Note : Les descriptions sont présentées dans la langue officielle dans laquelle elles ont été soumises.
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La présente invention concerne un dispositif de
connexion autodénudante de fils.
En particulier, la présente invention concerne des
dispositifs de connexions, du type comportant au moins un
élément tubulaire de connextion, conducteur de l'électri-
cité, supporté par un support électri~uement isolant,
élément dont la première et la seconde partie extrême,
opposées l'une de l'autre, comportent respectivement une
première et une seconde fente transversale constituant des
moyens de connexion au-todénudants susceptibles de recevoir
chacun au moins un conducteur, un passage étant prévu dans
le support isolant, vis-à-vis d'au moins la seconde fente
transversale, pour y loger un conducteur.
Le brevet canadien no. 1.156.013 concerne un
dispositif de ce genre, caractérisé en ce que l'élément
tubulaire de connexion a une première partie extrême fendue
dont les dimensions transversales extérieures sont telles
~u'elle puisse pénétrer dans la seconde partie extrême
fendue d'un autre élément tubulaire de connexion, similaire
au premier, des moyens de guidage étant prévus entre au
moins une partie intérieure du support isolant, et cha~ue
élément tubulaire de connexion qu'il supporte, pour
permettre un déplacement relatif, axial mais non angulaire,
entre le support isolant et chaque élément tubulaire, des
25 moyens de déplacement étant prévus, individuellement pour
chaque élément tubulaire de connexion, pour assurer par ce
déplacement axial relatif, la connexion, respectivement la
connexion et la déconnexion, entre au moins l'une des deux
fentes transversales de ce dernier, fente qui s'étend à
travers les deux parois opposées de celui-ci, et au moins un
conduc-teur disposé dans le passage correspondant qui s'étend
transversalemen~ au support isolant dans le prolongement de
chacune des deux extrémités de la fente transversale.
Les dispositifs de ce type décrits et représentés
12~68~il
dans le brevet canadien no. 1.156.013 sont généralement
équipés d'un organe de manoeuvre, tel qu'une vis, par
élément tubulaire de connexion, ou par empilage d'eléments
tubulaires de connexion enfichés les uns dans les autres.
On aboutit ainsi. à une construction assez onéreuse, alors
qu'en réalité on réalise toujours simultanement des
connexions en agissant en meme temps sur deux eléments
tubulaires de connexion placés côte à cote, ou sur deux
empilages d'éléments tubulaires de connexion placés côte à
côte.
Par ailleurs, tous ces dispositifs ne permettent
pas à eux seuls d'assurer une connexion de masse, alors
qu'une borne de masse entre deux connexions adjacentes est
souvent nécessaire, et que dans ce dernier cas l'on est
conduit, avec ces dispositifs, à prévoir une troisième borne
de connexion médiane pour la masse, comme c'est en
particulier le cas lorsque l'on désire installer un para-
surtension entre les deux bornes de connexion faisant partie
d'éléments tubulaires parallèles, ou de piles d'éléments
tubulaires parallèles.
Selon la présent invention, il est prévu un
dispositif de connexion autodénudant de fils, comprenant:
- une embase reliée à la masse de l'installation
munie d'un orifice taraudé;
- une partie inférieure montée sur ladite embase
au-dessus de l'orifice taraudé et comportant deux canaux
inférieurs;
- deux éléments tubulaires parallèles ayant des
extrémités inférieures munies de fentes inférieures et des
extrémités supérieures munies de fentes supérieures;
- deux protubérances sur la partie inférieure pour
supporter lesdits deux éléments tubulai.res;
- une partie supérieure au-dessus de la partie
inférieure comportant deux canaux supérieurs al~gnés avec
_ ~ _
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les fentes supérieures des deux éléments tubulaires,
- un moyen permettant d'assurer par rapprochement
et serrage respectifs de la partie supérieure et de la
partie inférieure la connexion au~odénudante de fils
inférieurs ou supérieurs.
De préférence, ledit moyen permettant le rappro-
chement est une vis métallique.
De toute façon, l'invention sera bien comprise, et
d'autres caractéristiques avantageuses apparaitront, au
cours~`de la descxiption suivante de quelques exemples de
réalisation, en référence aux dessins annexés dans lesquels:
Figure 1 est une vue en perspective de trois
dispositifs de connexion différents, conformes ~ la présente
invention, montés sur une barrette conductrice commune,
Figure 2 est une vue en coupe, selon la direction
II-II de la figure 1, du dispositif de connexion le plus
simple, tel qu'il est livré avant tout montage de fils,
Figure 3 est une vue en coupe, selon la direction
III-III de la figure 1, d'un dispositif de connexion plus
sophistique, tel qulil est livré avant tout montage de fils,
Figure 4 est une vue en coupe du dispositif de la
figure 3, ses deux parties constitutives séparables étant
désaccouplées,
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Figure 5 est une vue en coupe du dispositif de la figure 3, ses trois
parties constitutives séparables étant désaccouplées,
Figure 6 montre le dispositif de la figure 4 en place sur deux paires de
fils,
5Figure 7 rnontre le dispositif de la figure 5 en place sur deux paires de
fils,
Figure 8 est une vue en coupe partiellè représentant une variante du
dispositif de la figure 7,
Figure 9 est une vue en coupe, selon la direction IX-IX de la figure 1,10d'un dispositif de connexion comportant une protection contre les surtensions,
Figure 10 est une vue en coupe transversale du même dispositif, selon
la direction X-X de la figure 1.
En se reportant tout d'abord à la figure 1, on a représenté, à titre
d'illustration non limitative, trois dispositifs de connexion 1,2,3 conformes à la
15présente invention:
- un module de connexion autodénudant I simple, ne comportant que
deux éléments tubulaires de connexion, parallèles et autorisant seulement la
déconnexion des deux fils supérieurs, et non pas le désenfichage de la partie
supérieure 4 contenant ces deux fils,
20- un module de connexion autodénudant 2 plus perfectionné, comportant
deux empilages parallèles de chacun deux éléments tubulaires de connexion
gigognes, ce qui autorise le désenfichage, ou "coupure", de la partie supérieure 4
contenant les deux fils supérieurs,
- un module de connexion 3 à coupure, différant du module 2 par le fait25que la demi-douille intermédiaire 5 de ce module 2 y est remplacée par une
demi-douille-6 contenant un dispositif 7 de protection contre les surtensions, dit
ordinairement "parafoudre" ou plus généralement "parasurtension".
Chacun des modules 1,2,3 représenté se différencie des modules décrits
dans le brevet canadien N 1.156.013 par le fait qu'il est toujours double,
30c'est-à-dire qu'il comporte deux dispositifs selon le brevet canadien N 1.156.013
parallèles et accouplés, que son support isolant inférieur est constitué par unepièce double 8, destinée à recevoir les deux fils inférieurs, qui est fixée sur une
barrette métallique commune 9, ou embase métallique, reliée à la masse de
l'installation, et aue le moyen de déplacement permettant, par rapprochement
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respectif de la demi-douille supérieure 4 et de la demi-douille inférieure 8 de
serrer le module et par là même d'assurer la connexion autodénudante des fils
inférieurs et/ou supérieurs, est constitué par une vis métallique 10 traversant du
haut en bas la partie centrale du module, entre les deux éléments tubulaires
parallèles et les deux empilages parallèles d'élémen ts tubulaires gigognes, pour
venir se visser dans l'embase métallique 9 et par là même assurer le serrage
vertical des différentes demi-douilles 4,8 ou 4,5,8, ou 4,6,8 constituant le module
1,2 ou 3 considéré.
Chacun des rnodules doubles 1,2 et 3 sera maintenant décrit plus en
détails, avec son mode de fonctionnement, en référence aux figures suivantes.
La figure 2 représente le module le plus simple 1, tel qu'il est livré à
l'utilisateur avant tout montage de fils. On reconnaî-t de prime abord sur cettefigure la demi-douille isolante commune 4, qui coiffe l'ensemble du module et
reçoît la tête de la vis centrale métallique 10, celle-ci venant se visser dans la
barrette métallique 9 pour assurer le serrage de la coiffe 4 contre la demi-douille
isolante inférieure 8, celle-ci étant montée, par des organes de fixation 11
difficilement amovibles, sur la barrette 9 comme représenté. La demi-douille
supérieure 4 comporte bien évidemment deux canaux tubulaires 12,13 destinés à
recevoir les deux fils supérieurs à connecter, et de même la demi-douille
inférieure 8 comporte deux canaux tubulaires 14,15 destinés à recevoir les deux
fils inférieurs 16,17 à connecter. Le module 1 est équipé de deux éléments
tubulaires de connexion autodénudants 18,19, fendus en bas et en haut comme
décrit dans le brevet canadien N 1.156.013 en alignement avec les canaux
tubulaires 12 à 15. Conformément à l'invention, ces éléments tubulaires 18,19
25 sont parallèles et intimement accouplés par le fait que d'une part leur
demi-douille inférieure 8 est commune et double, et que d'autre part leur
demi-douille supérieure 4 est également commune, double, et munie d'un unique
organe central de manoeuvre constitué par la vis métallique 10 assurant non
seulement le serrage, mais encore la connexion de masse séparant les deux
30 éléments tubulaires de connexion 18 et 19.
Tel qu'il est représenté sur la figure 2, le module est livré équipé de
deux cales annulaires 20 et 21 permettant de maintenir les deux éléments
tubulaires 18 et 19 en position haute comme représenté, et par là même, d'éviterun sertissage accidentel -de la partie fendue inférieure des éléments 18 et 19 sur
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les deux parties centrales axiales et protubérantes 22 de la demi-douille infé-
rieure 8. Avantageusement, pour des raisons pratiques évidentes, la partie
supérieure non filetée 23 de la vis 20 est maintenue dans la demi-douille
supérieure 4 à l'aide d'un manchon métallique 24, serti sur la partie 23, libre en
5rotation dans la demi-douille 4 et formant un épaulement 25 s'opposant au retrait
de la vis 10, comme on le voit nettement sur le dessin.
Les figures 4 et 6, auxquelles on se référera maintenant, permettent de
comprendre le fonctionnement du module simple I de l'invention.
Ayant en main le module de la figure 2, on dévisse totalement la vis de10serrage 10, ce qui entraîne tout d'abord l'écartement de la demi-douille supé-
rieure 4 par rapport à la demi-douille inférieure 8 puis, la vis 10 étant
totalement sortie de la barrette 9, ce qui permet la séparation manuelle des
demi-douilles 4 et 8, dans leur position relative de la figure 4.
A ce stade, aucun fil n'est encore connecté, ce qui n'est pas le cas de15ce qui est représenté sur la figure 4. On introduit alors, après avoir jeté les cales
20 et 21, les deux fils inférieurs 16,17 dans les canaux inférieurs 14,15. On
replace la demi-douille 4 sur la demi-douille 8, et l'on visse à fond la vis 10 dans
la barrette métallique 9 ce qui entraîne la connexion autodénudante des fils 14,15
sur les éléments fendus 18,19, et le sertissage de ces derniers sur les protubé-20rances axiales 22 de la demi-douille 8, comme on le voit d'ailleurs sur la partie
inférieure de la figure 4.
On dévisse alors à nouveau la vis 10, ce qui permet de séparer à
nouveau la partie supérieure 4 de la partie inférieure 8. On introduit alors les
deux fils supérieurs 26,27 dans les deux canaux 12,13. Les positions et situations
25respectives sont alors à ce stade exactement celles représentées sur la figure 4.
On place alors à nouveau le chapeau 4 sur la partie inférieure 8, et l'on
visse à fond la vis 10 dans la barrette métallique 9 ce qui assure la connexion
autodénudante des fils supérieurs 26,27 dans les fentes supérieures des éléments
tubulaires 18 et 19. La situation obtenue est alors celle représentée sur la figure
6.
Pour déconnecter alors les deux fils supérieurs 26,27, il faut dévissercomplétement la vis de manoeuvre 10, puis tirer sur les fils 26 et 27 pour les
extraire. On peut alors, si l'on veut, effectuer la connexion d'une autre paire de
fils supérieurs.
. .
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Le module 1 permet donc la déconnexion des fils supérieurs 26,27 mais
pas le désenfichage, ou coupure, de cet ensemble de fils supérieurs, désenfichage
qui ne peut être réalisé que par le désaccouplement de deux éléments tubulaires
gigognes.
5On décrira maintenant en détails, à l'aide des figures 3,5 et 7, le
module 2 qui permet de réaliser un tel désenfichage, ou "coupure".
En comparant les figures 2 et 3 d'une part, et 4 et 5 d'autre part, on
voit que le module simple 1 se différencie du module à coupure 2 principalement
par le fait qu'il est rajouté sur le module 2 une "demi-douille" intermédiaire 510comportant deux éléments tubulaires autodénudants supplémentaires 28,29, dont
les parties fendues supérieures sont destinées à recevoir les deux fils supérieurs
26,27 et dont les parties fendues inférieures sont destinées à venir s'enficher dans
les parties fendues supérieures des éléments tubulaires 18 et 19, permettant ainsi
d'assurer la possibilité de désenfichage, ou coupure souhaitée.
15Comme on le voit sur la figure 3, le module 2 est, à la livraison, équipé
des mêmes cales 20,21 que le module 1.
Dans l'orifice central axiai 30 de la demi-douille est serti un boulon
tubulaire métallique 31 dont le pas de filetage et le diamètre intérieurs sont les
mêmes que ceux du perçage 92 de la barrette 9, qui ëst destiné à recevoir
20I'extrémité filetée de la vis 10.
Enfin, la vis 10 utilisée pour le module à coupure 2 présente quelques
différences avec celle équipant le module simple 1.
Elle est tout d'abord bien évidemment plus longue que la vis précé-
dente. Par ailleurs, elle est munie, successivement du bas de la vis vers le haut,
25c'est-à-dire jusqu'à sa tête:
- d'une extrémité filetée 32, dimensionnée pour venir au maximum se
visser dans la barrette 9 sur une longueur de filetage Ll,
- d'une partie 33, lisse de préférence, de plus faible diamètre de
manière à pouvoir coulisser sans encombre dans l'écrou 31; la longueur de la
30partie lisse 33 est égale à la longueur L2 de l'écrou 31, augmentée d'une longueur
L3 qui doi t être supérieure, préférentiellement légèrement supérieure, à la
longueur Ll définie ci-dessus,
- d'une partie épaulée 34, dont l'épaulement supérieur 35 est éloignée,
lorsque la vis 10 est vissée à fond dans la barrette 9, d'un rétrécissement 38 du
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perçage axial 36 du chapeau 4, d'une distance L4 supérieure, préférentiellement
légèrement supérieure à la distance L3 ci-dessus définie,
- d'une partie lisse 23 et de la tête de vis, analogues à celles de la vis
équipant le module 1.
Le fonctionnement du module à coupure 2 est le suivant:
Comme on le voit sur la figure 3, le module 2 est livré avec ses
cales 20 et 21. On commence donc, pour retirer-ces cales, à dévisser la vis 10
jusqu'à ce que son extrémité filetée vienne s'échapper de la barrette 9, la vis 10
tournant alors dans le vide. On tire alors manuellement l'ensemble des deux
demi-douilles ou bagues 1,5, pour les séparer de la bague inférieure P, fixe en
position sur la barrette 9. On retire et jette les deux cales 20 et 21. On engage
comme pour le cas du module 1 les deux fils inférieurs 16,17 dans les deux
canons parallèles 14,15 de l'étage inférieur 8.
On pose alors à nouveau l'ensemble des deux étages supérieurs 1,5 sur
l'étage inférieur 8, et l'on vient visser à fond la vis 10 dans la barrette 9. Cette
opération permet, comme c'était le cas pour le module 1, de connecter
définitivement les deux fils inférieurs, comme ils sont représentés sur la figure 5,
tout en sertissant la partie inférieure des deux éléments 18,19 sur les excrois-
sances 22 de l'étage inférieur 8. ~
On dévisse alors à nouveau la vis 10 et l'on désolidarise à nouveau
manuellement l'ensemble 1,5 de l'étage inférieur 8.
En introduisant alors un tournevis dans une fente située à l'extrémité
de la vis 10 opposée à sa tête, on vient enclencher le filetage de l'extrémité 32
de la vis dans le taraudage du boulon tubulaire 31 et, en vissant par cette fente
37, on vient placer l'épaulement 35 en appui axial contre le rétrécissement 38.
En continuant à visser dans le même sens, on vient séparer les deux bagues~ ou
demi-douilles, ou étages, 4 et 5, ce qui permet d'introduire les deux fils
supérieurs 26,27 dans les canons correspondants 12 et 13 de la bague supérieure
4.
On replace alors le couple de bagues supérieures 4,5 sur la bagùe
inférieure 8, et l'on visse la vis 10 par sa tête. Son extrémité filetée 32 vient
d'abord s'échapper de l'écrou 31, puis vient en prise dans le taraudage du perçage
92. En vissant à fond la vis 10 dans la barrette 9, on assure le pressage des trois
étages 4,5 et 8 I'un contre l'autre, ce qui entraîne la connexion autodénudante
6~8
des fils supérieurs 26 et 27.
Pour réaliser ensuite une coupure, c'est-à-dire une séparation par
désenfichage du couple de fils supérieurs 26,27 par rapport au couple de fils
inférieurs 16,17, il faut dévisser la vis 10 jusqu'à ce qu'elle tourne dans le vide,
puis tirer manuellement sur l'ensemble des deux étages supérieurs 4,5 pour le
désaccoupler, par désenfichage, de l'étage inférieur 8.
La figure 8 montre une variante de la vis 10 de la figure 7, évitant de
prévoir une fente inférieure 37 de vissage à contre-sens. Selon cette variante, la
vis 10 est en permanence poussée vers le haut par un ressort 40 s'appuyant sur la
partie supérieure de l'écrou 31, de sorte qu'elle vient, lorsqu'elle s'échappe de la
barrette 9, immédiatement en prise sur le filetage de l'écrou 31.
En se reportant enfin aux figures 9 et 10, le module 3 de la figure 1 se
différencie du module 2 par le fait que son étage intermédiaire 6, s'il est
identique à l'étage 5 en ce qui concerne sa partie située en alignement axial avec
les étages 4 et 8, comporte un important prolongement latéral 7, de forme
parallélépipèdique, munie d'un couvercle de visite amovible 41, et contenant un
parafoudre 42.
Comme on le voit sur les figures 9 et 10, le parafoudre, ou parasur-
tension 42 a ses deux bornes 43,44 enfichées dans les fentes alignées, respec-
tivement supérieure et inférieure, des éléments 28,18 pour la première borne 43
et 29,19 pour la deuxième borne 44, et a sa borne de masse 45 venant fermement
en appui contre le corps de la vis 10.
Dans le cas des figures 9 et 10, le boîtier 7 contenant le parafoudre 42
est moulé d'un seul bloc avec le corps de la demi-douille intermédiaire 6. Selondeux variantes possibles de réalisation, ou bien ce boîtier 7 peut être indépendant
du corps 6, et il vient s'enficher de manière amovible dans ce corps 6 par
exemple par les bornes 43,44, et éventuellement 45, ou bien le boîtier 7 n'existe
pas du tout et c'est le parafoudre lui-même qui vient s'enficher de manière
amovible sur ce corps 6 au moyen des bornes 43,44, et éventuellement 45.