Note : Les descriptions sont présentées dans la langue officielle dans laquelle elles ont été soumises.
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CARTE A PUCE, TELEPHONE SANS FIL, SYSTEME ET PROCEDE
D'ACCES ET DE COMMUNICATION PAR INTERNET.
L'invention concerne généralement les cartes à
puces, la communication numérique et, particulièrement,
les téléphones numériques sans fil et Internet et, plus
particulièrement, un échange et une mémorisation des
données par Internet par l'intermédiaire de cartes à
puces, de communication numérique et particulièrement
de téléphones numériques sans fil.
Un certain nombre de normes pour la téléphonie
sans fil sont actuellement utilisées dans le monde.
L'une d'entre elles, le GSM, est largement adoptée en
Europe et utilisée dans diverses parties des Etats-
Unis. Le système GSM a fait la démonstration de l'accès
OTA lover the air, en aérien) au module
d'identification de l'abonné (Subscriber Identification
Module, SIM) dans le téléphone mobile, qui prend
souvent la forme d'une carte à puce de l'abonné, et qui
est un moyen pour contrôler à distance l'abonnement du
téléphone. En outre, il est possible avec GSM de
télécharger des données d'une application du réseau
vers une carte à puce dans le combiné téléphonique. Un
tel accès à une carte à puce n'a pas encore été
normalisé mais il a été ajouté, ou enfiché, sur le
canal SMS (short message service, service de message
court). Le canal SMS est actuellement le seul canal
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standard directement en contact avec la carte à puce à
être utilisé par GSM. Le succès de ce concept, c'est-à-
dire téléchargement d'une application vers une carte à
puce dans un téléphone sans fil, a été tellement grand
qu'à l'heure actuelle, tous les fournisseurs de cartes
à puces ont développé leur propre protocole privé
utilisant le service SMS, et le service OTA est devenu
une caractéristique essentielle pour les opérateurs de
réseau sans fil dans de nombreux pays, y compris aux
Etats-Unis.
Le fait qu'il n'existe aucune normalisation quant
à la façon de télécharger présente de nombreux
inconvénients. Par exemple, les applications doivent
répondre à des protocoles différents, dont chacun offre
des possibilités différentes, ce qui entraîne une
réduction du nombre des services disponibles parce
qu'il peut y avoir plusieurs protocoles différents.
D'autres restrictions à la mise en oeuvre de ce
téléchargement tiennent au fait que le canal SMS était
initialement destiné à des messages texte, et est en
conséquence unidirectionnel. I1 dispose d'une capacité
maximum de 140 octets par message. De toute évidence,
ceci ne permet pas un échange duplex. Il peut être
utilisé pour télécharger des informations vers la carte
"à l'aveuglette". Le canal SMS ne peut pas être utilisé
efficacement comme canal d'écriture et lecture à
distance vers la carte.
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A l'heure actuelle, aux Etats-Unis, contrairement
à ce qui se passe en Europe, où le réseau GSM et le
téléphone sans fil acceptent les cartes à puces, on
utilise très peu de dispositifs acceptant les cartes à
puces. Une seule technologie sans fil fournit une
interface carte à puce, et bien que le service OTA
existant réponde aux besoins actuels des opérateurs de
réseau GSM, il ne fournit pas aux développeurs
indépendants un canal ouvert pour développer des
applications et communiquer des applications sans fil
avec la carte à puce.
En outre, aux Etats-Unis, la Federal
Communications Commission (Commission fédérale des
Télécommunications) vend les licences PCS. I1 n'existe
donc ni couverture à l'échelle nationale par un système
unique, ni technologie normalisée. La décision
concernant le protocole à utiliser et le matériel à
utiliser est une décision laissée au titulaire de la
licence. En conséquence, les développeurs indépendants,
par exemple banques, institutions médicales, etc., ne
peuvent développer leur application pour une
technologie ou norme sans fil unique, mais doivent les
développer pour plusieurs technologies, dont il existe
sept différentes aux Etats-Unis. Les différences entre
ces technologies résident essentiellement dans
l'interface aérienne entre le combiné et la station de
base, tandis que d'autres services restent relativement
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identiques lorsqu'il s'agit de la mise en oeuvre d'un
réseau cellulaire numérique. Les autorités de
normalisation ont actuellement identifié sept
interfaces aériennes utilisées aux Etats-Unis.
Un aspect de la présente invention consiste à
disposer d'un moyen de communication qui soit
indépendant de ces sept technologies, par une fusion
entre ces technologies pour former une base commune.
Une tendance récente dans l'industrie consiste à avoir
accès à Internet à partir de dispositifs manuels, par
exemple téléphones sans fils, ce qui est prévu dans la
présente invention sous la forme d'une passerelle
technologique qui fournit une solution au problème
évoqué ci-dessus. Les fabricants de téléphones sans fii
ont développé les nouveaux protocoles Internet, HDML de
Uplanet, TTML de Nokia, etc, mais ces dispositifs ne
présentent tous deux qu'une puissance d'UC réduite ou
limitée, et de faibles possibilités d'affichage.
Plusieurs fabricants de téléphones sans fil ont
développé des explorateurs maison pour s'adapter à
l'environnement des dispositifs sans fil portatifs, par
exemple écran à trois lignes de caractères
alphanumériques, mémoire visible complète, clavier
restreint avec touches de défilement et fonctions de
clavier complet, etc. Savoir s'il y aura un explorateur
unique mis en oeuvre sur différentes technologies, ou
plusieurs explorateurs différents parmi lesquels
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choisir, n'a pas d'importance, et ne devrait poser
aucun problème pour l'invention du déposant. I,e
déposant s'est attaché à la mise en oeuvre d'une carte
à puce pour utilisation avec un explorateur. La carte
5 et le système du déposant ne reposent pas sur la
technologie utilisée par l'explorateur pour se
connecter à Internet, mais se connectent à Internet
avec tout explorateur. Pour surmonter les insuffisances
de l'état antérieur de la technique, le déposant
propose une interface avec un explorateur téléphonique,
au lieu d'avoir une interface avec le système opérateur
du téléphone. Ainsi, on dispose d'une meilleure
technologie, qui représente une solution indépendante
de communication pour PCS. D'autre part, les
explorateurs tels que proposés dans la téléphonie sans
fil sont encore étroitement liés à une interface
aérienne, qu'il s'agisse de SMS, CDPD, etc. Toutefois,
l'explorateur fournit un accès sans difficulté à
Internet, et constitue actuellement le meilleur point
d'entrée pour supporter une "interface" ouverte pour
les dispositifs portatifs.
A l'heure actuelle, des sociétés comme Uplanet
proposent des explorateurs pour plusieurs technologies,
CDMA, CDPD, AMPS, etc., et en raison de la nature des
applications Internet, ont adopté un "protocole ouvert"
de façon à ce qu'il puisse être supporté par plusieurs
fournisseurs d'explorateur ; Nokia a par exemple sorti
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TTML, et Uplanet a récemment sorti HTML, deux
protocoles à utiliser apparemment librement. Ces
sociétés établissent en fait une norme de facto au lieu
de passer par les autorités de normalisation.
Un aspect de la présente invention concerne une
solution technique qui consiste à utiliser une carte à
puce dans un combiné sans fil, qui permette l'échange
de données entre la carte à puce (dans le combiné sans
fil), et les données fournies sur Internet. Les données
reçues d'Internet peuvent être mémorisées dans la carte
à puce pour utilisation ultérieure, ou peuvent être
affichées en partie sur l'écran du téléphone sans fil.
La carte à puce porte ses propres éléments
d'authentification, de codage cryptographique et de
sécurité, et assure ainsi la sécurité nécessaire des
données transmises et reçues, et la sécurité nécessaire
des données mémorisées. Par exemple, des applications
telles qu'informations bancaires, porte-monnaie
électronique, informations médicales, peuvent être
échangées avec code cryptographique, authentification,
etc., si nécessaire par un téléphone sans fil, tout en
utilisant le réseau Internet pour un transfert rapide
et efficace des données, transfert rapide et efficace
qui n'est pas assuré par le canal de l'opérateur de
réseau téléphonique, et n'est en particulier pas assuré
par le canal SMS. L'utilisateur peut enlever la carte à
puce et l'insérer dans tout téléphone mobile équipé
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d'une fente et d'un explorateur. Elle est indépendante
du système du téléphone sans fil local, et doit
fonctionner avec tous les différents protocoles de
téléphone sans fil locaux.
L'utilisateur n'a pas à limiter l'utilisation de
sa carte à puce aux téléphones sans fil, mais peut
l'utiliser comme multicarte pour d'autres applications,
par exemple informations bancaires, porte-monnaie
électronique, carte de crédit, informations médicales,
l0 etc. , et peut lire la carte ou écrire dessus comme le
permet un lecteur de carte ou un terminal câblé ou
fixe.
L'un des inconvénients des explorateurs dans la
technologie de la téléphonie sans fil est la gestion
des adresses IP (Internet Provider) des fournisseurs
Internet. Les téléphones sans fils qui sont
actuellement livrés avec un explorateur ont une seule
adresse IP entrée définitivement, par exemple gravée
dans le téléphone. Ceci non seulement prend du temps et
est difficile à gérer, mais est également relativement
coûteux, parce que les adresses IP sont gravées à
l'avance sans que l'on sache si l'utilisateur final
utilisera le service Internet. Dans le cas de la
présente invention, l'adresse IP est retirée du
téléphone pour se trouver sur une carte à puce. Ceci
permet une meilleure gestion des adresses IP, en
particulier l'affectation des adresses IP sur une base
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par besoin, et elles peuvent être fournies en OTA après
que l'utilisateur a acheté le téléphone. La décision
d'adapter le service Internet est contrôlée par
l'utilisateur, et est mise en oeuvre par
l'intermédiaire du fournisseur de service. Également,
une fois que la carte à puce a accédé à Internet,
c'est-à-dire qu'une adresse IP est insérée dans la
carte, l'accès suivant est indépendant du téléphone
dans lequel l'utilisateur peut insérer sa carte et
l0 l'utiliser.
Un autre aspect de l'invention consiste en ce
qu'une partie de l'information actuellement mémorisée
dans l'explorateur peut être déplacée dans la carte à
puce portable. En d'autres termes, la carte à puce
is personnalise tout explorateur auquel elle est connectée
de façon similaire au SIM qui personnalisait le
combiné. Les informations spécifiques utilisateur sont
alors mémorisées dans l'emplacement amovible et
portable, à savoir la carte à puce, avec différents
20 articles de données, adresses e-mail, listes de
signets, fichiers cookies, cache, etc.
Le fournisseur de service, soit l'opérateur de
réseau, soit un indépendant, peut également vouloir
contrôler l'accès aux services qui font partie du
25 bouquet de l'abonnement au téléphone. La carte à puce
selon la présente invention pourrait contrôler les
services accessibles sur le réseau Internet. Ceci
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serait similaire au contrôle FDN du système GSM. La
carte à puce, telle qu'utilisée selon la présente
invention, pourrait par exemple inclure des signets
fixes restreignant l'accès à Internet à certains
services souscrits. Ceci est une option qui pourrait
être sélectionnée.
La carte à puce du déposant de l'invention peut
supporter plusieurs applications, outre l'accès à
Internet. I1 est nécessaire, pour rendre ces
applications accessibles à partir du combiné MMI, de
créer une infrastructure pour les applications basées
sur la carte à puce, par exemple écran, clavier,
données ligne, tonalité, etc. Que ceci nécessite une
connexion en ligne, ou puisse fonctionner sans
connexion, ne change rien. Le concept dans ce cas
consiste à utiliser les microserveurs situés dans la
carte à puce comme si chacun d'entre eux était un
serveur à distance sur Internet. Les microserveurs
peuvent également supporter une application pour
utilisation hors Internet.
Attardons-nous sur les microserveurs.
Premièrement, ils peuvent faire fonctionner des
applications comme tout serveur d'Internet. Ces
applications utiliseraient un codage de page web, et
assureraient une sécurité supplémentaire. L'interface
entre le microserveur et l'explorateur serait
normalisée. Dans la description détaillée figure une
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description d'un protocole. Des protocoles plus
perfectionnés seront probablement développés. Les
microserveurs auraient une adresse de manière à être
accessibles à partir d'Internet, par exemple MS No 1.
5 Cela assurerait une liaison entre une application
Internet et le microserveur pour l'échange de données.
Par exemple, si l'adresse IP de l'explorateur est IP No
1, le microserveur sera identifié comme MS No 1 @ IP No
1.
l0 La sécurité est toujours un sujet de
préoccupation. Étant donné que le microserveur est sur
la carte à puce, il peut devenir un serveur sûr en
contrôlant soit qui accède à la carte à partir
d'Internet, soit les conditions d'accès aux fichiers et
fonctions par application incluant une authentification
sûre sur Internet. Ceci pourrait comporter un accès
payant à l'utilisation au service disponible sur
Internet. Grâce à cette sécurité, les applications
Interner peuvent télécharger les informations vers la
carte en toute sécurité.
Un autre avantage de l'invention du déposant
réside dans le fait qu'il pourrait être souhaitable de
télécharger une nouvelle version de l'explorateur sur
Internet. Les interfaces aériennes n'assurent pas la
possibilité de télécharger plus d'une centaine d'octets
à la fois. Avec une interface carte à puce vers
l'explorateur, et avec une technologie carte à puce
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assurant 16 K 32 K, etc., il existe sur la carte à puce
un véhicule pour charger les mises à jour de
l'explorateur vers le téléphone sans fil. L'interface
carte à puce de l'explorateur pourrait servir pour
télécharger le nouvel explorateur à partir d'Internet
vers la carte, où il serait provisoirement mémorisé,
puis pour le télécharger de la carte vers
l'explorateur. Le nouveau explorateur remplacerait ou
actualiserait l'ancien explorateur et en élargirait les
l0 possibilités.
Un aspect supplémentaire de l'invention réside
dans la possibilité d'utiliser la carte à puce sur les
téléphones payants, dont certains ont un affichage
double ligne, une petite unité centrale, un clavier
d'interface carte à puce, et une ligne téléphonique.
Cela permet d'accéder à Internet par le téléphone
public payant.
La carte à puce de la présente invention n'est
pas limitée à une utilisation sur les téléphones sans
fil, mais peut être utilisée dans un lecteur de carte
pour des terminaux fixes à liaison terrestre.
RÉSUME DE L'INVENTION
Selon un aspect de l'invention est proposée une
nouvelle carte à puce, qui mémorise une adresse de
fournisseur Internet sur la carte. La carte peut être
lue à partir d'un téléphone numérique équipé d'un
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explorateur . la carte est insérée dans un téléphone
numérique, l'explorateur lit l'adresse du fournisseur
Internet et connecte l'utilisateur à Internet. La carte
peut également inclure des données supplémentaires pour
saisie par le téléphone numérique et/ou Internet, y
compris ID et mot de passe utilisateur, adresse e-mail,
carnet d'adresses e-mail, signets, signets fixes. La
carte peut contenir une mémoire cache et un cookie. Un
des aspects de l'invention est que la carte peut être
l0 distribuée à un utilisateur sans adresse IP. Lorsque
l'utilisateur souhaite avoir accès à Internet avec sa
carte, l'adresse IP peut être entrée à ce moment-là, et
si l'utilisateur utilise un téléphone numérique mobile,
elle peut être entrée en aérien.
La carte peut en outre contenir un ou plusieurs
microserveurs, chacun ayant une adresse et une ID
microserveur pour l'échange de données avec Internet.
Sur la carte peuvent être inclus un programme
d'authentification, un code cryptographique, et
d'autres programmes de sécurité approprié, pour le
transfert d'informations confidentielles entre la carte
et Internet, et pour la sécurité nécessaire des données
mémorisées sur la carte.
Un autre aspect de l'invention réside dans un
système de téléphone sans fil numérique pouvant être
connecté à Internet, dans lequel une pluralité de
téléphones sans fil sont chacun équipés d'un
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explorateur Internet et d'une fente d'insertion d'une
carte à puce. Les cartes à puces sont remises aux
utilisateurs du téléphone, et une carte utilisateur
pourrait étre introduite dans le logement de n'importe
lequel des téléphones. Chaque carte comporte une
mémoire pour la mémorisation de l'adresse IP de
l'utilisateur. Ainsi, un utilisateur peut connecter un
téléphone sans fil à Internet en insérant sa carte à
puce dans la fente du téléphone, en faisant la
lo connexion Internet par le réseau, et en activant
l'adresse IP.
Le système inclut en outre sur la carte une
mémoire pour la mémorisation et la saisie des données
qui sont utiles sur Internet. Par exemple ID et mot de
passe de l'utilisateur, adresse e-mail, carnet
d'adresses e-mail, signets, signets fixes, mémoire
cache et cookie. I1 est envisagé que l'adresse IP de
l'utilisateur soit initialement téléchargée vers la
carte à partir de l'opérateur du réseau cellulaire, par
exemple par le canal SMS.
Un autre aspect de l'invention est un procédé
d'exploitation d'une carte à puce qui est enfichable
dans un téléphone numérique. Elle inclut les étapes de
mémorisation sur la carte d'une adresse de fournisseur
Internet pour un utilisateur de la carte, l'enfichage
de la carte dans un lecteur de carte connecté à un
téléphone numérique, et l'activation du téléphone pour
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utiliser l'adresse du fournisseur Internet sur la carte
lorsque le téléphone est connecté à Internet. Une des
caractéristiques du procédé est que l'adresse du
fournisseur Internet est entrée sur la carte en aérien,
tandis que la carte est connectée à un téléphone
numérique. Un autre aspect du procédé inclut les étapes
de mémorisation sur la carte de divers articles
d'information utiles pour faire fonctionner la carte
sur Internet, y compris ID et mot de passe utilisateur,
adresse e-mail, signet e-mail, signet fixe, mémoire
cache et cookie.
Selon un autre aspect de l'invention en terme de
structure et de procédé, au moins une application est
mémorisée dans la carte dans le microserveur, et le
microserveur inclut une page web mémorisée, une adresse
de microserveur, une identification, l'authentification
et le protocole de communication avec un téléphone
numérique, et peut être agrandi pour inclure l'accès
aux fichiers et fonctions mémorisés sur la carte.
Le procédé et l'appareil selon l'invention
comprennent également le téléchargement, c'est-à-dire
notamment la modification de l'application sur la
carte là où l'information est échangée par Internet en
transparence pour la couche de protocole utilisée par
un opérateur de réseau de téléphone sans fil.
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wo 9sis~a~a Pc~r~9~omZs
Is
D'autres objets et avantages de l'invention
ressortiront de la description détaillée ci-après en
rapport avec les dessins joints.
s BREVE DESCRIPTION DES DESSINS
La figure 1 est un schéma illustrant les aspects
de l'invention.
La figure 2 est un schéma fonctionnel illustrant
les aspects du téléphone et de la carte de l'invention.
DESCRIPTION DETAILLEE DES MODES DE RÉALISATION PREFERES
La figure 1 représente un téléphone numérique
sans fil 10 comportant une fente 12 pour recevoir une
carte à puce amovible 14. Le téléphone peut inclure une
Is fente ou des fentes supplémentaires non représentées,
pour une SIM mobile et/ou des cartes prépayées
amovibles comme représenté et décrit dans les demandes
de brevet américains en suspens du présent déposant, No
de série 08/639,188 déposée le 19 avril 1996 et
08/738,256 déposée le 28 octobre 1996, toutes deux
cédées au même cessionnaire que la présente demande, et
toutes deux incorporée au présent document par
référence, et en faisant partie intégrante.
Le téléphone 10 comporte une antenne 16 pour
2s communiquer avec un opérateur 18 de réseau de téléphone
cellulaire, et un explorateur interne qui permet la
communication par l'intermédiaire de l'opérateur de
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téléphone sur Internet par l'intermédiaire d'une
société 22 de service d'accès à Internet.
La carte à puce 14 est de préférence conforme aux
normes 1S0 7816-1 et -2, bien que toute carte
appropriée ou classique puisse être utilisée.
La figure 2 représente certaines des parties du
téléphone 10 et de la carte 14. La communication entre
le téléphone et la carte se fait par les contacts sur
la carte, et les contacts correspondants sur le
l0 téléphone, et si l'on utilise les normes ISO, les
contacts sont au nombre de six ou huit et assurent une
communication sérielle. Ceci est montré schématiquement
sur la figure 2 sous la référence 29. Le téléphone
comporte un système d'exploitation 30, un explorateur
32, un écran 34, qui peut généralement afficher jusqu'à
3 lignes de texte, un clavier 36, et le circuit 38 de
téléphone et la connexion à l'antenne 16 nécessaires.
L'explorateur a besoin d'une adresse IP pour
l'accès à Internet. Dans le mode de réalisation de la
figure 2, l'adresse est mémorisée dans la carte 14 à
l'emplacement de mémoire 40. L'adresse IP mémorisée en
40 peut être entrée dans la carte à puce après que le
téléphone et la carte ont été fabriqués, et lorsque la
carte est remise à un utilisateur. L'utilisateur
insérera la carte dans le combiné, composera le numéro
du service du fournisseur Internet, et s'enregistrera
auprès du service à partir du combiné, comme on le fait
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à partir d'un terminal d'ordinateur. L'adresse IP
pourrait également être entrée à partir d'un poste.
Des données supplémentaires pour le net et/ou le
téléphone peuvent être mémorisées dans des registres
supplémentaires. Par exemple, une ID et un mot de passe
peuvent être mémorisés dans un registre 92, une adresse
e-mail dans un registre 44, un carnet d'adresse e-mail
dans un registre 46 ; des signets peuvent être
mémorisés dans un registre 48, et des signets fixes
dans un registre 50. Les signets fixes peuvent venir de
la carte, ou être les signets que l'opérateur de réseau
de téléphone insert dans la carte lorsque le téléphone
est utilisé sur son système. En outre, il peut y avoir
une mémoire cache 54 et un registre pour cookies 56.
Les divers registres 40-56 sont affectés à la mémoire,
et ne sont pas nécessairement un registre à emplacement
fixe. I1 est important de noter que la carte à puce 14
ayant en mémoire les données personnelles dans les
registres 40-56 peut être séparée de l'explorateur et
enlevée du combiné. L'utilisateur peut prendre la carte
à puce et l'insérer dans tout autre combiné
téléphonique équipé d'une fente et d'un explorateur, et
se connecter sur Internet par l'intermédiaire de
quelque explorateur que ce soit se trouvant dans le
nouveau combiné. En outre, il est envisagé que lorsque
des terminaux à liaison terrestre, par exemple des
terminaux non sans fil, sont équipés de lecteurs de
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cartes à puces, la carte de la présente invention peut
être utilisée par exemple dans des téléphones payants,
des ordinateurs personnel, des PDA, etc.
En outre, il y a dans la carte à puce une série
de microserveurs représentés ici comme adresse du
microserveur 1 et adresse du microserveur 2 sous les
références respectives 61 et 62. I1 doit être entendu
que l'invention n'est pas limitée à deux microserveurs,
mais peut en avoir un ou plusieurs. La taille des
l0 microserveurs peut également être flexible, et allouée
selon les besoins. Un microserveur classique inclut une
page web, une adresse, par exemple MS No 1 ou MS No 2
(à l'adresse IP), un numéro d'identification, un
mécanisme d'authentification, un protocole de
communication avec l'explorateur, et une aptitude à
vérifier les conditions d'accès aux fichiers et
fonctions. Le protocole de communication avec
l'explorateur peut n'être rien d'autre que l'entrée et
la récupération de données. Selon une autre solution,
un langage plus élaboré peut être développé, par
exemple SCML. La communication entre le microserveur et
l'explorateur se fait par l'intermédiaire des contacts
de la carte, de la même façon que toute communication
entre les composants de la carte et l'explorateur et le
téléphone.
Les conditions d'accès se réfèrent au circuit de
la carte, auquel il est fait appel selon les besoins,
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et qui est généralement impliqué dans le code
cryptographique et l'authentification lorsque des
informations sont déplacées hors de ou vers la carte,
et également lorsque certaines informations sont
mémorisées dans la carte. Tout équipement approprié ou
classique de codage cryptographique,
d'authentification, et de sécurité supplémentaire peut
être intégré à la carte. Plusieurs techniques sont
actuellement bien connues et largement utilisées, et
l0 référence est faite à un certain nombre d' ouvrages sur
le sujet, par exemple Davies, DW et Price, WL Security
for Communications Networks 1984, John Wiley, ou Hawkes
PL, Davies, DW et Price, WL Integrated Circuit Cards,
Tags and Tokens 1990, DSP Professionnal Books,
Blackwell Scientific Publications Ltd., Oxford. Le
point important est que tout système approprié ou
classique de codage cryptographique, authentification
et sécurité peut être utilisé et incorporé dans la
carte. Outre la liste des ID des fichiers et des
fonctions, il peut y avoir un algorithme de compression
des données (non représenté) ainsi que des fichiers de
gestion de données ou d'affectation des données.
Un microserveur mémorise en général une
application. Un exemple d' application est un programme
qui permet l'accès au compte bancaire d'un utilisateur.
A l'heure actuelle, on peut interroger son compte en
banque sur le web, et par exemple récupérer les cinq
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derniers versements ou les cinq derniers chèques qui
ont été présentés, le solde de différents comptes, et
autres informations, toutes très similaires au type
d'informations actuellement fournies par les DAB des
5 banques. Un second exemple d'application serait un
porte-monnaie électronique. Dans le cas d'un porte-
monnaie électronique, une certaine somme d'argent est
mémorisée électroniquement dans la carte. Lorsque
l'utilisateur souhaite faire un achat, par exemple une
10 barre de confiserie dans un distributeur, au lieu de
payer en espèces, la carte est insérée dans un lecteur
du distributeur, et la machine "retire" de la carte la
valeur de l'article acheté, et l'article est remis. I1
est également envisagé que certains magasins, par
15 exemple du type fast-food, se fassent payer avec le
porte-monnaie électronique de la carte à puce. Au
moment du paiement, la carte est introduite dans une
fente de la caisse enregistreuse, et la caisse
enregistreuse indique le montant dû, et ce montant est
20 retiré de la carte. Un autre aspect est la possibilité
de réalimenter le porte-monnaie en argent. A l'heure
actuelle, l'utilisateur apporte la carte à un DAB,
entre un code PIN, et télécharge ou retire de l'argent
d'un compte en banque et le mémorise sur la carte. Dans
un mode de réalisation de la présente invention, la
carte serait insérée dans un téléphone sans fil, le
service sans fil se connecterait à Internet et le
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microserveur appellerait, ou le signet appellerait la
banque de l'utilisateur, et après un échange réussi
d'authentification, vérification et sécurité,
l'utilisateur pourrait télécharger une valeur ou de
"l'argent" dans le porte-monnaie électronique de la
carte. Les détails du porte-monnaie électronique ne
sont pas décrits dans la présente demande, étant donné
qu'ils sont connus, et référence est faite, par
exemple, à l'expérience actuellement menée avec le
l0 porte-monnaie électronique par la Chase Bank de New
York dans le quartier ouest de Manhattan. Des
informations complémentaires peuvent être obtenues
auprès du cessionnaires du déposant, qui fabrique des
cartes à puces du type porte-monnaie électronique.
Un autre exemple d'utilisation du microserveur
pourrait être la mise à jour de l'explorateur dans le
combiné téléphonique. A mesure que les explorateurs
s'améliorent et deviennent plus perfectionnés, il est
souhaitable de les mettre à jour ou d'obtenir une
version plus élaborée d'un explorateur. Le canal OTA
(service de message court SMS pour GSM) de l'opérateur
de téléphone sans fil n'est pas toujours adéquat pour
le rechargement de l'explorateur, car il prend trop de
temps et est encombrant. Un moyen efficace consiste à
télécharger la nouvelle version de l'explorateur à
partir de la carte pour remplacer, mettre à jour,
l'explorateur dans le combiné téléphonique.
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Un aspect important de la structure du déposant
est qu'elle permet un échange facile de données entre
l'utilisateur d'un téléphone sans fil et une source de
données, qu'il s'agisse d'une banque, d'une source de
données, ou de toute autre application disponible sur
Internet.
A titre d'exemple supplémentaire, de nouvelles
applications peuvent être ajoutées à la carte à puce.
Par exemple, si la carte à puce doit également être
l0 utilisée pour accéder à une installation protégée par
un verrouillage de la porte par carte à puce, la clé
pour le déverrouillage et l'ouverture de la porte de
cette installation peut être téléchargée sur Internet.
Bien sûr, une authentification et un code
cryptographique appropriés devraient être utilisés pour
toute donnée sensible, qu'il s'agisse d'informations
bancaires, de transfert d'argent, ou d'ouverture de la
porte d'un local protégé. Un autre exemple
d'application, qui implique le transfert d'une
importante quantité de données, concerne les dossiers
médicaux. Un utilisateur pourrait mémoriser dans un des
microserveurs son dossier médical personnel, par
exemple état de santé actuel, traitements,
consultations récentes, nom des médecins, etc.
On appréciera le fait que la présente invention
évite certaines des insuffisances du système actuel, et
offre une approche universelle par Internet et carte à
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puce pour transférer des données efficacement, et si
nécessaire en sécurité, entre un téléphone sans fil et
une source de données, par Internet et une carte à
puce.
Sur la figure 2, les divers registres et la liste
des fichiers et fonctions du service peuvent être tous
contenus dans une seule puce de circuit intégré. Du
point de vue de la sécurité des données, il est
légèrement préférable de tout avoir dans une seule
l0 puce. I1 existe une considération économique, et avec
l'évolution de la fabrication des circuits intégrés, il
est également de plus en plus avantageux d'avoir tous
les composants dans une seule puce. Toutefois, le
véritable choix revient au constructeur de circuits
intégrés, et il peut utiliser toute conception
appropriée ou classique. En outre, les connexions sont
présentées comme faites par contacts selon la norme ISO
8. Les connexions peuvent être de type liste de
contacts, ou tous autres contacts appropriés ou
classiques pouvant être utilisés ou pouvant apparaître
pendant la durée de vie du brevet.
Les dispositifs et réalisations décrits
illustrent les principes de l'invention. A la lumière
de cet enseignement, il est évident que d'autres
dispositifs peuvent être élaborés par des spécialistes
de la technique sans s'écarter de l'esprit et de la
portée de l'invention.
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