la forme d'uranate de
sodium, éventuellement transformé en peroxyde d~uranium, ces
opérations conduisaient à l'obtention de solutions contenant
des carbonate~ sulfate, hydroxyde ou hydrogénocarbonate de
sodium, qui devaient être puriiées avant d'être recyclées
l'atta~ue du minerai. Car, il est en effet connu, que les
--1--

Z3~!
impuretés ont normalement une in~luence defavorable sur les
qualités du produit principal recherche et leur pxesence
a des concent~ations txop élevees peut etre gena~te lors
de l'attaque au moyen d'une liqueur recyclée et/ou encore
entraîner des précipitations intempestives en divers points
des c.ircuits de fabrication.
Dans la litterature specialisee en la matiere, il
est souvent indique que l'elimination cles impuretés presentes
dans les liqueurs en circulation, s'efEectue en même temps
que les steriles, sous forme de liqueur d'impregnation, par
suite d'un lavage insuffisant.
Le rejet dans la nature de steriles encore fortement
sodes, ou des liqueurs precedemment citees, est de plus en plus
inconcevable et prohibe par les legislations nationales, en
raison des degradations irremediables que ces effluents peuvent
provoquer dans le milieu naturel.
Or, s'il apparalt souhaitable de mieux réaliser le
lavage des steriles pour ameliorer la recuperation des reactifs
et du produit ~ valoriser, par contre, la quantité d'impuretés
presentes dans le circuit augmente simultanement.
Dès lors, il devient necessaire d'utiliser un procéde
permettant d'extraire les impuretes en quantlte suf~isante
des liqueurs ~ traiter pour ~ue leurs teneurs en impuretés ne
puissent engendrer les inconvenients precites.
C'est dans cet esprit que la demanderesse avalt decrit
dans le brevet français 2 404 601 du 30 Septembre 1977, un
procéde de purification des solutions précitées qui se carac-
térisait en ce que l'on traitait lesdites solutions a une
température au plus égale a l'ébullition, par une quantité de
chaux comprise entre 0,1 et 20 fois la quantite stoechiometrique
necessaire pour transEormer en soude libre les carbonates
presents sans tenir compte de la quantite de chaux nécessaire

pour précipiter les composés metalllques de calcium insolubles,
pUi5 en ce que l'on effectuait la séparation e-t de lavage
d'un premier précipite contenant pour l'essentiel clu carbonate
de calcium et un mélan~e d'autres sels organiques e~ inorga-
niques de calcium, et d'une liqueur qui s'était enrlchie en
hydroxyde de sodium, en ce ~ue l'on concentrait par évaporation
le mélange de ladite liqueur et de la liqueur de lavage du
premier précipité jusqu'a une teneur en hydroxyde de sodium
au plus égale à 50 % pour provoquer l'obtention d'un deuxième
précipité~ en ce que l'on séparait les cristaux de ce deuxi~me
précipité de leur liqueur-mere riche en hydroxyde de sodium
et en ce que l'on récupérait ladite liqueur riche en hydroxyde
de sodium. Dans ce procédé, le deu~ieme précipité était es~
sentiellement constitué par du sulfate de sodium.
Comme la liqueur-mère riche en hydroxyde de sodium,
obtenue par séparation du précipité de sulfate de sodium,
renfermait encore des impuretés, il était apparu souhaitable
à la demanderesse d'effectuer un traitement de ladite liqueur
en vue d'en extraire les eléments, t:els que le molybdène, les
matieres organiques et autres, génants pour son utilisation
ulterieure.
C'est ainsi que la demanderesse avait proposé, dans
le cadre de cette invention, un traitement permettant l'éli-
mination du molybdène sous la forme d'un sulEure, traitement
qui consistait ~ acidifier la liqueur-mere riche en hydroxyde
obtenue après la séparation du sulfate de sodium, et à préci-
piter le sulfure de molybd~ne par addition d'un sulfure alcalin.
Malgré l'intérêt qu'offrait un tel traitement, il apparaissait
des inconvénients majeurs qui pouvaient inciter à limiter son
application. En effet, le traitement nécessitait la neu-
tralisation complète par l'acide sulfurique de la liqueur-mare
riche en hydroxyde de sodium qui venait d'être débarrassée du

~54'~
sulfate de sodium. Dès lors que la liqueur-mère était purifiee
en molybdene par precipitation au moyen d'lons sulfures, il
devenait ~ nouveau necessaire d'éliminer les ions SO4 intro- I
duiks pour la neutralisation et de reconstituer la liqueur
de recyclage destinée a l'attaque en y introduisant les
quantites souhaitées en ions CO3 et HCO3 .
C'esten raison de ces inconvénients que la deman-
deresse a proposé, dans la demande de brevet ~anadien n~ 312.158 du 27
septe~bre 197~ un nouveau procédé d'extraction du molybdene des
solutions a epurer comportant des carbonate, sulfate, ~ydroxyde
ou hydrogenocarbonate de sodium, ces solutions provenant
d'un cycle d~a~taque de minerais uranifères et contenant comme
impurete particulière du molybdène apres l'attaque alca].ine .
du minerai et extraction de l'uranium sous la forme d'un con-
centre, et etant destinees à etre traitees par caustification
au mo~en de l'introduction de chaux qui se caracterisait.en
ce que le molybdene etait extrait sous la forme d'un composé
sulfuré par introduction d'ions sulfures dans une fraction
aliquote acidifiée desdites solutions avant d'en effectuer
la caustification.
Dans ses caractéristiques essentielles, ce procédé
d'extraction du molybdene, de solutions ~ epurer provenant de
traitements de minerais uraniferes, comportait les étapes
suivantes:
- le prelèvement avant caustification d'une ~raction
aliquote des solutions a traiter, destinee a assurer l.'ex-
traction de la plus grande partie du molybdene en solution,
tandis que le reste des solutions est envo~e, selon le brevet
français n 2 40~ 601, en caustification;
- l'acidification de la fraction aliquote des
solutions a traiter par un agent acide;
- l'introduction d'ions sulfures dans ladite frac-

~ 23
tion aliquote acidifiée;
- la separation du precipite de molybd~ne impregne
d'eaux mères, d'une liqueur encore acide mai.s appauvrie en
molybdène, a laquelle sont jointes les eaux de lavage dudit
précipite;
- le melange de la fraction aliquote appauvrie en
molybdène avec la fraction de solutions a epurer ayant subi
le cycle de caustification selon le brevet français 2 404 601;
- la concentration des fractions liquides provenant
de l'épuration en molybdène et de la caustiEication, jusqu'à
l'obtention d'un deuxieme précipité constitué par du sulfate
de sodium;
- la séparation des cristaux de ce deuxi~me précipité
imprégne d'une liqueur-mère riche en hydroxyde de sodium;
- le lavage du deuxi~me précipite avec recyclage
des eaux de lavage ~ la concentration, et
- I.a recupération de la liqueur riche en hydroxyde
de sodium.
Ce procédé présentait, par rapport au brevet fransais
n 2,404,601, l'avantage d'une plus faible consommation en
Ca(OH)2, une moindre introduction de H2SO4 pour neutraliser
la seule fraction aliquote destinee a l'extraction du molybdène,
ainsi qu'une faible consommation de yaz carbonique pour régéné-
rer les liqueurs recyclées à l'attaque.
De plus, ce procedé permettait d'éliminer par con-
centration les ions SO4= initialement presents dans la solution
à epurer ainsi que ceux ir.troduits dans la fraction aliquote
pour en assurer la neutralisation et permettre la precipitation
du molybdene.
Cependant, les quan-tités de H2SO4 ajoutees pour
la neutralisation de la fraction aliquote destinee a la puri-
fication en molybdène, ainsi que les quantités de CO3

~L~L r~4~3~
introduites dans la liqueur provenant de la séparat.ion
du sulfate de sodlum en vue de recycler cet-te liqueur ~
l'attaque du mi~erai, étaient encore jugees t.rop importantes.
C'est pourquoi, la demanderesse, poursuivant s~s
recherches, a trouvé qu'il était possible de réaliser l.'ex~
traction du molybd~ne suivant un procédé nouveau qui év.ite
les inconvénients précités.
La présente invention a pour objet un nouveau
procédé d'extraction du molybdène des solutions aqueuses a
épurer contenant des carbonate, sulfate, hydro~yde ou hydro-
génocarbonate alcalins, ainsi que, principalement,-l'un au
moins des métaux appartenant au groupe constitué par le
vanadium, l'urani.um et le molybdène, sous la forme de sels
alcalins, ainsi que des impuretés minérales et~ou organiques,
lesdites solutions étant traitées ~ une température au plus
égale ~ l'ébullition par de la chaux, pour transformer le
carbonate alcalin en hydroxyde et précipiter les sels de
calcium insolubles formés, puis a separer et a laver le premier
precipité contenant pour l'essentiel du carbonate de calcium,
d'une liqueur qui s'est enrichie en hydroxyde alcalin que
l'on concentre par évaporation en même temps que la liqueur
de lavage du premier précipité, jusqu'a obtenir une teneur
en hydroxyde alcalin au plus égale ~ 50 % pour provoquer l'ob-
tention d'un deuxieme précipité qui est sépare de la liqueur-
mere correspondante, caractérisé en ce que le deuxi~me précipite,
forme d'un mélange de molybdate et de sulfate alcalin, est
solubilisé dans une liqueur aqueuse de redissolution puis, la
liqueur aqueuse ainsi obtenue est traitée au moyen d'une quantité
d'ions sulfures voisine de la stoéchiométrie, et acidifiée
jusqu'à un pH inférieur a 4,5, afin de précipiter quantitati-
vement le molybdene, puis ce précipité est séparé d'une liqueur-
mere contenant pour l'essentiel du sulfate alcalin, est lave

~5~
au moyen d'eau en joignant la liqueur de lavage a la liqueur-
m~re précipitee et séché en formant un gâteau constitué par
le sulfure de molybd~ne.
Dans ses caracteristiques essentielles, le nouveau
procede d'extraction du molybdène de solutions aqueuses à
épurer provenant d'un cycle de traitement d'un minerai,
comporte les étapes suivantes:
a) Une caustification des solutions par une quantité
de chaux comprise entre 0,1 et 20 fois et, de préférence,
entre 0,5 et 10 Eois la quantité stoéchiométrique pour trans-
former en hydroxyde alcalin les carbonate et les bicarbonate
presents,
b) La séparation d'un premier précipité imprégne
d'eaux-mères et constitue par un mélange de sels organiques
et inorganiques de calcium, d'une liqueur enrichie en hydroxyde
alcalin et contenant un sulate alcalin,
c) Le lavage du premier précipité permettant
d'extraîre la liqueur d'imprégnation en donnant des eaux de
lavage qui sont jointes à la liqueur alcaline precitée,
enrichie en hydroxyde alcalin,
d) La concentration par evaporation de la liqueur
résultant du mélange jusqu'à l'obtention d'un deuxieme précipité,
constitué par le mélange de molybdate et de sulfate alcalins,
e) La séparation des cristaux de ce deuxieme
précipité imprégné d'une liqueur-mère riche en hydroxyde
alcalin,
f) Le lavage du deuxième précipité avec recyclage
des eaux de lavage à la concentration d),
g) La récupération de la liqueur riche en hydroxyde
alcalin ~ui peut être ultérieurement carbonatée avant d'etre
recyclée à l'attaque d'un minerai,
h) La redissolution dans de l'eau et/ou dans une

~5~Z~ ~
liqueur de ~ecycla~e du deuxi~me précipite,
i) L'introduction d'ions sulfures dans la liqueur
de redissolution du deuxieme preclpité,
j) L'acidification de la liqueur de redissolution
contenant les ions sul.fures provoquant la precipitation
complète du sulfure de molybdène et la formation d'une
suspension de ce sulfure dans la phase aqueuse,
k) La separation du précipite de sulfure de
molybdène, d'une liqueur aqueuse riche en sulfate alcalin,
1) Le sechage et la calcination du sulfure de
molybdène.
Selon le brevet français n 2,404,601, la caustifi-
cation des solutions s'effectue ~eneralement par in~roduction
d'une quantité de chaux au moins égale à la quantité stoéchio-
métrique necessaire pour la transformation quasi totale du
carbonate alcalin present dans la liqueur en soude libre,
selon la reaction:
M2CO3~Ca(OH)~ ~ Ca~O3 -~ 2MOH
où M peut etre le sodium, le potassium ou liammonium.
Dans le cas o~ les solutions a caustifier contien-
nent des sels metalliques suceptibles de -former avec la chaux,
et dans les conditions opératoires, un composé insoluble, la
quantité totale de chaux introduite est constltuee par la
quantité de chaux effectivement nécessaire a la caustification
des carbonates en solution et la quantite de chaux necessaire
pour precipiter lesdits elements metalliques sous la forme
de composes insolubles de calcium. Des lors, et pour sim-
plifier la comprehension de l'objet de l'invention, il ne sera
fait mention que la quantite de chaux effectivement necessaire
pour la seule caustification des carbonates aIcalins.
La temperature correspondante du traitement de
caustification est au plus égale fi la température d'ébullition

z~
de la liqueur traitee. Elle se situe donc entre 20C et 100C
mais, de pré~érence, entre S0C et 97C, la precipitation
et la iltrabilite du residu obtenu etarlt, dans la majorite
des cas, améliorees quand la temperature de caustification
est proche de la temperature d'ebulli-tion.
Le precipite est constitue pour l'essentiel par
du carbonate de calcium et par l'exces de chaux et, en quantite
mineure, par des sels organlques et inorganiques de calcium.
La separation du premier precipité et de la liqueur-
mère alcaline s'effectue par un moyen connu tel que, parexemple, filtration, essorage, decantation/ etc...
La liqueur-mère alcaline est alors soumise à une
concentration par evaporation jusqu'à l'obtention d'une
concentration en hydroxyde alcalin d'au plus 50 % en provoquant
la precipitation simultanee de sulfate et molybdate alcalin.
On recueille alors ce deuxième precipité qui est separe de
la liqueur-mère riche en hydroxyde alcalin par un moyen connu,
puis lave avec de l'eau ou avec une solution aqueuse saturee
en sulfate alcalin, la liqueur de lavage etant recyclee à la
concentration.
Comme la liqueur-mère recuperee, riche en hydroxyde
alcalin, renferme encore des impuretes, il peut être souhaitable
d'effectuer un traitement de ladite liqueur en vue dlen extraire
les élements genants pour son utilisati~n ulterieure tels que
les mati~res or~aniques et autres. De m~me, ladite liqueur-
mère peut subir un traitement de transformation avant d'etre
utilisee dans le cycle de fabrication.
Selon une première variante permettant d'extraire
les matieres organiques, la liqueur-mère sodique est traitee
d'une manière connue:
- soit par un compose de baryum en mettant à pro~it
la faible solubilite des or~anates de baryum dans le milieu

~5~3~
sodique. Le composé du baryum est introduit en quantité au
moins égale a la quantité s-toechiométrique necessaire pour
permettre la préc:ipitation et l'elimination par séparation
des organates de ce metal,
- soit par du bioxyde de sodium provoquant la
dégradation " in situ 1I des matieres organiques,
- soit par de l'eau oxygénée provoquant cette meme
dé~radation,
- soit, enfin, par passage de ladite liqueur sur du
charbon actif ayant la propriété bien connue de retenir les
élements organiques présents dans la liqueur mère traitée.
Selon une deuxième variante, la liqueur-mère sodique
peut être partiellement ou en totalité carbonatée par sa
mise en contact avec du ga~ carbonique selon des moyens connus,
par exemple par insufflation d'un large excès de ce gaz. Selon
les conditions de cette opération, il est possible d'obtenir
un précipité de carbonate de sodium que l'on peut ultérieure-
ment séparer.
D'après les caractéristiques de la liqueur-mère
alcaline à la sortie de l'évaporation et les u~sages à laquelle
cette liqueur purifiée est desti~ee, il est possible d'utiliser
soit l'une ou l'autre de ces variantes, soit de les com~iner
partiellement ou totalement.
Selon le procéde de l'invention, le deuxième
precipite constitué par un mélange de molybdate et de sulfate
alcalins est generalement redissous dans de l'eau et/ou une
liqueur aqueuse de recyclage renermant des ions S04 . Puis,
la liqueur de redissolution du deuxieme precipité est alors
reprise pour effectuer le traitement d'élimination du molyb-
dene.
Le deuxieme précipité, constitue de molybdate etde sulfate alcalin es-t redissous, le traitement d'elimination
--10--

~ 3~
du molybdene consiste a introduire dans cette solution aqueuse
des ions sulfures en une quantité voisine de la stoechiomé-trie,
puis 3 acidifier le milieu xéactionnel jusqu'a obtenir un pH
du milieu de précipi-tation inférieur a 4,5.
Comme la demanderesse l'a consta-te, il est souhai-
table que l'introduction des ions sulfures dans la solution
aqueuse de redissolution du deuxieme précipite se fasse
avant l'acidi.fication de ladite solution dans le but d'eviter
des phenomenes de reduction du milieu par le H2S susceptible
de se former et, par la même, la precipitation incomplète
du molybdene.
La température a laquelle s'effectue la précipitation
du molybdène n'est pas critique pax elle-mêmeO Toutefois,
pour éviter les effets réducteurs dûs à l.'H2S susceptible de
se former, il est preferable d'opérer cette precipitation à
la temperature la plus basse possible. En pratique, la
precipitation du molybdene s'effectue a la temperature à
laquelle se trouve la liqueur aqueuse recueillie apres la
redissolution du deuxieme précipite.
Pour aboutir ~ une precipi.tation quantitative du
molybdene, le temps d'acidification de la liqueur de redis-
solution doit être relativement long, c'est-à~dire que llin-
troduction de l'acide dans le milieu doit s'effectuer len-
tement.
La quantite d'acide introduit dans la liqueur de
redissolution est telle que le pH de ladite liqueur doit etre
inferieure a 4,5 et, de preference, toujours entre 1,7 et 1,8.
L'invention sera mieux comprise gr~ce à la descrip-
tion du dessin annexe. La figure est une representation
schematique du procedé selon l'invention indiquant en traits
pleins le circuit utilisé lorsque l'on desire eliminer les
seuls carbonate, sulfate alcalin et le molybdène et, en traits
--11~

~5~3~
pointilles, les circuits pour réaliser sur la liqueur-mère
provenant de la caustification et riche en hydroxyde, soit une
purification complementaire des matières orcJaniques, soit une
carbonatationr en pratiquant le traitement complementaire
precite destine à cet effet, soit en realisan~ un traitement
complet par la pratique successive des traitements complé-
mentaires decrits précedemment.
Les solutions alcalines à traiter " Le" ainsi
que la chaux necessiares sont introduites en (A) par (Q) et (R).
La bouillieobtenue après traitement par la chaux est introduite
dans le reacteur (B) o~ l'on effectue la separation d'un
gâteau Sl et d'une liqueur Ll contenant certaines i~puretés
solubilisées. Les eaux-mères du gateau Sl sont extraites en
(C) au moyen d'une quantite d'eau introduite. Les eaux-mères
L2 ainsi extraites sont mélangées à la liqueur Ll en formant
la liqueur L3. Le gateau S2 resultant, extrait de (C) est es-
sentiellement constitué par du carbonate de calcium.
La liqueur L3 constituee par le melange des liqueurs
Ll et L2 est conduite en (D) où s'effectue une concentration
en hydroxyde alcalin par evaporation d'eau, en provoquant la
pré¢ipitation d'un mélange de sulfate et de molybdate alcalin.
La bouillie L4 sortant de la concentration est
introduite en (E) où l'on realise la séparation d'une liqueur
L5 et d'un gateau S5.
Le g~teau S5, essentiellement constitue par le
mélange de sulfate et de molybdate alcalin, est entra~né en
(F) où il subit un rinsage soit par une solution L7 de sulfate
alcalin, avec recyclage de la liqueur de rinçage L6 en ~D),
soit par de l'eau.
Le gateau S6 imprégne dè la liqueur de rinçage est
recuperé en (K).
La liqueur L5, rich en hydroxyde alcalin, provenant
-12-

~5~
de (E~, peut contenir en solutlon des impuretés -telles que,
par exemple, des sels organiques et inorganiques dlvers
qu'il peut etre souhaitable d'eliminer.
Si l'on desi.re eliminer dc la l.iqueur ~5 les matières
organiques presentes, ladite liqueur est introduite en (I) avec,
par exemple, une quantite adéquate d'un composé du baryum,
provoquant la précipitation des organates de baryum. La
~ouillie provenant de (I) est alors introduite en (T) où llon
realise la séparation d'un gâteau S8 et d'une liqueur L8 qui
peut être recueillie en (V), ou encore, recyclee dans un
autre stade du procédé tel que (J) par exemple.
De meme, s'il est souhaitable de carbonater la
liqueur L5, riche en hydroxyde alcalin, cette liqueur est
introduite en (J) pour.y subir la carbonatation par insuffla~
tion de CO2. La bouillie obtenue peut être utilisée telle
que produite ou encore traitée en (M) pour séparer le gateau
Sg constitué par du carbonate alcalin et une liqueur carbo-
natée Lg qui peut être recueillie en (Q) ou recyclée en (J)
en vue de llobtention d'un carbonate alcalin solide.
Mais, il est bien évident que la liqueur L5, riche
en h~droxyde, peut subir successivement ces deux traitements
selon les impuretés qu'il est souhaitable d'éliminer et selon
les usages auxquels cette liqueur est destinée après purifi-
cation.
Le g~teau S6, constitué par le mélange de sulfate
et de molybdate alcalin, est alors repris en (K) d'où il est
conduit en (GA) où sleffectue sa redissolution dans de l'eau
et/ou dans une li.queur de recyclage en donnant une liqueur
L70.
La liqueur L70 est alors introduite en (GB) où
elle est traitée par une quanti.té de sulfure alcalin, proche
de la stoéchiométrie, provoquant ainsi un début de précipi-
-13-

~ ?15 L~J" ~ 3 ~
tatlon du molybclene. Puis, la suspension ainsi o~tenue est
acidifiee en ~GC) par introduction d'acide sulfurique jusqu'à
l'obtention d'un p~ compris entre 1,7 et 1,8 provoquant la
precipitation quantitative du molybdène.
La suspension sortant de la precipitation est alors
introduite en (GD) o~ l'on réalise la séparation d'une liqueur
L71 contenant en solution le sulfate alclain qui est ulte-
rieurement traite par un procédé connu, tels refroidissement,
évaporation ... jusqu'à précipitation du sulfate de sodium,
et d'un gateau S71 de sulfure de molybdène.
Après lavage par de l'eau, le gateau S71 est intro~
duit en (GE) pour y subir un séchage qui fournit du sulfure
de molybdène, valorisable comme source de molybd~ne.
Le procédé selon l'invention est remarquable par
sa souplesse d'adaptation. Cela est très important car, si
la présence de sulfate alcalin dans les solutions ~ épurer
est générale, ainsi dlailleurs que celle du carbonate alcalin,
les autres constituants presents peuvent varier qualitative-
ment et quantitativement selon l'origine des solutions à
traiter. Ainsi, le procédé se révele particulierement inté-
ressant ~ l'égard de l'environne~ent, grace à l'absence de
rejets liquides dans la nature.
De plus, ce procede presente dlautres avantages
parmi lesquels on peut citer tout dlabord la possibilité
de recycler une solution concentree d'hydroxyde aIcalin,
ou encore une solution de carbonate alcalin, eventuellement
une suspension de ce sel, voire même du carbonate alcalin
a l'etat solide, mais aussi de pouvoir regler à la demande
la quantite de sulfate alcalin recyclee, ainsi que les
teneurs en impuretes (molybdène, matières organiques, vanadium,
etc...)
Les avantages du procede selon l'invention seront
-14-

~5~2,~
beaucoup plus percept:ibles gr&ce à l'exemple donne à titre
illustratif:
EXEMPLE (illus-tre par la ~igure3
On a traité, selon le procéde de l'invention, une
solution riche en hydroxyde de sodium, prelevee à la fin d'un
cycle d'attaque d'un minerai uranifere, apres la precipitation
et la separation de l'uranate de sodium. La solution 1I Le"
avait la composition suivan-te, en masses:
NaOH 7,5 kg
Na2C3 23,71 kg
Na2S4 5,51 kg
Uranium 0,005 kg
Molybdène 3,344 kg
H2O et divers561,4 kg
Les 60L,47 kg de cette solution ont eté introduits en (A) avec
65,02 kg de lait de chaux renfermant 15,02 kg de.CaO, en vue de
realiser la caustification quasi totale du carbonate present,
par chauffage et maintien à 95C pendant un -temps de environ
3 heures.
La bouillie obtenue était alors -transvasée en (B~
o~ s'opérait la séparation des phases solide Sl et liquide
Ll .
Le gâteau Sl etait ensuite rincé en ~C) par 25 kg
d'eau. Les eaux-mères qui imprégnaient le gâteau Sl etaient
ainsi extraites et jointes à la llqueur Ll provenant de la
séparation (B).
Le gateau S2 qui avait une masse de 33,15 kg avait
la composition suivante exprimee en masses:
CaCO3 22,35 kg
Uranium 0,005 kg
Ca~OH)2 excès 3,3 kg
H2O impregnation et divers 7,5 kg
-15-

s~
La liqueur L3 constituee par le melange des liqueurs
Ll et L2 representait une masse de 658,34 kg et avait la
composition suivante exprimee en masse:
NaOH 27,48 kg
Na2S4 5,97 kg
Molybdene 3,62 kg
Eau et divers 621,29 kg
Elle etait conduite en (D) o~ s'effectuait une concentration
par evaporation de 546,5 kg d'eau.
La bouillie sortant de (D) etait transvasee en (E)
où s'effectuait la separation d'un gateau S5 et d'une liqueur
L5-
Le gateau S5 etait ensuite soumis a un rinçage
en (F) par 3,98 kg d'une solution L7 de Na2SO4 provenant de
~GA). La liqueur de lavage L6 était recyclee en (D) pour
y subir la concentration.
Le g~teau S6 lave representait une masse de ~j02 kg
et avait la composition suivante exprimee en masse:
Na2S4 4,97 kg
Molybdene 0,62 kg
H2O d'impregnation - 0,43 kg
La liqueur L5, provenant de la separation (E) representait
une masse de 109,95 kg et avait la composition suivante:
NaOEI 27,48 kg
Na2SO~ 1,65 kg
~olybd~ne 3,08 kg
Eau et divers 77,75 kg
La liqueur L5, à la sortie de (E) peut t conformement au
brevet français n 2,404,601, subir diverses transformations
3~ avant d'être reintroduite dans le cycle, des operations.
Le g~teau S6 est alors repris en (K) et est
conduit en (GA) o~ il est redissous au moyen de 24,84 kg d'eau
-16-

~ Z3~
en donnant la liqueur L7 prëcitee et une l.iqueur L70 ayant
une masse de 26,45 kg et renfermant:
2 4 4,32 kg
Molybd~ne 0,S4 kg
Eau et divers 21,59 kg
La liqueur L70 etait traitee en (Gs) par 1,32 kg de Na2S en
(GC) par 2,21 kg de H2SO~.
On obtenait alors une suspension de sulfure de
molybdene qui était introduite en (GD) o~ s'effectuait la
séparation d'un gateau S71 lave au moyen de 1 kg d'eau et
d'une liqueur L71 comprenant les eaux de lavage.
La liqueur L71 avait une masse de 29,65 kg et
renfermait 7,52 kg de Na2SO4.
Le gateau S71, apres lavage, representait une
masse de 1,08 kg renfermant 0~54 kg de molybdène.
-17-

Dessin représentatif

Désolé, le dessin représentatif concernant le document de brevet no 1154234 est introuvable.

États administratifs

2024-08-01 : Dans le cadre de la transition vers les Brevets de nouvelle génération (BNG), la base de données sur les brevets canadiens (BDBC) contient désormais un Historique d'événement plus détaillé, qui reproduit le Journal des événements de notre nouvelle solution interne.

Veuillez noter que les événements débutant par « Inactive : » se réfèrent à des événements qui ne sont plus utilisés dans notre nouvelle solution interne.

Pour une meilleure compréhension de l'état de la demande ou brevet qui figure sur cette page, la rubrique Mise en garde , et les descriptions de Brevet , Historique d'événement , Taxes périodiques et Historique des paiements devraient être consultées.

Historique d'événement

Description Date
Inactive : CIB expirée 2022-01-01
Inactive : CIB de MCD 2006-03-11
Inactive : CIB de MCD 2006-03-11
Inactive : CIB de MCD 2006-03-11
Inactive : Périmé (brevet sous l'ancienne loi) date de péremption possible la plus tardive 2000-09-27
Accordé par délivrance 1983-09-27

Historique d'abandonnement

Il n'y a pas d'historique d'abandonnement

Titulaires au dossier

Les titulaires actuels et antérieures au dossier sont affichés en ordre alphabétique.

Titulaires actuels au dossier
ALUMINIUM PECHINEY
Titulaires antérieures au dossier
FRANCOIS NICOLAS
PIERRE MAUREL
Les propriétaires antérieurs qui ne figurent pas dans la liste des « Propriétaires au dossier » apparaîtront dans d'autres documents au dossier.
Documents

Pour visionner les fichiers sélectionnés, entrer le code reCAPTCHA :



Pour visualiser une image, cliquer sur un lien dans la colonne description du document. Pour télécharger l'image (les images), cliquer l'une ou plusieurs cases à cocher dans la première colonne et ensuite cliquer sur le bouton "Télécharger sélection en format PDF (archive Zip)" ou le bouton "Télécharger sélection (en un fichier PDF fusionné)".

Liste des documents de brevet publiés et non publiés sur la BDBC .

Si vous avez des difficultés à accéder au contenu, veuillez communiquer avec le Centre de services à la clientèle au 1-866-997-1936, ou envoyer un courriel au Centre de service à la clientèle de l'OPIC.


Description du
Document 
Date
(aaaa-mm-jj) 
Nombre de pages   Taille de l'image (Ko) 
Page couverture 1994-01-20 1 22
Revendications 1994-01-20 2 86
Abrégé 1994-01-20 1 31
Dessins 1994-01-20 1 29
Description 1994-01-20 17 671